Voilà un nouveau projet en six étapes relier la Seine à la Marne, en traversant
le plateau de Brie,
faisant suite à mes promenades reliant la Seine à la Loire en dix étapes
par le GR 32 et 3 de Ponthierry à Orléans
De la Seine à la Marne par les GR 1-14-11 : Etape 5 ; GR 14 - Mauperthuis - Coulommiers
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Carte VisoRando

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Km Temps Arrêt
V/d V/g Dénivelé
29 4h50 0h20 6,00
5,6 346 +
Novembre 2017
Départ arrêt de bus à Montperthuis ; Nous
descendons la D 402 (rue de Montesquiou), cette fois ci nous laissons la rue du
parc sur notre droite et regardons cette drôle d’église place de l’église [Au 12ème siècle Mauperthuis est une ferme
isolée de la paroise de Saints. Son indépendance date de 1195. Une chapelle est
construite. En 1170 l’église à une seul nef, remplace la chapelle elle est
construite par Anne Pierre de Montesquiou mousquetaire du roi. A la révolution
le curé étant contre l’interdiction du culte, il fomente une émeute. la garde
nationnal de Coulommiers disperse les habtants rudement 17 villageois meurent,
et 163 sont fait prisonniers, dont 20 seront jugés, inculpés et condamnés à
mort.] A l’angle de la rue, nous trouvons une source ou une fontaine
mais je n’ai pas trouvez son histoire ou une légende sur son existance.
Descendons jusqu’à la rue Bricot, ou nous trouvons la place de la fontaine
bordée de maisons ayant
conservées leur escaliers d’origines et leur chiens
assis. Au centre de la place herbeuse la fontaine [La
fontaine constitué de grès et de Meulière faisait partie d’un ensemble de
plusieurs constructions édifiées par le marquis de Montesquiou. C’est l’œuvre
de l’architecte Brogniard (le même qui à réalisé le palais de la Bourse à
Paris.) Achevée en 1764 cette fontaine est alimentée par une source venant de
l’Oursine (Hameau au nord de Mauperthuis.) Grace à un ingénieux système elle
fournit l’abreuvoir situé au même niveau que la fontaine. Les cheveaux passant
sur la route toute proche entre Rosay et Coulommiers pouvais se
reposer et
s’abreuver. (Les deux textes proviennent des panneaux d’informations.] Parlons
un peut de ce Marquis Bienfaiteur de la commune [Né le 17 octobre 1739 à Paris et mort le 30 décembre 1798 à Paris, est un homme politique français qui fut lieutenant
général des armées du roi, agronome, membre de l'Académie française (1784),
puis député aux États généraux, général dans les armées de la Révolution et
député à la Convention qu'il présida avant de régner sur la Commission des
finances. Anne-Pierre de Montesquiou est le fils de Pierre de Montesquiou,
seigneur de Mauperthuis, lieutenant-général des Armées du roi, et de Marie-Louise
Bombarde de Beaulieu, fille de Paul-Pierre Bombarde de Beaulieu, conseiller au Grand
Conseil et de Marguerite Doublet de Persan (fille de la
célèbre Madame
Doublet des Nouvelles à
la main).
Issu d'un rameau cadet de la branche des
seigneurs d'Artagnan de la famille de
Montesquiou, très ancienne famille noble de Gascogne, il est élevé à la cour et devient menin des enfants de France. Destiné à l'état militaire, il entra, d'abord comme
chevau-léger de la garde du roi en 1754, puis passa successivement lieutenant
au régiment Royal-Pologne
en 1756, capitaine au régiment du Roi en 1757, colonel
aux Grenadiers de France
en 1758, aide-maréchal des logis et colonel du régiment Royal-Vaisseaux
le 30 novembre 1761, chevalier de l'ordre de
Saint-Louis en 1763 et brigadier des armées du roi en 1768. Il devient premier écuyer du comte de Provence, futur Louis XVIII, en 1771.
Il est promu maréchal de
camp le 1er mars 1780 et reçoit le collier de
l'ordre du
Saint-Esprit en 1784.
Proche des Physiocrates, il hérite de son oncle et de son père un domaine à Mauperthuis dans la Brie qu'il développe considérablement, en créant notamment un
élevage de moutons mérinos. Il y fait construire vers 1764-1766 un château et un jardin
régulier par Claude
Nicolas Ledoux, puis fait appel à Hubert Robert et Alexandre-Théodore Brongniart pour l'aménagement d'un parc à l'anglaise avec de nombreuses
fabriques d'inspiration maçonnique. Toujours à la demande de Montesquiou,
Brongniart remodèle totalement le village de Mauperthuis. Vous trouverez la
suite de son histoire dans wikipédia.] Poursuivons par les rues de la
Place de la Fontaine & Bricot cette dernière située en fond de la place,
après un virage elle nous amène rue du parc (D 15)
que nous prenons à gauche,
nous retrouvons le balisage jaune. Comme dans l’étape 4 à l’antenne nous
prenons à gauche la rue du pressoir à la fourche toute proche laissons la rue
du Saussoy sur la gauche. Nous sommes sur un balisage jaune. Notre rue débouche
sur une autre formant Té et nous prenons à droite (rue des coteaux) vers le
village de Esse ou nous retrouvons le GR 14. Au lieu de prendre le petit
sentier sur la gauche à l’entrée du village poursuivons le balisage par la rue
principale et le GR 14. Nous sortons rapidement du village et traversons le ru
de l’Oursine. C’est la promenade des cours d’eau et des rus, nous sommes en
novembre et nous avons eu un week-end très pluvieux. En ce lundi tous les
petits cours d’eau sont chargés en eau boueuse. Nous quittons la route pour
prendre un chemin sur la droite et l’on se demande
bien pourquoi ? (vous
comprendrez après). Nous longeons un
bois et prenons le premier chemin sur la gauche. Le balisage est inexistant
pourtant un gros chêne permettrait d’indiquer le changement de direction. Nous
débouchons rue du moulinet que nous prenons à droite. Nous sommes toujours sur le GR & le jaune.
A l’entrée du village de Ménil nous prenons à gauche le chemin se trouvant au
carrefour avec le chemin des grès (Le chemin des grès est bitumé bordé de
maisons et ressemblant plus à une rue). Le chemin balisé longe des clôtures
tourne à angle droit sur la droite débouche sur la rue du glacis (ressemblant
plus à un chemin) que l’on
prend à gauche nous débouchons sur une patte d’oie
et l’on poursuit sur la gauche. Nous revenons rue du Moulinet que nous prenons
à droite. Ce Détour est peut être pour nous faire admirer cette vallée… Il est
vrai qu’après la morne plaine de la Brie les petites vallées creusées par
l’Aubetin et le Grand Morin sont vraiment dépaysant. Descendons la rue. Juste
avant le virage un chemin sur la gauche permet de couper ce dernier, nous
retrouvons la route poursuivons notre descente jusqu’ au moulin du Moulinet ou
nous franchissons l’Aubetin
[C'est un affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,2 kilomètres, il prend sa
source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la
majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il
parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne.] Nous arrivons à une succession de hameaux ‘’les moules- le champ
roger’’
nous
débouchons sur une route formant Té
et prenons à droite la rue de
la vallée en direction des bordes. Nous longeons quelques propriétés puis
prenons un chemin sur la droite nous descendons dans un bois entre deux clôtures
toujours notre balisage, puis longeons bois et champ, nous débouchons rue du
Montcet juste à l’entrée du hameau de Montcet nous prenons à droite traversons
le hameau et prenons le sentier sur la gauche juste
avant le pont traversant
L’Aubetin. Au lieu de suivre le large chemin balisé, je suis un petit sentier
de pécheur longeant la petite rivière. Pas facile après les pluies, le sentier
n’est pas large et glisse beaucoup. Au printemps je ne suis pas sur qu’il soit
utilisable avant que les pêcheurs ne réalisent la trace. Le sentier longeant
l’eau but sur des barbelés, nous prenons à gauche une trace dans les orties
nous permettant de rejoindre le chemin et le balisage. Contournons la prairie,
nous retrouvons la rivière et débouchons rue de la cascade dans le hameau du
Poncet nous passons le pont. La cascade est constituée de quelques pierres
accentuant le brusque petit dénivelé. Comme aujourd’hui les eaux sont grosses
l’effet est peut être moins caractéristique. Après
le pont nous longeons un
ancien moulin, nous apercevons à l’extérieur le système d’entraînement
provenant certainement de l’intérieur du moulin devenu maison d’habitation.
Prenons le chemin à gauche. De rue nous passons à chemin (boueux), passons un
gué et l’on continue dans les bois. Nous arrivons à quelques habitations
sommaires en bordure du chemin gravillonné de la Cornée, nous débouchons sur la
route bitumée du pont, nous prenons à droite et laissons le village de la
Lavanderie derrière nous. On se dirige
vers une construction au milieu d’une prairie. A l’intersection nous remarquons
le lavoir isolé et sans un ru pour l’alimenter [La
Lavanderie : Vient du latin « avantaria ». Le hameau est
implanté le long de l’Aubetin. La route du hameau aboutissait à un gué doublé
plus tard d’un pont d’abord en bois puis en pierre (au XVIIè ou XVIIIè siècle).
Ce pont est souvent appelé gallo-romain à tort. http://pommeuse.org/la-lavanderie/] Remontons la rue du pont et lorsqu’elle
rencontre la rue Paul Nicaise
formant Té avec elle, nous laissons Bisset sur la droite et prenons le chemin
face à nous la rue des Vaillants (rue ressemblant plus à un chemin). Nous
longeons le mur d’une propriété et entrons dans un bois. Le chemin fait
fourche, nous prenons le chemin sur la gauche, nous sommes également sur un
balisage jaune. Notre chemin débouche sur un autre formant Té, nous abandonnons
l’un des deux balisages jaune (celui de droite retourne à Saint Augustin.) Nous
prenons à gauche celui des rives du Grand Morin et bien sur c’est également notre fil jaune & rouge du GR 14.
De
chemin nous passons à rue du vieux Saint Augustin. Nous débouchons sur la D15
et sur la gauche nous avons une beau tableau avec la vallée et le viaduc [Viaduc ferroviaire de l'Aubetin (XIXe siècle),
213 m de long, 16 m de
haut, achevé en 1862. L'arche centrale a été renforcée en 1921. wikipédia] passons
sous le petit pont et nous entrons dans Pommeuse par la rue paul Niclause [Pommeuse signifie «Pont sur le Morin». Deux voies gallo-romaines, venant d’une part de Troyes
par la Ferté Gauché, et d’autre part de Melun par Touquin, se retrouvaient
à St Augustin pour rejoindre Meaux puis Senlis et Boulogne sur Mer.
Installé autour du pont permettant à la voie
gallo-romaine dite «le Perré»
de franchir le Grand Morin, Pommeuse fut d’abord Eboriac. Le pont, situé 50m
en amont du pont actuel, était sans doute à péage, au profit du seigneur
local. http://pommeuse.org/historique/]
Après le petit pont nous prenons à droite la rue de la Rochelle, nous sommes
dans la petite zone industrielle, nous avons sur la droite une immense pince de
forge réalisé par un Meilleur Ouvrier de France
(Les
MOF dans le jargon) Appelé ‘’Tenaille 250’’ Forgé aux Forges d’Epinay sur Seine
en 1952 par un Compagnon passant forgeron mécanicien Du Devoir du Tour de
France. Ce que j’aimerais que l’on parle un peu plus à la télé ou à la radio
des Compagnons de Devoir, Des M.O.F A la place des télés réalités complètement
débiles et inutile, on nous présenterait des concours sur le travail cela
 |
Le Grand Morin |
donnerait
peut être des idées aux jeunes qui n’ont pas les facultés de rejoindre par leur
études ses dernières… Taper meilleur ouvrier de France Plombier, métallier ou serrurier et vous vous rendrez compte qu’en plomberie ce n’est pas qu’un métier
ou l’on débouche des sanitaires et que le
serrurier n’est pas là que pour
arnaquer le client qui à perdu ses clés un dimanche à 3 h00 du matin. En tapant
sur internet je suis tombé sur la photo d’une porte réalisée toute en inox avec
une grille composée de croisillons, de cercles, d’hexagones, de pointe de
diamant en tôle d’inox. C’est une œuvre que j’ai vu réalisé par un compagnon de
mon entreprise. On est loin de la rentabilité et du vite fait bien fait, Un an
pour réaliser cette œuvre il y a passé une grande partie de ses nuits, de ses
week-end et de ses vacances. C’est le prix de l’excellence… Il y a bien des
télés sur le meilleur pâtissier, la couture, pourquoi pas sur la plomberie, la
serrurerie (au sens large, portes et fenêtres, en fer- alu, escalier,
charpente) la maçonnerie ou la peinture (comprenant la déco avec les faut
marbre, faut bois etc..) On peut rêver, aujourd’hui il s’ouvre plus de
logistique
que d’industrie sur notre territoire.) Notre rue devient
chemin et longe la ligne SNCF à voie unique. (C’est tout de même la ligne de
Coulommier, je comprends mieux la mise en place de tout ses bus…) Au pont
passant au dessus de la ligne de chemin de fer, laissons le PR des lavoirs de
Pommeuse partir sur la droite et prenons Le Gr sur la gauche doublé par le PR
du Grand Morin. Après la traversée d’un bois entre des clôtures nous débouchons
sur une route (Avenue de la gare) que nous prenons à gauche. Nous passons le
Grand Morin
[Il est couramment admis que les sources du Grand
Morin se situent sur la commune de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de l'étang de la
Morelle » relie les étangs de la Morelle
aux sources du Grand Morin. SANDRE localise néanmoins la
source du Grand Morin au niveau des étangs de la Morelle,
sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se jette 118,2 kilomètres plus loin dans la rivière Marne à Condé-Sainte-Libiaire (à l'est de Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue
avec la Marne plus en aval, sur la commune de Lesches, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de
Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région
naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin).
Son importance anthropique est telle qu'elle a donné son nom à
un des terroirs de la Brie : « la Brie des Morins » et en a structuré
l'occupation humaine depuis
l'Antiquité (orientation des voies de communication
et urbanisation francilienne dite « en doigt de gant » le long de la
vallée).
Son tracé est orienté dans le sens est-ouest, avec un parcours
très ondulé de 43 km dans le département de la Marne, puis de 77 km en Seine-et-Marne. En plusieurs endroits, le cours de la rivière se divise en
deux bras, formant de petits îlots sur des distances assez courtes (La
Celle-sur-Morin, Coulommiers, Jouy-sur-Morin, La
Ferté-Gaucher). Topographiquement,
sur ses 120 km de parcours, le Grand Morin commence à
185 mètres d'altitude à sa source en région Grand Est, pour finir à 44 mètres
d'altitude à son confluent en Île-de-France ; son altitude intermédiaire est à mi-parcours de 100 mètres (point kilométrique 60 du cours, à Jouy-sur-Morin). La rivière connait un cours régulier sans chutes naturelles (la pente naturelle
varie de 1 à 2 % seulement) ; les seules chutes sont dues aux
ouvrages anthropiques (seuils de retenues de moulins), aux dénivelés du reste très modérés et en pente douce (franchissables
en embarcation légère). Le plateau de la Brie (Bassin Parisien) où évolue le
Grand Morin est compris entre une altitude de 200 mètres
à l'est et 100 mètres à l'ouest ; la vallée de
la rivière peut parfois être abrupte et encaissée, surtout dans sa partie
amont, avec des
différences d'altitude entre le fond de rivière et le haut du
coteau de 50 à 100 mètres. wikipédia] Nous entrons dans Mouroux par
l’avenue de la gare, passons sur la place de l’église et de la mairie. [IL
Y A BIEN LONGTEMPS... Des fouilles
menées dans les années 1960 démontrent l’occupation du sol de Mouroux depuis le
paléolithique. Selon certains, l’homme aurait occupé sans discontinuité son
territoire. Mouroux est divisé en plusieurs fiefs, dont l’un détenu par les
Caumartin. II semble qu’il y ait eu un château, signalé par Anatole Dauvergne,
érudit du XIXe siècle.
Ce village eut probablement à subir les guerres et
bouleversements qui ont marqué la région.
ORIGINES DU NOM DE LA COMMUNE : Au cours de son histoire, MOUROUX, aurait porté plusieurs
variantes du nom. C’est ainsi qu’entre 1145 et 1154 il s’appelait MORO en 1190,
pour redevenir MOUROU en 1528 et 1684. MOUROUX serait l’interprétation de « lieu de baies, de ronces ». ville-mouroux.fr/
L’ÉGLISE
Édifiée au cours du 13ème siècle, le sanctuaire serait du 15ème
siècle. Son patron est Saint Rémi, évêque de REIMS. Composée de trois nefs,
elle possède un porche de style roman. Elle renferme une curieuse peinture du
baptême de Clovis. Les textes indiquent que l’abbaye de Faremoutiers avait la
haute justice sur Mouroux et qu’elle y possédait plusieurs biens. ville-mouroux.fr/]
Prenons la rue des cités sur la droite puis à gauche la rue Cornu.
Traversons l’avenue de la Libération poursuivons en face puis traversons
l’avenue
du Général
De Gaule (D 934) nous prenons en face la rue des Alleluias [L'Alléluia
est une pièce de musique liturgique, dans le propre de la messe catholique. Il est d'ordinaire chanté avant la lecture
de l'Évangile. Le mot
« Alleluia » ou « Hallelujah » (en hébreu : הַלְּלוּיָהּ / , transcrit ἀλληλούϊα / allêloúïa
en grec), signifie
littéralement « louez le Seigneur » (« Louez Yah » – du
tétragramme YHWH). L'Alléluia est un chant responsorial du
propre de la messe. Wikipédia] Chemin de
procession ? Peut être…De rue desservant des pavillons, nous
passons à chemin dans les champs nous traversons le ru du Liéton poursuivons en
foret jusqu’au hameau de Galipanne & Bois la ville
nous débouchons rue des Lombards que nous
prenons à droite.

Attention nous prenons à gauche juste avant un bois et
longeons sa lisière en bordure d’un champ. Nous sommes toujours sur le GR 14.
Nous quittons la route pour prendre un chemin sur la gauche nous sommes de
nouveau dans les champs le chemin tourne à quatre vingt dix degrés sur la
droite nous rejoignons les bois faisons un esse et restons entre bois et champs,
coupons un chemin puis nous rencontrons une balise nous informant qu’il faut
tourner à gauche ne pas prendre le premier chemin ( à l’intérieur de la balise
on nous informe que c’est à 200m). Nous prenons à gauche à la patte d’oie le
chemin s’appelant ‘’le sentier du Clos de Mitheuil’’ que nous suivons jusqu’au
village de Mitheuil après être passé devant des maisons de villégiatures. Nous
débouchons rue du château, que nous prenons à droite. La rue tourne droite et
nous prenons la rue aux prêtres sur la
gauche de nouveau nous sommes entre bois
et champs, juste avant la D 934 nous prenons à gauche. Nous sommes au pied de
la colline et longeons d’un peu loin un bras du Grand Morin. Nous arrivons au
hameau Triangle par le chemin du moulin neuf et poursuivons par la route rue de
la caillette,
[(D’où vient donc ce nom qui évoque
une femme frivole, une variété de paupiette où un compartiment de la panse d’un
ruminant ? http://pommeuse.org/pomrando-a-coulommiers-le-11122016/] On à l’impression d’être dans un bidon ville.
Les jardins mériteraient d’autres constructions que d’anciennes caravanes,
quatre planches et trois tôles.
Pas très
jolie le coin le long de la rue Abel Prouharam.

Cela mériterait un bon
nettoyage surtout le grand moulin des prés qui est à l’abandon et menace ruine.
Le GR 14 prend à droite la rue des grandes maisons, et nous longeons une zone
industrielle. Puis nous prenons à gauche la rue Delsol balisage jaune et Gr (qui
est sans issu pour les voitures) La rue devient sentier dans un terrain vague
et à l’extrémité nous débouchons dans une nouvelle rue portant le même nom.
Nous entrons dans Coulommiers. [
Localisé au cœur de
la Brie, sur les bords
du Grand Morin. La ville devrait son
nom au latin columbo « colombe ».
Les Romains lui auraient donné le nom de Columbarium qui
signifie « colombier ». Le nom
de la ville a donné celui du coulommiers, fromage de Brie qu'elle produit traditionnellement. D'origine
gallo-romaine. Coulommiers fut réuni près de dix fois au domaine royal. Son histoire est aussi étonnante que mouvementée. Ses
antiques remparts et son château furent reconstruits par Clovis ; en 1612, Catherine de Gonzague y fit édifier un palais. Ernest Dessaint, Maire de
Coulommiers (1923) expliquait en ces mots :
« l'origine
de notre ville a de tout temps fait l'objet de controverses passionnées de la
part des différents auteurs qui se sont occupés de notre histoire locale ». Les
uns, tels le docteur Pascal, dans son ouvrage intitulé Histoire de
Seine-et-Marne, Achille Viré et Anatole Dauvergne, dans leurs études sur la
ville, lui refusent une origine antérieure à la conquête de la Gaule par Jules César. Les bienfaits d'une tranquillité relative et
l'indéniable prospérité dont elle profita durant sa possession par les comtes de Champagne et de Brie furent malheureusement annihilés par la guerre de Cent Ans,
au cours de laquelle elle fut prise et reprise par les Anglais.
les seigneurs de Coulommiers, s'ils ne sont pas
le roi, descendent souvent
du mariage entre Jeanne de Champagne-Navarre et Philippe IV le Bel (notamment les Navarre-Evreux et
leurs descendants les Armagnac-Nemours (en tant que ducs de Nemours,
duché auquel Coulommiers est alors rattaché), les Foix-Lautrec, les Nevers). À la
mort de son mari, tué
d'un coup d'arquebuse en entrant dans Doullens, le 20 avril 1595, la duchesse de Longueville (Catherine dame de Coulommiers, issue des
Nevers-Clèves-Gonzague) entreprit la construction du château dont nous voyons
encore les ruines et dont il subsiste les deux pavillons de gardes précédant
le
pont-levis. En 1654-63, son fils le duc Henri II de Longueville est duc de Coulommiers. Après la dernière des
Longueville Marie de Nemours
(petite-fille de Catherine de Nevers et fille du duc Henri II), la succession
passe, par son cousin Louis-Henri de Bourbon-Soissons (non issu de Catherine de Nevers, mais descendant des
Navarre-Evreux), aux d'Albert de Luynes.
En 1777, Marie-Charles-Louis duc de Luynes vendit Coulommiers aux Montesquiou-
Fezensac, déjà maîtres de Mauperthuis depuis le début du XVIIIe siècle
(Pierre de Montesquiou, père d'Anne-Pierre), et de Touquin en 1773. Le nom de Coulommiers reste indissociablement
lié à l'un des fleurons du patrimoine fromager français, le coulommiers,
parfois appelé aussi « petit brie de Coulommiers ». Connue depuis le Moyen Âge pour sa
production de fromages à pâte molle et à croûte
fleurie fabriqués à partir de lait cru
de vache. Représentante emblématique de l'authentique terroir gastronomique français, la production fromagère columérienne est de ce
fait devenue le centre de gravité tout autant d'importants intérêts économiques
- notamment locaux - que
de la lutte pour la sauvegarde de ce patrimoine
wikipédia] La rue est charmante bordée de maisons presque toute
identique en pierre meulière, ce qui donne une couleur chaude à ce quartier. Au
rond point le PR tourne à gauche nous poursuivons tout droit. Nous coupons la D
402 ( Martial Cordier) et prenons en face la rue de varennes. Nous coupons un
bras de Grand Morin. Laissons la rue Henri Nardeau sur la droite et juste avant
un virage le GR prend à droite une ruelle (rue Ménager) nous débouchons rue
Bertrand Flornoy que l’on prend à droite nous coupons de nouveau un bras du
Grand Morin appelé la fausse rivière
(nous sommes toujours sur le GR). La rue
change de nom devient rue de Strasbourg. Nous arrivons à un rond point et
prenons à gauche la rue marcel Clavier, puis à gauche la passerelle, au dessus
de la Fausse Rivière, nous entrons dans le parc des capucins
[le parc des Capucins. Son histoire commence en 1588,
lorsque Catherine de Gonzague
(1568-1629), fille d’Henriette de Clèves (1542-1601), épouse Henri Ier
d'Orléans (1568-1595), duc de Longueville, et lui apporte le fief de
Coulommiers en dot. Le couple
s’installe dans le château médiéval du fief, mais
décide rapidement d’en construite un plus moderne. Ils font appel à Salomon de Brosse (1571-1626), architecte du Palais du
Luxembourg. Quelques décennies plus tard, le parc est aménagé par Claude Mollet (1557-1647), premier jardinier
du roi. Le parc et son château entrent
dans la postérité en 1678 grâce au roman La princesse de Clèves écrit
par Madame de La Fayette (1634-1693). En 1915, le château, alors en ruine, et
son parc, sont légués à la ville par Abel Leblanc (1838-1915). En 1917, le parc des Capucins ouvre ses portes
au public. Il fait 4 hectares et comprend l’ancien couvent des Capucins,
actuel musée municipal des Capucins, et les vestiges du château, c’est-à-dire
les pavillons de garde et quelques éléments d’architectures. En 1945, le parc est réaménagé pour y créer
un jardin à l’anglaise et un autre à la française.
L’eau y occupe une
place importante, comme à l’époque de La princesse de Clèves. En 2003,
il est pré-inventorié à l’Inventaire des monuments historiques. Aujourd’hui, le
parc des Capucins est un jardin public populaire, apprécié par les touristes et
les habitants de Coulommiers. http://archives.seine-et-marne.fr/coulommiers-et-le-parc-des-capucins Si la première pierre de l'église des Capucins fut posée
le 19 avril 1617 en présence de Catherine de Gonzague, duchesse de
Longueville, sa consécration n'intervint que le 13 juillet 1625. Elle se compose d'une nef unique voûtée en lattes revêtues de plâtre, et est éclairée de chaque
côté par quatre fenêtres cintrées, tandis qu'un oculus s'ouvre à l'ouest. La longueur totale du sanctuaire est
de 33 mètres, la hauteur sous voûte atteint les 16 mètres. Une grotte artificielle, ou chapelle basse, est
célèbre pour ses sculptures représentant des
coquillages. L'ancienne église des Capucins abrite désormais les collections
archéologiques du musée municipal
de Coulommiers. wikipédia] [Le parc
des Capucins
est le plus célèbre jardin public de la ville. Parc fleuri parmi les plus beaux
d'Île-de-France. Le
château fort joua un rôle important au cours des guerres de Cent Ans et de
religions. Le château fut reconstruit au XVIIe siècle
par Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville. Le contrat de maçonnerie pour
la reconstruction du château avait été signé le 3 janvier 1613 suivant les
dessins de Salomon de Brosse
et détruit au XVIIIe siècle
par le duc de Luynes. Seuls demeurent les pavillons des gardes construits
suivant les plans de François Mansart et
une partie de l'aile du château.
Dans le parc, la chapelle des Capucins (à
l'intérieur de l'église Notre-Dame-des-Anges), construite en même temps que le
château, peut-être par Charles du Ry qui est cité dans les comptes de construction du
couvent, abrite le Musée municipal où sont exposées des collections
historiques, archéologiques et des œuvres d'art. Il abrite les vestiges du
château de Catherine de Gonzagues, ainsi que des plans d'eau autour des
anciennes douves et quelques essences rares. Il fut sévèrement touché durant
les tempêtes de 1999.wikipédia] Faisons le tour du parc, encore
fleuries (en novembre il ne reste plus beaucoup de fleurs) passons le pont et
les deux pavillons de l’ancien château. Sur cette petite île nous y trouvons un
arboretum. Revenons dans le parc principale prenons l’allée de droite bordée
par un bras d’eau et de magnifiques arbres, toujours le Gr et le balisage jaune.
Passons le Grand Morin et prenons sur la gauche un cour moment la promenade du
bord de l’eau, puis à droite l’allée du prieuré sainte Fay. Faisons le tour de
l’église
[L'église Saint-Denys-Sainte-Foy, de style néo-roman, est située au départ de l'avenue de Rebais. Construite
d'après les plans de l'architecte Ernest Brunet, elle fut consacrée par
l'évêque de Meaux le 16 juillet 1911. Sa construction fut décidée
par la municipalité afin de
remplacer l'ancienne église Saint-Denys, un édifice roman datant du XIIe siècle qui, mal entretenu, menaçait de s'effondrer :
devenue dangereuse, cette dernière fut d'ailleurs démolie en 1968. La nouvelle église est construite sur un plan en forme
de croix latine, comprenant une nef d'une longueur de 47,30 mètres pour une
largeur de 10 mètres entre les colonnes du vaisseau
principal, lequel est bordé de collatéraux. De larges baies en plein cintre sont ornées de vitraux, compositions modernes dans
lesquelles sont insérés des fragments des vitraux de l'ancienne église
Saint-Denys. Une tour-lanterne couvre la croisée du
transept : sa hauteur s'élève à 22
mètres. La façade de l'église
est dominée par un clocher trapu surmonté par une
flèche octogonale en pierre. La croix qui se trouve à son sommet atteint la
hauteur de 50 mètres. Le clocher abrite un bourdon
de 1 500 kilos baptisé « Louise-Élizabeth » :
celui-ci fut transférée de l'ancienne église Saint-Denys en 1911.] Prenons l’avenue de Rebais (D222) sur la
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sentier herbeux en ville |
droite, puis face au feu tricolore nous prenons la sente de l’Aitre sur la
gauche (GR 11) Il serpente dans un espace vert ressemblant à un bois disons
plutôt un taillis, il tourne à gauche juste avant la petite porte puis un peut
plus haut à droite nous longeons le stade et l’aire de jeux puis débouchons ‘’rue
verte’’ que nous prenons à gauche. Remontons la rue elle grimpe fortement et
nous débouchons avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny que nous prenons à
droite et tout de suite à droite la rue des ouches, nous sortons de
Coulommiers, de rue nous passons à chemin coupons la rue de la thibaude
poursuivons en face nous sommes sur le GR 11 et un balisage jaune coupons la
rue de la brisebeche passons l’espace forain notre chemin descend entre bois et
champs le long de clôtures. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous
abandonnons le GR et une branche du balisage jaune et remontons sur la gauche le
chemin du pont du Theil c’est également l’une des branches du balisage

jaune le
PR du bois Louis. A mi pente la trace sur la carte tourne à droite dans un
petit sentier entre des clôtures, sur le terrain le balisage jaune grimpe
jusqu’à la rue du Theil qu’il prend à droite. J’ai voulu suivre l’ancienne
trace et pris sur la droite le sentier entre les grillages, et j’en ai compris
les raisons du détournement… le chemin n’est plus entretenu. Il serpente au
départ entre de beaux jardins, puis malheureusement les terrains sont à
l’abandon les herbes, ronces, orties gagnent sur le sentier qui n’est pas bien
large (je mi promène en novembre et j’ai un peu de mal, alors au printemps..)
La fin du sentier devient sportif les thuyas d’une propriété en ruine sont
tombés sur le chemin et il faut se baisser pour passer

en dessous afin de ne
pas faire demi tour. C’est dommage ce sentier est plus intéressant que la rue.
Nous débouchons sur le chemin du gué des îles que nous prenons à gauche nous
retrouvons la rue du theil que nous prenons à droite, qui devient après le
virage à gauche de Montanglaust au Theil. Je suis un peu fatigué, j’ai marché à
6 km/h, j’ai bien transpiré et sur ce plateau ou rien n’arrête le vent, j’ai un
peu froid. Le balisage tourne à droite vers un centre équestre, c’était ma
trace, de ce plateau j’ai une vue, sur ce que je suppose être l’itinéraire et
cela ne m’inspire pas. J’abandonne cette boucle et continue la rue je prends
sur la gauche juste avant la Bauderie, la rue Gabriel Péri, en direction de
l’hôpital ou l’on retrouve le balisage jaune. Nous longeons l’hôpital. Au rond
point nous prenons à droite l’avenue

Foch nous passons devant la commanderie
des Templiers.
[La commanderie des Templiers, fut construite à partir de 1173, à la suite d'une donation du comte Henri palatin de
Troyes. Endommagée durant la période révolutionnaire, vendue comme bien national en 1791, elle est transformée en exploitation agricole par son
propriétaire d'alors, le fermier Pierre Josse. Elle gardera cette affectation
pendant plus d'un siècle et demi, sous le nom de « Ferme de
l'Hôpital » en référence aux Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. Sauvée de la démolition en 1966 par les multiples pétitions contre le maire de l'époque
M. Daniel Tourneur préférant raser la commanderie pour construire des HLM, une
campagne de restauration en fait désormais l'un des sites templiers les mieux
conservés du nord de la France. On peut y voir une grange aux dîmes,
un colombier, le logis
du Commandeur, la chapelle Sainte-Anne, la salle du chapitre et la cave,
ainsi
qu'un jardin d'inspiration médiévale d'une surface de 4 000
m2. Le site est classé Monument historique depuis 1994.][ Sa célèbre commanderie des Templiers, sauvée de la
destruction dans les années soixante est magnifiquement restaurée : elle est la
dernière à l’état complet en France, classée Monument historique. Son logis, sa
chapelle, ses caves, son jardin médiéval constituent un patrimoine unique. Sa
visite peut se compléter par des initiations à la restauration ou à la
technique des papiers de décoration.]

Dommage le terrain ne donne pas
l’impression que ce site classé Monument Historique soit le vraiment à la
disposition du public … L’arrière du bâtiment n’est pas entretenu quant à
l’entrée la grille est fermé impossible de rentrée dans la cour. Je pensais
qu’il avait amélioré l’accueille du touriste de passage et bien pas un progrès
depuis plus de dix ou j’étais venu spécialement pour voir ce bâtiment, (j’adore
l’histoire des templiers) et je m’étais déjà cassé le nez (J’espérais au moins
pouvoir entrer dans la cour.
Prenons sur
la gauche la rue des templiers, jusqu’au rond point ou nous prenons sur la
gauche la rue de Winston Churchill, au second rond point continuons de
descendre sur la droite l’avenue des Lorinettes. La rue tourne et coupe
l’avenue de Brie et poursuivons en face la rue Malakoff dans le bas sur la
gauche l’avenue Gastellier, nous arrivons au rond point et prenons à gauche
l’avenue de la République, puis à droite le cours Gambetta avec sa halle aux
fromages [
Son nom résulte des marchés qui s'y déroulaient et
qui
étaient principalement destinés aux fromages de la Brie dont le
Coulommiers. Elle fut construite à la fin du XIX° (1887), car le marché
devenait important.
Le marché, devenu Foire aux Fromages, a lieu tous les ans durant le week-end
des Rameaux mais il a été déplacé sur la place de la sucrerie car il est devenu
trop important pour la Halle.
Depuis le début des travaux de la place du marché les commerçant vendent leur
fruits et légumes . sous la halle, les clients séduits par ce changement de
lieu voudraient que cela soit définitif, nous verront prochainement la décision
de la mairie. http://coulommiers.skyrock.com/571782121-MONUMENT-La-Halle-au-fromages.html] Dans le bas de
cette place nous trouvons une belle maison d’un
l’un des angles se termine par un dôme. Poursuivons notre descente jusqu’au
rond point ou nous prenons à droite la rue du Palais de justice. La rue fait
patte d’oie, nous prenons à gauche passons
devant le palais de justice. Nous prenons à droite dans le square, en bout de ce dernier nous trouvons une allée face à
l’ancienne prison devenue
bibliothèque municipale (fallait y penser …) passons un bras du Grand Morin, contournons la
prisons et normalement nous pouvons sortir par l’impasse Venet Rotival (si la
porte est ouverte…) Prenons à gauche l’avenue du Général De Gaulle, traversons
le Grand Morin, puis prendre à droite la rue des Capucins, nous débouchons rue
Bertrand Flornoy que nous prenons à gauche. Au rond point la petite rue face à
nous un peut en biais. La gare se trouve ne face.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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