Pour
cette Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans les Villages de Pézarche et Touquin
février 2020
Promenade en boucle possibilité de prendre le Bus expresse Melun
Coulommiers Arrêt Pézarches covoiturage.
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b345865
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Carte VisoRando
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sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps
Arrêt V/d V/g Dénivelé
20 3h10 0h30 6,3 5,5 229 +
Le départ se fait au milieu des champs sur le parking de
covoiturage au carrefour D 231 et D 402.
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Biche dans le parc du château
|
Nous sortons du parking et longeons sur la droite la D
231 en direction de Provins, Jouy Ormeau Touquin sur environs 300 m. Nous longeons
la petite zone industrielle ou malheureusement la petite rue desservant les
bâtiments ne débouche pas. Prenons la première rue (rue d’Ormeaux) sur notre
gauche et entrons dans Pézarches [Pézarches, Peserches
vers 1222, semble représenter l'ancien français pesarch « chaume de pois, champ de
pois » wikipédia] Au carrefour nous prenons sur la droite la rue de
Provins et au cimetière nous prenons à gauche la rue Grande, je suis étonné, la
rue grande n’est pas le centre du village (du moins en 2020) mais en limite
extérieur de ce dernier. La rue Grande, mène à l’église qui se trouve elle
aussi en limite du village. Revenons rue de Provins et sortons du village, pour
entrer un peu plus loin dans Touquin. [Le nom de ce
village signifie « réserve de bois entre des défrichements ». Les
premiers documents sur Touquin remontent à 1107. De nombreux vestiges gallo-romains
ont été retrouvés sur la commune, en 1965 ont mis au jour un sarcophage de calcaire en deux parties,
d'époque mérovingienne, contenant un petit couteau, deux anneaux de fer, un
petit disque de bronze orné d'un masque humain grimaçant, à la bouche
entrouverte, au front ceint d'un diadème à pointes dont les cheveux tombants se
relèvent de chaque côté en trois boucles superposées. (...) Une sépulture
gallo-romaine, relevée aussi par M. Garnier, gisait sous ce sarcophage. Touquin
a été jusqu'en 1285 située dans une « marche séparante ». Du château, ruiné par la guerre de Cent Ans et démoli en 1775, il ne reste que le parc et une
vieille tour, ancien moulin à vent. Touquin a été un fief protestant au XVIe siècle.
Sur le blason de la commune une colombe fait référence à la période
protestante. C'est
aussi, une des premières communes à bénéficier d'une unité de filtration des
eaux contre les pesticides et les nitrates agricole. Wikipédia Sur le site http://www.touquin.fr/histo.html. vous trouverez l’histoire un peut plus complète
de ce village.]
Voilà la promenade est
terminée… Je plaisante, mais une boucle de vingt kilomètres ce n’est pas énorme
et les villages que nous allons traverser se trouve les uns à coté des autres.
Poursuivons par la rue de Paris, nous trouvons un balisage jaune, et longeons
le long mur du parc du château de Malvoisine (entre les barreaux de la grille)
une biche ou un chevreuil… Entre les arbres on devine une maison comportant une
tour, j’ai cru au reste d’un château, mais c’est le moulin se trouvant dans le
parc du château. Prenons à gauche la rue Malvoisine nous passons devant
l’église [L'église, en grès et meulière, date du XIIe ou XIIIe siècle,
et est sous le vocable de Saint Étienne. Le clocher est bâti au dessus du chœur. Cette
église en remplace certainement une autre, plus ancienne. À l'intérieur on peut
voir un fauteuil d'époque Empire, classé Monuments Historiques. Dans une châsse
est conservée une relique : un humérus de sainte
Restitute. On rend un culte
particulier à cette sainte dans la commune d'Arcy-Sainte-Restitue dans le département de l'Aisne. Suivant la légende elle y aurait fait jaillir une
fontaine et ressuscité un enfant mort. Elle est invoquée contre la peur et le
dérangement mental, ainsi que le cœur de Jean-Jacques Olier décédé en 1701,
propriétaire des seigneuries de Touquin, Malvoisine et une partie du territoire
d’Ormeaux. Extraies wikipédia et panneau d’information.] Face à l’église le château de Malvoisine [Le château de Malvoisine Il ne fut pas seulement le
refuge du Goupil,habitant de la forêt
de Malvoisine, seigneurde Mauperthuis et
héros d'une célèbre fablemédiévale. !Le château d'origine, en bois, déjà ruiné
parla Guerre de Cent Ans, passa d'un camp àl'autre pendant les guerres de
Religion pourêtre finalement démoli au 18ème siècle. Iln'en reste qu'une
vieille tour, ancien moulinà vent. Mais Malvoisine fut reconstruit avecles
pierres de démolition !Diverses successions morcelle le territoire. En 1606 le
seigneur de Touquin (protestant) assassine son voisin seigneur de Grand
Fontaine (catholique). Les biens du premier sont confisqués et donné à Jean
Jacques Olier, conseiller à la Cour des Aides, par Louis XIV, en 1667 en
récompense de
services rendus. En 1773, le dernier des Olier vend le territoire
au marquis de Montesquiou ( de la branche d'Artagnan ), seigneur de Mauperthuis
et de Coulommiers, qui s'en dessaisira à la Terreur en 1792.Du domaine initial,
il ne reste plus qu'une propriété moderne, le Château de Malvoisine restauré
par la famille Hiibert. Il est à noter que sous le règne de Louis XII (en
1504), le 14 octobre de chaque année, avait lieu une foire immense qui
perdurera jusqu'en 1940. A titre indicatif et pour donner une échelle de
grandeur, à la fin du XIXème siècle, on pouvait encore y compter plus de 20000
moutons venus du Gâtinais, de Sologne et de Beauce. Extraie de http://www.valmagazine.com/upload/histoire_villages/touquin.pdf et http://www.touquin.fr/histo.html ] Poursuivons la rue et prenons sur la droite la rue
des Roches en direction du Buisson, nous arrivons au hameau des Roches, nous
sommes sur un balisage jaune, au carrefour nous prenons à gauche la rue des
Francs Bourgeois, rue sans issu dans cette portion. De bitume, nous passons à
chemin, traversons, prairies et bois, nous arrivons devant le petit pont au
dessus de l’Yerres [L'Yerres (ou Yères)
était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au XVIIe siècle, probablement d'un ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien
français yerre 'lierre'. Le -s final n'est pas fondé. De
98,23 km de longueur. L'urbanisation
rapide, dans la partie basse de son
cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de
biodiversité, qui régulaient ses crues. La rivière prend sa source en
Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route
départementale D 20E, sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles
avant de devenir l'Yerres en aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette
dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. L'urbanisation rapide, dans
la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies
inondables refuges de
biodiversité, qui régulaient ses crues. (D’où les
catastrophiques inondations en 2018.) L'Yerres est une rivière calme, d'une
profondeur variant de 1 à 6 mètres selon les zones argileuses qu'elle
traverse. De son parcours sinueux, elle part des marécages situés aux alentours
de Courbon non loin de Mortcerf, traversant ensuite la forêt de Crécy en contournant l'étang de Guerlande. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec
le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie
« Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. La même
hypothèse a été émise pour la Visandre. C'est en aval des sources abondantes près de Voinsles que l'Yerres s'élargit pour donner forme à une
rivière large et paisible. Wikipédia] Après le petit pont en
béton nous franchissons un ru ou un bras de la rivière sur deux longues dalles
de grès. Nous arrivons au hameau de Villarceaux, nous prenons à droite la rue
du même nom. Laissons l’impasse du Fief Grillon sur la gauche et poursuivons la
rue de Villarceaux, jusqu’au carrefour avec la rue du Buisson formant Té avec
la notre, nous prenons sur la gauche. La rue peut large est bordée de clôtures,
après un champ nous longeons un hangar agricole, puis une ferme en cour de
réhabilitation la ferme du Buisson.
Dans le virage à droite de la route, nous
trouvons sur la gauche un chemin. Prenons ce dernier, longeons un hangar en à
matériel en tôle. Nous sommes toujours sur un balisage jaune. Traversons les
champs et nous arrivons en lisière de la foret. Longeons le bois, quittons le
balisage jaune lorsqu’il tourne sur la droite, poursuivons sa lisière, laissons
un chemin sur la droite, traversons une bande de bois et poursuivons en lisière
de l’autre coté. Nous débouchons sur la D 112 que nous prenons à gauche. Un peu
avant la borne 13 indiquant la D112 nous prenons le chemin sur la droite en
direction d’une maison avec un toit de deux couleurs différentes (marron et
bordeau). Traversons la D 112 E2, poursuivons la rue en face vers ‘’la
Bergoterie’’ dépassons la maison isolée en bois (ou façon bois style Américain
Louisiane) et son hangar attenant (c’est pour cette raison que la couleur des
tuiles est différente d’un coté c’est de la tôle bordeau), poursuivons le
bitume jusqu’au hameau de la Moinerie que nous traversons. Nous débouchons sur
une route formant une patte d’oie prenons à droite descendons la route, au loin
de l’autre coté
du vallon nous apercevons le château de la Tour. Dans le bas face
à la petite rue du Tertre au milieu des champs nous avons une magnifique grille
annonçant un château que nous ne verrons pas, il est trop loin dans la
propriété. Poursuivons le bitume
jusqu’au pont traversant l’Aubetin [affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de
61,15 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand
Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de
son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. En termes de
dénivellation, comme le Grand
Morin l'Aubetin connait une pente moyenne de 1 à 2 %. L'altitude est de 167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m
d'altitude au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure
à Pommeuse wikipédia] (sur la gauche nous avons
le moulin de Maingérard) nous prenons à droite la route longeant la rivière en
direction des villages de Nouveau et Mémillon. Nous grimpons vers Mémillon,
nous avons retrouvé un balisage. Traversons le village de Mémillon , dans le
village nous trouvons un lavoir et sa source protégée par un dôme de ciment, l’alimentant.
La largeur de la rue se rétrécie encore un peut plus, et après un mur de maison,
un muret surmonté d’une grille nous prenons le chemin de gauche (chemin du bois
de Mémillon). Nous débouchons dans le hameau de Glatigny par un chemin
intra-muros (à ce moment je ne sais pas qu’il est
possible d’accéder au signal de Glatigny. L’erreur sera réparé dans Pézarche 2)
Nous faisons un esse droite-gauche, poursuivons par un chemin bordé de clôtures
et des près. Nous sommes toujours sur un balisage jaune, coupons de nouveau une
route poursuivons en face. Nous arrivons à un carrefour de balisage jaune. Tout
droit le balisage jaune se nomme PR Prés et Moulins de l’Aubertin et sur la
droite, le PR de Malvoisine. Sur la droite en 2020 nous avons un verger. Poursuivons
Tout droit, nous nous dirigeons vers les bois. Le chemin débouche sur un autre
formant Té avec le notre, nous prenons à droite,
nous retrouvons la D 112 que
nous prenons à gauche (Route d’Amillis). Laissons sur la gauche la route menant
à Saint, poursuivons tout droit, laissons une route sur la droite menant à
Boissière, Boisserotte, et Beuvron. (Attention ne soyez pas tenté de vous
diriger vers les étangs fleuries c’est la direction d’un caravaning.) Après un
virage nous entrons dans le hameau de Maison Meunier. Dépassons les arrêts de
bus, et prenons à droite la rue qui ne ressemble pas à une rue, du moins à son
départ, sur la droite les maisons sont en retraits et cela forme une petite
placette toute en longueur, servant à garer les voitures. De rue nous passons à
chemin. Nous arrivons à un carrefour en forme de Té, prenons à droite (nous
suivons le balisage jaune) nous longeons une haie et une ligne électrique. Entrons
dans un bois, coupons une route poursuivons en face le long de sa lisière le
balisage jaune. Au carrefour en forme de Té, nous
quittons le chemin
poursuivant longeant la lisière et suivons le balisage jaune tournant sur la
droite et pénétrant dans la foret de châtaignier. Au carrefour suivant quittons
le balisage jaune et prenons le chemin de gauche , croix rouge du circuit VTT
et un balisage orange. Au carrefour suivant nous retrouvons le balisage jaune
et poursuivons tout droit. Nous arrivons à une fourche et prenons à gauche
(balisage jaune) nous sortons du bois et retrouvons les champs. Nous retrouvons
les bois et j’ai un doute… Sur la carte le balisage traverse le bois, le chemin
ne me semble pas bon et le balisage si je me souviens bien tourne sur la
gauche. (Mon topo oral me dit que j’ai raison.) Je poursuis en prenant à gauche
coupe la corne du bois prend le chemin de droite et longe la lisière du bois
(comme le balisage
jaune). Je laisse le
chemin de gauche partant dans les champs, poursuis sur la droite la lisière et
retrouve ‘’sur la carte’’ le balisage jaune, Pourquoi ce détour ? peut
être que le chemin est impraticable. Nous
entrons dans le bois. A la fin de ce dernier nous laissons un balisage jaune
tournant à droite, je poursuis tout droit le balisage jaune se dirigeant dans
les champs. Nous débouchons sur la route de la Couture, laissons la route face
à nous, et faisons un esse droite-gauche, poursuivons le balisage en prenant à
gauche le chemin en biais le long d’un bâtiment nous sommes sur le PR autour du
Pléssis et du chemin Feu Aussous. Dans un coude du chemin sur la gauche, nous
laissons un chemin sur la droite, longeons la lisière du bois coupons le ru de
l’étang Beuvron [C'est un affluent de l’Yerres. D'une
longueur de
10,4 kilomètres, le Ru de l'Étang de Beuvron prend sa source
dans la commune de Dagny et se jette dans l'Yerres à Touquin. Le cours d'eau s'écoule globalement de l'est vers
l'ouest. Wikipédia] Passons deux grosses dalles en grés peut être que
le ru à été comblé. Nous débouchons dans le hameau Du Tau par la rue de la
fosse aux clôches. Nous retrouvons le bitume et un carrefour mal foutu. Nous
prenons à droite la rue du Beuvron (balisage jaune) inclus dans le muret d’une
propriété une croix en fonte (avec une plaque ; Cette croix à été érigée
et consacrée à Dieu, en l’honneur des ?? Anges gardiens 12 octobre 1845.
Puis le nom des habitants. Prenons la
rue du Beuvron sur la droite (balisage jaune) puis à gauche la rue Mardereau. Laissons
une rue desservant des maisons, nous trouvons avant la fin de la rue un sentier
sur la droite que nous prenons, nous longeons un ru (ou suivant la saison, un
fossé.) Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. (Le balisage
jaune se divise en deux, sur la droite le PR de Touquin-Saint Etienne, sur la
gauche Le PR du Plessis-Feu-Aussoux.) Nous retrouvons le bitume dans l’impasse
de la vallée et au bout, la
route du Tau que nous prenons à gauche. Nous
passons au dessus du ru de l’étang du Beuvron, nous entrons dans le hameau de
Courmereau, après le panneau sur la droite nous avons un lavoir dont le toit en
impluvium forme un U. Un peu plus loin nous débouchons rue de la Fontaine la
Reine que nous prenons à gauche. Nous traversons l’Yerres longeons un terrain
de sport, puis la station d’épuration derrière nous trouvons un mur comportant
une grille, c’est le lavoir qui se trouve en contre bas de la route. Nous
montons vers Touquin et un peu après le lavoir, nous quittons le bitume pour
prendre sur la gauche le chemin (sentier de la Fontaine la Reine) balisé
en
jaune. Nous coupons la route de Provins, faisons un esse droite-gauche et
prenons le chemin du Merisier Noir (bitume). Nous arrivons à un carrefour,
laissons sur notre gauche la rue sans issu du Merisier Noir, on se dirige vers
la rue (chemin) du Fossé aux Saints desservant des maisons, sur une vingtaine
de mètres et après le mur d’une maison nous trouvons un sentier intra muros sur
la droite, que nous penons. Nous débouchons après avoir traversé une coure au
carrefour entre la rue du Champ de Foire et du Lureau, nous quittons le
balisage jaune et prenons la rue du Lureau sur la gauche, coupons la D 231,
prenons en face le chemin de Lureau en direction du hameau du Lureau.
Le chemin
mal carrossable, plus ou moins bitumé tourne sur la gauche, nous le quittons et
poursuivons tout droit le chemin de terre en direction de la ferme. Longeons la
ferme poursuivons tout droit, prenons le premier chemin sur la droite après la
ferme, coupons la D 112 poursuivons en face. Au milieu des champs nous prenons
le chemin de droite (route d’Ormeau), se dirigeant vers le hameau de la Garenne
des chênes composé de quelques maisons en marge
de Pézarches (de l’autre coté
de la route de Provins), coupons le chemin de l’épinette, nous débouchons sur
la D 231 que nous prenons à gauche jusqu’à l’arrêt de bus ou notre voiture sur
le parking.
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