Aujourd'hui nous partons dans le Limousin autour de Bessines sur Gartempe et de Folles
Devant
nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."
Jérôme et Jean Tharaud
Juin 2019
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b323007
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Carte VisoRando
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Km Temps Arret
V/d V/g dénivelé
12 2h30 0h30
5,6
4,7 312 +
Petite promenade dans la vallée de la Gartempe qui emprunte en
grande partie un circuit rouge que nous trouverons après le pont de la Gartempe.
Je fais mon départ du hameau du Cluzeau.
Pour s’y rendre le plus simple est
peut être de prendre la D1 en direction de Fromontale et Fursac. Après le
village de La Traverse, ne pas prendre la D 51 en direction du viaduc de
Rocherolles, mais une centaine de mètres plus loin, à la sortie du village, la C
20 sur la droite. Cette route est peu large et débouche sur une autre route
formant Té. Nous prenons à droite. Nous arrivons au village. Pas de parking. Se
garer à l’entrée du village sur un espace herbeux à l’angle d’une ancienne
ferme transformé en maison d’habitation et un chemin. Attention laisser
toujours un large passage pour les tracteurs et leurs matériels.
Prenons ce chemin, après les
maisons nous traversons des prairies, sur la gauche, sous les arbres et dans
les herbes une mare ou plutôt un ancien lavoir à l’abandon. Nous avons sur la
droite une vue sur les Monts d’Ambazac. Traversons un bois puis, le chemin fait
fourche nous trouvons une pancarte nous indiquant le dolmen en prenant la
branche de droite. Nous arrivons au dolmen.
Ensuite la seule carte juste se trouve être le
carte
IGN. Les cartes aériennes sont fausses. Les chemins n’aboutissent plus. Ils
arrivent dans des champs soit clôturés, soit céréaliers, en longeant le bois il
s’y trouve des ronces aussi haute que nous. Il paraît que c’est le remembrement
qui à modifié tout cela. En 2016 Il est devenu impossible de traverser les
prairies pour rejoindre le chemin provenant des gouttes. Il n’est donc plus
possible de passer de l’autre coté du lieu appelé les vergnes vers la petite
ligne de chemin de fer.
La seule solution une fois au
dolmen c’est de faire demi tour revenir à l’intersection, et de prendre la
piste sur la droite jusqu’au pont SNCF. Ne pas passer en dessous, prendre le
chemin sur la droite longeant la voie ferrée.
En 2019 j’ai tenté ma chance en poursuivant après
le dolmen dans le petit bois. Nous débouchons dans un champ qui n’est plus
cultivé ce qui facilite son contour. La partie haute du champ n’est pas cultivé
pour cause d’affleurement du rocher, longeons la lisière du bois sur notre
gauche. D’après la carte aérienne le chemin se poursuivait tout droit entre le
champ de gauche et le bois de droite, mais il à disparu. Longer la lisière du
bois sur la droite et descendre vers l’extrémité du champ. Pas très facile
entre la culture, les pierres de l’ancien mur de séparation et les ronces. En
2019 le champ étant en jachère cela ma facilité les choses, mais il suffirait
qu’il soit clôturé pour les vaches et le passage deviendrait impossible. Dans
le bas nous trouvons un chemin permettant à un tracteur de traverser le bois.
Chemin un
peu ronceux. Si ce chemin n’est pas entretenu, il vous restera à
faire demi tour, le bois étant rempli d’épineux. Il y aurait peut être un
passage dans le taillis sur la droite en s’approchant de la ligne de la petite
ligne de chemin de fer à voie unique, permettant d’après les habitants au train
de déchets d’uranium de rejoindre l’ancien centre minier de Béssine. Mais elle est à cet endroit encastré dans un
profond ravin rocheux. Si les passages d’animaux se sont refermés, il ne vous
restera qu’à faire demi tour. Si le passage du tracteur est dégagé vous
arriverez sur le chemin longeant la ligne de chemin de fer Paris Limoges
Toulouse. Il faut prendre à droite. Si vous avez trouvé un passage dans le
petit bois et suivi la ligne
de chemin de fer vous arriverez à un passage à
niveau. (Trace orange sur la carte. Trop aléatoire, Elle n’est pas sur la trace
GPS.)
Si vous avez fait demi tour et
pris le chemin de droite qui descend un peu au pont SNCF nous prenons à droite le
chemin de la Bussière longeant la ligne SNCF Paris-Limoge-Toulouse. Traversons
la petite ligne ferroviaire à voie unique, menant aux anciennes carrières
d’uranium et nous débouchons sur la D 94 que nous prenons à gauche, passons
sous le pont et nous trouvons sur la droite un chemin qui n’existe pas sur les
cartes. Parfois ce chemin n’est pas entretenu et nous avons de l’herbe jusqu’au
dessous des bras. Attention aux tiques. J’ai eu de la chance le chemin est
propre, longeons les prairies et entrons dans le bois, a partir d’ici le chemin
est bien tracé au sol. Il se dirige en descendant légèrement vers le viaduc de
Rocherolles , puis tourne en angle aigu sur la gauche et descend le flanc de la
colline par une forte pente, nous arrivons à la Gartempe [Cette rivière prend sa source dans l'ancienne province
de la Marche à 629 mètres d'altitude, près de Pétillat sur la commune de Peyrabout dans le département
de la Creuse. Son confluent avec la Creuse, se trouve près des communes de La Roche-Posay, pour sa rive
gauche (département de la Vienne) et Yzeures-sur-Creuse,
pour sa rive droite (département d'Indre-et-Loire), après un trajet
de 204,6 km. Le nom de la rivière est attesté sous la forme Vartimpa
(sans date), Wartimpae fluvii au VIIIe siècle,
Vuartimpe en 825, Guartimpa
en 886, super fluvium Wartimpae (sans date), super
fluvium Guartempa. Les
formes citées Wartimpae au VIIIe ou celle de 825, Vuartimpe
représentent vraisemblablement un ancien *Wartimpa, devenu régulièrement
Guartempa, puis Gartempe (cf. ware > gare ;
warde > garde). En marchois, elle s'écrit et se
prononce donc Gartempa. C'est un hydronyme obscur, d'origine
germanique ou influencé par le germanique sur la consonne initiale. Le premier
élément est peut-être le gaulois var-, variante de ver-,
« eau, rivière » que l'on retrouvent dans les noms du Var et de la Vière, cependant on ne peut rattacher le second élément -timpa
à aucune racine connue. Wikipédia] Prenons le chemin le long de la
rivière sur la gauche. Traversons le petit parking et nous débouchons sur
la
route que nous prenons à droite en direction du hameau de La Chapelle. Passons
le pont Gibus [le pont Gibus porte le nom de
l’ouvrier tué accidentellement lors de la construction du viaduc. https://chabatzdentrar.blog4ever.com/folles-le-viaduc-de-rocherolles]
Poursuivons le bitume vers le hameau de La Chapelle (deux maisons). Nous
trouvons un chemin sur la droite avec un balisage rouge, et une pancarte viaduc
de Rocherolles prenons ce chemin et descendons en bordure de la Gartempe.
Poursuivons le chemin le long de la rivière qui devient sentier, botanique. Dommage
il n’est pas entretenu, les bonnes herbes, sont mélangées aux herbes
répertoriées, enfin c’est peut être normale de ne pas couper n’importe quoi sur
ce chemin, mais j’ai toujours peur d’attraper des tiques. Le chemin devient
difficile par son empierrement instable, il emprunte un ancien lit de la
rivière, et lorsqu’elle déborde nous ne pouvons plus poursuivre. Nous passons
sous le
viaduc de Rocherolles [Le viaduc de
Rocherolles « C’est un pont ferroviaire de la ligne Paris – Toulouse,
classé monument historique et situé au cœur de la forêt occitane, un site qui
vaut le détour. » Il enjambe la vallée de la Gartempe à environ 40 kms de
Limoges entre Folles et Bersac. Construit en pierre de taille de granit, il fut
conçu par l’architecte De Leffe et s’élève à 54,60 mètres de haut et fait 187
mètres de long. Il fut réalisé en deux années par 2000 ouvriers de fin 1852 à
fin 1854 ; le 24 juin 1856, les trains circulaient. Les pierres extraites
des carrières environnantes furent taillées sur place et montées ; il
comprend deux étages de huit arches de 15 mètres d’ouverture à l’origine de la
voûte. A
l’époque, il était le plus haut de France. La ligne ferroviaire fut
électrifiée dans les années 1950. https://chabatzdentrar.blog4ever.com/folles-le-viaduc-de-rocherolles] Poursuivons le sentier herbeux entre ‘’montagne boisée et
Gartempe. Nous arrivons devant un belle obstacle, un énorme rocher plongeant
dans la Gartempe qu’il faut contourner, ce rocher nous barre le passage, un
petit sentier sur la gauche contourne la difficulté, pas facile de grimper la
dizaine de mètres de ce rocher, la descente est aussi difficile que la monté.
Peut être qu’en période de basse eau il est possible de passer par le lit de la
rivière, mais ce rocher étant dans une courbe, le courant et le font de la
rivière est peut être profond… Il semble y avoir un passage par le coté droit
du rocher mais il faut être un peu alpiniste, un passage semblerait possible du
moins à l’œil en passant accroupi sous un aplomb du rocher, je n’ai pas osé,
pas assez souple, si l’on chute, on tombe dans l’eau, et je n’en connaît pas la
profondeur, on peut se faire mal sur
un rocher affleurant, le lit de la rivière
étant parsemé de rochers. Le balisage est un peut intermittent, le rouge n’est
pas très visible, ce n’est pas qu’il y a risque de ce perdre sur la gauche la
montagne qui culmine autour des 370m de l’autre la rivière, mais on aimerait
bien avoir quelques marques intermittentes un peut plus nombreuses sur ce
chemin herbeux nous confortant sur notre itinéraire. Un balisage cela rassure
et nous indique que l’on va déboucher. Nous poursuivons le sentier qui devient
un peut marécageux à l’approche d’un ru, descendant de la montagne. Le chemin
fait fourche, très mal marqué au sol, sur un
chêne nous trouvons deux marques
rouges, mais surtout la gravure d’un B dont l’écorce fait une excroissance tout
autour de la gravure. (Le chemin de droite est peut
être un chemin de pêcheur, qui se termine dans les herbes avec des arbres en travers.
C’est dommage que ce chemin ne soit pas entretenu ou créé on pourrait ainsi
longer la Gartempe jusqu’à Bessine.) Nous remontons sur la gauche, mais
nous n’avons pas de balisage de sentier (une marque à moitié effacé existe si
l’on fait le circuit en sens inverse). Le chemin monte fortement dans un vallon
assez encaissé avec un ru en son milieu, il est bien marqué au sol, sans trop
d’herbe, par-ci par-là nous remarquons quelques traits rouges. Nous débouchons
sur un large chemin, ou nous trouvons une vieille pancarte qui n’est pas dans
la bonne direction, nous avons une balise nous indiquant qu’il faut prendre le
chemin sur la gauche pour faire le tour du Puy de Coux (Le chemin n’existe pas
sur les carte.) Le chemin grimpe fortement et débouche sur le plateau, ou en
2019 une coupe importante d’arbres à été réalisée. Après une prairie le chemin
tourne sur la gauche, c’est de nouveau un beau chemin avec une vue sur l’autre
versant de la vallée de la Gartempe. Laissons les chemins de droite
que l’on à
pas sur les cartes, puis une fourche présente sur la carte mais pas dans mon
topo poursuivons tout droit, sur la gauche nous apercevons les toits du hameau
du Coux. Il ne faut pas s’endormir sur ce beau chemin, nous n’allons jusqu’à la
route bitumée menant au Mas, nous prenons sur la gauche un petit chemin avec
beaucoup d’herbe. Heureusement une grosse croix rouge sur un chêne nous
interpelle. Le chemin est entre des murets, nous débouchons sur une route
bitumée que nous prenons à gauche. Nous arrivons à la fourche dont l’une des
branches mène au cœur du village. Poursuivons tout droit et nous arrivons sur
la C 7. Face à nous un magnifique arbre mort.
[ Si vous avez loupé ce
passage Poursuivez jusqu’à la route menant au Mas que vous prenez à gauche,
elle débouche sur la D27 que vous prenez à gauche, vous débouchez sur une
nouvelle route la C 7 il faut prendre la direction de Folles et du viaduc de
Rocherolles.]
Ceux
qui on loupé le hameau du Coux savent qu’il se dirige vers le viaduc,
heureusement que le balisage nous indique qu’il faut tourner à gauche. (J’ai essayé pour éviter la route de prendre tout droit mais
aucun chemin ne ce dirige vers le viaduc.) Il nous reste que la route
que nous suivons jusqu’au pont de la ligne de chemin de fer. Nous retrouvons un
balisage qui nous dit de prendre à gauche après le pont, un chemin avec de
l’herbe et des ronces jusque sous les bras, je me suis engager, puis j’ai
renoncé ne voyant pas d’améliorations.
C’est le
problème des promenades dans le Limousin des cartes non à jour des chemins non
entretenus, dommage. Poursuivons la route, au carrefour laissons sur la
droite la route de Folles, traversons les deux maisons de la Chapelle,
retraversons la Gartempe sur le pont Gibus et au lien de revenir par notre
chemin de l’allé poursuivons la route tout droit, elle grimpe un peu et
traverse un bois avant de déboucher sur la D 94. Prenons à droite en direction
de Folles. Attention la route à de nombreux virage sans visibilité, nous
traversons Rocherolles. A la sortie de Rocherolles nous arrivons à un carrefour
situé dans un virage, face à nous une route se rendant au hameau de Lavaud et
sur la gauche un chemin bordé de pommiers, prenons ce chemin qui grimpe vers la
ligne de chemin de fer puis la longe par un virage à droite. Passons sous le
pont SNCF. Le chemin fait fourche (Nous avons retrouvé le parcours réalisé si
vous avez fait demi tour au dolmen du Godour.) Laissons le
chemin de gauche longeant
la ligne de chemin de fer, poursuivons tout droit, le chemin grimpe traverse un
bois de châtaignier, longe une ancienne décharge, qui malheureusement est
encore utilisé, (il semblerait qu’aujourd’hui on y mette que des déchets vert).
Nous arrivons au carrefour avec le chemin menant au dolmen, nous prenons à
droite et suivons ce chemin caillouteux jusqu’au village.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
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