Pour
cette Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans le Village du De Beton-Bazoches dans la Forêt de Jouy
Le départ se fait de la petite zone industrielle de Noëlle située vers le silo entre la Nationale 4 et le village de Beton Bazoches nous y accédons par la D 90 rue du bois des remises (c'est une petite rue) puis à droite la rue de la Noëlle. Face à une usine nous trouvons un parking.
Beton Bazoches se trouve sur la N4 entre Rozay en Brie et Esternay
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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Le code mobile de cette randonnée est b345850
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Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Octobre 2018
Poursuivons
cette rue jusqu'au rond point de retournement nous sommes sur le GR 11, sur la
gauche nous trouvons un chemin longeant la clôture d'une usine. Le chemin fait fourche
prenons la branche de droite longeons un petit bois, nous arrivons au hameau de
Boisson nous débouchons rue de la Noël que nous prenons à gauche, nous quittons
le GR. Prenons sur la droite la rue du presbytère, puis à droite la rue Grande (D
90). Sur la carte la trace continue rue des Molinards pour prendre un petit
sentier passant entre des maisons, les propriétaires ont fermés le chemin. Laissons la rue Molinards sur notre droite et
poursuivons la D 90, (rue du lavoir), nous trouvons ce dernier, un peu après la
rue de Paris. Revenons sur nos pas et prenons la rue de Paris. Prenons le
premier chemin sur la gauche, après les champs nous longeons un bois, nous en
traversons une petite partie et le longeons de
nouveau. Nous arrivons au hameau
de La Rue. Hameau de quatre maisons. Nous longeons une construction neuve
hérissée de caméra. A l’angle de de cette dernière, nous prenons le chemin de
gauche. Nous passons le long d’une ancienne ferme ou nous apercevons ce qui
devait être un four à pain dont la cheminée s’est écroulée. Sur la droite un
puits. On a l’impression de rentrer chez les propriétaires, mais le chemin se
dirige vers le petit bois que nous longeons, puis vers le village que nous
apercevons au loin. Nous passons au dessus du ru des Luisantes, après le ru
nous prenons le premier chemin sur la droite. Nous débouchons sur une route pas
très loin du village de Bannost, que nous prenons à droite. Surprise je trouve
des trottoirs. Il est rare de trouver ses derniers jusqu’aux panneaux de sortie,
alors que la rue ne comporte que quelques maisons. Nous prenons le chemin sur
la gauche,
passons devant un stand de tir. Le chemin tourne dans les champs et
débouche sur une route que nous prenons à gauche, nous passons devant un beau
lavoir possédant une pompe à godets et un abreuvoir, tout de suite après nous
prenons sur la droite le chemin dans les champs, nous débouchons sur la D 90
que nous prenons à droite un cours instant et dans le virage le chemin sur la
droite. Laissons les chemins à droite et à gauche, nous longeons une carrière
de sable en activité puis longeons un bois, puis traversons un ru. Nous
débouchons
sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, nous débouchons de nouveau sur
un chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous coupons la route menant à la
carrière et débouchons sur la D 90, longeons la ferme de la Charmoye nous
trouvons un beau puits sur la gauche. Poursuivons le bitume de la D 90 puis
nous prenons sur la droite le chemin renforcé longeant des bâtiments agricoles.
Le chemin fait fourche nous prenons à gauche. Après avoir passé le ru de
Charmoye (fossé sans eau après quatre mois de sécheresse) le chemin devient un
peu plus herbeux, le chemin fait fourche nous prenons à droite. Pas facile à
trouver se chemin il est rempli d’herbe et peu de monde l’emprunte pas même le
tracteur. Nous débouchons sur un
chemin formant Té, prenons à Droite. Nous
arrivons au hameau des chapelles d'en haut et débouchons dans la seule rue de
ce hameau tout en long que nous prenons à droite. Coupons la D 231 et
poursuivons en face la seule rue du hameau des chapelles d'en bas. Quatre
maisons très espacés perdues dans la campagne mais bordée par une route à
grande circulations. La route devient chemin
renforcé qui débouche sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Au carrefour
suivant nous prenons à gauche et arrivons à l'orée de la forêt de Jouy. [située sur le plateau de la Brie.
La forêt a un relief vallonné, avec un point haut à 169 mètres à l'est et un
point bas au sud-ouest sur l'Yvron à
134 mètres. C'est une forêt qui s'étire du sud-ouest au nord-ouest sur environ
12 km, avec une largeur moyenne de 2 km. Si la forêt est constituée d'un seul
tenant, elle est profondément entaillée
par les défrichements, notamment autour
des fermes de Jouy l'Abbaye et de Saint-Antoine. La forêt est directement
prolongée à l'est par le bois Francs et le bois de Quincy. La forêt est
traversée en son centre à la perpendiculaire par la RD 231 reliant
Lagny-sur-Marne à Provins, ainsi que par des routes secondaires comme la RD 75
et la route de Saint-Antoine au centre, la RD 12 au sud-ouest et la RD 75a à
l'est. À l'instar de la plupart des autres forêts de la Brie, la forêt de Jouy
est découpée de manière géométrique par plusieurs chemins (route Jacques, route
du Milieu, route Gendarme, etc.). La forêt est traversée dans sa longueur par
trois chemins : la Voie aux Moines au nord, la
Haute Route au centre et la
Basse Route au sud. Elle est bordée au sud par l'Yvron et le Réveillon au nord.
Le ru de l'Abbaye y prend sa source au nord- est. Wikipedia ]
En 2018 la sécheresse à sévit. Les champs sont parsemés de fissures profondes. On y passe la main. La profondeur au moins 30 cm du bout de la cane au brin d'herbe.
A ce carrefour à plusieurs route nousempruntons la route de la rue Mourron, situé derrière une barrière. Traversons
la forêt, laissons un balisage jaune sortie de nulle part poursuivons notre
belle allée qui j’espère restera entretenu. Sans le passage du girobroyeur elle
deviendrait impossible à suivre avec toutes ses petites ronces au raz du sol. Nous
sommes sur un balisage jaune et un chemin cavalier balisé en jaune également,
il tourne à gauche. Nous continuons tout droit. Nous trouvons également une marque d’un GRP que l’on n’a pas sur la carte. De l'autre côté juste à la lisière nous prenons à gauche le
chemin de la haute route, (large route renforcée de calcaire.) Nous retrouvons
le GR 11 et un balisage jaune. Laissons le jaune prendre un sentier dans la
parcelle poursuivons le GR parcelle 47. Laissons la promenade du gouffre partir
sur la gauche. Nous coupons à nouveau la D 231attention c’est dans un virage
nous avons peu de visibilité et cela roule vite. Poursuivons en face. Il faut
chercher un peu le sentier dans le taillis,
ce passage difficile bordé de ronce
est de courte durée. Nous serpentons dans la parcelle nous trouvons un peu sur
la droite, un chêne avec des grosses boursouflures [Cette
boursouflure est une maladie. On distingue trois genres d’excroissances
anormales pouvant
apparaître sur les troncs et les branches. Elles sont
appelées « broussin », « loupe » et « chancre ».
Le broussin a pour origine des bourgeons arrêtés au cours de leur croissance.
Il est souvent le point d’attache de nombreuses petites branchettes mortes ou
vivantes appelées « gourmands ». La loupe, qui peut atteindre de
grandes dimensions, possède une surface lisse. Elle a pour origine la
prolifération locale des cellules chargées de la fabrication du bois sous
l’influence de bactéries parasites. Loupes et broussins mettent rarement la vie
de l’arbre en danger. Le chancre est une maladie causée par un champignon qui
provoque des boursouflures, des craquelures et des décollements de l’écorce.
Les plaies peuvent entourer complètement le tronc ou des grosses branches et
empêcher ainsi la sève de les irriguer, provoquant leur mort. L’arbre atteint
par le chancre essaie d’isoler le foyer d’infection à
l’intérieur d’une couche
de bois dépourvue de vaisseaux nourriciers. Cette réaction a pour but
d’empêcher la propagation de la maladie à toute sa charpente par
l’intermédiaire de la sève. http://ventdesforets.com/regard/chene-atteint-par-un-chancre/] Notre
sentier débouche sur une large route formant Té nous prenons à gauche, c'est la
route Gendarme nous arrivons à un carrefour en étoile laissons le chemin de
droite et prenons le second sur la droite c'est la route Jacques. Quelques
centaines de mètres plus loin, nous quittons la route forestière pour prendre
le sentier sur la gauche longeant un
fossé. Le sentier coupe un chemin, nous
quittons le GR prenons le chemin de gauche (balisage vert), nous longeons un
champ derrière un rideau d’arbres trouvons un balisage vert et débouchons sur
une route que nous prenons à droite. Nous nous dirigeons vers Jouy l’abbaye [L'abbaye de
Jouy (nommée parfois aussi de Jouy-en-Brie ou
de Jouy-le-Châtel), située à l'orée de la forêt de Jouy, est
une ancienne abbaye cistercienne, créée
au xiie siècle, fermée à la Révolution
française. L'abbaye est fondée
en 1124
par Thibaut II comte de
Champagne, grâce au don que font deux
gentilshommes, Pierre de Castel et Milon de Naudé ou de Naud. Elle
prospère rapidement, au point de fonder quatre abbayes-filles, Bonlieu en 1141, La Noë en
1144, Pontaut en
1151 et Sellièresen 1168. En 1156, Henri Ier de
Champagne donne à l'abbaye la forêt de
Jouy, qui s'étend aujourd'hui sur 1 632 hectares.
L'église mesurait 74 mètres de longueur sur 20 de largeur. Elle fut
achevée en 1224. Elle renfermait des tombeaux dont
les principaux ont été
dessinés par François Roger
de Gaignières. Au milieu du sanctuaire, devant
la maître-autel, la tombe en cuivre émaillé et martelé de Simon de Beaulieu, archevêque de Bourges, le
représentant en gisant dans ses ornements pontificaux. Ne restent aujourd'hui
de l'abbaye que le chevet (plat, comme le sont traditionnellement les chevets
cisterciens), percé de deux étages de baies en tiers-point et orné d'une archivolte supportée
par des colonnettes à chapiteaux à crochets. Ces restes de l'église ont été
classés monuments historiques
en 1942. Les bâtiments qui dépendaient de l'abbaye
ont été transformés en exploitation agricole. Wikipedia] Nous arrivons devant un long mur, je
poursuis jusqu'à l'entrée ou malheureusement on ne voit pas grand-chose, une
belle allée bordée de beaux platanes et au font une demeure. Plus près de la
grille une tour, Colombier ou moulin en tout cas avec des fenêtres permettant
de ce défendre contre des attaques. J'ai pris la route menant aux anciens bâtiments
monastiques transformés en ferme, ou l’on n’aperçoit un peu mieux cette tour.
J'ai fait le tour de la propriété,
en longeant le mur d'enceintes. L'hiver
c'est possible, l'été avec les cultures je ne suis pas sûr que ce soit réalisable.
Je suis impressionné par la hauteur des murs du bâtiment monastiques qui était
peut être le dortoir. Enfin caché par de hauts arbres les restes du chevet de
l’église Abbatiale. Retrouvons la route de l’Abbaye, que nous prenons à gauche,
nous retrouvons le GR et traversons la D75. Poursuivons tout droit par une
large allée herbeuse (et défoncé par les sangliers) dans la foret. Au carrefour
prenons à gauche la route de la Basse Route renforcé par des cailloux. Attention avec cette belle route à ne pas louper la
bifurcation du GR après la petite monté, prenant sur la gauche un petit sentier
serpentant entre les ronces dans la parcelle. Il débouche sur un large chemin
formant Té que nous prenons à droite, passons le fossé (à sec en nov 2018) du
ru de l’Abbaye et coupons la D 75a poursuivons en face par la voie sans issu du
bois, route bitumée menant à une ferme.
Nous sortons de la foret tournons à
angle droit dans les champs et arrivons à la ferme de La Rue du Bois. Je n’ai
pas vu la bifurque du GR devant la ferme et j’ai fait le tour par l’arrière de
celle-ci, le chemin me semblant plus accessible en passant le long du hangar
agricole. Nous débouchons sur le chemin formant Té que nous prenons à gauche nous
retrouvons le balisage. Coupons la D 75 poursuivons en face par la route menant
au village tout en long de la Conquillie. Dommage il ne reste qu’une pale ossature
du lavoir. Nous sommes dans la rue des mœurs. Abandonnons le bitume un peu
après la fin du village, lorsque la route tourne à gauche pour retrouver le
chemin dans les champs. Sur un poteau nous avons une balise nous informant que
dans 800m
nous tournons sur la droite. Nous abandonnerons ce chemin au milieu
des champs pour suivre le GR sur la droite, on est également sur un balisage
jaune. Coupons un chemin, puis le chemin fait fourche, laissons le chemin de
gauche, passons le ru de Luisantes, passons l’autre chemin longeant le ru et
poursuivons tout droit, vers le bosquet d’arbres et un bâtiment en pierre au
sommet de la but. Nous approchons du village de Boisdon. A la fourche à
l’orée d’un bois j’abandonne le
GR qui prend la branche de gauche, poursuis tout droit, traverse le bois,
débouche dans le village de Boisdon rue grande que nous prenons à droite. Puis
à gauche la D 90 en direction de Beton. Un peu après la sortie du village nous
prenons à gauche le chemin dans les champs nous longeons un bois et arrivons à
une fourche ou nous prenons la branche de droite, ce chemin nous ramène
directement à notre parking de la zone industrielle.
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