dimanche 2 décembre 2018

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 531 & 5 Etape 76 Le Hohneck (Smarguth) -Le Markstein


Randonnée Le Plus Loin Possible 2018  Etape 76  Le Hohneck (Smarguth) -
Le Markstein


Je n’ai pas de chance avec les Vosges, le mois dernier c’est mon GPS qui me lâche, ce mois ci c’est mon téléphone et les 300 commentaires sur cette semaine de rando. Je suis dans l’impossibilité de vous décrire les petits détails de mon itinéraire. Vous trouverez dans l'article "Colmar" l'explication des divers signes, logos et couleurs utilisés par le club vosgien pour baliser leur sentiers. Dans les Vosges vous ne retrouverez pas la trace des GR sur les cartes IGN, sur le terrain vous ne retrouverez pas non plus le classique balisage Rouge et Blanc que l'on retrouve dans toute la France.

 
Le code mobile de cette randonnée est b311590
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

mardi 28 aout 2018

Smargult- Le Markstein 

 (Dans l'article Colmar vous trouverez à quoi correspond les cercles, les ronds, les rectangles, triangles et autres signes de couleur que l'on rencontre sur le parcours.)

km     arret     temps    V/d    V/g    dénivelé    alti max
26      6:00      1:45      4,4     3,4       1026         1285

Attention c'est une étape technique. Il faut faire très attention, ou l'on met les pieds.
 Il faut être sûr de ses jambes. Il faut être sûr de ses chaussures.
Pour les parisiens il serait bon de faire quelque fois les milles (sentier des 25 bosses) Mais attention en suivant le balisage, sans éviter les rochers. S'entraîner à garder l'équilibre en sautant de rocher en rocher. 

 
Le départ se fait depuis ma ferme auberge mais il y en aura trois sur notre parcours plus l'hôtel au sommet du Hohneck. On a donc le choix du couchage.
Je prends la petite route décernant l'hôtel et poursuit ma route balisé de ronds bleu. Nous abandonnons le balisage des qu’il se dirige vers le barrage du lac de la Lande se trouvant un peu plus bas. Poursuivons le bitume et débouchons sur la route des hautes Chaumes, que nous prenons à gauche, après la courbe, nous rencontrons la D 430 que nous prenons à droite jusqu'à la ferme auberge de Breitsouze. Passons devant l’établissement et prenons juste après la route privé, je dirais plutôt un très beau chemin carrossable, sur la gauche menant à la ferme auberge de Kastelbergwasen. Sur cette route, nous rencontrons des balisages 

locaux dont le Gr 531 qui poursuit sa trace en empruntant le chemin carrossable. Nous arrivons à la ferme auberge, traversons le parking, puis descendons vers l'entrée, nous trouvons sur la gauche un sentier et le balisage bleu. Passons un tourniquet, le sentier est à flanc de montagne et l'on découvre en contre bas une belle vallée. C’est la vallée du Langenwasen. Remarquer la petite église, on la voit bien, les murs sont blanc relevés par des angles de grès rouge, ce qui la rend un peu austère. Un peu carré. Regardez la bien et notez l'heure à laquelle vous la voyez. Après un bois nous arrivons aux chalets de Kebholz. C’est ici ou les ennuis commencent. Le SPITZKOEPFE "
: tout un symbole, dans un seul et unique nom !! Sur la carte il y a bien des chemins qui évitent le secteur du Spifzkoepfe, mais ne sont ils pas pires que le chemin aménagé. Attention, je ne veux pas vous faire peur, j’y suis passé avec mon sac de 14 kg sur le dos… Ai- eu de la chance ? Les rochers étaient secs malgré la pluie d’hier. Il vaut mieux le savoir avant de partir (je ne le savais pas, et si j’avais su… Aurais-je pris le risque ?) Je marche seul, et je ne suis pas un risque tout, je ne souhaite pas faire appel au secours pour avoir pris un risque. D’un autre coté je n’achète pas de topo guide et lorsque je regarde la carte je n’ai qu’un pierrier à 

passer. Le GR 5 faisant les crêtes en passant par le Petit Hohneck puis descendant vers le lac de Schiessrothried est peut être un peut plus praticable… Si vous passez par le 531 vous prenez un risque en toute connaissance de cause. Je ne puis être responsable, en cas d'accident, je vous ai prévenu et donner une autre solution.  Voici ce que l’on trouve sur internet et qui corrobore avec mon impression. [Située au sud du Hohneck et au nord-est du Kastelberg, elle fait office de séparation entre les cirques du Worsmpel au nord et de l'Ammelthal au sud. La traversée des Spitzkoepfe peut se faire en empruntant un sentier non balisé (Je pense qu’ici il parle des traits sur la 
carte situé en limite des rochers) qui longe le flanc nord-est de l'arête sur une grande partie du parcours ou en passant par l'arête rocheuse, ce qui nécessite alors du matériel d'escalade. La traversée reste cependant assez difficile et on dénombre plusieurs accidents mortels. Wikipédia. Si vous restez sur les crêtes du Hohneck ne pas se tromper de chemin et rester su le GR 5. fuyez le triangle bleu.] Nous voilà prévenu. Même si cela s’adresse plutôt aux grimpeurs, voici le récit d’un alpiniste. Il s'agit en fait, d'une monumentale crête rocheuse, en granit gris, dans le prestigieux massif du Hohneck (altitude maximale : 1366 mètres). Longue de 1200 mètres et haute de 120 mètres (dans sa plus grande hauteur, paroi Sud !), la crête des Spitzkoepfe constitue un site naturel et sauvage de choix, pour les 

grimpeurs aventuriers et aguerris, mais également, pour les (rares !) randonneurs, amateurs de sensations très fortes et de crapahutage difficile !
Le site des Spitzkoepfe est localisé au Sud du dôme du Hohneck et de la sauvage combe du Wormspel (qui en son fond, contient le joli lac du Schiessrothried, altitude 930 mètres). Occupant l'angle Nord-Est du grand massif du Kastelberg (1350 m), les Spitzkoepfe s'élancent vers les cieux en sept arêtes alignées, dont celles étant les plus proches de la vallée sont les plus hautes et les plus spectaculaires ! La falaise Sud arbore une hauteur totale absolument terrifiante, avec quelque 120 
mètres, pour se finir, à sa base, par un énorme pierrier (attention, risques d'éboulements permanent, il y a déjà eu plusieurs morts, dans la pratique de l'escalade sur ce site ! ). Mais d'ici, les sentiers menant au pied des Spitzkoepfe sont beaucoup plus longs et difficiles, que si vous partez depuis le Hohneck ... Depuis le Hohneck, vous dégringolerez dans le sauvage vallon glaciaire du Wormspel, via le sentier balisé du triangle bleu, pour débouler au fond, sur les berges du lac du Schiessrothried. Depuis le Kastelbergwasen, par contre, il vous faudra tout d'abord rejoindre la chaume du Kerbholz (1073 m), puis d'ici, opter pour l'une des deux solutions envisageables : soit prendre l'accès direct et difficile par le GR531 (rectangle bleu), (c’est ici que se trouve les chalets ou je marque une pose pour réfléchir) via l'humide et encaissé vallon glaciaire de l'Ammelthal impraticable en hiver ou par temps humide (zones de rochers glissants et aériens, de marécages cachés et de pierriers instables ! Le cheminement est très ardu, sportif, athlétique même, mais la beauté inouïe de la forêt de l'Ammelthal aura tôt fait de vous ensorceler et de vous enchanter ! Vos jambes seront mises à très rude épreuve, avec des passages périlleux et techniques, exigeant beaucoup de cran, de souplesse et d'équilibre 
(marches taillées, pointes métalliques, mains courantes, et pire encore, pas moins de deux énormes pierriers : pour ceci, fiez-vous bien aux marques peintes sur certains rochers-éboulis (ils sont signalés d'un rectangle rouge et vous montreront le meilleur chemin à suivre, dans ce dédale de pierres granitiques instables, mortelles ... ). Regardez toujours bien où vous mettez vos pieds et ne traînez pas trop, en vous aventurant dans de tels environnements : les risques d'éboulements et même d'avalanches (en hiver, le sentier est interdit, fort heureusement !!! ), sont omniprésents et il y a déjà eu plusieurs morts, dans ce secteur du massif du Hohneck et du Kastelberg ... Personnellement, je vous 
déconseille fortement, de vous aventurer ici avec de jeunes enfants : leurs survies en dépendront beaucoup et vous seul serez responsable de vos actes ! http://vosges-palatinat.over-blog.com/article-hautes-vosges-spitzkoepfe-alt-1240-m-01-83022448.html] Voilà c’est écrit par un spécialiste, je n’ai pris que les extraies de la marche d’approche. Il est vrai que je ne pensais pas trouver cela dans les Vosges. Il me semblait que seul le dénivelé journalier était problématique pour le randonneur de plaine que je suis.
Vous connaissez les risques, je vous ai donnée un autre itinéraire, je ne puis être responsable en cas daccident. Revenons à l’itinéraire.
Le balisage tourne à quatre vingt dix degrés à gauche. Une pancarte nous indique chemin dangereux risque de chutes de pierre, mais il n'y a pas que cela, il est dangereux tout cour, et heureusement qu'il est aménagé par des filins en guises de rampe, des cales pieds en tôle sur des rochers trop en dévers, il faut passer sur
des rochers et de rochers en rochers qui parfois brandouilles un peu et il ne faut pas perdre l'équilibre. Je n'écris pas cela pour que vous fassiez demi tour mais  
soyer sur de vos chaussures et de vos jambes.  La foret est belle mais je n’ai pas trop eu le loisir de l’apprécier. Peut être une prochaine fois. Je pense même qu'il est très dangereux par temps de pluie. Il vaut mieux le savoir avant. Peut être que le Gr 5 est plus simple, mais de mon gîte il faut remonter sur le Honneick. Enfin si je m’étais renseigné, je ne serais certainement pas passé par là. Une partie de l’itinéraire se fait dans une belle foret de hêtres, puis cela commence à ce compliquer, nous trouvons des rampes en tube fixé au rocher, des lisses de survie nous aident à franchir des rochers ou des passages en aplomb. On à de quoi se tenir et de quoi poser le pied, parfois grâce a des aménagements. Il faut être sur de soit. A un moment des fiches sont plantées dans le rocher avec le vide en 
Les aiguilles dans les nuages
 dessous. Ce n’est que quatre pas mais je me suis bien demandé qu'elle était le pied qu’il fallait mettre en premier...J’ai fait plusieurs essaies, sans me lancer. J’ai même étudié une autre solution par un coté terreux sur le coté des rochers. Mon ange gardien m’a dit ; c’est la mauvaise solution… J’en suis revenu aux fiches plantées part le club vosgien. 
 
















 
Pied gauche, pied droit, faut ce lancer. Un conseil serrer votre sac à dos le plus possible, qu’il face corps avec vous, il faut tout de même être libre de ses mouvements et pouvoir respirer librement. Notre calvaire n'est pas fini il faut traverser le pierrier, alors ce ne  
sont pas les pierriers des Alpes avec ses petits galets qui roulent à chaque pas, ce sont de gros cailloux, certain un peu bancale, d'autres pointus, il faut juste être sur ou vous posez le pied. Ne pas rester sous cette paroi abrupt on est prévenu dès l’entrée il y a risque de chutes de pierres.
     
     


 

  
Après ce premier passage difficile nous sommes récompensés par un belvédère, ou on aperçoit en contre bas le tout petit lac de Fischboedle dans cette vallée très fermé.Je tiens à vous dire que l'on n’avance pas trop vite sur ce parcours. Nous arrivons au lac barrage de Schiessrothried. [C’est un petit lac du versant alsacien des Vosges, d'origine glaciaire. Ses eaux rejoignent la Fecht par un petit affluent gauche, le Wormsabachrunz. Au pied du Hohneck, il n'était à l'origine qu'une tourbière surcreusée et devint réellement un lac par l'édification d'un petit barrage fort discret, ce qui fait croire 
 à beaucoup qu'il est d'origine naturelle. L'objectif du barrage était de réguler le flot des eaux vers les usines de textile et les scieries de la vallée de Munster, dont la plupart étaient alimentées en électricité de façon autonome. Ouvrage, construit dans les années 1887 à 1893 
sur le Wormsabachrunz, est de type barrage poids en remblais, constitué d’une digue composite en terre avec masque amont en maçonnerie. La hauteur maximale de l’ouvrage au-dessus du terrain naturel est de 12,50 mètres. La crête, située à l'altitude de 930 
mètres, a une longueur de 150 mètres et une épaisseur de 6 mètres. Wikipédia.] Nous rencontrons le Gr 5, et prenons à droite sans franchir le barrage, longeons le ruisseau du barrage. Le sentier descend en zigzaguant il n'est pas facile et l'on doit encore faire attention ou l'on doit mettre les pieds. Nous arrivons au second lac, [Le Fischboedle est un petit lac du versant alsacien des Vosges dans la vallée de la Wormsa. D'origine glaciaire, ce lac a été rehaussé vers 1850 par le manufacturier munstérien Jacques Hartmann pour servir de réserve à poissons, d’où son nom (fisch = poisson, boedle = bourbier ou dépression marécageuse). 
Il est traversé par le ruisseau Kaltenbrunnenrunz provenant du vallon de l'Ammelthal et affluent du Wormsabachrunz qui forme la cascade du Wasser-Felsen en amont du lac. Wikipédia] En réalité c'est le premier lac tout petit, que nous avons vu du belvédère. Nous prenons le large chemin sur la gauche permettant aux pêcheurs de venir en voiture. Nous passons une petite cascade et une drôle de borne en forme d’ogive. Ensuite nous quittons cette belle l'allée pour un sentier sur la droite. Encore un sentier un peu facile, car très caillouteux, encore des pierriers et de nombreux petits ponts en rondins (il me semble que c’est également ici qu’il y a des platelages métalliques, pas grand-chose, deux à trois 
mètres de long.) J’ai rencontré dans cet endroit des randonneurs totalement épuisés se rendant au lac. Je n’ai pas mis d’esse à lac, parce qu’ils mon demandés s’il était encore loin et à ma réponse ils mon dit le premier suffira et y a-t-il un autre chemin ? Heureusement qu’au premier lac un pécheur aura put leur donner ce renseignement. Le chemin n’est pas facile mais n’a rien à voir avec ce que nous avons déjà fait. Enfin nous débouchons sur une bonne allée forestière que nous prenons à droite, vers la premier maison nous n'aurions fait que 8 km en un peut moins de trois heures. Ce qui montre que le chemin n’est pas facile. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té. Nous prenons à droite, c'est une route carrossable nous arrivons à Mittlach, par le chemin de la Wormsa longeons  
la rivière de la Fecht et débouchons dans la rue principale (Rue Erbersch) que nous prenons à gauche, traversons la rivière, nous rencontrons la D106que nous prenons à droite (Rue Raymond Poincaré) et passons devant une église. Elle ne vous rappelle rien cette église ?  Souvenez vous tout a l’heure, la haut à la ferme Katelbergwasen, hé oui, c'est la même. Lorsque l’on se retourne 
on se dit mais ce n’est pas possible d’être parti de là haut. Poursuivons la départemental, coupons la rivière. Nous passons le parking. A la sortie du village, le Gr 5 prend un sentier sur la droite et monte dans la foret en direction du Herrenberg. Au départ la monté est tranquille nous sommes au milieu du parcours sportif avec quelques sculptures sur souches, et quelques pancartes botaniques sur les arbres environnant. Nous coupons une route, le sentier devient de plus en plus raide et serpente sur la face sud de la montagne. Notre sentier débouche sur une allée forestière que nous prenons à droite, puis poursuivons le sentier partant sur la gauche. Nous serpentons 

toujours, retrouvons notre allée forestière que nous coupons pour suivre notre sentier en face qui grimpe en serpentant fortement. Nous débouchons sur un espèce de plateau crée par le virage de la route formant une esplanade avec un banc et un point de vue magnifique sur la vallée de Mittlach et peut être même jusqu'a Munster. C'est magnifique. Laissons un chemin sur la droite poursuivons l’allée forestière que nous prenons tout droit (notre sentier débouche dans un virage) nous rencontrons une autre route forestière arrivant en angle fermé sur 
notre droite poursuivons tout droit et à la fourche, nous prenons à droite et on continue de grimper doucement. Le chemin continue de monter et débouche dans une prairie. Passons la clôture et l'on est bien content d'être arrivé en haut (ou presque). Traversons cette pâture ou le chemin n’est plus trop marqué. Nous longeons en remontant sur la gauche les fils de fer barbelés. La sortie de la prairie se fait par un tourniquet et prenons la route carrossable sur la gauche. Il y a un point que je n'ai pas compris… Le Gr 5 s'en va sur la droite en direction des crêtes, la pancarte ne nous parle plus de "Huss". Ma trace monte encore, ne prend pas à droite, puis longe la route des crêtes par la gauche. C'est un gros dilemme, je suis fatigué il me reste encore pas mal de kilomètres à faire, je ne veux pas me rallonger non 
plus. Le GR5 partant dans le sens opposé à ma trace. Après réflexion et en regardant la carte, le GR 5 part bien sur la droite en direction de la ferme auberge de Huss (nom que nous avons sur toute les pancartes depuis Mittlach et qui disparaît lorsque l’on en a besoin. C’est à la ferme auberge que le GR tourne sur la gauche.) J’ai certainement coupé par des chemins bien tracés sur la carte pour raccourcir un peu afin de rejoindre mon gîte d’un soir sans trop de kilomètres. Vu ce que j’ai rencontré dans le SPITZKOEPFE je suis bien content d’avoir pris cette initiative devant mon ordinateur. Nous sommes dans les prairies, je décide de suivre ma trace, débouche sur une route ou normalement je devais prendre à 
droite, pour faire un angle aigu et revenir sur mes pas.  Face à moi un chemin existant sur la carte n'est pas clôturé sur le terrain, cela permet de couper la pointe, le seul inconvénient c’est que nous passons de 1224 m à 1272 m. Je poursuis donc tout droit ce chemin herbeux qui monte, on n’est plus à cela près. Je débouche sur un chemin et ma trace, je prends à gauche, on à retrouvé le Gr 5. Le chemin est plus facile que ce matin, et permet de marcher d'un pas assuré. Nous sommes sur les crêtes et le paysage est merveilleux à droite comme à gauche. Derrière le Hohneck on le reconnaît grâce à l'hôtel en son sommet. On se rend compte du chemin parcouru. Nous passons le col d'Hahnenbrunnen et sa ferme auberge, traversons le parking et le chemin part sur 

la gauche après avoir franchi une clôture. Nous longeons la route tout en grimpant, coupons la D 27, poursuivons tout droit. Depuis un petit moment nous apercevons le Grand Ballon et les pancartes nous le mettent à environs quatre heures. Sur ce parcours, le Gr longe la route et je rencontre beaucoup de randonneurs à la journée ou simple de touriste, non équipé profitant du paysage.  Les prairies sont douce et nous avons également le club de modélisme et leur planeurs. Passons la colline d'apprentissage au parachute ascensionnel et me voilà arrivée. Impossible de louper mon gîte, il y a une grosse bulle faisant bar et brasserie sur le parking en bordure de la route des crêtes.

Le plus des photos

Elles ne rentraies pas dans le texte









Du coté de la ferme auberge de Kastelbergwasen.
un fauteuil pour admirer la vallée
                        


C'est de ce point que le chemin commence à être compliqué. Au début on y croit pas trop sauf pour les rochers risquant de ce détacher



On ne voit pas très bien sur la photo de droite, sur place on se rend bien compte que la montagne est déchiré... Que la vallée est profonde et l'on se demande bien ou l'on va passer



Le sentier est un peu moins visible
















Ce monument annonce le Belvédère


Du belvédère lorsque l'on aperçoit les chalets de Kebholz nos ennuies sont terminés



















Les lacs






Le ruisseau et ses cascades
        

Le second lac




























 
Une fois arrivée à ce panneau sans avoir eu de problèmes on est bien content, mais faut-il remercier l'ouverture du sentier aux randonneurs ..?
 















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