mercredi 2 février 2022

N-S&M ; Prom 35 Pézarche -Touquin

février 2020

Promenade en boucle possibilité de prendre le Bus expresse Melun Coulommiers Arrêt Pézarches covoiturage

Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires         Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b345865

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Km     Temps      Arrêt      V/d         V/g          Dénivelé

20      3h10         0h30      6,3           5,5              229 +

 

Le départ se fait au milieu des champs sur le parking de covoiturage au carrefour D 231 et D 402.

Biche dans le parc du château
Nous sortons du parking et longeons sur la droite la D 231 en direction de Provins, Jouy Ormeau Touquin sur environs 300 m. Nous longeons la petite zone industrielle ou malheureusement la petite rue desservant les bâtiments ne débouche pas. Prenons la première rue (rue d’Ormeaux) sur notre gauche et entrons dans Pézarches [Pézarches, Peserches vers 1222, semble représenter l'ancien français pesarch « chaume de pois, champ de pois » wikipédia] Au carrefour nous prenons sur la droite la rue de Provins et au cimetière nous prenons à gauche la rue Grande, je suis étonné, la rue grande n’est pas le centre du village (du moins en 2020) mais en limite extérieur de ce dernier. La rue Grande, mène à l’église qui se trouve elle aussi en limite du village. Revenons rue de Provins et sortons du village, pour entrer un peu plus loin dans Touquin. [Le nom de ce village signifie « réserve de bois entre des défrichements ». Les premiers documents sur Touquin remontent à 1107. De nombreux vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur la commune, en 1965 ont mis au jour un sarcophage de calcaire en deux parties, d'époque mérovingienne, contenant un petit couteau, deux anneaux de fer, un petit disque de bronze orné d'un masque humain grimaçant, à la bouche entrouverte, au front ceint d'un diadème à pointes dont les cheveux tombants se relèvent de chaque côté en trois boucles superposées. (...) Une sépulture gallo-romaine, relevée aussi par M. Garnier, gisait sous ce sarcophage. Touquin a été jusqu'en 1285 située dans une « marche séparante ». Du château, ruiné par la guerre de Cent Ans et démoli en 1775, il ne reste que le parc et une vieille tour, ancien moulin à vent. Touquin a été un fief protestant au XVIe siècle. Sur le blason de la commune une colombe fait référence à la période protestante.  C'est aussi, une des premières communes à bénéficier d'une unité de filtration des eaux contre les pesticides et les nitrates agricole. Wikipédia Sur le site http://www.touquin.fr/histo.html. vous trouverez l’histoire un peut plus complète de ce village.] Voilà la promenade est terminée… Je plaisante, mais une boucle de vingt kilomètres ce n’est pas énorme et les villages que nous allons traverser se trouve les uns à coté des autres. Poursuivons par la rue de Paris, nous trouvons un balisage jaune, et longeons le long mur du parc du château de Malvoisine (entre les barreaux de la grille) une biche ou un chevreuil… Entre les arbres on devine une maison comportant une tour, j’ai cru au reste d’un château, mais c’est le moulin se trouvant dans le parc du château. Prenons à gauche la rue Malvoisine nous passons devant l’église [L'église, en grès et meulière, date du XIIe ou XIIIe siècle, et est sous le vocable de Saint Étienne. Le clocher est bâti au dessus du chœur. Cette église en remplace certainement une autre, plus ancienne. À l'intérieur on peut voir un fauteuil d'époque Empire, classé Monuments Historiques. Dans une châsse est conservée une relique : un humérus de sainte Restitute. On rend un culte particulier à cette sainte dans la commune d'Arcy-Sainte-Restitue dans le département de l'Aisne. Suivant la légende elle y aurait fait jaillir une fontaine et ressuscité un enfant mort. Elle est invoquée contre la peur et le dérangement mental, ainsi que le cœur de Jean-Jacques Olier décédé en 1701, propriétaire des seigneuries de Touquin, Malvoisine et une partie du territoire d’Ormeaux. Extraies wikipédia et panneau d’information.] Face à l’église le château de Malvoisine [Le château de Malvoisine Il ne fut pas seulement le refuge du Goupil,habitant de la forêt de Malvoisine, seigneurde Mauperthuis et héros d'une célèbre fablemédiévale. !Le château d'origine, en bois, déjà ruiné parla Guerre de Cent Ans, passa d'un camp àl'autre pendant les guerres de Religion pourêtre finalement démoli au 18ème siècle. Iln'en reste qu'une vieille tour, ancien moulinà vent. Mais Malvoisine fut reconstruit avecles pierres de démolition !Diverses successions morcelle le territoire. En 1606 le seigneur de Touquin (protestant) assassine son voisin seigneur de Grand Fontaine (catholique). Les biens du premier sont confisqués et donné à Jean Jacques Olier, conseiller à la Cour des Aides, par Louis XIV, en 1667 en récompense de services rendus. En 1773, le dernier des Olier vend le territoire au marquis de Montesquiou ( de la branche d'Artagnan ), seigneur de Mauperthuis et de Coulommiers, qui s'en dessaisira à la Terreur en 1792.Du domaine initial, il ne reste plus qu'une propriété moderne, le Château de Malvoisine restauré par la famille Hiibert. Il est à noter que sous le règne de Louis XII (en 1504), le 14 octobre de chaque année, avait lieu une foire immense qui perdurera jusqu'en 1940. A titre indicatif et pour donner une échelle de grandeur, à la fin du XIXème siècle, on pouvait encore y compter plus de 20000 moutons venus du Gâtinais, de Sologne et de Beauce. Extraie de http://www.valmagazine.com/upload/histoire_villages/touquin.pdf et http://www.touquin.fr/histo.html ] Poursuivons la rue et prenons sur la droite la rue des Roches en direction du Buisson, nous arrivons au hameau des Roches, nous sommes sur un balisage jaune, au carrefour nous prenons à gauche la rue des Francs Bourgeois, rue sans issu dans cette portion. De bitume, nous passons à chemin, traversons, prairies et bois, nous arrivons devant le petit pont au dessus de l’Yerres [L'Yerres (ou Yères) était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au XVIIe siècle, probablement d'un ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre 'lierre'. Le -s final n'est pas fondé. De 98,23 km de longueur. L'urbanisation rapide, dans la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de biodiversité, qui régulaient ses crues. La rivière prend sa source en Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route départementale D 20E, sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles avant de devenir l'Yerres en aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. L'urbanisation rapide, dans la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de biodiversité, qui régulaient ses crues. (D’où les catastrophiques inondations en 2018.) L'Yerres est une rivière calme, d'une profondeur variant de 1 à 6 mètres selon les zones argileuses qu'elle traverse. De son parcours sinueux, elle part des marécages situés aux alentours de Courbon non loin de Mortcerf, traversant ensuite la forêt de Crécy en contournant l'étang de Guerlande. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. La même hypothèse a été émise pour la Visandre. C'est en aval des sources abondantes près de Voinsles que l'Yerres s'élargit pour donner forme à une rivière large et paisible. Wikipédia] Après le petit pont en béton nous franchissons un ru ou un bras de la rivière sur deux longues dalles de grès. Nous arrivons au hameau de Villarceaux, nous prenons à droite la rue du même nom. Laissons l’impasse du Fief Grillon sur la gauche et poursuivons la rue de Villarceaux, jusqu’au carrefour avec la rue du Buisson formant Té avec la notre, nous prenons sur la gauche. La rue peut large est bordée de clôtures, après un champ nous longeons un hangar agricole, puis une ferme en cour de réhabilitation la ferme du Buisson. Dans le virage à droite de la route, nous trouvons sur la gauche un chemin. Prenons ce dernier, longeons un hangar en à matériel en tôle. Nous sommes toujours sur un balisage jaune. Traversons les champs et nous arrivons en lisière de la foret. Longeons le bois, quittons le balisage jaune lorsqu’il tourne sur la droite, poursuivons sa lisière, laissons un chemin sur la droite, traversons une bande de bois et poursuivons en lisière de l’autre coté. Nous débouchons sur la D 112 que nous prenons à gauche. Un peu avant la borne 13 indiquant la D112 nous prenons le chemin sur la droite en direction d’une maison avec un toit de deux couleurs différentes (marron et bordeau). Traversons la D 112 E2, poursuivons la rue en face vers ‘’la Bergoterie’’ dépassons la maison isolée en bois (ou façon bois style Américain Louisiane) et son hangar attenant (c’est pour cette raison que la couleur des tuiles est différente d’un coté c’est de la tôle bordeau), poursuivons le bitume jusqu’au hameau de la Moinerie que nous traversons. Nous débouchons sur une route formant une patte d’oie prenons à droite descendons la route, au loin de l’autre coté du vallon nous apercevons le château de la Tour. Dans le bas face à la petite rue du Tertre au milieu des champs nous avons une magnifique grille annonçant un château que nous ne verrons pas, il est trop loin dans la propriété.  Poursuivons le bitume jusqu’au pont traversant l’Aubetin [affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,15 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. En termes de dénivellation, comme le Grand Morin l'Aubetin connait une pente moyenne de 1 à 2 %. L'altitude est de 167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m d'altitude au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure à Pommeuse wikipédia] (sur la gauche nous avons le moulin de Maingérard) nous prenons à droite la route longeant la rivière en direction des villages de Nouveau et Mémillon. Nous grimpons vers Mémillon, nous avons retrouvé un balisage. Traversons le village de Mémillon , dans le village nous trouvons un lavoir et sa source protégée par un dôme de ciment, l’alimentant. La largeur de la rue se rétrécie encore un peut plus, et après un mur de maison, un muret surmonté d’une grille nous prenons le chemin de gauche (chemin du bois de Mémillon). Nous débouchons dans le hameau de Glatigny par un chemin intra-muros (à ce moment je ne sais pas qu’il est possible d’accéder au signal de Glatigny. L’erreur sera réparé dans Pézarche 2) Nous faisons un esse droite-gauche, poursuivons par un chemin bordé de clôtures et des près. Nous sommes toujours sur un balisage jaune, coupons de nouveau une route poursuivons en face. Nous arrivons à un carrefour de balisage jaune. Tout droit le balisage jaune se nomme PR Prés et Moulins de l’Aubertin et sur la droite, le PR de Malvoisine. Sur la droite en 2020 nous avons un verger. Poursuivons Tout droit, nous nous dirigeons vers les bois. Le chemin débouche sur un autre formant Té avec le notre, nous prenons à droite, nous retrouvons la D 112 que nous prenons à gauche (Route d’Amillis). Laissons sur la gauche la route menant à Saint, poursuivons tout droit, laissons une route sur la droite menant à Boissière, Boisserotte, et Beuvron. (Attention ne soyez pas tenté de vous diriger vers les étangs fleuries c’est la direction d’un caravaning.) Après un virage nous entrons dans le hameau de Maison Meunier. Dépassons les arrêts de bus, et prenons à droite la rue qui ne ressemble pas à une rue, du moins à son départ, sur la droite les maisons sont en retraits et cela forme une petite placette toute en longueur, servant à garer les voitures. De rue nous passons à chemin. Nous arrivons à un carrefour en forme de Té, prenons à droite (nous suivons le balisage jaune) nous longeons une haie et une ligne électrique. Entrons dans un bois, coupons une route poursuivons en face le long de sa lisière le balisage jaune. Au carrefour en forme de Té, nous quittons le chemin poursuivant longeant la lisière et suivons le balisage jaune tournant sur la droite et pénétrant dans la foret de châtaignier. Au carrefour suivant quittons le balisage jaune et prenons le chemin de gauche , croix rouge du circuit VTT et un balisage orange. Au carrefour suivant nous retrouvons le balisage jaune et poursuivons tout droit. Nous arrivons à une fourche et prenons à gauche (balisage jaune) nous sortons du bois et retrouvons les champs. Nous retrouvons les bois et j’ai un doute… Sur la carte le balisage traverse le bois, le chemin ne me semble pas bon et le balisage si je me souviens bien tourne sur la gauche. (Mon topo oral me dit que j’ai raison.) Je poursuis en prenant à gauche coupe la corne du bois prend le chemin de droite et longe la lisière du bois (comme le balisage jaune).  Je laisse le chemin de gauche partant dans les champs, poursuis sur la droite la lisière et retrouve ‘’sur la carte’’ le balisage jaune, Pourquoi ce détour ? peut être que le chemin est impraticable.  Nous entrons dans le bois. A la fin de ce dernier nous laissons un balisage jaune tournant à droite, je poursuis tout droit le balisage jaune se dirigeant dans les champs. Nous débouchons sur la route de la Couture, laissons la route face à nous, et faisons un esse droite-gauche, poursuivons le balisage en prenant à gauche le chemin en biais le long d’un bâtiment nous sommes sur le PR autour du Pléssis et du chemin Feu Aussous. Dans un coude du chemin sur la gauche, nous laissons un chemin sur la droite, longeons la lisière du bois coupons le ru de l’étang Beuvron [C'est un affluent de l’Yerres. D'une longueur de 10,4 kilomètres, le Ru de l'Étang de Beuvron prend sa source dans la commune de Dagny et se jette dans l'Yerres à Touquin. Le cours d'eau s'écoule globalement de l'est vers l'ouest. Wikipédia] Passons deux grosses dalles en grés peut être que le ru à été comblé. Nous débouchons dans le hameau Du Tau par la rue de la fosse aux clôches. Nous retrouvons le bitume et un carrefour mal foutu. Nous prenons à droite la rue du Beuvron (balisage jaune) inclus dans le muret d’une propriété une croix en fonte (avec une plaque ; Cette croix à été érigée et consacrée à Dieu, en l’honneur des ?? Anges gardiens 12 octobre 1845. Puis le nom des habitants.  Prenons la rue du Beuvron sur la droite (balisage jaune) puis à gauche la rue Mardereau. Laissons une rue desservant des maisons, nous trouvons avant la fin de la rue un sentier sur la droite que nous prenons, nous longeons un ru (ou suivant la saison, un fossé.) Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. (Le balisage jaune se divise en deux, sur la droite le PR de Touquin-Saint Etienne, sur la gauche Le PR du Plessis-Feu-Aussoux.) Nous retrouvons le bitume dans l’impasse de la vallée et au bout, la route du Tau que nous prenons à gauche. Nous passons au dessus du ru de l’étang du Beuvron, nous entrons dans le hameau de Courmereau, après le panneau sur la droite nous avons un lavoir dont le toit en impluvium forme un U. Un peu plus loin nous débouchons rue de la Fontaine la Reine que nous prenons à gauche. Nous traversons l’Yerres longeons un terrain de sport, puis la station d’épuration derrière nous trouvons un mur comportant une grille, c’est le lavoir qui se trouve en contre bas de la route. Nous montons vers Touquin et un peu après le lavoir, nous quittons le bitume pour prendre sur la gauche le chemin (sentier de la Fontaine la Reine) balisé en jaune. Nous coupons la route de Provins, faisons un esse droite-gauche et prenons le chemin du Merisier Noir (bitume). Nous arrivons à un carrefour, laissons sur notre gauche la rue sans issu du Merisier Noir, on se dirige vers la rue (chemin) du Fossé aux Saints desservant des maisons, sur une vingtaine de mètres et après le mur d’une maison nous trouvons un sentier intra muros sur la droite, que nous penons. Nous débouchons après avoir traversé une coure au carrefour entre la rue du Champ de Foire et du Lureau, nous quittons le balisage jaune et prenons la rue du Lureau sur la gauche, coupons la D 231, prenons en face le chemin de Lureau en direction du hameau du Lureau. Le chemin mal carrossable, plus ou moins bitumé tourne sur la gauche, nous le quittons et poursuivons tout droit le chemin de terre en direction de la ferme. Longeons la ferme poursuivons tout droit, prenons le premier chemin sur la droite après la ferme, coupons la D 112 poursuivons en face. Au milieu des champs nous prenons le chemin de droite (route d’Ormeau), se dirigeant vers le hameau de la Garenne des chênes composé de quelques maisons en marge de Pézarches (de l’autre coté de la route de Provins), coupons le chemin de l’épinette, nous débouchons sur la D 231 que nous prenons à gauche jusqu’à l’arrêt de bus ou notre voiture sur le parking.

 



 

 

 

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