mercredi 2 février 2022

N- S &M - Prom 32 - En route vers Provins - Étape 5 - De Béton à la Forêt de Jouy

Le départ se fait de la petite zone industrielle de Noëlle située vers le silo entre la Nationale 4 et le village de Beton Bazoches nous y accédons par la D 90 rue du bois des remises (c'est une petite rue) puis à droite la rue de la Noëlle. Face à une usine nous trouvons un parking.

Beton Bazoches se trouve sur la N4  entre Rozay en Brie et Esternay

Carte IGN    Trace GPS & Topo sans Commentaires              Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b345850

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Octobre 2018

Km     Temps      Arrêt      V/d     V/g      Dénivelé

29,4   4h28        0h30        6,6     5,9         230 +

 

Poursuivons cette rue jusqu'au rond point de retournement nous sommes sur le GR 11, sur la gauche nous trouvons un chemin longeant la clôture d'une usine. Le chemin fait fourche prenons la branche de droite longeons un petit bois, nous arrivons au hameau de Boisson nous débouchons rue de la Noël que nous prenons à gauche, nous quittons le GR. Prenons sur la droite la rue du presbytère, puis à droite la rue Grande (D 90). Sur la carte la trace continue rue des Molinards pour prendre un petit sentier passant entre des maisons, les propriétaires ont fermés le chemin.  Laissons la rue Molinards sur notre droite et poursuivons la D 90, (rue du lavoir), nous trouvons ce dernier, un peu après la rue de Paris. Revenons sur nos pas et prenons la rue de Paris. Prenons le premier chemin sur la gauche, après les champs nous longeons un bois, nous en traversons une petite partie et le longeons de nouveau. Nous arrivons au hameau de La Rue. Hameau de quatre maisons. Nous longeons une construction neuve hérissée de caméra. A l’angle de de cette dernière, nous prenons le chemin de gauche. Nous passons le long d’une ancienne ferme ou nous apercevons ce qui devait être un four à pain dont la cheminée s’est écroulée. Sur la droite un puits. On a l’impression de rentrer chez les propriétaires, mais le chemin se dirige vers le petit bois que nous longeons, puis vers le village que nous apercevons au loin. Nous passons au dessus du ru des Luisantes, après le ru nous prenons le premier chemin sur la droite. Nous débouchons sur une route pas très loin du village de Bannost, que nous prenons à droite. Surprise je trouve des trottoirs. Il est rare de trouver ses derniers jusqu’aux panneaux de sortie, alors que la rue ne comporte que quelques maisons. Nous prenons le chemin sur la gauche, passons devant un stand de tir. Le chemin tourne dans les champs et débouche sur une route que nous prenons à gauche, nous passons devant un beau lavoir possédant une pompe à godets et un abreuvoir, tout de suite après nous prenons sur la droite le chemin dans les champs, nous débouchons sur la D 90 que nous prenons à droite un cours instant et dans le virage le chemin sur la droite. Laissons les chemins à droite et à gauche, nous longeons une carrière de sable en activité puis longeons un bois, puis traversons un ru. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, nous débouchons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Nous coupons la route menant à la carrière et débouchons sur la D 90, longeons la ferme de la Charmoye nous trouvons un beau puits sur la gauche. Poursuivons le bitume de la D 90 puis nous prenons sur la droite le chemin renforcé longeant des bâtiments agricoles. Le chemin fait fourche nous prenons à gauche. Après avoir passé le ru de Charmoye (fossé sans eau après quatre mois de sécheresse) le chemin devient un peu plus herbeux, le chemin fait fourche nous prenons à droite. Pas facile à trouver se chemin il est rempli d’herbe et peu de monde l’emprunte pas même le tracteur. Nous débouchons sur un chemin formant Té, prenons à Droite. Nous arrivons au hameau des chapelles d'en haut et débouchons dans la seule rue de ce hameau tout en long que nous prenons à droite. Coupons la D 231 et poursuivons en face la seule rue du hameau des chapelles d'en bas. Quatre maisons très espacés perdues dans la campagne mais bordée par une route à grande circulations.  La route devient chemin renforcé qui débouche sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Au carrefour suivant nous prenons à gauche et arrivons à l'orée de la forêt de Jouy. [située sur le plateau de la Brie. La forêt a un relief vallonné, avec un point haut à 169 mètres à l'est et un point bas au sud-ouest sur l'Yvron à 134 mètres. C'est une forêt qui s'étire du sud-ouest au nord-ouest sur environ 12 km, avec une largeur moyenne de 2 km. Si la forêt est constituée d'un seul tenant, elle est profondément entaillée par les défrichements, notamment autour des fermes de Jouy l'Abbaye et de Saint-Antoine. La forêt est directement prolongée à l'est par le bois Francs et le bois de Quincy. La forêt est traversée en son centre à la perpendiculaire par la RD 231 reliant Lagny-sur-Marne à Provins, ainsi que par des routes secondaires comme la RD 75 et la route de Saint-Antoine au centre, la RD 12 au sud-ouest et la RD 75a à l'est. À l'instar de la plupart des autres forêts de la Brie, la forêt de Jouy est découpée de manière géométrique par plusieurs chemins (route Jacques, route du Milieu, route Gendarme, etc.). La forêt est traversée dans sa longueur par trois chemins : la Voie aux Moines au nord, la 

               

Haute Route au centre et la Basse Route au sud. Elle est bordée au sud par l'Yvron et le Réveillon au nord. Le ru de l'Abbaye y prend sa source au      nord- est. Wikipedia ]        

 En 2018 la sécheresse à sévit. Les champs sont parsemés de fissures profondes. On y passe la main. La profondeur au moins 30 cm du bout de la cane au brin d'herbe.  

 

A ce carrefour à plusieurs route nousempruntons la route de la rue Mourron, situé derrière une barrière. Traversons la forêt, laissons un balisage jaune sortie de nulle part poursuivons notre belle allée qui j’espère restera entretenu. Sans le passage du girobroyeur elle deviendrait impossible à suivre avec toutes ses petites ronces au raz du sol. Nous sommes sur un balisage jaune et un chemin cavalier balisé en jaune également, il tourne à gauche. Nous continuons tout droit. Nous trouvons également une marque d’un GRP que l’on n’a pas sur la carte.  De l'autre côté  juste à la lisière nous prenons à gauche le chemin de la haute route, (large route renforcée de calcaire.) Nous retrouvons le GR 11 et un balisage jaune. Laissons le jaune prendre un sentier dans la parcelle poursuivons le GR parcelle 47. Laissons la promenade du gouffre partir sur la gauche. Nous coupons à nouveau la D 231attention c’est dans un virage nous avons peu de visibilité et cela roule vite. Poursuivons en face. Il faut chercher un peu le sentier dans le taillis, ce passage difficile bordé de ronce est de courte durée. Nous serpentons dans la parcelle nous trouvons un peu sur la droite, un chêne avec des grosses boursouflures [Cette boursouflure est une maladie. On distingue trois genres d’excroissances anormales pouvant apparaître sur les troncs et les branches. Elles sont appelées « broussin », « loupe » et « chancre ». Le broussin a pour origine des bourgeons arrêtés au cours de leur croissance. Il est souvent le point d’attache de nombreuses petites branchettes mortes ou vivantes appelées « gourmands ». La loupe, qui peut atteindre de grandes dimensions, possède une surface lisse. Elle a pour origine la prolifération locale des cellules chargées de la fabrication du bois sous l’influence de bactéries parasites. Loupes et broussins mettent rarement la vie de l’arbre en danger. Le chancre est une maladie causée par un champignon qui provoque des boursouflures, des craquelures et des décollements de l’écorce. Les plaies peuvent entourer complètement le tronc ou des grosses branches et empêcher ainsi la sève de les irriguer, provoquant leur mort. L’arbre atteint par le chancre essaie d’isoler le foyer d’infection à l’intérieur d’une couche de bois dépourvue de vaisseaux nourriciers. Cette réaction a pour but d’empêcher la propagation de la maladie à toute sa charpente par l’intermédiaire de la sève. http://ventdesforets.com/regard/chene-atteint-par-un-chancre/] Notre sentier débouche sur une large route formant Té nous prenons à gauche, c'est la route Gendarme nous arrivons à un carrefour en étoile laissons le chemin de droite et prenons le second sur la droite c'est la route Jacques. Quelques centaines de mètres plus loin, nous quittons la route forestière pour prendre le sentier sur la gauche longeant un fossé. Le sentier coupe un chemin, nous quittons le GR prenons le chemin de gauche (balisage vert), nous longeons un champ derrière un rideau d’arbres trouvons un balisage vert et débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous nous dirigeons vers Jouy l’abbaye [L'abbaye de Jouy (nommée parfois aussi de Jouy-en-Brie ou de Jouy-le-Châtel), située à l'orée de la forêt de Jouy, est une ancienne abbaye cistercienne, créée au xiie siècle, fermée à la Révolution française. L'abbaye est fondée en 1124 par Thibaut II comte de Champagne, grâce au don que font deux gentilshommes, Pierre de Castel et Milon de Naudé ou de Naud. Elle prospère rapidement, au point de fonder quatre abbayes-filles, Bonlieu en 1141, La Noë en 1144, Pontaut en 1151 et Sellièresen 1168. En 1156, Henri Ier de Champagne donne à l'abbaye la forêt de Jouy, qui s'étend aujourd'hui sur 1 632 hectares. L'église mesurait 74 mètres de longueur sur 20 de largeur. Elle fut achevée en 1224. Elle renfermait des tombeaux dont les principaux ont été dessinés par François Roger de Gaignières. Au milieu du sanctuaire, devant la maître-autel, la tombe en cuivre émaillé et martelé de Simon de Beaulieu, archevêque de Bourges, le représentant en gisant dans ses ornements pontificaux. Ne restent aujourd'hui de l'abbaye que le chevet (plat, comme le sont traditionnellement les chevets cisterciens), percé de deux étages de baies en tiers-point et orné d'une archivolte supportée par des colonnettes à chapiteaux à crochets. Ces restes de l'église ont été classés monuments historiques en 1942. Les bâtiments qui dépendaient de l'abbaye ont été transformés en exploitation agricole. Wikipedia] Nous arrivons devant un long mur, je poursuis jusqu'à l'entrée ou malheureusement on ne voit pas grand-chose, une belle allée bordée de beaux platanes et au font une demeure. Plus près de la grille une tour, Colombier ou moulin en tout cas avec des fenêtres permettant de ce défendre contre des attaques. J'ai pris la route menant aux anciens bâtiments monastiques transformés en ferme, ou l’on n’aperçoit un peu mieux cette tour. J'ai fait le tour de la propriété, en longeant le mur d'enceintes. L'hiver c'est possible, l'été avec les cultures je ne suis pas sûr que ce soit réalisable. Je suis impressionné par la hauteur des murs du bâtiment monastiques qui était peut être le dortoir. Enfin caché par de hauts arbres les restes du chevet de l’église Abbatiale. Retrouvons la route de l’Abbaye, que nous prenons à gauche, nous retrouvons le GR et traversons la D75. Poursuivons tout droit par une large allée herbeuse (et défoncé par les sangliers) dans la foret. Au carrefour prenons à gauche la route de la Basse Route renforcé par des cailloux. Attention avec cette belle route à ne pas louper la bifurcation du GR après la petite monté, prenant sur la gauche un petit sentier serpentant entre les ronces dans la parcelle. Il débouche sur un large chemin formant Té que nous prenons à droite, passons le fossé (à sec en nov 2018) du ru de l’Abbaye et coupons la D 75a poursuivons en face par la voie sans issu du bois, route bitumée menant à une ferme. Nous sortons de la foret tournons à angle droit dans les champs et arrivons à la ferme de La Rue du Bois. Je n’ai pas vu la bifurque du GR devant la ferme et j’ai fait le tour par l’arrière de celle-ci, le chemin me semblant plus accessible en passant le long du hangar agricole. Nous débouchons sur le chemin formant Té que nous prenons à gauche nous retrouvons le balisage. Coupons la D 75 poursuivons en face par la route menant au village tout en long de la Conquillie. Dommage il ne reste qu’une pale ossature du lavoir. Nous sommes dans la rue des mœurs. Abandonnons le bitume un peu après la fin du village, lorsque la route tourne à gauche pour retrouver le chemin dans les champs. Sur un poteau nous avons une balise nous informant que dans 800m nous tournons sur la droite. Nous abandonnerons ce chemin au milieu des champs pour suivre le GR sur la droite, on est également sur un balisage jaune. Coupons un chemin, puis le chemin fait fourche, laissons le chemin de gauche, passons le ru de Luisantes, passons l’autre chemin longeant le ru et poursuivons tout droit, vers le bosquet d’arbres et un bâtiment en pierre au sommet de la but. Nous approchons du village de Boisdon.  A la fourche à l’orée d’un bois j’abandonne le GR qui prend la branche de gauche, poursuis tout droit, traverse le bois, débouche dans le village de Boisdon rue grande que nous prenons à droite. Puis à gauche la D 90 en direction de Beton. Un peu après la sortie du village nous prenons à gauche le chemin dans les champs nous longeons un bois et arrivons à une fourche ou nous prenons la branche de droite, ce chemin nous ramène directement à notre parking de la zone industrielle.

 





 

 

 

 Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire