Remise à jour du diverticule Blanc et Rouge barré d’un trait Blanc entre la gare de Fontainebleau et la Gare de Bois le Roi.
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
16 3h15 0h15
4,9 4,6
192 +
Un GPS peut être utile dans les parties rocheuses du Rocher Cassepot, plateau de Belle Croix et le Rocher Canon
Il y a
quelques années, le tracé de ce GR fut supprimé.
Quel dommage.
Il rejoignait le GR 1 au Cuvier Chatillon.
Facile à suivre par son balisage rouge et blanc barré d’un trait blanc, il permettait de rejoindre la gare de Bois le Roi dans la journée par un magnifique tracé dans les rochers.
Avec se tracé on pouvait arrivée de Paris sans ce lever aux aurores et reprendre un train en fin d’après midi sans rentrer trop tard.
Quel dommage.
Il rejoignait le GR 1 au Cuvier Chatillon.
Facile à suivre par son balisage rouge et blanc barré d’un trait blanc, il permettait de rejoindre la gare de Bois le Roi dans la journée par un magnifique tracé dans les rochers.
Avec se tracé on pouvait arrivée de Paris sans ce lever aux aurores et reprendre un train en fin d’après midi sans rentrer trop tard.
Le code mobile de cette randonnée est b311962
(Explications Code Mobile)
Le départ se trouve à la gare de Fontainebleau, si vous venez de Paris sortir et remontez la rue d’accès au parking des bus. Traversez la rue du Général Leclerc, puis le pont pour longer la ligne de chemin de fer et la maison forestière de la Porte aux Vaches, par la route Gaston Bonnier.
(Explications Code Mobile)
Le départ se trouve à la gare de Fontainebleau, si vous venez de Paris sortir et remontez la rue d’accès au parking des bus. Traversez la rue du Général Leclerc, puis le pont pour longer la ligne de chemin de fer et la maison forestière de la Porte aux Vaches, par la route Gaston Bonnier.
Pour ceux venant de Montereau sortir de la gare, se diriger vers
le café et gravir les escaliers. Traverser la rue et le pont pour longer la
ligne de chemin de fer en longeant la maison forestière de la Porte aux Vaches
par la route Gaston Bonnier.
Nous
prenons la première route sur la gauche route Baudrillard [Baudrillart (JACQUES-JOSEPH), agronome, né à
Givron en 1774, mort en 1832, auteur d'ouvrages sur les forêts.] qui
grimpe vers le fort des Moulins. [Fort est pris
dans l'acception de montage ou de bois fourré servant de repaire aux animaux.
Carrière de grès en exploitation, en 1609.] Nous rencontrons le sentier
bleu N° 2 que nous prenons à droite. Au milieu du chemin nous trouvons un vieux
chêne formant giratoire. Haut perché il subsiste le fléchage de ce chemin.
Poursuivons par le sentier bleu. Nous passons devant les Fontaines : Dorly, [Fontaine créée en 1852 par Denecourt qui lui a donné le nom d'un de ses souscripteurs : à quelques minutes de la fontaine Désirée.
Elle a porté, pendant quelque temps, l'inscription suivante :
FONTAINE DE TA PARURE,
J'AIME LA SIMPLICITÉ ;
J'AIME TON ONDE SI PURE, [?]
J'AIME TA SÉVERITÉ]
J'AIME LA SIMPLICITÉ ;
J'AIME TON ONDE SI PURE, [?]
J'AIME TA SÉVERITÉ]
Désiré, [Fontaine
découverte en 1837 en travaillant à la route de la Butte à Guay. ] et du
Touring club, [Ainsi dénommé en 1900 à l'occasion
d'un don fait par la Société à l'administration.]
Nous avons également de beaux
points de vue sur l’est de la foret. Nous passons une partie du sentier en
flanc de colline récemment stabilisé "à la Denecourt’’ par des pavés
renforçant et stabilisant le sable entre les racines. C’est tout de même plus
joli qu’un platelage en bois. Malheureusement des inconscients ont fait
basculer quelques bordures (pavé trop petit) dans la pente. Poursuivons par une
descente et un
sentier serpentant sur le flanc de la dune (SVP ne coupez pas. Cela déstabilise le sable maintenu par une fine couche d’humus.) Nous entamons un large virage et arrivons au carrefour de la Tour Denecourt, traversons la route Jean bart [Jean Bart (1650-1702), est un corsaire célèbre pour ses exploits au service de la France durant les guerres de Louis XIV. http://www.fontainebleau-photo.com/2013/03/sentier-de-liaison-3-2-rocher-cassepot.html] Poursuivons le sentier bleu situé entre les deux routes bitumées (interdite à la circulation.) Après une patte d’oie ou nous prenons la branche de droite, nous grimpons sur un chemin dont une partie est stabilisé en pavé pour déboucher sur la ligne de crête rocheuse. Prenons à droite le sentier bleu, du coté sud de la pointe du rocher Cassepot. Passons sous une roche formant dolmen [Adolphe Joanne (1813-1881) était un homme de lettres, journaliste et traducteur. En 1843, il fut un des trois fondateurs du célèbre journal « L’Illustration ». Adolphe Joanne entreprit une série de guides touristiques publiés aux éditions Hachette et qui connurent un grand succès. Il s’intéressa à Fontainebleau et sa forêt lorsqu’il publia son guide sur les environs de Paris en 1856. En 1919, la collection des guides « Adolphe Joanne » devint « les Guides bleus » http://www.fontainebleau-photo.com/2013/03/sentier-de-liaison-3-2-rocher-cassepot.html. On y trouve également sous l’étoile coté ‘’tour’’ la gravure de Saulnier 1926. J’ai trouvé cette gravure en posant la main sur le rocher et j’ai pensé que c’était peut être le nom d’un successeur anonyme de Denecourt & Colinet, l’un de ses carriers, ou petites mains entretenant le ou les sentiers.] et nous arrivons à la tour Denecourt.
[Point d’orgue des œuvres de Denecourt, la tour fut bâtie en 1851. Située sur la pointe Est du Rocher Cassepot, à 136 mètres d’altitude, Denecourt voulait baptiser sa tour ; Point de vue de Paris, car d’après lui, par temps clair, on pouvait y voir la capitale. Pour parvenir à deviner les toits de la ville, il plaça au sommet de sa tour quatres longues vues. Il semble difficile de croire que les tours de Notre-Dame, alors le plus haut bâtiment de Paris, pouvaient être visible de Fontainebleau. On conseilla vivement à Denecourt d’honorer Napoléon III en nommant sa tour Fort de l’Empereur. Denecourt accepta et la tour fut inaugurée par l’Empereur le 22 novembre 1853.
sentier bleu N° 3 que nous prenons à droite. Il grimpe vers le rocher en forme de mille feuilles (roche feuilletée) sur le plateau poursuivons le sentier bleu. Nous passons devant des rochers en équilibres semblant donner raison à une théorie : la mer à façonnée les rochers, on a vraiment l’impression que les vagues sont venues usées la base des rochers. [Extraie ASSOCIATION DES AMIS DE LA FORÊT DE FONTAINEBLEAU Histoire géologique du Massif des Trois Pignons La voix de la forêt 2001 1 er semestre Pages 12 & 13. http://www.lt.aaff.fr/images/VOIX-DE-LA-FORET/GEOLOGIE/massifdestroispignons.pdf
sentier serpentant sur le flanc de la dune (SVP ne coupez pas. Cela déstabilise le sable maintenu par une fine couche d’humus.) Nous entamons un large virage et arrivons au carrefour de la Tour Denecourt, traversons la route Jean bart [Jean Bart (1650-1702), est un corsaire célèbre pour ses exploits au service de la France durant les guerres de Louis XIV. http://www.fontainebleau-photo.com/2013/03/sentier-de-liaison-3-2-rocher-cassepot.html] Poursuivons le sentier bleu situé entre les deux routes bitumées (interdite à la circulation.) Après une patte d’oie ou nous prenons la branche de droite, nous grimpons sur un chemin dont une partie est stabilisé en pavé pour déboucher sur la ligne de crête rocheuse. Prenons à droite le sentier bleu, du coté sud de la pointe du rocher Cassepot. Passons sous une roche formant dolmen [Adolphe Joanne (1813-1881) était un homme de lettres, journaliste et traducteur. En 1843, il fut un des trois fondateurs du célèbre journal « L’Illustration ». Adolphe Joanne entreprit une série de guides touristiques publiés aux éditions Hachette et qui connurent un grand succès. Il s’intéressa à Fontainebleau et sa forêt lorsqu’il publia son guide sur les environs de Paris en 1856. En 1919, la collection des guides « Adolphe Joanne » devint « les Guides bleus » http://www.fontainebleau-photo.com/2013/03/sentier-de-liaison-3-2-rocher-cassepot.html. On y trouve également sous l’étoile coté ‘’tour’’ la gravure de Saulnier 1926. J’ai trouvé cette gravure en posant la main sur le rocher et j’ai pensé que c’était peut être le nom d’un successeur anonyme de Denecourt & Colinet, l’un de ses carriers, ou petites mains entretenant le ou les sentiers.] et nous arrivons à la tour Denecourt.
[Point d’orgue des œuvres de Denecourt, la tour fut bâtie en 1851. Située sur la pointe Est du Rocher Cassepot, à 136 mètres d’altitude, Denecourt voulait baptiser sa tour ; Point de vue de Paris, car d’après lui, par temps clair, on pouvait y voir la capitale. Pour parvenir à deviner les toits de la ville, il plaça au sommet de sa tour quatres longues vues. Il semble difficile de croire que les tours de Notre-Dame, alors le plus haut bâtiment de Paris, pouvaient être visible de Fontainebleau. On conseilla vivement à Denecourt d’honorer Napoléon III en nommant sa tour Fort de l’Empereur. Denecourt accepta et la tour fut inaugurée par l’Empereur le 22 novembre 1853.
Dans la 16e édition
de son indicateur, daté de 1856, Denecourt écrit à propos de sa tour : «
Fort de l'Empereur, construction imposante et la plus considérable de mes
créations. Elle se compose d'une tour bâtie sans mortier et élevée à deux
étages avec plate-forme et parapet, le second étage renferme une cabine avec
bancs où peuvent s'abriter en cas d'averse, huit à dix personnes. Elle est
surmontée d'un belvéder d'où l'on découvre plus de soixante lieues d'horizon,
et même Paris lorsque le temps est bien clair. […] Ayant gravi les
quarante-quatre marches, promenons d'abord nos regards étonnés sur l'immensité
du point de vue, et ensuite donnons successivement un coup d'œil dans les
quatre lunettes qui sont braquées là comme des pièces de canons sur un bastion.
Vous dire toutes les villes, toutes les bourgades et tous les monuments que
l'on découvre, serait une tâche par trop difficile pour moi : les endroits que
j'ai pu reconnaître sont : Paris, Saint-Denis, Saint-Germain-en-Laye,
Montlhéry, Corbeil, Villeneuve-Saint-Georges, Brie-Comte-Robert, Melun,
Tournant, Chaume, Blandy, Rozoy, Mormant, Champeaux, etc. Mais ce qui ajoute
très bien à l'intérêt qu'offre cet incommensurable panorama c'est le chemin de
fer de Lyon, ce sont les longues files de wagons se croisant et se succédant à
chaque instant en dessinant, dans leur course rapide et furibonde, l’image de
terribles et gigantesques serpents dont les sifflements aigus, répétés par
l'écho de nos bois et de nos rochers, complètent en quelque sorte l'illusion.
»
Le 28 janvier 1878,
à midi, la tour s’écroule, un tremblement de terre vient de secouer la vallée
de la Seine, de Montereau à Corbeil. Charles Colinet, le successeur de
Denecourt, prend en charge la reconstruction. Une somme de 2500 francs est
nécessaire pour qu’elle puisse être relevée, consolidée et rehaussée de deux
mètres. L’argent est réuni en quatre mois, au moyen d'une souscription
publique. Le 12 juillet 1878, la nouvelle tour est inaugurée. Un médaillon en
bronze, portrait de Denecourt, oeuvre du sculpteur Adam-Salomon, y est scellé. Le Fort l’Empereur est rebaptisée Tour Denecourt
en 1882, suite à une décision du conseil municipal de Fontainebleau. http://www.fontainebleau-photo.com/2015/10/la-tour-denecourt.html]
Belle vue sur l’ensemble de la foret et de nos jours
avec la pollution de l’air il me semble impossible que l’on aperçoive Paris
malgré les très hauts bâtiments construits depuis que Denecourt à réalisé sa
tour. Redescendons les quelques marches. Sur
cette esplanade nous trouvons plusieurs départs de sentiers, il faut prendre le
bleu N°2 en direction du sentier 2-3 et de la croix d’Augas. Contournons la fin du « môle »
rocheux et repartons par le sentier coté nord de cette pointe et suivons la
crête. Nous revenons un peut sur nos pas. A l’autre extrémité nous trouvons
l’intersection des sentiers 2 et 3. Laissons la branche du sentier bleu
tournant à gauche et poursuivons en descendant les quelques rochers par le
sentier 3-2, nous coupons la D116 poursuivons en face soit par la route de la
Vallée de la Solle, soit par le sentier bleu qui suit à quelques mètres sur la
gauche cette même route. Nous arrivons à un carrefour et rencontrons le sentier bleu N° 3 que nous prenons à droite. Il grimpe vers le rocher en forme de mille feuilles (roche feuilletée) sur le plateau poursuivons le sentier bleu. Nous passons devant des rochers en équilibres semblant donner raison à une théorie : la mer à façonnée les rochers, on a vraiment l’impression que les vagues sont venues usées la base des rochers. [Extraie ASSOCIATION DES AMIS DE LA FORÊT DE FONTAINEBLEAU Histoire géologique du Massif des Trois Pignons La voix de la forêt 2001 1 er semestre Pages 12 & 13. http://www.lt.aaff.fr/images/VOIX-DE-LA-FORET/GEOLOGIE/massifdestroispignons.pdf
HISTOIRE GEOLOGIQUE MASSIF de FONTAINEBLEAU
A la fin de l'époque
secondaire, une grande partie de l'Europe est recouverte
par la mer. Pendant l'ère tertiaire, la mer va peu à peu régresser en même temps que se soulèvent Alpes et Pyrénées. Au début du tertiaire, il y a 60 millions d'années, Fontainebleau se situe dans un golfe qui noie l'emplacement de Paris et s'ouvre vers la Manche.
par la mer. Pendant l'ère tertiaire, la mer va peu à peu régresser en même temps que se soulèvent Alpes et Pyrénées. Au début du tertiaire, il y a 60 millions d'années, Fontainebleau se situe dans un golfe qui noie l'emplacement de Paris et s'ouvre vers la Manche.
Dans les temps qui vont
suivre, l'évolution de ce golfe va subir de nombreuses variations, tant dans
son emplacement que dans ses dimensions. Il est à plusieurs reprises coupé de
la mer, se transformant en lagune ou en lac. C'est à l'époque du Démo des
sables de Fontainebleau, à -35 millions d'années, qu'il atteint son maximum
d'extension. Outre le sable provenant des formations antérieures et
périphériques, se déposent sans doute bien d'autres constituants tels le
calcaire ou argile. L'altération et le
lessivage de ces dépôts ne laisseront qu'un sable quartzeux très pur: le quartz étant l'élément le plus résistant et relativement peu soluble.
lessivage de ces dépôts ne laisseront qu'un sable quartzeux très pur: le quartz étant l'élément le plus résistant et relativement peu soluble.
Vers la fin de la
période stampienne, la mer se retire vers le sud ouest, laissant émerger les
sables bientôt recouverts par un vaste lac dans lequel vont se déposer les
calcaires d'Étampes puis de Beauce. La transgression lacustre se fait
lentement, en plusieurs épisodes répétés. Elles stagnent dans les parties
basses de la topographie dans lesquelles l'eau chargée de silice cimente le
sable qu'elle transforme ainsi en grès. Chaque épisode laisse ainsi sa marque
sous forme d'un niveau de grès. Les eaux du lac de Beauce s'assèchent, le
massif de Fontainebleau et la région parisienne sortent des ondes. Les
écoulements en nappes, les épandages en provenance du massif central
abandonnent l'exutoire du bassin parisien pour utiliser celui de la
Loire naissante. La végétation et la faune envahissent la région exondée; les temps modernes commencent. Mais en même temps débute un prodigieux travail d'érosion qui va modeler peu à peu les merveilleux sites que nous contemplons aujourd'hui et qui se poursuit encore maintenant. Les eaux de ruissellement évacuent les sables, laissant en relief les bancs gréseux plus résistants. L'affouillement des eaux, le soutirage des sables sous la bordure des plâtrières provoquent l'effondrement de celles ci donnant ainsi naissance au chaos de blocs actuels.
Loire naissante. La végétation et la faune envahissent la région exondée; les temps modernes commencent. Mais en même temps débute un prodigieux travail d'érosion qui va modeler peu à peu les merveilleux sites que nous contemplons aujourd'hui et qui se poursuit encore maintenant. Les eaux de ruissellement évacuent les sables, laissant en relief les bancs gréseux plus résistants. L'affouillement des eaux, le soutirage des sables sous la bordure des plâtrières provoquent l'effondrement de celles ci donnant ainsi naissance au chaos de blocs actuels.
La mer envahit le bassin
de Paris, une dernière fois, il y a 37 millions d'année, au stampien moyen.
Dans le vaste golfe ainsi formé se dépose une énorme quantité de sable pouvant
atteindre 60 mètres d'épaisseur. La pureté du sable est exceptionnelle : 99.98
% de grain de quartz dont la taille varie de 0.1 à 0.5 millimètres.
Le
Grès :
Toutes les formations gréseuses visibles dans le massif
résultent de la cimentation des grains de sable. Le ciment est le plus souvent
siliceux, amorphe ou formé de micro cristaux de quartz. Il arrive
localement qu'apparaisse un ciment calcaire (le carrosse, les roches cuvier, la roche éponge à Fontainebleau ...). La masse majeure de grès forme les plâtrières disposées en bandes parallèles suivant la direction ouest-nord ouest, est-sud est. Ce niveau domine généralement le sable non grésifié. La cimentation des grès est irrégulière : le ciment siliceux peut occuper tout ou partie de l'espace inter granulaire du sable originel. Lorsque le ciment occupe la totalité des vides, il peut évoluer en assimilant sa silice au cristal du grain le plus proche (chaque grain de quartz peut être considéré comme un cristal de quartz usé par son transport) ; dans ce cas le
localement qu'apparaisse un ciment calcaire (le carrosse, les roches cuvier, la roche éponge à Fontainebleau ...). La masse majeure de grès forme les plâtrières disposées en bandes parallèles suivant la direction ouest-nord ouest, est-sud est. Ce niveau domine généralement le sable non grésifié. La cimentation des grès est irrégulière : le ciment siliceux peut occuper tout ou partie de l'espace inter granulaire du sable originel. Lorsque le ciment occupe la totalité des vides, il peut évoluer en assimilant sa silice au cristal du grain le plus proche (chaque grain de quartz peut être considéré comme un cristal de quartz usé par son transport) ; dans ce cas le
grès est dit quartzite. Ce type
de grès, le grès vif, décarié, est rare dans le massif. On le trouve surtout en
enduit en bloc rocheux, le long des fractures, (le marbre des grattons des
grimpeurs) ou recouvrant le sommet des plâtrières, imperméabilisant celles ci.
La masse la plus importante des grès est constituée de « grès franc », c'est le
grès utilisé naguère pour la confection des pavés. Les grès deviennent friables
lorsque la cimentation est réduite ou incomplète. Si cela
vous intéresse, voici un site avec des graphiques et photos http://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geographie-bassin-parisien-725/page/6/
Nous
arrivons au point de vue ou nous apercevons sur la gauche les antennes de Saint
Assise [Les
Antennes de Sainte Assise Son antenne était portée par 11 mâts de 250 mètres et 5 mats de 180 mètres. À son inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon.
En novembre 1921, y fut réalisée la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Antennes de Sainte Assise Son antenne était portée par 11 mâts de 250 mètres et 5 mats de 180 mètres. À son inauguration en 1921, l'émetteur était le plus puissant au monde et balayait une zone s'étalant entre les Amériques et le Japon.
En novembre 1921, y fut réalisée la première retransmission radiophonique française. Par la suite, le site a été un centre d'expérimentation pour la télévision.
Réquisitionné par la Kriegsmarine en 1941 pour permettre les communications
entre Berlin et les U-Boots. Paradoxalement, Sainte-Assise n'a pas souffert des
bombardements alliés et toutes les antennes ont survécu.
Le 1er janvier 1954, les PTT
reprirent ces installations.
En 1991, une partie de la station est
vendue par France Télécom à la Marine nationale, Centre de transmissions
marine (CTM) de Sainte-Assise, pour les communications non-confidentielles
avec les sous-marins. Le site, inauguré en 1998, est devenu un terrain
militaire surveillé par une compagnie de fusiliers-marins.
Un mat de 250 mètres non relié à
l'antenne reste la propriété de Globecast, filiale de France Telecom qui est
désormais le propriétaire du téléport de Sainte-Assise. Il sert de support à de
multiples antennes et émetteurs (GSM, satellites...). De plus une partie du
site héberge station de liaison vidéo/audio avec les satellites de
France-Telecom.
En
décembre 2000, 3 mats inutilisés de 180 mètres ont été détruits.] Nous apercevons
également les immeubles de Melun et s’il fait beau ou légèrement brumeux
face nous les torchères de la raffinerie de Grampuits. Nous abandonnons le
sentier bleu pour prendre la large route tournante des points de vue du Rocher
Cassepot. Ensuite ce n’est pas très simple à expliquer. les routes ressemblant
à des sentiers et sur la carte les chemins n’existent plus, il faut grossir
à l’extrême la carte pour redécouvrir leur traces. A croire que l’on voudrait qu’ils disparaissent... On
passe un sentier sur la droite descendant en oblique le Cassepot c’est la route (Bongard sur une ancienne
carte –Bougard dans le dictionnaire de la foret. Bongard [Hommage à Bongard du Cambard, capitaine des chasses du
duc de Penthièvre, fils du comte de Toulouse (glossaire AFF édition 1994)]
Juste avant un large virage à gauche nous trouvons un sentier dans les fougères
sur notre droite c’est la route Desgraviers ( Il
paraîtrait qu’il faut écrire Des Graviers). Desgravier [1749-1822 Auteur d'ouvrage de vénerie (glossaire AFF édition 1994 Prenons ce sentier. Nous trouvons un peut plus loin un autre sentier qui descend sur la gauche c’était la route Amélie (elle aussi elle à disparue des cartes modernes… (on a vraiment l’impression que l’on ne veut plus de ces routes) le seul repère éphémère que j’ai, c’est un arbre dont le tronc à poussé horizontalement. Si vous arrivez à l’intersection des sentiers 3 et 14 c’est que vous l’avez loupé. Le sentier descend et serpente dans les rochers et les fougères, coupe le sentier bleu N° 3 poursuit sa descente, malheureusement nous ne retrouvons que peut de trace de peinture pour nous aider (une seul dans cette descente) et il est facile de tourner en rond pour se retrouver sur le bleu. Dans le bas le sentier est un peut mieux tracer. Nous débouchons au carrefour de la route Fouilloux et de la Vallée de la Solle. Poursuivons par le chemin face nous (sans nom) même sur la carte, mais ce doit toujours être la route Amélie. Traversons la D 606 poursuivons en face.
paraîtrait qu’il faut écrire Des Graviers). Desgravier [1749-1822 Auteur d'ouvrage de vénerie (glossaire AFF édition 1994 Prenons ce sentier. Nous trouvons un peut plus loin un autre sentier qui descend sur la gauche c’était la route Amélie (elle aussi elle à disparue des cartes modernes… (on a vraiment l’impression que l’on ne veut plus de ces routes) le seul repère éphémère que j’ai, c’est un arbre dont le tronc à poussé horizontalement. Si vous arrivez à l’intersection des sentiers 3 et 14 c’est que vous l’avez loupé. Le sentier descend et serpente dans les rochers et les fougères, coupe le sentier bleu N° 3 poursuit sa descente, malheureusement nous ne retrouvons que peut de trace de peinture pour nous aider (une seul dans cette descente) et il est facile de tourner en rond pour se retrouver sur le bleu. Dans le bas le sentier est un peut mieux tracer. Nous débouchons au carrefour de la route Fouilloux et de la Vallée de la Solle. Poursuivons par le chemin face nous (sans nom) même sur la carte, mais ce doit toujours être la route Amélie. Traversons la D 606 poursuivons en face.
Attention
nous entrons dans une zone en réserve biologique intégrale… N’y entrez pas par grand vent, il y a
toujours un risque. (Enfin cela dépend. De ce coté, en
laissant pourrir les arbres pour la science, on risque de prendre une branche
sur la tête. Mais de l’autre coté, vers l’hippodrome, on a coupé de magnifiques
hêtres, majestueux, ils étaient très magestieux, pour la sécurisation de l’hippodrome ?
C’est pourtant étonnant, car ils étaient loin des bâtiments. Pour la
sécurisation des promeneurs parcourant le sentier jaune ? Peut être. On à supprimé ce magnifique GR, et j’ai cru que c’était pour normaliser
l’interdiction de pénétrer dans la réserve, mais que nénni, le chemin fut
réutilisé par un balisage jaune. à n'y rien comprendre.)
Par grand
vent, prendre la route goudronnée de l’hippodrome.
Revenons à
notre balade. Après avoir passé la barrière de sécurité nous suivons le sentier
face à nous, franchissons quelques arbres au sol. Nous débouchons sur un chemin
plus ou moins tracé que nous prenons à gauche (notre sentier est encore bien visible)
puis nous l’abandonnons pour suivre le sentier sur la droite pas facile par ici. Dans l’herbe le chemin est un peut moins bien tracé. Nous longeons la route bitumée,
débouchons sur un chemin. Ensuite ce n’est pas facile. Nous sommes à l’emplacement
du bivouac, le chemin se perd, les ronces et le houx nous éloignent un peut. Il
est plus simple de prendre le bitume pour contourner ce dernier. Nous
retrouvons un sentier en prenant à gauche avant la maison forestière puis
longer le grillage sur la droite. Le sentier devient balisé en jaune et longe
l’hippodrome. Nous grimpons légèrement et constatons le désastre. Tout ses
beaux hêtres abattus par l’homme pour rien, Ils pourrissent sur place. C’est bien
triste. Nous abandonnons la route de la vallée de la solle et le balisage jaune
pour prendre sur notre gauche la route de la Reine Amélie. Nous arrivons au
carrefour Amélie [femme de Louis-Philippe.] Prenons
à droite la route formant un angle droit toujours la route Amélie. Au carrefour
suivant nous abandonnons la route de la reine Amélie pour prendre sur la droite
la route de l’Union. Ce chemin fait un virage sur la droite nous laissons le
chemin de gauche. Nous arrivons au carrefour ou nous rencontrons de nouveau le
sentier jaune et la route de la Vallée de la Solle, nous prenons cette dernière
sur la gauche et grimpons les hauteurs de la solle coupons le sentier bleu,
puis la route des ligueurs. Poursuivons en face par la route Lebel qui est
également le nouveau sentier bleu N° 5. Nous le quittons lorsqu’il tourne à
droite, continuons tout droit notre route Lebel coupons la route Henri Chapu
puis la route des Monts Saint Pères et le balisage bleu. Descendons pour
arriver au carrefour avec la route du Luxembourg. Nous retrouvons le balisage
bleu. Prenons le chemin face à nous balisé en bleu. Quittons le bleu lorsqu’il
tourne à gauche, poursuivons tout droit le chemin qui grimpe en serpentant dans
les rochers, nous trouvons en regardant bien quelques traces rouge et blanche
sur les arbres ou rochers. Attention au trois quart de la pente le sentier fait
un angle droit sur notre gauche, comme nous approchons de la crête rocheuse,
notre sentier ce voit mal (et l’on risque de continuer tout droit un sentier
nouvellement créé longeant la crête et retrouvant le sentier bleu qu’il faudra
prendre dans ce cas à gauche. ) Il faut deviner la marque sur un rocher nous indiquant
qu’il faut tourner à gauche. Nous avons trouvé notre passage entre les rochers,
nous débouchons sur la plus ancienne branche du sentier bleu N° 5
(En effet Denecourt ou ses successeurs avaient réalisés
plusieurs circuits dans le Cuvier Chatillon & le plateau de Belle Croix
(15-17-18). Une grande partie étant devenue réserve biologique les sentiers ont
été abandonnés. Longtemps une seule branche du sentier bleu N° 5 actuel
reprenant une petite partie de l’ancien 15 et une grande partie du 17 n’a
subsisté, allant de Belle Croix au carrefour de l’épine. Le changement de
statue du secteur à permit de réaliser une boucle à ce sentier, malheureusement
en empruntant la route Mory de Neuflieux qui est droite et morne puis reprend
qu’une infime partie du sentier historique.
Il aurait, mais ce n’est qu’un avis personnel revoir la totalité du
circuit en empruntant la trace des sentiers historiques. En reprenant l’ancien
18 on avait une boucle à deux accès une branche partant du carrefour de l’Epine
et l’autre de Belle Croix Je les ai
recherché et mi suis promené dans les années 80 et ils n’ont rien à voir avec
ce qui a été réalisé.) Prenons ce dernier sur la gauche. (On trouve deux traces de couleur rouge et blanche, dont
une croix) Passons un rocher
marqué d’un ‘’R’’, puis nous passons entre les rochers. Nous arrivons à un
rocher que je nomme la chaussure parce qu’il me semble qu’elle ressemble à une
chaussure médiévale, passons la lettre ‘’Q’’, continuons le sentier bleu
passons entre les rochers (ne pas prendre le faut sentier évitant ce passage). Ensuite
ce n’est pas facile à expliquer. Il faut quitter le balisage bleu partant sur la
gauche. Nous sommes sur une petite esplanade avec des rochers formant un
semblant de demi cercle (je me trompe régulièrement à cet endroit et le GPS m'est bien utile), nous avons un sentier un
peut sur la droite avec une marque sur un rocher. Nous nous dirigeons vers un
autre groupe de rocher passons dans des bruyères (de temps en temps on
aperçois des traces de peinture.) Le sentier est encore marqué au sol. Le sentier passe
dans des fougères aigle d’un mètre soixante de haut et nous arrivons à la
pancarte tempête du 26 décembre 1999….
Malheureusement c’est de la tôle galva et la peinture n’a pas tenue. [ Du temps de Denecourt une catastrophe de ce genre (
cette tempête à traversée la France
en laissant un couloir dévasté, de l’atlantique au Vosges occasionnant des dégâts considérables.) aurait été gravé sur un rocher par un forestier : En 1999 les arbres furent dévastés par une tempête. Cette pancarte était utile pour informer le randonneur des raisons de ses arbres enchevêtrés au sol et laissé en place, empêchant le passage. Etant en réserve biologique, mais avec le Balisage du GR, il fallait rappeler les raisons de ce paysage cataclysmique et l’impossibilité de passer. C’est certainement ce qui a rendu difficile de trouver ce chemin et qui engendra la suppression du GR. Aujourd’hui les jeunes ne peuvent comprendre, les arbres sont pourris, la nature reprend sa place doucement, ce n’est pas des pancartes dont la peinture s’écaille qui laisserons l’histoire locale à nos enfants. Au pied de la pancarte des rochers permettraient une gravure. Pardon j’ai oublié que nous étions dans une foret d’exception et que bientôt nous n’auront même plus le droit de fouler son sol.] Ne pas prendre le chemin partant sous la pancarte il est pourtant le mieux tracé. Le GR partait sur la gauche par un sentier peu marqué dans la bruyère. (On voit une trace de peinture.) Passons un espace un peut marécageux, on aperçoit les restes d’une ancienne
carrière, continuons le sentier un peut mieux marqué au sol serpentant dans la bruyère. A la carrière nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite. Nous arrivons devant une mare de chaque coté du sentier (ou suivant la saison un creux humide) Le chemin fait fourche et l’on prend le chemin de gauche, longeons un peu la mare, passons sous un arbre en appuie sur un autre, le sentier dans les fougères en encore bien marqué au sol, nous arrivons à une fourche (on a une marque sur un chêne) on prend à droite. (Si l’on continue sur la gauche on débouche route du Cuvier Chatillon) Le chemin de droite n’est pas trop mal tracé au sol nous passons dans une zone de fougères, puis serpente dans la bruyère et débouche dans un sentier que l’on prend à droite (à gauche on retrouve également la route du Cuvier Chatillon.) Sur un bouleau nous trouvons la marque du GR et de l’ancien sentier bleu, nous arrivons à la grande mare à Dagneau [Déformation de Dagnan isidore (1794-1873) paysagiste qui travailla en Foret at à Barbizon entre 1827 et 1868)] En recherchant l’origine du nom de cette mare j’ai trouvé des photos de tableau représentant la mare et la foret de l’époque.
Trace de bleu & une pointe de rouge sous le marron |
en laissant un couloir dévasté, de l’atlantique au Vosges occasionnant des dégâts considérables.) aurait été gravé sur un rocher par un forestier : En 1999 les arbres furent dévastés par une tempête. Cette pancarte était utile pour informer le randonneur des raisons de ses arbres enchevêtrés au sol et laissé en place, empêchant le passage. Etant en réserve biologique, mais avec le Balisage du GR, il fallait rappeler les raisons de ce paysage cataclysmique et l’impossibilité de passer. C’est certainement ce qui a rendu difficile de trouver ce chemin et qui engendra la suppression du GR. Aujourd’hui les jeunes ne peuvent comprendre, les arbres sont pourris, la nature reprend sa place doucement, ce n’est pas des pancartes dont la peinture s’écaille qui laisserons l’histoire locale à nos enfants. Au pied de la pancarte des rochers permettraient une gravure. Pardon j’ai oublié que nous étions dans une foret d’exception et que bientôt nous n’auront même plus le droit de fouler son sol.] Ne pas prendre le chemin partant sous la pancarte il est pourtant le mieux tracé. Le GR partait sur la gauche par un sentier peu marqué dans la bruyère. (On voit une trace de peinture.) Passons un espace un peut marécageux, on aperçoit les restes d’une ancienne
carrière, continuons le sentier un peut mieux marqué au sol serpentant dans la bruyère. A la carrière nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite. Nous arrivons devant une mare de chaque coté du sentier (ou suivant la saison un creux humide) Le chemin fait fourche et l’on prend le chemin de gauche, longeons un peu la mare, passons sous un arbre en appuie sur un autre, le sentier dans les fougères en encore bien marqué au sol, nous arrivons à une fourche (on a une marque sur un chêne) on prend à droite. (Si l’on continue sur la gauche on débouche route du Cuvier Chatillon) Le chemin de droite n’est pas trop mal tracé au sol nous passons dans une zone de fougères, puis serpente dans la bruyère et débouche dans un sentier que l’on prend à droite (à gauche on retrouve également la route du Cuvier Chatillon.) Sur un bouleau nous trouvons la marque du GR et de l’ancien sentier bleu, nous arrivons à la grande mare à Dagneau [Déformation de Dagnan isidore (1794-1873) paysagiste qui travailla en Foret at à Barbizon entre 1827 et 1868)] En recherchant l’origine du nom de cette mare j’ai trouvé des photos de tableau représentant la mare et la foret de l’époque.
Je
suis abasourdi par ce que je vois, l’ancienne réserve biologique n’a pas sut
‘’entretenir’’ les très beaux arbres qui si trouvait. A Fontainenebleau si l’on
ne sélectionne pas les futur beaux chênes il n’y pousse que du bouleau et du
pin…) Revenons à notre mare, nous la
contournons par la droite et en faisons le tour sur les trois quarts de sa
surface. (elle doit toujours ce situer à notre gauche) le sentier devient un
peut plus large et passe devant un trou d’eau, on devine une trace puis nous
passons devant un autre trou d’eau et nous arrivons à l’intersection des routes
du Cuvier Chatillon, du Ragaud et Tournante du Cuvier Chatillon.
Nous prenons sur la gauche la route tournante du Cuvier
Chatillon.
Nous
pouvons faire une petite entorse à cet itinéraire ; prenons sur notre
gauche la route du Cuvier Chatillon, le chemin descend et sur la droite, nous
avons les roches silico calcaire du Cuvier sur notre droite. Il est rare de trouver ses
roches à
Fontainebleau, on en trouve au Long Rocher, et bien sur au Cuvier. On a vu rapidement la formation des grès constitué de grain de sable cimenté par de la silice. Ici le grès est cimenté par du calcaire. Les eaux d’infiltration sont chargées de carbonate de chaux ; le ciment du grès devient calcaire, plus tard il pourra subir des modifications chimiques par l’action des agents atmosphériques. Il se trouve creusé d’alvéoles hémisphériques dont la masse de grès paraît criblée. (Le Massif de Fontainebleau p.121) Sur l’une des roches nous avons une balise. Ma carte n’est pas assez vieille pour me représenter un GR passant par ses roches. Une chose est certaine c’est qu’il est devenu très difficile de rechercher un chemin dans ce taillis d’épineux et de ronces. Continuons de descendre nous rencontrons le GR 1 et le TMF sur la droite nous grimpons et en partie haute nous retrouvons la route tournante du Cuvier Chatillon que nous prenons à droite.
Fontainebleau, on en trouve au Long Rocher, et bien sur au Cuvier. On a vu rapidement la formation des grès constitué de grain de sable cimenté par de la silice. Ici le grès est cimenté par du calcaire. Les eaux d’infiltration sont chargées de carbonate de chaux ; le ciment du grès devient calcaire, plus tard il pourra subir des modifications chimiques par l’action des agents atmosphériques. Il se trouve creusé d’alvéoles hémisphériques dont la masse de grès paraît criblée. (Le Massif de Fontainebleau p.121) Sur l’une des roches nous avons une balise. Ma carte n’est pas assez vieille pour me représenter un GR passant par ses roches. Une chose est certaine c’est qu’il est devenu très difficile de rechercher un chemin dans ce taillis d’épineux et de ronces. Continuons de descendre nous rencontrons le GR 1 et le TMF sur la droite nous grimpons et en partie haute nous retrouvons la route tournante du Cuvier Chatillon que nous prenons à droite.
Reprenons
notre itinéraire. Laissons sur la droite la route des Monts de Truies, notre
chemin tourne sur la gauche nous retrouvons le GR 1 et le TMF que nous prenons
sur la droite en suivant la route des Monts de Fays. Passons l’immense
carrefour de Cabinet Monseigneur, puis coupons le sentier bleu et descendons la
rude pente des Longues Vallées. Nous arrivons sur la route de Chailly à Samois
que nous prenons à droite, nous abandonnons l’actuel GR et TMF à la fourche lorsqu’il tourne
à droite avançons un peut sur la route du Laisser Courre et lorsque l’on aperçoit
sur notre gauche un pin avec le N° de parcelle 858, nous trouvons un sentier bien tracer au sol
malgré les fougères. Dirigeons nous vers le rocher puis le sentier fait un esse
contournant le bloc rocheux (sur un pin à une hauteur d’un peu plus de 2 mètres
nous avons une pancarte cassée interdisant les vélos sur ce sentier. Laissons
les chemins de gauches, on aperçoit quelques traces de peinture sur les arbres,
on se dirige vers les rochers. Au bloc rocheux le sentier serpente gauche,
droite puis s’incline plutôt sur la gauche. Laissons les deux sentiers sur la
droite passons devant un pin avec un rond rouge (peut être une marque pour les
varappeurs ou un marquage réalisé par les forestiers pour une future coupe.) Montons sur la droite vers des blocs rocheux. Passons entre des blocs de
rochers et le sentier longe le banc de grès sur la gauche puis le chemin
devient encore un peu plus difficile dans les fougères le sentier fait
fourche, nous prenons à gauche longeons les blocs rocheux. Laissons les rochers sur la gauche descendons sur la droite vers un rocher situé au milieu du passage nous faisons un esse gauche droite gauche laissons sur la gauche les sentiers d’escalades et prenons à droite dans les fougères. Laissons un sentier sur la droite et l’on s’incline plutôt sur la gauche le sentier s’élargit devient un peut plus agréable nous longeons des rochers d’escalade et passons devant la marque bleu N°37 dirigeons nous vers le hêtre dont le tronc est creux. Sur un rocher nous avons une marque bleu N°33 laissons des rochers sur la droite et poursuivons le sentier sur la gauche. A la fourche laissons le chemin de gauche prenons celui de droite , nous avons de petits rochers puis nous arrivons sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Laissons les rochers sur la gauche et suivons le sentier sur la droite dirigeons nous vers le rocher incliné, passons entre les deux rochers ou nous trouvons une marque jaune ° 19. Nous débouchons sur un sentier prenons à gauche contournons les rochers sur la droite nous devons arriver dans une zone rocheuse un peu en arc de cercle nous trouvons un hêtre à six branches entourant les rochers et un autre creux gravé d’un NJ. Sur la gauche nous trouvons un chêne dont le tronc commence à manger le rocher. Je vais jouer au Denecours et ce sera mon chêne des fées à moi. [ Je reprends la légende du chêne des fées, du Mont Ussy qui à plus ou moins disparu ayant fortement souffert durant la tempête de 1999 pour un chêne presque
semblable. Il a encore beaucoup du travail pour lui ressembler, mais il est encore jeune. Denecourt le remarque en 1876 on peut dire qu’il est mort en 2000 à 124 ans, mais il était certainement bien plus vieux que cela. Celui du canon me semble bien partie pour lui ressembler. [Ne dirait-on pas qu’un pouvoir magique a présidé à sa croissance ? Cet arbre, vigoureux et touffu, semble n’avoir ni souche, ni racines. Son tronc, comme un fût de colonne dressée sur son socle, pose tout entier sur une roche dont la surface est lisse et très inclinée ; on croirait qu’il va glisser sur cette pente ; mais les fées qui le protègent l’ont soudé à une roche voisine qu’il envahit progressivement, au moyen d’une énorme excroissance d’écorce et d’aubier dont il enveloppe la partie saillante du bloc, comme s’il voulait l’engloutir et l’absorber tout entier dans son tronc. » Denecourt, 18e édition, 1876. http://www.fontainebleau-photo.com/2010/09/rochers-du-mont-ussy-sentier-denecourt.html] Poursuivons par le chemin de droite dirigeons nous vers un chêne, laissons les rochers d’escalades sur la gauche poursuivons le sentier de droite dans les fougères. Passons devant deux pins jumelés coupons le sentier bleu poursuivons en face le sentier dans les fougères en passant sous un arbre tombé et en appuis sur un rocher. On rencontre un chemin et l’on va à droite, le sentier s’élargit, fait un virage sur la gauche pour passer entre les hêtres, nous arrivons au carrefour avec la route bitumée permettant l’accès au parking.
fourche, nous prenons à gauche longeons les blocs rocheux. Laissons les rochers sur la gauche descendons sur la droite vers un rocher situé au milieu du passage nous faisons un esse gauche droite gauche laissons sur la gauche les sentiers d’escalades et prenons à droite dans les fougères. Laissons un sentier sur la droite et l’on s’incline plutôt sur la gauche le sentier s’élargit devient un peut plus agréable nous longeons des rochers d’escalade et passons devant la marque bleu N°37 dirigeons nous vers le hêtre dont le tronc est creux. Sur un rocher nous avons une marque bleu N°33 laissons des rochers sur la droite et poursuivons le sentier sur la gauche. A la fourche laissons le chemin de gauche prenons celui de droite , nous avons de petits rochers puis nous arrivons sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Laissons les rochers sur la gauche et suivons le sentier sur la droite dirigeons nous vers le rocher incliné, passons entre les deux rochers ou nous trouvons une marque jaune ° 19. Nous débouchons sur un sentier prenons à gauche contournons les rochers sur la droite nous devons arriver dans une zone rocheuse un peu en arc de cercle nous trouvons un hêtre à six branches entourant les rochers et un autre creux gravé d’un NJ. Sur la gauche nous trouvons un chêne dont le tronc commence à manger le rocher. Je vais jouer au Denecours et ce sera mon chêne des fées à moi. [ Je reprends la légende du chêne des fées, du Mont Ussy qui à plus ou moins disparu ayant fortement souffert durant la tempête de 1999 pour un chêne presque
semblable. Il a encore beaucoup du travail pour lui ressembler, mais il est encore jeune. Denecourt le remarque en 1876 on peut dire qu’il est mort en 2000 à 124 ans, mais il était certainement bien plus vieux que cela. Celui du canon me semble bien partie pour lui ressembler. [Ne dirait-on pas qu’un pouvoir magique a présidé à sa croissance ? Cet arbre, vigoureux et touffu, semble n’avoir ni souche, ni racines. Son tronc, comme un fût de colonne dressée sur son socle, pose tout entier sur une roche dont la surface est lisse et très inclinée ; on croirait qu’il va glisser sur cette pente ; mais les fées qui le protègent l’ont soudé à une roche voisine qu’il envahit progressivement, au moyen d’une énorme excroissance d’écorce et d’aubier dont il enveloppe la partie saillante du bloc, comme s’il voulait l’engloutir et l’absorber tout entier dans son tronc. » Denecourt, 18e édition, 1876. http://www.fontainebleau-photo.com/2010/09/rochers-du-mont-ussy-sentier-denecourt.html] Poursuivons par le chemin de droite dirigeons nous vers un chêne, laissons les rochers d’escalades sur la gauche poursuivons le sentier de droite dans les fougères. Passons devant deux pins jumelés coupons le sentier bleu poursuivons en face le sentier dans les fougères en passant sous un arbre tombé et en appuis sur un rocher. On rencontre un chemin et l’on va à droite, le sentier s’élargit, fait un virage sur la gauche pour passer entre les hêtres, nous arrivons au carrefour avec la route bitumée permettant l’accès au parking.
Bien
compliqué tout cela lorsque l’on a pas de GPS si vous ne désirez pas vous
engager dans cette aventure le plus simple poursuivez la route du Laisser
courre et au carrefour prenez la route de la table du roi sur la gauche
traversez le parking et au carrefour du Lancer prendre à droite (route bitumée
donnant accès au parking. Il est tout à fait possible sur la route du
laisser-courre de prendre le sentier bleu sur la gauche et de traverser le
chaos rocheux du canon jusqu’au affreux escalier que vous descendrez sur la
droite jusqu’au parking prend la route bitumée sur la gauche puis la route du
lancer sur la droite.
Poursuivons tout droit par la route bitumée du Lancer coupons la route ronde D 142 laissons les routes à droite et à gauche. Si vous avez le temps vous pouvez aller voir la mare aux cerfs en prenant la route des vieux rayons sur la gauche (belle mare avec son îlot central et ses cyprès chauves. Le Cyprès chauve ou Cyprès de Louisiane et Cipre en français de Louisiane, est une espèce d'arbres de la famille des Taxodiaceae
originaire du sud-est des États-Unis. C'est une espèce remarquable par son adaptation aux milieux humides. Pouvant atteindre 30 à 50 mètres de haut pour un diamètre de tronc de 2 mètres. L'arbre vit de 300 à 500 ans. Ses Feuilles sont caduques, tombant à la mauvaise saison. Ce dernier caractère est à l'origine du nom de cyprès « chauve. Les cyprès chauves vivant dans les marais se distinguent par la croissance de racines aériennes particulières, les pneumatophores. Ces organes lignifiés, qui peuvent atteindre 1,7 m de haut, émergent du sol ou de l'eau tout autour du tronc. Leur fonction semble être double. D'une part ils assurent la fourniture en dioxygène du système racinaire immergé qui risquerait sans cela l'anoxie ; d'autre part ils permettent une meilleure stabilisation et un meilleur ancrage de l'arbre dans le sol très souvent imbibé d'eau. Wikipédia]
En 2014 je faisais une triste constatation ce n’était qu’un trou boueux qu’en est-il aujourd’hui ?) Revenons sur notre route du Lancer traversons la D 606 poursuivons en face par la route de la Perlure [Petites inégalités qui se trouvent le long des perches et des andouillers de la tête du cerf, du daim, du chevreuil.] Nous retrouvons le GR1 à la route des Ventes Bouchard , poursuivons notre route de la Perlure. Nous coupons la route de Bourgogne [Voie célébre qui va de Paris à Lyon. Empruntée dès
l’antiquité par titus Labienus lieutenant de César, à la tête de quatre légion et ce dirigeant vers Melun. Sous François I elle est utilisée pour les chasses. En 1600 Henry IV la fait aménager pour permettre aux dames de la cour de suivre les chasse en voiture. Peu sure et mal entretenue Louis XIV lui préfère la route de Chailly pour rejoindre Fontainebleau. En 1685 le maître des Eaux et Foret doit faire couper les buissons pour empêcher les brigands de dresser des embuscades.]
pousuivons en face le chemin de Chailly, Coupons la rue Gustave Baudoin et
poursuivons par la route des coureurs avant de rejoindre l’avenue de la foret
remarquer sur la droite la villa du Rocher [Villa
‘’le Rocher’’ ou vécu le ténor Georges Thill (1897-1984) Il réside à Bois le
Roi de 1929 à 1935. L’un des plus grands artistes de son siècle du théâtre lyrique
et l’un des plus aimés du public.]
et sur la gauche une information sur Denecourt [1788-1875 à qui
l’on doit les premiers chemins balisés du monde. Il crée un réseau de 150 km.
Il édite le premier guide du voyageur dans la foret de Fontainebleau.] prenons sur la gauche l’avenue de la foret
puis la rue Pasteur sur la gauche également nous trouvons un sentier intra
muros sur la droite (ruelle de la paix) que nous prenons à droite traverser
l'avenue de Galliéni, Traverser l'esplanade de la gare.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
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