mercredi 2 février 2022

N-S & M - Prom 34 - Autour de Coulommiers - Mauperthuis

 Après ma traversée ‘’rapide’’ du plateau de la Brie entre Melun et La Ferté sous Jouarre en 6 étapes, les randos en extrême limite du département, des randos autour de La Ferté Sous Jouarre, de la Ferté Gaucher, de Meaux, je reviens lentement vers Melun. Ayant prévu les tracés à l’avance les randos ne sont pas toujours dans l’ordre de réalisation sur le site.

Pour celle-ci je suis parti du petit village de Mauperthuis, Circuit en boucle. Trajet possible en bus au départ de la gare de Melun Bus Express N° 01

 

Carte IGN              Trace GPS & Topo sans Commentaires           Trace Randogps 

Le code mobile de cette randonnée est b345853

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km    Temps    Arrêt     V/d       V/g      Dénivelé

30       5h00       0h30     6            5,5          384+

Novembre 2019

 Je vous laisse découvrir le village par les commentaires de l’étape 5 de la traversée du plateau de la Brie que vous trouverez dans l’article https://randosacaudos.blogspot.com/2019/05/de-la-seine-la-marne-etape-5-gr-1-14-11.html de La Seine à la Marne.

 L’arrêt de bus se trouve rue Montesquiou (D 402) que je redescends, coupe la D 15. Sur la gauche on aperçoit l’église et à l’angle du carrefour la fontaine. Poursuivons la descente jusqu’à la rue de la Tour que nous prenons à gauche, puis la rue de l’étang sur la droite, nous débouchons rue des Mousquetaires que nous prenons à gauche. Nous arrivons à une fourche, laissons sur la droite la rue (chemin de la garenne) et poursuivons tout droit. Nous coupons la rue de la Tour et poursuivons par l’impasse du Clos de la Garenne. Nous sortons du village et débouchons après avoir traversé un champ dans l’allée des pommiers formant Té avec le notre, nous prenons à gauche. Coupons la D 15 poursuivons en face, au premier carrefour nous prenons le chemin de droite. Débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche. Au loin nous apercevons des silos. Cela sent un peu le gaz. Nous longeons une petite usine de production de gaz renouvelable grâce à des productions agricoles. [Article du journal du Monde. Le gaz renouvelable, nouvelle production agricole. [Et si l’agriculture française devenait le premier fournisseur d’énergie renouvelable ? Car les enjeux liés à l’énergie, aux Gaz à effet de serre (GES) et au changement climatique interpellent de plus en plus les agriculteurs. Toutefois, les agriculteurs qui possèdent une quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources financières pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que 80% du système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement des agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. En 2015, le secteur agricole contribuait directement et indirectement à la production de 20% des énergies renouvelables (EnR) nationales, essentiellement liées à la production de bio gaz et au développement de l’éolien sur des terres agricoles. Selon l’ADEME, à l’horizon 2030, la contribution des exploitations agricoles dans la production d’énergie renouvelable sera multipliée par 2. C’est pourquoi la majorité des développeurs de projets qui souhaitent s’investir dans la création d’unité de production de bio gaz se tournent vers le monde agricole. Détenteur de 80 % du potentiel méthanogène français avec ses déchets, le secteur agricole est également responsable de la production de 20% des gaz à effet de serre. En produisant de l’énergie, les agriculteurs s’inscrivent dans un modèle d’économie circulaire, en réutilisant le méthane produit pour fabriquer du gaz ils donnent ainsi une utilité à ces déchets et compensent en partie les conséquences environnementales. La méthanisation a le double avantage de séquestrer le méthane des déjections d’élevage (qui s’échappe dans l’atmosphère) et de le transformer sous forme d’énergie (électricité, chaleur, gaz). Elle permet également de valoriser des matières organiques fermentescibles en énergies et fertilisants. Des projets territorialisés peuvent être construits en associant collectivités et industries pour le traitement de leurs déchets. Toutefois, les agriculteurs qui possèdent une quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources financières pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que 80% du système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement des agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. Le co-fondateur d’ilek, fournisseur d’énergie verte et française, contact avec plusieurs agriculteurs pour proposer de l’électricité et du gaz français à des particuliers. Il revient notamment sur l’expérience d’un producteur laitier et de gaz bio de Milizac en Bretagne. Le site de production de gaz bio de Milizac, situé à quelques kilomètres de Brest, a été installé en juin 2018. Ce site peut produire jusqu’à 8,94 GWh par an et permet d’alimenter 744 foyers. La famille Laurent, composée d’éleveurs et producteurs de lait, est la première à produire du gaz bio, en Bretagne, injecté sur le réseau national de gaz pour être vendu à des particuliers sur le site du fournisseur ilek. Lancé en 2016, ilek est le premier fournisseur d’énergies 100 % vert, gaz et électricité. Il entend révolutionner le rapport entre les populations et l’énergie en étant acteur de la transition écologique. La plateforme permet aux producteurs d’énergies renouvelables de vendre directement leur électricité et leur gaz bio aux particuliers et aux TPE/PME. Selon le classement Greenpeace 2018, ilek fait partie des meilleurs fournisseurs d’électricité verte de France. https://up-magazine.info/index.php/securite-alimentaire-2/securite-alimentaire/8441-la-mutation-du-secteur-agricole-par-la-production-d-energie/  

Chemin ravagé par les énormes tracteurs
 Dans l’Oise, des cultivateurs alimentent le réseau de gaz naturel avec du biométhane pour accroître leurs revenus. Une filière naissante en France. L’ article traite principalement d’une usine proche de Senlis. Je suppose qu’à Mauperthuis  c’est le même principe (la pancarte indique que ‘’Gaz de France’’ est impliqué dans le système. une nouvelle filière énergétique, industrielle et agricole : celle de la production de biogaz destiné non pas à être brûlé pour générer de la chaleur ou de l’électricité (ou les deux en cogénération) mais à être injecté dans le réseau de gaz naturel. La recette ? Une unité de méthanisation, l’une des plus grosses de l’Hexagone dédiées à l’injection de gaz. Elle est alimentée, pour 20 %, par des « cultures intermédiaires à vocation énergétique » : du maïs d’été ou du seigle d’hiver cultivés entre deux récoltes de blé et de betteraves, ou de colza et de tournesol. Le reste provient du secteur agroalimentaire (pulpe de betteraves, drêches de blé, déchets d’oignons), à l’exclusion des effluents d’élevage (fumier et lisier), afin d’éviter les nuisances olfactives. Cette matière organique, après être passée dans un malaxeur, macère environ cinquante jours, à 40 °C, dans un digesteur – un « estomac » géant de 6 000 m3 –, où elle est dégradée par des bactéries. Il en résulte du biogaz, composé, ici, à 53 % de méthane (CH4) et à 47 % de gaz carbonique (CO2). Après filtration par un système de membranes, le CO2 est relâché dans l’atmosphère, tandis que le CH4 rejoint, à l’entrée du site, le réseaude distribution de gaz de GRDFhttps://www.lemonde.fr ›

Énergies ; Deux choses me choquent dans ce procédé. C’est que ce ne sont pas que les déchets agricoles que l’on transforme en gaz. On cultiver des produits tels que le maïs gourmend en eau, ou le seigle d’hiver, un engrais vert. J’ai tout simplement un doute sur le futur… Pourquoi ne pas produire que des produits transformables en gaz, qui rapporte de l’argent, plutôt que de produire des céréales pour la consommation qui ont bien du mal à faire vivre l’agriculteur (sauf peut être dans la Beauce.) Après tout, on achètera nos besoins sur le marché européen, et cela mettra quelques camions de plus sur les routes… Le rejet du CO2 dans l’atmosphère !!! Et la couche d’ozone ? Quand je pense que l’on veut empêcher les vaches de péter parce que cela déchire la couche d’ozone, on marche sur la tête. Dans les années 90 on nous a assommés de prédictions catastrophiques avec le trou de la couche d’ozone. On allait tous griller sur place puisque c’est une protection naturelle contre les rayons du soleil. A l’époque, les glaces du pôle nord fondaient à vu d’œil à cause des rayons solaires plus nombreux venant frapper en ligne directe les surfaces blanches. On ne parlait pas du réchauffement climatique dut à l’industrialisation… c’était en partie dut aux trop nombreuses voitures à essence.  Ce sont dans ses années que l’on nous a conseillé d’acheter des voitures diesel rejetant moins ou pas de CO2 c’était écolo… Il fallait absolument que la couche d’ozone se régénère. Aujourd’hui fini la couche d’ozone, on en parle plus. Ce sont les particules fines qui ont l’honneur des médiats. Alors les prévisions et statistiques me laisse un peut de marbre. Je ne pense pas être un Climato sceptique, n’y un anti écolo. J’ai toujours privilégié le vélo, la marche et les transports 

Verger de Noisetiers

en communs, pour me rendre au travail, ou me déplacer. Aujourd’hui avec les BOBO (Bourgeois Bohème) peuplent nos grandes villes, la nature et  « l’écologie » est devenu un lobi. On veut vivre dans une nature et une ville propre mais avec les facilités modernes. Surtout ne pas se séparer de son portable, des réseaux sociaux, des mails qui monopolisent des immeubles entiers pour le stockage des données, des tonnes d’électricité pour stocker les données. Des voitures électriques, peut être bien plus polluante dans le futur qu’une essence ou un diesel. Destruction de zones naturelles pour les terres rares, le chrome, le nickel, Transport de ses piles par bateaux extrêmement polluent. La voiture est dépendent du pétrole et on en a pas mais avec les piles on sera dépendante de la chine n’ayant pas non plus les matières premières. Que va-t-on faire des piles usagées que l’on ne sait pas retraiter ? UNE BOMBE à RETARDEMENT. Pas grave c’est un problème pour nos enfants et petits enfants. Paris avait essayé avec ses petites voitures électriques en location, je trouvais cela bien. On utilisait sa voiture thermique jusqu'à un parking et l’on faisait le reste en ville en voiture électrique. Ca n’a pas marché on est trop personnel, il faut que l’on montre notre belle voiture aux collègues, pour les rendre jaloux. Dans les années 60 on avait construit de grands parkings Porte de Bagnolet à la sortie de l’autoroute A3 et l’on avait prolongé la ligne 3 du métro jusqu'à ces derniers afin que les banlieusards (Marne la Vallée n’était que des projets, mais Melun Sénart débutait) déposent leurs voitures et prennent le métro. Ca n’a pas marché.  Trop égoïste. Une petite dernière sur les voitures électriques (que j’affectionne sur de petit parcours) à chaque grand départ en vacances on nous rabat les oreilles avec la façon de ce rendre sur son lieu de vacances. On nous présente toujours une famille avec sa voiture électrique qui devient obsolète ce jour là, pas assez d’autonomie, coffre trop petit alors, la famille loue une voiture thermique. Comme ce sont de bon BOBO, ils partent à deux voitures, la femme, les enfants, les bagages dans la bonne vieille voiture polluante, cela ne gène personne. Lui dans la voiture électrique avec sont propre itinéraire qu’il a recherché sur internet pour trouver des bornes de recharge et il met trois jours à rejoindre sont lieu de vacances (Oui j’exagère) pour circuler sur place en voiture électrique. Chercher l’erreur… Sur le lieu de vacances il y aurait des voitures à disposition ce ne serait pas mieux ?  Dans l’Isère on interdit les feux de cheminées… le bois c’est de l’énergie renouvelable. Pour diminuer les particules fines, mais personne ne stop le déferlement des camions qui ne font que du transit, parce que, en France ils ne sont pas taxés sur la pollution et les particules fines stagnent dans la vallée. Reprenons notre itinéraire. Poursuivons notre chemin tout droit, nous sommes en parallèle à la D 402. Nous apercevons la ferme des Chambrisset, faisons un petit esse gauche-droite et poursuivons un chemin fort abîmé par les tracteurs. Nous entamons un virage vers le hameau de Limosin. De chemin nous passons à rue. Traversons l’extrémité du village laissons une place, ou placette, avec un puits, devant certainement une ancienne grange en pierre transformée en maison d’habitation. Nous arrivons à un carrefour avec une rue traversant le village dans sa longueur, poursuivons par le chemin dans les champs. Sur la carte nous devons trouver au premier chemin sur la droite un balisage jaune, malheureusement en Seine et Marne nous n’avons pas de petits poteaux, avec le balisage et les informations nécessaires comme on le trouve sur les chemins de l’Essonne. Traversons les quelques maisons de Rouville nous débouchons sur une route et poursuivons tout droit vers le hameau de Rouville à la sortie du village nous trouvons sur la gauche une plantation de noisetiers. Nous arrivons à un carrefour avec un arrêt de bus 02c  Coulommiers (Un bus le matin-Un bus le soir) Nous trouvons la direction de Beautheuil sur la droite, que nous ne prenons pas. Nous poursuivons tout droit et traversons le hameau du Puits, la rue tourne sur la gauche poursuivons le bitume tout droit vers la dernière ferme et le château d’eau. Sur la droite un ancien puits circulaire il a peut être donné le nom au hameau. De bitume nous repassons à chemin, sur notre gauche nous devons apercevoir Coulommiers. Après le château d’eau et la petite station d’épuration, nous débouchons sur un autre chemin formant Té que nous prenons à droite, coupons un fossé avec un peut d’eau c’est le ru des Nouelles, poursuivons notre chemin jusqu’au village de La Touche. Après la ferme nous débouchons sur la rue principale desservant le hameau, nous prenons le bitume sur la gauche. Coupons la D 209, poursuivons en face. Nous débouchons sur la route de Fontenelle que nous prenons à droite, traversons le hameau de Fontenelle, nous sommes sur la route du bouleau. Laissons une rue sur la droite et poursuivons tout enfin nous avons une marque jaune.Nous arrivonsdevant une grosse ferme ‘’Ferme d’En Bas’’ nous sommes à un carrefour avec un chemin et la route. Malheureusement je ne remarque pas le balisage tournant à droite. Ce n’est pas facile par ici, le chemin de droite longe un bassin et se dirige vers le portail en fer forgé de la ferme. Sur le coté de la maison le chemin se poursuit, mais l’on se demande si l’on à le droit de franchir le petit portillon métallique fort dur à pousser clôturant un espace herbeux. Il manque du balisage. Heureusement je rencontre la propriétaire qui me confirme que l’on peut franchir le portillon, mais qu’il ne faut pas oublier de le refermer, derrière il y a des ânes. En effet une fois franchi, deux ânes sortent de la grange et viennent me voir. Ne pas oublier de refermer le portillon après être sortie de l’enclot n'oubliez pas les carottes... Nous longeons le Bois du pavillon, il est clôturé et prenons le premier chemin sur la gauche. C’est très mal balisé et surtout pas aux normes habituelles, dirigeons nous vers le bois des Sablons, longeons la lisière et nous débouchons sur une route. Je quitte le balisage jaune. (En prenant sur la gauche, nous trouvons à une centaine de mètres, dans le bois, la source de Sainte Flodoberthe. Je ne m’y suis pas rendu.) On devrait y trouver un ; Autel avec croix (qui était l'emplacement de l'ancienne chapelle, près de la route qui mène à Fontenelle) situé près d'une fontaine, dont les fidèles lui attribuaient des vertus curatives, et où les reliques de Sainte Flodoberthe étaient menées en pèlerinage deux fois par an. Prenons à droite nous entrons dans Amillis. Comme j’ai traversé le village dans une précédente rando je ne me rends pas en centre ville. Nous entrons dans le village par la rue de la Vendée (lieu dit ou quartier d’Amillis) au carrefour avec le monument aux morts nous faisons un esse gauche droite en coupant la D 15 et en prenant la D 15e   en direction du centre ville et de la maison de retraite par la rue de la Chapelle. Nous approchons d’un arrêt de bus situé derrière une grosse porte en bois et d’un abri, sorte de couloir étroit. Nous prenons à droite la rue du moulin, nous retrouvons le balisage jaune. Coupons un ru. La rue se termine à la dernière maison. Le chemin fait fourche, poursuivons par le chemin en bordure de l’Aubetin [coule dans les départements de la Marne et de Seine-et-Marne. C'estun affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,15 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. L'altitude est de 167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m d'altitude au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure à Pommeuse. Wikipédia] Le chemin fait fourche, nous prenons à droite passons au dessus de la rivière par un pont en poteaux en ciment. Nous arrivons à Courcelles. Le chemin débouche dans un virage rue de Courcelles que nous prenons à droite, balisage jaune. Passons une ferme, puis nous coupons la D 209 et prenons en face un chemin dans les champs, longeons un bois, nous arrivons aux quelques maisons du hameau d’Autheil. Attention le chemin fait fourche et le balisage jaune se divise en deux, poursuivons tout droit, un balisage jaune également. Nous coupons la D 112 poursuivons en face, le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à droite. Nous longeons un bois, puis un champ. Sur la droite nousapercevons le château Maillard [ancienne demeure des chartreux du XVIII ème siècle, au milieu d’un parc de 3 ha. Le Château qui servi au tournage du film libres avec Lambert Wilson et Isablle Carré réalisation Gabriel Le Bomin. Sortie premier trimestre 2020. Le Parisien juillet 2019http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/beautheil-saints-lambert-wilson-et-isabelle-carre-en-tournage-23-07-2019-8122068.phpv] Nous arrivons à un carrefour. Sur le coté devant le bois un dépôt (parking champêtre) de matériel agricole et un poteau en bois un peu penché et effacé avec un énorme trou certainement fait par un chasseur peu intelligent. On devine la direction de la Pierre Fitte [Menhir dit la Pierre-Fitte ou Pignon de Sainte-Aubierge (cad. D 794) : classement par liste de 1889. Périodes Néolithique. On l’appelle également Pierre de Sainte Flodoberthe. cfpphr.free.fr › mega77 - https://www.wikiwand.com › Sites_mégalithiques_de_Seine-et-Marne] Poursuivons la bordure du bois sur environ 200m nous trouvons un chemin sur la gauche pénétrant dans le bois et une soixantaine de mètres plus loin nous trouvons la pierre (menhir). Une pancarte indiquait une légende inscrite sur la droite du menhir. Je n’ai rien pu lire. Revenons sur nos pas jusqu’au carrefour, prenons le chemin sur la gauche et descendons vers les bâtiments (stabules.) [J’ai rencontré un chasseur qui ma compté une histoire. A quelques centaine de mètres se trouve un étang avec des eaux noir. Le Grand Morin se trouve à une quinzaine de kilomètres et sur les bords de cette rivière se trouvais des moulins et des papeteries. Les papeteries rejetais leur eaux polluées dans la rivière, jusqu’au jour ou ce fut interdit. Alors ils construisirent une canalisation de quinze kilomètres jusqu'à ce terrain au milieu des champs et des bois. Il déversait leurs eaux polluées derrière cette digue. L’eau est noire et pollué par le cyanure et le mercure. Il y aurait des poissons immangeable, et des canards que les chasseurs tirent mais ne vont pas chercher, l’étang artificiel est également pollué au plomb. Il est entouré de grillage, on ne voit rien, je recompte l’histoire comme on me l’a compté. Cela n’a pas grand intérêt sauf que la papeterie à disparue mais pas sa pollution.] Nous coupons la D 112. Faisons un esse droite - gauche prenons la route sur notre gauche en direction de Beautheuil-Nivete-Charnoy balisage jaune. Nous quittons une cinquantaine de mètres plus loin le bitume pour prendre le chemin du Prés Valois sur la gauche balisage jaune.  Le Lavoir, la futur machine à laver de nos BOBO speudo écologique... Bien venue dans le monde d'hier, avec sont Agenouilloir, Baquet ou carosse. Sa Battoir ou Tapoir, Ne pas oublier son cuveau : un grand Baquet servant à faire tremper le linge dans un mélange de cendre et d'eau. M'oui pas très écolo la cendre le bois c'est des particules fines. On aperçoi l'étendoir permettant d'égoutter le linge. Les planches à crémaillères permettant d'abaiiser ou de remonter la planche en fonction du niveau de l'eau, la Vouillette récipient à long mange pour le coulage manuel de la léssive sur le linge et bien sur la brouette pour transporter le tout. Je ne suis pas sur que nos BOBO speudo écolo réutiliserons les lavoirs pour raisons d'économie d'énergie et d'écologie. Après quelques lavages à la main, dans l'eau froide, sous la pluie, dans le vent et le froid, ils reviendront vite fait à la machine à laver, ou ils paieront des lavendières pour faire le travail sans s'occuper des gersures aux mains et des fluxions de poitrine. Certe Je délire un peu, mais quand j'entends certain extrémistes soit disant écolo j'ai mal pour les générations futur. Ca fait du bien de se défouler un peu. Lorsque je vois un lavoir je pense à toute ses femmes qui faisaient se dur labeur sans considération et à leur soufrances... Nous débouchons sur le bitume dans le hameau de Pressoucy que nous contournons en longeant les clôtures de maisons neuves. Nous abandonnons rapidement le bitume, pour prendre un chemin sur la droite. (Attention le chemin est en angle droit et comme nous sommes sur le bitume notre attention est moins grande.) Longeons un bois, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, traversons l’Aubetin, par un petit pont en ciment (laissons le chemin et un pont plus solide pour les tracteurs sur la droite.) Traversons la fausse rivière, nous arrivons à un carrefour au milieu des champs, attention le balisage jaune se divise en deux. Ne prenons pas la branche de droite, mais poursuivons légèrement sur la gauche en longeant un bois. Nous quitterons le balisage jaune au milieu des champs, ce dernier partant sur la droite et nous poursuivons notre chemin tout droit. Traversons le ru du Maclin, un peu plus loin nous avons une construction carrée avec un bassin. Malheureusement à l’abandon. C’est lasource du Mont.
J’adore ce genre de plaque

Nous débouchons sur la D 15 que nous prenons à gauche. Laissons une route sur la gauche desservant le hameau de La Foret. Dans un virage de la route nous retrouvons un balisage jaune venant d’un chemin sur la gauche. Après avoir traversé le ru de Mengeard, le balisage jaune prend le premier chemin sur la gauche, nous descendons proche de l’Aubetin, le chemin tourne à quatre vingt dix degrés sur la droite et se dirige vers le hameau des Paroches. Pour quelle raison le balisage fait le tour de ce hameau par le chemin de droite au lieu de poursuivre la rue, je n’en sais rien. Nous remontons ce que ce que nous venons de descendre et après le contournement des prairies nous débouchons sur le bitume que nous prenons à gauche. Nous redescendons et poursuivons par le chemin de droite (rue du Chardon), nous longeons les jardins des maisons et arrivons à une intersection, prenons sur la gauche la rue du cour du Pressoir, nous débouchons rue Grande (D15) nous sommes dans le village de Saints. Sur la gauche le lavoir derrière des grilles. Poursuivons tout droit la rue Grande vers l’église. Nous arrivons sur la petite place de l’église avec son parking entouré de rues, poursuivons par la rue de Verdun (rue avec un commerce). Longue rue. Nous arrivons au carrefour avec un rond point triangulaire herbeux, sur la gauche les directions de Maingerard, Nouveau, Mémillon, Le Tertre, La moinerie. Poursuivons tout droit. Nous arrivons devant un nouveau carrefour avec un triangle herbeux en son milieu, nous prenons à gauche la voie sans issu de Laval (balisage jaune), en direction de Paraclay. Nous arrivons au Manoir de la Tour. C’est également sur la carte une intersection de balisages jaune. Comme tout est jaune il est facile de se tromper. Nous quittons le bitume pour prendre le chemin sur la droite entre clôture, champs et bois. Une pancarte nous indique ‘’Mauperthuis et Mousquetaire’’. C’est le chemin aux Prêtes. Le chemin tourne sur la droite. Nous trouvons un peu plus loin, un chemin sur la gauche à la limite de la rue bitumé devant desservir les quelques maisons. Le balisage tourne sur la gauche, nous traversons des bois, passons une petite unité d’épuration des eaux et nous débouchons rue (chemin) des Garennes que nous prenons sur la gauche, nous arrivons rue des Mousquetaires que nous poursuivons sur la gauche, puis à droite la rue de l’étang nous débouchons rue de la Tour que nous prenons à gauche et enfin la D 402 sur la droite.

 



 

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