Antibes la cité des Remparts
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Promenade
improvisée dont seule la partie du Cap Gros et l’extrémité de la Garoupe à
vraiment été réalisée. Entièrement aménagé en bord de mer, le sentier, d’une
longueur de 5
km (2 heures de marche) ne présente aucune difficultés, mais il
y a plusieurs marches taillées dans la roche, donc évitez les tongs! Vous
trouverez en plus plusieurs petites criques à l’eau translucide où
piquer une tête pour vous rafraîchir. Le Cap d’Antibes abrite également de très belles
demeures construites par de grandes fortunes dès le milieu du
19 ème siècle. On citera notamment le château de la Croe (ancienne demeure du Duc de
Windsor) et la
Villa Eilenroc, au bout du Cap d’Antibes. Les jardins de cette
dernière sont accessibles au public. Toujours sur la presqu’île du
Cap d’Antibes, vous pouvez également emprunter le
chemin du Calvaire qui vous mènera au plateau de la
Garoupe. Il s’y trouve un phare, une
chapelle et un petit oratoire mais le lieu offre surtout,
par temps dégagé, une vue panoramique sur les Alpes, l’Italie et parfois même la Corse. https://www.voyagetips.com/que-faire-a-antibes/#1_La_vieille_ville_drsquoAntibes
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b346060
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisiRando
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Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
2018
16 un peu plus de 3h00
2018, une
année ou après avoir rendu quelques services à un ami, il nous invita début 2019 dans son
studio à Nice. Heureusement qu’il a fait beau et que nous sommes sorties tout
les jours, à quatre dans une pièce on est un peu serré. Malheureusement pour
moi, la rando ce n’est pas leur truc…, nous avons pas mal visité, mais en
voiture. Au bout de quatre jours, voyant que j’avais des fourmis dans les
jambes, il m’emmena faire le tour du cap d’Antibes. Nous avons fait le tour du
cap. Belle promenade sur un chemin cimenté au dessus des rochers.
J’ai un
peut modifié la trace. Le départ se fait de la gare d’Antibes et se termine à
la gare de Juan les pins. Le retour en voiture fut long, les parisiens se
plaignent des embouteillages, mais la côte d’azurs n’a rien à leur envier et
nous n’étions pas en saison.
Pourquoi présenter une promenade dont je n’ai parcouru à peine le
tiers, je dirais simplement pour finir un cycle. J’avais cette balade en
réserve. Je n’avais jamais pris le temps de la mettre en forme. J’avais gardé
la trace en réserve, au cas ou nous y retournerions et
de gare en gare parce
qu’il m’a paru plus simple que la voiture un train à 7h20 ou 7h54, au départ de
Nice. Le matin, à huit heures je devrais être tranquille. Pour le retour trois
trains autour de 12h00 et deux trains autour de 14h00. Ce qui laisse même le
temps de piquer une tête dans la ‘’chaude bleu’’. Quoi que l’eau n’est pas très
chaude
en février-mars, (température de la manche au mois d’aout). En 2020 un problème sanitaire mondial, nous
confina pendant un peut plus d’un mois et demi. Nous ne sommes pas retourné à Nice et comme il fallait occuper le temps alors j'ai mis en forme la balade. Et
puis une fois la crise passée on y retournera peut être dans le Sud… je vous
raconterais ce que je n’ai pas fait.
Sortons de la gare et traversons
la place Pierre Semard et prenons sur la gauche l’avenue Robert Soleau. Nous
arrivons au carrefour avec la chapelle Saint Roch [Construite
au début du XVIe siècle à la suite de la terrible peste qui marqua la campagne
de Charles-Quint, la chapelle Saint-Roch fut par la suite affectée au XIXe au
culte orthodoxe. A
l'époque romaine, selon divers témoignages, le site abritait
probablement un sanctuaire dédié à Neptune, dieu de la mer, qui recevait
hommage des partants et des arrivants. D'où, selon certains historiens, le
grand nombre de pièces de monnaies d'époque retrouvées à l'entrée de la
chapelle lors de la construction, en 1986, des bâtiments de la résidence du
port Vauban. https://www.do-tours.com/guide/2083-chapelle-saint-roch.html]
Poursuivons sur la gauche par l’avenue du 11 Novembre (D 6098) belle avenue
arborée. Poussons jusqu’à la sortie de la ville, passons le stade du fort carré
[Antibes ; Antibes est, en 2017, la troisième
ville la plus peuplée du département, après Nice et Cannes. La
ville se situe au nord du cap d'Antibes, avec
une façade maritime tournée vers la baie des Anges et Nice bien visible à l'est. L'Est du Cap offre des plages de
sable, appelées la Garoupe, puis plus proche centre-ville, la Salis, le
Ponteil, et enfin la plage de la Gravette, nichée aux pieds des remparts.
Au-delà du Fort Carré, s'étend jusqu'à Villeneuve-Loubet,
la plage de galets du Fort. À l'ouest de ce cap, Juan-les-Pins,
station balnéaire rattachée administrativement à Antibes, offre des plages de
sable blond orientées plein Sud et une vue sur les îles de Lérins. Ce quartier balnéaire s'articule sur les plages et le
port de golfe Juan. La Brague se jette dans la Méditerranée sur le territoire de la
commune
d'Antibes. D'après les travaux anciens, Antibes aurait été fondée au Ve siècle av.
J.-C. ou au IVe siècle av.
J.-C. par des Phocéens de Marseille,
lesquels, selon le géographe Victor Adolphe
Malte-Brun, lui auraient donné son nom, Antipolis
(la ville d'en face en langue grecque), en raison de sa « situation
sur la côte en face de Nice ».
Cette interprétation est erronée dans la mesure où Antipolis a été
fondée avant Nikaia. D'après Paul Mejan, qui s'appuie sur les textes du IIe siècle de
Scymnos de Chio et de Scylas, ce nom signifierait « ville sur la côte en face de
la Corse », les
Phocéens étant censés avoir emprunté une voie maritime passant par la Corse
pour parvenir sur le littoral provençal. Cette
hypothèse ne semble
pas plus vraisemblable que la précédente. Le nom de la
ville est Antíbol en occitan (Antibo,
selon la norme mistralienne), et son gentilé est antibolenc (antiboulen
selon la norme mistralienne). Les recherches actuelles semblent montrer que la
fondation d'Antipolis est relativement tardive. Elle s'inscrit dans le
contexte du redéploiement colonial de Marseille (à
partir du IVe siècle av.
J.-C. qui cherche à assurer ses routes
commerciales le long des côtes en installant des places fortes, comme Olbia
à Hyères, ou des
comptoirs, comme Antipolis et un peu plus tard Nikaia (Nice)). Je vous laisse lire la suite sur wikipédia] Contournons
le petit parking et prenons le sentier le long du grillage menant au fort.
[Construit dans la seconde moitié du XVI ème siècle sur ordre du roi
Henri II, ce fort militaire culmine à 26 mètres au dessus du niveau de la mer. Lors de sa construction, le but était
de surveiller
et de dissuader les attaques du Duché de Savoie. Aujourd’hui,
le Fort Carré, classé « Monument historique » peut se visiter.
Le chemin de ronde, que vous pourrez emprunter, offre une vue
panoramique sur tout Antibes. Pour des raisons de sécurité, les visites
sont uniquement guidées.
Elles durent environ 30 minutes et permettent de découvrir la chapelle, les cuisines, les chambres des
soldats. https://www.voyagetips.com/que-faire-a-antibes/#1_La_vieille_ville_drsquoAntibes].
Au
pied des remparts, nous devons trouver un chemin entre les fortifications et
les rochers. Nous passons au dessus du chantier naval, et longeons le port de
plaisance, les bateaux c’est toujours aussi beaux… Poursuivons par le quai du
corps expéditionnaire Français en Italie, nous arrivons sur la plage de la
Gravette, on peut se rendre sur la jetée par le quai Henri Rambaud. Poursuivons
par la Promenade Amiral de Grasse. Nous passons devant la cathédrale Notre Dame
de l’Immaculée Conception [Église de
l'Immaculée-Conception qui fut cathédrale au Moyen Âge, actuellement cathédrale
Notre-Dame-de-la-Platea d'Antibes, rue
Christian-Chessel. et la plus grande église de la ville d'Antibes, dans
les Alpes-Maritimes (France). Ses
portes, du XVIIIe siècle, sont
l'œuvre du sculpteur antibois Joseph Dolle. Antibes fut le siège
d’un évêché depuis le Ve siècle
jusqu'en 1244, date à
laquelle le siège épiscopal fut transféré à Grasse. Le premier
évêque a été saint
Armentaire (ou Hermantaire), moine de l'abbaye de Lérins, nommé par le pape saint Léon le Grand, et est cité au concile de Vaison
en 442. Il a construit la première cathédrale qu'il a consacrée à la Vierge
Marie. Elle semble avoir subi de nombreux remaniements jusqu'à l'époque carolingienne.
D'après la croyance populaire, la cathédrale d'Antibes a été construite sur les
fondations d'un
temple consacré à Diane et à Minerve. La cathédrale fut
détruite par les Sarrasins en 1124, puis reconstruite en 1125. La façade fut
endommagée dans un bombardement de la ville pendant la guerre de
Succession d'Autriche, en 1746, puis
restaurée par Louis XV avec des fonds provenant de la cassette royale. La
façade a été modifiée au XIXe siècle.
a porte réalisée en 1710 par Joseph Dolle un Antibois, comprend des figurines
de saint Roch et saint Sébastien, qui sont tous deux les protecteurs d'Antibes. À
l'intérieur se trouvent le retable
Notre-Dame-du-Rosaire, peint en 1515 par Louis Bréa, une Vierge en marbre du XIXe siècle,
un bénitier XVIe, un Christ en bois de
1447, un gisant en bois du XVIe siècle, des fonts baptismaux
de 1772, et un orgue de 1860 du maître Jungh. Wikipédia] Passons et même faisons le
tour du château Grimaldi (musée Picasso) [Le château Grimaldi La famille
monégasque y a vécu au 14 ème
siècle. Devenu successivement résidence du
gouverneur du Roi, hôtel de ville puis une caserne,
c’est en 1946 que Pablo Picasso y installe ses ateliers pendant 2
mois. Il y réalisera de nombreuses œuvres et laissera même à la ville, une vingtaine
de peintures et des dessins.
Parmi les plus célèbres on notera : « Le Gobeur d’Oursins »,
« La Joie de Vivre » ou « La Femme aux oursins ». Le 27
décembre 1966 il devient “musée Picasso ‘’. Le bâtiment a bénéficié d’une
importante campagne de rénovation entre 2006 et 2008. Fondé sur l’ancienne
acropole de la ville grecque d’Antipolis, castrum romain, résidence des évêques
au Moyen Âge, le château fut habité, de 1385 à 1608 par la famille Grimaldi qui
lui donna
son nom. En 1925, le château est acheté par la ville d’Antibes et
devient le musée Grimaldi, musée d’Antibes. En été 1946, Pablo Picasso qui
réside à Golfe-Juan avec Françoise Gilot, est séduit par la proposition de Dor
de la Souchère, conservateur du musée, d’utiliser une partie du château comme
atelier. Picasso travaille de la mi-septembre à la mi-novembre 1946 et réalise
de nombreuses œuvres, dessins et peintures dont Les Clés d’Antibes, sur un pan
de mur. Lorsque l’artiste décide de regagner Paris, il laisse en dépôt au
château 23 peintures et 44 dessins. Par la suite, outre 78 céramiques réalisées
en 1947-1948 à l’atelier Madoura de Vallauris, différents dons et achats de
1952 à nos jours ainsi que des dépôts issus de la dation de Jacqueline Picasso
en 1991, enrichiront de manière significative la collection Picasso du musée.
https://www.antibesjuanlespins.com/a-voir-a-faire/culture-et-patrimoine/les-musees/le-musee-picasso-2031894
et https://www.voyagetips.com/que-faire-a-antibes/#1_La_vieille_ville_drsquoAntibes] Descendons les quelques marches et prenons sur
la droite la promenade
Amiral de Grasse, attention c’est une voie circulante
avec très peu d’espace pour le piétons. Passons un square en forme de triangle
et poursuivons le rempart par l’avenue du général Maizière , sur la gauche nous
avons la rampe montant sur le toit terrasse (si la porte est ouverte) du musé d’archéologie,
ou nous découvrons la petite crique avec sa plage entre la pointe de l’Ilet et
la pointe des Pendus. Prenons la petite rue pavée longeant le musée, nous
retrouvons le rempart et le bord de mer. Sur la gauche nous pouvons nous rendre
sur l’esplanade s’avançant un peu sur la pointe de l’Ilet. Poursuivons la
promenade en longeant la plage du Ponteil, puis la plage de la Salis ce passage
est un peu moins beau. Nous arrivons au port de la Salis. Au niveau de l’ancre
en exposition sur un monticule de pierres, traversons le boulevard pour prendre
au pied d’une petite chapelle un chemin grimpant avec des semblants de marches.
Quittons le bord de mer et montons au
Phare et Chapelle de la Garoupe par le
chemin du calvaire. Dans un virage en angle aigu nous retrouvons le boulevard,
poursuivons le chemin du calvaire sur la droite. Nous débouchons route du phare
en face de la chapelle. Nous pouvons par la route du phare nous rendre au phare
de la Garoupe et au Sémaphore. A l’arrière du phare nous trouvons un petit
sentier avec une pancarte accès Bourreau (avenue) à pied. Traversons le
boulevard et prenons en face l’avenue Guide, coupons deux boulevards (notre
Dame et Gardiole Bacon), et prenons à droite l’avenue des Pins du Cap. Nous
arrivons boulevard de la Garoupe et retrouvons les bords de mer. Longeons les
propriétés nous empêchant de voir la côte et prenons sur la gauche le chemin de
la Garoupe, en direction de la plage. Dépassons le parking et les restaurants. A partir d’ici j’ai réalisé la promenade. Nous
trouvons le sentier touristique de Tirepoil. Lorsque l’on butte sur la
propriété nous trouvons le chemin des
douaniers. Sentier en béton ou dallé tout
en bordure de la mer. Je trouve cette balade magnifique, par sa vue. Je m’ennuie
souvent à la mer, c’est plat, c’est toujours la même chose, durant 6h00 c’est
une immensité d’eau, durant 6h00 c’est une immensité de sable, ou de boue, voir
de rocher. Vous me direz ; lorsqu’il y a des rochers, on peut aller à la
pêche… M’oui, mais ce n’est pas mon truc, désolé les coques, les palourdes, les
chapeaux chinois, bigorneaux et autres bestioles, je n’en raffole pas. Un peu
de moules ou d’huîtres sauvage, pas plus et pas tout les jours. Ici c’est
différent. Différent en quoi ? Je vous vois déjà rigoler, le c.. La
méditerranée n’a pas de marée… Ce n’est qu’une immensité d’eau bleu
qui ne
bouge même pas. C’est comme la Bretagne il y a des rochers et des criques et après
cette immensité bleu, après la mer et la baie des Anges, après la rotation des
avions venant atterrir ou décoller de l’aéroport de Nice, il y a l’arrière pays,
il y a la montagne, et ça me plait. Si j’avais un appartement, je ne souhaiterais
pas un balcon coté mer pour m’énerver devant les quelques yachts de luxes en
stationnement soit sur la mer, soit dans le port appontés au quai des
milliardaires, mais plutôt coté montagne. C’est un très beau parcours même s’il
a perdu de sa sauvagerie par les aménagements pour la sécurisation des
touristes. Ce jour là il y a du vent,
vent venant de la mer, la mer bouge, et vient
s’écraser sur les rochers par de
merveilleuses gerbes d’eau. Partons autour du cap d’Antibes [Le site
bénéficie de la visite de personnalités du monde du cinéma,
essentiellement lors du festival de Cannes, ce qui accroît la notoriété des lieux. C'est vers le
milieu du XIXe siècle que le cap
d'Antibes commença réellement à se développer. À cette époque, des touristes
aisés venant de toute l'Europe, notamment de l'Angleterre et de
la Russie,
découvrirent l'endroit et y bâtirent de luxueuses demeures. C'est le comte de Fersen, colonel et aide de
camp du tsar, qui désenclave en 1863 le Cap d'Antibes en traçant une route
autour de la presqu'île.
Ainsi, le chevalier James Close, ancien
banquier de François
II (roi des Deux-Siciles), s'établit en
1864 à Antibes et y achète 17 000 m2 de terrains au Cap avant de mourir en
1865. En 1880, l'actuel emplacement de Juan-les-Pins
était découvert par le duc d'Albany, fils
de la Reine Victoria. À cette époque, Juan-les-Pins n'était qu'une forêt de
pins, bordée de plages de sable idylliques. Juan-les-Pins s'appela d'ailleurs Albany-les-Bains
jusqu'en 1884. Georges Gallice acquit en 1893 des terrains situés au début de
la route du Cap et un petit port accroché à sa propriété deviendra ensuite le Port
Gallice. wikipédia ] Nous passerons aux pieds de divers propriétés. La Villa Thuret,
propriété de l'INRA, dont le parc botanique est labellisé jardin remarquable, Le château de la Croë, propriété privée ancienne résidence du roi Édouard VIII, parc
planté d'essences méditerranéennes. Le domaine
de La Garoupe et la villa du
Clocher,
domaine privé, la Villa du Clocher fut la propriété de Francis Bouygues.
La villa Sous Le Vent, propriété privée bordant la baie des Milliardaires,
construite par l’architecte Barry Dierks, parc
botanique méditerranéen remarquable. Le général de Gaulle occupa, un temps, cette propriété. La Villa Eilenroc,
propriété publique, parc botanique exotique. L'horticulteur et acclimateur Henry de Vilmorin (1843-1899)
possédait sur le cap d'Antibes un établissement horticole réputé, le domaine
d'Empel, ainsi qu'un jardin botanique, le domaine de Latil, aujourd'hui
disparu. Wikipédia. Nous ne verrons pas ses propriétés
cachées par de haut
murs.] Nous longeons l’immense mur
en moellons de se qui me semble être appelé le château de Garoupe. Poursuivons
par le sentier dallé et sécurisé par d’esthétiques rambardes en fil d’acier au
dessus des passages en aplomb des rochers. Il est assez sportif par ses
nombreux escaliers, j’ai beaucoup aimé ce chemin aménagé qui n’a rien à voir
avec un sentier en pleine nature, mais il fait le tour de chaque crique et au
plus prêt de la mer, dans ce coin ou les milliardaires on colonisés les terres,
il est tout de même agréable de pouvoir tourner et admirer les criques et les
rochers façonnés par le temps. N’oublié pas de vous retourner, les Alpes le
Mercantour vous montrent leur cimes. Nous passons sous une arche en pierre
maintenant cet interminable mur. Le chemin fait fourche. Le sentier gauche
descend vers la mer et la petite crique rocheuse, prenons la branche de droite,
nous quittons un instant le bord de mer et grimpons un peu dans les taillis de
pin et de chênes
vert. Nous passons sous la terrasse d’une propriété (peut être
celle de la Villa Dorane), la poursuite se fait à l’aplomb de la mer protégé
par un muret, nous passons sous une autre terrasse avec des colonnades en
pierre de couleur rouge, encore des escaliers pour aboutir sur le rocher. Le
sentier devient cimenté, le mur est remplacé par un grillage mais avec la
végétation, nous avons l’impression d’être un peut plus en pleine nature, le
ciment à disparu, le sentier se poursuit entre les blocs de pierres est sur des
cailloux. Nous retrouvons un mur ce doit être celui du château de la Croë. [Le château de la Croë est un château français
d'exception de 2 000 m2 construit en 1927 dans le style victorien situé au Cap d'Antibes sur
la Côte d'Azur. Il est depuis 2004 la propriété du milliardaire russe Roman Abramovitch.
Il ressemblance avec le château de
Bagatelle situé dans le Bois de Boulogne. Ce
dernier a servi de modèle à Armand-Albert Rateau pour édifier le château de la Croë et principalement la
façade arrière donnant sur la cour. Le château de la Croë est construit en 1927
dans le style victorien pour un aristocrate anglais nommé Sir William
Pomeroy Burton président de la société Associated Newspapers Ltd.
L'architecte Armand-Albert Rateau a construit la propriété sur les 7 hectares de terrain
qui
s'étendent jusqu'à la mer. Le domaine comprend également de vastes annexes
destinées au personnel qui s'élève à plus de 3 000 m2.
Entre 1938 à 1949, le duc de Windsor et ex-roi Édouard VIII du
Royaume-Uni et son épouse Wallis Simpson en
sont les locataires. Le duc et la duchesse de Windsor tiennent de somptueuses
réceptions au château. En 1952, le château est acheté par le magnat grec de la
construction navale Stavros Niarchos.
Le domaine emploie alors 33 personnes à l'année. En 1970, un important incendie
ravage le château et les arbres qui l'entourent. Il sera laissé à l'abandon
pendant trois décennies avant de faire l'objet d'une
rénovation de grande
ampleur afin de le remettre dans son état initial. En 2004, le château est
acheté par le milliardaire et oligarque russe Roman Abramovitch
pour 15 millions de dollars. Ce dernier entame des travaux exceptionnels entre
2008 et 2010 pour plus de 100 millions de dollars (le prix du château est
estimé à 120 millions d'euros) en réaménageant entièrement l’intérieur du
château ainsi que le parc qui est agrandi de près d'un hectare. Le château est
composé de huit suites et autant de salles de bain, douze chambres, trois
salons, deux salles à manger, une piscine de 15 mètres située sur le toit, un
cinéma pour 20 personnes, un spa avec salles de massage, salles de fitness,
jacuzzi, salles de sport et hammam. La surface totale du château est de
2 000 m2. La suite du propriétaire se trouve au premier
étage au niveau du balcon à colonnades donnant sur la mer Méditerranée. Elle
fait 350 m2. Le château se situe au cœur d'un parc de presque huit
hectares aménagé par le paysagiste Peter Wirtz, considéré actuellement comme l'un des maîtres en la
matière. Ce parc se caractérise par un « tapis vert », une longue
pelouse anglaise partant du portail d'entrée et allant jusqu'au château. Ce
« tapis vert » est orné de quatre « lentilles d'eau ». Des
cercles sous forme de bassins de taille décroissante qui accentuent la
perspective et reflètent les pins qui forment l'allée centrale. Le second
détail est une piscine écologique de 400 m² alimentée par un petit canal en
cascade. Wikipédia] Passons la
petite rotonde, l’allée nous approche du pied du mur. Longeons ce mur sur le
sentier cimenté, en cours de d’aménagement, puis nous marchons sur les cailloux.
Nous retrouvons des escaliers justes avant les grilles, fermant certainement
l’accès, lorsque la mer est trop mauvaise. Sur la gauche une sorte de jetée
s’avance vers la mer. Passons les grilles. Prenons l’allée sur la droite entre
les deux murs c’est le chemin des douaniers longeant le château de la Croé. (Ce
chemin peut servir de raccourci.) Nous trouvons une porte sur la gauche, et
poursuivons notre chemin vers l’Anse de l’Argent Faux. Le chemin fait fourche. Sur
la gauche le chemin dallé descend vers la mer et les rochers. Poursuivons notre
chemin le long du mur grillagé de la Villa Eilenroc. [En
1860, il est de bon ton pour la
grande société du nord de l'Europe, de passer l'hiver sur la Riviera. Le riche
hollandais Hugh-Hope Loudon achète donc le terrain
du Cap pour y faire édifier
une luxueuse résidence qui sera achevée en 1867. Elle s'appellera Eilenroc, anagramme de
Cornélie, prénom de l'épouse de M. Loudon. À cette époque, le parc de la propriété
n'est encore qu'une garrigue, ce n'est que six plus tard, en 1873,
lorsque la propriété est cédée, avec tout son mobilier, à James Wyllie, un
riche écossais de retour des Indes, que ce dernier y fait aménager un décor
végétal exceptionnel par des jardiniers aussi célèbres que Ringuisen. Dès cette
époque, on visite le parc devenu réputé. James Wyllie meurt en 1908. Il était
devenu un antibois de cœur, contribuant aux œuvres de bienfaisance et laissant
un généreux legs à notre ville. Après la disparition de James Wyllie, Sir
Coleridge Kennard devint l'heureux propriétaire des lieux. Monsieur et Madame
Sudreau lui succédèrent. En 1927, la villa devient la propriété de M.
Beaumont et de son épouse en même temps qu'une partie du mobilier. Louis-Dudley
Beaumont était un richissime homme d'affaires américain
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qui venait d'épouser en
Europe une jeune soprano. Son épouse, mondaine et très belle, poursuivra son
œuvre charitable. Le couple fit appel à de jeunes artistes contemporains pour
restaurer et re-décorer la maison. Il y installe sa luxueuse collection de
meubles et de tableaux du XVIIIe. Jacques Greber,
architecte-paysagiste consultant pour l'exposition universelle de New-York en
1939, est alors appelé par M. Beaumont pour restructurer l'immense parc de 11
hectares et lui redonner toute sa splendeur. En 1982, Madame
Beaumont lègue sa propriété à la Ville d'Antibes Juan-les-Pins. La donation est
assortie de conditions précises dont les plus remarquables sont : la création
d'une Fondation Beaumont
destinée à gérer et exploiter ce patrimoine ;
l'utilisation de la propriété par la ville pour des expositions, des réceptions
et l'accueil d'hôtes illustres ; l'ouverture des jardins au public. La ville
d'Antibes Juan-les-Pins entreprend alors un vaste programme de restauration des
bâtiments, du mobilier et des jardins. Le 20 septembre 1985 a lieu la première véritable
réception officielle et Eilenroc devient la Villa d'Honneur de la Ville. Le 7 juin
1986, M. Charles Pasqua, Ministre de l'Intérieur et le
Sénateur-Maire Pierre Merli inaugurent la Fondation Beaumont en présence de
nombreuses personnalités. En 1998, à la demande du Député-Maire M. Leonetti,
le conseil municipal vote à l'unanimité une plus grande ouverture au public des
jardins et de la villa elle-même. Le projet d'éco-musée naît enfin avec la
reconstitution d'une exploitation horticole des années 20. https://www.antibes-juanlespins.com/culture/villa-eilenroc
] Le chemin est bordé d’arbres qui nous
cache la vue sur la mer, en contre partie ils nous donnent
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un peut d’ombre.
Quelques trouées dans la végétation permettent d’admirer le paysage. Le chemin quitte
l’ombre et descend en bordure de mer, puis remonte le long d’une grille peut
esthétique, nous passons une nouvelle porte. Le sentier s’incline sur la
gauche. Cette fois ci, nous sommes dans les chênes vert, nous passons un tunnel
creusé dans la roche, quelques trouées permettent d’admirer la baie. Le chemin
descend et débouche sur la petite plage de l’Argent Faux. Magnifique plage
entre les rochers. Le sentier se poursuit par un escalier étroit grimpant entre
de hauts rochers nous débouchons devant les grilles de la Villa Eilenroc,
longeons les grilles par la gauche, le chemin se poursuit à
l’aplomb de la
falaise, donnant de belles vues sur la baie. Nous retrouvons les grilles de la
villa que nous avons contournée. Le chemin s’élargi, des escaliers nous font
descendre pour contourner le mur de la propriété, le chemin remonte entre un
mur et un grillage, un sentier sur la gauche, descend vers la baie des
Milliardaires, prenons sur la droite et sortons du sentier du littoral. Nous
sommes Avenue Mrs Beaumont petite place avec l’entrée de la villa
Eilenroc. Suivons l’avenue. Affreuse avenue entre deux murs ou grillage, nous
n’avons même pas de vue sur les parcs ou les villas. Dommage. Nous débouchons
Boulevard John Fitzgérald Kennedy, que nous prenons à droite. Au carrefour (Si
vous êtes garé sur le petit parking de la plage de la Garoupe, (comme nous) il
faut prendre à droite, la plage est indiquée. C’est moins long que par l’avenue
Tour Gandolphe). A partir d’ici je n’ai pas fait
l’itinéraire. Poursuivons par le Boulevard Meiland, passons une église
tout en pierre, puis à gauche par le chemin des Ondes nous débouchons boulevard
du Maréchal Juin et retrouvons la mer coté Golf Juan. Longeons la plage de
sable fin. Comme du coté d’Antibes nous n’avons pas de trottoir, seul une ligne
blanche nous sépare de la route. Nous trouvons un trottoir au niveau du port
que nous longeons. Dépassons un très vieil olivier. Nous entrons en ville par
le boulevard Edouard
Baudin, la rue fait fourche laissons le boulevard Edouard
Baudin, partir sur la gauche. Poursuivons sur la droite par l’avenue Georges
Galice. Sur la gauche, une chapelle et un peut plus loin, le monument en forme
de croix pour honorer nos soldats morts en Indochine. Nous trouvons sur la
gauche une allée dans la pinède, que nous prenons. Nous débouchons au carrefour
avec les avenues Gallice, Léonetti, et Beaumond. Prenons ce dernier sur la
gauche. Nous retrouvons la mer et les plages. Poursuivons par la promenade du
Soleil. Au rond point prenons sur la droite l’avenue de l’Amiral Courbet, puis
à droite l’avenue de l’Estérel que nous suivons jusqu’à la gare.
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