Thomery
février 2018
Sa notoriété est liée principalement à la culture traditionnelle d’un raisin de table, le chasselas de Thomery, selon des techniques particulières le long de murs et un mode de conservation unique.
L’origine
du nom de Thomery serait liée à la venue au viie siècle d’un abbé bourguignon de l’abbaye de Saint-Martin d’Autun appelé saint Médéric dit Médéricus ou Merry qui s’arrêta lors
de son voyage vers la basilique
Saint-Denis dans
une demeure du lieu et guérit des malades, accompagné de Frodulphe, moine de son abbaye. La
maison aurait alors été appelée demeure de Merry, soit Domus Merry, qui aurait progressivement dérivé en
Dommery, puis Tomery, et enfin Thomery
La tradition locale prête à Henri IV un bon mot lors de son séjour dans la zone
de Champagne-sur-Seine. En voyant le coteau de Thomery il déclare :
« Ici tout me rit » (wikipédia).
Le code mobile de cette randonnée est b311971
10 2h00
11mn
4,9 4,5 80 +
Le départ se fait de
Thomery. On trouve facilement de la place autour de l'église [L'église est placé
sous le vocable de saint Amand évêque
de Maastrischt qui évanréalisa la région
vers 630. Elle date du 12ème de style gothique, elle fut
remaniée au 15ème. jusqu'au 17ème l'église
ne comportait que le chœur et la
nef, on a accolé les deux bras du transept
en 1695, les deux bas côté en
1717. La Flèche fut érigée en 1887, en remplacement du précédent menaçant ruine.
La statue de Saint Amant dans la niche fut installé recement. (Panneau
d'information)]. Un autre parking se trouve en bout de la rue de Seine.
Descendre la rue de Seine. Dans le bas de la rue nous trouvons un parking comme indiqué plus haut. En bout du parking nous avons le chemin de halage que nous pouvons prendre sur la gauche. Le balisage jaune prend la rue du bain du roi sur la gauche. Ma trace ne prend pas les bords de Seine [long de 776,6 kilomètres, Sa source se situe à 446 m d'altitude à Source-Seine, en Côte-d'Or, sur le
plateau de Langres. Son cours a une orientation générale du sud-est au nord-ouest. Elle se jette dans la Manche entre Le Havre et Honfleur. Les « sources officielles » de la Seine sont situées sur le territoire de la commune de Source-Seine, sur le plateau de Langres, à une altitude de 446 mètres. Les sources de la Seine sont la propriété de la ville de Paris depuis 1864. Une grotte artificielle a été construite l'année suivante pour abriter la source principale et la statue d'une nymphe symbolisant le fleuve. Cependant, la capitale s'en est désintéressée et la parcelle devrait revenir à la région Bourgogne qui souhaite valoriser le site. Celui-ci abrite également les vestiges d'un temple gallo-romain (actuellement enfouis). Des objets témoignant du culte aux sources du fleuve (Dea Sequana) sont exposés au musée archéologique de Dijon.
Selon la définition
de la confluence, le cours d'eau entrant à une confluence avec le plus
fort débit annuel (module) donne son nom au cours d'eau issu de cette
confluence. Selon cette définition, ce ne serait donc pas la Seine, mais
l'Yonne le cours principal du bassin parisien. En effet, à leur confluent à
Montereau-Fault-Yonne, l'Yonne présente un débit et un bassin versant
supérieurs à ceux de la Seine (respectivement 93 m3/s
et près de 10 800 km2 pour l'Yonne,
tandis que la Seine présente un débit de 80 m3/s
et 10 300 km2). La même situation se
reproduit en amont avec l'Aube dont le bassin versant est de 4 700 km2, avec un débit de 41 m3/s, contre 4 000 km2
et 33 m3/s pour la Seine. C'est donc pour
une question culturelle et historique que l'on parle du bassin de la Seine.
Cette situation se rencontre aussi entre la Saône et le Doubs. Wikipédia] Pour la
simple raison que nous sortons des
inondations, le fleuve est encore haut et parfois dans les points bas l'eau se trouve encore sur la rive et les jardins. Nous longeons des maisons et arrivons sur un espace vert le balisage jaune prend à droite et suis la rive par la gauche. Impossible pour moi en se jour, hors mi de le faire à la nage mais l'eau est boueuse, froide avec beaucoup de courant. .. La rue tourne sur la gauche et change de nom elle devient Sadi Carnot que nous prenons à droite. Je ne suis pas mécontent d'avoir suivi la rue, cela permet de voir un peu les façades des maisons du village. Nous arrivons au port d'Effondré
[L’existence du port est attestée dès 1380. Au 16ème siècle, on y cherche des briques, de la briqueterie d'éffondré à destination de Paris. Au 18ème ce sont des pommes chargé le soir pour accoster à Paris au matin, plus tard les pommes furent remplacés par le raisin de Chasselas. Afin de faciliter le chargement en 1846 le port est pavé. Vers 1860 les viticulteurs abandonnent la voie fluviale pour le train. (Panneau d'information)]. J'aime bien ce passage de Thomery. La rue devient général de Ségur. Nous arrivons à l'entrée du château de la Rivière. Château que nous ne verrons pas. Pour l’apercevoir, il faut être sur la Seine [Construit par un familier d'Henri IV, Il appartiendra au comte de Toulouse, puis à son fils le duc de Penthièvre qui fera construire u' pavillon au fond du parc ou il pourra entreposer sa collection d'horloges et de chronomètres. A plusieurs reprises, Louis XV est venu au château de la Rivière, et on sait avec certitude qu'il y a séjourné en 1727 et en 1732. C'est à l'occasion
de l'un de ces voyages, en 1726, qu'à été
pavé le départ du chemin qui va du château de la Rivière au château de Fontainebleau, et que nous connaissons sous le nom d'Allée du Pavé du Prince. A ce moment, c'est-à-dire en 1792, Thomery devient Commune du département de Seine et Marne, avec un Président du Conseil Général (ultérieurement appelé maire). Mais après l' Empire, l'influence des châtelains de la Rivière allait réapparaître ; les deux propriétaires successifs du château son : en 1816, François Boursier, et en 1828, le Général De Ségur. Après lui, le château devient la propriété du Comte Henri Greffülhe, apparenté à la famille Ségur. Ce Comte Henri Greffülhe a donné son nom à la place de l'église de Thomery, pour avoir fait don à la commune de terrains lui appartenant, dans l'environnement immédiat de l'église.Thomery.com] Nous prenons l'allée des princes bitumée dans sa première partie puis pavé [C'est en 1726, qu'à été pavé par le conte de Toulouse le départ du chemin qui va du château de la Rivière au château de Fontainebleau, et que nous connaissons sous le nom d' Allée du Pavé du Prince.]
Nous grimpons vers la foret par la route des princes. Nous arrivons au carrefour des forts de Thomery [Fort, n'est pas pris dans le sens de fortifications mais dans celui d'un endroit difficile d'accès ] traversons la D 137 et prenons en face la route des fraillons, nous sommes toujours sur le balisage jaune. Nous arrivons carrefour de la fosse aux Boulins continuons en face toujours la route des fraillons. Nous arrivons au grand carrefour Duchatel, prenons en face la route permettent de rejoindre la gare de Thomery [Je ne sais plus ou j'ai lu cette histoire : mais la gare se trouve si éloigné du village en raison de la crainte des viticulteurs pensant que le chemin de fer fonctionnant au charbon. Ils pensaient (et aujourd’hui on dirait qu’ils avaient raisons ; que la fumée viendrait polluer le merveilleux muscat. En 1866 le transport du raison se faisait par voie d'eau.] Empruntons le passage souterrain et poursuivons le chemin jaune, nous arrivons au carrefour du fraillons et prenons sur la gauche la route du rocher d'Avon. Nous coupons la route de Bourgogne [Voie célébre qui va de Paris à Lyon. Empruntée dès l’antiquité par titus Labienus lieutenant de César, à la tête de quatre légions et ce dirigeant vers Melun. Sous François I elle est utilisée pour les chasses. En 1600 Henry IV la fait aménager pour permettre aux dames de la cour de suivre les chasses en voiture. Peu sûre et mal entretenue Louis XIV lui préfère la route de Chailly pour rejoindre
Fontainebleau. En 1685 le maître des Eaux et Foret doit faire couper les buissons pour empêcher les brigands de dresser des embuscades.] Après la route le chemin fait fourche nous prenons la branche de gauche route de la curée (Terme de chasse à courre). Nous débouchons le long du talus de la SNCF. Nous prenons le chemin longeant la voies ferrée sur la droite, puis le pont sur la gauche, derrière le pont ce n'est pas très clair, il faut prendre à droite puis le chemin de gauche nous entrons dans la forêt communale coupons le chemin des hêtres, et prenons en face le chemin de By. Nous sommes entre deux clôtures, les parcelles de jardins sont plus ou moins entretenues.
Nous débouchons rue Rosa Bonheur que nous prenons à gauche. Lorsque nous arrivons à l'école nous avons sur la droite un sentier intra muros, mais avant de le prendre poursuivons la rue jusqu’à cette drôle de constructions en briques ; la maison de rosa bonheur [née à Bordeaux en 1822, elle connaît très jeune la célébrité comme artiste peintre ce son surtout des animaux qui l'inspire. Elle s'installe à By en 1860 dans une demeure qui fut jusqu’à la révolution la résidence occasionnelle des seigneurs de By. Elle y aménagé deux ateliers (extraire panneau d'information)].Revenons au groupe scolaire et
prenons sur la gauche le chemin intra muros (sur la carte il n'existe pas complètement.) Nous débouchons rue du 14 juillet que nous prenons à droite, nous retrouvons sur notre gauche un sentier intra muros que nous prenons, nous laissons deux chemins sur la droite (roches à Robin et de la source.) Notre chemin un peut plus large tourne sur la gauche, un passage qui ne figure pas sur lacarte permet de continuer tout droit puis d'être à flanc de colline, « à moins que la carte soit fausse » et que ce soit malgré tout le chemin de la source. Nous avons de belles vues sur la Seine. Remarquer tout ces petits murs. Imaginez aux pieds des cèpes de vignes.
Nous regagnons la rue de Belle vue que nous prenons à droite puis nous arrivons à une fourche nous prenons à gauche le chemin des grands clos, long chemin toujours balisé de jaune. Sur la carte ce chemin est sans issus , mais il serpente entre les murs pour remonter dans la rue des charbonnieres que nous prenons à gauche.
Nous débouchons rue de By, que nous prenons à gauche sur quelques centaines de mètres puis un nouveau sentier intra muros sur la droite. Attention la carte est fausse un clos à dû être donné au domaine public, nous avons un mur isolé entre deux tapis vert. Le chemin tourne à angle droit nous prenons le chemin des longs sillons, il serpente droite gauche entre les murs à chasselas [À la fin du XIX ème siècle la production de chasses est de 800 tonnes expédié sur Paris grâce au port d'éffondré. La production fit la richesse du village jusqu’à la seconde guerre mondiale.] Pour déboucher rue de de la République. Descendons cette rue, et dans le bas nous trouvons le syndicat d'initiative avec comme déco une illustration de la conservation des grappes de raisin. Sur la droite une belle maison 1900. Prenons sur la gauche la rue de la place Greffulhe contournons l'église par la gauche. Nous trouvons une information sur les serres de Salomon [producteur de fruits de luxe et pépiniéristes possédant un catalogue de 3000 variétés de vigne. C'est ici qu’en 1861 fut construite les premières serres de forçage permettant d'avoir du raisin toute l'année. Dans l'une des serres conservée on voit encore les tuyaux de chauffage.] Ressortons par le même chemin et nous retrouvons notre parking soit autour de l’église ou en prenant la rue de Seine.
inondations, le fleuve est encore haut et parfois dans les points bas l'eau se trouve encore sur la rive et les jardins. Nous longeons des maisons et arrivons sur un espace vert le balisage jaune prend à droite et suis la rive par la gauche. Impossible pour moi en se jour, hors mi de le faire à la nage mais l'eau est boueuse, froide avec beaucoup de courant. .. La rue tourne sur la gauche et change de nom elle devient Sadi Carnot que nous prenons à droite. Je ne suis pas mécontent d'avoir suivi la rue, cela permet de voir un peu les façades des maisons du village. Nous arrivons au port d'Effondré
[L’existence du port est attestée dès 1380. Au 16ème siècle, on y cherche des briques, de la briqueterie d'éffondré à destination de Paris. Au 18ème ce sont des pommes chargé le soir pour accoster à Paris au matin, plus tard les pommes furent remplacés par le raisin de Chasselas. Afin de faciliter le chargement en 1846 le port est pavé. Vers 1860 les viticulteurs abandonnent la voie fluviale pour le train. (Panneau d'information)]. J'aime bien ce passage de Thomery. La rue devient général de Ségur. Nous arrivons à l'entrée du château de la Rivière. Château que nous ne verrons pas. Pour l’apercevoir, il faut être sur la Seine [Construit par un familier d'Henri IV, Il appartiendra au comte de Toulouse, puis à son fils le duc de Penthièvre qui fera construire u' pavillon au fond du parc ou il pourra entreposer sa collection d'horloges et de chronomètres. A plusieurs reprises, Louis XV est venu au château de la Rivière, et on sait avec certitude qu'il y a séjourné en 1727 et en 1732. C'est à l'occasion
de l'un de ces voyages, en 1726, qu'à été
pavé le départ du chemin qui va du château de la Rivière au château de Fontainebleau, et que nous connaissons sous le nom d'Allée du Pavé du Prince. A ce moment, c'est-à-dire en 1792, Thomery devient Commune du département de Seine et Marne, avec un Président du Conseil Général (ultérieurement appelé maire). Mais après l' Empire, l'influence des châtelains de la Rivière allait réapparaître ; les deux propriétaires successifs du château son : en 1816, François Boursier, et en 1828, le Général De Ségur. Après lui, le château devient la propriété du Comte Henri Greffülhe, apparenté à la famille Ségur. Ce Comte Henri Greffülhe a donné son nom à la place de l'église de Thomery, pour avoir fait don à la commune de terrains lui appartenant, dans l'environnement immédiat de l'église.Thomery.com] Nous prenons l'allée des princes bitumée dans sa première partie puis pavé [C'est en 1726, qu'à été pavé par le conte de Toulouse le départ du chemin qui va du château de la Rivière au château de Fontainebleau, et que nous connaissons sous le nom d' Allée du Pavé du Prince.]
Nous grimpons vers la foret par la route des princes. Nous arrivons au carrefour des forts de Thomery [Fort, n'est pas pris dans le sens de fortifications mais dans celui d'un endroit difficile d'accès ] traversons la D 137 et prenons en face la route des fraillons, nous sommes toujours sur le balisage jaune. Nous arrivons carrefour de la fosse aux Boulins continuons en face toujours la route des fraillons. Nous arrivons au grand carrefour Duchatel, prenons en face la route permettent de rejoindre la gare de Thomery [Je ne sais plus ou j'ai lu cette histoire : mais la gare se trouve si éloigné du village en raison de la crainte des viticulteurs pensant que le chemin de fer fonctionnant au charbon. Ils pensaient (et aujourd’hui on dirait qu’ils avaient raisons ; que la fumée viendrait polluer le merveilleux muscat. En 1866 le transport du raison se faisait par voie d'eau.] Empruntons le passage souterrain et poursuivons le chemin jaune, nous arrivons au carrefour du fraillons et prenons sur la gauche la route du rocher d'Avon. Nous coupons la route de Bourgogne [Voie célébre qui va de Paris à Lyon. Empruntée dès l’antiquité par titus Labienus lieutenant de César, à la tête de quatre légions et ce dirigeant vers Melun. Sous François I elle est utilisée pour les chasses. En 1600 Henry IV la fait aménager pour permettre aux dames de la cour de suivre les chasses en voiture. Peu sûre et mal entretenue Louis XIV lui préfère la route de Chailly pour rejoindre
Fontainebleau. En 1685 le maître des Eaux et Foret doit faire couper les buissons pour empêcher les brigands de dresser des embuscades.] Après la route le chemin fait fourche nous prenons la branche de gauche route de la curée (Terme de chasse à courre). Nous débouchons le long du talus de la SNCF. Nous prenons le chemin longeant la voies ferrée sur la droite, puis le pont sur la gauche, derrière le pont ce n'est pas très clair, il faut prendre à droite puis le chemin de gauche nous entrons dans la forêt communale coupons le chemin des hêtres, et prenons en face le chemin de By. Nous sommes entre deux clôtures, les parcelles de jardins sont plus ou moins entretenues.
Nous débouchons rue Rosa Bonheur que nous prenons à gauche. Lorsque nous arrivons à l'école nous avons sur la droite un sentier intra muros, mais avant de le prendre poursuivons la rue jusqu’à cette drôle de constructions en briques ; la maison de rosa bonheur [née à Bordeaux en 1822, elle connaît très jeune la célébrité comme artiste peintre ce son surtout des animaux qui l'inspire. Elle s'installe à By en 1860 dans une demeure qui fut jusqu’à la révolution la résidence occasionnelle des seigneurs de By. Elle y aménagé deux ateliers (extraire panneau d'information)].Revenons au groupe scolaire et
prenons sur la gauche le chemin intra muros (sur la carte il n'existe pas complètement.) Nous débouchons rue du 14 juillet que nous prenons à droite, nous retrouvons sur notre gauche un sentier intra muros que nous prenons, nous laissons deux chemins sur la droite (roches à Robin et de la source.) Notre chemin un peut plus large tourne sur la gauche, un passage qui ne figure pas sur lacarte permet de continuer tout droit puis d'être à flanc de colline, « à moins que la carte soit fausse » et que ce soit malgré tout le chemin de la source. Nous avons de belles vues sur la Seine. Remarquer tout ces petits murs. Imaginez aux pieds des cèpes de vignes.
Nous regagnons la rue de Belle vue que nous prenons à droite puis nous arrivons à une fourche nous prenons à gauche le chemin des grands clos, long chemin toujours balisé de jaune. Sur la carte ce chemin est sans issus , mais il serpente entre les murs pour remonter dans la rue des charbonnieres que nous prenons à gauche.
Nous débouchons rue de By, que nous prenons à gauche sur quelques centaines de mètres puis un nouveau sentier intra muros sur la droite. Attention la carte est fausse un clos à dû être donné au domaine public, nous avons un mur isolé entre deux tapis vert. Le chemin tourne à angle droit nous prenons le chemin des longs sillons, il serpente droite gauche entre les murs à chasselas [À la fin du XIX ème siècle la production de chasses est de 800 tonnes expédié sur Paris grâce au port d'éffondré. La production fit la richesse du village jusqu’à la seconde guerre mondiale.] Pour déboucher rue de de la République. Descendons cette rue, et dans le bas nous trouvons le syndicat d'initiative avec comme déco une illustration de la conservation des grappes de raisin. Sur la droite une belle maison 1900. Prenons sur la gauche la rue de la place Greffulhe contournons l'église par la gauche. Nous trouvons une information sur les serres de Salomon [producteur de fruits de luxe et pépiniéristes possédant un catalogue de 3000 variétés de vigne. C'est ici qu’en 1861 fut construite les premières serres de forçage permettant d'avoir du raisin toute l'année. Dans l'une des serres conservée on voit encore les tuyaux de chauffage.] Ressortons par le même chemin et nous retrouvons notre parking soit autour de l’église ou en prenant la rue de Seine.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire