L' Etang de la Beusse
Le départ se fait du Village de Saint Hilaire de Chaléon, Village
que l'on peut rejoindre en train, ligne Nantes - Pornic. Ou en voiture… De
Nantes c’est un peut compliquer pour les ‘’étrangers’’ pardon les randonneurs
des autres régions, mais c’est le ressenti d’un touriste devant contourner
Nantes. Le GPS ne donnant pas toujours le meilleur itinéraire, sans
embouteillages. Comme on peu, par le périphérique, rejoignons la D723 puis la D
751 (direction Noirmoutier, attention la sortie n’est pas facile trop proche
l’une de l’autre, nous devons prendre la seconde.) Soit la D 758 par Saint
Pazanne mais cela fait traverser cette ville, ou par le pont Béranger prendre
la D 79 puis après la zone industriel la D 80. Après les ronds points nous
trouvons la direction de Sainte Hilaire. Nous trouvons des parkings autour de
l’église et un peu plus loin en direction de Chéméré vers le cimetière.
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps (Circuit Principal) Le code mobile de cette randonnée est b323055
Trace Randogps du diverticule Le code mobile de cette randonnée est b323056
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Carte VisoRando Trajet principal
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km temps
Arret V/d V/g
Dénivelé
26 5h00
0h30 5,2 4,7
163
Avril 2019
Saint
Hilaire de Chaléon
[La commune
fait partie de la Bretagne historique, dans le pays
traditionnel du pays
de Retz et dans le pays
historique du Pays
nantais. La commune
a aussi fait partie des Marches Communes de
Bretagne-Poitou, entre pays
de Retz et Vendée
historique. Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac
de Grand-Lieu et la baie
de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes
et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne. Le nom de la localité est attesté
sous les formes San Heliren et Sancti Hylarii au XIIe
siècle. Le nom de Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers,
évêque de Poitiers au IVe siècle ;
Chaléons viendrait de calma, terme d'origine pré-celtique
qui signifiait « espace dénudé » ou « plateau en friche ». La
commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se
poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz, jusqu'à dominer le Marais
breton et la plaine littorale. Pendant la période
révolutionnaire, la commune
prit le nom de La Fraternité. En breton, elle a été dénommée Sant-Eler-Kaleon
par l'Office de la Langue Bretonne, nom sans valeur historique.
Saint-Hilaire-de-Chaléons
est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée
aux religieuses de Notre-Dame d'Angers. L'église de Saint-Hilaire de Chaléons
appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny. Durant le Moyen Âge, la paroisse de
Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud. La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des
traces durables dans les mentalités. Saint-Hilaire est alors un lieu de
cantonnement pour l'armée républicaine qui combat les Armées catholiques
et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. ] En
se garant vers la salle des fêtes cela nous permet de voir le cimetière
circulaire autour du calvaire. [En 1793, le curé de
la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé
au visage alors qu'il
sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de
la Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint
Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la
révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869
par le maire, le comte Gustave de Juigné. Le Calvaire dans le cimetière, se distingue également, par sa
forme circulaire. Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire. On y trouve des
plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée.
Wikipédia. ] Reprenons la D61 rue Eloi
Guitteny en direction de l'église [L'église actuelle
remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages
mérovingiens sont découverts.
Elle se caractérise par, son carillon sonnant « La Paimpolaise », une
chanson de Théodore Botrel
au fil des heures. La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes
cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce clocher avec
les anciens qui l'avaient vu construire.] Faisons
le tour de l'église par la rue (place de l'église) puis à gauche la rue du clos
Paulet, enfin à
droite la rue de la Bonne Fontaine (D80), poursuivons D 80 (balisage
jaune). Au rond point quittons le balisage jaune tournant à droite, poursuivons
tout droit jusqu'à la sortie du village. Sur la gauche nous trouvons un
calvaire et un chemin bordé d’arbres que nous prenons, après un esse nous
débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, c’est le chemin
de la caillette. Nous y trouvons le balisage des Templiers en direction de la Mulonnière
et une pancarte VTT du Pays de Retz. Nous entrons dans le Hameau de la
Thibaudière par l’impasse des Molins, la rue débouche dans la rue de la
Thibaudière que nous prenons à gauche. Après le virage, la rue change de nom,
devient de la Mulonnière, nous traversons ce hameau. Au rond point poursuivons
tout droit, laissons un premier chemin, nous abandonnerons le bitume dans le
virage de la route ou nous prendrons le chemin sur la droite. Chemin ombragé, nous
sommes toujours sur le chemin des Templiers. Laissons un chemin balisé sur la
gauche en direction de la Rotardière.
Coupons la D 758 et poursuivons en face,
nous débouchons de nouveau sur une route que nous prenons à droite, au
carrefour suivant prenons la rue de gauche en direction de la Bertaudière et de
l’étang de la Beusse. Laissons la route d’accès au hameau et poursuivons tout
droit vers l’exploitation agricole. Après les hangars nous trouvons un chemin
mal entretenu
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sur la droite. [Article dans Ouest France L’étang de la
Beusse, réserve d’eau, lieu de balade.
Le site, tout en
longueur, situé à 4 km du bourg, sur la route de Fresnay, a été créé en 1992.
Le fruit d’une collaboration entre un groupement d’agriculteurs et la
municipalité. Le 7 juin 1995 a été signée une convention entre
l’Association foncière agricole (AFA) Vallée de la Beusse, un groupement d’une
quinzaine
d’agriculteurs propriétaires de l’étang et de ses berges, et la
municipalité. Celle-ci, qui avait mesuré l’intérêt attractif pour les
habitants, grâce à la convention, a créé un cheminement complet autour de
l’étang et des aires de pique-nique. La mairie assure l’entretien du site. « L’idée de la municipalité est de faire
inscrire un circuit de randonnée de 8,3 km au Plan départemental d’itinéraires
et de promenades de randonnées (PDITR). Ce chemin sera inauguré au printemps
prochain », se projette Joseph Guibert, adjoint à l’environnement.
Une retenue d’eau de
400 000 m3
L’étang de la Beusse
d’une superficie de 13,8 ha, ouvert à la promenade, la marche, le jogging, au
VTT-VTC et à la pêche avec permis est d’abord un lieu essentiel à l’activité de
l’association d’agriculteurs (AFA) qui
dispose ainsi d’une réserve d’eau de
400 000 m3 permettant l’irrigation des cultures (mais, cultures
légumières de plein champ). « On avait
fait beaucoup de drainages collectifs pour assainir nos terres, on
voyait l’eau
partir à grande vitesse vers les cours d’eau et, finalement, se perdre. Les
sécheresses
étant récurrentes et une productivité agricole s’intensifiant,
l’idée est venue de créer une réserve d’eau. Grâce à l’irrigation, on
s’assurait d’une récolte chaque année pour notre bétail avec le maintien d’une
production de maïs suffisante » « La retenue d’eau que nous avons réalisée est
quelque chose de capital pour l’avenir de nos jeunes agriculteurs en sécurisant
les moyens de production, en assurant les
récoltes et en permettant d’éviter
les aléas climatiques. L’irrigation permet d’augmenter nos productions en
réduisant les surfaces fourragères d’été. Nous améliorons ainsi la qualité de
nos produits, herbes et maïs et de nouvelles cultures comme les petits pois. On
stocke un supplément d’eau hivernale qui serait perdu pour tout le monde »,
argumente celui qui a bataillé ferme pour la sécurité économique de ses
collègues agriculteurs… Et pour le bien-être des habitants qui ont à leur
disposition un endroit apaisant. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sainte-pazanne-44680/l-etang-de-la-beusse-reserve-d-eau-lieu-de-balade-5917748]
Dommage, pour un site se voulant touristique que le chemin de cette partie du
lac ne soit pas entretenu, prenons le chemin de pêcheurs sur la droite,
ressemblent plus à un chemin à tiques, qu’à un chemin touristique. Contournons
l’étang devenant un peu moins large, passons un pont en béton, le sentier
s’améliore un peu. Nous arrivons à l’extrémité de l’étang
passons le pont de
terre au dessus du ruisseau alimentant le lac, ne rentrons pas dans le bois qui
est privé. Poursuivons notre tour du lac par l’autre rive, qui semble plus
touristique, le chemin est un peu mieux. Traversons un autre pont en béton au
dessus d’une autre rivière d’alimentation, passons un remblais s’éparant une
extension du lac, nous arrivons à une embouchure de ruisseau permettant lui
aussi d’alimenter l’étang, passons le pont, nous quittons les bords du lac en
prenant le chemin remontant tout droit, nous faisant traverser le parking ou
nous trouvons également des tables de pique nique. Prenons la route d’accès sur
la droite, nous débouchons sur la D 79 que nous prenons à droite,
laissons sur
la droite l’accès au hameau de la Chopinière, normalement nous sommes sur un
balisage jaune, qui n’est pas sur la carte, mais on ne voit que les croix. Nous
arrivons au hameau du Grand Cormier à l’intersection nous prenons à gauche la
direction ‘’du Grand Cormier’’ passons la ferme maraîchère, qui à du donner le
nom à l’ensemble (ou peut être l’inverse), puis une mare. Longeons des éoliennes
et nous arrivons à un croisement de routes, prenons à gauche, nous retrouvons le
balisage VTT Cœur de Retz, laissons les
chemins sur la droite menant dans les champs, nous arrivons à un carrefour
formant Té, nous prenons à droite. Coupons la ligne de chemin
de fer,
traversons le hameau du Bois Flamberge, au carrefour poursuivons tout droit,
traversons le Bois Fleuri, les hameaux semble ne faire qu’un, et quittons le
bitume lorsque la route tourne à gauche, nous poursuivons tout droit par un
chemin empierré bordé de haie. Ce chemin fait deux virages à gauche et un
virage à droite à quatre vingt dix degrés.
Nous arrivons à un carrefour formant
Té proche de la D 61, prenons le
chemin de gauche, nous arrivons sur un nouveau
chemin formant Té, nous prenons à droite. Laissons un chemin sur la droite
menant à la ferme de la Foucaudière et prenons le suivant sur la gauche (Normalement le chemin est balisé. Pourquoi
normalement ? je n’ai pas fait cette portion, je n’avais pas regarder ma
trace et je me suis retrouver devant la ligne de chemin de fer, trop tard pour
faire demi tour, je n’en ai pas eu envie. J’ai pris la route.) Nous
débouchons sur la route que nous prenons à droite, longeons le hameau de La
Roche Saint Louis, nous débouchons sur la D 61 que nous prenons à gauche. Au
carrefour avec le haricot central et un petit trottoir prenons à droite la
route bordée de fossés. Nous arrivons à l’entrée d’un quartier neuf de Sainte
Pazanne, [La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le
pays traditionnel du pays de Retz. Sainte-Pazanne a
été chef-lieu de canton. Le commissaire cantonal était d'abord un nommé Gros (officier de santé
de la région de Châteaubriant),
remplacé par Nau. Les chouans désignés ont
été : Lecouvreur, Guérin, Coussays et de Degonnor. Les Républicains
désignés ont été : Renaudin, Jean Bossy, Lucas-Biré. En mars 1793, Louis
Boursault, procureur fiscal et notaire du canton, s'était transporté au bourg
de Sainte-Pazanne à la tête de 50 rebelles ou Chouans qu'il commandait et
enleva 25 patriotes qui ont été immolés à Machecoul. Louis Boursault fut condamné à la peine de mort à Nantes le 22
décembre 1793.
La localité s'est
développée au XIXe siècle sous
l'impulsion de la famille Ecomard, commerçants, qui a donné quatre maires au
village. Le nom de la localité est attesté
sous les formes Sancta Picina en 1287, Seint Pasene en 1362.
Le nom de
Sainte-Pazanne vient d'une sainte d'origine espagnole : sainte Pexine et ses nombreuses
variantes dont sainte Pazanne. Représentation de sainte Pazanne, ici sous le nom de
sainte Piterre dans l'église Sainte-Pitère du Tréhou en Bretagne. Durant la Révolution, la commune porte
le nom de Franchère. La première mention de la paroisse de
Sainte-Pazanne remonte à 1284.
Des ruines gallo-romaines ont été découvertes
au village du Bois. Des moines venus de l'abbaye Stavelot-Malmédy (située dans les Ardennes) s'établissent dès
le VIIe siècle au bord du Tenu, en
un lieu qui prend le nom d'Ardennes et qui aurait été donné par Sigebert III. Ils y fondent un
prieuré « le prieuré
d'Ardennes ». À noter que le nord de la France a
été notamment évangélisé par Remacle, un moine originaire du Sud de la France.
Alors que ce dernier dirigeait le monastère de Solignac, près de Limoges, il
reçut du roi franc Sigebert III la mission d'évangéliser les Ardennes et fonde
alors l'abbaye de Malmédy. Une charte du 20 mai 877 de Louis II le Fainéant
confirme la donation faite par Sigebert. L'un des premiers seigneurs d'Ardennes
(en Sainte-Pazanne) est Alain du Croisil. Il y avait une seigneurie qui appartenait, en 1409, à Jean de Tournemine. Elle a appartenu aussi à la famille Menardeau, entre autres à François de Ménardeau, Chevalier, Seigneur de Noes, Goulaine, Beaumon, Ranzay et
Sainte-Pazanne (vivant en 1499). Puis à ses descendants, Pierre, Auguste-Pierre
et enfin François Ménardeau (vivant en 1619). Wikipédia] Quittons
la route tournant sur la gauche, nous prenons sur la droite le chemin balisé
bordé d’arbres, passons une zone maraîchère et nous débouchons sur une placette
et un parking d’une superette.
Prenons à gauche la rue de la Roche Blanche,
traversons cette zone pavillonnaire. Nous débouchons rue Saint Anne que nous
prenons à droite. Au carrefour avec l’espace vert et les parkings poursuivons
tout droit par la rue du Tenu, nous arrivons sur la place de la ville avec un
drôle de péristyle. Prenons sur la gauche la D 758 en direction de Noirmoutier,
sur la droite dans un renfoncement la place de l’église. Faisons le tour de ce
monument. [Aucune source ne mentionne la date de la
construction de la première église. Seul un texte signale des dégats en 1401
suite à un ouragan (certainement dut au
réchauffement climatique… je plaisante. Aujourd’hui tout est dut au
réchauffement climatique.) En 1793, durant
la Révolution, des maisons ainsi que l'église de Sainte-Pazanne sont brûlées
accidentellement par un soldat de l’armée républicaine. La halle de la
Hunaudais devient une église de substitution.Une nouvelle église est alors construite
en
1819 devenu trop petite, elle est démolie et une église plus grande est
construite en 1878 par l’architecte Ménard. Le clocher sera construit en 1897,
il fait 67m de haut surmonté d’une croix de 5 mètres et d’un coq. Elle sera
consacrée en 1898. Panneau d’information.] Dirigeons nous vers le
chevet, et prenons sur la gauche, la rue du Verdelet, laissons sur la gauche la
rue Loquet, poursuivons tout droit la rue du Rocher. A la fourche nous
laissons, la rue du Rocher sur la droite et prenons à gauche la l’avenue de
Caché Bonhomme. Passons la rue des Albizzias, une cinquantaine de mètres plus
loin nous trouvons sur
la droite un chemin intra muros entre deux haies. Le
chemin tourne sur la gauche et débouche impasse du Bonnet Carré, que nous
prenons à droite, puis la rue des Tonneliers sur la droite, passons la ligne de
chemin de fer, puis le rond point. Au carrefour suivant nous poursuivons par la
rue de la feuillette. Comme nous sommes dans un quartier tout neuf et qu’en
2019 il est encore en extension, je franchi et heureusement que nous sommes
dimanche, le chantier est desert, des barrières de chantier pour rejoindre
cinquante mètres plus loin un chemin sur la gauche, mais ce sera peut être une
rue dans quelques temps. Je sors du chantier et retrouve rapidement un chemin
bordé d’arbres. Nous débouchons dans la rue du Clos Royal que nous prenons à
gauche. Laissons l’accès à la ferme de La Bouge sur notre droite, une petite
centaine de mètres plus loin nous arrivons à un carrefour, Nous avons deux
Choix :
Choix 1 - Trace jaune sur la
carte (suite de l’itinéraire) ; Prenons sur la gauche la route de La Beurrière balisage
jaune (mais les deux itinéraires sont balisés en jaune sur le terrain.) Traversons
se hameau dont la route semble se terminer dans une cours, mais elle fait un
esse gauche droite, passons un ru, puis la ligne de chemin de fer, nous
débouchons sur la D 61 que nous prenons à droite. Laissons deux chemins sur la
gauche et leur balises, nous prenons un peu plus loin le chemin de droite sans
pancartes mais normalement balisé. De chemin nous passons à rue et débouchons
dans le hameau de La Rotardière, nous prenons à gauche et à la fourche suivante
prenons la rue de droite, à son extrémité nous trouvons les deux maisons de la
Petite Davière et deux chemins faisant fourche. Prenons celui de gauche il
débouche sur la D 61, passons le rond point et
poursuivons tout droit jusqu’au
cimetière.
Choix
2 - trace bleu sur la carte ; Poursuivre tout droit, laisser sur la
droite l’accès au hameau de La Jolinière et nous débouchons un peu plus loin
sur la D 80 que nous prenons à gauche sur environ 400 m, laissons sur la gauche
l’accès au hameau de Sauzou, et nous trouvons un peu plus loin sur la droite un
chemin avec un calvaire protégé par des arbres. Prenons se chemin bordé
d’arbres sur la droite, il débouche sur une route goudronnée que nous prenons à
gauche. (belle allée de parc, elle est bordée de magnifiques arbres dont la
cime forme voûte au dessus de la route.) Nous débouchons sur la D 80 que nous
prenons à droite, traversons la ligne de chemin de fer, poursuivons tout droit,
nous arrivons face à l’église et prenons la rue de droite si l’on est garé au
cimetière.
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