Nous partons pour un nouveau cycle de Promenade en Essonne. Le GR 111 remplacé aujourd'hui par quatre boucles.
Aujourd'hui nous réalisons une boucle entre Boissy la Rivière - Méréville
(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.
GR 111E :
Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret
GR
111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)
GR
111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)
GR 111D :
Richarville rejoint Villeconin
GR111C :
Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655 (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655 (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando
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Le code mobile de cette randonnée est b437788
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février 2016
GR 111Boissy la Rivière - Méréville Etape 8
KM Temps Arret V/d V/g dénivelé
29 5 :14 0 :20 5,5
5,2 321 +
Départ de Boissy la Rivière village situé entre Pithiviers et Etampe. Nous trouvons un parking proche de l’église.
Cela se rapporte peut être à une formation géologique. La butte est peut être constitué de terre et de petits silex tout ronds comme des œufs de caille. C’est une idée qui m’est venue en tapant le topo. Je ne me souviens plus comment la colline est constituée hormis qu’il y avait un taillis touffu m’empêchant de voir la Juine.) Nous débouchons sur une route que nous prenons sur la gauche et arrivons à Méréville. Au loin nous apercevons une tour ressemblant à un phare.
Classée
monument historique en 1978, la Tour faisait partie des fabriques du parc du
Château. Elle fut construite entre 1790 et 1792 d'après un dessin d'Hubert
Robert par le Marquis Jean-Joseph de Laborde, dernier seigneur de Méréville,
pour l'alignement de son parc.
Haute de 100 pieds (35m), Un escalier de 199 marches est
aménagée à l'intérieur du fût de la colonne et permet d'accéder à la plateforme
offrant ainsi un beau point de vue sur la Beauce cette colonne fut réalisée par
des maçons spécialement venus du Limousin. A partir de 1793, elle fut utilisée
par Delambre et Bellet pour des opérations de mesures de l'arc du méridien
terrestre. http://www.mairie-de-mereville.fr/decouvrir/un-peu-d-histoire.html & wikipédia. Située dans l'axe direct du château, « la colonne Trajane présente la particularité d'être entièrement composée de pierres identiques à celles ayant servi pour la construction de la cathédrale de Chartres ». L'escalier en colimaçon et son éclairage naturel méritent également le déplacement. « J'ai marqué la 100 e marche pour encourager les visiteurs déjà parvenus à la moitié à continuer », plaisante Jean-Paul Dorat.
Mais la vue du haut de l'édifice récompense les plus courageux. « D'ici, on domine toute la Beauce », assure notre guide, jumelles à la main. http://www.leparisien.fr/mere-78490/une-colonne-trajane-qui-domine-la-beauce-10-08-2009-602943.php]
Cette tour, nous ne la verrons que de loin, notre trace ne
nous y emmène pas. Mais on peut passer devant en voiture. [Méréville :
Merezvilla, Merelisvilla au XIe siècle, Merevillam en
1190, Mereville en 1262.
Au XIe
siècle, le nom de la ville est rendu par le latin Merervilla, ce qui
semble indiquer selon Bernard Gineste, un ancien seigneur du lieu répondant au
nom d'origine germanique Merhier (mar-hari), ou Merila. La
commune fut créée en 1793 avec son nom actuel. "La mère-ville" et
l'interprétation, du nom de la localité[Informations douteuses] ,
donnée par professeur de littérature française Claude Leroy.Au début du XVIe siècle, Louis XII accorde au seigneur local, Bertrand de Reilhac, le droit de tenir quatre foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine. Au XVIIIe siècle le château est racheté, à la veille de la Révolution, par le riche financier Jean-Joseph de Laborde et connaît un grand rayonnement. wikipédia] Entrons en ville et prenons sur notre gauche l’avenue de la République, puis à la fourche sur la gauche l’avenue Pasteur puis à droite la rue Jean Jacques Rousseau et à gauche la rue Victor Hugo, puis à droite et nous longeons la superbe Halle en bois. Je n’ai pas suivi la trace du GR voulant voir l’église sans penser que ce bourg est le départ de l’étape 9 et que je me garerais autour de l’église normalement on y trouve un parking.
[La Halle (XVIe)
Nous ne pouvons pas
être sûrs de la date précise de sa construction, car la plupart des archives
ont été brûlées à la Révolution », émet avec un bémol Bernard Binvel,
président de la Société historique et archéologique du canton de Méréville.
Au début du XVIe
siècle,
Seule certitude : en 1511 Louis XII accorde au seigneur local,
Bertrand de Reilhac, le droit de tenir 4 foires annuelles ainsi qu'un marché
par semaine. Ce dernier fit alors édifier la Halle que l'on peut encore
admirer de nos jours. Ses proportions sont vastes (40m x 18m). Sa charpente et
ses 4 rangées de piliers sont en chêne. L'ensemble repose sur des socles de
pierres. La Halle accueille aujourd'hui de grandes manifestations culturelles http://www.mairie-de-mereville.fr/decouvrir/un-peu-d-histoire.html]
« Il espérait qu'elle devienne une sorte de Rungis.
Mais ce n'est pas ce qui s'est passé », continue l'historienne Raymonde
Autier-Lejosne.
Car si elle a attiré pendant un temps les habitants des alentours pour son
blé,
son foin, ses œufs, ses volailles ou encore ses alouettes. Son histoire est
surtout celle d'un déclin. « Du XVIIe siècle à aujourd'hui, elle n'a
cessé de voir son activité diminuer », précise-t-elle. Beaucoup
d'hypothèses expliquent cette triste destinée : les intempéries et les
incendies détruisant les récoltes et les marchandises; les événements
historiques tels que la Fronde (période de troubles frappant le royaume de 1648
à 1653, pendant l'enfance de Louis XIV) qui a fait d'importants ravages
autour
d'Etampes, la guerre de 1870 ou encore celle de 1940.
Mais aussi la loi du marché. « Méréville est isolé des grands axes de circulation contrairement à d'autres grandes villes, continue la spécialiste. Elle subissait également la concurrence d'Etampes où les commerçants n'avaient pas de taxes à payer. Par ailleurs, sous l'Ancien Régime, elle était affermée à un marchand d'Etampes qui acheminait les blés directement là-bas sans passer par Méréville. »
Les progrès technologiques assènent le coup final. Les camions ne pouvant se garer sous le bâtiment surélevé, le marché est délocalisé, dans les années
1960, derrière la mairie. La halle, qui vivotait depuis 1920, devient
définitivement un lieu de mémoire.
Si son rôle économique a été assez limité, celui de lien social ne l'était pas. « Dans un document de 1860, il est raconté que les saltimbanques, des montreurs d'animaux et des jongleurs y donnaient des spectacles », décrit Bernard Binvel. « Les gens venaient également s'y faire recruter pour la tonte des moutons. On appelait ça le marché aux hommes », ajoute Raymonde Autier-Lejosne. L'historienne ajoute qu'à la libération, Méréville avait fait une publicité pour appâter les touristes. Les Parisiens venaient se ressourcer en logeant à l'hôtel du Parc et se retrouvaient sous la halle pour
des bals.
Une tradition qui, le 26 juin, devrait renaître. Des festivités sont
prévues pour fêter les 500 ans de la halle. La halle couvre
une surface de 720m² (40m x 18m). Sa charpente en chêne est soutenue par 4
rangées de 11 piliers en châne reposant sur des socles de pierre taillée en dé.
C'est Bertrand de Reilhac, par une grâce spéciale de Louis XII en 1511 qui
obtint le droit de tenir 4 foires par an et un marché hebdomadaire. http://www.leparisien.fr/etampes-91150/500-ans-d-histoire-s-sous-la-halle-de-mereville-27-04-2011-1424253.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr
et wikipédia]
Nous descendons par la rue Danton, retrouvons la rue curie et l’avenue de
la
république nous traversons la Juine sur la
gauche un ancien moulin …. Enfin la ruine d’un moulin et encore heureusement que
la carte nous dit que c’est un moulin….. Placé ou il est on se demande comment
la roue était en contacte de l’eau. Sur
la droite un lavoir. Remontons un peu la D 18 et prenons la rue du larris sur la
droite puis le chemin des cressonnières.
[Le
cresson est un des légumes verts les plus riches en minéraux, en anti-oxydants
et en vitamines. Il apporte très peu de calories mais c’est une sorte de
fortifiant naturel en raison de la combinaison de fer et d’acide folique qui
sont tous deux nécessaires à la fabrication des globules rouges et de la
présence de vitamine C qui favorise l’absorption du fer. Autrefois, le
ramassage de cette plante, connue seulement à l’état sauvage, se faisait au
bord des fontaines et ruisseaux, c'est-à-dire aux endroits où le cresson
poussait et se reproduisait naturellement. On ne sait pas trop d’ailleurs, s’il
s’agissait de cresson, de cardamine ou de barbarée, deux espèces assez proches
du cresson. Sa consommation était peu répandue.
Pour avoir réellement connaissance de culture, il faut attendre CARDON,
gestionnaire des hôpitaux de la Grande Armée, se trouvant au quartier général
d’ERFURT (en THURINGE) pendant la campagne napoléonienne de 1809-1810.
S’inquiétant de l’approvisionnement sanitaire des soldats (le scorbut
menaçant), il fut surpris, dit on, de voir un vaste bassin de verdure qui
contrastait avec les champs de neige aux alentours. C’était une cressonnière
exploitée depuis le XVIIe siècle. Il se documenta soigneusement et de retour en
France, eut lui aussi l’idée d’introduire chez nous la pratique de cette
culture. Il créa alors à SAINT-LEONARD, dans l’Oise, entre Senlis et Chantilly,
la première cressonnière désignée comme telle. Il réussit dans son entreprise
et fit des émules.
En 1835, il existait plus de cinquante cressonnières artificielles qui
faisaient vivre au moins 300 familles. C’est en prospectant la région
parisienne, que d’autres pionniers ont essaimé dans les vallées du grand-sud
francilien, et notamment dans les vallées de l’Essonne, de l’Ecole, de la
Chalouette et de la Juine. La culture prospéra, des voitures à cheval
acheminaient le cresson jusqu’aux gares d’où il était transporté tout frais
cueilli vers les Halles de Paris. Là, les mandataires revendaient cette fragile
et précieuse denrée aux enchères montantes. Cette plante, qui est entièrement
dépendante d’une eau de source (ou de forage) indemne de toute pollution, et
riche en oligo-éléments. Elle se cultive dans des fonds de vallées, dans un cadre
généralement préservé et d’une grande beauté. La récolte de la plante n’a pas
beaucoup évolué depuis un siècle et demi. Le cressiculteur doit toujours avoir
les pieds dans l’eau et pour outils : un couteau, des bottes, des liens, etc….
Le ramassage mécanisé en vrac est apparu ainsi que la substitution des berges
en terre par des berges en dur, mais la plus grosse évolution de ces vingt
dernières années est l’apparition du voile de forçage, l’hiver pour protéger du
froid. http://www.cressonnieres.net/histoire.htm
Car si elle a attiré pendant un temps les habitants des alentours pour son
Mais aussi la loi du marché. « Méréville est isolé des grands axes de circulation contrairement à d'autres grandes villes, continue la spécialiste. Elle subissait également la concurrence d'Etampes où les commerçants n'avaient pas de taxes à payer. Par ailleurs, sous l'Ancien Régime, elle était affermée à un marchand d'Etampes qui acheminait les blés directement là-bas sans passer par Méréville. »
Les progrès technologiques assènent le coup final. Les camions ne pouvant se garer sous le bâtiment surélevé, le marché est délocalisé, dans les années
Si son rôle économique a été assez limité, celui de lien social ne l'était pas. « Dans un document de 1860, il est raconté que les saltimbanques, des montreurs d'animaux et des jongleurs y donnaient des spectacles », décrit Bernard Binvel. « Les gens venaient également s'y faire recruter pour la tonte des moutons. On appelait ça le marché aux hommes », ajoute Raymonde Autier-Lejosne. L'historienne ajoute qu'à la libération, Méréville avait fait une publicité pour appâter les touristes. Les Parisiens venaient se ressourcer en logeant à l'hôtel du Parc et se retrouvaient sous la halle pour
Nous descendons par la rue Danton, retrouvons la rue curie et l’avenue de
Nous débouchons rue des Grenouillères que nous prenons à droite nous arrivons dans un carrefour situé dans un virage que nous prenons à droite et au milieu du virage à gauche, le chemin des malmorts. Nous passons devant d’anciennes cressonnières pas de ciment, de grandes fosses peu profondes en terre légèrement en pente avec d’un coté l’arrivée de l’eau et de l’autre la sortie. Laissons un sentier sur la gauche et poursuivons notre chemin non loin de la Juine. Nous débouchons sur un chemin formant Té avec le notre. Quittons le GR 111. Nous prenons la branche de gauche, nous sortons des bois pour retrouver les champs et traversons la D49 au rond point et prenons en face la D 18 vers ‘’Estouche-Pithiviers-Malesherbes’’.
[affluent de la Juine d’une longueur de 7,7km (wikipédia)] quitter le GRP et prendre la rue Fontaine du Faussillon sur la gauche. Au sablon nous quittons la route pour gravir la colline par un chemin dans les bois sur notre droite. Longeons la lisière du bois jusqu'à la D 721 et au hameau de Court Pain Remarqué cette immense bâtisse avec une tour, le tout à l’abandon. Logiquement on aurait du poursuivre en face, il me semble que les propriétaires des maisons ce sont attribués le chemin permettant d’évité la route. Une fois à la maison je vérifie la carte. Si l’on agrandi cette dernière à 50 m nous ne trouvons plus de chemin.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html


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