samedi 2 décembre 2017

Randonnée Le Plus Loin Possible : Etape 66 : Cerville - Moncel lès Lunévile

Etape 66 : Cerville - Moncel lès Lunévile

mercredi 23 aout 2017

 

 Le code mobile de cette randonnée est b310975

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km    Temps    arret    V/d    V/g    dénivelé

32,2   6:13        1:00    5,2      4,6       201+

Drôle de chambre d’hôte… Mes jeunes hôtes sont aux abonnés absents… Absents de convivialité, absent sur l’histoire local, absent sur ce qui ce passe dans leur commune. Il m’a semblé que par ses questions il se moquait un peu de moi… Il m'a pris pour un Hurluberlu, un bobo en mal d'émotions.
Lorsque je m’étonne de son départ pour la chasse en été et en soirée, il me prend de haut en m’affirment que c’est autorisé dans toute la France. La, il me prend pour un écolo anti chasseur. Anti chasseurs, non ils sont utiles... Quoi que... C'est la façon dont la chasse est réalisée qui me déplais. Posté avec rabatteurs cela ne laisse pas beaucoup de chance à l’animal. Je serais partisan pour une chasse improbable et trop dangereuse ce promener avec un fusil sur l'épaule et tirer que si l'on rencontre l'animal. Aléatoire comme chasse et très dangereuse pour les promeneurs... Ce qu’il oublie de dire c’est qu’il faut une autorisation préfectorale … Au lieu de toiser, le petit marcheur parisien qui n'y connait rien, il m’aurait expliqué la réglementation. j’ai tout compris, en regardant les arrêtés préfectoraux. Après avoir fait mes courses dans le seul commerce de  la commune j'ai remarqué au dessus de l'entrée du gîte le blason et une canonnière. Lorsque j'en parle à l'hôtesse elle ne sait pas trop. Il y avait bien une construction ressemblant à un château mais cela a été démoli, elle sait pas...
Photos Patrimoine de Lorraine
J’ai peut être bien couché dans ce qui reste de l’ancien château du Bailli de la région.
Lorsque je demande des explications sur les graph, concernant des destructions de maisons. On m’explique que c’est du à l’exploitation de gaz, ha !!! oui au stockage comme dans…. Non, Non on à un gisement…..
Un peu d’histoire pour mes Hôtes
 que je trouve un peu pédant, qui sont peut être les descendants de l’ancien châtelain. L’hôtesse ma révélé que c’était la maison d’enfance de son mari. 
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Sarcofagus au Xe siècle.
Le village s'appelait auparavant Sarqueu, forme médiévale du mot cercueil et qui a servi à nommer des lieux comme Serqueux, Cerqueux, etc. La forme Cercueil apparaît à la Renaissance.
Pendant 25 ans, du courant mars 1765 jusqu'à fin 1790, Cercueil fut rebaptisé par les seigneurs du lieu. Il lui donnèrent le nom d’Ourches  (Colonel-général du Roi Stanislas Leszczynsski) avant que la population exige le retour à la dénomination primitive qui lui fut rendue par la Révolution française. Cependant Cercueil, jugé trop funèbre, a changé à nouveau de nom par décret du 1er août 1972 pour s'appeler Cerville

Le Château construit vers 1600 par Nicolas d'Ourches, défiguré : Il subsistent un cartouche armorié sur le portail et deux canonnières. Église Saint-Laurent, reconstruite après la guerre de 1914-1918 : le toit avait été enlevé pour que l'armée allemande ne puisse découvrir le village. Pierre comte d'Ourches, seigneur de Cercueil et La Neuvelotte, ancien capitaine de cavalerie au régiment de Saint Sal. En 1763, il obtient du roi de France des lettres d'érection de sa terre de Cercueil en comté sous le nom d'Ourches.]
Grace à un panneau d’information situé à la sortie du village j’apprends également que la première maison fut un château appartenant a un conte du nom de ma chambre d’hôte.  J'ai peut être dormis dans une chambre de l'ancien bailli et capitaine d’Epinal. Au XVI ème siècle un château de style renaissance avec fenêtres à croisillons et portail monumental au dessus de l’arc en plein cintre se situent les deux écus aux armes d’Ourches et de Bilistein. Mon hôte qui ma reçus avec hauteur est peut être un descendant du châtelain. Sa femme m'ayant dit que c'était une maison de famille... Je vous invite à lire et à regarder les photos du site http://patrimoine-de-lorraine.blogspot.fr/2016/01/cerville-54-maison-forte-xviie-siecle.html J’ai malheureusement omis de faire des photos pensant qu’elles ne seront sans aucune valeur pour mon blog…

LE SEL
Cervillle est située dans une cuvette. La partie sud- sud Ouest est concernée par l’extraction du sel. En cherchant un peu voilà ce que je trouve : Departement de Meurthe-et-Moselle
prefecture de Meurthe-et-Moselle
communes de : Cerville - Buissoncourt
Haraucourt - Lenoncourt
rapport d’enquete publique
Relative à :
Demande de prolongation de la validité de la concession de mines de sel de
sodium de CERVILLE-BUISSONCOURT sur le territoire des communes de
Buissoncourt, Cerville, Haraucourt et Lenoncourt
Demande présentée par la Société SOLVAY Carbonate France
Ordonnance T.A.: N° E17000009/54 du 07 février 2017
Arrêté Préfectoral du 17 février 2017
Le panneau d’information nous conte qu’en 1989 une superficie de 500 ha est exploité. De 1997 à 1999 l’exploitation est arrêté suite à un accident. L’exploitation reprend en 2002 en 2008 la concession est renouvelée en 2008 pour 30 ans. La technique d’extraction utilisée consiste à la dissolution du sel à la base des puits sur une profondeur de 80 à 85 m. L’effondrement dirigé… ? des terrains de couverture est programmé vers 2050. Depuis 2011 la production s’élève à un million de tonnes de sel par an.
Après effondrement un plan d’eau sera aménagé et rétrocédé aux communes.      

Stockage de gaz à Cerville : 3. Description
Photos Patrimoine de Lorraine
Le gaz naturel utilisé en France provient de l'étranger, essentiellement des Pays-Bas, d'Algérie, de la Mer du Nord, de Russie, du Nigeria et d'Egypte.

Il est difficile de faire correspondre les quantités de gaz livrées par ces différents fournisseurs aux besoins, tout au long de l'année. Les excédents de gaz naturel reçus l'été doivent donc être stockés afin d'être disponibles l'hiver en période froide.

Le stockage permet donc de répondre à d’éventuelles défaillances d’approvisionnement et aux variations de la consommation (qui est cinq fois plus importante en janvier qu’en août). Deux procédés sont actuellement utilisés en France :
  • le stockage en aquifère profonde (entre 400 et 1 200 mètres), comme c'est le cas à Cerville
  • le stockage en cavités salines (entre 900 et 1 600 mètres)
·         Mis en service en 1970, Cerville est un des 14 sites de stockage français. Il permet le stockage de 1500 millions de m3 soit l'équivalent de plusieurs mois de consommation régionale.
La station de compression de Laneuvelotte assure le transit du gaz en provenance de Russie, des Pays-Bas et de Norvège ; celle de Cerville est uniquement dédiée au stockage souterrain.
·         Structure géologique du site de stockage de Cerville
·         Profondeur du sommet du stockage de Cerville : 470 m.
La structure géologique de stockage s'étend sur 20 km2, alors que la zone d'exploitation et de surveillance en surface est 100 fois plus petite (20 hectares).
Le réservoir est un aquifère constitué par les grès à Voltzia et les grès coquilliers du Trias, surmontés d'une couverture de terrains argileux triasiques et liasiques, qui en assurent l'étanchéité.
Ce réservoir présente une structure en dôme allongé orienté est-ouest ; l'épaisseur moyenne de la couche-réservoir est de 70 m, celle de la couverture argileuse est de 80 m.
Le gaz est injecté à une pression suffisante pour qu'il remplace l'eau de l'aquifère (la pression de fond maximale est d'une soixantaine de bars).
Il existe une quarantaine de puits d'exploitation et une quinzaine de puits de contrôle.
Voila ce que j’aurais voulu apprendre….


Mes soucies ; dès la sortie du village cela ce passe mal. Le secteur sert de réserve de gaz sous terrain, et certaine partie des terres son clôturées par les carrières de sel, comme chez nous dans la plaine de la Bassée ou les terres sont retenues pour les carrières de sable. En lisant le panneau d'information j'apprends que c'est le pays du sel (en voiture château salin n'est pas loin.) Dans mon imagination je pensais que l’on extrayait plus de sel, des mines en France et qu’il nous restait que les marais salants.

Sur la route je remarque des croix. Je pensais à un accident
j'avais repéré un chemin sur la carte m'évitant la route mais elle est derrière des barbelés et dessert la carrière d’extraction sous terrain du sel. Interdiction d'entrée. Mon chemin débouche dans une prairie puis un champ entouré de barbelés. Sur ma droite le bois. Je m'en sorts après avoir franchi fil électrique et barbelé je coupe à travers la prairie et le bois. Je retrouve ma trace et le chemin. Chemin interdit sous peine d'amende. Ne sachant pas encore comment on extrayait le sel je ne comprend pas les raisons pour lesquelles ce beau chemin soit interdit. Surtout qu'aucun engins n'y camions sont dans le coin et que je ne vois aucune excavation. A ce moment je ne savais pas comment était extraie le sel, je ne savais même pas que c’était le sel que l’on extrayait de ce lieux. Je suis dans le bois, la carrière est derrière, en fait les puits d’extractions sont sur ma droite. Le bois une réserve non encore exploité. Si l'on me prend je dirais que je suis perdu. Avec mon âge et mon sac sur le dos on ne peut que me croire. Je pense que l’itinéraire à prendre est le suivant ; A la sortie du village après le petit hameau de Cercoeur que je prenais pour une extantion de Cerville poursuivre la route en direction de Lenoncourt ou l’on retrouve le GRP du pays de Nancy et le GR 534. On peut couper en longeant le canal de la Marne au Rhin jusqu'à Crévic on à tout de même 7 km de plus par ce chemin mais on fait un peut plus de balisage que par mon itinéraire. Le parcours est long, monotone. Un peu moins qu'hier tout de même. En me retournant j'aperçois les hideux immeubles sur les hauteurs de Nancy, ils sont loin maintenant. Il fait chaud, très chaud, pas beaucoup de bois pour avoir de l’ombre, pas mal de bitume, trop de bitume. Je me demande s'il n'y a pas de chemin plus court. Ma précédente trace me faisait passer à
Ce sont des victimes de la Guerre de 1914
coté de la Tour de Domèvre http://mairie.haraucourt.free.fr/eglises.php (tour que je n'ai pas vu.) le chemin que je devais prendre est passé sous le socle de la charrue celui que je prends pour rejoindre ma trace m’en éloigne un peu, vu le bois (plutôt un taillis pas entretenu) que je longe il ne me vient même pas l’idée de faire quelques mètres supplémentaires pour voir l’ancien cimetière. Vraiment en cette journée j’ai loupé plein de chose. Nous traversons Haraucourt et prenons la petite route se dirigeant vers Drouville. Je quitte enfin le bitume à mi parcours pour prendre un chemin dans les champs et retrouver le Gr 534 à l'orée de la foret de Crévic. Nous passons le canal de la Marne au Rhin.

[long de 314 km et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie. Les premiers projets de construction remontent aux années 1780, mais la mise à l'étude du canal fut réalisée par l'ingénieur des ponts et chaussées Barnabé Brisson à partir de 1826. Les travaux furent menés par l'ingénieur polytechnicien Charles-Étienne Collignon (1802-1885).
  Commencé en 1838, le canal fut mis en service en 1853. La traction humaine et animale fait place à la traction électrique à partir de 1895, sur rails ou sur route, et sur pneumatiques à partir de 1933, avant la généralisation des chalands automoteurs.
En plus de 150 ans, le canal de la Marne au Rhin a été transformé, amélioré et modernisé. Après la guerre de 1870 et la perte de l'Alsace et de la Moselle, il a fallu assurer les ressources en eau, en diminution avec la perte des étangs de Gondrexange, du Stock, de Réchicourt, et de la prise d'eau dans la Sarre ; l'étang de Parroy fut ainsi construit. Des escaliers d'écluses ont été remplacés par une écluse de haute chute (accès à la Moselle à Frouard, Saverne), des écluses ont été doublées, vers 1930, là où le trafic le nécessitait : à Foug, et de Jarville à Varangéville ; le pont-canal de Liverdun et celui de la Madeleine ont été élargis pour permettre la navigation à double sens, des sections sinueuses ont été abandonnées au profit de tracés plus direct, les écluses du versant Meurthe de Réchicourt jusque Dombasle (bief 23 dans lequel débouche la prise d'eau dans la Meurthe) ont été équipées dans les années 1950 de pompes électriques pour remonter l'eau de bief en bief. Sur les secteurs les plus fréquentés, les écluses ont été mécanisées puis automatisées par le système de la société Saxby, dès la fin de l'année 1977. De 2004 à 2008, quatre écluses du versant Meurthe, situées entre Lagarde et Bauzemont, ont servi de site test pour la mise au point de nouveaux systèmes d'automatisation, permettant notamment un contrôle des phases de l'éclusage depuis un terminal électronique embarqué sur le bateau.

 Dans les années 1960, le mouillage a été porté à 2,60 mètres pour permettre un enfoncement à 2,20 mètres des bateaux, travaux inscrits aux IIIe, IVe et Ve « Plans de Modernisation et d’Équipement », s'échelonnant entre 1958 et 1970. Cette augmentation du mouillage de 40 centimètres s'est faite de plusieurs façons. La plus fréquente : élévation du niveau du plan d'eau par rehaussement des digues, des bajoyers et des portes d'écluses, ainsi que des ponts ; ces travaux peuvent être menés sans arrêter la navigation. Une autre technique d’augmentation du mouillage utilisait l'abaissement du plafond. L'exécution d'importants travaux de terrassements ne peut se faire que très rarement en eau, car ils détruisent l'étanchéité de la cuvette (corroie d'argile sur plafond et berges) ; les ponts ne sont pas modifiés, par contre les travaux d'abaissement du radier des écluses, de modifications des aqueducs et siphons passant sous le canal nécessitent des démolitions et reprises en sous œuvre délicates, exécutées en période de chômage : cette méthode n'est adoptée qu'en cas de force majeure, dans les biefs où l'on ne peut pas modifier l'altitude du plan d'eau (débouché de rigole alimentaire, aménagement trop coûteux de ponts, traversée à niveau de rivières. La méthode mixte, qui rassemble les inconvénients des deux précédentes. Cette méthode n'est utilisée qu'exceptionnellement. 
Par exemple, dans le bief de partage des Vosges, il fallait tenir compte de la présence de nombreux aqueducs ou siphons, le plafond n'a été baissé que de 10 centimètres. Les 30 centimètres restant ont été obtenus par élévation du plan d'eau, qui a entraîné des difficultés pour l'écoulement du débit de la rigole alimentaire de la Sarre. Wikipédia.] le Gr à été modifié, il ne longe plus le canal mais traverse le village, ou le café épicerie est fermer. Nous retrouvons l'ancien tracé au château d'eau de Grandvezin. Nous traversons Deuxville. Je sens la fatigue, peut être un peu la déshydratassions, il fait chaud, très chaud je prends même des coups de soleil. Hier soir, je n'ai pas assez mangé et ce matin au petit dèj je n'avais que du pain congelé et un font de brioche ouvert depuis je ne sais quand...  cela doit également y faire. Je fais une longue pose à l’ombre d’un petit bois. Je grignote un peu, et fait une sieste, pour cela je débranche le gps. J'ai le temps aujourd'hui je n'ai que 31 km. Hier
j'ai cru apercevoir les Vosges, aujourd'hui c'est la confirmation. Nous arrivons sur la grande Côte de Méhon, l’alternance de bois et de verger me procure un peu d’ombre. Nous sommes sur le plateau. a mes pieds, Luneville. Le panorama est magnifique au loin la chaîne des Vosges avec le Montron, au pied Luneville. [Connue pour son château, surnommé le "Versailles Lorrain" Lunéville
sort de l'ombre au Xe siècle. Auparavant, il n'y avait au confluent de la Meurthe et de la Vezouze que de modestes cabanes qui servaient de rendez-vous de chasse. Un premier château fut construit pour protéger le point de passage que constitue le pont sur la Vezouze, sur la route du sel que les sauniers et marchands empruntaient entre Rosières, Vic-sur-Seille, Marsal d'une part et Deneuvre, l'Alsace et la Bourgogne d'autre part. La seigneurie trouvait ainsi une source de revenus en prélevant un péage au passage du pont.

La ville a d'abord appartenu à plusieurs princes allemands, avant de passer aux mains d'Étienne, évêque de Toul et premier comte de Lunéville. Ses descendants possédèrent la cité jusqu'en 1055. En 1243, le comté fut rattaché au duché de Lorraine. Lunéville ne se développe qu'à partir de 1330 sous le règne du duc Raoul Ier.
Le vieux château féodal subsista jusqu'en 1612, date à laquelle Henri II, préférant Lunéville à Nancy, le démolit et en construisit un nouveau. Celui-ci eut une courte vie. Démantelé pendant la guerre 

de Trente Ans, il fut totalement détruit lorsque le duc Léopold Ier de Lorraine, arrivant à Lunéville en 1702, choisit de bâtir un palais moderne : c'est le château actuel.
Sous le règne de Léopold, la régence de son épouse Élisabeth Charlotte d'Orléans puis le règne nominal de l'ex-roi de Pologne Stanislas et le rattachement de la Lorraine à la France en 1766, Lunéville, à l'instar de Versailles en France ou Schönbrunn en Autriche, fut la capitale princière de la Lorraine, tandis que Nancy comme Paris ou Vienne restait capitale administrative.

Dans son siècle de Louis XIV, Voltaire, louant le duc Léopold, affirmait que l'on ne croyait pas avoir changé de lieu en laissant Versailles pour Lunéville. Sous le règne nominal de Stanislas, la cour de Lunéville se montre particulièrement perméable aux idées nouvelles: en 1737, les Francs-maçons persécutés à Paris fondent à Lunéville la première loge maçonnique de Lorraine ducale; celle-ci semble fonctionner jusqu'à la Révolution.
C'est à Lunéville, dans les salons de l'hôtel Beauvau-Craon, que fut signé le le traité de Lunéville par lequel s'est
provisoirement conclu l'affrontement entre l'Autriche de François II et la France consulaire de Bonaparte. Ce traité attribue à la France les Pays-Bas autrichiens (Belgique) et la rive gauche du Rhin.
Lunéville connut un essor important après la Guerre de 1870. En effet, le Traité de Francfort signé en 1871, fit de Lunéville une ville frontière. Une importante garnison y est affectée (le château est transformé en caserne) et la ville connaît un afflux de rapatriés alsaciens ou mosellans refusant de devenir Allemands. Certaines entreprises de ces régions s'installèrent à Lunéville. Ce phénomène n'est pas propre à Lunéville : des villes comme Nancy ou Belfort ont connu la même 

situation. On note ainsi l'usine de la Lorraine-Dietrich, fondée dès 1897 par la famille de Dietrich, reprise en 1905 par Édouard, Eugène et Adrien de Turckheim.
Lunéville est renommée pour sa manufacture royale de faïence, fusionnée avec celle, voisine, de Saint-Clément, qui continue la production de faïence de Lunéville.
La cité est également renommée pour sa broderie : la Broderie de Lunéville (un mélange de perles et paillettes), utilisée dans les ateliers de Haute couture. Un conservatoire a vu le jour pour la promotion de cette technique.
Anecdote : dans le film La Vache et le Prisonnier, l'acteur Fernandel s'évade d'Allemagne. Il se sait en France quand, arrivant dans une gare, il entend l'annonce « Lunéville ».)
Nous descendons en ville, traversons la Vezouze, quittons le Gr passons devant le château entrons dans l’immense cours un peu vide et poussons jusqu'au jardin en passant entre les colonnes et sous la voute. Revenons sur nos pas. Passons sous les arches à gauche du bâtiment et
entrons dans le vieux village par la rue du château, poursuivons la rue jusqu’à la monumentale église en grès rose. [L’église Saint-Jacques de Lunéville fut réédifiée dans le style Baroque à partir de 1730, comme église de l'abbaye Saint-Rémy de Lunéville. Après un premier arrêt des travaux par manque de financement, ils reprirent en 1745 grâce au roi Stanislas. La construction peut être attribuée principalement à Jean-Nicolas Jamesson pour le premier niveau, tandis que le Premier Architecte du roi, Emmanuel Héré, réalisa 
notamment les deux imposantes tours de 52 mètres (surmontées des statues de saint Michel terrassant le Dragon et de saint Jean Népomucène) ainsi que l'étonnant buffet d'orgue. Le décor du fronton fut sculpté en 1749 par Joseph Béchamp. En 1745, l'église accueillit aussi la paroisse Saint-Jacques, qui s'est maintenue jusqu'à nos jours. Wikipédia] J'aime pas trop. C'est un peu gros. J’erre dans Luneville pour trouver une épicerie. Je ne trouve que monoprix. Mon hôtel est à Moncel les Lunéville pour si rendre nous traversons les faubourgs puis la zone commerciale ou l'on trouve un grand Cora. A monoprix j'avais trouvé ce que je voulais et il n'y avait personne.






























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