Voilà un nouveau projet en six étapes relier la Seine à la Marne, en traversant
le plateau de Brie,
faisant suite à mes promenades reliant la Seine à la Loire en dix étapes
par le GR 32 et 3 de Ponthierry à Orléans
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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Le code mobile de cette randonnée est b312479
Carte VisoRando
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Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
34 5h43 0h16 5,9
5,6 244
Novembre
2017
Entre Melun et Coulommiers ce sont les seule vaches que je verrais |
Le chemin
serpente entre les clôtures des prairies ou je vois mes premières vaches.
Quatre au total. Cela va faire juste pour fabriquer le Coulommiers, nous n’en
sommes qu’à sept kilomètres, en plus ce sont des bêtes à viande… Nous passons
une première fois un bras du ru de L’Aubetin [C'est
un affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,2 kilomètres, il prend sa
source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la
majorité de son cours en une trajectoire parallèle,
orientée est/ouest. Il
parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. Wikipédia.] Peut de temps après nous
traversons le bras principal, nous débouchons sur la rue de Sainte Aubierge
[abbesse de Faremoutiers (✝ 695)
ou Edelburge.
Venue du Pays des Angles pour embrasser la vie monastique en Ile de France. Elle était en effet la fille d'Anna, roi de l'Est-Anglie, mais comme aucun couvent ne lui convenait, elle s'en vint sur le continent à l'abbaye de Faremoutiers, à Eboriacum au pays de Meaux, dont elle fut l'abbesse.
Par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu.
Un internaute nous écrit: "Sainte Aubierge n'est autre que Sainte Ethelburge (Edelburge), fille d'Anna, roi de l'Est Anglie (Suffolk Grande Bretagne) et de Sainte Hereswyde - 3ème abbesse de Faremoutier (77515), à la mort de sa sœur Sainte Sethride - Sœur des saintes Sexburge, Etheldrede d'Ely (Audrey), Wibburge et de Saint Erconwald, évêque de Londres. Son culte: D'un coup de crosse, elle fit surgir une fontaine qui alimente actuellement un lavoir, une chapelle attenante abrite toujours la châsse de Sainte Aubierge sur la commune de Saint-Augustin (77515), diocèse de Meaux - Son monastère double était sous le règle stricte de Saint Colomban"
Sainte Aubierge est née en Angleterre au VIIe siècle... D'après la légende, l'Aubetin étant à sec, Sainte Aubierge aurait frappé le sol de sa crosse et en aurait fait jaillir la source... (Pèlerinage de Sainte Aubierge le lundi de Pâques à Saint-Augustin).
À Eboriacum au pays de Meaux, l’an 695, sainte Édelburge, abbesse du monastère de Fare (Faremoutiers). Fille d’un roi des Angles orientaux, par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu. Martyrologe romain http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7484/Sainte-Aubierge.html] rue que nous
prenons à gauche nous entrons dans Farvache prenons sur la droite la rue
de Brie, nous sommes toujours sur le GR 14 et le balisage jaune en direction de
la foret Malvoisine. La rue tourne sur la gauche et nous prenons à droite le
chemin du Bois Ferment le balisage jaune nous l’indique, longeons la clôture puis
prenons le premier chemin sur la gauche, la marque du GR est un peu plus loin
sur un arbre. Après les champs et les bois nous longeons le Haras de la
Baconnerie. Nous débouchons sur la D 25 (rue de l’obélisque que nous prenons à
gauche. Après quelques mètres nous prenons à droite la route forestière de
Marganat, (parcelle 141) c’est une
grande allée toute droite ne pas prendre le sentier sur la gauche. Prenons le
première chemin à droite.
Nous sommes dans la foret de Malvoisine. Nous suivons
le balisage du GR prenons une allée à gauche nous débouchons sur une grande
allée empierrée de calcaire(route du tour de Lumigny) que nous prenons à gauche
(le balisage à été modifié mais pas la carte). Nous arrivons au carrefour en
étoile des Trois carrefours, il a un kiosque pour s’abriter. Nous prenons à
droite la route de l’essart (GR et balisage jaune). Nous approchons de l’orée
de la foret mais prenons un petit sentier sur la gauche pénétrant dans la
parcelle. Nous quittons le balisage jaune, faisons un esse droite gauche et
coupons une route bitumé nous continuons en face par la route forestière de
Nanteuil. Nous longeons la parcelle 231
puis prenons la route forestière royale sur la droite le balisage nous fait prendre à droite un
chemin débouchant à l’orée de la foret nous longeons cette dernière. Alternance
de bois et de champ et nous tournons à quatre vingt dix degrès à gauche sans
vraiment comprendre pourquoi après un petite taillis. On se dirige vers une
ferme. Pas facile ce passage avec ce virage on à tendance à relâcher
l’attention et de louper ce changement de direction, sutout que le balisage
n’est pas très bien fait. Notre chemin dans les champs débouche sur la D20E que
nous prenons un court instant sur la gauche puis à droite la rue des
Tournelles. Passons le ru du même nom et contournons la clôture du parc
fortement arboré ne permettant pas de voir le
château par la droite. On ne
verra pas le château. [Le château accueil des
enfants mineurs en difficultés. Le village de
Hautefeuille est nommé en
1270 dans une sentence définissant les limites entre
le Comté de Champagne et le domaine royal. Il se trouve alors dans une
« marche séparante » dans laquelle le comte et le roi ont chacun
droits de justice. En 1285 le village est rattaché à la Couronne à la suite de
l'accession au trône de Philippe IV le Bel qui avait épousé en 1284 Jeanne de
Navarre héritière du royaume de Navarre et du comté de Champagne.]La route tourne sur la gauche et longe un
champ en forme de triangle. Attention le GR tourne sur la droite juste à l’orée
du bois et à l’angle aigu du champ, ce n’est pas très bien indiqué seul une
croix nous indique qu’il ne faut pas poursuivre la route. Nous longeons le bois
puis nous sommes de nouveau dans les champs. A la cote 128 le chemin forme Té sur
la carte le GR 14 tourne sur la droite et peut être à tort je coupe en prenant
à gauche vers la ferme de la Fourcherie au lieu de partir à droite vers le
châpitre. Le chemin contourne la ferme et le hangar nous retrouvons le GR 14
sur la route d’accès à la ferme que l’on prend à gauche, après un parcours dans
les champs nous coupons la D 20 poursuivons en face par le chemin de
Faremoutiers. Nous longeons un bois et nous arrivons à une fourche à trois
dents avec une croix en bois ; chemin du port sur la droite, la ruelle des
prêches pratiquement face à nous et la rue d’Hautefeuille un peut à droite. Nous
prenons cette dernière. Le balisage nous
aide à poursuivre notre itinéraire. Nous entrons dans Mortcerf par la rue
d’Hautefeuille. [Bâti sur les contreforts de la forêt de Crécy, le village
de Mortcerf apparaît pour la première fois dans les écrits historiques au XIe
siècle. Comme Villeneuve-le-Comte ou Neufmoutiers-en-Brie, l'implantation du
village est avant tout le fait des moines défricheurs qui opérèrent dans la
Brie au cours des VIe et VIIe siècle.
Venue du Pays des Angles pour embrasser la vie monastique en Ile de France. Elle était en effet la fille d'Anna, roi de l'Est-Anglie, mais comme aucun couvent ne lui convenait, elle s'en vint sur le continent à l'abbaye de Faremoutiers, à Eboriacum au pays de Meaux, dont elle fut l'abbesse.
Par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu.
Un internaute nous écrit: "Sainte Aubierge n'est autre que Sainte Ethelburge (Edelburge), fille d'Anna, roi de l'Est Anglie (Suffolk Grande Bretagne) et de Sainte Hereswyde - 3ème abbesse de Faremoutier (77515), à la mort de sa sœur Sainte Sethride - Sœur des saintes Sexburge, Etheldrede d'Ely (Audrey), Wibburge et de Saint Erconwald, évêque de Londres. Son culte: D'un coup de crosse, elle fit surgir une fontaine qui alimente actuellement un lavoir, une chapelle attenante abrite toujours la châsse de Sainte Aubierge sur la commune de Saint-Augustin (77515), diocèse de Meaux - Son monastère double était sous le règle stricte de Saint Colomban"
Sainte Aubierge est née en Angleterre au VIIe siècle... D'après la légende, l'Aubetin étant à sec, Sainte Aubierge aurait frappé le sol de sa crosse et en aurait fait jaillir la source... (Pèlerinage de Sainte Aubierge le lundi de Pâques à Saint-Augustin).
À Eboriacum au pays de Meaux, l’an 695, sainte Édelburge, abbesse du monastère de Fare (Faremoutiers). Fille d’un roi des Angles orientaux, par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu. Martyrologe romain http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7484/Sainte-Aubierge.html] rue que nous
La gare plantée au milieu de nul part |
Au Moyen Age, le
seigneur des lieux participa à la première croisade. Pendant son absence, son
épouse l’aurait trompé avec l’intendant resté au château. De retour de Terre
Sainte, le seigneur, ayant appris son infortune, jugea sa femme et la condamna
a être traînée, attachée à la queue d’un cheval indompté. En mourant, l’épouse
se serait écriée: «Ah! quel crève cœur!»
Le nom de Crèvecœur (Creive-cor ou Crève-cuer)
est cité dès 1175 dans les rôles des fiefs du comté de Champagne et de Brie. Il
existe deux origines vraisemblables, du nom de Crève-coeur :Jean de Crèvecœur, seigneur normand, dont le fief est à Crévecoeur en Auge, part conquérir l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant et contribue à la victoire d'Hastings (1066) ; il est cité sur la célèbre tapisserie de Bayeux ; les seigneurs de Crévecoeur (en Auge) sont connus comme de grands soldats et comme architectes en fortification auprès du roi et des grands vassaux. Il s'agirait alors d'un château fort "à la façon Crèvecoeur".
Au Moyen-Age, un crève-coeur est une terre pénible à labourer, car lourde et difficile à drainer ; de plus, la perte de la récolte après une pluie abondante sur un terrain argileux est fréquente. Les terres de Crèvecœur étaient marécageuses au Moyen Age - les noms des lieux-dits « l’Etang » et « Courtesoupe » en attestent - et jusqu'au XIXe siècle réservées à la prairie et à l'élevage.
Au XVIIIème siècle les ruines du
château servaient de carrière pour la construction des maisons du village.
Le château actuel, en centre
village, a été construit sur les ruines de l’ancien château, en 1897. http://www.crevecoeur-en-brie.fr/fr/information/89926/histoire] Dans le virage nous avons un grand portail.
Fatigué je n’y ai vu
que la fondation d’un ancien château fort derrière de nombreux bosquets cela ne
ma pas attiré plus que cela. Je pensais que le château avait été abattu et que
les communs furent transformés en ferme ou en habitations. La rue tourne fortement à droite et nous avons
face à nous la Mairie – école. [Construite en 1888 après la loi Jules Ferry rendant
l’école gratuite et obligatoire. La cour fut pavée en 1882.] Poursuivons
la rue tournant à gauche face à la mairie-école. Nous arrivons place Saint Jean
devant ce qui est peut le centre aéré ou la cantine ou salle des fêtes, nous
prenons à gauche la rue de Baloquin. Nous avons abandonné les balisages mauve
et jaune. C’est en faisant une pose avant l’aire de jeu que j’aperçois les
toitures du château. Trop tard pour revenir en arrière. Je suis fatigué, et
l’heure du bus arrive à grand pas. Poursuivons la route, passons une mare et le
ru du Bréon, un peu plus loin sur la gauche une grosse ferme. Poursuivons le
bitume qui débouche sur une route formant Té. (Je
devais prendre à gauche puis traverser la foret au clos Brilland pour rejoindre
la foret de Lumigny. Impossible le bois autour du clos est clôturé.) Il
faut donc prendre à droite la petite route, à la patte d’oie à gauche cette
petite route débouche sur la D 143 que nous prenons à gauche. Nous arrivons à
la ferme isolée du Clos Touret . Je veux prendre le chemin le long de la maison
comme dans l’étape 6 mais je me fais attraper par le propriétaire le chemin est
privé… Je parlemente un peu et il m’autorise à rejoindre le bois. Au premier
carrefour je prends le premier large chemin renforcé en cailloux de silex, sur
la gauche (c’est l’endroit ou l’on trouve le puits) sur ce chemin je retrouve
un balisage jaune ? Étonnant dans un bois privé ou alors il n’y a que le
chemin ? Le chemin fait un esse gauche droite puis débouche dans les
champs ou je retrouve mon beau chêne ’’pommier’’. Nous arrivons sur la D20 que
je prends à droite, j’arrive au rond point de la 402 dix sept minutes avant
l’arrivée du bus. Une chance que le propriétaire mais laissé passé…
La seule façon pour éviter le bois de Lumigny.
Poursuivre la D 143 laisser la route menant à la ferme de la Ville du Bois.
Poursuivre jusqu’au carrefour ou l’on prend la route de droite en direction de
Champlet. Traverser le village. Dans le virage, (il n’est pas utile de tenter
sa chance par le chemin de droite arrivée dans les champs et le petite bois il
devient difficile voir impraticable.) La route débouche sur la D 20 que nous
prenons à droite.
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