jeudi 2 juin 2022

Promenade - N–S& M ; Prom 42 Foret de Gretz Armainvilliers

Pour cette promenade nous avons trois départs. Gare d’Ozoir la Férrière. (Se rendre au départ d’Ozoir.) Lorsque vous arriverez au parking de la Barrière Noire, il suffira de revenir en début de page pour retrouver le point de départ.

Gare de Gretz Armainvilliers. Prendre la sortie Rue D’Alsace (sur la passerelle, il faut tourner le dos à la gare)

Parking de la maison forestière de la Barrière Noire, à la sortie de Gretz.

Gretz Armainvilliers ; desservie par le RER E (Paris • Haussman • Saint-Lazare • Tournan-en-Brie). C'est la dernière ville avant le terminus de la ligne.

La commune est desservie par deux axes majeurs :

  • la nationale 4 qui décrit un axe ouest-est, de Paris vers Nancy,
  • la départementale 471, sur un axe nord-sud, de Melun à Lagny-sur-Marne.

En venant de Paris par la N°4 prendre la sortie D 471 & 216 Gretz, Ozoir, Coubert au feu tricolore à gauche Ozoir, Gretz (centre). Passer le pont, poursuivre la D 471 direction A 4, Pontcarré, Ozoir. Après quelque km, nous trouvons un panneau annonçant la foret et la barrière noire, suivre Gretz centre. Passer une premier feu tricolore, le pont SNCF et au second feu prendre à droite D 350 Gretz centre. Passer une usine de traitement des déchets qui à subit un incendie en 2020. A près un virage nous trouvons un panneau d’information Barrière noire, environ 150m plus loin nous trouvons un parking à gauche et à droite de la route.

En Venant par ‘’l’Est’’  (Esternay- Sézanne) par la N4 prendre la Sortie D 471 & 216 Brie Comte Robert, Chevry-Cossigny , Ozoir, Gretz-Bois Vignolles (Attention dans la sortie ne pas prendre à droite Gretz ) poursuivre D 216 Ozoir, Brie.  Se diriger vers le pont. Au feu tricolore prendre à droite la D 471 direction A 4, Pontcarré, ozoir. On trouve une information ‘’foret d’Armainvilliers, aire de la Barrière noire 3 km suivre Gretz Armainvilliers. Passer le premier feu, puis le pont au dessus de la ligne SNCF, avant le second feu prendre Gretz centre D 350. Passer une usine qui à brûler et en cours de rénovation. Traverser la foret jusqu’au parking se trouvant à droite et à gauche de la route.

De Melun ; Ce rendre au carrefour situé dans le haut de Melun, coté Rubelles, direction Meaux, Coulommiers et château de Vaux le vicomte. A ce grand rond point vous abandonnez ses direction quittez la 636 pour prendre la D 471 Gretz, Tournan. Au rond point suivant toujours la 471 direction Soignollles. Passer l’autoroute A 4. Poursuivre direction Gretz-Tournan-Soignolles. Au feu tricolore poursuivre Gretz-Tournan, Soignolles, Lissy. Traverser Lissy. Au rond point prendre sur la gauche Marne la Vallée, Gretz-Tournant, Coubert. Prendre la troisième sortie sur la droite A 4, Marne la Vallée, coubert, Gretz-Tournan, Grisy Suines. Au rond point suivant prendre la seconde Gretz-Tournan. Passons sous la ligne TGV nous entrons dans la foret d’Armainvilliers (attention à votre vitesse sur cette route toute droite…) nous trouvons ‘’enfin’’ un panneau d’information Gretz Armaivilliers foret d’Armainvilliers, aire de la barrière Noire 3,5 km. Au premier feu ne pas prendre Gretz centre poursuivre A 4 Pontcarré-Ozoire passer le pont au dessus de la N 4 au second feu toujours tout droit. On trouve une nouvelle information ‘’foret d’Armainvilliers, aire de la Barrière noire 3 km suivre Gretz Armainvilliers. Passer le premier feu, puis le pont au dessus de la ligne SNCF, avant le second feu prendre Gretz centre D 350. Passer une usine qui à brûler et en cours de rénovation. Traverser la foret jusqu’au parking se trouvant à droite et à gauche de la route.

  Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires      Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346067

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km    temps     arrêt      V/d     V/g      Dénivelé

27       4h40      0h15       5,8    5,5        65 m

À la découverte de Gretz-Armainvilliers et de son histoire.

Sous l’ancien régime, une grande partie de la Seine-et-Marne forme une région réputée pour la richesse et l’importance de ses moissons. Il s’agit, bien entendu, de la Brie, surnommée, à l’époque, le grenier de Paris. Le village de Gretz existait déjà au IXe siècle comme un hameau dépendant de la paroisse de Tournan. En 820, appelé Graium, son nom changea au cours des siècles : Gres (1182), Grez (1209), Gressium (1280), Gres en Brie (1289).
On peut supposer que le nom de Gresum, qui désignait un terrain rocailleux à l’époque gallo-romaine, est à l’origine du nom de notre commune.
Le premier maître des lieux fut le Sieur Jehan de Grez.
Le nom d’Armainvilliers proviendrait plutôt d’Hermainvilliers qui signifie la Villa de Hermann et cela remonterait aux alentours du début du XIIe siècle.

On peut affirmer avec certitude que Gretz et Armainvilliers étaient deux fiefs différents avant le XIVe, car ils ne figuraient pas ensemble dans les titres nobiliaires. Un des seigneurs du domaine d’Armainvilliers fut Pierre de Beringhen 1er valet du Roi Henri IV. Son fils, Henri de Beringhen, acheta par la suite le Grand Mesnil et fut anobli en décembre 1610 en devenant le Seigneur d’Armainvilliers. C'est lui qui construisit le premier château d’Armainvilliers.

Le domaine d'Armainvilliers et la famille Rothschild.
Ce château était, à l'époque, composé de bâtiments élevés à la française, c’est-à-dire, en pierre de grès, couverts d’ardoises, entourés de fossés pleins d’eau et de deux pavillons sur lesquels on entre par un pont-levis. Il appartint à plusieurs générations de la famille Beringhen avant que Louis XV devienne brièvement propriétaire de ces terres. Plus tard, le Duc de La Rochefoucault céda le domaine à la famille Rothschild.
En 1877, Edmond de Rothschild fit raser le château historique pour bâtir l’actuelle demeure en style anglo-normand. Un rail décroché de la gare de Gretz-Armainvilliers, située en face de sa grille d'honneur, parvenait jusqu’à son sous-sol. On assiste à la construction de deux îles dans l’étang pour permettre aux visiteurs d’effectuer quelques excursions en bateau à vapeur.

La famille Péreire.

Isaac et Émile Péreire ont acquis d’autres terres à Armainvilliers et sur la commune d'Ozoir-la-Ferrière. Comme la famille Rothschild, les frères Péreire revendiquèrent l’appellation de domaine d’Armainvilliers ce qui présenta, à l'époque, quelques difficultés pour les invités : certains, devant se rendre chez l’un, se présentaient chez l’autre ! Le château des frères Péreire, qui s’installèrent à Gretz-Armainvilliers en 1852, a malheureusement été détruit en 1950.

À la fin du XIXe siècle, la famille Péreire et le Baron de Rothschild, possédaient à eux deux, autour du petit village de Gretz presque tous les bois compris entre Mortcerf et les bords du Grand Morin, jusqu’à Émerainville et Lagny-sur-Marne. L’émulation entre les familles Péreire et Rothschild, pour ne pas dire la compétition, favorisa l’essor de Gretz-Armainvilliers.
La famille Péreire et le Baron de Rothschild furent les actionnaires principaux des compagnies de chemin de fer dont l'arrivée à Gretz-Armainvilliers, avec la création de la ligne Paris – Bâle fut le moteur du développement de la ville. Gretz a vu son essor grâce à l’arrivée du chemin de fer, dont les premiers travaux ont été effectués en mai 1855, lors de la construction de la ligne Paris–Mulhouse. En juillet 1859, à l’initiative de Monsieur Péreire, La Compagnie de l’Est entra en possession des terrains nécessaires à la construction d’une ligne entre Gretz-Armainvilliers et Mortcerf. Ce nouveau tracé fut inauguré le 2 février 1861.
Depuis ce temps, Gretz-Armainvilliers est une ville
ouvrière ferroviaire avec de nombreux cheminots qui sont restés attachés à notre commune.

Clément Ader.

Gretz-Armainvilliers est aussi le berceau de l’aviation. Dans le domaine de la famille Péreire, Clément Ader fit décoller Éole, le premier avion.

Pour ce projet onéreux, Clément Ader trouva en son ami Isaac Péreire son mécène. Le premier vol concluant eu lieu le 9 octobre 1890, à 16 h 05, dans les jardins du domaine. Un procès-verbal a été rédigé, mais non signé, attestant que « Le 9 octobre 1890, à 4 heures 5 minutes du soir, dans le parc du château de Madame Péreire, à Armainvilliers, près de Gretz, a eu lieu une expérience concluante de navigation aérienne. L’avion numéro 1, portant le nom d’Éole et monté par Monsieur Ader, son inventeur, a perdu Terre et s’est soutenu dans l’air, sur ses ailes, en rasant le sol sur une distance d’environ 50 mètres, avec la seule ressource de sa force motrice. L’aire de manœuvre ayant 200 mètres de longueur et 25 mètres de largeur, sur de la terre battue par un rouleau ».
Ce vol, réalisé devant plusieurs témoins, ne fut officialisé qu’au XXe siècle.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’armée allemande stationnait dans les châteaux de Gretz-Armainvilliers. Une infirmerie avait même été aménagée dans les sous-sols du domaine de Rothschild.
Le village fut, pendant cette période et grâce à sa gare de triage, une des plaques tournantes dans l’approvisionnement de l’est de la France.
Le 22 juin 1944, à 19 h 19 exactement, la gare et les trains furent mitraillés à plusieurs reprises par les groupes alliés. Ce jour-là, il suffira de quelques minutes pour endommager les voies, les machines stationnées le long des quais et les trains de munitions dans la gare de triage.
Ces bombardements nourris ont également
occasionné de graves dommages aux châteaux.

Gretz-Armainvilliers fut définitivement libérée le 26 août 1944. http://www.gretz-armainvilliers.fr/decouvrir_gretz.html

Une dernière chose au parking coté plan d’eau ne pas tenter de prendre la petite route en pensant couper le crochet de la D 350. La route est coupée au niveau de la ligne SNCF. L’électrification de la ligne à supprimé le pont et il n’a pas été reconstruit, et malheureusement il n’y a pas de tunnel.

 

Octobre 2020


 

La forêt d'Armainvilliers :
La forêt d’Armainvilliers a été à l’origine de l’installation des familles Rothschild et Péreire.
Cette forêt aux essences multiples est restée en grande partie préservée par tous ses propriétaires. À l'automne, les grandes étendues d'eau accueillent un grand nombre d'oiseaux migrateurs. http://www.gretz-armainvilliers.fr/decouvrir_gretz.html

Après avoir fait le tour de l’étang longeons la D 350 le long du parc du château d’Armainvilliers, puis la ligne SNCF, on a un semblant de sentier en bordure de la route, nous menant au trottoir.  Nous entrons dans Gretz, longeons le parking, nous arrivons à la fois à la gare et à la grille d’honneur du château d’Armainvilliers. Malheureusement on ne le verra pas. [Le château d'Armainvilliers est un fief très ancien, dont on trouve mention au XIIe siècle. Il s'étend aujourd'hui sur les communes de Tournan-en-Brie et de Gretz-Armainvilliers. Un château y est mentionné dès le XIVe siècle, qui donne refuge à François Ier en 1544 après la prise de Château-Thierry par Charles-Quint. À partir de cette époque, il devient la résidence des seigneurs de Tournan et de Gretz-Armainvilliers (les Beringhen aux XVIIe- XVIIIe siècles : Jacques-Louis de Beringhen (1651-1723), Premier écuyer du roi, est titré comte d'Armainvilliers en juin 1704).

Au XVIIe siècle, il appartient donc aux Beringhen, puis au comte d'Eu et au duc de Penthièvre, mais il est en partie détruit pendant la Révolution.

Il est acquis en 1808 par l'agent de change Claude Bailliot.

Les La Rochefoucauld-Doudeauville le restaurent sous le second Empire, y font remonter les boiseries du château de Bercy et aménager le parc. Sosthènes de La Rochefoucauld, 2e duc de Doudeauville, ancien aide-de-camp du roi Charles X, y décède en 1864.

Acquis en 1877 par Edmond de Rothschild, le château est complètement rasé et remplacé par une résidence moderne, complétée par de luxueux pavillons de gardes, des fermes en style normand, de vastes communs, une grande orangerie, sur le modèle anglais.

Pendant la Première Guerre mondiale, une infirmerie y est aménagée et, pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé par des troupes allemandes.

Dans les années 1980, il a été acquis par Hassan II roi du Maroc, qui a réalisé des travaux très important de réhabilitation et a été revendu par son fils devenu le roi du Maroc Mohammed VI en 2008. Wikipédia]. Ce diriger vers la gare et prendre la passerelle traversant les voies sur la droite.

 

Départ gare d’Armainvillers.

Sortons du petit passage, nous débouchons dans la rue sans issu d’Alsace que nous prenons à droite, longeons les immeubles et le petit parking de la résidence. Nous devrions être sur un balisage jaune, mais il semble effacé. A l’extrémité de la rue nous entrons en foret par un petit chemin sur la gauche nous faisons esse gauche droite et prenons l’allée en stabilisé. Les poteaux d’informations sont pourris. Sur le chemin nous avons de beaux arbres, le chemin fait fourche, nous prenons à droite. Le chemin monte un peu, nous arrivons au carrefour ou se trouvait le pont permettant de rejoindre le 

parking de la Barrière Noire, prenons à gauche, et longeons un étang, (vous pouvez prendre le petit sentier longeant l’eau au plus prêt, il ressort sur le chemin en extrémité de ce dernier. A la patte d’oie nous prenons à droite, derrière le grillage nous découvrons le golf du parc Péreire [Émile Pereire (Jacob Rodrigue Émile) (3 décembre 1800 à Bordeaux - 5 janvier 1875 à Paris) et Isaac Pereire (Isaac Rodrigue) (25 novembre 1806 à Bordeaux - 12 juillet 1880 au château d'Armainvilliers) sont des entrepreneurs et hommes d'affaires français. Ils ont eu un rôle capital dans le « décollage industriel » de la France du Second Empire. Ils créérent et développèrent de nombreuses entreprises dans, notamment, la banque, l'immobilier, les chemins de fer, les transports maritimes et les assurances. Leur nom peut s'écrire soit Pereire, soit Péreire (suite sur wikipédia)]. Nous arrivons à une fourche, prenons à droite et à la rencontre sur notre gauche du chemin herbeux d’Espinosa, (parcelle 79), nous quittons la belle allée pour le prendre. Sur la carte nous sommes sur un PR sur le terrain il a été supprimé ou il manque cruellement d’entretien. Nous entamons un demi-cercle. Je n’ai pas trouvé le sentier traversant la parcelle. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite. Nous arrivons au carrefour de la Marsaudière sur la D 471. Traversons la Départementale, (attention ; route très circulante.) Longer la route sur la droite, environ cinquante mètres et prenons le premier chemin sur la gauche. C’est un beau chemin en stabilisé et à moitié bitumée. Longeons le domaine d’Armainvilliers, puis une prairie en creux ou un réservoir récupérant les eaux de ruissellement (à sec lors de mon passage). Poursuivons tout droit dans une bande de foret paysagée. Nous entrons dans Ozoir-La-Ferrière, par le chemin du plume vert, [Bien que l’on ne possède que peu de documents sur l’histoire de la ville avant le IXe siècle, des fouilles archéologiques ont permis d’établir que l’immense forêt sur laquelle est située la commune abritait autrefois des forges de fer : les "Ferrières". À une époque où on n’employait d’autre combustible que le bois, il n’est pas étonnant que le travail du fer ait pris une grande importance au sein de cette forêt proche de Paris. On note ainsi dans une monographie consacrée à la commune écrite en 1889 par l’instituteur E. Millard : "On retrouve dans le voisinage de l’Église, en creusant le sol, une grande quantité de scories de fer".

En 856, un acte d’échange précise que le lieu d’Ozoir est simplement appelé "Oratoire". Imbert, évêque de Paris, parlait dans une charte de l’an 1050, d’une église située "In Silva Ferrariensi". En ce temps, les bûcherons se réunissaient là pour l’office du dimanche. Cette chapelle, érigée sous le vocable de St Pierre, marqua l’emplacement d’une localité qui prit le nom de Horeor. La déformation de l’appellation d’origine nous amène à l’orthographe actuelle d’Ozoir-la-Ferrière. De Horeor en 1166 on passe à Oroir la Ferrière en 1312. La prononciation brioise tendant à effacer le R au profit du Z.

Au XIIIe, l’archevêque de Paris qui avait réuni à son archevêché l’abbaye de Saint-Maur, fit l’abandon de la forêt à ses hôtes en l’an 1238 à condition que ceux-ci la défrichent et qu’ils la mettent en culture. Plus tard, on trouve la trace d’une contestation entre le curé du lieu "Jean" et l’abbaye qui se conclura en 1241 par un accord ratifié par l’évêque de Paris, Guillaume d’Auvergne.

Au XIVe siècle, plusieurs propriétaires se partageaient les lieux, et le Roi lui-même en possédait 24 arpents. A son tour, Charles V les donna à l’abbaye de Saint-Maur en 1362 pour d’autres biens.

Évolutions importantes

Au XVIIe, Hardoin de Beaumont de Péréfixe, membre de l’Académie, nommé archevêque de Paris en 1662, après avoir été précepteur de Louis XIV et évêque de Rodez, voulu procurer quelques avantages au village d’Ozoir-la-Ferrière dont il était devenu le seigneur en 1668. Il obtint des lettres du Roi qui accordaient à Ozoir la possibilité de tenir deux foires par an et un marché par semaine.

En 1759, la forêt devint la propriété du Roi Louis XV qui fit ouvrir les routes et allées de chasse qui existent encore. La principale était la route Royale reliant Versailles à la forêt de Crécy.

Ozoir et la Révolution

En 1789, les biens de l’archevêché situés sur le territoire de la commune étaient constitués de 730 arpents de bois. Ils furent mis à la disposition de l’État et vendus comme biens nationaux en vertu des décrets de l’Assemblée Constituante du 13 mai et 16 juillet 1790. Les officiers municipaux élus à cette époque prirent alors le nom de Maire, de Procureur de la commune et de Secrétaire greffier. Ils eurent à régler beaucoup de différents.

 

Le 22 janvier 1790, à la demande des administrateurs du département, la commune constitue une liste des mendiants résidant alentours afin de réduire leur nombre et d’améliorer leur sort en créant des activités de cantonniers et de filage pour les jeunes filles pauvres.

Au mois de juillet 1792, lorsque l’Assemblée proclame la Patrie en Danger, Ozoir fournit son contingent de volontaires "brûlant du désir de venger la Patrie contre les tyrans qui veulent l’opprimer". À la même période la ville ouvre des ateliers de fabrication de salpêtre destinés à la confection de poudre à fusil et de piques.

Le XIXe siècle

L’Empire se conclura en 1814 et 1815, par l’occupation d’Ozoir-la-Ferrière par les Russes auxquels on attribue de nombreuses exactions. Le cinquième du montant des contributions personnelles de l’arrondissement de Melun fut même réquisitionné pour fournir à l’artillerie russe des fers à cheval, des clous et de la graisse.

En 1832 une épidémie de choléra ravage la population de juin à août. Sur environ 700 habitants, 49 décès sont déplorés. En 1836 l’agrandissement du lavoir public devenu insuffisant occasionne l’acquisition d’un terrain par la commune pour la somme de 500 F. Le 8 juin 1839, c’est un orage de grêle épouvantable qui occasionnera de nombreux dégâts sur les récoltes dont la destruction des jardins et arbres fruitiers, au point d’entraîner la ruine de quelques fermiers qui ont dû abandonner leur ferme. En 1846 la commune se dote d’une Mairie-École, l’actuelle Maison Commune située à côté de l’Église, les locaux de la Mairie étant à l’étage et la salle de classe au rez-de-chaussée. En 1867, le clocher de l’église est équipé d’une horloge qui coûtera 1500 F à la commune.

1870/1871 fut une période noire pour Ozoir qui subit l’occupation du deuxième régiment d’artillerie prussienne, les troupes allemandes Wurtembergeoises. La ville n’a pas subit de combats. Pourtant ce ne sont pas moins de 4000 hommes qui investirent la localité le jour de la bataille de Champigny.

Les temps modernes

Les combats de 1914-18 n’ayant pas atteint la région d’Ozoir-la-Ferrière, la forêt n’eut pas à souffrir de la Première Guerre Mondiale.

L’occupation allemande au cours de la Seconde Guerre Mondiale, occasionna la disparition des plus beaux arbres de la région et notamment les chênes qui servirent à la construction de divers ouvrages. Après ces années de guerre, les châtelains récupérèrent leurs biens en fort mauvais état. A tel point que le château de la Chauvennerie dut même être rasé. Le magnifique château de "La Chauvennerie" se trouvait sur la route menant d’Ozoir à Chevry-Cossigny. Il était entouré d’environ 120 ha de terre et de forêts permettant de se livrer à la chasse. Il fut détruit par son propriétaire en 1946, les pierres ayant probablement servi à la reconstruction de l’église de Tournan. Une partie des communs existe encore aujourd’hui.

Évolution de la ville

De 1870 à 1900, seule la partie centrale du village connut une évolution d’une trentaine de maisons entre la Ferme des Agneaux et celle de la Doutre. Une deuxième Mairie-École (garçons & filles) voit le jour en 1899, l’actuelle école Arluison. Entre 1900 et 1926, 27 maisons seront encore construites autour du centre mais le réel développement de la localité commence en 1927 avec les lotissements de l’Archevêché et de la Doutre (2600 lots). Suit une nouvelle urbanisation en 1956 avec des logements HLM et 598 pavillons en 1968 dans le quartier de la Brèche aux loups. Le quartier Notre-Dame se dote aussi de 610 pavillons en 1972 et depuis la ville n’a cessé de s’agrandir jusqu’à atteindre ses limites de constructibilité aujourd’hui. http://www.mairie-ozoir-la-ferriere.fr/Ozoir-toute-une-histoire ] Nous débouchons sur l’avenue du Général De Gaulle que nous prenons à gauche. Passons l’espace vert et la Mairie, au rond point nous poursuivons tout droit et arrivons sur la petite place de l’église ["En 856, un acte d’échange précise que le lieu d’Ozoir est simplement appelé "Oratoire". Imbert, évêque de Paris, parlait dans une charte de l’an 1050, d’une église située "In Silva Ferrariensi". En ce temps, les bûcherons se réunissaient là pour l’office du dimanche. Cette chapelle, érigée sous le vocable de Saint-Pierre, marqua l’emplacement d’une localité qui prit le nom de Horeor. La déformation de l’appellation d’origine nous amène à l’orthographe actuelle d’Ozoir-la-Ferrière. De Horeor en 1166 on passe à Oroir la Ferrière en 1312. Façade percée d'un portail en plein cintre à tympan trilobé et voussures, surmonté d'une baie circulaire. Pignon couronné d'une croix en pierre.

Tour-clocher latérale, à la place de la première travée du bas-côté sud, cantonnée par quatre contreforts, percée à l'ouest d'un portail en plein cintre, de deux oculi et de baies en plein cintre pourvues d'abat-sons, surmontée d'un toit en pavillon. 

Murs de la nef épaulés par des contreforts et percés par des baies en plein cintre.
Chevet plat percé de baies en plein cintre couvert d'une toiture en double-pente.

Pourtour des baies et angles des contreforts en pierre. Le reste en enduit. " (@ville d'Ozoir-la-Ferrière), https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77350-Ozoir-la-Ferriere/169031-EgliseSaint-Pierre]. Poursuivons la rue en traversant le parking, jusqu’au petit parc, franchissons la grille, entrons dans le parc jusqu’au ru de la ménagerie [principal affluent du Réveillon. Sa longueur est de 10,99 km. Le "Ru" prend sa source à Favières, puis fixe la limite communale entre Lésigny et Férolles-Attilly avant de se jeter dans le Réveillon au niveau de la commune de Férolles-attilly. Sa confluence s'effectue au niveau de l'ancienne abbaye d'Hyvernau, actuel hôtel du golf du Réveillon.

Ce cours d'eau fut souvent confronté à des problèmes de pollution, principalement en raison de rejets effectués dans la zone industrielle d'Ozoir qui se trouve à proximité de la source. Le problème de rejets des zones pavillonaires fut réglé dans les années 1970 avec l'installation de petites stations d'épuration. Deux étangs furent aménagés sur le cours du Ru de la Ménagerie à Lésigny dans les années 1980. Ils permettent la pratique de la pêche. Wikipédia] Remontons son cours sur la droite, nous sommes sur le GR 14. Nous sortons du parc, traversons la rue du Lavoir, prenons la petite allée traversant l’espace vert, elle fait fourche prenons à gauche, nous débouchons rue de Braque, prenons à gauche, Curieux, je prends la route de Roissy sur quelques mètres, jusqu’à la maison en ruine avec sa tour. Revenons sur nos pas et prenons la rue de Lesigny (GR). Au rond point avec un kiosque nous poursuivons légèrement à droite la Rue de Lésigny (seconde rue). Au second rond point, nous prenons la seconde rue (Mellerio), la rue fait tout de suite fourche prenons à gauche, (rue en sens interdit en 2020) nous sommes toujours sur le GR, au troisième rond point nous prenons à droite (première rue) l’avenue de la clairière. Au rond point composé de plots en plastique blanc (plus nous approchons de la gare et moins les ronds points sont jolies) nous prenons la première rue (avenue Anatole France) sur la droite. Au carrefour sans rond point, nous prenons à droite la rue du Rond Buisson, passons le ru de la Ménagerie sans le voir et aux immeubles prendre tout de suite la rue de gauche se dirigeant vers le parking de la gare. Se diriger vers le fond de celui-ci prendre sur la droite la dernière allée et sur la gauche dans le virage du parking vous trouverez une allée cimentée entre des grillages donnant accès au pont passant sous la ligne SNCF (Attention c’est le seul passage).

Départ Ozoir : Sortir de la gare. Sur le parvis prendre à droite, le petit passage menant au parking, entre une pharmacie et un commerce, rester sur la droite longeant les voies. On trouvera le passage dans le virage du parking sur la droite.

Nous sommes toujours sur le GR et un balisage vert. Tout de suite après le pont nous quittons le GR et le vert, pour prendre tout de suite à gauche, le pont passant au dessus du ru de la Ménagerie, nous faisons un esse. Le chemin fait tout de suite fourche, prenons à droite (ne pas suivre la ligne SNCF), balisage jaune. Nous sommes dans la parcelle 51. Nous débouchons sur l’allée de la mare du cygne que nous prenons à droite (parcelles 38-37-50). Au carrefour suivant, nous retrouvons le GR 14 et le balisage vert que nous prenons à gauche (parcelles 37-36) route en stabilisée des Charbonniers (parcelles 36-37-49-50). Au carrefour du sanglier (parcelles18-19-36-37) nous quittons le GR et prenons sur la gauche la Route Royale (route en stabilisée, bordée de fossés). Nous arrivons au carrefour de la Mare à la Chaise (parcelles38-20-23) nous prenons la deuxième route sur la droite formant un angle droit avec la notre, le long des parcelles 22-23. Nous serions sur une vielle trace de GR barrée. Nous arrivons au carrefour de Diane, traversons la D 35, prenons sur une dizaine de mètres la route bitumée menant à une usine et prenons le premier chemin sur la droite (parcelle 226-224) passons la barrière. Coupons la D 21 prenons en face la route du château de Croissy (parcelles 248-223) chemin en stabilisé calcaire, ne pas s’endormir en voyant au loin, le grand carrefour en étoile avec son poteau en fonte, nous prenons le petit chemin de la route des Jondelles sur la gauche entre les Parcelles 247-248. Au vue de la zone pavillonnaire, nous prenons à droite, entre les parcelles 260 & 247 un petit chemin traversant les deux parcelles. Nous débouchons sur la route des Princes et faisons un esse gauche-droite pour prendre un sentier entre les parcelles 259-246, nous coupons le Morbras (un fosé pour moi) et une route faisons un petit esse droite-gauche et poursuivons en parcelles 258 – 245, un petit sentier, voir plutôt une laie forestière empruntée par les animaux. Nous débouchons route de Roissy que nous prenons à gauche. Dans la parcelle 244 nous trouvons une clairière et un chemin permettant d’accéder grâce à un petit pont à la Mare du Cormier [Le Cormier ou Sorbier domestique (Sorbus domestica L.) est un arbre de la famille des Rosacées. Il donne des fruits appelés « cormes » ressemblant à des petites poires, d'où leur surnom de poirillons. Il fait partie des espèces testées en agrosylviculture en France, dans des champs ou vignes. Au Canada, l'espèce appelée cormier est le sorbier d'Amérique, espèce voisine. Il est souvent confondu avec le sorbier des oiseleurs. Wikipédia] Dommage dans le centre de cette îlot il y avait une belle table en bois. Pourrie elle est renversée au sol. Elle est remplacée par une table en plastique amenée certainement par un promeneur du ‘’dimanche’’. Il est dommage que dans cette foret péri urbaine ayant survécue au rouleau compresseur des zones pavillonnaires, resté là, uniquement pour l’accueil du public, il n’y est pas plus d’aménagements. Simplement le nom des routes se trouvant en dehors des grands carrefours en étoile. Poumon vert de l’Est parisien tourné et aménagé pour que les résidents tassés dans leur pavillons à touches -touches, puissent décompresser le dimanche après midi dans un peu de verdure. (J’ai habité durant 25 ans dans une zone pavillonnaire de ce type. J’y étais très bien en semaine, peu de bruit, bien isolé, ce qui permettait de bien dormir et d’être en forme le lendemain pour le boulot. Le petit jardin était entretenu en début de soirée (je partais travailler, de bonne heure, et rentrait pas trop tard. Mais les week-ends l’été surtout, s’était le calvaire… Manger dehors était devenu difficile sans jouer les voyeurs. Le grillage ne comportait pas de haie, ou d’écouter les conversations des voisins qui parlaient normalement.  Ma façade ne faisant que dix ou douze mètres de large. Il était important pour moi de me rendre à Fontainebleau ou lorsque c’était impossible en foret de Sénart. Je ne me plein pas, je faisais partie des privilégiés. On n’habitait pas aux 25 ème étages d’une barre d’immeuble, face à une barre d’immeuble. Lorsque nous avions achetés l’agence nous avait dit une petite zone pavillonnaire proche du vieux village, avec commerces, des écoles, une résidence pour cadres et fonctionnaires… sous entendu que des gens bien… aujourd’hui je pense que l’on ne pourrait plus dire cela. C’est vrai que nous avons été tranquilles. Autour il y avait encore des champs qui au furent et à mesure que les années passèrent se sont rempli de maisons, ou de zones industrielles. Ce poumon vert qu’était la foret de Sénart, proche de cette ville nouvelle était indispensable, pour mon équilibre. Je sentais bien que derrière, je ne retrouvais pas ce que je croyais être une foret ‘’sauvage’’ la foret de Fontainebleau. Toutes ses forets périurbaine mon toujours fait pensé au bois de Vincennes et au Bois de Boulogne construit et aménagés par le baron Hausmann, lors de la rénovation de Paris. Je sais bien que la foret de Fontainebleau fut construite par les Roi, pour des Rois. A Fontainebleau ce n’ai pas la beauté des arbres, grands, beaux, majestueux que je recherche, Fontainebleau c’est bien plus. C’est une variété de paysage, une grande variété d’arbres, certain très beau, d’autres très moches pour un forestier, mais très beau par sa bizarrerie. Fourchu, des branches tortueuses, des racines entourant des rochers, ou sur des rochers, ayant puisées toute leur forces à rechercher la nourriture, et les rares gouttes d’eau dans les profondeurs de ses soixante mètres de sable. Sa souffrance est une beauté. Ses plaines, naturelles, ou artificielles (ancien champs de tir) parfois arborées, ses chaos de rochers, les petits sentiers me faisaient penser à une foret sauvage. Ce que l’on ne retrouve pas dans d’autres forets, ou tous les arbres sont magnifiquement haut et beaux, ou le terrain est plat, ou je m’ennuie… Poursuivons le petit sentier sur la droite en ressortant du pont, nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. Nous sommes sur le GR 14 accès. Recoupons la route de Croissy, poursuivons dans la parcelle 243, coupons un chemin, et dans la parcelle 218 nous trouvons un carrefour, prenons à droite, un petit sentier bordé de fossés. Longeons une mare, coupons un fossé certainement un ancien ru par un pont de bois complètement délabré. Il vaut mieux passer dans le fossé qui est sec. Recoupons la route de Roissy faisons un esse droite-gauche et poursuivons le GR dans la parcelle 219, regarder le tronc sur la gauche il est sculpté. Totem tombé ? Ou sculpture volontairement couchée ? On la voit mal. Notre chemin fait fourche, nous prenons à gauche, et sommes toujours sur le GR 14 accès. Coupons une route sableuse et poursuivons ce petit sentier très boueux bordé de fossés. Par un petit pont passons un ru, débouchons sur un chemin en stabilisé formant Té que nous prenons à gauche, le GR et un ancien balisage jaune effacé par de la peinture blanche. Nous arrivons au carrefour de la Ferrandière avec un beau poteau en fonte malheureusement en mauvais état, plaques indicatrices cassées, et comme les autres un peut rouillé. En bois je suis sur qu’il serait pourri. Attention à ce grand carrefour, nous avons également une intersection entre le GR 14 accès à une gare et le GR 14. Ne pas poursuivre les traces blanche et rouge en face, prenons le GR 14 et balisage jaune sur la droite, ‘’chemin de Braque’’, c’est une belle route en stabilisée. Nous longeons un hameau, coupons la D 21 (rue de la gare) poursuivons en face, (parcelles 202-179) jusqu’au carrefour des Plants avec un poteau en fonte. A ce carrefour, nous quittons le GR 14 pour prendre la route des princes en stabilisé calcaire sur la gauche (parcelles 179-158), nous sommes sur un balisage jaune. Nous longeons les quelques maisons en lisière de la foret coupons une rue sans issu poursuivons tout droit nous arrivons à une seconde rue (Grand Rue) mais se poursuivant après une butte de terre en piste cyclable. Une Rue Grande sans issu ? Je suppose que cette route ne se terminait pas en cul de sac. A une époque c’était certainement la D 471 reliant Melun à Torcy et traversant Pontcarré. Passons sous la D 471, nous sommes toujours sur un PR dont le balisage est parcimonieux. Au carrefour de la Parenterie (parcelles 136-141-142-147-148) nous poursuivons tout droit vers les (parcelles 142-136). Nous arrivons au carrefour Chenot avec un poteau en fonte et des informations sur la foret, [Mettre le photos ](parcelles 134-3-119-118-132-133), nous prenons à droite la route de la barrière Noire. Nous y retrouvons une branche du GR 14 accès que nous suivons (parcelles 134-3). Nous coupons la route neuve. Attention le GR 14 accès ce divise en deux, la branche de gauche se dirige vers la gare de Tournant. Poursuivons tout droit vers la gare de Gretz. C’est également un balisage vert. Peu de temps après, le GR prend sur la droite la route Mamelard. (Je n’ai pas suivi cet itinéraire mon idée était d’approcher l’étang d’Armainvilliers, j’espérais pouvoir en faire le tour (sans vraiment y croire). Je suis arrivée devant des fossés et un grillage très arboré ne me permettant pas en cette fin d’automne de voir l’étang, puis j’ai longé un haut mur, pour butter dessus lors d’un changement de direction.  J’étais au milieu de la parcelle sans aucun chemin). Suivons le GR ou poursuivons tout droit. Longue route rectiligne ou au loin nous apercevons briller sous le soleil, les pares brises de voitures. Cet éclat ne grossit pas vite. Si vous avez suivi l’allée tout droit, et toute droite, vous arriverez directement au carrefour des étangs, ou, nous retrouvons le GR que nous prenons à gauche après un petit pont au dessus d’une buse pour l’écoulement de l’eau nous prenons à droite la route D’Amboise. Nous butons sur le mur du château d’Armainvilliers, faisons un virage d’équerre sur la droite et nous arrivons à notre parking.

Pour retrouver la gare d’Armainvilliers il faut suivre la départementale sur la gauche. Idem pour retrouver la Gare d’Ozoir.

Pour Ozoir : A la gare de Gretz soit prendre le train, mais ce ne serait pas très randonneur, ou poursuivre l’itinéraire en suivant l’itinéraire en début de page. 

 




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