Etape 67 : Moncel-lès-Lunéville - Moussey
jeudi 24 aout 2017
Le code mobile de cette randonnée est b310977
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km
Temps arret V/d
V/g dénivelé
31,3
5:50 0:45 5,4 4,8 103+
La
nuit fut bonne. Hier, j'ai mangé correctement, dans l’un des resto
de la zone commerciale. Le petit déjeuner est grandiose. La traversée
de la foret de Mondon m'inquiète un peu je dois franchir deux fois
l’autoroute et je me demande si je vais trouver les ponts comme la carte me l'indique. Aucun problèmes la foret est percée par des
chemins bitumées aucun soucie pour les ponts. Par contre les chemins en pointillés sur la carte ressemblent plus à des laies forestières qu'à des chemins bien entretenues. Après Marainviller
nous retrouvons le GR 534 juste après la rivière « la
Vezouze » [Affluent de la Meurthe en rive
droite, donc un sous-affluent du Rhin par la Moselle. La longueur de
son cours d'eau est de 75,1 km.
La
Vezouze naît dans le massif du Donon. Elle se forme selon la
tradition par la réunion de deux ruisseaux, le ruisseau du Val et le
ruisseau de Châtillon, sous la salle des fêtes de
Cirey-sur-Vezouze. Elle conflue avec la Meurthe au sud-ouest de
Lunéville, précisément en limite de Vitrimont
et de Lunéville. Wikipédia] Nous retrouvons le GR 534,
passons deux fois la ligne de chemin de fer par un
beau chemin dans les champs, nous débouchons sur la D 161 et arrivons au village de Laneuville aux bois ou nous suivons la départementale. Lors de l’étude de mon itinéraire j’ai remarqué que le 534 quittait le bitume pour revenir en arrière afin de franchir la ligne SNCF. J’ai trouvé que l’on n'était plus à 2 ou 3 km de bitume prêt et que si l’on suivait la D 161 jusqu’à Emberménil puis la 185 je retrouvais le GR un peu avant Leintrey et gagnait ainsi 5 km. C'est ce que je fis.Toute la partie suivant la ligne de chemin de fer se trouve sur un bon chemin. Par contre dans les bois de Malconsent j’ai rencontré quelques problèmes de balisages, des chemins
avec des herbes jusque dessous les bras ou j’ai toujours peur de récolter des "tiques". Je débouche sur la D 21 mais pas au niveau du pont comme indiqué sur la carte ce qui me perturbe un peu ayant perdu le balisage. La trace me faisant passer dans une zone infranchissable ou normalement se trouvait un chemin et le GR. Sur cette D 21 nous quittons le 534. il suit à droite la route, nous prenons à gauche passons la ligne de chemin de fer (Je me suis fait la réflexion que si j'avais suivi le ballaste j'aurais gagné des kilomètres. C'est possible une voie de la largeur d'une voiture est aménagée pour l'entretien; mais c'est tout de même la ligne Sarrebourg-Nancy. Ensuite cela se complique un peu à l’orée du
bois de la Barronne le chemin que je dois prendre (hors balisage) est Privé. Traverser le Bois de la Baronne c’est un sacré raccourcie pour rejoindre Moussey (Si l’on ne prend pas le bois, il faut suivre la D21 jusqu'à Remoncourt puis la D 21c suivi de la D40a) Je passe le câble en travers du chemin, la pancarte me dit propriété privé cueillette interdite. N'y allant pas pour ramasser des champignons je suis le beau chemin et ma trace. Il est midi passé, sont tous à la maison les pieds sous la table. Depuis juin je me dis que vu mon âge, mon sac à dos et mes bâtons si je rencontre le propriétaire je pourrais toujours prétendre m’être perdu à la recherche de mon chemin, que je suis entrée en foret après avoir suivi la ligne SNCF. Le chemin est carrossable bien entretenue. Dans le bois de Ban Saint Pierre c’est un peut plus litigieux, j’ai eu la chance que le tracteur et le gyrobroyeur soit passé pour me présenté une trace facile à suivre et dans le sens de ma trace ou à peu prêt. Dans ce bois il est bien difficile de couper les parcelles vu la hauteur des herbes. Le chemin que je devais prendre était
difficilement praticable. Faut pas que je me plaigne je ne dois pas être là. Cela ma permis de voir Deux Faons après réflexion on me dit que ce sont des Daims et deux cerfs bien fiers, mais craintif et quoique occupés à ce restaurer de la bonne herbes du chemin à ma vu ils fuient et c'est toujours un spectacle. Je sorts comme prévu sur une petite route goudronnée mais heureusement que le passage à été fais au gyro sinon j’aurais de l’herbe jusqu’au dessous des bras. Je fais ma pose déjeuné à l’orée du bois et à moins de 4 kilomètres de mon point d’arrivée et comme spectacle j’ai un élico militaire faisant l’exercice de la chandelle. "Pas facile ce travail, faut encore s’exercer, pour parodier les films
de guerre". Mais l’on a plus d’argent pour mettre de la gazoline dans l’appareil. A Moussey je demande les commerces car je n’ai pas grand-chose à manger ce soir. On m’indique une supérette à Bataville à deux kilomètres de Moussey, on me propose de m’y emmener en voiture et bêtement je refuse. Il est de bonne heure et je me sens bien, alors je refuse le trajet en voiture. Ce que je regrette. Les kilomètres réalisés plus celui pour rejoindre la chambre d’hôte cela en fait cinq. Moi qui est couper cinq kilomètres pour économiser mes forces pour demain.
Je passe le canal de la Marne au Rhin [long de 314 km et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie. Les premiers projets de construction remontent aux années 1780, mais la mise à l'étude du canal fut réalisée par l'ingénieur des ponts et chaussées Barnabé Brisson à partir de 1826. Les travaux furent menés par l'ingénieur polytechnicien Charles-Étienne Collignon (1802-1885). Commencé en 1838, le canal fut mis en service en 1853. La traction humaine et animale fait place à la traction électrique à partir de 1895, sur rails ou sur route, et sur pneumatiques à partir de 1933, avant la généralisation des chalands automoteurs. Le canal franchit la ligne des Vosges par la trouée du col de Saverne. À l'origine, le mouillage était de 1,60 m et la longueur des écluses de 34,50 m. Le programme Freycinet (loi du 5 août 1879) le classe en voie de 1re catégorie, son mouillage est alors porté à 2,00 m et les écluses à 38,50 m. En 1895, le mouillage fut porté à 2,20 m (essentiellement par élévation du plan d'eau). Ces dimensions permettent aux bateaux de 1,80 m d'enfoncement de porter 250 à 280 t de marchandises.
beau chemin dans les champs, nous débouchons sur la D 161 et arrivons au village de Laneuville aux bois ou nous suivons la départementale. Lors de l’étude de mon itinéraire j’ai remarqué que le 534 quittait le bitume pour revenir en arrière afin de franchir la ligne SNCF. J’ai trouvé que l’on n'était plus à 2 ou 3 km de bitume prêt et que si l’on suivait la D 161 jusqu’à Emberménil puis la 185 je retrouvais le GR un peu avant Leintrey et gagnait ainsi 5 km. C'est ce que je fis.Toute la partie suivant la ligne de chemin de fer se trouve sur un bon chemin. Par contre dans les bois de Malconsent j’ai rencontré quelques problèmes de balisages, des chemins
avec des herbes jusque dessous les bras ou j’ai toujours peur de récolter des "tiques". Je débouche sur la D 21 mais pas au niveau du pont comme indiqué sur la carte ce qui me perturbe un peu ayant perdu le balisage. La trace me faisant passer dans une zone infranchissable ou normalement se trouvait un chemin et le GR. Sur cette D 21 nous quittons le 534. il suit à droite la route, nous prenons à gauche passons la ligne de chemin de fer (Je me suis fait la réflexion que si j'avais suivi le ballaste j'aurais gagné des kilomètres. C'est possible une voie de la largeur d'une voiture est aménagée pour l'entretien; mais c'est tout de même la ligne Sarrebourg-Nancy. Ensuite cela se complique un peu à l’orée du
bois de la Barronne le chemin que je dois prendre (hors balisage) est Privé. Traverser le Bois de la Baronne c’est un sacré raccourcie pour rejoindre Moussey (Si l’on ne prend pas le bois, il faut suivre la D21 jusqu'à Remoncourt puis la D 21c suivi de la D40a) Je passe le câble en travers du chemin, la pancarte me dit propriété privé cueillette interdite. N'y allant pas pour ramasser des champignons je suis le beau chemin et ma trace. Il est midi passé, sont tous à la maison les pieds sous la table. Depuis juin je me dis que vu mon âge, mon sac à dos et mes bâtons si je rencontre le propriétaire je pourrais toujours prétendre m’être perdu à la recherche de mon chemin, que je suis entrée en foret après avoir suivi la ligne SNCF. Le chemin est carrossable bien entretenue. Dans le bois de Ban Saint Pierre c’est un peut plus litigieux, j’ai eu la chance que le tracteur et le gyrobroyeur soit passé pour me présenté une trace facile à suivre et dans le sens de ma trace ou à peu prêt. Dans ce bois il est bien difficile de couper les parcelles vu la hauteur des herbes. Le chemin que je devais prendre était
difficilement praticable. Faut pas que je me plaigne je ne dois pas être là. Cela ma permis de voir Deux Faons après réflexion on me dit que ce sont des Daims et deux cerfs bien fiers, mais craintif et quoique occupés à ce restaurer de la bonne herbes du chemin à ma vu ils fuient et c'est toujours un spectacle. Je sorts comme prévu sur une petite route goudronnée mais heureusement que le passage à été fais au gyro sinon j’aurais de l’herbe jusqu’au dessous des bras. Je fais ma pose déjeuné à l’orée du bois et à moins de 4 kilomètres de mon point d’arrivée et comme spectacle j’ai un élico militaire faisant l’exercice de la chandelle. "Pas facile ce travail, faut encore s’exercer, pour parodier les films
de guerre". Mais l’on a plus d’argent pour mettre de la gazoline dans l’appareil. A Moussey je demande les commerces car je n’ai pas grand-chose à manger ce soir. On m’indique une supérette à Bataville à deux kilomètres de Moussey, on me propose de m’y emmener en voiture et bêtement je refuse. Il est de bonne heure et je me sens bien, alors je refuse le trajet en voiture. Ce que je regrette. Les kilomètres réalisés plus celui pour rejoindre la chambre d’hôte cela en fait cinq. Moi qui est couper cinq kilomètres pour économiser mes forces pour demain.
Je passe le canal de la Marne au Rhin [long de 314 km et 178 écluses à l'origine, relie la Marne (à Vitry-le-François) au Rhin (à Strasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie. Les premiers projets de construction remontent aux années 1780, mais la mise à l'étude du canal fut réalisée par l'ingénieur des ponts et chaussées Barnabé Brisson à partir de 1826. Les travaux furent menés par l'ingénieur polytechnicien Charles-Étienne Collignon (1802-1885). Commencé en 1838, le canal fut mis en service en 1853. La traction humaine et animale fait place à la traction électrique à partir de 1895, sur rails ou sur route, et sur pneumatiques à partir de 1933, avant la généralisation des chalands automoteurs. Le canal franchit la ligne des Vosges par la trouée du col de Saverne. À l'origine, le mouillage était de 1,60 m et la longueur des écluses de 34,50 m. Le programme Freycinet (loi du 5 août 1879) le classe en voie de 1re catégorie, son mouillage est alors porté à 2,00 m et les écluses à 38,50 m. En 1895, le mouillage fut porté à 2,20 m (essentiellement par élévation du plan d'eau). Ces dimensions permettent aux bateaux de 1,80 m d'enfoncement de porter 250 à 280 t de marchandises.
Sur
tout son parcours, le canal de la Marne au Rhin est rattaché à
d'autres voies navigables : nous avons vu le canal de la Marne à
la Saône et le latéral à la Marne, il y a aussi le canal de l'Est
(branches Nord et Sud), la Moselle et le canal des Houillères de la
Sarre, et bien sûr le Rhin. De très nombreux ports se sont
implantés au fil des ans sur son tracé, parmi lesquels :
Vitry-le-François, Bar-le-Duc, Pagny-sur-Meuse, Nancy, Saint-Phlin
(La Madeleine), Varangéville, Dombasle, Héming... et à son
extrémité Est : Strasbourg.
L'ouvrage
le plus remarquable est le plan incliné de Saint-Louis-Arzviller mis
en service en 1967. Il double et remplace 17 écluses rapprochées.
Le canal comporte aussi trois tunnels et plusieurs ponts-canaux dont
le pont-canal de La Madeleine.
Un
autre ouvrage remarquable est l'écluse de haute chute de
Réchicourt-le-Château qui, avec 15,70
m est la plus haute écluse de gabarit Freycinet de France, et une des plus hautes tous gabarits confondus.
Elle a remplacé, à la même époque que le plan incliné de
Saint-Louis-Arzviller, six écluses rapprochées au début du versant
de la Moselle. Wikipédia] Je regrette le trajet en voiture d’autant plus que la
boutique est fermé. je fait 4 km pour rien. Au retour au lieu de faire le crochet par
Moussay, je suis le canal pour me rendre à la chambre d’hôte
situé au Port Sainte Marie. Ancienne auberge transformé en chambre
d’hôtes. Impeccables, site privilégié, et en plus je suis coté
jardin avec une vue sur le port ou stationne quelques bateaux. J’ai
l’hôte au téléphone sa femme indisponible ne peut m’accueillir
et tout ce passe par téléphone il faut le code pour ouvrir la porte. Mon hôte me propose de diner au
resto. Sur internet j'avais lu qu'il se trouvait à sept kilomètres. Lorsque je lui dit qu'il est trop loin, il me répond que l'on viendra me chercher
et l’on me raccompagnera. C'est un service rendu aux plaisanciers qui on trainés en route et qui ne peuvent se rendre à l'autre halte beaucoup plus grande et mieux aménagé l'écluse étant fermer par l'heure tardive. Génial cette fois ci je ne décline pas
la proposition.
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