samedi 2 mars 2019

De la Seine à la Marne Etape 4 Lumigny - Momperthuis


De la Seine à la Marne par les GR 1-14-11 

Etape 4 Mauperthuis – Lumigny (parc des félins)


               
  Carte IGN         Trace GPS & Topo sans Commentaires     Trace Randogps       
 
                 Le code mobile de cette randonnée est b312479  
    
                                                               (Explications code Mobile)

Km     Temps      Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
34        5h43        0h16      5,9        5,6       244

Novembre 2017
Le départ se fait depuis le village de Mauprthuis l’arret se trouve sur la D402 descendons cette rue et prenons sur la droite la rue du parc (D15). Nous arrivons à une fourche ou nous trouvons une antenne prenons la rue du pressoir à gauche peut de temps après  laissons sur la gauche la rue de Saussoy poursuivons notre rue du pressoir (balisage jaune) qui débouche sur la rue des coteaux que nous prenons à droite. Nous arrivons au village d’Esse. Laissons un premier chemin sur la gauche et prenons le second qui ce trouve juste en face de la rue d’Esse, nous y rencontrons le GR 14 et le balisage jaune en direction de Mortcerf. Le 
Entre Melun et Coulommiers ce sont les seule vaches que je verrais
chemin serpente entre les clôtures des prairies ou je vois mes premières vaches. Quatre au total. Cela va faire juste pour fabriquer le Coulommiers, nous n’en sommes qu’à sept kilomètres, en plus ce sont des bêtes à viande… Nous passons une première fois un bras du ru de L’Aubetin [C'est un affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,2 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le 

suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. Wikipédia.] Peut de temps après nous traversons le bras principal, nous débouchons sur la rue de Sainte Aubierge [abbesse de Faremoutiers ( 695) ou Edelburge.
Venue du Pays des Angles pour embrasser la vie monastique en Ile de France. Elle était en effet la fille d'Anna, roi de l'Est-Anglie, mais comme aucun couvent ne lui convenait, elle s'en vint sur le continent à l'abbaye de Faremoutiers, à Eboriacum au pays de Meaux, dont elle fut l'abbesse.
Par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu.  
 
Un internaute nous écrit: "Sainte Aubierge n'est autre que Sainte Ethelburge (Edelburge), fille d'Anna, roi de l'Est Anglie (Suffolk Grande Bretagne) et de Sainte Hereswyde - 3ème abbesse de Faremoutier (77515), à la mort de sa sœur Sainte Sethride - Sœur des saintes Sexburge, Etheldrede d'Ely (Audrey), Wibburge et de Saint Erconwald, évêque de Londres. Son culte: D'un coup de crosse, elle fit surgir une fontaine qui alimente actuellement un lavoir, une chapelle attenante abrite toujours la châsse de Sainte Aubierge sur la commune de Saint-Augustin (77515), diocèse de Meaux - Son monastère double était sous le règle stricte de Saint Colomban"
Sainte Aubierge est née en Angleterre au VIIe siècle... D'après la légende, l'Aubetin étant à sec, Sainte Aubierge aurait frappé le sol de sa crosse et en aurait fait jaillir la source... (Pèlerinage de Sainte Aubierge le lundi de Pâques à Saint-Augustin)
À Eboriacum au pays de Meaux, l’an 695, sainte Édelburge, abbesse du monastère de Fare (Faremoutiers). Fille d’un roi des Angles orientaux, par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu. Martyrologe romain
http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7484/Sainte-Aubierge.html] rue que nous  
La gare plantée au milieu de nul part
prenons à gauche nous entrons dans Farvache prenons sur la droite la rue de Brie, nous sommes toujours sur le GR 14 et le balisage jaune en direction de la foret Malvoisine. La rue tourne sur la gauche et nous prenons à droite le chemin du Bois Ferment le balisage jaune nous l’indique, longeons la clôture puis prenons le premier chemin sur la gauche, la marque du GR est un peu plus loin sur un arbre. Après les champs et les bois nous longeons le Haras de la Baconnerie. Nous débouchons sur la D 25 (rue de l’obélisque que nous prenons à gauche. Après quelques mètres nous prenons à droite la route forestière de Marganat, (parcelle  141) c’est une grande allée toute droite ne pas prendre le sentier sur la gauche. Prenons le première chemin à droite. 
 Nous sommes dans la foret de Malvoisine. Nous suivons le balisage du GR prenons une allée à gauche nous débouchons sur une grande allée empierrée de calcaire(route du tour de Lumigny) que nous prenons à gauche (le balisage à été modifié mais pas la carte). Nous arrivons au carrefour en étoile des Trois carrefours, il a un kiosque pour s’abriter. Nous prenons à droite la route de l’essart (GR et balisage jaune). Nous approchons de l’orée de la foret mais prenons un petit sentier sur la gauche pénétrant dans la parcelle. Nous quittons le balisage jaune, faisons un esse droite gauche et coupons une route bitumé nous continuons en face par la route forestière de Nanteuil.  Nous longeons la parcelle 231 puis prenons la route forestière royale sur la droite  le balisage nous fait prendre à droite un chemin débouchant à l’orée de la foret nous longeons cette dernière. Alternance de bois et de champ et nous tournons à quatre vingt dix degrès à gauche sans vraiment comprendre pourquoi après un petite taillis. On se dirige vers une ferme. Pas facile ce passage avec ce virage on à tendance à relâcher l’attention et de louper ce changement de direction, sutout que le balisage n’est pas très bien fait. Notre chemin dans les champs débouche sur la D20E que nous prenons un court instant sur la gauche puis à droite la rue des Tournelles. Passons le ru du même nom et contournons la clôture du parc fortement arboré ne permettant pas de voir le château par la droite. On ne verra pas le château. [Le château accueil des enfants mineurs en difficultés. Le village de Hautefeuille est nommé en 1270 dans une sentence définissant les limites entre le Comté de Champagne et le domaine royal. Il se trouve alors dans une « marche séparante » dans laquelle le comte et le roi ont chacun droits de justice. En 1285 le village est rattaché à la Couronne à la suite de l'accession au trône de Philippe IV le Bel qui avait épousé en 1284 Jeanne de Navarre héritière du royaume de Navarre et du comté de Champagne.]La route tourne sur la gauche et longe un champ en forme de triangle. Attention le GR tourne sur la droite juste à l’orée du bois et à l’angle aigu du champ, ce n’est pas très bien indiqué seul une croix nous indique qu’il ne faut pas poursuivre la route. Nous longeons le bois puis nous sommes de nouveau dans les champs. A la cote 128 le chemin forme Té sur la carte le GR 14 tourne sur la droite et peut être à tort je coupe en prenant à gauche vers la ferme de la Fourcherie au lieu de partir à droite vers le châpitre. Le chemin contourne la ferme et le hangar nous retrouvons le GR 14 sur la route d’accès à la ferme que l’on prend à gauche, après un parcours dans les champs nous coupons la D 20 poursuivons en face par le chemin de Faremoutiers. Nous longeons un bois et nous arrivons à une fourche à trois dents avec une croix en bois ; chemin du port sur la droite, la ruelle des prêches pratiquement face à nous et la rue d’Hautefeuille un peut à droite. Nous prenons  cette dernière. Le balisage nous aide à poursuivre notre itinéraire. Nous entrons dans Mortcerf par la rue d’Hautefeuille. [Bâti sur les contreforts de la forêt de Crécy, le village de Mortcerf apparaît pour la première fois dans les écrits historiques au XIe siècle. Comme Villeneuve-le-Comte ou Neufmoutiers-en-Brie, l'implantation du village est avant tout le fait des moines défricheurs qui opérèrent dans la Brie au cours des VIe et VIIe siècle.
Mortcerf doit ses heures de gloire au domaine de Bécoiseau, élevé au rang de château royal au cours du XIIIe siècle.Celui-ci vit le mariage de Philippe-le-Bel et fut habité régulièrement par les derniers Capétiens et les premiers Valois. Il ne reste aujourd'hui que quelques murs de cet imposant domaine, tous situés sur des terrains privés. Le village compte également une large église Saint-Pierre-Saint-Nicolas, érigée au XVIIe siècle ainsi que de nombreux bâtiments anciens, tels des fermes ou des fours à chaux.] Nous débouchons entre la rue du Vingt sept Aout (date de la Libération du village par les américains.) et la rue de crévecoeur nous prenons à gauche cette dernière Puis nous prenons à droite la rue du vieux château, Nous sommes toujours sur le GR et un balisage mauve. Nous sortons du village pour retrouver des maisons un peu plus loin dans le hameau de Bécoiseau, dans le virage de la rue nous trouvons un chemin face à nous (Attention la marque du GR indiquant qu’il faut tourner à droite nous perturbe un peut, il faut bien regarder dans le trait blanc, il est écrit à 200m en noir.) laissons la route partie sur la droite et prenons le chemin. J’ai
loupé ce dernier sur la droite dans la monté, pas vu, pas fait attention, faut dire qu’entre l’herbe retournée par les sangliers et les nouvelles pouces de céréales dans les champs, le chemin ne se voit pas bien. Donc, faire attention dans la monté… le chemin après avoir traversé le champ longe une clôture et un bois il débouche sur la D 216 que nous prenons sur la gauche et après quelques mètre nous prenons à droite le chemin de la choquette. Beau chemin bordé de barrière en béton et menant à un domaine forestier. Avant le pont de chemin de fer nous prenons à droite le chemin de courte soupe longeant la ligne SNCF. Nous sommes toujours sur le GR 14. Le chemin fait fourche et nous prenons à gauche. Nous débouchons dans la rue des Maniquets bordée de maisons individuelles et pour la retraite. Nous débouchons rue de la gare que nous prenons à gauche et juste avant cette dernière nous prenons à droite le chemin latéral le long du parking. De route desservant une maison nous passons une barrière et de route nous passons à chemin dans les bois, nous longeons la ligne SNCF. Nous débouchons sur la route des Vallées que nous prenons à gauche nous longeons le ru de Binel, face à nous certainement une ancienne carrière et une tour !!! Sommes nous à la carrière de chaud … [Four à chaux . La forme et les dimensions de cette vaste excavation blanche rappellent les cirques romains. Au fond, une porte basse donne sur des sortes de grottes ou logettes creusées dans la masse. Les ouvriers sont chargés d'agrandir l'excavation à coups de pioche pour récupérer le calcaire 
qui est ensuite traitée dans les fours. À l'origine, il y a plusieurs fours ainsi que deux immenses cheminées en brique. Le gypse, ou terre de plâtre, semble faire son apparition à l'époque gallo-romaine. Louis XIV préconise le plâtre dans les constructions pour protéger les maisons à pans de bois et éviter les incendies.] Passons sous le viaduc de la ligne SNCF [Construit pour la ligne SNCF Paris - La Ferté-Gaucher-Coulommiers-Sézanne, ce pont est constitué de trois arcades passant au-dessus de la route de Mortcerf. Il est construit sur place avec la terre de Mortcerf, par 1 000 ouvriers.] (Les topos sur Mortcerf proviennent de wiquipédia et du site de la Mairie.) Dans le bas de la vallée La route fait un angle sur la gauche, nous rencontrons le GR 1 en provenance d’un chemin sur la droite. Nous sommes maintenant sur le balisage GR 14-1, violet de crévecoeur et foret de Crécy et le jaune celui des trois châteaux. Nous apercevons les premières maisons du Plessis Sainte Avoye. Dans le virage à droite nous abandonnons la route pour prendre le chemin sur la gauche montant vers le hangar. Les Gr pénètrent dans la foret de Crécy  et à l’orée nous abandonnons le balisage jaune. Dans cette foret la trace du GR 1 à été modifiée mais je n’ai pas vue ou, du coup j’ai suivi le 14 et à la bifurcation sur la carte n’ayant plus de balisage
blanc et rouge avec l’indication GR 1 j’ai suivi sur la gauche l’ancienne trace qui est aujourd’hui un balisage mauve. J’ai un peu cherché sur la route pavé (qui ne l’ai pas dans cette partie) et je n’ai rien trouvé. On ne retrouve pas non plus de trace du GR seul la couleur mauve nous aidera. Pas facile ce chemin défoncé par les engins de débardages et retourné par les sangliers. Pas facile ce chemin ou l’on glisse plus que l’on marche. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té que nous prenons à droite, puis le second à gauche, nous sommes route Bourbon, prenons le premier chemin à droite (route philippe) nous coupons la D 231 (sur la droite nous devinons l’obélisque) poursuivons en face (parcelle 28) balisage mauve. Comme je n’avais plus de balisage blanc et rouge et que le terrain était très boueux, je ne me suis pas amusé à réalisé les crochets de l’ancien GR j’ai poursuivi la route rectiligne philippe. Je retrouve la marque du GR à l’endroit ou actuellement il quitte cette route. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té que je prends à gauche (route tournante) on y retrouve des marques mauve et un fossé comportant un ru.   Après réflexion nous sommes sur un chemin de bornage ce fossé marque peut être encore un peu plus la séparation entre le privé et le communale. Passons la barrière abandonnons la route tournante pour suivre le balisage sur la droite nous sortons de la foret. Après un esse droite gauche nous coupons la D 216 et prenons en face la rue de Grosbois nous amenant à Crèvecœur en brie. Nous quittons le GR1 partant sur la droite juste avant le passage à niveau. Nous franchissons la ligne de chemin de fer et prenons à gauche de suite après nous suivons le balisage jaune et mauve. Nous entrons dans le bois de l’Epine passons quelques ruines et prenons le chemin de droite puis le premier à gauche. Après un esse droite gauche et le passage d’un ru, nous sortons du bois pour longer un champ et rentrons de nouveau dans le bois toujours balisage jaune & mauve nous longeons des clôtures. Nous retrouvons la route tournante formant Té avec le notre, nous prenons à droite. Nous débouchons rue des amourettes que nous prenons à gauche. Notre rue forme à Té devant l’église entourée de son cimetière. [Edifiée au XIIIè c’était la chapelle du château, ce qui explique son emplacement excentré par rapport au village. En 1896 on installa l’horloge à la base du clocher.] Prenons à droite (rue de la foret de crécy) et entrons dans Crèvecœur. [Une légende explique l’origine de CREVECOEUR de la façon suivante:
Au Moyen Age, le seigneur des lieux participa à la première croisade. Pendant son absence, son épouse l’aurait trompé avec l’intendant resté au château. De retour de Terre Sainte, le seigneur, ayant appris son infortune, jugea sa femme et la condamna a être traînée, attachée à la queue d’un cheval indompté. En mourant, l’épouse se serait écriée: «Ah! quel crève cœur!»
Le nom de Crèvecœur (Creive-cor ou Crève-cuer) est cité dès 1175 dans les rôles des fiefs du comté de Champagne et de Brie. Il existe deux origines vraisemblables, du nom de Crève-coeur :
Jean de Crèvecœur, seigneur normand, dont le fief est à Crévecoeur en Auge, part conquérir l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant et contribue à la victoire d'Hastings (1066) ; il est cité sur la célèbre tapisserie de Bayeux ; les seigneurs de Crévecoeur (en Auge) sont connus comme de grands soldats et comme architectes en fortification auprès du roi et des grands vassaux. Il s'agirait alors d'un château fort "à la façon Crèvecoeur".
Au Moyen-Age, un crève-coeur est une terre pénible à labourer, car lourde et difficile à drainer ; de plus, la perte de la récolte après une pluie abondante sur un terrain argileux est fréquente. Les terres de Crèvecœur étaient marécageuses au Moyen Age - les noms des lieux-dits « l’Etang » et « Courtesoupe » en attestent - et jusqu'au XIXe siècle réservées à la prairie et à l'élevage.
L'une et l'autre de ces deux propositions expliquent le nombre élevé de villages appelés Crévecoeur au pourtour de l'Ile de France ; elles sont complémentaires, car, en plaine, les châteaux et leurs douves étaient souvent construits en bordure de marais ou d'étangs, difficiles à franchir en armure ou avec des équipements de siège; c'est le cas en particulier de Crévecoeur en Auge et de Crèvecœur en Brie.Du point de vue historique, le village doit son origine à un petit fort de défense autour duquel quelques habitations s’étaient regroupées, dès le XIème siècle.Les premiers seigneurs Pierre et Jean de Crèvecoeur accompagnent leur suzerain, le Comte de Crécy, à la première croisade en 1096.Au début du XIIIème siècle Guy et Hugues de Châtillon, possesseurs de la châtellenie, firent construire un véritable château fortifié. En 1220-1221, on érigea une chapelle qui devint l’église paroissiale. Cette église est appelée dans les pouillés (registres) anciens «CREPICORDIUM».Crèvecoeur connut son heure de gloire aux XIIIème et XIVème siècles, le château devenant résidence d’été des rois de France. Philippe VI de Valois y maria sa fille en juillet 1332.Village et château furent en partie détruits par les Anglais pendant la guerre de cent ans en 1430, puis ravagés par les Ligueurs au XVIème siècle.
Au XVIIIème siècle les ruines du château servaient de carrière pour la construction des maisons du village.
Le château actuel, en centre village, a été construit sur les ruines de l’ancien château, en 1897. http://www.crevecoeur-en-brie.fr/fr/information/89926/histoire] Dans le virage nous avons un grand 

portail. Fatigué je n’y ai vu que la fondation d’un ancien château fort derrière de nombreux bosquets cela ne ma pas attiré plus que cela. Je pensais que le château avait été abattu et que les communs furent transformés en ferme ou en habitations.  La rue tourne fortement à droite et nous avons face à nous la Mairie – école.  [Construite en 1888 après la loi Jules Ferry rendant l’école gratuite et obligatoire. La cour fut pavée en 1882.] Poursuivons la rue tournant à gauche face à la mairie-école. Nous arrivons place Saint Jean devant ce qui est peut le centre aéré ou la cantine ou salle des fêtes, nous prenons à gauche la rue de Baloquin. Nous avons abandonné les balisages mauve et jaune. C’est en faisant une pose avant l’aire de jeu que j’aperçois les toitures du château. Trop tard pour revenir en arrière. Je suis fatigué, et l’heure du bus arrive à grand pas. Poursuivons la route, passons une mare et le ru du Bréon, un peu plus loin sur la gauche une grosse ferme. Poursuivons le bitume qui débouche sur une route formant Té. (Je devais prendre à gauche puis traverser la foret au clos Brilland pour rejoindre la foret de Lumigny. Impossible le bois autour du clos est clôturé.) Il faut donc prendre à droite la petite route, à la patte d’oie à gauche cette petite route débouche sur la D 143 que nous prenons à gauche. Nous arrivons à la ferme isolée du Clos Touret . Je veux prendre le chemin le long de la maison comme dans l’étape 6 mais je me fais attraper par le propriétaire le chemin est privé… Je parlemente un peu et il m’autorise à rejoindre le bois. Au premier carrefour je prends le premier large chemin renforcé en cailloux de silex, sur la gauche (c’est l’endroit ou l’on trouve le puits) sur ce chemin je retrouve un balisage jaune ? Étonnant dans un bois privé ou alors il n’y a que le chemin ? Le chemin fait un esse gauche droite puis débouche dans les champs ou je retrouve mon beau chêne ’’pommier’’. Nous arrivons sur la D20 que je prends à droite, j’arrive au rond point de la 402 dix sept minutes avant l’arrivée du bus. Une chance que le propriétaire mais laissé passé…
La seule façon pour éviter le bois de Lumigny. Poursuivre la D 143 laisser la route menant à la ferme de la Ville du Bois. Poursuivre jusqu’au carrefour ou l’on prend la route de droite en direction de Champlet. Traverser le village. Dans le virage, (il n’est pas utile de tenter sa chance par le chemin de droite arrivée dans les champs et le petite bois il devient difficile voir impraticable.) La route débouche sur la D 20 que nous prenons à droite.



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