Pour cette Promenade, nous partons en Seine et Marne, Autour de Coulommiers, dans le Village de Mauperthuis
Après ma traversée ‘’rapide’’ du plateau de la Brie entre Melun et La Ferté sous Jouarre en 6 étapes, les randos en extrême limite du département, des randos autour de La Ferté Sous Jouarre, de la Ferté Gaucher, de Meaux, je reviens lentement vers Melun. Ayant prévu les tracés à l’avance les randos ne sont pas toujours dans l’ordre de réalisation sur le site.
Pour celle-ci je suis parti du petit village de Mauperthuis, Circuit en boucle. Trajet possible en bus au départ de la gare de Melun Bus Express N° 01
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b345853
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps
Arrêt V/d V/g
Dénivelé
Novembre 2019
Je vous laisse
découvrir le village par les commentaires de l’étape 5 de la traversée du
plateau de la Brie que vous trouverez dans l’article https://randosacaudos.blogspot.com/2019/05/de-la-seine-la-marne-etape-5-gr-1-14-11.html de La Seine à la Marne.
L’arrêt
de bus se trouve rue Montesquiou (D 402) que je redescends, coupe la D 15. Sur
la gauche on aperçoit l’église et à l’angle du carrefour la fontaine. Poursuivons la descente jusqu’à la rue de la Tour que nous prenons à gauche,
puis la rue de l’étang sur la droite, nous débouchons rue des Mousquetaires que
nous prenons à gauche. Nous arrivons à une fourche, laissons sur la droite la
rue (chemin de la garenne) et poursuivons
tout droit. Nous coupons la rue de la
Tour et poursuivons par l’impasse du Clos de la Garenne. Nous sortons du
village et débouchons après avoir traversé un champ dans l’allée des pommiers
formant Té avec le notre, nous prenons à gauche. Coupons la D 15 poursuivons en
face, au premier carrefour nous prenons le chemin de droite. Débouchons sur un
chemin formant Té que nous prenons à gauche. Au loin nous apercevons des silos.
Cela sent un peu le gaz. Nous longeons une petite usine de production de gaz
renouvelable grâce à des productions agricoles. [Article
du journal du Monde. Le gaz renouvelable, nouvelle production agricole. [Et si l’agriculture française devenait le
premier fournisseur d’énergie renouvelable ? Car les enjeux liés à
l’énergie, aux Gaz à effet de serre (GES) et au changement climatique
interpellent de plus en plus les agriculteurs. Toutefois, les agriculteurs qui
possèdent une quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources
financières pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que
80% du système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement
des agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. En 2015, le secteur
agricole contribuait directement et indirectement à la production de 20% des énergies
renouvelables (EnR) nationales, essentiellement liées à la production de bio gaz
et au développement de l’éolien sur des terres agricoles. Selon l’ADEME, à
l’horizon 2030, la contribution des exploitations agricoles dans la production
d’énergie renouvelable sera multipliée par 2. C’est pourquoi la majorité des
développeurs de projets qui souhaitent s’investir dans la création d’unité de
production de bio gaz se tournent vers le monde agricole. Détenteur de 80 % du
potentiel méthanogène français avec ses déchets, le secteur agricole est
également responsable de la production de 20% des gaz à effet de serre. En
produisant de l’énergie, les agriculteurs s’inscrivent dans un modèle
d’économie circulaire, en réutilisant le méthane produit pour fabriquer du gaz
ils donnent ainsi une utilité à ces déchets et compensent en partie les
conséquences environnementales. La méthanisation a le double
avantage de séquestrer le méthane des déjections d’élevage (qui s’échappe dans
l’atmosphère) et de le transformer sous forme d’énergie (électricité, chaleur,
gaz). Elle permet également de valoriser des matières organiques
fermentescibles en énergies et fertilisants. Des projets territorialisés
peuvent être construits en associant collectivités et industries pour le
traitement de leurs déchets. Toutefois, les agriculteurs qui possèdent une
quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources financières
pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que 80% du
système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement des
agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. Le
co-fondateur d’ilek, fournisseur
d’énergie verte et française, contact avec plusieurs agriculteurs pour proposer
de l’électricité et du gaz français à des particuliers. Il revient notamment
sur l’expérience d’un producteur laitier et de gaz bio de Milizac en
Bretagne. Le site de production de gaz bio de Milizac,
situé à quelques
kilomètres de Brest, a été installé en juin 2018. Ce site peut produire jusqu’à
8,94 GWh par an et permet d’alimenter 744 foyers. La famille Laurent, composée
d’éleveurs et producteurs de lait, est la première à produire du gaz bio, en
Bretagne, injecté sur le réseau national de gaz pour être vendu à des
particuliers sur le site du fournisseur ilek. Lancé en 2016, ilek est le premier
fournisseur d’énergies 100 % vert, gaz et électricité. Il entend révolutionner
le rapport entre les populations et l’énergie en étant acteur de la transition
écologique. La plateforme permet aux producteurs d’énergies renouvelables de
vendre directement leur électricité et leur gaz bio aux particuliers et aux
TPE/PME. Selon le classement Greenpeace 2018, ilek fait partie des meilleurs
fournisseurs d’électricité verte de France. https://up-magazine.info/index.php/securite-alimentaire-2/securite-alimentaire/8441-la-mutation-du-secteur-agricole-par-la-production-d-energie/
Chemin ravagé par les énormes tracteurs |
Énergies ; Deux choses me choquent dans ce procédé. C’est que ce
ne sont pas que les déchets agricoles que l’on transforme en gaz. On cultiver
des produits tels que le maïs gourmend en eau,
ou le seigle d’hiver, un engrais vert. J’ai tout simplement un doute sur le
futur… Pourquoi ne pas produire que des produits transformables en gaz, qui
rapporte de l’argent, plutôt que de produire des céréales pour la consommation
qui ont bien du mal à faire vivre l’agriculteur (sauf peut être dans la Beauce.)
Après tout, on achètera nos besoins sur le marché européen, et cela mettra
quelques camions de plus sur les routes… Le rejet du CO2 dans
l’atmosphère !!! Et la couche d’ozone ? Quand je pense que l’on veut empêcher les vaches de péter parce que cela déchire la couche d’ozone, on
marche sur la tête. Dans
les années 90 on nous a assommés de prédictions catastrophiques
avec le trou de la couche d’ozone. On allait tous griller sur place puisque
c’est une protection naturelle contre les rayons du soleil. A l’époque, les
glaces du pôle nord fondaient à vu d’œil à cause des rayons solaires plus
nombreux venant frapper en ligne directe les surfaces blanches. On ne parlait
pas du réchauffement climatique dut à l’industrialisation… c’était en partie
dut aux trop nombreuses voitures à essence. Ce sont dans ses années que l’on
nous a conseillé d’acheter des voitures diesel
rejetant moins ou pas de CO2 c’était écolo… Il fallait absolument
que la couche d’ozone se régénère. Aujourd’hui fini la couche d’ozone, on en
parle plus. Ce sont les particules fines qui ont l’honneur des médiats. Alors
les prévisions et statistiques me laisse un peut de marbre. Je ne pense pas
être un Climato sceptique, n’y un anti écolo. J’ai toujours privilégié le vélo,
la marche et les transports
Verger de Noisetiers |
en communs, pour me rendre au travail, ou me
déplacer. Aujourd’hui avec les BOBO (Bourgeois Bohème) peuplent nos grandes
villes, la nature et « l’écologie » est devenu un lobi. On veut
vivre dans une nature et une ville propre mais avec les facilités modernes. Surtout
ne pas se séparer de son portable, des réseaux sociaux, des mails qui monopolisent des immeubles entiers pour le stockage des données, des
tonnes d’électricité pour stocker les données. Des voitures électriques, peut être bien
plus polluante dans le futur qu’une essence ou un diesel. Destruction de zones naturelles
pour les terres rares, le chrome, le nickel, Transport de ses piles par bateaux
extrêmement polluent. La voiture est dépendent du pétrole et on en a pas mais
avec les piles on sera dépendante de la chine n’ayant pas non plus les matières
premières. Que va-t-on faire des piles usagées que l’on ne sait pas
retraiter ? UNE BOMBE à RETARDEMENT. Pas grave c’est un problème pour nos enfants et petits enfants. Paris avait essayé avec ses petites voitures électriques en
location, je trouvais cela bien. On utilisait sa voiture thermique jusqu'à un
parking et l’on faisait le reste en ville en voiture électrique. Ca n’a pas
marché on est trop personnel, il faut que l’on montre notre belle voiture aux
collègues, pour les rendre jaloux. Dans les années 60 on avait construit de
grands parkings Porte de Bagnolet à la sortie de l’autoroute A3 et l’on avait
prolongé la ligne 3 du métro jusqu'à ces derniers afin que les banlieusards
(Marne la Vallée n’était que des projets, mais Melun Sénart débutait) déposent
leurs voitures et prennent le métro. Ca n’a pas marché. Trop égoïste. Une petite dernière sur les
voitures électriques (que j’affectionne sur de petit parcours) à chaque grand
départ en vacances on nous rabat les oreilles avec la façon de ce rendre sur
son lieu de vacances. On nous présente toujours une famille avec sa voiture
électrique qui devient obsolète ce jour là, pas assez d’autonomie, coffre trop
petit alors, la famille loue une voiture thermique. Comme ce sont de bon BOBO, ils
partent à deux voitures, la femme, les enfants, les bagages dans la bonne
vieille voiture polluante, cela ne gène personne. Lui dans la voiture
électrique avec sont propre itinéraire qu’il a recherché sur internet pour
trouver des bornes de recharge et il met trois jours à
rejoindre sont lieu de
vacances (Oui j’exagère) pour circuler sur place en voiture électrique.
Chercher l’erreur… Sur le lieu de vacances il y aurait des voitures à
disposition ce ne serait pas mieux ?
Dans l’Isère on interdit les feux de cheminées… le bois c’est de
l’énergie renouvelable. Pour diminuer les particules fines, mais personne ne
stop le déferlement des camions qui ne font que du transit, parce que, en
France ils ne sont pas taxés sur la pollution et les particules fines stagnent
dans la vallée. Reprenons notre itinéraire. Poursuivons notre chemin tout
droit, nous sommes en parallèle à la D 402. Nous apercevons la ferme des
Chambrisset, faisons un petit esse gauche-droite et poursuivons un chemin fort
abîmé par les tracteurs. Nous entamons un virage vers le hameau de Limosin. De
chemin nous passons à rue. Traversons l’extrémité du village laissons une
place, ou placette, avec un puits, devant certainement une ancienne grange en pierre
transformée en maison d’habitation. Nous arrivons à
un carrefour avec une rue
traversant le village dans sa longueur, poursuivons par le chemin dans les
champs. Sur la carte nous devons trouver au premier chemin sur la droite un
balisage jaune, malheureusement en Seine et Marne nous n’avons pas de petits
poteaux, avec le balisage et les informations nécessaires comme on le trouve
sur les chemins de l’Essonne. Traversons les quelques maisons de Rouville nous
débouchons sur une route et poursuivons tout droit vers le hameau de Rouville à
la sortie du village nous trouvons sur la gauche une plantation de noisetiers.
Nous arrivons à un carrefour avec un arrêt de bus 02c Coulommiers (Un bus le matin-Un bus le soir)
Nous trouvons la direction de Beautheuil sur la droite, que nous ne prenons
pas. Nous poursuivons tout droit et traversons le hameau du Puits, la rue
tourne sur la gauche poursuivons le bitume tout droit vers la dernière ferme et
le château d’eau. Sur la droite un ancien puits circulaire il a peut être donné
le nom au hameau. De bitume nous repassons à chemin, sur notre gauche nous
devons apercevoir Coulommiers. Après le château d’eau et la petite station
d’épuration, nous débouchons sur un autre chemin formant Té que nous prenons à
droite, coupons un fossé avec un peut d’eau c’est le ru des Nouelles,
poursuivons notre chemin jusqu’au village de La Touche. Après la ferme nous
débouchons sur la rue principale desservant le hameau, nous prenons le bitume sur
la
gauche. Coupons la D 209, poursuivons en face. Nous débouchons sur la route
de Fontenelle que nous prenons à droite, traversons le hameau de Fontenelle,
nous sommes sur la route du bouleau. Laissons une rue sur la droite et
poursuivons tout enfin nous avons une marque
jaune.Nous arrivonsdevant une grosse ferme ‘’Ferme d’En Bas’’ nous sommes à
un carrefour avec un chemin et la route. Malheureusement je ne remarque pas le
balisage tournant à droite. Ce n’est pas facile par ici, le chemin de droite
longe un bassin et se dirige vers le portail en fer forgé de la ferme. Sur le
coté de la maison le chemin se poursuit, mais l’on se demande si l’on à le
droit de franchir le petit portillon métallique fort dur à pousser clôturant un
espace herbeux. Il manque du balisage. Heureusement je rencontre la
propriétaire qui me confirme que l’on peut franchir le portillon, mais qu’il ne
faut pas oublier de le refermer, derrière il y a des ânes. En effet une fois
franchi, deux ânes sortent de la grange et viennent me voir. Ne pas oublier de
refermer le portillon après être sortie de l’enclot n'oubliez pas les carottes... Nous longeons le Bois du
pavillon, il est clôturé et prenons le premier chemin sur la gauche. C’est très
mal balisé et surtout pas aux normes habituelles, dirigeons nous vers le bois
des Sablons, longeons la lisière et nous débouchons sur une route. Je quitte le
balisage jaune. (En prenant sur la gauche, nous trouvons à une centaine de
mètres, dans le bois, la source de Sainte Flodoberthe. Je ne m’y suis pas
rendu.) On devrait y trouver un ; Autel avec
croix (qui
était l'emplacement de l'ancienne chapelle, près de la route qui
mène à Fontenelle) situé près d'une fontaine, dont les fidèles lui attribuaient
des vertus curatives, et où les reliques de Sainte Flodoberthe étaient menées
en pèlerinage deux fois par an. Prenons à droite nous entrons dans
Amillis. Comme j’ai traversé le village dans une précédente rando je ne me
rends pas en centre ville. Nous entrons dans le village par la rue de la Vendée
(lieu dit ou quartier d’Amillis) au carrefour avec le monument aux morts nous
faisons un esse gauche droite en coupant la D 15 et en prenant la D 15e en direction du centre ville et de la
maison de retraite par la rue de la Chapelle. Nous approchons d’un arrêt de bus
situé derrière une grosse porte en bois et d’un abri, sorte de couloir étroit. Nous
prenons à droite la rue du moulin, nous retrouvons le balisage jaune. Coupons
un ru. La rue se termine à la dernière maison. Le chemin fait fourche,
poursuivons par le chemin en bordure de l’Aubetin [coule
dans les départements de la Marne et de Seine-et-Marne.
C'est
un affluent du Grand Morin,
lui-même affluent de la Marne. Long de 61,15 kilomètres, il prend sa source dans
le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud
du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur
la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il
parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. L'altitude est de
167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m d'altitude
au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure à Pommeuse.
Wikipédia] Le chemin fait fourche, nous prenons à droite passons au
dessus de la rivière par un pont en poteaux en ciment. Nous arrivons à
Courcelles. Le chemin débouche dans un virage rue de Courcelles que nous
prenons
à droite, balisage jaune. Passons une ferme, puis nous coupons la D 209 et
prenons en face un chemin dans les champs, longeons un bois, nous arrivons aux
quelques maisons du hameau d’Autheil. Attention le chemin fait fourche et le
balisage jaune se divise en deux, poursuivons tout droit, un balisage jaune
également. Nous coupons la D 112 poursuivons en face, le chemin débouche
sur un
autre formant Té, nous prenons à droite. Nous longeons un bois, puis un champ. Sur
la droite nousapercevons le château Maillard [ancienne
demeure des chartreux du XVIII ème siècle, au milieu d’un parc de 3 ha. Le Château
qui servi au tournage du film libres avec Lambert Wilson et Isablle Carré réalisation
Gabriel Le Bomin. Sortie premier trimestre 2020. Le Parisien juillet 2019
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/beautheil-saints-lambert-wilson-et-isabelle-carre-en-tournage-23-07-2019-8122068.phpv]
Nous arrivons à un carrefour. Sur le coté devant le bois un dépôt (parking
champêtre) de matériel agricole et un poteau en bois un peu penché et effacé
avec un énorme trou certainement fait par un chasseur peu intelligent. On
devine la direction de la Pierre Fitte [Menhir dit
la
Pierre-Fitte ou Pignon de Sainte-Aubierge (cad. D 794) : classement par
liste de 1889. Périodes Néolithique.
On l’appelle également Pierre de Sainte Flodoberthe. cfpphr.free.fr › mega77
- https://www.wikiwand.com ›
Sites_mégalithiques_de_Seine-et-Marne] Poursuivons la bordure
du bois sur environ 200m nous trouvons un chemin sur la gauche pénétrant dans
le bois et une soixantaine de mètres plus loin nous trouvons la pierre
(menhir). Une
pancarte indiquait une légende inscrite
sur la droite du menhir. Je n’ai rien pu lire. Revenons sur nos pas
jusqu’au carrefour, prenons le chemin sur la gauche et descendons vers les bâtiments
(stabules.) [J’ai rencontré un chasseur qui ma compté
une histoire. A quelques centaine de mètres se trouve un étang avec des eaux
noir. Le Grand Morin se trouve à une quinzaine de kilomètres et sur les bords
de cette rivière se trouvais des moulins et des papeteries. Les papeteries
rejetais leur eaux polluées dans la rivière, jusqu’au jour ou ce fut interdit.
Alors ils construisirent une canalisation de quinze kilomètres jusqu'à ce
terrain au milieu des champs et des bois. Il déversait leurs eaux polluées
derrière cette digue. L’eau est noire et pollué par le cyanure et le mercure.
Il y
aurait des poissons immangeable, et des canards que les chasseurs tirent
mais ne vont pas chercher, l’étang artificiel est également pollué au plomb. Il
est entouré de grillage, on ne voit rien, je recompte l’histoire comme on me l’a
compté. Cela n’a pas grand intérêt sauf que la papeterie à disparue mais pas sa
pollution.] Nous coupons la D 112. Faisons un esse droite - gauche
prenons la route sur notre gauche en direction de Beautheuil-Nivete-Charnoy
balisage jaune. Nous quittons une cinquantaine de mètres plus loin le bitume
pour prendre le chemin du Prés Valois sur la gauche balisage jaune. Le Lavoir, la futur machine à laver de nos BOBO
speudo écologique... Bien venue dans le monde d'hier, avec sont Agenouilloir, Baquet ou carosse. Sa Battoir ou Tapoir, Ne pas oublier son cuveau : un grand Baquet servant à faire tremper le linge dans un mélange de cendre et d'eau. M'oui pas très écolo la cendre le bois c'est des particules fines. On aperçoi l'étendoir permettant d'égoutter le linge. Les planches à crémaillères permettant d'abaiiser ou de remonter la planche en fonction du niveau de l'eau, la Vouillette récipient à long mange pour le coulage manuel de la léssive sur le linge et bien sur la brouette pour transporter le tout. Je ne suis pas sur que nos BOBO speudo écolo réutiliserons les lavoirs pour raisons d'économie d'énergie et
d'écologie. Après quelques lavages à la main, dans l'eau froide, sous la pluie, dans le vent et le froid, ils reviendront vite fait à la machine à laver, ou ils paieront des lavendières pour faire le travail sans s'occuper des gersures aux mains et des fluxions de poitrine. Certe Je délire un peu, mais quand j'entends certain extrémistes soit disant écolo j'ai mal pour les générations futur. Ca fait du bien de se défouler un peu. Lorsque je vois un lavoir je pense à toute ses femmes qui faisaient se dur labeur sans considération et à leur soufrances... Nous
débouchons sur le bitume dans le hameau de Pressoucy que nous contournons en
longeant les clôtures de maisons neuves. Nous
abandonnons rapidement le bitume,
pour prendre un chemin sur la droite. (Attention le chemin est en angle droit
et comme nous sommes sur le bitume notre attention est moins grande.) Longeons
un bois, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite,
traversons l’Aubetin, par un petit pont en ciment (laissons le chemin et un
pont plus solide pour les tracteurs sur la droite.) Traversons la fausse
rivière, nous arrivons à un carrefour au milieu des champs, attention le
balisage jaune se divise en deux. Ne prenons pas la branche de droite, mais
poursuivons légèrement sur la gauche en longeant un bois. Nous quitterons le
balisage jaune au milieu des champs, ce dernier partant sur la droite et nous
poursuivons notre chemin tout droit. Traversons le ru du Maclin, un peu plus
loin nous avons une construction carrée avec un bassin. Malheureusement à
l’abandon. C’est lasource du Mont.
J’adore ce genre de plaque |
Nous débouchons sur la D 15 que nous
prenons à gauche. Laissons une route sur la gauche desservant le hameau de La
Foret. Dans un virage de la route nous retrouvons un balisage jaune venant d’un
chemin sur la gauche. Après avoir traversé le ru de Mengeard, le balisage jaune
prend le premier chemin sur la gauche, nous descendons proche de l’Aubetin, le
chemin tourne à quatre vingt dix degrés sur la droite et se dirige vers le
hameau des Paroches. Pour quelle raison le balisage fait le tour de ce hameau
par le chemin de droite au lieu de poursuivre la rue, je n’en sais rien. Nous
remontons ce que ce que nous venons de descendre et après le contournement des
prairies nous débouchons sur le bitume que nous prenons à gauche. Nous
redescendons et poursuivons par le chemin de droite (rue du Chardon), nous
longeons les jardins des maisons et arrivons à une intersection, prenons sur la
gauche la rue du cour du Pressoir, nous débouchons rue Grande (D15) nous sommes
dans le village de Saints. Sur la gauche le lavoir derrière des grilles.
Poursuivons tout droit la rue Grande vers l’église. Nous arrivons sur la petite
place de l’église avec son parking entouré de rues, poursuivons par la rue de
Verdun (rue avec un commerce). Longue rue. Nous arrivons au carrefour avec un
rond point triangulaire herbeux, sur la gauche les directions de Maingerard,
Nouveau, Mémillon, Le Tertre,
La moinerie. Poursuivons tout droit. Nous
arrivons devant un nouveau carrefour avec un triangle herbeux en son milieu,
nous prenons à gauche la voie sans issu de Laval (balisage jaune), en direction
de Paraclay. Nous arrivons au Manoir de la Tour. C’est également sur la carte
une intersection de balisages jaune. Comme tout est jaune il est facile de se
tromper. Nous quittons le bitume pour prendre le chemin sur la droite entre
clôture, champs et bois. Une pancarte nous indique ‘’Mauperthuis et
Mousquetaire’’. C’est le chemin aux Prêtes. Le chemin tourne sur la droite.
Nous trouvons un peu plus loin, un chemin sur la gauche à la limite de la rue bitumé
devant desservir les quelques maisons. Le
balisage tourne sur la gauche, nous
traversons des bois, passons une petite unité d’épuration des eaux et nous
débouchons rue (chemin) des Garennes que nous prenons sur la gauche, nous
arrivons rue des Mousquetaires que nous poursuivons sur la gauche, puis à
droite la rue de l’étang nous débouchons rue de la Tour que nous prenons à
gauche et enfin la D 402 sur la droite.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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