Villenauxe la Petite
(decembre 2014)
KM Temps
Arret V/d V/g
Dénivelé
27,5 5h00
0h13 5,5 5,2 172 +
Pourquoi
un départ dans ce petit village ? Faut bien partir d’un point et celui-ci
ma semblé très bien. Je ne me suis pas garé devant l’église, nous n’avons pas
le droit. C’est peut être pour que l’on voit la déco de noël.
Le code mobile de cette randonnée est b310477
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Sur le site de la Queue-Chat, point culminant de la commune, ont été relevés les traces d'un enclos de 140 mètres de diamètre, délimité par trois fossés concentriques.
Dans le fossé intermédiaire, le moins profond, devait être implantée une palissade de bois.
Cet enclos délimitait probablement le village du haut Moyen Âge.
Villenauxe est mentionné pour la première fois au XIème siècle , et relève alors de l'archevêché de Sens qui le donne à son chapitre.
Villenauxe devient ainsi le siège d'une prévôté de l'ordinaire, du baillage, de l'élection, de la maîtrise des eaux et forêts et de la coutume de Sens.
L'église de Villenauxe-la-Petite date de la fin du XI' siècle. Elle a été plusieurs fois remaniée. Elle est riche et intéressante par son aménagement intérieur, boiseries, retable, ensemble statuaire en bois polychrome et en pierre.
La croyance en l'Assomption de Marie n'est pas basée
sur l'Écriture. Cette doctrine prend forme en Occident entre le IXème
et le XIIème siècle.
Elle est confirmée au XIIIème siècle par Thomas d'Aquin, Bonaventure et Albert le Grand.
En 1950 Pie XII érige la doctrine en dogme.
Elle est confirmée au XIIIème siècle par Thomas d'Aquin, Bonaventure et Albert le Grand.
En 1950 Pie XII érige la doctrine en dogme.
La coquille
Saint-Jacques est
généralement liée aux pèlerinages ibériques dont les départs se
font de Paris ou de Vézelay, mais il s'agit également d'un motif décoratif propre
à la Renaissance.
La coquille est complètement à l'envers, et l'église n'est d'ailleurs pas aménagée pour accueillir des pèlerins étant donné l'absence de déambulatoire, de tribunes et même de chapelle.
Ce porche est ouvert d'arcs surbaissés des trois côtés.
Sur une base en grès, la pierre calcaire sculptée est protégée d'une ferme en avant-corps cintrée.
La clef de deux arcs est reprise par une colonne ornée de candélabres.
Les colonnettes des pilastres ainsi que les dais des niches, permettent de dater l'ensemble des années 1750.
La coquille est complètement à l'envers, et l'église n'est d'ailleurs pas aménagée pour accueillir des pèlerins étant donné l'absence de déambulatoire, de tribunes et même de chapelle.
Sur une base en grès, la pierre calcaire sculptée est protégée d'une ferme en avant-corps cintrée.
La clef de deux arcs est reprise par une colonne ornée de candélabres.
Les colonnettes des pilastres ainsi que les dais des niches, permettent de dater l'ensemble des années 1750.
[Mentionné au 11ème, "Pacey". Anciennement, Passy-les-Feuillages (18ème). Prieuré-cure bénédictin en dépendance de l'abbé de Cormery (diocèse de Tours). http://www.atome77.com/villes/commune/355/passy-sur-seine.htm] bordé d’une rivière ou d’un ru. La grosse ferme château
(wikipédia). Nous prenons sur la gauche la D 78 rue de Noyen, puis à droite la rue du colombier puis à gauche la rue de l’église (pour voir l’église il faut pousser tout droit et revenir par la même rue, moi je n’y ai plus pensé.) J’ai pris à gauche la rue des Forges, puis la première rue à
gauche nous traversons un ruisseau et retrouvons la D 78 sur la droite (rue de Noyen.) Nous arrivons sur la D59 et prenons en face, à la patte d’oie laissons la route sur la droite poursuivons la branche de gauche la C4 en direction de Courceaux ,puis nous prenons le premier chemin sur notre droite. Lorsque le chemin forme Té avec le notre nous tournons à gauche nous avons un angle droit afin de contourner un champ. Le paysage est
rue des forsythias, puis nous prenons la rue des troènes, puis sur la droite la rue des seringats qui se transforme en chemin et nous retrouvons les champs. Avez-vous remarqué que dans ce village, pas un nom d’hommes célèbres, ou de grandes batailles que des noms d’arbres, ou d’arbustes, et je n’en ai pas trouvé la raison sur internet. La rue ce transforme en chemin et pénètre à nouveau dans les champs. Nous rencontrons des chemins que je n’ai pas sur ma carte GPS et arrivons à un chemin formant Té avec le notre. Prenons la branche de droite, nous contournons un champ avec un virage à gauche à quatre-vingt dix degrés, pour venir buter sur un nouveau chemin et l’on prend à droite, nous sommes sur une butte, enfin le brouillard ce lève et le paysage est légèrement vallonnée, nous apercevons les
plantation pour remonter sur la droite par un chemin traversant le bois. On contourne la butte. On coupe un chemin et l’on continue tout droit. Nous sommes de nouveau en lisière. Ce bois fait pêne à voir avec ses troncs couchés et ses racines en l’aire. En face de nous le village de Villiers sur terre. Encore quelques intersections ou nous prenons ; à gauche, puis à droite, et enfin à gauche (cela évite d'être trop tôt sur la route) et nous arrivons sur la route goudronnée menant à Villiers [Le hameau de Villiers-sur-Terre, fief du chapitre de Sens, était également le siège d'une justice prévôtale, qui ressortissait au bailliage de Jaulnes.] que nous prenons à droite. A l’entrée du village, nous prenons le chemin de gauche puis le premier chemin à droite. Nous passons au dessus du village, et je me demande comment un si petit village pouvait être un fief avec le siège d’une justice. On coupe un chemin et l’on prend le suivant à droite. Au loin un batiment avec une cheminée blanche, (c’est une
la rue des mardelles sur la gauche puis la rue des écoles sur la droite et la rue grande à gauche nous voila revenu à notre parking.

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