vendredi 2 juillet 2021

Promenade en Loire Atlantique - Etang de Beusse


L' Etang de la Beusse

Le départ se fait du Village de Saint Hilaire de Chaléon, Village que l'on peut rejoindre en train, ligne Nantes - Pornic. Ou en voiture… De Nantes c’est un peut compliquer pour les ‘’étrangers’’ pardon les randonneurs des autres régions, mais c’est le ressenti d’un touriste devant contourner Nantes. Le GPS ne donnant pas toujours le meilleur itinéraire, sans embouteillages. Comme on peu, par le périphérique, rejoignons la D723 puis la D 751 (direction Noirmoutier, attention la sortie n’est pas facile trop proche l’une de l’autre, nous devons prendre la seconde.) Soit la D 758 par Saint Pazanne mais cela fait traverser cette ville, ou par le pont Béranger prendre la D 79 puis après la zone industriel la D 80. Après les ronds points nous trouvons la direction de Sainte Hilaire. Nous trouvons des parkings autour de l’église et un peu plus loin en direction de Chéméré vers le cimetière.


Carte IGN                 Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps (Circuit Principal)    Le code mobile de cette randonnée est b323055    

      
Trace Randogps du diverticule           Le code mobile de cette randonnée est b323056

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Km   temps     Arret      V/d     V/g     Dénivelé
26      5h00      0h30       5,2      4,7        163

Avril 2019

Saint Hilaire de Chaléon
[La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique. Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne. Le nom de la localité est attesté sous les formes San Heliren et Sancti Hylarii au XIIe siècle. Le nom de Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers, évêque de Poitiers au IVe siècle ; Chaléons viendrait de calma, terme d'origine pré-celtique qui signifiait « espace dénudé » ou « plateau en friche ». La commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz, jusqu'à dominer le Marais breton et la plaine littorale. Pendant la période révolutionnaire, la commune prit le nom de La Fraternité. En breton, elle a été dénommée Sant-Eler-Kaleon par l'Office de la Langue Bretonne, nom sans valeur historique.
Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d'Angers. L'église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny. Durant le Moyen Âge, la paroisse de Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud. La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des traces durables dans les mentalités. Saint-Hilaire est alors un lieu de cantonnement pour l'armée républicaine qui combat les Armées catholiques et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. ] En se garant vers la salle des fêtes cela nous permet de voir le cimetière circulaire autour du calvaire. [En 1793, le curé de la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé 
au visage alors qu'il sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de la Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint 
Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869 par le maire, le comte Gustave de Juigné. Le Calvaire dans le cimetière, se distingue également, par sa forme circulaire. Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire. On y trouve des plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée. Wikipédia. ] Reprenons la D61 rue Eloi Guitteny en direction de l'église [L'église actuelle remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts. Elle se caractérise par, son carillon sonnant « La Paimpolaise », une chanson de Théodore Botrel au fil des heures. La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce clocher avec les anciens qui l'avaient vu construire.] Faisons le tour de l'église par la rue (place de l'église) puis à gauche la rue du clos Paulet, enfin à droite la rue de la Bonne Fontaine (D80), poursuivons D 80 (balisage jaune). Au rond point quittons le balisage jaune tournant à droite, poursuivons tout droit jusqu'à la sortie du village. Sur la gauche nous trouvons un calvaire et un chemin bordé d’arbres que nous prenons, après un esse nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, c’est le chemin de la caillette. Nous y trouvons le balisage des Templiers en direction de la Mulonnière et une pancarte VTT du Pays de Retz. Nous entrons dans le Hameau de la Thibaudière par l’impasse des Molins, la rue débouche dans la rue de la Thibaudière que nous prenons à gauche. Après le virage, la rue change de nom, devient de la Mulonnière, nous traversons ce hameau. Au rond point poursuivons tout droit, laissons un premier chemin, nous abandonnerons le bitume dans le virage de la route ou nous prendrons le chemin sur la droite. Chemin ombragé, nous sommes toujours sur le chemin des Templiers. Laissons un chemin balisé  sur la gauche en direction de la Rotardière.
 Coupons la D 758 et poursuivons en face, nous débouchons de nouveau sur une route que nous prenons à droite, au carrefour suivant prenons la rue de gauche en direction de la Bertaudière et de l’étang de la Beusse. Laissons la route d’accès au hameau et poursuivons tout droit vers l’exploitation agricole. Après les hangars nous trouvons un chemin mal entretenu 

                  

 sur la droite. [Article dans Ouest France L’étang de la Beusse, réserve d’eau, lieu de balade.
Le site, tout en longueur, situé à 4 km du bourg, sur la route de Fresnay, a été créé en 1992. Le fruit d’une collaboration entre un groupement d’agriculteurs et la municipalité. Le 7 juin 1995 a été signée une convention entre l’Association foncière agricole (AFA) Vallée de la Beusse, un groupement d’une quinzaine 
d’agriculteurs propriétaires de l’étang et de ses berges, et la municipalité. Celle-ci, qui avait mesuré l’intérêt attractif pour les habitants, grâce à la convention, a créé un cheminement complet autour de l’étang et des aires de pique-nique. La mairie assure l’entretien du site. « L’idée de la municipalité est de faire inscrire un circuit de randonnée de 8,3 km au Plan départemental d’itinéraires et de promenades de randonnées (PDITR). Ce chemin sera inauguré au printemps prochain », se projette Joseph Guibert, adjoint à l’environnement.
Une retenue d’eau de 400 000 m3
L’étang de la Beusse d’une superficie de 13,8 ha, ouvert à la promenade, la marche, le jogging, au VTT-VTC et à la pêche avec permis est d’abord un lieu essentiel à l’activité de l’association d’agriculteurs (AFA) qui 
dispose ainsi d’une réserve d’eau de 400 000 m3 permettant l’irrigation des cultures (mais, cultures légumières de plein champ). « On avait fait beaucoup de drainages collectifs pour assainir nos terres, on 
voyait l’eau partir à grande vitesse vers les cours d’eau et, finalement, se perdre. Les sécheresses 
étant récurrentes et une productivité agricole s’intensifiant, l’idée est venue de créer une réserve d’eau. Grâce à l’irrigation, on s’assurait d’une récolte chaque année pour notre bétail avec le maintien d’une production de maïs suffisante » « La retenue d’eau que nous avons réalisée est quelque chose de capital pour l’avenir de nos jeunes agriculteurs en sécurisant les moyens de production, en assurant les 
récoltes et en permettant d’éviter les aléas climatiques. L’irrigation permet d’augmenter nos productions en réduisant les surfaces fourragères d’été. Nous améliorons ainsi la qualité de nos produits, herbes et maïs et de nouvelles cultures comme les petits pois. On stocke un supplément d’eau hivernale qui serait perdu pour tout le monde », argumente celui qui a bataillé ferme pour la sécurité économique de ses collègues agriculteurs… Et pour le bien-être des habitants qui ont à leur disposition un endroit apaisant. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sainte-pazanne-44680/l-etang-de-la-beusse-reserve-d-eau-lieu-de-balade-5917748] Dommage, pour un site se voulant touristique que le chemin de cette partie du lac ne soit pas entretenu, prenons le chemin de pêcheurs sur la droite, ressemblent plus à un chemin à tiques, qu’à un chemin touristique. Contournons l’étang devenant un peu moins large, passons un pont en béton, le sentier s’améliore un peu. Nous arrivons à l’extrémité de l’étangpassons le pont de terre au dessus du ruisseau alimentant le lac, ne rentrons pas dans le bois qui est privé. Poursuivons notre tour du lac par l’autre rive, qui semble plus touristique, le chemin est un peu mieux. Traversons un autre pont en béton au dessus d’une autre rivière d’alimentation, passons un remblais s’éparant une extension du lac, nous arrivons à une embouchure de ruisseau permettant lui aussi d’alimenter l’étang, passons le pont, nous quittons les bords du lac en prenant le chemin remontant tout droit, nous faisant traverser le parking ou nous trouvons également des tables de pique nique. Prenons la route d’accès sur la droite, nous débouchons sur la D 79 que nous prenons à droite, 
laissons sur la droite l’accès au hameau de la Chopinière, normalement nous sommes sur un balisage jaune, qui n’est pas sur la carte, mais on ne voit que les croix. Nous arrivons au hameau du Grand Cormier à l’intersection nous prenons à gauche la direction ‘’du Grand Cormier’’ passons la ferme maraîchère, qui à du donner le nom à l’ensemble (ou peut être l’inverse), puis une mare. Longeons des éoliennes et nous arrivons à un croisement de routes, prenons à gauche, nous retrouvons le balisage  VTT Cœur de Retz, laissons les chemins sur la droite menant dans les champs, nous arrivons à un carrefour formant Té, nous prenons à droite. Coupons la ligne de chemin 
de fer, traversons le hameau du Bois Flamberge, au carrefour poursuivons tout droit, traversons le Bois Fleuri, les hameaux semble ne faire qu’un, et quittons le bitume lorsque la route tourne à gauche, nous poursuivons tout droit par un chemin empierré bordé de haie. Ce chemin fait deux virages à gauche et un virage à droite à quatre vingt dix degrés. 
Nous arrivons à un carrefour formant Té proche de la D 61, prenons le 
chemin de gauche, nous arrivons sur un nouveau chemin formant Té, nous prenons à droite. Laissons un chemin sur la droite menant à la ferme de la Foucaudière et prenons le suivant sur la gauche (Normalement le chemin est balisé. Pourquoi normalement ? je n’ai pas fait cette portion, je n’avais pas regarder ma trace et je me suis retrouver devant la ligne de chemin de fer, trop tard pour faire demi tour, je n’en ai pas eu envie. J’ai pris la route.) Nous débouchons sur la route que nous prenons à droite, longeons le hameau de La 
Roche Saint Louis, nous débouchons sur la D 61 que nous prenons à gauche. Au carrefour avec le haricot central et un petit trottoir prenons à droite la route bordée de fossés. Nous arrivons à l’entrée d’un quartier neuf de Sainte Pazanne, [La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz. Sainte-Pazanne a été chef-lieu de canton. Le commissaire cantonal était d'abord un nommé Gros (officier de santé de la région de Châteaubriant), 
remplacé par Nau. Les chouans désignés ont été : Lecouvreur, Guérin, Coussays et de Degonnor. Les Républicains désignés ont été : Renaudin, Jean Bossy, Lucas-Biré. En mars 1793, Louis Boursault, procureur fiscal et notaire du canton, s'était transporté au bourg de Sainte-Pazanne à la tête de 50 rebelles ou Chouans qu'il commandait et enleva 25 patriotes qui ont été immolés à Machecoul. Louis Boursault fut condamné à la peine de mort à Nantes le 22 décembre 1793.

La localité s'est développée au XIXe siècle sous l'impulsion de la famille Ecomard, commerçants, qui a donné quatre maires au village. Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancta Picina en 1287, Seint Pasene en 1362.
Le nom de Sainte-Pazanne vient d'une sainte d'origine espagnole : sainte Pexine et ses nombreuses variantes dont sainte Pazanne. Représentation de sainte Pazanne, ici sous le nom de sainte Piterre dans l'église Sainte-Pitère du Tréhou en Bretagne. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Franchère. La première mention de la paroisse de Sainte-Pazanne remonte à 1284.
Des ruines gallo-romaines ont été découvertes au village du Bois. Des moines venus de l'abbaye Stavelot-Malmédy (située dans les Ardennes) s'établissent dès le VIIe siècle au bord du Tenu, en un lieu qui prend le nom d'Ardennes et qui aurait été donné par Sigebert III. Ils y fondent un prieuré « le prieuré 
d'Ardennes ». À noter que le nord de la France a été notamment évangélisé par Remacle, un moine originaire du Sud de la France. Alors que ce dernier dirigeait le monastère de Solignac, près de Limoges, il reçut du roi franc Sigebert III la mission d'évangéliser les Ardennes et fonde alors l'abbaye de Malmédy. Une charte du 20 mai 877 de Louis II le Fainéant confirme la donation faite par Sigebert. L'un des premiers seigneurs d'Ardennes (en Sainte-Pazanne) est Alain du Croisil. Il y avait une seigneurie qui appartenait, en 1409, à Jean de Tournemine. Elle a appartenu aussi à la famille Menardeau, entre autres à François de Ménardeau, Chevalier, Seigneur de Noes, Goulaine, Beaumon, Ranzay et Sainte-Pazanne (vivant en 1499). Puis à ses descendants, Pierre, Auguste-Pierre et enfin François Ménardeau (vivant en 1619). Wikipédia] Quittons la route tournant sur la gauche, nous prenons sur la droite le chemin balisé bordé d’arbres, passons une zone maraîchère et nous débouchons sur une placette et un parking d’une superette. 
Prenons à gauche la rue de la Roche Blanche, traversons cette zone pavillonnaire. Nous débouchons rue Saint Anne que nous prenons à droite. Au carrefour avec l’espace vert et les parkings poursuivons tout droit par la rue du Tenu, nous arrivons sur la place de la ville avec un drôle de péristyle. Prenons sur la gauche la D 758 en direction de Noirmoutier, sur la droite dans un renfoncement la place de l’église. Faisons le tour de ce monument. [Aucune source ne mentionne la date de la construction de la première église. Seul un texte signale des dégats en 1401 suite à un ouragan (certainement dut au réchauffement climatique… je plaisante. Aujourd’hui tout est dut au réchauffement climatique.) En 1793, durant la Révolution, des maisons ainsi que l'église de Sainte-Pazanne sont brûlées accidentellement par un soldat de l’armée républicaine. La halle de la Hunaudais devient une église de substitution.Une nouvelle église est alors construite en 
1819 devenu trop petite, elle est démolie et une église plus grande est construite en 1878 par l’architecte Ménard. Le clocher sera construit en 1897, il fait 67m de haut surmonté d’une croix de 5 mètres et d’un coq. Elle sera consacrée en 1898. Panneau d’information.] Dirigeons nous vers le chevet, et prenons sur la gauche, la rue du Verdelet, laissons sur la gauche la rue Loquet, poursuivons tout droit la rue du Rocher. A la fourche nous laissons, la rue du Rocher sur la droite et prenons à gauche la l’avenue de Caché Bonhomme. Passons la rue des Albizzias, une cinquantaine de mètres plus loin nous trouvons sur
la droite un chemin intra muros entre deux haies. Le chemin tourne sur la gauche et débouche impasse du Bonnet Carré, que nous prenons à droite, puis la rue des Tonneliers sur la droite, passons la ligne de chemin de fer, puis le rond point. Au carrefour suivant nous poursuivons par la rue de la feuillette. Comme nous sommes dans un quartier tout neuf et qu’en 2019 il est encore en extension, je franchi et heureusement que nous sommes dimanche, le chantier est desert, des barrières de chantier pour rejoindre cinquante mètres plus loin un chemin sur la gauche, mais ce sera peut être une rue dans quelques temps. Je sors du chantier et retrouve rapidement un chemin bordé d’arbres. Nous débouchons dans la rue du Clos Royal que nous prenons à gauche. Laissons l’accès à la ferme de La Bouge sur notre droite, une petite centaine de mètres plus loin nous arrivons à un carrefour, Nous avons deux Choix :
Choix 1 - Trace jaune sur la carte (suite de l’itinéraire) ; Prenons sur la gauche la route de La Beurrière balisage jaune (mais les deux itinéraires sont balisés en jaune sur le terrain.) Traversons se hameau dont la route semble se terminer dans une cours, mais elle fait un esse gauche droite, passons un ru, puis la ligne de chemin de fer, nous débouchons sur la D 61 que nous prenons à droite. Laissons deux chemins sur la gauche et leur balises, nous prenons un peu plus loin le chemin de droite sans pancartes mais normalement balisé. De chemin nous passons à rue et débouchons dans le hameau de La Rotardière, nous prenons à gauche et à la fourche suivante prenons la rue de droite, à son extrémité nous trouvons les deux maisons de la Petite Davière et deux chemins faisant fourche. Prenons celui de gauche il débouche sur la D 61, passons le rond point et 
poursuivons tout droit jusqu’au cimetière.
Choix 2 - trace bleu sur la carte ; Poursuivre tout droit, laisser sur la droite l’accès au hameau de La Jolinière et nous débouchons un peu plus loin sur la D 80 que nous prenons à gauche sur environ 400 m, laissons sur la gauche l’accès au hameau de Sauzou, et nous trouvons un peu plus loin sur la droite un chemin avec un calvaire protégé par des arbres. Prenons se chemin bordé d’arbres sur la droite, il débouche sur une route goudronnée que nous prenons à gauche. (belle allée de parc, elle est bordée de magnifiques arbres dont la cime forme voûte au dessus de la route.) Nous débouchons sur la D 80 que nous prenons à droite, traversons la ligne de chemin de fer, poursuivons tout droit, nous arrivons face à l’église et prenons la rue de droite si l’on est garé au cimetière.
 
 




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