dimanche 4 octobre 2015

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR - 4 Etape 1010 - Chalet Maline - Moustier

  GR 4  : Chalet de la Maline à Moustier sainte Marie 

étape 1010

Juin 2015

 

 Carte IGN         Trace GPS & Topo sans Commentaires         Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b238289

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  Chalet de la Maline à Moustier Sainte Marie GR 4 Etape 1010

 emardi 16 juin

 KM     Temps     arret     V/d     V/g     Dénivelé
25,1       6h00       49 mn     4,5      4        848 + maxi 1377
                                                 
Le temps est approximatif j'ai oublié de le noter.


Fin des parcours techniques pour reprendre une expression du coin, enfin c'est ce que je croyais!!!! Le col de l'Ourbes est pas mal dans son genre. Pas facile ce sentier dans les rochers, belles vues, mais je n'ai pas eu le temps d'en profiter.
A huit heures, je parts sous un beau soleil. Normalement un parcours pas trop difficile.  Lorsque l'on regarde la carte le GR 4 suit la route bitumée jusqu'au Palud. On peut prendre un petit sentier passant par la ferme de la Maline, puis le sentier du Bastidon jusqu'à la D 952 et rejoindre le GR 4 par le ravin de Jas. Et de circuits locaux en circuits locaux arriver à Moustier. Ce ou ces circuits semblent plus court, mais que dans les rochers, et puis ce n'est que des sentiers locaux et je m'en méfie un peu. Si j'étais en vacances je pense que j'aurai tenté l'aventure. Mais en tant que Chemineux je suis le GR 4 et la route. Cela va me permettre de démarrer tranquillement. Sur la carte, il me semble que la fin de cette étape n'est pas facile.
Pratiquement huit kilomètres de route jusqu'au Palus. Une route en corniche, magnifique, Grandiose. A pied on voit tout, c'est grandissime. Il me semble qu'il faut faire les deux, la route, mais à pied et le fond des gorges. (En voiture 'j'suispassur' que le conducteur soit de mon avis.) Sur la route, à huit heures du matin il n'y a pas grand monde (voitures.) On a pas besoin de faire attention ou l'on met les pieds, ce qui permet de regarder le paysage. Par le chemin des gorges on se sent écrasé par les falaises, faut faire 
attention ou l'on met les pieds. On à un peu l’angoisse des prochaines difficultés. Ou alors, il faut le faire deux fois, (un peu maso le gars) comme la première fois on a franchi les difficultés avec succès, la seconde fois on peut se concentrer sur le paysage. Une chose me semble certaine il faut le faire dans la journée pour bien en profiter. Revenons à notre itinéraire.
Nous quittons la route dans un virage et arrivons au Palud sur Verdon : Un peu d'histoire.
[Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (de Palude), est tiré de l’occitan palut, désignant une zone marécageuse ou alluvionnaire. La commune de La Palud prend le nom de La Palud-sur-Verdon en 1961. (wikipédia)
Au milieu du XIe siècle, la grande seigneurie de Châteauneuf englobe le territoire des communes actuelles de châteauneuf-de-Moustiers et de La Palud sur Verdon... ... Entre les deux et les dominant, une forteresse appelée " Castrum Novum " hérisse la montagne dite plus tard " Les Barris ". En 1062, l'un des coseigneurs donne sa part du château et de l'habitat rural à 
Arrivée à la Palud
l'abbaye Saint-Victor de Marseille. Les moines possèdent déjà, près du lieu, le petit monastère de Saint-Maurice de Mayreste (aujourd'hui Saint-Maurin et ses grottes). Au pied du Castrum Novum, sur un promontoire surplombant une étroite plaine marécageuse, ils bâtissent alors l'église d'une nouvelle paroisse et la dédient à " Notre Dame de Palude ".
Dispersée jusque-là dans la plaine et ses environs, la population est rassemblée, au début du XIIe siècle, autour du château afin de mieux la contrôler. Ce déplacement s'accompagne de la création d'une autre église accolée au mur d'enceinte. Fin XIIe-début XIIIe
siècle, les comtes de provence mènent plusieurs guerres contre la baronnie de Castellane, réfractaire à leur autorité. Au cours de l'une d'elles, le Castrum Novum tombe entre leurs mains (1189). Ses seigneurs peuvent toutefois conserver la partie nord du territoire. Ils y transfèrent l'ancien toponyme et y construisent un nouveau château (sur le point culminant du village actuel de Châteauneuf). La partie sud , de même que l'ancienne forteresse dont elle dépend toujours, n'a donc plus de nom. Adoptant le vocable de la première église paroissiale, elle s'appelle désormais la Palud. C'est d'ailleurs autour de cette vénérable église qu'à la fin du moyen âge s'installent les habitants, quand ils commencent à délaisser le site de 
hauteur. Mais elle s'est fortement délabrée. Ils la reconstruisent au début du XVIe siècle, et restaurent le clocher roman, en partie écroulé, qui perd un étage. Aujourd'hui classé monument historique, le clocher porte, à son angle sud-est, la marque de ce remaniement tandis que, sur sa face nord, au-dessus de la corniche, le départ d'un pilastre est un vestige de l'étage supprimé.
A la même époque, un cadet des seigneurs de Demandolx épouse la fille d'un ministre du comte de Provence (1492). Des nombreuses seigneuries que possède son beau-père, il reçoit celles de La Palud et de Meyreste. Décidé à y résider, il édifie un château à l'intérieur du nouveau village de

La Palud, face à l'église. Il n'en subsiste qu'un bout de façade (côté ouest, chemin des Seyes), reconnaissable, malgré sa dégradation, aux pierres d'angle dont le bossage caractérisait la maison noble.
À la fin du XVIe siècle, son héritier construit un nouveau château, lequel, cent cinquante ans plus tard, subit agrandissement et surélévation. Du bâtiment primitif,il ne reste que la belle façade nord. Travaux à peine achevés quand éclate la Révolution. Acheté vers 1795 par une dizaine de familles qui l'habitent aussitôt, le château, dont les copropriétaires et leurs 
descendants assurent tant bien que mal l'entretien, finit par menacer ruine. Il n'a même plus de toit quand, au cours de la dernière décennie, la commune l'acquiert pour en faire une Maison de l'Environnement après remise en état. Quant à l'église paroissiale actuelle, dont la hauteur disproportionnée écrase le clocher du XIe siècle, elle date de 1870.(http://www.lapaludsurverdon.com/histoire_lapaludsurverdon.html)
Le village de la palud est jolie, il mérite un détour. Le GR ne pénétrant pas dans le petit centre ville.
 Reprenons la D123 en laissant sur la gauche le lavoir. Nous abandonnons la route à l'oratoire Saint Jean et nous nous enfonçons dans la montagne. On grimpe, on grimpe, jusqu'a 1300m, la pente est dur. Hier au pied de la grimpette du Pas d'Issane, j'ai trouver un bâton en alu qui ma bien servi pour atteindre le sommet. Moi qui n'aime pas trop cela, j'ai apprécié. Ici c'est pareil même ci cela ne monte pas aussi raide mes deux bâtons m'aide bien à grimper. Il fait lourd le temps se couvre derrière dans les gorges, cela  gronde par moment. le sentier est bien, pas de pierrier, pas de dévers, pas d’abimes sans fond. Comme d'habitude, je n'ai pas su apprécier la carte, du moins je ne regarde pas le dénivelé en détail, je ne regarde que le total des kilomètres, et la ou je pensais être a plat sur une crête, je ne fais que grimper. Rapidement j’arrive à la moitié du chemin sans grosses difficultés. Ensuite on a une route forestière et l'on se croit tiré d'affaire, grosse erreur. Nous sommes en foret dans la plaine Barbin sur une large route. Je double deux groupes de touristes. Un couple et un groupe de trois le couple vu le sac à dos doit faire du camping.  Le temps ce couvre, de gros nuages cachent par moment le soleil et cela gronde derrière. Que faire? s'arrêter pour manger? cela gronde vraiment au loin, je ne fais qu'une pose. Après un chemin plutôt en descente, nous remontons vers les crêtes de l'Ourbes. On a de beaux points de vu sur le lac, le plateau de Valensole. Le lac est tout couvert de gros nuages noirs, au font il me semble qu'il pleut. De cette crête nous avons également une vue sur les Alpes, enfin sur les nuages, je devine plus que je vois. Cela ferait un  bel endroit pour grignoter, mais les nuages viennent sur moi.
 Un peu d’histoire
Le projet visant à noyer la vallée des Salles par la création d’un lac sur le cours du Verdon remonte à Georges Clemenceau, en 1908. Ce n’est qu’en 1968 qu’est décidée sa mise en oeuvre par Electricité De France. Initialement, le lac devait engloutir les villages des Salles sur Verdon, de Bauduen et rendre Sainte-Croix du Verdon inhabitable. Le lac artificiel est finalement créé en 1973, suite à la 
construction du barrage de Sainte-Croix. Les villages de
Sainte-Croix et Bauduen sont finalement sauvés, et Les Salles reconstruit à l’abri des eaux.


Aujourd’hui :
Le troisième plus grand lac de France s’étend sur une superficie de 2200 hectares (10 kilomètres de long et 2 de large). Le barrage, construit à l’entrée des gorges, près de Baudinard, retient 760 
 millions de mètres cubes d’eau et produit plus de 150 millions de kWh par an. Il alimente ainsi en électricité les villes situées à 
 proximité. Il constitue également un pôle touristique majeur (http://www.moustiers.eu/?Lac-de-Sainte-Croix)
 Les difficultés commences. Une méchante monté, petit sentier, flanc de falaise, pierres qui roulent sous les chaussures. je voulais faire un bonne pose sur cette crête, d'un coté le lac et l’entrée ou du moins la fin des gorges et de l'autre les Alpes, mais c'est bien noir dans le ciel. j'ai des panneaux tout les deux km. je n'ai pas l'impression d'avancer. je me dis c'est bon maintenant, c'est la descente tranquille, erreurs, faut passer le col....... la monté n'est pas facile, peut être même un peu dangereuse, mais je cours sur les  
Lac Ste Croix et plateau de Valensole
difficultés pour ne pas être rattrape par l'orage. Pas facile cette grimpette, je me crois sauvé mais non encore des difficultés, dommage la aussi, ils y avaient de bonnes poses à faire. Ce n'est pas possible c'est un col à rallonge. Ne parlons pas de la descente. Mauvaise descente, raide presque en ligne direct dans le ruisseau s'il pleut. Malgré tout, je me fais doubler par un couple réalisant le parcours en courant, mais ici, dans cette descente ils ne vont pas beaucoup plus vite que moi, cela ne durera pas. rapidement je l'ai perd de vue. Une fin de parcours difficile. C'est ce qui me semblait en regardant la carte et c'est une réalité sur le terrain, surtout lorsque 
l'on fait l’itinéraire d'une traite, la descente dans les cailloux est pénible. je suis content de trouver la route bitumée.
Cela gronde toujours, il me semble que cela reste dans la montagne. j'arrive avec beaucoup d'avance a Moustier.

Aux portes du Grand Canyon du Verdon, classé un des plus beaux villages de France, est bâti sous le ciel le plus pur d’Europe. Il est connu dans le monde entier pour la faïence à la finesse et aux décors uniques. (http://www.moustiers.eu/)

Moustiers-Sainte-Marie (Mostiers Santa Maria en provençal et Moustié-Santo-Mario selon la norme mistralienne)

Blotti contre un escarpement rocheux, Moustiers est souvent comparé à une crèche avec son étoile suspendue dans le vide.

Préhistoire et Antiquité
Les périodes préhistorique et antique ont laissé plusieurs sites importants, dont la tombe du Grand Segriès fouillée par André Muller à la fin des années 1980
Moyen Âge
La petite ville de Moustiers est fondée au Ve siècle par une colonie de moines. Un chapitre de chanoines y est fondé en 1052. Le lieu-dit Ourbès était déjà occupé à la période carolingienne : c’est la villa Orbesio, fondée au VIIIe siècle. Située sur un plateau à 1000 m d’altitude, elle pouvait être à la tête d’un vaste domaine.

Le comte de Provence accorde un consulat aux habitants au XIIIe siècle, et installe le siège d’une baillie à Moustiers en 1300.   La présence d'une communauté, d'un marché important, sont des indices montrant qu'à cette époque, Moustiers était une petite capitale régionale.
Après la guerre de Cent Ans et une fois la sécurité revenue, de 1442 à 1471, plusieurs familles venues de Sausses s'installent à Moustiers afin de repeupler la communauté.
Les Temps modernes : du XVIe au XVIIIe siècle.
 La baillie est érigée en viguerie en 1540 en même temps que toutes celles de Provence; elle est aussi d’une foire jusqu’à la Révolution.

Le bourg connaît une grande renommée aux XVIIe et XVIIIe siècles grâce à la "Faïencerie de Moustier".
Selon la tradition, un religieux, venu de Faênza (Italie), aurait appris à un potier de la ville le secret du bel émail blanc laiteux qui devait assurer avec le bleu dit «de Moustiers » la réputation des faïences locales. À la fin du XVIIIe siècle douze ateliers fonctionnaient. Puis les fours s'éteignirent un à 
un, le dernier en 1873. Marcel Provence entreprit, en 1925, de faire renaître à Moustiers l'art de la faïence. Il construisit un four et, avec le concours d'artistes décorateurs et d'artisans qualifiés, en fit sortir une production originale, inspirée de la flore et des insectes du pays.

Époque contemporaine :
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. La levée d’un cadastre est décidée. Ce n’est qu’en 1836 que le cadastre dit napoléonien de Moustiers est achevé.
Je ne resterais pas longtemps à me reposer
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Moustiers-Sainte-Marie. Plusieurs dizaines d’hectares produisaient un vin destiné à l’autoconsommation et à la vente sur les marchés locaux. Cette culture est aujourd’hui abandonnée.
 Depuis la chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir située au sommet du village, on peut admirer un immense panorama sur la vallée de la Maire et le plateau de Valensole.
Moustier Sainte Marie
  Une porte de l’enceinte du XVe siècle subsiste.
L’église paroissiale Notre-Dame est classée monument historique. Sa construction est bien connue : elle est ordonnée par le cardinal Pierre de Pratis, entre 1336 et 1361. Seul le chœur est construit, et forme un angle prononcé avec la nef. Celle-ci est romane, et s’étend sur une longueur de quatre travées, voûtées en berceau brisé, avec deux bas-côtés. Le clocher, de style lombard, est ajouré d'arcades romanes soutenues par de fines colonnettes.
  La chapelle Notre-Dame-de-Beauvoir, ou d’Entremont, ou de la Roche, possède un porche roman, dominé par un petit clocher de même époque que l’église paroissiale. La porte de bois date de la Renaissance. À l'intérieur, les deux premières travées de la nef sont romanes et remontent au XIIe siècle, les deux autres gothiques ainsi que l'abside. C'était autrefois un "sanctuaire à répit". Un chemin de croix, ponctué d’oratoires ornés de plaques émaillées, y conduit.

L’étoile de Moustiers est accrochée à une chaîne, tendue entre deux montagnes, à plusieurs dizaines de mètres au-dessus du sol. Selon la légende rapportée par Frédéric Mistral, il s'agit d'un ex-voto : le chevalier de Blacas, qui fut fait prisonnier en croisade par les Mamelouks à Damiette en 1249, fit la promesse de consacrer un monument à la Vierge s'il revenait un jour en son fief. Revenu sain et sauf, il a tenu sa promesse et a fait suspendre une étoile à seize branches, emblème de sa famille. Une autre légende raconte que deux amoureux du village, issus de deux familles ennemies qui leur interdisaient de s’aimer, se sont suicidés ici, et que les deux familles ont ensuite fait suspendre cette chaîne. On ditaussi qu’elle est due à un chevalier de Rhodes. Bref, personne n’en sait véritablement rien et il existe au total 17 versions sur l’origine de cette étoile. L’étoile est tombée au moins onze fois en tout. Une nouvelle, de 80 cm, avec une chaîne de 400 kg fut accrochée en 1882 et l'étoile que l'on peut admirer aujourd'hui n'est pas l'étoile originale mais celle reproduite en 1957 à la suite d'une chute. La chaîne actuelle, longue de 135 m, pèse environ 150 kg et l'étoile a un diamètre de 115 cm puis n'a maintenant que cinq branches. En 1995, l'étoile s'est décrochée et a été retrouvée au fond du ravin. Les habitants se sont cotisés et un mois après elle a été redorée et remise en place. (wikipédia)  
 je trouve une prairie mis installe avec l'intention d'y manger et de me reposer en attendant une heure convenable pour me présenter à ma chambre d'hôte. Il doit être treize heure trente, quatorze heures et j'ai annoncé ma venue à la chambre d'hôte vers 16h. Je n'ai pas la vue sur le lac, mais sur la montagne. les nuages noirs s’entrechoc. C'est un jolie balais de nuages dans le ciel zébré d'éclaires, je pense passer à coté de la pluie. Il me semble que la montagne retient les nuages. Je déballe le casse croute. Bien adossé au petit redent du terrain, je me dis qu'après ce frugale repas une sieste pourrait être la bienvenue. j'ai cru pouvoir passer au travers, mais non cela vient dans tous les sens. j'admire les éclaires, la bas au loin. je n'entends même pas le tonner. C'est de plus en plus noir, je ne
mange pas, remballe et me dirige vers le village atypique de Moustier : accrocher entre deux falaises. jolie village à visiter, mais attention cela ne fait que monter et descendre. Je trouve mon gîte d'un soir. Ouf, il y a quelqu'un, juste le temps de me présenter qu'il pleut averse. La dame me dit depuis deux jours c'est comme cela, il pleut tout les après midi. Deux heures après le temps s’éclaircit, ce qui me permet de visiter le village. Bien sur, village touristique avec toutes les boutiques et restau qui vont bien avec. Mais charment village tout de même. Je suis monté jusqu’à la chapelle, mal chaussé, fatigué, j'ai louper un truc : la cascade qui se trouve sur le circuit jaune faisant le tour des rochers. dommage avec la pluie de ses derniers jour, la cascade était soit disant formidable.
  

 
             

  Pour la chapelle il faut grimper

 

 

        De la haut une très belle vue sur le village

 

 

         

                             


 
 
 
 
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