La bassée : La petite Seine
Marolles sur Seine – La Tombe – Balloy
Le projet de La Bassée consiste à retenir les
eaux de la Seine au moment du passage de la crue de l'Yonne en pompant et
stockant dans des casiers l'eau de la Seine au moment du pic de crue.
Cet aménagement serait constitué d'unités de
stockage (ou casier), remplies par pompage lors des fortes crues. Le projet
comprend 58 km de talus de faible hauteur qui délimitent 2 300 hectares d'aires
de sur-stockage en aval de Bray-sur-Seine au plus près de la confluence. Le
volume stockable pendant la pointe de crue de l'Yonne est estimé à 55 millions
de m3.
La gestion de l'ouvrage est basée sur une prévision faite en temps réel fixée à 3 jours pour les crues de l'Yonne et de la Seine. L'ouvrage serait utilisé en moyenne tous les 5 à 6 ans, pendant 2 à 2,5 semaines. Cet ouvrage représenterait une baisse supplémentaire de 20 à 60 cm de hauteur d'eau en moins, suivant les lieux et les crues. Sa mise en œuvre au XXe siècle aurait évité au moins 7 milliards d'euros de dommages par débordement en surface. Pour l'avenir il permettra de protéger, de surcroît, de nombreux réseaux souterrains.
L'effet cumulatif des 5 ouvrages contribuera à maintenir le niveau de la Seine en-dessous des niveaux d'apparition des principaux dommages, notamment :
La gestion de l'ouvrage est basée sur une prévision faite en temps réel fixée à 3 jours pour les crues de l'Yonne et de la Seine. L'ouvrage serait utilisé en moyenne tous les 5 à 6 ans, pendant 2 à 2,5 semaines. Cet ouvrage représenterait une baisse supplémentaire de 20 à 60 cm de hauteur d'eau en moins, suivant les lieux et les crues. Sa mise en œuvre au XXe siècle aurait évité au moins 7 milliards d'euros de dommages par débordement en surface. Pour l'avenir il permettra de protéger, de surcroît, de nombreux réseaux souterrains.
L'effet cumulatif des 5 ouvrages contribuera à maintenir le niveau de la Seine en-dessous des niveaux d'apparition des principaux dommages, notamment :
- une hauteur de 6,20 m à l'échelle d'Austerlitz qui correspond au début de l'inondation du RER C,
- une hauteur de 7,40 m qui correspond au niveau des murettes anti-crues en Petite Couronne.
Décembre 2014
Départ de Marolles sur Seine. Nous trouvons un beau parking sur la
place du village.
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b310485
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
30 5h41 0h40 5,2 4,7 87+
Départ de Marolles sur Seine. Nous trouvons un beau parking sur la place du village.
Nous remontons la Grande Rue, et prenons la première à droite la rue de Barbey (D29) c’est également un parcours jaune. Nous sortons du village et coupons la D 411 derrière cette dernière nous trouvons une ancienne route menant à la ferme du Moulin. Nous sommes dans les champs. La route tourne sur la droite passe devant la ferme. De route nous devenons chemin, au loin, (pour moi dans le brouillard), nous apercevons une carrière.
Avec le brouillard on distingue la carrière |
Une envolé d'oies sauvage |
la rue face à nous. Nous poursuivons entre deux clôtures, derrière, des étangs difficiles à voir derrières des haies. Nous arrivons à Balloy et retrouvons des balises jaunes. A l’église nous prenons à droite la D 77 (Rue Grande). A la fourche nous prenons à gauche. Nous longeons le mur d’un château que nous ne verrons jamais. face à ce long mur, nous trouvons une zone pavillonnaire qui en 2014 est complètement à l’abandon. Nous entrons dans Balloy quittons la route pour prendre un sentier intra muraux balisé en jaune. Espérons que les propriétaires continuerons d’entretenir leur haies et que le passage sera toujours libre. Il ne faudrait pas que cela devienne comme dans mon village ou nous avons un réseau de sentiers intra muraux, mais personne ne souhaite voir des promeneurs longer leur jardins, ils laissent les haies déborder jusqu'à obstruer le passage, certain rajoute des poubelles, pour bien condamner l'entrée. Et on à l'honneur d'afficher à l'entrée "Village de Caractère" mais on fait en sorte de ne pas valoriser le caractère de ce village remontant aux Nautes. Nous débouchons vers l’église. [Église dédiée à Saint Héracle, L'édifice actuel, dont la première pierre fut bénie par l'évêque de Meaux le 9 mai 1963, est élevé à l'emplacement d'une ancienne église datant probablement du XIVe siècle.
Histoire
Dans l'église Saint-Héracle se trouve la
pierre tombale de Matthieu de Chalmaison, qu'une inscription identifie : « Cy
gist noble et scientifique personne maistre Mathieu de Challemaison, escuier en
son vivant, sieur du Lucat, Rozelle, La Raganne pour le tout Balloy et Gravon
en partie, grant vicaire général de Messieux les Cardinaux de Guise et Pellevé,
grant official et doien de l'église cathédrale de Saint-Estienne de Sens,
lequel trépassa le 17 mars 1577. Priez Dieu pour luy. » Elle est classée
monument historique en 1977.] http://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77019-Balloy/143162-EgliseSaint-Heracle]
A
la patte d’oie, nous quittons la rue grande pour prendre une autre rue sur la
gauche. Nous laissons la rue de la fontaine sur la gauche, continuons tout
droit et lorsque la route tourne sur la droite nous continuons par le chemin
face à nous toujours balisage jaune, nous
longeons la clôture d’une carrière qui ne semble plus être en activité. Passons devant un magnifique platane isolé [Imposant
de par son aspect et son isolement dans le paysage, ce beau platane à priori
plus que centenaire a été placé là à dessein.Il marque en effet l’emplacement d’une source d’eau miraculeuse.
Celle-ci aurait jailli du pied de Saint-Héracle, évêque de Sens qui a assisté au baptême du roi Clovis en 496.
Une fontaine lui fut dédiée et son eau guérissant les maux d’yeux était vénérée. Ainsi faisait-elle l’objet d’une procession le 9 juillet, date anniversaire du saint.
La fontaine fut démolie et comblée en 1844.
L’arbre ne se limite pas à cette seule référence au passé… il borde en effet un site néolithique, l’Hôtel des Réaudins, où une nécropole monumentale a été repérée en 1985 par voie aérienne.
Elle s’inscrivait alors dans une future exploitation de granulats, mais une campagne de fouille a cependant eu lieu et a permis de mettre à jour quarante-cinq sépultures individuelles et collectives datées de 4500 à 2300 avant JC et distribuées dans plusieurs structures.
Aujourd’hui les pèlerins ont oublié l’arbre, mais des visiteurs de la faune locale lui sont familiers, tout comme les promeneurs de Balloy qui viennent s’aventurer ainsi, souvent sans le savoir, sur les traces de leurs très lointains ancêtres. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/arbre-remarquable-de-balloy]
Vous ne pouvez pas louper cet arbre isolé, et vous avez un poteau d’information avec un flash codes. Nous ne pouvons pas prendre le premier chemin sur la gauche situé derrière la clôture, nous prendrons le second après avoir serpenté dans des bois entrecoupés de champs. Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Nous la suivons jusqu'à la rencontre du canal de dérivation de Bray sur Seine à la Tombe. (Il ne sert à rien de prendre sur la gauche les chemins que l’on voit sur la carte. Je me suis fais avoir et suis arrivée devant un large taillis d’une dizaine de mètres. Pénétration difficile et heureusement que nous n’étions pas en crue de la Seine, le terrain étant marécageux. J’ai réussi à traverser sans trop me mouiller les pieds.) [l’ancien canal de dérivation BRAY SUR SEINE à LA
TOMBE aujourd’hui désaffecté, qui permettait au trafic fluvial avant 1979, d’éviter les boucles ou méandres de la Seine, aujourd’hui, le chemin de halage ou (de randonnée pédestre) inscrit au topo guide est fortement fréquenté. http://www.lions-provins.com/private/gravon.htm]. Comme tout canal le chemin de halage est rectiligne. je me suis demandé durant ce parcours pour quelle raison les 11 km et les 3 écluses n’est plus en service ? Il permettait de couper les deux méandres se trouvant avant Bray sur Seine. La raison me fut donnée dans l’une de mes recherches : Il n’est plus aux normes pour les grands gabarits. [Divers gabarits furent expérimentés en fonction des écluses équipant les canaux construits jusqu'à la fin du XIXe siècle. Les plus standardisés furent alors le gabarit « Becquey » (1822. Écluses de 30,40 m × 5,20 m, mouillage 1,60 m, hauteur libre 3 m), supplanté en 1879 par le gabarit Freycinet déterminé par les dimensions de la péniche dite « flamande » ou « spits » : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage 2,20 m, hauteur libre 3,70 m adoptées et imposées par la réforme Freycinet de 1879
La péniche traditionnelle la plus courante, en bois et dite ainsi gabarit Freycinet, mesure 38,50 m de long sur 5,05 m de large. Selon l'enfoncement possible dans l'eau (canal ou fleuve), une péniche « Freycinet » peut porter de 250 à 350 tonnes de fret (elle-même pèse aux alentours de 50 tonnes). Compte tenu de la longueur des voyages et de l'habitabilité du bateau, l'équipage vit en général à bord, souvent en famille dans le logement du batelier.
Les grands bateaux naviguant sur le Rhin (les rhénans pour les automoteurs et les Kasques pour les remorqués) et les canaux à grand gabarit mesurent actuellement entre 60 et 135 mètres de long pour
une largeur de 8 à 15 mètres et un enfoncement de 3,50 mètres. Pourvues d'un moteur d'environ 1 000 à 2 000 ch, ils peuvent emmener 2 500 à 4 000 tonnes de fret. Équipés de radars, d'équipements de navigation de nuit, ils peuvent évoluer sans arrêt, en fonction de leur équipage, et couvrir ainsi des distances importantes dans des délais relativement courts. Le rapport carburant/fret/distances est alors imbattable. Le terme « automoteur de rivière » est cependant plus indiqué pour désigner ce type de bateau.] merci wikipédia
Les ouvrages anti crue |
Haut du poteau du chenal |
Environ 60km en amont de Paris (15 km de en amont de Melun) 20 km en aval de l'embouchure du Loin.
Les bassins n'ont pas put être utilisés pour la crue de 2016. C'est le Loing qui prend sa Source dans la Puisaye (vers Saint Fargeau) qui à débordé (axe : Montargie, Nemours, Moret.) On est bien loin de tout ses aménagements.
Il semblerait qu'une digue a lâchée sur le Loing, vers Montargi.(http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/c-est-moret-sous-loing-03-06-2016-5852451.php)
La Seine six mois plus tard (Décembre 2016) |
On ne voit plus le barrage (le barrage n'a pas été baissé)
suite aux pluies incessantes de juin. Il est vrai que je n'ai entendu cette info qu'une fois et de bonne heure le matin. Vrai information ou intoxication ? ( on la retrouve tout de même dans le journal) il aurait fallu que les journalistes des radio, à la place de faire du buzz les pieds dans l'eau, recherchent les causes. Il
est tout de même étonnant qu'une petite rivière, (qui les étés de
sécheresse n'a plus qu'un filet d'eau, face autant de dégâts.) Des habitants inondés mon dit : l'eau est monté rapidement en quelques heures jusqu'au niveau des inondations de 1983 ou 84. Par contre ce qui ma étonnée c'est que sur la Seine en aval de l'embouchure du Loing (bien trop loin des bassins de rétentions.) les portes des écluses, et les barrages sont restées fermer, ce qui a retenue l'eau en amont des écluses. Il me semble qu'ouverte l'eau se serait évacué plus vite, sans faire autant de dégâts à Bagneau, Nemours, Moret et tout les autres villages bordant la Seine et le Loing. Je ne suis pas spécialiste et c'est juste une réflexion.
Auraient-ont plus ou moins bloquer le débit de la Seine pensant que la Marne déborderait ? Ce qui aurait certainement eu des conséquences pour Paris.
Erreur des prévisionnistes météo, (et l'on sait qu'ils se trompent souvent), des observateurs situé sur la Marne ? Qui elle, n'a pas débordée.
Ce sont
des questions sans réponses et je ne suis pas sur, que les médias ont
vraiment chercher à savoir. Faire des émissions en directe et emm....der, les bénévoles, aidant les sinistrés, on sait faire aujourd'hui. Toujours les mêmes images, les mêmes paroles vident de toutes vrais INFORMATIONS, tournant en boucle toute une journée, c'est devenue une mode. Mais chercher la faille, faire des investigations pour connaître la vrai raison de ce qui a provoqué la catastrophe, il n'y a plus personne. Le buzz de l'actualité avant tout. Passons à autre chose. l'eau s'écoulant sous ou sur les ponts.
Attention, mon propos n'est pas de dire il fallait inonder Paris, loin de là mon idée. Je pense simplement que politiquement il été impossible de penser que Paris RISQUAIT d'être inondé. Sortons les parapluies (c'était de saison) et tirons le parachute du principe de précaution que l'on nous sert pour tout et n'importe quoi.
Peut être que de vrais spécialistes ont émis l'hypothèse, qu'il n'y avait pas trop de risque pour Paris puisque la Marne n'était pas à son niveau critique, mais que l'on a pas écouté. Pas grave les assurances payerons. Pas grave sacrifions le sud de la Seine et Marne et le Loiret, mais restons bien au sec. La peur de la crue du siècle, la peur de 1910. Cela fait plus de 10 ans que chaque hiver on attend la crue du siècle. Cette fois ci, les conditions climatiques, n'étaient pas réunis. Il manquait le gel...
Je ne voudrais pas être trop pessimiste, mais le jour ou ce sera la crue du siècle Paris sera inondée. On n'arrête pas l'eau. Comme Paris n'est qu'un gruyère, les nappes phréatiques pousserons sur les ouvrages sous terrain, il y aura bien des fissures qui laisserons passer l'eau, des pompes en pannes, ou qui tomberons en panne. Et puis elles rejetterons l'eau ou ça .... et les "Shadoks" pompaient. (Les moins de 60 ans peuvent pas connaître)
Je n'ai pas été touché par l’inondation, mais je connais des gens qui on tout perdu ou presque. Les assurances ne remplacement pas les souvenirs perdus, détrempés, partis à la benne. Je me dis simplement qu'avec une bonne analyse ce drame en amont de Paris aurait peu être put être moins dramatique sans pour autant risquer la cru du siècle pour Paris, en ouvrant les portes des écluses ou en abaissant les barrages, pour que l'eau s'écoule plus vite.
Reprenons notre chemin.
Le chemin est agréable un petit pont nous fait traverser un cours d’eau. Nous arrivons à Gravon, bien sur nous pouvons couper cette dernière boucle, mais si nous allons jusqu'à la Seine on comprend mieux, le système mis en place pour éviter les inondations. Nous quittons la Seine pour suivre un nouvel étang formant un bras d’eau. Nous arrivons de l’autre coté de Gravon. (ne pas être tenté de suivre la Seine, il n'y a pas de pont de l’autre coté du bras d’eau.) Nous retrouvons la Seine cette fois ci nous pouvons la suivre. Nous arrivons sur une route et trouvons le pont
nous permettant de retraverser le
canal de dérivation. Suivons la route sur la droite jusqu'au village de La
Tombe. Nous passons devant une grosse ferme se nommant la Folie
[Construite par Louis Jeunesse, cette ferme située à
l'est du village intègre probablement les restes d'un édifice plus ancien,
peut-être un hospice dépendant autrefois d'un prieuré. Avec sa grande cour
intérieure, elle conserve un aspect défensif. merci
Écluse de Bois le Roi portent fermer |
Je commence à avoir mal aux jambes et croyant
reconnaître l’église je me crois arriver. Déception. Je ne suis qu’à la Tombe,
j’ai bien encore une heure de marche avant Marolles. Une heure de descente. Je
plaisante, j’écris cela, simplement parce que nous suivons le cour de la Seine
dans le sens du courant « amont-aval » et qu’ici c'est tout
Eglise de La Tombe |
plat, contrairement au
GR2 vers La Roche Guyon ou la Seine coule entre deux falaises de calcaire
incrusté de silex ou nous ne faisons que monter et descendre, avec des risques
de glissades lorsque le temps est humide. Ce bout de Seine j’en connaît une
partie, nous l’avons fait lors de la rando Thibault de Champagne (Etape 9 - http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/01/grp-thibaut-de-champagne-etape-9.html ).
Lors de ce passage je me rends conte que le passage trouvé entre deux
carrières n’existent peut être plus.
Ecluse de Marolles |
Les carrières ce sont agrandies. Trop
fatigué pour vérifier, je reviendrais. Nous
longeons les carrières et dépôts de sable avec en semaine le bruit des tapis
roulants acheminant le sable vers les ou la péniche positionnée à quai, parfois
ont ce demande même si l’on est pas dans la carrière, mais non, nous ne sommes
que sur le chemin de halage qui ressemble plus à un chantier qu'a un chemin. Le paysage
s’améliore et au loin nous apercevons l’écluse de Marolles. Les berges deviennent
renforcées avec des palplanches afin de ne pas ce détériorer les berges lorsque les
péniches attendent le passage de l'écluse. Plus proche du village nous longeons des péniches d’habitations et bateaux de plaisances. C’est bien
aménagé et jolie, cela n’a rien à voir avec le bazar que l’on trouve à
Samois ou nous sommes obligé de marcher au dessus des amarres, ou les
péniches sont accosté sans quai et ou les trous du chemin sont comblés par des matériaux disparates. (En 2017 ça c'est amélioré) L’arrivée dans Marolle est jolie. Nous longeons un petit parc
entre une petite rivière et la Seine, son petit pont de bois, faisant penser
à la chanson d’Yve Duteil, au printemps les prunus avec leur fleurs mauves, et peut être des cerisiers avec leur fleurs blanche, donnent une touche particulière à ce lieu situé derrière l’église. Moi
j’aime bien. Le parking est à coté.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.htmlhttps://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire