jeudi 2 mai 2019

De la Seine à la Marne Etape 5 : GR 1-14 & 11 Mauperthuis – Coulommiers


De la Seine à la Marne par les GR 1-14-11 


 Etape 5 GR 14 & … Mauperthuis – Coulommiers



Carte IGN                 Trace GPS et Topo sans commentaires    Trace Randogps                                  
 
Le code mobile de cette randonnée est b312695
                                                                             (Explications Code Mobile)  
Km     Temps      Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
29        4h50        0h20      6,00     5,6        346 +

Novembre 2017
Départ arrêt de bus à Montperthuis ; Nous descendons la D 402 (rue de Montesquiou), cette fois ci nous laissons la rue du parc sur notre droite et regardons cette drôle d’église place de l’église [Au 12ème siècle Mauperthuis est une ferme isolée de la paroise de Saints. Son indépendance date de 1195. Une chapelle est construite. En 1170 l’église à une seul nef, remplace la chapelle elle est construite par Anne Pierre de Montesquiou mousquetaire du roi. A la révolution le curé étant contre l’interdiction du culte, il fomente une émeute. la garde nationnal de Coulommiers disperse les habtants rudement 17 villageois meurent, et 163 sont fait prisonniers, dont 20 seront jugés, inculpés et condamnés à mort.] A l’angle de la rue, nous trouvons une source ou une fontaine mais je n’ai pas trouvez son histoire ou une légende sur son existance. Descendons jusqu’à la rue Bricot, ou nous trouvons la place de la 

  fontaine bordée de maisons ayant conservées leur escaliers d’origines et leur chiens assis. Au centre de la place herbeuse la fontaine [La fontaine constitué de grès et de Meulière faisait partie d’un ensemble de plusieurs constructions édifiées par le marquis de Montesquiou. C’est l’œuvre de l’architecte Brogniard (le même qui à réalisé le palais de la Bourse à Paris.) Achevée en 1764 cette fontaine est alimentée par une source venant de l’Oursine (Hameau au nord de Mauperthuis.) Grace à un ingénieux système elle fournit l’abreuvoir situé au même niveau que la fontaine. Les cheveaux passant sur la route toute proche entre Rosay et Coulommiers pouvais se 
 reposer et s’abreuver. (Les deux textes proviennent des panneaux d’informations.] Parlons un peut de ce Marquis Bienfaiteur de la commune [Né le 17 octobre 1739 à Paris et mort le 30 décembre 1798 à Paris, est un homme politique français qui fut lieutenant général des armées du roi, agronome, membre de l'Académie française (1784), puis député aux États généraux, général dans les armées de la Révolution et député à la Convention qu'il présida avant de régner sur la Commission des finances. Anne-Pierre de Montesquiou est le fils de Pierre de Montesquiou, seigneur de Mauperthuis, lieutenant-général des Armées du roi, et de Marie-Louise Bombarde de Beaulieu, fille de Paul-Pierre Bombarde de Beaulieu, conseiller au Grand Conseil et de Marguerite Doublet de Persan (fille de la célèbre Madame Doublet des Nouvelles 

à la main). Issu d'un rameau cadet de la branche des seigneurs d'Artagnan de la famille de Montesquiou, très ancienne famille noble de Gascogne, il est élevé à la cour et devient menin des enfants de France. Destiné à l'état militaire, il entra, d'abord comme chevau-léger de la garde du roi en 1754, puis passa successivement lieutenant au régiment Royal-Pologne en 1756, capitaine au régiment du Roi en 1757, colonel aux Grenadiers de France en 1758, aide-maréchal des logis et colonel du régiment Royal-Vaisseaux le 30 novembre 1761, chevalier de l'ordre de Saint-Louis en 1763 et brigadier des armées du roi en 1768. Il devient premier écuyer 
du comte de Provence, futur Louis XVIII, en 1771. Il est promu maréchal de camp le 1er mars 1780 et reçoit le collier de l'ordre du Saint-Esprit en 1784.
Proche des Physiocrates, il hérite de son oncle et de son père un domaine à Mauperthuis dans la Brie qu'il développe considérablement, en créant notamment un élevage de moutons mérinos. Il y fait construire vers 1764-1766 un château et un jardin régulier par Claude Nicolas Ledoux, puis fait appel à Hubert Robert et Alexandre-Théodore Brongniart pour l'aménagement d'un parc à l'anglaise avec de nombreuses fabriques d'inspiration maçonnique. Toujours à la demande de Montesquiou, Brongniart remodèle totalement le village de Mauperthuis. Vous trouverez la suite de son histoire dans wikipédia.] Poursuivons par les rues de la Place de la Fontaine & Bricot cette dernière située en fond de la 

place, après un virage elle nous amène rue du parc (D 15) que nous prenons à gauche, nous retrouvons le balisage jaune. Comme dans l’étape 4 à l’antenne nous prenons à gauche la rue du pressoir à la fourche toute proche laissons la rue du Saussoy sur la gauche. Nous sommes sur un balisage jaune. Notre rue débouche sur une autre formant Té et nous prenons à droite (rue des coteaux) vers le village de Esse ou nous retrouvons le GR 14. Au lieu de prendre le petit sentier sur la gauche à l’entrée du village poursuivons le balisage par la rue principale et le GR 14. Nous sortons rapidement du village et traversons le ru de l’Oursine. C’est la promenade des cours d’eau et des rus, nous sommes en novembre et nous avons eu un week-end très pluvieux. En ce lundi tous les petits cours d’eau sont chargés en eau boueuse. Nous quittons la route pour prendre un chemin sur la droite et l’on se demande 
bien pourquoi ? (vous comprendrez après).  Nous longeons un bois et prenons le premier chemin sur la gauche. Le balisage est inexistant pourtant un gros chêne permettrait d’indiquer le changement de direction. Nous débouchons rue du moulinet que nous prenons à droite.  Nous sommes toujours sur le GR & le jaune. A l’entrée du village de Ménil nous prenons à gauche le chemin se trouvant au carrefour avec le chemin des grès (Le chemin des grès est bitumé bordé de maisons et ressemblant plus à une rue). Le chemin balisé longe des clôtures tourne à angle droit sur la droite débouche sur la rue du glacis 

(ressemblant plus à un chemin) que l’on prend à gauche nous débouchons sur une patte d’oie et l’on poursuit sur la gauche. Nous revenons rue du Moulinet que nous prenons à droite. Ce Détour est peut être pour nous faire admirer cette vallée… Il est vrai qu’après la morne plaine de la Brie les petites vallées creusées par l’Aubetin et le Grand Morin sont vraiment dépaysant. Descendons la rue. Juste avant le virage un chemin sur la gauche permet de couper ce dernier, nous retrouvons la route poursuivons notre descente jusqu’ au 
moulin du Moulinet ou nous franchissons l’Aubetin [C'est un affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,2 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne.] Nous arrivons à une succession de hameaux ‘’les moules- le 

champ roger’’ nous débouchons sur 
une route formant Té et prenons à droite la rue de la vallée en direction des bordes. Nous longeons quelques propriétés puis prenons un chemin sur la droite nous descendons dans un bois entre deux clôtures toujours notre balisage, puis longeons bois et champ, nous débouchons rue du Montcet juste à l’entrée du hameau de Montcet nous prenons à droite traversons le hameau et prenons le 
sentier sur la gauche juste avant le pont traversant L’Aubetin. Au lieu de suivre le large chemin balisé, je suis un petit sentier de pécheur longeant la petite rivière. Pas facile après les pluies, le sentier n’est pas large et glisse beaucoup. Au printemps je ne suis pas sur qu’il soit utilisable avant que les pêcheurs ne réalisent la trace. Le sentier longeant l’eau but sur des barbelés, nous prenons à gauche une trace dans les orties nous permettant de rejoindre le chemin et le balisage. Contournons la prairie, nous retrouvons la rivière et débouchons rue de la cascade dans le hameau du Poncet nous passons le pont. La cascade est constituée de quelques pierres accentuant le brusque petit dénivelé. Comme aujourd’hui les eaux sont grosses l’effet est peut être moins caractéristique. Après
le pont nous longeons un ancien moulin, nous apercevons à l’extérieur le système d’entraînement provenant certainement de l’intérieur du moulin devenu maison d’habitation. Prenons le chemin à gauche. De rue nous passons à chemin (boueux), passons un gué et l’on continue dans les bois. Nous arrivons à quelques habitations sommaires en bordure du chemin gravillonné de la Cornée, nous débouchons sur la route bitumée du pont, nous prenons à droite et laissons le village de la Lavanderie derrière nous.  On se dirige vers une construction au milieu d’une prairie. A l’intersection nous remarquons le lavoir isolé et sans un ru pour l’alimenter [La Lavanderie : Vient du latin « avantaria ». Le hameau est implanté le long de l’Aubetin. La route du hameau aboutissait à un gué doublé plus tard d’un pont d’abord en bois puis en pierre (au XVIIè ou XVIIIè siècle). Ce pont est souvent appelé gallo-romain à tort.  http://pommeuse.org/la-lavanderie/] Remontons la rue du pont et lorsqu’elle rencontre la rue Paul Nicaise formant Té avec elle, nous laissons Bisset sur la droite et prenons le chemin face à nous la rue des Vaillants (rue ressemblant plus à un chemin). Nous longeons le mur d’une propriété et entrons dans un bois. Le chemin fait fourche, nous prenons le chemin sur la gauche, nous sommes également sur un balisage jaune. Notre chemin débouche sur un autre formant Té, nous abandonnons l’un des deux balisages jaune (celui de droite retourne à Saint Augustin.) Nous prenons à gauche celui des rives du Grand Morin
et bien sur c’est également notre fil jaune & rouge du GR 14.  De chemin nous passons à rue du vieux Saint Augustin. Nous débouchons sur la D15 et sur la gauche nous avons une beau tableau avec la vallée et le viaduc [Viaduc ferroviaire de l'Aubetin (XIXe siècle), 213 m de long, 16 m de haut, achevé en 1862. L'arche centrale a été renforcée en 1921. wikipédia] passons sous le petit pont et nous entrons dans Pommeuse par la rue paul Niclause [Pommeuse signifie «Pont sur le Morin». Deux voies gallo-romaines, venant d’une part de Troyes par la Ferté Gauché, et d’autre part de Melun par Touquin, se retrouvaient à St Augustin pour rejoindre Meaux puis Senlis et Boulogne sur Mer. Installé autour du pont permettant à la voie 
gallo-romaine dite «le Perré» de franchir le Grand Morin, Pommeuse fut d’abord Eboriac. Le pont, situé 50m en amont du pont actuel, était sans doute à péage, au profit du seigneur local. http://pommeuse.org/historique/] Après le petit pont nous prenons à droite la rue de la Rochelle, nous sommes dans la petite zone industrielle, nous avons sur la droite une immense pince de forge réalisé par un Meilleur Ouvrier de
France (Les MOF dans le jargon) Appelé ‘’Tenaille 250’’ Forgé aux Forges d’Epinay sur Seine en 1952 par un Compagnon passant forgeron mécanicien Du Devoir du Tour de France. Ce que j’aimerais que l’on parle un peu plus à la télé ou à la radio des Compagnons de Devoir, Des M.O.F A la place des télés réalités complètement débiles et inutile, on nous présenterait 

Le Grand Morin
des concours sur le travail cela donnerait peut être des idées aux jeunes qui n’ont pas les facultés de rejoindre par leur études ses dernières… Taper meilleur ouvrier de France Plombier, métallier ou serrurier et vous vous rendrez compte qu’en plomberie ce n’est pas qu’un métier ou l’on débouche des sanitaires et que le 
serrurier n’est pas là que pour arnaquer le client qui à perdu ses clés un dimanche à 3 h00 du matin. En tapant sur internet je suis tombé sur la photo d’une porte réalisée toute en inox avec une grille composée de croisillons, de cercles, d’hexagones, de pointe de diamant en tôle d’inox. C’est une œuvre que j’ai vu réalisé par un compagnon de mon entreprise. On est loin de la rentabilité et du vite fait bien fait, Un an pour réaliser cette œuvre il y a passé une grande partie de ses nuits, de ses week-end et de ses vacances. C’est le prix de l’excellence… Il y a bien des télés sur le meilleur pâtissier, la couture, pourquoi pas sur la plomberie, la serrurerie (au sens large, portes et fenêtres, en fer- alu, escalier, charpente) la maçonnerie ou la peinture (comprenant la déco avec les faut marbre, faut bois etc..) On peut 
rêver, aujourd’hui il s’ouvre plus de logistique que d’industrie sur notre territoire.) Notre rue devient chemin et longe la ligne SNCF à voie unique. (C’est tout de même la ligne de Coulommier, je comprends mieux la mise en place de tout ses bus…) Au pont passant au dessus de la ligne de chemin de fer, laissons le PR des lavoirs de Pommeuse partir sur la droite et prenons Le Gr sur la gauche doublé par le PR du Grand Morin. Après la traversée d’un bois entre des clôtures nous débouchons sur une route (Avenue de la gare) que nous prenons à gauche. Nous passons le Grand Morin [Il est couramment admis que les sources du Grand Morin se situent sur la commune de Lachy. Un petit cours d'eau nommé « Ruisseau de l'étang de la Morelle » relie les étangs de la Morelle aux sources du Grand Morin. SANDRE 

localise néanmoins la source du Grand Morin au niveau des étangs de la Morelle, sur la commune de La Villeneuve-lès-Charleville. Le Grand Morin se jette 118,2 kilomètres plus loin dans la rivière Marne à Condé-Sainte-Libiaire (à l'est de Marne-la-Vallée). Un bras moins important conflue avec la Marne plus en aval, sur la commune de Lesches, les deux bras et la Marne formant ainsi l'« île de Condé ». C'est la plus grande rivière après la Marne, de la région naturelle de la Brie, avec son jumeau septentrional le Petit Morin (débit moyen moitié moindre de celui du Grand Morin).
Son importance anthropique est telle qu'elle a donné son nom à un des terroirs de la Brie : « la Brie des Morins » et en a structuré l'occupation humaine depuis 
l'Antiquité (orientation des voies de communication et urbanisation francilienne dite « en doigt de gant » le long de la vallée).
Son tracé est orienté dans le sens est-ouest, avec un parcours très ondulé de 43 km dans le département de la Marne, puis de 77 km en Seine-et-Marne. En plusieurs endroits, le cours de la rivière se divise en deux bras, formant de petits îlots sur des distances assez courtes (La Celle-sur-Morin, Coulommiers, Jouy-sur-Morin, La Ferté-Gaucher). Topographiquement, sur ses 120 km de parcours, le Grand Morin commence à 185 mètres d'altitude à sa source en région Grand Est, pour finir à 44 mètres d'altitude à son confluent en Île-de-France ; son altitude intermédiaire est à mi-parcours de 100 mètres (point kilométrique 60 du cours, à Jouy-sur-Morin). La rivière connait un cours 

régulier sans chutes naturelles (la pente naturelle varie de 1 à 2 % seulement) ; les seules chutes sont dues aux ouvrages anthropiques (seuils de retenues de moulins), aux dénivelés du reste très modérés et en pente douce (franchissables en embarcation légère). Le plateau de la Brie (Bassin Parisien) où évolue le Grand Morin est compris entre une altitude de 200 mètres à l'est et 100 mètres à l'ouest ; la vallée de la rivière peut parfois être abrupte et encaissée, surtout dans sa partie amont, avec des 
différences d'altitude entre le fond de rivière et le haut du coteau de 50 à 100 mètres. wikipédia] Nous entrons dans Mouroux par l’avenue de la gare, passons sur la place de l’église et de la mairie. [IL Y A BIEN LONGTEMPS... Des fouilles menées dans les années 1960 démontrent l’occupation du sol de Mouroux depuis le paléolithique. Selon certains, l’homme aurait occupé sans discontinuité son territoire. Mouroux est divisé en plusieurs fiefs, dont l’un détenu par les Caumartin. II semble qu’il y ait eu un château, signalé par Anatole Dauvergne, érudit du XIXe 
siècle. Ce village eut probablement à subir les guerres et bouleversements qui ont marqué la région.
ORIGINES DU NOM DE LA COMMUNE : Au cours de son histoire, MOUROUX, aurait porté plusieurs variantes du nom. C’est ainsi qu’entre 1145 et 1154 il s’appelait MORO en 1190, pour redevenir MOUROU en 1528 et 1684. MOUROUX serait l’interprétation de « lieu de baies, de ronces ». ville-mouroux.fr/
L’ÉGLISE

 Édifiée au cours du 13ème siècle, le sanctuaire serait du 15ème siècle. Son patron est Saint Rémi, évêque de REIMS. Composée de trois nefs, elle possède un porche de style roman. Elle renferme une curieuse peinture du baptême de Clovis. Les textes indiquent que l’abbaye de Faremoutiers avait la haute justice sur Mouroux et qu’elle y possédait plusieurs biens. ville-mouroux.fr/] Prenons la rue des cités sur la droite puis à gauche la rue Cornu. Traversons l’avenue de la Libération 

poursuivons en face puis traversons l’avenue du Général de Gaule (D 934) nous prenons en face la rue des Alleluias [L'Alléluia est une pièce de musique liturgique, dans le propre de la messe catholique. Il est d'ordinaire chanté avant la lecture de l'Évangile. Le mot « Alleluia » ou « Hallelujah » (en hébreu : הַלְּלוּיָהּ / , transcrit ἀλληλούϊα / allêloúïa en grec), signifie littéralement « louez le Seigneur » (« Louez Yah » – du tétragramme YHWH). L'Alléluia est un chant responsorial du propre de la messe. Wikipédia] Chemin de procession ? Peut être…De rue desservant des pavillons, nous passons à chemin dans les champs nous traversons le ru du Liéton poursuivons en foret jusqu’au hameau de Galipanne & Bois la ville  nous débouchons rue des Lombards que nous prenons à droite.
Attention nous prenons à gauche juste avant un bois et longeons sa lisière en bordure d’un champ. Nous sommes toujours sur le GR 14. Nous quittons la route pour prendre un chemin sur la gauche nous sommes de nouveau dans les champs le chemin tourne à quatre vingt dix degrés sur la droite nous rejoignons les bois faisons un esse et restons entre bois et champs, coupons un chemin puis nous rencontrons une balise nous informant qu’il faut tourner à gauche ne pas prendre le premier chemin ( à l’intérieur de la balise on nous informe que c’est à 200m). Nous prenons à gauche à la patte d’oie le chemin s’appelant ‘’le sentier du Clos de Mitheuil’’ que nous suivons jusqu’au village de Mitheuil après être passé devant des maisons de villégiatures. Nous débouchons rue du château, que nous prenons à droite. La rue tourne droite et nous prenons la

rue aux prêtres sur la gauche de nouveau nous sommes entre bois et champs, juste avant la D 934 nous prenons à gauche. Nous sommes au pied de la colline et longeons d’un peu loin un bras du Grand Morin. Nous arrivons au hameau Triangle par le chemin du moulin neuf et poursuivons par la route rue de la caillette, [(D’où vient donc ce nom qui évoque une femme frivole, une variété de paupiette où un compartiment de la panse d’un ruminant ? http://pommeuse.org/pomrando-a-coulommiers-le-11122016/] On à l’impression d’être dans un bidon ville. Les jardins mériteraient d’autres constructions que d’anciennes caravanes, quatre planches et trois tôles.  Pas très jolie le coin le long de la rue Abel

Prouharam. Cela mériterait un bon nettoyage surtout le grand moulin des prés qui est à l’abandon et menace ruine. Le GR 14 prend à droite la rue des grandes maisons, et nous longeons une zone industrielle. Puis nous prenons à gauche la rue Delsol balisage jaune et Gr (qui est sans issu pour les voitures) La rue devient sentier dans un terrain vague et à l’extrémité nous débouchons dans une nouvelle rue portant le même nom. Nous entrons dans Coulommiers. [Localisé au cœur de la Brie, sur les bords du Grand Morin. La ville devrait 

son nom au latin columbo « colombe ». Les Romains lui auraient donné le nom de Columbarium qui signifie « colombier ». Le nom de la ville a donné celui du coulommiers, fromage de Brie qu'elle produit traditionnellement. D'origine gallo-romaine. Coulommiers fut réuni près de dix fois au domaine royal. Son histoire est aussi étonnante que mouvementée. Ses antiques remparts et son château furent reconstruits par Clovis ; en 1612, Catherine de Gonzague y fit édifier un palais. Ernest Dessaint, Maire de Coulommiers (1923
expliquait en ces mots : « l'origine de notre ville a de tout temps fait l'objet de controverses passionnées de la part des différents auteurs qui se sont occupés de notre histoire locale ». Les uns, tels le docteur Pascal, dans son ouvrage intitulé Histoire de Seine-et-Marne, Achille Viré et Anatole Dauvergne, dans leurs études sur la ville, lui refusent une origine antérieure à la conquête de la Gaule par Jules César. Les bienfaits d'une tranquillité relative et l'indéniable prospérité dont elle profita durant sa possession par les comtes de Champagne et de Brie furent malheureusement annihilés par la guerre de Cent Ans, au cours de laquelle elle fut prise et reprise par les Anglais.
les seigneurs de Coulommiers, s'ils ne sont pas le roi, descendent souvent 

du mariage entre Jeanne de Champagne-Navarre et Philippe IV le Bel (notamment les Navarre-Evreux et leurs descendants les Armagnac-Nemours (en tant que ducs de Nemours, duché auquel Coulommiers est alors rattaché), les Foix-Lautrec, les Nevers). À la mort de son mari, tué d'un coup d'arquebuse en entrant dans Doullens, le 20 avril 1595, la duchesse de Longueville (Catherine dame de Coulommiers, issue des Nevers-Clèves-Gonzague) entreprit la construction du château dont nous voyons encore les ruines et dont il subsiste les deux pavillons de 

 gardes précédant le pont-levis. En 1654-63, son fils le duc Henri II de Longueville est duc de Coulommiers. Après la dernière des Longueville Marie de Nemours (petite-fille de Catherine de Nevers et fille du duc Henri II), la succession passe, par son cousin Louis-Henri de Bourbon-Soissons (non issu de Catherine de Nevers, mais descendant des Navarre-Evreux), aux d'Albert de Luynes. En 1777, Marie-Charles-Louis duc de Luynes vendit Coulommiers aux Montesquiou-
Fezensac, déjà maîtres de Mauperthuis depuis le début du XVIIIe siècle (Pierre de Montesquiou, père d'Anne-Pierre), et de Touquin en 1773. Le nom de Coulommiers reste indissociablement lié à l'un des fleurons du patrimoine fromager français, le coulommiers, parfois appelé aussi « petit brie de Coulommiers ». Connue depuis le Moyen Âge pour sa 
 production de fromages à pâte molle et à croûte fleurie fabriqués à partir de lait cru de vache. Représentante emblématique de l'authentique terroir gastronomique français, la production fromagère columérienne est de ce fait devenue le centre de gravité tout autant d'importants intérêts économiques - notamment locaux - que 

de la lutte pour la sauvegarde de ce patrimoine wikipédia] La rue est charmante bordée de maisons presque toute identique en pierre meulière, ce qui donne une couleur chaude à ce quartier. Au rond point le PR tourne à gauche nous poursuivons tout droit. Nous coupons la D 402 ( Martial Cordier) et prenons en face la rue de varennes. Nous coupons un bras de Grand Morin. Laissons la rue Henri Nardeau sur la droite et juste avant un virage le GR prend à droite une ruelle (rue Ménager) nous débouchons rue Bertrand Flornoy que l’on prend à droite nous coupons de nouveau un bras

du Grand Morin appelé la fausse rivière (nous sommes toujours sur le GR). La rue change de nom devient rue de Strasbourg. Nous arrivons à un rond point et prenons à gauche la rue marcel Clavier, puis à gauche la passerelle, au dessus de la Fausse Rivière, nous entrons dans le parc des capucins [le parc des Capucins. Son histoire commence en 1588, lorsque Catherine de Gonzague (1568-1629), fille d’Henriette de Clèves (1542-1601), épouse Henri Ier d'Orléans (1568-1595), duc de Longueville, et lui apporte le fief de Coulommiers en dot. Le couple s’installe dans le château médiéval du fief, mais décide rapidement d’en construite un plus moderne. Ils font appel à Salomon de Brosse (1571-1626), architecte du Palais du Luxembourg. Quelques décennies plus tard, le parc est aménagé par Claude Mollet (1557-1647), premier jardinier du roi. Le parc et son château entrent dans la postérité en 1678 grâce au roman La princesse de Clèves écrit par Madame de La Fayette (1634-1693). En 1915, le château, alors en ruine, et son parc, sont légués à la ville par Abel Leblanc (1838-1915). En 1917, le parc des Capucins ouvre ses portes au public. Il fait 4 hectares et comprend l’ancien couvent des Capucins, actuel musée municipal des Capucins, et les vestiges du château, c’est-à-dire les pavillons de garde et quelques éléments d’architectures. En 1945, le parc est réaménagé pour y créer un jardin à 

l’anglaise et un autre à la française. L’eau y occupe une place importante, comme à l’époque de La princesse de Clèves. En 2003, il est pré-inventorié à l’Inventaire des monuments historiques. Aujourd’hui, le parc des Capucins est un jardin public populaire, apprécié par les touristes et les habitants de Coulommiers. http://archives.seine-et-marne.fr/coulommiers-et-le-parc-des-capucins Si la première pierre de l'église des Capucins fut posée le 19 avril 1617 en présence de Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville, sa consécration n'intervint que le 13 juillet 1625. Elle se compose d'une nef unique voûtée en lattes revêtues de plâtre, et est éclairée de chaque côté par quatre fenêtres cintrées, tandis qu'un oculus s'ouvre à l'ouest. La longueur totale du sanctuaire est de 33 mètres, la hauteur sous voûte atteint les 16 mètres. Une grotte artificielle, ou chapelle basse, est célèbre pour ses sculptures représentant des coquillages. L'ancienne église des Capucins abrite désormais les collections archéologiques du musée municipal de Coulommiers. wikipédia] [Le parc 

des Capucins est le plus célèbre jardin public de la ville. Parc fleuri parmi les plus beaux d'Île-de-France. Le château fort joua un rôle important au cours des guerres de Cent Ans et de religions. Le château fut reconstruit au XVIIe siècle par Catherine de Gonzague, duchesse de Longueville. Le contrat de maçonnerie pour la reconstruction du château avait été signé le 3 janvier 1613 suivant les dessins de Salomon de Brosse et détruit au XVIIIe siècle par le duc de Luynes. Seuls demeurent les pavillons des gardes construits suivant les plans de François Mansart et une partie de l'aile du 
château. Dans le parc, la chapelle des Capucins (à l'intérieur de l'église Notre-Dame-des-Anges), construite en même temps que le château, peut-être par Charles du Ry qui est cité dans les comptes de construction du couvent, abrite le Musée municipal où sont exposées des collections historiques, archéologiques et des œuvres d'art. Il abrite les vestiges du château de Catherine de Gonzagues, ainsi que des plans d'eau autour des anciennes douves et quelques essences rares. Il fut sévèrement touché durant les tempêtes de 1999.wikipédia] Faisons le tour du parc, encore fleuries (en novembre il ne reste plus beaucoup de fleurs) passons le pont et les deux pavillons de l’ancien château. Sur cette petite île nous y trouvons un arboretum. Revenons dans le parc principale prenons l’allée de droite bordée par un bras d’eau et de magnifiques arbres, toujours le Gr et le balisage jaune. Passons le Grand Morin et prenons sur la gauche un cour moment la promenade du bord de l’eau, puis à droite l’allée du prieuré sainte Fay. Faisons le tour de l’église [L'église Saint-Denys-Sainte-Foy, de style néo-roman, est située au départ de l'avenue de Rebais. Construite d'après les plans de l'architecte Ernest Brunet, elle fut consacrée par l'évêque de Meaux le 16 juillet 1911. Sa construction fut décidée par la municipalité afin de remplacer l'ancienne église Saint-Denys, un édifice roman datant du XIIe siècle qui, mal entretenu, menaçait de s'effondrer : devenue dangereuse, cette dernière fut d'ailleurs démolie en 1968. La nouvelle église est construite sur un plan en forme de croix latine, comprenant une nef d'une longueur de 47,30 mètres pour une largeur de 10 mètres entre les colonnes du vaisseau principal, lequel est bordé de collatéraux. De larges baies en plein cintre sont ornées de vitraux, compositions modernes dans lesquelles sont insérés des fragments des vitraux de l'ancienne église Saint-Denys. Une tour-lanterne couvre la croisée du transept : sa hauteur s'élève à 22 mètres. La façade de l'église est dominée par un clocher trapu surmonté par une flèche octogonale en pierre. La croix qui se trouve à son sommet atteint la hauteur de 50 mètres. Le clocher abrite un bourdon de 1 500 kilos baptisé « Louise-Élizabeth » : celui-ci fut transférée de l'ancienne église Saint-Denys en 1911.] Prenons l’avenue de Rebais (D222) sur la
sentier herbeux en ville

droite, puis face au feu tricolore nous prenons la sente de l’Aitre sur la gauche (GR 11) Il serpente dans un espace vert ressemblant à un bois disons plutôt un taillis, il tourne à gauche juste avant la petite porte puis un peut plus haut à droite nous longeons le stade et l’aire de jeux puis débouchons ‘’rue verte’’ que nous prenons à gauche. Remontons la rue elle grimpe fortement et nous débouchons avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny que nous prenons à droite et tout de suite à droite la rue des ouches, nous sortons de Coulommiers, de rue nous passons à chemin coupons la rue de la thibaude poursuivons en face nous sommes sur le GR 11 et un balisage jaune coupons la rue de la brisebeche passons l’espace forain notre chemin descend entre bois et champs le long de clôtures. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous abandonnons le GR et une branche du balisage jaune et remontons sur la gauche le chemin du pont du Theil c’est également l’une des branches du balisage
jaune le PR du bois Louis. A mi pente la trace sur la carte tourne à droite dans un petit sentier entre des clôtures, sur le terrain le balisage jaune grimpe jusqu’à la rue du Theil qu’il prend à droite. J’ai voulu suivre l’ancienne trace et pris sur la droite le sentier entre les grillages, et j’en ai compris les raisons du détournement… le chemin n’est plus entretenu. Il serpente au départ entre de beaux jardins, puis malheureusement les terrains sont à l’abandon les herbes, ronces, orties gagnent sur le sentier qui n’est pas bien large (je mi promène en novembre et j’ai un peu de mal, alors au printemps..) La fin du sentier devient sportif les thuyas d’une
propriété en ruine sont tombés sur le chemin et il faut se baisser pour passer en dessous afin de ne pas faire demi tour. C’est dommage ce sentier est plus intéressant que la rue. Nous débouchons sur le chemin du gué des îles que nous prenons à gauche nous retrouvons la rue du theil que nous prenons à droite, qui devient après le virage à gauche de Montanglaust au Theil. Je suis un peu fatigué, j’ai marché à 6 km/h, j’ai bien transpiré et sur ce plateau ou rien n’arrête le vent, j’ai un peu froid. Le balisage tourne à droite vers un centre équestre, c’était ma trace, de ce plateau j’ai une vue, sur ce que je suppose être l’itinéraire et cela ne m’inspire pas. J’abandonne cette boucle et continue la rue je prends sur la gauche juste avant la Bauderie, la rue Gabriel Péri, en direction de l’hôpital ou l’on retrouve le balisage jaune. Nous longeons l’hôpital. Au rond point nous prenons à droite l’avenue
Foch nous passons devant la commanderie des Templiers. [La commanderie des Templiers, fut construite à partir de 1173, à la suite d'une donation du comte Henri palatin de Troyes. Endommagée durant la période révolutionnaire, vendue comme bien national en 1791, elle est transformée en exploitation agricole par son propriétaire d'alors, le fermier Pierre Josse. Elle gardera cette affectation pendant plus d'un siècle et demi, sous le nom de « Ferme de l'Hôpital » en référence aux Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem. Sauvée de la démolition en 1966 par les multiples pétitions contre le maire de l'époque M. Daniel Tourneur préférant raser la commanderie pour construire des HLM, une campagne de restauration en fait désormais l'un des sites templiers les mieux conservés du nord de la France. On peut y voir une grange aux dîmes, un colombier, le logis du 

Commandeur, la chapelle Sainte-Anne, la salle du chapitre et la cave, ainsi qu'un jardin d'inspiration médiévale d'une surface de 4 000 m2. Le site est classé Monument historique depuis 1994.][ Sa célèbre commanderie des Templiers, sauvée de la destruction dans les années soixante est magnifiquement restaurée : elle est la dernière à l’état complet en France, classée Monument historique. Son logis, sa chapelle, ses caves, son jardin médiéval constituent un patrimoine unique. Sa visite peut se compléter par des initiations à la restauration ou à la technique des papiers de décoration.]
Dommage le terrain ne donne pas l’impression que ce site classé Monument Historique soit le vraiment à la disposition du public … L’arrière du bâtiment n’est pas entretenu quant à l’entrée la grille est fermé impossible de rentrée dans la cour. Je pensais qu’il avait amélioré l’accueille du touriste de passage et bien pas un progrès depuis plus de dix ou j’étais venu spécialement pour voir ce bâtiment, (j’adore l’histoire des templiers) et je m’étais déjà cassé le nez (J’espérais au moins pouvoir entrer dans la cour.  Prenons sur la gauche la rue des templiers, jusqu’au rond point ou nous prenons sur la gauche la rue de Winston Churchill, au second rond point continuons de descendre sur la droite l’avenue des Lorinettes. La rue tourne et coupe l’avenue de Brie et poursuivons en face la rue Malakoff dans le bas sur la gauche l’avenue Gastellier, nous arrivons au rond point et prenons à gauche l’avenue de la République, puis à droite le cours Gambetta avec sa halle aux fromages [Son nom résulte des marchés qui s'y déroulaient et qui étaient principalement destinés aux fromages de la Brie dont le Coulommiers. Elle fut construite à la fin du XIX° (1887), car le marché devenait important.
Le marché, devenu Foire aux Fromages, a lieu tous les ans durant le week-end des Rameaux mais il a été déplacé sur la place de la sucrerie car il est devenu trop important pour la Halle.
Depuis le début des travaux de la place du marché les commerçant vendent leur fruits et légumes . sous la halle, les clients séduits par ce changement de lieu voudraient que cela soit définitif, nous verront prochainement la décision de la mairie.
http://coulommiers.skyrock.com/571782121-MONUMENT-La-Halle-au-fromages.html] Dans le bas de 
cette place nous trouvons une belle maison d’un l’un des angles se termine par un dôme. Poursuivons notre descente jusqu’au rond point ou nous prenons à droite la rue du Palais de justice. La rue fait patte d’oie, nous prenons à gauche  passons devant le palais de justice. Nous prenons à droite dans le square, en bout  de ce dernier nous trouvons une allée 

face à l’ancienne prison devenue bibliothèque municipale (fallait y penser …) passons  un bras du Grand Morin, contournons la prisons et normalement nous pouvons sortir par l’impasse Venet Rotival (si la porte est ouverte…) Prenons à gauche l’avenue du Général De Gaulle, traversons le Grand Morin, puis prendre à droite la rue des Capucins, nous débouchons rue Bertrand Flornoy que nous prenons à gauche. Au rond point la petite rue face à nous un peut en biais. La gare se trouve ne face.
  



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