Devant
nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."
Jérôme et Jean Tharaud
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b323007
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Km Temps Arret V/d V/g dénivelé
peu ronceux. Si ce chemin n’est pas entretenu, il vous restera à faire demi tour, le bois étant rempli d’épineux. Il y aurait peut être un passage dans le taillis sur la droite en s’approchant de la ligne de la petite ligne de chemin de fer à voie unique, permettant d’après les habitants au train de déchets d’uranium de rejoindre l’ancien centre minier de Béssine. Mais elle est à cet endroit encastré dans un profond ravin rocheux. Si les passages d’animaux se sont refermés, il ne vous restera qu’à faire demi tour. Si le passage du tracteur est dégagé vous arriverez sur le chemin longeant la ligne de chemin de fer Paris Limoges Toulouse. Il faut prendre à droite. Si vous avez trouvé un passage dans le petit bois et suivi la ligne
de chemin de fer vous arriverez à un passage à niveau. (Trace orange sur la carte. Trop aléatoire, Elle n’est pas sur la trace GPS.)
colline par une forte pente, nous arrivons à la Gartempe [Cette rivière prend sa source dans l'ancienne province de la Marche à 629 mètres d'altitude, près de Pétillat sur la commune de Peyrabout dans le département de la Creuse. Son confluent avec la Creuse, se trouve près des communes de La Roche-Posay, pour sa rive gauche (département de la Vienne) et Yzeures-sur-Creuse, pour sa rive droite (département d'Indre-et-Loire), après un trajet de 204,6 km. Le nom de la rivière est attesté sous la forme Vartimpa (sans date), Wartimpae fluvii au VIIIe siècle, Vuartimpe en 825, Guartimpa en 886, super fluvium Wartimpae (sans date), super fluvium Guartempa. Les
formes citées Wartimpae au VIIIe ou celle de 825, Vuartimpe représentent vraisemblablement un ancien *Wartimpa, devenu régulièrement Guartempa, puis Gartempe (cf. ware > gare ; warde > garde). En marchois, elle s'écrit et se prononce donc Gartempa. C'est un hydronyme obscur, d'origine germanique ou influencé par le germanique sur la consonne initiale. Le premier élément est peut-être le gaulois var-, variante de ver-, « eau, rivière » que l'on retrouvent dans les noms du Var et de la Vière, cependant on ne peut rattacher le second élément -timpa à aucune racine connue. Wikipédia] Prenons le chemin le long de la rivière sur la gauche. Traversons le petit parking et nous débouchons sur
la route que nous prenons à droite en direction du hameau de La Chapelle. Passons le pont Gibus [le pont Gibus porte le nom de l’ouvrier tué accidentellement lors de la construction du viaduc. https://chabatzdentrar.blog4ever.com/folles-le-viaduc-de-rocherolles] Poursuivons le bitume vers le hameau de La Chapelle (deux maisons). Nous trouvons un chemin sur la droite avec un balisage rouge, et une pancarte viaduc de Rocherolles prenons ce chemin et descendons en bordure de la Gartempe. Poursuivons le chemin le long de la rivière qui devient sentier, botanique. Dommage il n’est pas entretenu, les bonnes herbes, sont mélangées aux herbes répertoriées, enfin c’est peut être normale de ne pas couper n’importe quoi sur ce chemin, mais j’ai toujours peur d’attraper des tiques. Le chemin devient difficile par son empierrement instable, il emprunte un ancien lit de la rivière, et lorsqu’elle déborde nous ne pouvons plus poursuivre. Nous passons sous le
viaduc de Rocherolles [Le viaduc de Rocherolles « C’est un pont ferroviaire de la ligne Paris – Toulouse, classé monument historique et situé au cœur de la forêt occitane, un site qui vaut le détour. » Il enjambe la vallée de la Gartempe à environ 40 kms de Limoges entre Folles et Bersac. Construit en pierre de taille de granit, il fut conçu par l’architecte De Leffe et s’élève à 54,60 mètres de haut et fait 187 mètres de long. Il fut réalisé en deux années par 2000 ouvriers de fin 1852 à fin 1854 ; le 24 juin 1856, les trains circulaient. Les pierres extraites des carrières environnantes furent taillées sur place et montées ; il comprend deux étages de huit arches de 15 mètres d’ouverture à l’origine de la voûte. A
l’époque, il était le plus haut de France. La ligne ferroviaire fut électrifiée dans les années 1950. https://chabatzdentrar.blog4ever.com/folles-le-viaduc-de-rocherolles] Poursuivons le sentier herbeux entre ‘’montagne boisée et Gartempe. Nous arrivons devant un belle obstacle, un énorme rocher plongeant dans la Gartempe qu’il faut contourner, ce rocher nous barre le passage, un petit sentier sur la gauche contourne la difficulté, pas facile de grimper la dizaine de mètres de ce rocher, la descente est aussi difficile que la monté. Peut être qu’en période de basse eau il est possible de passer par le lit de la rivière, mais ce rocher étant dans une courbe, le courant et le font de la rivière est peut être profond… Il semble y avoir un passage par le coté droit du rocher mais il faut être un peu alpiniste, un passage semblerait possible du moins à l’œil en passant accroupi sous un aplomb du rocher, je n’ai pas osé, pas assez souple, si l’on chute, on tombe dans l’eau, et je n’en connaît pas la profondeur, on peut se faire mal sur un rocher affleurant, le lit de la rivière étant parsemé de rochers. Le balisage est un peut intermittent, le rouge n’est pas très visible, ce n’est pas qu’il y a risque de ce perdre sur la gauche la montagne qui culmine autour des 370m de l’autre la rivière, mais on aimerait bien avoir quelques marques intermittentes un peut plus nombreuses sur ce chemin herbeux nous confortant sur notre itinéraire. Un balisage cela rassure et nous indique que l’on va déboucher. Nous poursuivons le sentier qui devient un peut marécageux à l’approche d’un ru, descendant de la montagne. Le chemin fait fourche, très mal marqué au sol, sur un
chêne nous trouvons deux marques rouges, mais surtout la gravure d’un B dont l’écorce fait une excroissance tout autour de la gravure. (Le chemin de droite est peut être un chemin de pêcheur, qui se termine dans les herbes avec des arbres en travers. C’est dommage que ce chemin ne soit pas entretenu ou créé on pourrait ainsi longer la Gartempe jusqu’à Bessine.) Nous remontons sur la gauche, mais nous n’avons pas de balisage de sentier (une marque à moitié effacé existe si l’on fait le circuit en sens inverse). Le chemin monte fortement dans un vallon assez encaissé avec un ru en son milieu, il est bien marqué au sol, sans trop d’herbe, par-ci par-là nous remarquons quelques traits rouges. Nous débouchons sur un large chemin, ou nous trouvons une vieille pancarte qui n’est pas dans la bonne direction, nous avons une balise nous indiquant qu’il faut prendre le chemin sur la gauche pour faire le tour du Puy de Coux (Le chemin n’existe pas sur les carte.) Le chemin grimpe fortement et débouche sur le plateau, ou en 2019 une coupe importante d’arbres à été réalisée. Après une prairie le chemin tourne sur la gauche, c’est de nouveau un beau chemin avec une vue sur l’autre versant de la vallée de la Gartempe. Laissons les chemins de droite que l’on à pas sur les cartes, puis une fourche présente sur la carte mais pas dans mon topo poursuivons tout droit, sur la gauche nous apercevons les toits du hameau du Coux. Il ne faut pas s’endormir sur ce beau chemin, nous n’allons jusqu’à la route bitumée menant au Mas, nous prenons sur la gauche un petit chemin avec beaucoup d’herbe. Heureusement une grosse croix rouge sur un chêne nous interpelle. Le chemin est entre des murets, nous débouchons sur une route bitumée que nous prenons à gauche. Nous arrivons à la fourche dont l’une des branches mène au cœur du village. Poursuivons tout droit et nous arrivons sur la C 7. Face à nous un magnifique arbre mort.
C’est le problème des promenades dans le Limousin des cartes non à jour des chemins non entretenus, dommage. Poursuivons la route, au carrefour laissons sur la droite la route de Folles, traversons les deux maisons de la Chapelle, retraversons la Gartempe sur le pont Gibus et au lien de revenir par notre chemin de l’allé poursuivons la route tout droit, elle grimpe un peu et traverse un bois avant de déboucher sur la D 94. Prenons à droite en direction de Folles. Attention la route à de nombreux virage sans visibilité, nous traversons Rocherolles. A la sortie de Rocherolles nous arrivons à un carrefour situé dans un virage, face à nous une route se rendant au hameau de Lavaud et sur la gauche un chemin bordé de pommiers, prenons ce chemin qui grimpe vers la ligne de chemin de fer puis la longe par un virage à droite. Passons sous le pont SNCF. Le chemin fait fourche (Nous avons retrouvé le parcours réalisé si vous avez fait demi tour au dolmen du Godour.) Laissons le
chemin de gauche longeant la ligne de chemin de fer, poursuivons tout droit, le chemin grimpe traverse un bois de châtaignier, longe une ancienne décharge, qui malheureusement est encore utilisé, (il semblerait qu’aujourd’hui on y mette que des déchets vert). Nous arrivons au carrefour avec le chemin menant au dolmen, nous prenons à droite et suivons ce chemin caillouteux jusqu’au village.
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