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Hé oui ! je n’ai pas mis les points GPS. On ne joue pas au
géocache.... Avec les points GPS on ne regarde plus autour de soit, mais son
écran. Le tracé passe à coté de ce que l’on doit voir, à vous d’ouvrir les
yeux, d’être curieux, de regardez, autour de vous. Ne soyez pas comme les
moutons d'écrits plus haut. Si vous ne trouvez pas ce que j’ai vu, ce n’ai pas
grave, vous aurez peut être vu autre chose, la foret rengorge de très beaux
chênes, hêtres, arbres reliés, arbres greffés, champignons aux couleurs
diverses, végétaux plus ou moins rares dans nos contrées.
33 6h30
1h20 5,1 4.2 580 +
Parking :
Sur le bord de la D 152 (route d’Orléans) Après le viaduc on trouve de la place
à droite comme à gauche. Sauf les week-end de concours hippiques au grand
Parquet. Ces jours là il y a interdiction de stationner en bordure de la Départementale.
Il faudra aller jusqu’au pied de la cote, ou à la Croix de Souvray.
Nous prenons la route Médicis, après
le carrefour avec la route de Vénus nous rencontrons le sentier bleu N° 9 Oest
et le GR nous le prenons sur la gauche.
après avoir franchi l’aqueduc en souterrain nous grimpons dans les rochers du
Mont Morillon proche du sommet nous trouvons un rocher marqué d’une étoile
Station 1. Rocher Fatal.
Poursuivons le sentier bleu, juste avant la
descente nous quittons le GR partant sur la gauche pour prendre sur la droite
le sentier bleu qui descend et longe l’aqueduc
Station 2 : Aqueduc de la Vanne
Poursuivons le sentier bleu
attention, il fait un brusque virage à gauche, puis longe l’aqueduc. Passons sous
la grande arche de celui-ci. Nous prenons sur la droite la route qui ne porte
pas de nom (route de l’Espérance nous le sauront à la fin) coupons la route
Médicis puis au carrefour en étoile nous quittons le sentier bleu partant sur
la droite, poursuivons tout droit, coupons un chemin et peut de temps après
nous trouvons sur la gauche un sentier dans le taillis nous menant à la (On aperçoit
le monument du chemin)
Station 3 : Monument Gorge Mandel
Revenons sur notre chemin nous
arrivons à l’intersection de la D607 et de la D63e2 remontons cette
dernière et prenons le premier chemin sur la droite jusqu'à la rencontre du
sentier bleu que nous prenons à gauche (route du Vert Galant) traversons le
carrefour de la beauté poursuivons le sentier bleu qui grimpe dans le rocher
des Demoiselles. Au sommet on tourne un peu en rond. Le sentier serpente entre
de gros rochers et il a été crée un diverticule menant à un parking. Il faut
prendre la direction de la boucle des demoiselles. Nous avons également un beau
point de vue sur Fontainebleau. Si vous passez devant N vous êtes sur le bon
chemin Nous empruntons la route de la séduction et la route de la séduction
toujours le bleu. A la fourche continuer le bleu et passons devant une mare. Nous
trouverons successivement.
Station 4 : Temple de Cythère ; Curieuse
roche avec quelques gravures
Après le temple poursuivre le bleu,
nous serpentons dans les rochers. Nous passons devant R
Station 5 : Sous un rocher une niche de carrier,
dont toute une partie est muré par des grès fort bien ajusté.
Poursuivons dans les rochers, le
sentier débouche sur un chemin, puis tourne brusquement sur la droite et l’on
aperçoit la lettre ‘’V’’ et nous arrivons à l’auvent Y
Station6 :
Sur l’auvent Y nous trouvons une gravure de 1928 et des traces de
peintures orange ou rouge, difficilement visible qui semblerait daté de 1904.
Poursuivons le sentier 9 nous
arrivons au nœud du sentier. La boucle ou tout le monde se perd et repart par
le chemin qu’il vient de faire. Si, si je vous l’affirme j’en ai vu des groupes
avec leurs cartes tournées dans tout les sens pour trouver le bon chemin. Je
vous rassure, je ne suis pas plus malin. Donc je prends le sentier face à moi
(celui qui est commun au GR) dans les rochers
nous quittons le sentier
bleu et poursuivons le GR qui descend
sur la droite, nous arrivons au carrefour du Bonheur et prenons la route du
mystère qui grimpe nous apercevons quelques pins greffés
(Station 6a)
Passons le carrefour des Grands Genièvres et
au carrefour suivant nous prenons à gauche le chemin du même nom. Ensuite à
droite le chemin de Villiers. Nous arrivons au carrefour du Montoir, nous
coupons la D63e2 et prenons la route des Ypréaux
*
Nous passons une borne IGN au raz du
sol à l’angle de la première route. Passons le carrefour des Grisards. Au carrefour des Ypréaux nous prenons à droite
la route des portées et au carrefour des Erables sur la droite la route du Revoir.
Coupons la D 301 poursuivons la route du revoir et au carrefour avec la route
de la reposé faire quelques mètres pour voir (Revoir et Reposé ainsi que
d’autres sont des termes de vénnerie)
la station 7 : Monument
aux aviateurs Américains
Revenons sur nos pas et reprenons
la route du Revoir, nous coupons plusieurs routes dont celle de Barnolets
renforcé et en agrégats, à un carrefour mal fait nous passons sans nous en
rendre compte de la route des revoirs à la route des Délinquants. Nous débouchons
après avoir coupé plusieurs routes sur celle des Tapisseries que nous prenons à
droite, on retrouve la route des Barnolets (Pourquoi ce détour ? Pour
faire le nombre de kilomètres prévu pour une grande promenade…… Non, pas du
tout ou presque. Je n’aime pas trop les longues routes en stabilisées et
bitumées. Les Barnolets sont en stabilisé, la Génisse est en bitume) reprenons
les Barnolets sur la gauche. Coupons la D63e2 Poursuivons en face.
Nous coupons le GR et rencontrons le TMF qui va nous accompagner un petit bout de
chemin. Lorsque ce dernier tourne sur la droite nous prenons quelques mètres
plus loin à gauche la route du Clos du Héron. Nous arrivons sur la route
bitumée (sans circulation) de la Génisse que nous prenons à droite. Nous
arrivons au carrefour Poli coupons la D 152 en face nous avons la
Station 8 : Monument Poli
Prenons sur la droite la route du
Prince Royal coupons la route des Barnolet et nous arrivons à la route du Chêne
aux Chapons que nous prenons à gauche au carrefour du même nom nous prenons à
droite la route des Gorges aux Archers. Après la route du Gros Buissons la
route des gorges aux archers de chemin nous passons à sentier et serpentons
dans la bruyère, au carrefour du Déblai nous retrouvons une route digne de ce
nom et nous coupons la route de la Haute Borne bitumée (sans circulation)
poursuivons en face. Nous débouchons sur le carrefour du piège nous prenons sur
notre gauche la route Descamps (je me suis toujours demandé la raison du nom de
cette route à cet endroit, alors que le peintre est mort d’une chute de cheval
pas très loin de Belle Croix dans les Monts Saint Père). Nous rencontrons le
TMF et un balisage jaune. Dans un virage, nous quittons cette route pour
prendre sur la droite la route du liteau ressemblant à une laie forestière
entre la parcelle 88 et 619 également piste cavalière avec un balisage orangé à
2m de haut. Nous sommes à la limite de la foret domaniale de la foret des trois
pignons. Prenons à droite un chemin de bornage. Nous débouchons sur le chemin
d’Arbonne à Achères Que nous prenons à gauche. Nous y rencontrons le GR1 et le
TMFet balisage jaune. Nous arrivons à une patte d’oie inversé et nous prenons à
droite (on a abandonné le GR et le TMF) c’est un carrefour avec un banc.
Ensuite ce n’est pas très simple nous trouvons
sur la gauche un sentier que nous prenons. Nous laissons sur la droite la route
du Bois Rond poursuivons un sentier
qui nous fait traverser une carrière. Pas
simple … si au départ c’est un sentier on grimpe comme à la montagne en
serpentant. Cela se termine par une trace utilisé par les sangliers ou autres
quadrupèdes, enfin on y découvre un beau front de taille. Il faut le suivre sur
la gauche pour voir la
station 9 un beau Cairn en forme de tronc de cône
en ‘’écaille’’
De l’autre coté nous descendons sur
le
Chemin du Bois rond que nous prenons à gauche. Nous arrivons à un
carrefour avec le Chemin de l’Auberge sur la gauche. Nous trouvons sur la
droite un sentier qui grimpe dans les rochers. Nous grimpons en serpentant le Rocher
de la Reine, en son sommet nous poursuivons un sentier de crête nous permettant
de traverser ce haut plateau. Sentie
r
La Plaine de Chanfroy*
beaucoup plus facile à suivre lorsqu’il
était emprunté par le TMF, aujourd’hui difficile par toutes les fausses pistes.
Nous descendons passons l’aqueduc de la vanne en souterrain. Dans le bas sur la
gauche nous trouvons le chemin du rocher de la Reine, que nous prenons sur la
gauche, puis le premier chemin sur la droite ; le chemin des Enclos. Nous
entrons dans
Sur la gauche nous apercevons le
premier monument. En son extrémité nous trouvons l’Allée des Fusillés que nous
prenons à gauche nous arrivons
Aux Stations 10-11&12 Monuments des Fusillés
Reprenons l’allée des Fusillés et
dirigeons nous vers le chemin de la plaine de Chanfroy au carrefour avec ce
dernier nous trouvons
la station 12a sur
notre droite.
Prenons sur la droite le chemin de
la plaine de Chanfroy, nous trouvons sur notre gauche une pancarte et un
sentier, si vous lever la tête vous devez apercevoir la tour de la vierge. Au
depart le sentier balisé en jaune ne se voit pas trop ensuite lorsque l’on
grimpe le rocher de Corne Biche il est mieux marqué et au sommet nous trouvons
un sentier de crête que nous prenons sur la gauche et arrivons à
la station 13 : Tour de la Vierge
On a une belle vue sur la foret.
Revenons sur nos pas et suivons ce chemin de crête qui serpente entre les
rochers, parfois pas facile à suivre. Nous arrivons à la ‘’canche’’ (petit
affaissement entre les deux dunes à la montagne on appellerait cela un col)
entre Corne Biche et le Rocher de Milly nous y trouvons un chemin que nous
prenons à droite. Un peu plus bas, nous trouvons sur la gauche un petit
sentier, une piste cavalière que nous pouvons prendre elle aboutie au même
endroit et me semble plus agréable que le chemin. En bas nous trouvons la route
de Milly à Fontainebleau, que nous prenons à gauche. Longue route sableuse,
parfois un peu pénible, longeant l’aqueduc de la vanne en souterrain. Coupons
le GR et le TMF au carrefour suivant nous prenons à droite la route de la
Princesse Marie, coupons plusieurs routes, passons deux carrefours et prenons
sur la gauche la route du décagone coupons le chemin
d’Achère à Fontainebleau, puis
quittons la route du décagone
pour prendre
la route du rocher de la combe. Coupons la route ronde (D 301) Prenons en face
la route du rocher de la Combe. (Nous entrons à nos risque et péril dans une
réserve biologique intégrale.)
Descendons
en longeant la dune et vue les tas ‘’d’écalles’’ essayons d’imaginer ce que
devait être le chaos rocheux. Dans le bas à un carrefour mal foutu, faisant
fourche nous rencontrons la route Griffon que nous
prenons à gauche, elle
ressemble à un sentier. Nous remontons. Il faut bien justifier les 500m de
dénivelés. Au sommet nous débouchons sur un chemin formant Té prenons la
branche de gauche. Nous trouvons un sentier que nous prenons à droite sur une
vingtaine de mètres et l’on trouve dans la bruyère un sentier s’avançant vers
un banc de coupe. Descendons dans le ‘’chantier’’ ou nous trouvons une petite
grotte et
la station 14
; des gravures au rocher de la Combe.
Certainement d’anciens conscrits en
poste dans ce lieu isolé pour empêcher à qui conte de pénétrer sur le terrain
militaire du polygone, trompaient l’ennuie en gravant ; qui son nom, qui sa
maison, certaine sont en reliefs.
Revenons sur notre route Griffon ,
poursuivons ce plateau traversons le carrefour Paulet, puis le carrefour du
Mont Enflammé descendons le Mont Enflammé et dans le bas nous prenons sur la
droite la route de d’Achère à Fontainebleau. Nous arrivons à notre parking si
vous êtes garé proche de l’aqueduc.
LEXIQUE
Station 2 : Aqueduc
de la Vanne et du Loing ; Les aqueducs de la Vanne et du
Loing, ainsi que les aqueducs secondaires, sont entièrement gérés par
Eau de Paris, qui est la régie municipale chargée
de la production et de la distribution de l’eau dans la capitale. Les aqueducs
de la Vanne et du Loing font partie d'un projet d'aqueducs conçu en 1858 par
l'ingénieur Eugène Belgrand à la demande du Baron Haussman pour approvisionner
Paris en eau potable captée dans les sources de rivières situées en dehors de
la capitale. Le projet de Belgrand prévoit la construction d'un réseau de quatre
aqueducs acheminant les eaux des sources de l'
Avre, en
Normandie ; de la
Dhuis, en
Picardie ; du Loing et de la Vanne au sud de
l'
Île-de-France
et en
Bourgogne.
L’aqueduc de la vanne : Les aqueducs de la Vanne et du Loing
sont deux
aqueducs qui acheminent de l’eau potable vers
Paris
depuis des
sources situées
en
Bourgogne et en
Île-de-France jusqu’aux
réservoirs de Paris. Ces aqueducs portent le nom
des sources des rivières qui les alimentent : la
Vanne, un
affluent de l’
Yonne, et le
Loing,
un affluent de la
Seine.
D’une longueur de
156 km, l’aqueduc de la
Vanne, dont la construction a commencé en 1866 et s’est achevée en 1874, est
l’œuvre de l’ingénieur
Eugène Belgrand
qui l’a conçu à la demande du
baron Haussmann
qui souhaitait faire venir l’eau potable de sites éloignés de Paris afin de
garantir une alimentation en eau de qualité avec un débit régulier. Construit
entre 1897 et 1900 en complément de l’aqueduc de la Vanne, dont il suit le
parcours depuis la
Forêt de Fontainebleau
jusqu’à paris, l'aqueduc du Loing a une longueur totale moindre :
95 km, mais son débit est plus puissant car son
diamètre est plus large et, de plus, il reçoit les eaux de deux aqueducs
secondaires : celui de la
Voulzie et
celui du
Lunain.
C'est en 1925 que l'aqueduc de la
Voulzie est mis en service comme aqueduc
secondaire de l'aqueduc du Loing.
À leur mise en service, les deux aqueducs de la Vanne et du Loing ont
directement alimenté le
réservoir de Montsouris
à Paris. Mais, depuis 1969, l'aqueduc de la Vanne est relié par une dérivation
au
réservoir de
l'Haÿ-les-Roses qui est maintenant son réservoir terminal. Les
sources qui alimentent l'aqueduc de la Vanne se situent dans le bassin de la
Vanne : les
sources hautes et les
sources basses, à l'est de
Sens ; et de l'Yonne : la source de
Cochepies,
au sud-est de
Villeneuve-sur-Yonne.
À ces sources, des eaux provenant de
champs captants situés le le long de l'Yonne sont
ajoutées à l'aqueduc : le champ captant des
Vals d'Yonne, à
Gisy-les-Nobles, et des
vals de Seine sur
le territoire de
La Grande-Paroisse,
qui ont été reliés à l'aqueduc en 1936 et 1955 respectivement.
L'aqueduc du Loing est lui alimenté par des sources situées dans le bassin
du Loing : les sources de
La Joie, de
Chaintréauville et de
Bourron,
au nord de
Nemours ; et dans la vallée du Lunain :
la source de
Villemer et le captage de
Villeron. Quant à
l'aqueduc secondaire de la Voulzie, il est alimenté par des eaux de sources de
la vallée de la Voulzie : les sources de la
Voulzie, du
Durteint et du
Dragon,
dans les environs de
Provins. Le
parcours de l’aqueduc de la Vanne jusqu'à Paris s'effectue pour une grande
partie dans des tranchées couvertes ou dans des conduites souterraines, mais
aussi sur de nombreux
ponts-siphons
ou ponts-aqueducs.
L'aqueduc du Loing a un parcours principalement souterrain jusqu'à la
station de relevage de
Sorques qui
permet de relever les eaux de l'aqueduc à la cote
92 m,
au niveau de celles de l'aqueduc de la Vanne qu'il rejoint ensuite dans la
forêt de Fontainebleau,
dans le centre de traitement et de relance de
Fontainebleau situé au niveau du quartier de la
Croix-du-Grand-Maître,
à l'ouest de
Veneux-les-Sablons.
L'aqueduc de la Voulzie suit en partie le cours de la rivière. Ses eaux,
provenant de différentes sources de la région de Provins, sont traitées dans
l'usine de
Longueville,
puis, l'aqueduc se dirige vers
Champagne-sur-Seine
où il franchit la Seine pour atteindre l'usine de traitement de Fontainebleau.
L'usine de Fontainebleau est le lieu où se rejoignent les trois aqueducs.
C'est à partir de cette usine que l'aqueduc du Loing, qui reçoit les eaux de
l’aqueduc de la Voulzie en renfort, gagne Paris en suivant le parcours de celui
de la Vanne dont il emprunte tous les ouvrages d'art.
Les deux aqueducs cheminent côté à côte de Fontainebleau à Paris, soit en
souterrain soit sur des ponts-aqueducs ou siphons-aqueducs.
Peu avant Paris, une petite dérivation de l'aqueduc de la Vanne permet
d'alimenter le
réservoir de
l'Haÿ-les-Roses. Puis les deux aqueducs se séparent pour franchir la
vallée de la Bièvre. L'aqueduc franchit la vallée par le
pont-aqueduc
d'Arcueil, alors que l'aqueduc du Loing la franchit par un
pont-siphon à Cachan. (Wikipédia)
D’autres site traitant de ce transport de l’eau ;
http://randosacaudos.blogspot.fr/2014_02_01_archive.html
station
3 : Monument Gorge Mandel
Georges Mandel, de son vrai
nom Louis Georges Rothschild, né le 5 juin 1885
à Chatou et assassiné le 7 juillet 1944
en forêt de Fontainebleau
par des miliciens,
est un homme politique
majeur de l’entre-deux-guerres et un résistant français.
S’il a été décrit comme le fils
naturel d’une fille Rothschild, il est sans parenté avec la famille de banquiers du
même nom.
Jeune journaliste collaborateur de Georges Clemenceau
à L’Homme libre, il le suit sur les chemins de la politique en devenant
un de ses attachés de Cabinet en 1908. Lorsque son vieux directeur accède à la présidence
du conseil en novembre 1917, il devient son chef de cabinet.
Une longue carrière politique lui
est ouverte dans le camp conservateur après la
Grande Guerre.
Député
et ministre (années 1920-1930)
Élu député modéré de Gironde
durant la vague Bleu Horizon
de la droite, ce
proche de Clemenceau
défend en 1920 le projet de rétablissement des relations diplomatiques entre la
France et le Vatican.
puis s’affirme comme ministre des Postes, Télégraphes et Téléphones
entre 1934 et 1936. C’est sous son égide que la première
émission officielle de télévision française est diffusée le 26 avril
1935.
Dans les années 1930, il élève la voix pour avertir des
dangers de l’Allemagne nazie.
il est nommé ministre des Colonies d'avril 1938 à mai 1940, et
s'emploie, tout en luttant contre les mouvements nationalistes au Maghreb.
Mandel, véritable homme fort de la droite politique, est promu en urgence Ministre
de l'Intérieur dans le gouvernement de Paul
Reynaud formé le 18 mai 1940. Mandel a été en partie à l'origine de
la détermination du général de Gaulle, le 14 juin 1940, d'aller à Londres
représenter la France libre.
Opposé à l’Armistice et
au pouvoir autoritaire en voie de constitution, il est arrêté le 17 juin 1940
sur l’ordre de Pétain, à peine promu président du Conseil, sur la base de
fausses accusations. Le 8 août 1940, Georges Mandel est arrêté au Maroc,
déféré à la cour de Riom
et conduit au château de Chazeron
dans le Puy-de-Dôme où se trouvent déjà Paul Reynaud, Édouard Daladier
et le général Maurice Gamelin.
Tous quatre transférés dans un hôtel de Vals-les-Bains et condamnés à la prison à vie par le tribunal d’exception voulu par
le maréchal Pétain le 7 novembre 1941, puis sont emprisonnés au fort du Portalet, dans les Pyrénées, gardés par
des gendarmes français. À la suite de l’invasion de la zone
libre les Allemands organisent un coup de main sur le fort du
Portalet. Les gendarmes leur ouvrent les portes et leurs remettent les
prisonniers qui sont transférés dans un camp de la Gestapo à Oranienburg-Sachsenhausen, non loin de Berlin.
Mandel est ensuite incarcéré près de Buchenwald, dans un camp spécial destiné aux hommes politiques des pays
occupés Il est finalement rapatrié à la prison de la Santé
à Paris où il est livré à la Milice le 4
juillet 1944.
Le 7 juillet en forêt de
Fontainebleau, le milicien Mansuy l'abat de seize balles dans le dos, en
représailles à l’exécution par la Résistance du
ministre collaborationniste
de la Propagande Philippe Henriot.
Selon l'historien François Delpla,
l'explication selon laquelle Mandel aurait été tué par la Milice pour venger
l'exécution de Philippe Henriot est peu plausible ; il privilégie un ordre
direct des dirigeants allemands ; cette thèse est controversée.
Sa tombe au
cimetière de Passy
à Paris est ornée du même médaillon en bronze représentant son profil que celui
du monument à sa mémoire réalisé par le sculpteur
François Cogné
– auteur de la célèbre statue de Clemenceau de l'avenue des Champs-Elysées
à Paris – érigé à l’endroit où il fut assassiné, sur le bord de la route
Fontainebleau-Nemours (D607 ex
N7
à
1,9 km de l’obélisque). Extraie wikipédia.
Station 4 : Temple de Cythère ; Gravures Rupestres.
Un bilan effectué en 1999 faisait état dans ce massif de 1120 cavités comportant des gravures, faisant de cet ensemble, en
quantité de gravures, le deuxième de France après celui de la Vallée des Merveilles et du Mont Bégo.
Effectuées
dans les zones tendres du grès à différentes époques par frottement ou
abrasion à l'aide d'objets durs (silex, grès
dur, métal), les gravures comprennent essentiellement des sillons
rectilignes, isolés, diversement regroupés, souvent associés en
faisceaux parallèles ou convergeants, pouvant se recouper
perpendiculairement en grilles. D'autres figures, à caractère
symbolique, apparaissent çà et là: cruciformes, étoiles, rouelles,
carrés, arbalétiformes ou autres. Assez rares sont les figures
végétales, animales ou anthropomorphiques.
Une
pratique issue du Mésolithique. (Photos provenant de la grotte de Cornebiche)
Le
terme d'abri orné s'entend au sens
de "cavité abritant des gravures".
Ces cavités, généralement exiguës, peuvent aller de la
niche de quelques décimètres à
la grotte de 15m de profondeur. Bien qu'offrant
pour la plupart un abri sommaire, rares sont ceux,
suffisamment vastes pour être habitables.
Les
gravures sont exécutées sur les parois
internes accessibles à la lumière
du jour. Le
matériel lithique recueilli sur place, notamment
des gravoirs et des armatures de flèche en
silex, permet d'attribuer cette pratique aux chasseurs-cueilleurs nomades
du Mésolithique (-9000 à -5500 ans avant notre
ère).
Les
sillons rectilignes sont les plus abondants. Des
simples traits alignés, on passe aux quadrillages,
omniprésents, et aux motifs géométriques
élaborés comme croix, chevrons, étoiles,
représentatons circulaires et dérivés, puis à
un répertoire semi-figuratif. Celui-ci
comprend des représentations humaines et
animalières (cervidés),
d'armes ou d'outils, et d'autres gravures convenues plus énigmatiques.
Parfois explicite (signe vulvaire, lancéolé),
la désignation utilisée par les chercheurs
reflète plus souvent leur perplexité
(claviforme, arboriforme, scaliforme, tectiforme...).
La comparaison avec l'art rupestre extra-régional
met en évidence un symbolisme graphique largement
répandu.
La
référence à l'archéologie
permet d'attribuer certaines gravures au Néolithique,
à l'Âge du Bronze (boucliers, lances) ou
au Moyen-Âge, comme la triple-enceinte. Quelques
représentations comme le symbole
des neuf cupules échappent à
toute analyse.
Station
6a : Nous sommes de nouveau dans une ancienne carrière de grès qui
fût exploitée en 1667. Dans le chantier devenu chemin piéton nous trouvons des
pins comportant des boursouflures Greffage des pins dans la forêt de
Fontainebleau
Dans le numéro de la Revue Forestière Française, il
est fait mention du greffage des pins. Or, il y a plus de cent ans, la question
avait déjà retenu l'attention des forestiers. Article paru dans les Annales
Forestières en avril 1843 (p. 220-224) MARRIER DE BOISDHYVER ,a
donné d'intéressantes précisions « Cette greffe ne peut s'effectuer qu'à
l'époque de la végétation du printemps, au moment où la pousse terminale a
acquis les deux tiers ou les trois quarts de son allongement. Elle se fait en
fente sur des sujets de trois à six ou huit ans de semis. Le pin sylvestre
paraît le plus propre de tous à recevoir la greffe. le greffage commence à
Fontainebleau du 15 au 25 mai « La pratique a enseigné qu'il faut de préférence
s'attacher aux sujets dont la pousse terminale est environ de la grosseur du
petit doigts...
De nombreux conseils sont encore donnés : une planche
montre en détail toutes les opérations.
L'auteur trouvait comme avantage de la greffe « la
propagation prompte des pins les plus précieux, en créant des porte-grains au
moyen desquels on obtient sur place des semences qu'il faudrait tirer à grands
frais des lieux éloignés, d'où elles arrivent souvent avariées. C'est dans ce
dessein que le greffage des pins en laricio a lieu annuellement à
Fontainebleau, et avant un quart de siècle, cette forêt pourra rivaliser avec
la Corse pour livrer des graines de laricio de bonne qualité et à bas prix ».
REVUE FORESTIÈRE FRANÇAISE
Cent quatre mille pins sylvestres dans la forêt de Fontainebleau ont été
ainsi greffés en laricio et autres espèces, considérées à l'époque comme «
encore rares ».
Le sort des pins laricio ainsi
greffés, M. Γ Inspecteur principal -CLÉMENT JACQUIOT a bien voulu, par une lettre datée
de juin 1949, donner les indications complémentaires suivantes:
« On trouve encore des pins laricio greffés dans
beaucoup de parcelles résineuses de la forêt de Fontainebleau. Ces pins sont
toujours vigoureux et d'une forme parfaite. Leur diamètre varie de 60 à 80 cm.
Il est assez difficile d'évaluer leur nombre, car ils sont irrégulièrement
dispersés dans des peuplements de pin sylvestre, notamment à la (Croix de
Toulouse.
Plaine de Samois), (Barnolets), (Monts Girard), etc..
Le nombre ne doit plus dépasser 1.000 ou 1.500, par
suite des réalisations progressives au cours des exploitations normales, mais
surtout à la suite des incendies qui, au cours des cent dernières années, ont
parcouru au moins une fois la presque totalité des parcelles résineuses de la
forêt.
* ; Ypréaux (Le
Littré fournit pour ce mot une triple explication
1° Espèce d'orme ;
2° nom vulgaire du saule marsault
3° un des noms donnés au peuplier blanc.
La première semble conforme à l'étymologie. Les arbres, communs à Ypres, en
Flandre, sont des ormes d'une espèce particulière. Louis XIV en fit planter à
Marly, et c'est peut-être à lui que la forêt de Fontainebleau est redevable de
cette plantation, si elle n'est pas plus ancienne ; car déjà le P. Dan
constatait que les arbres des allées du Parc, plantés sous Henri IV, étaient
des ypréaux.( dictionnaire de la foret)
Des témoins (du 115Th Field
Artillery Battailon US) ont vu l'avion qui traversait le ciel couvert en vrille
violente non conventionnelle (éventuellement inversée) - Peu après, l'avion a
heurté le sol en inversé et a été démoli, tuant tout l'équipage. Décollage
terrain Melun Villaroche (77) - Nuit du 10 au 11/11/1944 –
De ce dernier site nous trouvons le rapport complet
en Anglais mais également quelques photos en noir et blanc des restes de
l’avion.
Station 8 :
Monument Poli ; Le 4 juillet 1944, les Allemands cassent dans l'œuf
le maquis forestier d'Achères-la-Forêt, créé par André Prenant : cinq
arrestations ont lieu dont celle du jeune garde forestier, Laurent Poli. Il est
fusillé avec ses camarades le 21 juillet 1944 dans la plaine de Chanfroy à
Arbonne.
http://museedelaresistanceenligne.org/media5638-StA#fiche-tab
* ; Plaine de Chanfroy ;
Un
micro-climat règne d’ailleurs ici. L’hiver, la plaine est, comme son nom
l’indique, un champ froid. A l’automne, la brume matinale est persistante et
l’été, la réverbération des rayons du soleil sur le sol sablonneux fait croître
la température du cirque. Cette plaine a des allures de steppe. Son sol est
composé de sable et de petits cailloux. Jusqu’au début des années 80, une
carrière de grès et de sable était exploitée.
La plaine de Chanfroy devient un
site militaire sous Louis-Philippe Ier. En 1839, un camp de onze
mille hommes manœuvre sous le commandement du duc d’Aumale, duc de Nemours.
La cour de Napoléon III séjourne
tous les ans, entre mi-juin et mi-juillet, au château de Fontainebleau ;
l’impératrice Eugénie découvre « Les Sables Blanc » d’Arbonne et
n’hésite pas à dévaler la dune, obligeant toutes ses compagnes à la suivre.
Elle les entraîne par la suite, pour d'autres excursions dans les rochers en
des ascensions plus fatigantes que périlleuses.
En 1870, pendant l’occupation
prussienne, comme en 1815, les Arbonnais, surtout les femmes, s’abritent dans
les cavités rocheuses de la forêt si proche. Des bandes de francs-tireurs se
constituent et, profitant des souterrains existants (notamment celui des eaux
de la Vanne en construction) tendent des embuscades. La construction de
l’aqueduc dure 7 ans de 1867 à 1874 et achemine les eaux de la vanne, du Loin,
du Lunain jusqu’au réservoir de Paris-Montsouris).
L’abbé Moreux, un éminent savant,
travaille, en liaison avec l’école d’application d’artillerie de Fontainebleau,
sur un système de repérage par le son des batteries ennemies pour que
l’aviation puisse les localiser et les détruire en économisant les nombreux
tirs des réglage imprécis. Après la guerre la maison qu’il occupait prend le
nom de « Domaine de Corne-biche » et deviendra une hôtellerie, lieu
de plaisir, rendez-vous de la jet-set des années folles.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands font
de la belle plaine de Chanfroy un terrain d’exercice pour leurs apprentis
aviateurs.
stations
10-11&12 Monuments des Fusillés
Un lieu de mémoire pour les 36 victimes du 21
juillet 1944 (22 victimes) et du 17 août 1944 (14
victimes). Torturés, massacrés à la mitraillette
par les Allemands. Ils furent enterrés sommairement dans deux fosses
communes.
Les deux fosses n'ont jamais été comblées pour
garder à cet endroit la solennité du recueillement.
Avant 1970, le lieu s'appelait 'Charnier
d'Arbonne'. [Texte extrait
de : Wikipedia]
Au début de juillet 1944, alors que les
combats font rage en Normandie où les alliés ont débarqué un mois auparavant,
l’aviation alliée bombarde en masse les voies de communication de
Seine-et-Marne. Les réseaux de résistance et les maquis sont passés à l’action,
multipliant les sabotages et les attentats qui entretiennent un climat
d’insécurité et de tension.
La Gestapo, les Feldgendarmes et la Milice répriment sévèrement ce qu’ils
appellent les « actes terroristes ». Résistants et maquisards sont abattus sur
le champ ou emprisonnés, pour être interrogés et torturés. En cela, Wilhelm
Korf et son équipe, qui appartiennent à la Gestapo de Melun, se distinguent
particulièrement dans la région. Des otages sont raflés en grand nombre. Otages,
résistants et maquisards sont internés dans la prison de Fontainebleau, rue du
sergent Perrier, et dans son annexe, la caserne Damesne.
Le 21 juillet et le 17 août 1944, à six jours de la
libération de Fontainebleau, trente-six civils et résistants sont sortis de la
prison de Fontainebleau où ils ont été torturés. Amenés les mains liées dans le
dos aux carrières de sable de la plaine de Chanfroy, ils sont exécutés par les
Allemands et enterrés sommairement dans deux fosses communes. Le 7 décembre
1944, alors qu’ils viennent chercher du sable à Chanfroy les militaires
américains découvrent le premier charnier.
Les 22 fusillés de la plaine de Chanfroy du 21 juillet 1944 :
Ceux du maquis « Bara » de Moisenay arrêtés sur
dénonciation :
- André léonard Perret (45 ans) artisan carrier, chef
du groupe
- Auguste Perret (23 ans)
son fils
- Eugène Bailay (38 ans)
résistant cheminot
- André David (25 ans)
- Jean Méry (21 ans)
- Victor Gervaise (19 ans)
- Albert Guart (20 ans)
- Bernard Ourteau (29 ans)
Ceux
de Villebéon : Ceux d’Achères-la-Forêt
1
Robert Canaux (23 ans) Laurent Poli
jeune garde forestier (20 ans)
2
Marcel Calmel (23 ans) Germinal Matta (19 ans)
3
Raymond Golisset (24 ans) Robert Rius (30 ans) poète du mouvement surréaliste
4
Léon Morel (48 ans) Jean Simonpoli
(32 ans) directeur des cahiers de poésie
5
André Morel (20 ans) fils Marco Ménégoz jeune poète normand (16 ans et demi)
6
Gilbert Ingrain (22 ans) René
Girard (24 ans)
Edgar Ferrand (49 ans) agriculteur FN-Vengeance
Maurice
Daudet (34 ans) du MLN- FTP
Les 14 fusillés du 17 août 1944 :
- Le colonel Yves Masiée (47 ans) chef régional de la
Force française combattante pour la Seine-et-Marne
- Le capitaine Jacques Desbois (44 ans) commandant
FFI de Seine-et-Marne.
- André Berge (39 ans) chef militaire FFI du secteur
de Meaux.
- Marius Billard (55 ans) réseau Guérin-Buckmaster
- Jean Bolastre (35 ans)
Résistance Nord
- Jean Etienne (34 ans)
Résistance Nord
- Henri Rivoire (29 ans)
Résistance Nord
- Marc Chemin (20 ans)
FTPF
- Claude Chailleux de l’organisation ‘‘Vélite
Thermopyle’’
- Georges Papillon (33 ans) du mouvement ‘‘Ceux De La
Résistance’’
- Maurice Renoul (50 ans) sans doute en mission, de
réseau inconnu.
- Robert Fournier résistant de la commune de Mouroux
- Roger Genty (22 ans)
Il y eut sept rescapés qui n’ont pu monter dans le camion faute de place.
Le 36e fusillé n’a jamais pu être identifié. Des obsèques nationales
ont lieu le 14 décembre à Fontainebleau où l’on aménage une chapelle mortuaire
sous le marché couvert.
Les deux fosses n’ont jamais été comblées pour garder à cet endroit la
solennité du recueillement. Une cérémonie leur rend hommage chaque troisième dimanche d'août.
la
station 13 : Tour de la Vierge ; Histoire
de la Tour de la Vierge:
Cette petite tour maçonnée surmontée d'une vierge a été édifié en 1862
par la famille Poyez de Melun. L'oratoire de Notre-Dame-des-Champs. Maître Poyez avoué à Melun, à la
suite d’un vœu pour la guérison de sa fille, fait édifier une tour chapelle
ex-voto baptisée « Notre-Dame de Grâce » sur le rocher dominant la
plaine de Chanfroy. Il avait obtenu de la commune d’Arbonne ce terrain à titre
d’honoraire sur sa demande, pour l’avoir défendu dans un procès en cour de
cassation, mettant ainsi fin aux contestations des propriétaires du château de Fleury
sur les communaux.
A l'intérieur, aurait été le lieu de la conversion d'un poète forestier:
Adolphe Retté.
En 1906 l’écrivain Adolphe Retté,
poète forestier, auteur de La Forêt bruissante allant à Notre-Dame de
Grâce y trouve le chemin de sa conversion. Il raconte cet événement dans un
livre Du Diable à Dieu.
"Au cours d'une promenade dans la forêt de Fontainebleau, il
aperçoit, au sommet du rocher de Corne biche, un petit oratoire surmonté d'une
statue de Notre-Dame de Grâce. Il entreprend sans hésiter l'escalade du rocher
et supplie Marie: «Ô vous, que je n'ai pas encore invoquée, priez votre divin
Fils de m'inspirer ce que je dois faire». Une voix très douce lui répond au
fond de son cœur: «Va trouver un prêtre. Confesse-toi, entre dans l'Église». À
cette perspective, il se cabre: «Je ne puis pas, j'ai peur de me livrer de la
sorte».] Pèlerinage
le 15 aout et en octobre (pèlerinage des madones forestières. (J’ai oublié de
noter le site ou j’ai copié ses commentaires.)
Les autres randos pour ouvrir les yeux
Pour ouvrir les yeux 1 ; Le Nord de la foret
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/04/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-n1.html
Pour ouvrir les yeux 2 ; Le nord de la foret avec le Fort des Moulins, Le Mont Ussy, Le Cassepot, Samois
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-2.html
Pour ouvrir les yeux 3 ; Hauteur de la
solle-Long Boyau- Salamandre- Gorges aux Houx- Mont Aigu
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-3.html
Pour ouvrir les yeux 4 ; Apremont
– Gros Sablon- Haute plaine – Franchard
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-4.html
Pour ouvrir les yeux 5 ; Petit
Mont Chauvet- Bouligny-Rocher Fourceau-Gorges au Loup-Bois Ménites-Haut
Mont-Malmontagne-Rocher Brulé-Rocher d’Avon
http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/06/des-randos-pour-ouvrir-les-yeux-5.html
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