Petite Promenade en Foret de Fontainebleau
Promenade N° 107 Larchant 3
Le code mobile de cette randonnée est b322937
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Aout 2019
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Aout 2019
Km temps V/d dénivelé
10 2h30 4,0
148
En refaisant les promenades dans les bois de la
commanderie (Larchant) je me suis rendu compte qu’il manquait une promenade. Je
me suis souvenu que je n’avais pas fait la partie centrale pour deux
raisons ;
1
J'en avais décrit une partie dans les grandes
promenade, en réalisant le GR13
2 Durant cette balade j’ai
failli m’y tuer en me prenant le pied dans les grillages délabrés des escaliers
en palettes, situé derrière le chalet Jaubert. Vous me direz ; fallait
bien faire quelque chose, le site sur-fréquenté par les varappeurs et les
randonneurs se rendant à la Dame Jeanne, avaient pas mal détériorés le chemin. J’aurai préféré des marches en grès
comme on le faisait à l'époque de Denecourt, malheureusement trop rarement aujourd'hui. Je me suis dit en l'absence d'inspiration qu'il serait intéressant de réaliser une petite promenade de plus dans ce secteur.
Larchant 3
Après une partie sablonneuse nous avons de nouveau un petit escalier pour enfin arrivé au sommet, quittons un instant le GR pour se diriger sur la droite, vers le point de vue ou nous devinons le marais [L’originalité de ce marais réside dans son caractère endoréique : c’est une "fenêtre" sur la nappe phréatique et n’a donc pas de contact direct avec un réseau superficiel. La mise en eau du marais est due à l’affleurement de la nappe phréatique, et le seul exutoire, en hautes eaux, se situe au niveau d’un gouffre. Le marais possède un régime hydrique très irrégulier avec des variations du niveau, de l’ordre de 1,5 m, perceptibles dans une période moyenne d’une trentaine d’années.
Sur le marais, plusieurs formations végétales particulièrement intéressantes sont présentes. Elles confèrent à la réserve un intérêt floristique significatif grâce notamment à la diversité des milieux liée à la présence de l’eau. 469 espèces de
flore ont été inventoriées au cours de nombreuses prospections. http://www.reserves-naturelles.org/marais-de-larchant] face à nous la basilique [un petit résumé sur cette construction. Cette église est l’un des joyaux de l’architecture gothique d’Île-de-France. Les travaux durèrent un peu plus de trois siècles, de la fin du XIIe siècle au début du XVIe siècle. Les dimensions de l’édifice sont impressionnantes : longueur intérieure totale (y compris la nef ruinée): 57 m, longueur du transept: 29 m, hauteur des voûtes: 18 m, hauteur de la tour: 50 m. On pénètre dans l’église par les portes latérales du transept. Le chœur est composé d’une seule travée, dans le prolongement de l’abside sur un plan semi-circulaire. L’intérieur était éclairé à l’origine par deux rangs de hautes et larges baies, encadrées d’archivoltes moulurées retombant sur des colonnettes. Les façades du transept sont éclairées chacune par un
triplet de hautes fenêtres. Cette église eut à subir de nombreuses vicissitudes au cours de siècles, dégâts des troupes armées, ouragans, tempêtes. Des dégradations irrémédiables eurent lieu durant les guerres de religion. Le chevalier du Boulay pilla les
reliques en octobre 1567 et le comte de Montgomery incendia l’église et le village en 1568, laissant l’église en partie dans l’état où nous la voyons aujourd’hui. Le désastre final intervint le 25 septembre 1675, par l’écroulement du pilier nord-ouest de la grande tour, qui entraîna la ruine d’une partie de la nef. Des travaux de restauration furent effectués dans l’urgence et sans grand soin au cours du XIXe siècle, afin de permettre la réouverture de l’église au culte. L’église fut classée Monument
historique par Prosper Mérimée au milieu du XIXe siècle. Une grande campagne de restauration eut lieu au début du XXe siècle, sous la direction de l’architecte Albert Bray. Au début des années 1980, une nouvelle campagne de restauration de l’église fut engagée, sous l’impulsion de l’Association Culturelle de Larchant et l’appui des structures officielles, État, région, département et commune. Wikipédia] Sur la droite une montagne blanche au milieu de la verdure c’est le Mont Blanc (beaucoup moins haut que le toit de l’Europe seulement 112m) ce
sont les sables blancs. Revenons sur le GR et poursuivons le balisage, remarquer ses magnifiques rochers, des blocs toujours plus gros, plus haut, un rocher plus fin formant une arche repose sur un autre il faut le ver un peu la tête. Laissons les escaliers sur notre droite et poursuivons le GR, un peu plus tard laissons le balisage bleu descendre le Maunoury sur la droite nous poursuivons le balisage blanc & rouge, le sentier devient un peu moins visible, de nombreux faut chemins nous égare un peut il faut plutôt prendre les sentes sur la droite et nous retrouvons des
escaliers que nous descendons. Nous arrivons sur un chemin (parcelle 112 – 107). Nous abandonnons le GR pour prendre le chemin sur la gauche. A la première fourche nous prenons le chemin de droite. Nous arrivons devant une nouvelle fourche nous prenons à droite. Le chemin grimpe au milieu d’un petit vallon boisé de châtaigniers, et parsemé de petits rochers moussus, gardons le chemin de droite sans s’occuper des sentiers adjacents. Le chemin devient difficile, il faut traverser une dizaine de mètres d’orties avant de retrouver la route de Busseau que l’on prend à gauche. (A la rencontre du
dernier chemin adjacents j’aurai certainement du prendre à droite, il devait rejoindre un chemin plus accessible.) Nous arrivons à l’intersection avec la route de Larchant poursuivons tout droit en direction de Villers. Mon idée était de suivre le chemin dans la parcelle s’appelant « le Murger » pour retrouver les Terres Blanches ou le Bas du Mont. Arrivé au beau chemin gravillonné du Moulin à Vent un propriétaire sortant du chemin dans une belle voiture de sport m’en a dissuadé, il paraît que rien n’est praticable. Je suis son conseil et m’engage pas sur ce chemin, ayant peur de me retrouver dans
un entrelacs de propriétés privées clôturés. Le conducteur s’éloignant doucement, et me surveillant certainement dans son rétroviseur, je n’ai pas osé suivre mon idée. Par ici, ils ne doivent pas rencontrer souvent de randonneurs, nous sommes loin de tous sentiers balisés. Poursuivons jusqu’au chemin juste avant
l’autoroute. Malheureusement il est impraticable dès que l’on aborde la foret. Il ne me reste qu’à poursuivre par la route, franchir l’autoroute nous arrivons à l’intersection avec la D 104 que nous prenons à gauche, nous repassons l’autoroute. Malheureusement dans en traversant par la route le bois, je ne
rencontre pas de chemins pouvant me faire abandonner le bitume. J’arrive à Bessonville, que nous traversons, remarquer la fontaine. A la sortie du village (ou presque) nous prenons la voie sans issu sur la gauche, après la dernière maison nous retrouvons un chemin nous faisant traverser les champs. Laissons les chemins de droite et de gauche. Je n’ai pas le courage de prendre les chemins sur ma gauche pour voir si les chemins se dirigeant vers le Moulin à vent aboutissent sur des grillages ou sur le chemin gravillonné. Je poursuis tout droit jusqu’à l’entrée de la foret de la commanderie. La chemin tourne sur la gauche et descend fortement, passons une maison isolée et nous débouchons sur la route de Larchant que nous prenons à droite, jusqu’au chalet Jaubert. Au chalet vous avez deux options poursuivre par la route jusqu’au parking, ou passer par le chalet, dans ce cas prendre à gauche le GR 13 jusqu’à la rencontre du balisage bleu que l’on prend à droite, jusqu’au parking.
Quelques photos en plus en bordure du plateau
Après les rochers les sous bois
Après la foret les champs et le village que nous traversons
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