vendredi 2 juin 2017

Rando en Bassée : La Petite Seine ; Marolles sur Seine – La Tombe – Balloy



      La bassée : La petite Seine

Marolles sur Seine – La Tombe – Balloy

Le projet de La Bassée consiste à retenir les eaux de la Seine au moment du passage de la crue de l'Yonne en pompant et stockant dans des casiers l'eau de la Seine au moment du pic de crue.
Cet aménagement serait constitué d'unités de stockage (ou casier), remplies par pompage lors des fortes crues. Le projet comprend 58 km de talus de faible hauteur qui délimitent 2 300 hectares d'aires de sur-stockage en aval de Bray-sur-Seine au plus près de la confluence. Le volume stockable pendant la pointe de crue de l'Yonne est estimé à 55 millions de m3.
La gestion de l'ouvrage est basée sur une prévision faite en temps réel fixée à 3 jours pour les crues de l'Yonne et de la Seine. L'ouvrage serait utilisé en moyenne tous les 5 à 6 ans, pendant 2 à 2,5 semaines. Cet ouvrage représenterait une baisse supplémentaire de 20 à 60 cm de hauteur d'eau en moins, suivant les lieux et les crues. Sa mise en œuvre au XXe siècle aurait évité au moins 7 milliards d'euros de dommages par débordement en surface. Pour l'avenir il permettra de protéger, de surcroît, de nombreux réseaux souterrains.
L'effet cumulatif des 5 ouvrages contribuera à maintenir le niveau de la Seine en-dessous des niveaux d'apparition des principaux dommages, notamment :
  • une hauteur de 6,20 m à l'échelle d'Austerlitz qui correspond au début de l'inondation du RER C,
  • une hauteur de 7,40 m qui correspond au niveau des murettes anti-crues en Petite Couronne.

Décembre 2014
Départ de Marolles sur Seine. Nous trouvons un beau parking sur la place du village.


Carte IGN    Trace GPS & Topo sans Commentaires       Trace Randogps      
 
Le code mobile de cette randonnée est b310485

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Décembre 2014

KM    Temps     Arrêt     V/d       V/g      Dénivelé
30        5h41       0h40      5,2        4,7        87+ 

Départ de Marolles sur Seine. Nous trouvons un beau parking sur la place du village.

Nous remontons la Grande Rue, et prenons la première à droite la rue de Barbey (D29) c’est également un parcours jaune. Nous sortons du village et coupons la D 411 derrière cette dernière nous trouvons une ancienne route menant à la ferme du Moulin. Nous sommes dans les champs. La route tourne sur la droite passe devant la ferme. De route nous devenons chemin, au loin, (pour moi dans le brouillard), nous apercevons une carrière. 
Avec le brouillard on distingue la carrière
En semaine ce passage ne doit pas être tranquille. Nous longeons une carrière de sable et le va et vient des camions doit soulever un nuage de poussière, ou vous éclabousser suivant le temps. Je devais prendre un chemin sur la droite (existant sur la carte) mais il me semble que la carrière c’est agrandie et qu’il n’y a plus de passage. Je pense que cela va être un peu le problème de la Bassée... La pérennité de mon itinéraire. Les chemins au mieux sont déplacés et contournent les exploitations ou malheureusement disparaissent au gré de l'avancement des carrières. Je continue mon chemin qui de carrossable devient chemin boueux. Je fais peur à un rassemble d’oies sauvages, elles font un boucan du diable en s’envolant. Puis elles tournent au dessus de moi pour voir si tous le monde suit.  Elles font au moins trois tours au dessus de ma tête, toujours  en ‘Cacardant’ et puis une fois que le groupe est formé, à la bonne hauteur,
Une envolé d'oies sauvage
 leur GPS branché, dans ce brouillard, elles patent en formant le "V". Je ne les vois plus, mais j’entends toujours leur ‘cries.’ Nous arrivons à l’entrée du village de La Tombe, D 411 que nous prenons à droite (Il est inutile de prendre le chemin de droite, il n’aboutit que dans les champs.) Comme je n’ai pas trouvé de chemin dans ses derniers nous sommes obligé de prendre la D 75 sur la droite. Juste avant l’autoroute de l'Est (A5) nous trouvons un chemin que nous prenons sur la gauche. Nous longeons l’autoroute, le chemin s’infléchit sur la droite et nous apercevons un pont franchissant cette dernière. L’on trouve sur la gauche un chemin longeant les grillages de protection puis un chemin sur la gauche nous en éloigne et se dirige vers un petit bois. Quittons ce chemin pour prendre le premier à gauche. Coupons la D 411, nous approchons du village de Gravon, mais surtout d’un grand nombre d’étangs (sur la carte ce secteur ce nomme les Marais) dommage les haies nous empêchent d'apercevoir ses derniers. Notre chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons la branche de droite longeons encore des étangs, coupons la (D77a) et continuons par
la rue face à nous. Nous poursuivons entre deux clôtures, derrière, des étangs difficiles à voir derrières des haies.  Nous arrivons à Balloy et retrouvons des balises jaunes. A l’église nous prenons à droite la D 77 (Rue Grande). A la fourche nous prenons à gauche. Nous longeons le mur d’un château que nous ne verrons jamais. face à ce long mur, nous trouvons une zone pavillonnaire qui en 2014 est complètement à l’abandon. Nous entrons dans Balloy quittons la route pour prendre un sentier intra muraux balisé en jaune. Espérons que les propriétaires continuerons d’entretenir leur haies et que le passage sera toujours libre. Il ne faudrait pas que cela devienne comme dans mon village ou nous avons un réseau de sentiers intra muraux, mais personne ne souhaite voir des promeneurs longer leur jardins, ils laissent les haies déborder jusqu'à obstruer le passage, certain rajoute des poubelles, pour bien condamner l'entrée. Et on à l'honneur d'afficher à l'entrée "Village de Caractère" mais on fait en sorte de ne pas valoriser le caractère de ce village remontant aux Nautes. Nous débouchons vers l’église.   [Église dédiée à Saint Héracle, L'édifice actuel, dont la première pierre fut bénie par l'évêque de Meaux le 9 mai 1963, est élevé à l'emplacement d'une ancienne église datant probablement du XIVe siècle.
Histoire
Dans l'église Saint-Héracle se trouve la pierre tombale de Matthieu de Chalmaison, qu'une inscription identifie : « Cy gist noble et scientifique personne maistre Mathieu de Challemaison, escuier en son vivant, sieur du Lucat, Rozelle, La Raganne pour le tout Balloy et Gravon en partie, grant vicaire général de Messieux les Cardinaux de Guise et Pellevé, grant official et doien de l'église cathédrale de Saint-Estienne de Sens, lequel trépassa le 17 mars 1577. Priez Dieu pour luy. » Elle est classée monument historique en 1977.] http://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77019-Balloy/143162-EgliseSaint-Heracle]
A la patte d’oie, nous quittons la rue grande pour prendre une autre rue sur la gauche. Nous laissons la rue de la fontaine sur la gauche, continuons tout droit et lorsque la route tourne sur la droite nous continuons par le chemin face à nous toujours balisage jaune, nous longeons la clôture d’une carrière qui ne semble plus être en activité. Passons devant un magnifique platane isolé [Imposant de par son aspect et son isolement dans le paysage, ce beau platane à priori plus que centenaire a été placé là à dessein.
Il marque en effet l’emplacement d’une source d’eau miraculeuse.

 Celle-ci aurait jailli du pied de Saint-Héracle, évêque de Sens qui a assisté au baptême du roi Clovis en 496.
Une fontaine lui fut dédiée et son eau guérissant les maux d’yeux était vénérée. Ainsi faisait-elle l’objet d’une procession le 9 juillet, date anniversaire du saint.
La fontaine fut démolie et comblée en 1844.

L’arbre ne se limite pas à cette seule référence au passé… il borde en effet un site néolithique, l’Hôtel des Réaudins, où une nécropole monumentale a été repérée en 1985 par voie aérienne.
 Elle s’inscrivait alors dans une future exploitation de granulats, mais une campagne de fouille a cependant eu lieu et a permis de mettre à jour quarante-cinq sépultures individuelles et collectives datées de 4500 à 2300 avant JC et distribuées dans plusieurs structures.
Aujourd’hui les pèlerins ont oublié l’arbre, mais des visiteurs de la faune locale lui sont familiers, tout comme les promeneurs de Balloy qui viennent s’aventurer ainsi, souvent sans le savoir, sur les traces de leurs très lointains ancêtres. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/arbre-remarquable-de-balloy]
Vous ne pouvez pas louper cet arbre isolé, et vous avez un poteau d’information avec un flash codes. Nous ne pouvons pas prendre le premier chemin sur la gauche situé derrière la clôture, nous prendrons le second après avoir serpenté dans des bois entrecoupés de champs. Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Nous la suivons jusqu'à la rencontre du canal de dérivation de Bray sur Seine à la Tombe. (Il ne sert à rien de prendre sur la gauche les chemins que l’on voit sur la carte. Je me suis fais avoir et suis arrivée devant un large taillis d’une dizaine de mètres. Pénétration difficile et heureusement que nous n’étions pas en crue de la Seine, le terrain étant marécageux. J’ai réussi à traverser sans trop me mouiller les pieds.) [l’ancien canal de dérivation BRAY SUR SEINE à LA 

TOMBE aujourd’hui désaffecté, qui permettait au trafic fluvial avant 1979, d’éviter les boucles ou méandres de la Seine, aujourd’hui, le chemin de halage ou (de randonnée pédestre) inscrit au topo guide est fortement fréquenté. http://www.lions-provins.com/private/gravon.htm]. Comme tout canal le chemin de halage est rectiligne. je me suis demandé durant ce parcours pour quelle raison les 11 km et les 3 écluses n’est plus en service ? Il permettait de couper les deux méandres se trouvant avant Bray sur Seine. La raison me fut donnée dans l’une de mes recherches : Il n’est plus aux normes pour les grands gabarits. [Divers gabarits furent expérimentés en fonction des écluses équipant les canaux construits jusqu'à la fin du XIXe siècle. Les plus standardisés furent alors le gabarit « Becquey » (1822. Écluses de 30,40 m × 5,20 m, mouillage 1,60 m, hauteur libre 3 m), supplanté en 1879 par le gabarit Freycinet déterminé par les dimensions de la péniche dite « flamande » ou « spits » : écluses de 39,50 m × 5,20 m, mouillage 2,20 m, hauteur libre 3,70 m adoptées et imposées par la réforme Freycinet de 1879
La péniche traditionnelle la plus courante, en bois et dite ainsi gabarit Freycinet, mesure 38,50 m de long sur 5,05 m de large. Selon l'enfoncement possible dans l'eau (canal ou fleuve), une péniche « Freycinet » peut porter de 250 à 350 tonnes de fret (elle-même pèse aux alentours de 50 tonnes). Compte tenu de la longueur des voyages et de l'habitabilité du bateau, l'équipage vit en général à bord, souvent en famille dans le logement du batelier.
Les grands bateaux naviguant sur le Rhin (les rhénans pour les automoteurs et les Kasques pour les remorqués) et les canaux à grand gabarit mesurent actuellement entre 60 et 135 mètres de long pour 
une largeur de 8 à 15 mètres et un enfoncement de 3,50 mètres. Pourvues d'un moteur d'environ 1 000 à 2 000 ch, ils peuvent emmener 2 500 à 4 000 tonnes de fret. Équipés de radars, d'équipements de navigation de nuit, ils peuvent évoluer sans arrêt, en fonction de leur équipage, et couvrir ainsi des distances importantes dans des délais relativement courts. Le rapport carburant/fret/distances est alors imbattable. Le terme « automoteur de rivière » est cependant plus indiqué pour désigner ce type de bateau.] merci wikipédia

Les ouvrages anti crue
Nous arrivons sur la D77, gravissons sur le pont, traversons le canal et prenons le premier chemin à gauche. Nous avons retrouvé le balisage jaune que nous suivons. Contournons un étang puis suivons ce que je prends en premier lieu pour la petite Seine, mais non ce ne son que des méandres d’eau et des lacs en communications avec la Seine. Tous ces lieux d’anciennes carrières servent aujourd’hui à essayer d’endiguer les crues de cette dernière.









Haut du poteau du chenal
La crue de 2016 à Bois le Roi. 
Environ 60km en amont de Paris (15 km de en amont de Melun) 20 km en aval de l'embouchure du Loin.
 Les bassins n'ont pas put être utilisés pour la crue de 2016. C'est le Loing qui prend sa Source dans la Puisaye (vers Saint Fargeau) qui à débordé (axe : Montargie, Nemours, Moret.) On est bien loin de tout ses aménagements.




Il semblerait qu'une digue a lâchée sur le Loing, vers Montargi.(http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/c-est-moret-sous-loing-03-06-2016-5852451.php)





 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Seine six mois plus tard (Décembre 2016)











      
On ne voit plus le barrage (le barrage n'a pas été baissé)   


                        

  suite aux pluies incessantes de juin. Il est vrai que je n'ai entendu cette info qu'une fois et de bonne heure le matin. Vrai information ou intoxication ? ( on la retrouve tout de même dans le journal) il aurait fallu que les journalistes des radio, à la place de faire du buzz les pieds dans l'eau, recherchent les causes. Il est tout de même étonnant qu'une petite rivière, (qui les étés de sécheresse n'a plus qu'un filet d'eau, face autant de dégâts.) Des habitants inondés mon dit : l'eau est monté rapidement en quelques heures jusqu'au niveau des inondations de 1983 ou 84. Par contre ce qui ma étonnée c'est que sur la Seine en aval de l'embouchure du Loing (bien trop loin des bassins de rétentions.) les portes des écluses, et les barrages sont restées fermer, ce qui a retenue l'eau en amont des écluses. Il me semble qu'ouverte l'eau se serait évacué plus vite, sans faire autant de dégâts à Bagneau, Nemours, Moret et tout les autres villages bordant la Seine et le Loing. Je ne suis pas spécialiste et c'est juste une réflexion.

Tactique ou principe de précaution, pensant que Paris pourrait avoir les pieds dans l'eau ?
Auraient-ont plus ou moins bloquer le débit de la Seine pensant que la Marne déborderait ? Ce qui aurait certainement eu des conséquences pour Paris.
Erreur des prévisionnistes météo, (et l'on sait qu'ils se trompent souvent), des observateurs situé sur la Marne ? Qui elle, n'a pas débordée.
Ce sont des questions sans réponses et je ne suis pas sur, que les médias ont vraiment chercher à savoir. Faire des émissions en directe et emm....der, les bénévoles, aidant les sinistrés, on sait faire aujourd'hui. Toujours les mêmes images, les mêmes paroles vident de toutes vrais INFORMATIONS, tournant en boucle toute une journée, c'est devenue une mode. Mais chercher la faille, faire des investigations pour connaître la vrai raison de ce qui a provoqué la catastrophe, il n'y a plus personne. Le buzz de l'actualité avant tout. Passons à autre chose. l'eau s'écoulant sous ou sur les ponts.   
Attention, mon propos n'est pas de dire il fallait inonder Paris, loin de là mon idée. Je pense simplement que politiquement il été impossible de penser que Paris RISQUAIT d'être inondé. Sortons les parapluies (c'était de saison) et tirons le parachute du principe de précaution que l'on nous sert pour tout et n'importe quoi.
Peut être que de vrais spécialistes ont émis l'hypothèse, qu'il n'y avait pas trop de risque pour Paris puisque la Marne n'était pas à son niveau critique, mais que l'on a pas écouté. Pas grave les assurances payerons. Pas grave sacrifions le sud de la Seine et Marne et le Loiret, mais restons bien au sec. La  peur de la crue du siècle, la peur de 1910. Cela fait plus de 10 ans que chaque hiver on attend la crue du siècle. Cette fois ci, les conditions climatiques, n'étaient pas réunis. Il manquait le gel... 
Je ne voudrais pas être trop pessimiste, mais le jour ou ce sera la crue du siècle Paris sera inondée. On n'arrête pas l'eau. Comme Paris n'est qu'un gruyère, les nappes phréatiques pousserons sur les ouvrages sous terrain, il y aura bien des fissures qui laisserons passer l'eau, des pompes en pannes, ou qui tomberons en panne. Et puis elles rejetterons l'eau ou ça .... et les "Shadoks"  pompaient. (Les moins de 60 ans peuvent pas connaître) 
Je n'ai pas été touché par l’inondation, mais je connais des gens qui on tout perdu ou presque. Les assurances ne remplacement pas les souvenirs perdus, détrempés, partis à la benne. Je me dis simplement qu'avec une bonne analyse ce drame en amont de Paris aurait peu être put être moins dramatique sans pour autant risquer la cru du siècle pour Paris, en ouvrant les portes des écluses ou en abaissant les barrages, pour que l'eau s'écoule plus vite.  
  


Reprenons notre chemin.

Le chemin est agréable un petit pont nous fait traverser un cours d’eau. Nous arrivons à Gravon, bien sur nous pouvons couper cette dernière boucle, mais si nous allons jusqu'à la Seine on comprend mieux, le système mis en place pour éviter les inondations. Nous quittons la Seine pour suivre un nouvel étang formant un bras d’eau. Nous arrivons de l’autre coté de Gravon. (ne pas être tenté de suivre la Seine, il n'y a pas de pont de l’autre coté du bras d’eau.) Nous retrouvons la Seine cette fois ci nous pouvons la suivre. Nous arrivons sur une route et trouvons le pont
nous permettant de retraverser le canal de dérivation. Suivons la route sur la droite jusqu'au village de La Tombe. Nous passons devant une grosse ferme se nommant la Folie
 
[Construite par Louis Jeunesse, cette ferme située à l'est du village intègre probablement les restes d'un édifice plus ancien, peut-être un hospice dépendant autrefois d'un prieuré. Avec sa grande cour intérieure, elle conserve un aspect défensif. merci 

Écluse de Bois le Roi portent fermer
topic topo] [Le 26 mai 1418, après deux mois de difficiles négociations sous l'égide du pape Martin V est signé le traité de La Tombe entre le roi de France Charles VII et le duc de Bourgogne Jean sans Peur. Le traité, qui aurait dû mettre un terme aux dissensions entre Armagnacs et Bourguignons, est rapidement caduc puisque le 28 mai l'insurrection de Paris ruine les espoirs de paix.]
Je commence à avoir mal aux jambes et croyant reconnaître l’église je me crois arriver. Déception. Je ne suis qu’à la Tombe, j’ai bien encore une heure de marche avant Marolles. Une heure de descente. Je plaisante, j’écris cela, simplement parce que nous suivons le cour de la Seine dans le sens du courant « amont-aval » et qu’ici c'est tout 
Eglise de La Tombe
plat,  contrairement au GR2 vers La Roche Guyon ou la Seine coule entre deux falaises de calcaire incrusté de silex ou nous ne faisons que monter et descendre, avec des risques de glissades lorsque le temps est humide. Ce bout de Seine j’en connaît une partie, nous l’avons fait lors de la rando Thibault de Champagne (Etape 9 - http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/01/grp-thibaut-de-champagne-etape-9.html ).
 Lors de ce passage je me rends conte que le passage trouvé entre deux carrières n’existent peut être plus.
Ecluse de Marolles
  Les carrières ce sont agrandies. Trop fatigué pour vérifier, je reviendrais. Nous longeons les carrières et dépôts de sable avec en semaine le bruit des tapis roulants acheminant le sable vers les ou la péniche positionnée à quai, parfois ont ce demande même si l’on est pas dans la carrière, mais non, nous ne sommes que sur le chemin de halage qui ressemble plus à un chantier qu'a un chemin. Le paysage s’améliore et au loin nous apercevons l’écluse de Marolles. Les berges deviennent renforcées avec des palplanches afin de ne pas ce détériorer les berges lorsque les péniches attendent le passage de l'écluse. Plus proche du village nous longeons des péniches d’habitations et bateaux de plaisances. C’est bien aménagé et jolie, cela n’a rien à voir avec le bazar que l’on trouve à Samois ou nous sommes obligé de marcher au dessus des amarres, ou les péniches sont accosté sans quai et ou les trous du chemin sont comblés par des matériaux disparates. (En 2017 ça c'est amélioré) L’arrivée dans Marolle est jolie. Nous longeons un petit parc entre une petite rivière et la Seine, son petit pont de bois, faisant penser à la chanson d’Yve Duteil, au printemps les prunus avec leur fleurs mauves, et peut être des cerisiers avec leur fleurs blanche, donnent une touche particulière à ce lieu situé derrière l’église. Moi j’aime bien. Le parking est à coté. 


                                       



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