GR 4 : Les Gorges du Verdon : étape 1009
Juin 2015
Carte IGN Trace IGN Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b309078
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
De Rougon au chalet de la Maline GR 4 Etape 1009 en
Attention en 2015 le chalet du CAF est en zone
blanche sans liaison téléphone. Profité lors de votre monter d'envoyer votre SMS au passage dans la fenêtre de réception (j'ai entendu mes messages arrivées, je n'ai voulu m'arrêter pensant entrer à nouveau dans une zone de réception.) Ensuite au chalet il faut descendre au moins deux kilomètres par la route pour trouver du réseau.
N'oublier pas vos lampes de poche, avec des piles qui fonctionnent, ou une bonne ampoule qui éclaire bien.........
km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
N'oublier pas vos lampes de poche, avec des piles qui fonctionnent, ou une bonne ampoule qui éclaire bien.........
km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
18,7 3h22
56mn 5,6 4,3 528 +
lundi 15
juin
lorsque je
prends le bus je me rends compte que je me suis fait avoir, il indique Castellane, il passe donc à point sublime, j'aurai pu éviter un taxi. Maintenant je me souviens, je n'avais pas bien compris les explications sur internet. En mai pas de bus, en juin un bus, en Juillet-Aout des navettes à chaque points accessibles des gorges. Un peu compliqué, alors j'avais assuré par le taxi.
12 h point
sublime, il fait beau mais nuageux blanc gris. le taxi ma dit : pas d'orage
aujourd'hui. Ils seront plus bas. Faut dire que cette année le sud est servi. Depuis deux semaines c'est pratiquement orage tous les jours.
Les gorges du Verdon........
Les gorges du Verdon........
Le Verdon est justement considéré comme le plus beau canyon d'Europe. Arpenté par des visiteurs du monde entier, le Verdon est devenu un site naturel protégé en 1990. Il bénéficie également du label "Grand Site de France". Quoi de plus normal pour un tel joyau ?
Ce canyon spectaculaire résulte de l’érosion du calcaire des plateaux de
Haute Provence par le Verdon qui prend sa source près du col d’Allos,
dans le massif des Trois Évêchés. Les gorges de 50 kilomètres s’étirent
de Castellane au lac de Sainte-Croix, atteignant par endroit 700 mètres
de
profondeur. Sans prétendre concurrencer le Grand Canyon du Colorado, les gorges du Verdon apparaissent cependant comme les plus impressionnantes d’Europe. Tel un grand coup de hache entre les Alpes-de-Haute-Provence et le Var, elles forment une sorte de frontière naturelle qui a laissé une profonde entaille de 21 km de long dans la terre. Là, le Verdon débite jusqu’à 800 m3 d’eau à la seconde au moment des plus fortes crues !
Le sentier Blanc-Martel (D3-D4(certains passages), 6h, dénivelé 350 m, 15 km)
Départ depuis le chalet de la Maline ( dans l'autre sens, montée de 300m en fin de parcours!) . Ce sentier descend rapidement jusqu'au lit du Verdon qu'il remonte sur plusieurs kilométres pour s'élever ensuite d'environ 150m jusqu'à la bréche d'Imbert, descente en utilisant des escaliers métalliques (petite difficulté pour les sujets aux vertiges). remontée ensuite de 70m pour atteindre le balcon des Hirondelles. Descente ensuite jusqu'au lit du Verdon (plage des Féres) puis le sentier suit le flanc des gorges en balcon et franchit deux tunnels (100m et 670m, lampes nécessaires) pour rejoindre le Point Sublime. Retour possible par bus ou taxis (navettes en saison).
Ce sentier permet de traverser une partie des grandes Gorges restée sauvage jusqu'à sa découverte par M Blanc, instituteur à Rougon, en 1905 et sa promotion par M Martel.
Il est interdit au moins de 10 ans et est très fréquenté en été du fait de sa réputation.
profondeur. Sans prétendre concurrencer le Grand Canyon du Colorado, les gorges du Verdon apparaissent cependant comme les plus impressionnantes d’Europe. Tel un grand coup de hache entre les Alpes-de-Haute-Provence et le Var, elles forment une sorte de frontière naturelle qui a laissé une profonde entaille de 21 km de long dans la terre. Là, le Verdon débite jusqu’à 800 m3 d’eau à la seconde au moment des plus fortes crues !
Le sentier Blanc-Martel (D3-D4(certains passages), 6h, dénivelé 350 m, 15 km)
Départ depuis le chalet de la Maline ( dans l'autre sens, montée de 300m en fin de parcours!) . Ce sentier descend rapidement jusqu'au lit du Verdon qu'il remonte sur plusieurs kilométres pour s'élever ensuite d'environ 150m jusqu'à la bréche d'Imbert, descente en utilisant des escaliers métalliques (petite difficulté pour les sujets aux vertiges). remontée ensuite de 70m pour atteindre le balcon des Hirondelles. Descente ensuite jusqu'au lit du Verdon (plage des Féres) puis le sentier suit le flanc des gorges en balcon et franchit deux tunnels (100m et 670m, lampes nécessaires) pour rejoindre le Point Sublime. Retour possible par bus ou taxis (navettes en saison).
Ce sentier permet de traverser une partie des grandes Gorges restée sauvage jusqu'à sa découverte par M Blanc, instituteur à Rougon, en 1905 et sa promotion par M Martel.
Il est interdit au moins de 10 ans et est très fréquenté en été du fait de sa réputation.
Voila les descriptions que l'on trouve de ce fabuleux parcours, qu'il est impossible de le louper lorsque l'on se promène dans le coin.
extraie des sites :
cet itinéraire historique aménagé à la fin des années 1920 par le Touring Club de France. Le sentier porte le nom de l’explorateur Édouard-Alfred
Lors de la préparation, le dernier site parcouru m'avait intrigué : 13 ou 15 km cela dépend des calculs en 6h00..... En Ile de France (au sens large) il faut environ 3h00 pour faire cela !!!!! escaliers, passages aménagés, interdit au moins de 10 ans....... Dans quoi je m'embarque ? en plus tout seul....... Alors, je fouille un peu sur internet, trouve des blogs comme le miens avec des photos. Étant seul je n'ai jamais de personnages sur mes photos, (sauf d'autres touristes comme moi) Là sur certain site, je vois des personnes d’à peu prêt mon age, parcourir le sentier, ça me rassure....un peu. Ce ne sont pas des athlètes, en somme des gens normaux, comme moi. Et en lisant leur blog, ils décrivent les difficultés sans tomber dans le catastrophisme.
Mon itinéraire fait que je le fais en sens inverse de la description. En effet j'ai eu les trois cent mètres à monter en fin de parcours et c'est dure, mais le sentier est bon, et puis, les poses ne sont pas interdites.
Les tunnels : faut bien une lampe. Le premier comporte des fenêtres (trou) et l'on voit l’extrémité, il est dans la pénombre. Le second est dans le noir complet et il est long. Sans lampe ou une lampe qui n'éclaire pas bien, c'est faisable en se tenant au mur, mais le sol est encombré de cailloux et comme je suis passé après de gros orages j'ai eu droit aux flaques d'eau stagnantes.
Les parties proches du ravin sur des rochers pouvant être glissant même
par temps sec, mais sont équipées de rampes, à d'autres endroits ce sont des escaliers de pierre cimentés (tout neuf) qui ont été réalisés.
Reste la brèche Imbert avec son impressionnant escalier métallique (rénové lui aussi)
Je conseille de regarder le site http://www.cg04.fr/fileadmin/user_upload/gestion_doc/actualites/2013_avril/200ex_A5_livret_sentier_martel_web.pdf Afin de voir le travail réalisé pour notre sécurité.
Le tunnel du Baou : 650m temoin d'un ancien aménagement hydro-éléctrique visant à canaliser le verdon sur 20 km à travers un canal maçonné. Commencé en 1905, abandonnés en 1909 laissant le projet inabouti. (extraie d'une pancarte info)
L'escalier ne bougeant pas, nous nous sentons en sécurité, pas très large, lorsque je suis passé je n'ai croisé personne. j'ai préféré le monter, on a le nez sur les marches et la parois. On ne voit pas le vide en dessous. On pose mieux les pieds sur les marches qui ne sont pas larges, l'inclinaison de "l’échelle" fait qu'en descendant on ne peut poser que le talon, ou il faut ce tourner et descendre en marche arrière, l'on est tenter de ce retourner et de faire face au vide. Lorsque l'on est sur les différents paliers et que l'on regarde le vide et surtout le paysage sur les gorges c'est impressionnant. Faut pas être sujet au vertige.
Pour moi le bon sens de marche c'est point sublime-Chalet de la Maline. Mais ce n'est qu'un avis personnel. C'est un sentier technique comme le dise les habitants de la région. Pour des randonneurs habitués à la moyenne montagne, il ne doit pas être plus technique que certain passage dans les Hautes Alpes. Maintenant pour les randonneurs du dimanche....... Ne faisant que quatre pas en foret ou dans la campagne après un bon resto pour tasser un peu ce que l'on a mangé je le déconseille. Il est classé tout de même D3 à D4 alors attention soyez prudent.
La partie la plus facile se trouve coté Point Sublime jusqu'aux tunnels c'est le chemin découverte.
recommandation dans wikipédia
Le Sentier Martel n’est pas très difficile pour des habitués de la randonnée, mais il faut être prudent. Toutefois, le passage le plus délicat reste les échelles Imbert (6 échelles, 252 marches), difficile à franchir pour les randonneurs sujets au vertige. Il peut être utile de s'assurer (mousquetons, baudrier). ["C'est ce que j'appelle le catastrophisme cela fait peur aux randonneurs" Il est certain que si vous avez le vertige FAUT PAS Y ALLER" il me semble que cela suffit, pas besoin d'en rajouter.]
Il faut réfléchir avant de partir. Au milieu du trajet trop tard pour trouver que c'est trop dur, en avant ou en arrière, c’est le même parcours.
Il faut donc persévérer une fois en route. Cette randonnée est
déconseillée aux petits enfants et les chiens sont interdits de
parcours, sous peine de devoir les porter à de nombreuses reprises. Si
on emmène des enfants, ils doivent obéir, sous peine de chute, voire
d’accident. [ ça c'est pareille le chemin est interdit au moins dix ans, y a pas à mettre des "SI" On fait le sentier découverte avec les tunnels un point c'est tout.]
Il est impératif : d’avoir de bonnes chaussures de marche, des lunettes de soleil, un vêtement chaud, un chapeau ou casquette. (Le soleil tape fort parfois).
J'ai croisé des randonneurs le faisant en sandale (peut être de marche) autant dire pieds nus ........ pas prudent dans le pierrier.
Il faut emporter : 2 litres de
boisson par personne au minimum, un peu de nourriture, une bonne lampe
de poche par personne car les tunnels sont noirs, froids et humides, un
sac plastique pour emporter vos restes et déchets.
Enfin, un peu d’argent pour le taxi ou le bus, afin de pouvoir retourner à la Maline récupérer son véhicule (Point Sublime - La Palud - Maline = 17 km de route, après le Martel, c’est dur sans taxi ou bus). (wikipédia) cela se rapproche de ce que j'en pense. Un peu de catastrophisme tout de même beaucoup de réalité. Par contre attention pas de station de taxi au chalet Maline, pas de téléphone, pas de réseau alors le taxi. Dans le sens décrit dans ce site, il faut le prévoir avant. Coté Rougon je ne sais pas, j'ai pas fait attention. Une chose est certaine les navettes de bus ne fonction que l'été.
Je parts pour cette rando et surtout cette journée avec tout de même une appréhension et une boule au ventre. Vivement ce soir.
Me voila parti pour 13 km, sur certain guide c'est 15 moi j'ai 18 mais mon GPS à perdu le nord, la trace n'a jamais été sur la rive droite, elle c'est promené un peu partout sur la falaise voir même à fait des boucles (pas facile de capter les satellites dans un couloir. J'ai conservé le GPS uniquement pour le temps de parcours et la vitesse de déplacement.
Point sublime. Je mets mon GPS en route et part de suite comme quelqu'un qui connait, en réalité je suis les touristes. Le chemin ne peut être que là, pas de chance le touriste en voiture ce dirige vers le belvédère. Jolie point de vue, de là, je me dis : "c'est la dedans" que je dois aller, il faut juste en trouver l'entrée. Mon GPS à trouvé ses satellites et je m'aperçois qu'il faut que je parte comme le mois dernier un peu plus à gauche. Les GR ne passe pas au belvédère. Que suis je bête, je me souviens maintenant que la jonction 4-49 est un peu plus bas sur la gauche. Ensuite on ne peut pas se tromper. D'un cote la falaise, de l'autre le Verdon.
Le départ est parfaitement aménagé, partie en ciment ou en dur, petits escaliers, je commence à douter des mises en gardes..... Et puis tout à
une fin... au départ de point sublime c'est le sentier touristique, on lit partout que lorsque l'on fait le chemin Blanc-Martel, pour franchir les tunnels, il faut une lampe électrique, et il faut bien une lampe. j'en avais pris une, mais voila qu'elle n’éclairait pas comme je m'en souvenais. Avec mon halo jaune je ne vois rien. Au départ, quelques ouvertures permettent de s'en passer, mais après dans le long tunnel, j'ai un peu patauge dans les flacs d'eau et butter sur les cailloux laissé en chemin. A la sortie fin du sentier découverte et début du sentier blanc martel. Belle pancarte nous indiquent qu'ensuite c'est à nos risques et périls...... Soit on va au bout, soit on fait demi tour.
Cela commence bien, il est précisé que le chemin se faisait dans l'autre sens. Nous arrivons vite sur un éperons rocheux en devers, la falaise s'éloignant du sentier, une rampe nous accueil dès l’entrée. Il a fallut que je me "goure" pardon me trompe dès le départ, faut le faire tout de même un chemin coincé entre la falaise et un précipice!!!!!! pas doué le gars. Traumatisé par mes lectures sur le parcours, je cherche la difficulté là ou il n'y en a pas. La rampe cour sur ce rocher lisse et en dévers jusqu’à la falaise, je grimpe sur ce rocher au lieu de m'approcher du précipice, mais la haut c’était encore plus dangereux, plus de rampe, un petit replat juste pour un pied qui ressemble à un sentier de chèvre. Je m'agrippe à la falaise, pas facile grosse difficultés pour un amateur de varappe et avec un sac de 14 kg dans le dos. Je débouche sur du vide. Démoralisé j’étais près à faire demi tour et poursuivre par la route. Trop difficile pour moi, c’était de l'escalade, pas une rando. "Jpouvais" pas continuer comme cela sur 13 km. J'avais eu bien du mal à faire cette vingtaines de mètres, une boule au ventre. je reviens en arrière en priant le bon Dieu que de sa main magique, il maintienne mes pieds et mes mains sur des points stables. Ouf , passage acrobatique passé. Je fais une pose avant de rejoindre ce bout de rampe scellé dans la falaise et, j’aperçois en contre bas deux chapeaux ce déplaçant au dessus du taillis.
Les anciennes échelles ont été entièrement démontées et reconstruites entre septembre 2012 et mars 2013 par le Conseil général des Alpes de Haute-Provence. Désormais, des paliers jalonnent la brèche pour justement permettre le croisement des randonneurs. De plus,la pente a été diminuée, avec désormais 274 marches contre un peu plus de 220 précédemment. La ligne architecturale en acier corrodé a été conservée dans l'esprit des anciens aménagements. Les nouvelles échelles sont
complétement intégrées dans la brèche et ne sont pas saillantes conformément aux souhaits de l'architecte des bâtiments de France. C'est plus globalement l'intégralité du sentier Blanc Martel qui a été réhabilité,
cet itinéraire historique aménagé à la fin des années 1920 par le Touring Club de France. Le sentier porte le nom de l’explorateur Édouard-Alfred
Martel et de son accompagnateur Isidore Blanc, l’ancien instituteur du village de Rougon, qui furent les premiers à effectuer en 1905, sur des barques de fortune, la traversée intégrale du grand canyon du Verdon.
Les premières marches |
Aujourd’hui plus de 30 000 randonneurs parcourent chaque année le sentier Blanc-Martel,
et plus de 70 000 touristes par an viennent découvrir le secteur amont du Couloir Samson.
aménagé à la fin des années 1920 par le Touring Club de France.
Le sentier porte le nom de l’explorateur Edouard-Alfred Martel et de son accompagnateur Isidore Blanc,
l’ancien instituteur du village de Rougon, qui furent les premiers à
effectuer en 1905, sur des barques de fortune, la traversée intégrale du
grand canyon du Verdon.
Après plus de 80 années de service, ce
sentier historique présentait un niveau d’érosion important, les
ouvrages existants étaient très dégradés, aussi le Conseil général des
Alpes de Haute-Provence a décidé d’entreprendre une intervention globale
de réhabilitation patrimoniale du sentier Blanc-Martel.
Après 10 mois de travaux sur une partie des 14 kilomètres
du sentier Blanc-Martel, les randonneurs peuvent à nouveau profiter en
toute sécurité de la totalité de cet itinéraire au cœur des gorges du
Verdon.
Les randonneurs qui parcourent
aujourd’hui cet itinéraire, ont l’impression que les aménagements sont
d’origine. Tous les ouvrages sont intégrés de manière harmonieuse dans
le paysage.
- See more at: http://www.rando.alpes-haute-provence.fr/reouverture-au-public-du-sentier-blanc-martel/#sthash.Rww5YekJ.dpufMon itinéraire fait que je le fais en sens inverse de la description. En effet j'ai eu les trois cent mètres à monter en fin de parcours et c'est dure, mais le sentier est bon, et puis, les poses ne sont pas interdites.
Les tunnels : faut bien une lampe. Le premier comporte des fenêtres (trou) et l'on voit l’extrémité, il est dans la pénombre. Le second est dans le noir complet et il est long. Sans lampe ou une lampe qui n'éclaire pas bien, c'est faisable en se tenant au mur, mais le sol est encombré de cailloux et comme je suis passé après de gros orages j'ai eu droit aux flaques d'eau stagnantes.
Les parties proches du ravin sur des rochers pouvant être glissant même
par temps sec, mais sont équipées de rampes, à d'autres endroits ce sont des escaliers de pierre cimentés (tout neuf) qui ont été réalisés.
Tunnel du Baou |
Je conseille de regarder le site http://www.cg04.fr/fileadmin/user_upload/gestion_doc/actualites/2013_avril/200ex_A5_livret_sentier_martel_web.pdf Afin de voir le travail réalisé pour notre sécurité.
Le tunnel du Baou : 650m temoin d'un ancien aménagement hydro-éléctrique visant à canaliser le verdon sur 20 km à travers un canal maçonné. Commencé en 1905, abandonnés en 1909 laissant le projet inabouti. (extraie d'une pancarte info)
L'escalier ne bougeant pas, nous nous sentons en sécurité, pas très large, lorsque je suis passé je n'ai croisé personne. j'ai préféré le monter, on a le nez sur les marches et la parois. On ne voit pas le vide en dessous. On pose mieux les pieds sur les marches qui ne sont pas larges, l'inclinaison de "l’échelle" fait qu'en descendant on ne peut poser que le talon, ou il faut ce tourner et descendre en marche arrière, l'on est tenter de ce retourner et de faire face au vide. Lorsque l'on est sur les différents paliers et que l'on regarde le vide et surtout le paysage sur les gorges c'est impressionnant. Faut pas être sujet au vertige.
Quel c.. j'ai suivi la rampe jusqu'en haut |
La partie la plus facile se trouve coté Point Sublime jusqu'aux tunnels c'est le chemin découverte.
recommandation dans wikipédia
Le Sentier Martel n’est pas très difficile pour des habitués de la randonnée, mais il faut être prudent. Toutefois, le passage le plus délicat reste les échelles Imbert (6 échelles, 252 marches), difficile à franchir pour les randonneurs sujets au vertige. Il peut être utile de s'assurer (mousquetons, baudrier). ["C'est ce que j'appelle le catastrophisme cela fait peur aux randonneurs" Il est certain que si vous avez le vertige FAUT PAS Y ALLER" il me semble que cela suffit, pas besoin d'en rajouter.]
Il faut réfléchir avant de partir. Au milieu du trajet trop tard pour trouver que c'est trop dur, en avant ou en arrière, c’est le même parcours.
Le pierrier |
Il est impératif : d’avoir de bonnes chaussures de marche, des lunettes de soleil, un vêtement chaud, un chapeau ou casquette. (Le soleil tape fort parfois).
J'ai croisé des randonneurs le faisant en sandale (peut être de marche) autant dire pieds nus ........ pas prudent dans le pierrier.
Passage aménagé de main courante |
Enfin, un peu d’argent pour le taxi ou le bus, afin de pouvoir retourner à la Maline récupérer son véhicule (Point Sublime - La Palud - Maline = 17 km de route, après le Martel, c’est dur sans taxi ou bus). (wikipédia) cela se rapproche de ce que j'en pense. Un peu de catastrophisme tout de même beaucoup de réalité. Par contre attention pas de station de taxi au chalet Maline, pas de téléphone, pas de réseau alors le taxi. Dans le sens décrit dans ce site, il faut le prévoir avant. Coté Rougon je ne sais pas, j'ai pas fait attention. Une chose est certaine les navettes de bus ne fonction que l'été.
Je parts pour cette rando et surtout cette journée avec tout de même une appréhension et une boule au ventre. Vivement ce soir.
Me voila parti pour 13 km, sur certain guide c'est 15 moi j'ai 18 mais mon GPS à perdu le nord, la trace n'a jamais été sur la rive droite, elle c'est promené un peu partout sur la falaise voir même à fait des boucles (pas facile de capter les satellites dans un couloir. J'ai conservé le GPS uniquement pour le temps de parcours et la vitesse de déplacement.
Point sublime. Je mets mon GPS en route et part de suite comme quelqu'un qui connait, en réalité je suis les touristes. Le chemin ne peut être que là, pas de chance le touriste en voiture ce dirige vers le belvédère. Jolie point de vue, de là, je me dis : "c'est la dedans" que je dois aller, il faut juste en trouver l'entrée. Mon GPS à trouvé ses satellites et je m'aperçois qu'il faut que je parte comme le mois dernier un peu plus à gauche. Les GR ne passe pas au belvédère. Que suis je bête, je me souviens maintenant que la jonction 4-49 est un peu plus bas sur la gauche. Ensuite on ne peut pas se tromper. D'un cote la falaise, de l'autre le Verdon.
Le départ est parfaitement aménagé, partie en ciment ou en dur, petits escaliers, je commence à douter des mises en gardes..... Et puis tout à
une fin... au départ de point sublime c'est le sentier touristique, on lit partout que lorsque l'on fait le chemin Blanc-Martel, pour franchir les tunnels, il faut une lampe électrique, et il faut bien une lampe. j'en avais pris une, mais voila qu'elle n’éclairait pas comme je m'en souvenais. Avec mon halo jaune je ne vois rien. Au départ, quelques ouvertures permettent de s'en passer, mais après dans le long tunnel, j'ai un peu patauge dans les flacs d'eau et butter sur les cailloux laissé en chemin. A la sortie fin du sentier découverte et début du sentier blanc martel. Belle pancarte nous indiquent qu'ensuite c'est à nos risques et périls...... Soit on va au bout, soit on fait demi tour.
Cela commence bien, il est précisé que le chemin se faisait dans l'autre sens. Nous arrivons vite sur un éperons rocheux en devers, la falaise s'éloignant du sentier, une rampe nous accueil dès l’entrée. Il a fallut que je me "goure" pardon me trompe dès le départ, faut le faire tout de même un chemin coincé entre la falaise et un précipice!!!!!! pas doué le gars. Traumatisé par mes lectures sur le parcours, je cherche la difficulté là ou il n'y en a pas. La rampe cour sur ce rocher lisse et en dévers jusqu’à la falaise, je grimpe sur ce rocher au lieu de m'approcher du précipice, mais la haut c’était encore plus dangereux, plus de rampe, un petit replat juste pour un pied qui ressemble à un sentier de chèvre. Je m'agrippe à la falaise, pas facile grosse difficultés pour un amateur de varappe et avec un sac de 14 kg dans le dos. Je débouche sur du vide. Démoralisé j’étais près à faire demi tour et poursuivre par la route. Trop difficile pour moi, c’était de l'escalade, pas une rando. "Jpouvais" pas continuer comme cela sur 13 km. J'avais eu bien du mal à faire cette vingtaines de mètres, une boule au ventre. je reviens en arrière en priant le bon Dieu que de sa main magique, il maintienne mes pieds et mes mains sur des points stables. Ouf , passage acrobatique passé. Je fais une pose avant de rejoindre ce bout de rampe scellé dans la falaise et, j’aperçois en contre bas deux chapeaux ce déplaçant au dessus du taillis.
Les fameuses échelles de la brèche Imbert |
Les anciennes échelles ont été entièrement démontées et reconstruites entre septembre 2012 et mars 2013 par le Conseil général des Alpes de Haute-Provence. Désormais, des paliers jalonnent la brèche pour justement permettre le croisement des randonneurs. De plus,la pente a été diminuée, avec désormais 274 marches contre un peu plus de 220 précédemment. La ligne architecturale en acier corrodé a été conservée dans l'esprit des anciens aménagements. Les nouvelles échelles sont
complétement intégrées dans la brèche et ne sont pas saillantes conformément aux souhaits de l'architecte des bâtiments de France. C'est plus globalement l'intégralité du sentier Blanc Martel qui a été réhabilité,
Quelques maisons troglodytes |
soit 1.5 M€ de travaux. Un soin particulier a été apporté
pour l'intégration paysagère des aménagements (murets en pierres du
Verdon, marches, mains courantes en acier corrodé...http://www.refuges.info/point/2958/point-de-passage/Prealpes-de-Haute-Provence/Escaliers-de-la-Breche-Imbert/). Honteux de ne pas avoir trouvé le passage, je ne bouge plus de la haut en attendant que les deux personnes passent l’éperon et s'éloignent, en espérant qu'elle ne me voit pas. Quel couillon je fais, le
passage étais tout de suite la, sur ma gauche en m'approchant un peu du vide. Faut dire que dans mon sens la rampe est trompeuse, comme on est sur le cailloux on ne voit pas tout de suite le passage qui serpente sur cette éperon. (Dans l'autre sens pas de problème, du sentier on trouve le rocher puis la main courante et de la on ne grimpe pas vers la falaise) puisque l'on voie la rampe filer le long de la parois et le sentier ce poursuivre au pied de la falaise. Ensuite j'ai bien fait attention
au sentier.
est il long ? oui. il dise 13km en 6 h et, il les mérite les 6 heures. Il mérite même une journée. Part endroit, de petits sentiers descendent vers l'eau. Mais voila, je n'ai que l’après midi, et je ne traine pas trop, peur de l'orage. durant le parcourt j'ai entendu deux ou trois fois tonner, mais c'était peut être des avions militaires passant le mur du son. Le ciel est resté nuageux sans pluie. Une fois commencé, faut aller au bout, ou revenir par le même chemin.
Si l'on dort au chalet, reste la route des crêtes mais c'est au minimum 20 bornes, cette route ce prend un peu avant le Palut. il faut réfléchir... et vite. Cela faisait deux heures que je marchais, je venais de regarder mon GPS qui faisait n’importe quoi, la trace ce promenait sur la parois d'en face et faisait des boucles, mais ce qui m’intéressait c'était la distance et le temps de parcourt. J'ai croisé un couple pas plus de trente ans à mon avis. "La gamine" (par rapport à mon age.....) marchais devant, à une vingtaine de mètres de "son mec".... Lui venait de gravir un petit dénivelé et en haut s'arrête, exténué. s'appuie le long d'un arbre pour souffler, ça se voyait qu'il n'en pouvait plus et qu'il était au bord
de l'épuisement. Ils mon demandé ; La sortie c'est dans combien de temps ? Deux heures les gamins. Pas possible il y a deux heures on nous a dit la même chose !!!!! "J'marche" pas vite, mais suis partie à midi de point sublime et il est 14h00. Bon courage pour la suite.
Est il aussi difficile que cela : Une chose est sur, ne pas avoir le
vertige, une bonne condition physique et de bonnes chaussures. il y a des
rampes à chaque passage litigieux. Il a été refait résemant et, des marches toutes
neuves ont été réalisées. L'escalier de la brèche Imbert est impressionnant.
dans mon sens : "même pas peur..."
puisque je monte le nez sur les marches les yeux en levé pour voir la sortie. En descente faut vraiment pas
avoir le vertige. Les échelles sont verticale et à la descente face au vide on ne peut mètre que le talon sur la marche. Faut descendre en marche arrière et regarder vers le vide pour savoir ou poser le pied. On ce croit arrivée après ce passage difficile, mais non encore trois heures de marche. Je me demande ci c'est pas cela le plus dangereux ; nous annoncer 3 heures de marche après les échelles, cela casse le moral. Certain secteur ne sont pas facile, Et puis la, ou je
pensais être en bordure de l'eau, nous sommes tout le temps en corniche. A
monter et a descendre. Pour conclure : Si l'on ne s’écarte pas du chemin (comme je l'ai fait) par temps sec et, en
faisant attention, il n'est pas dangereux, mais il est fatiguant.
j'ai croisé plusieurs personnes exténuées. D’où la très bonne condition
physique. Mais c'est beau, très beau. Il faut admirer ces falaises. Dans l'après midi on a pas trop le temps et c'est dommage. L'avantage de le faire dans le sens Point sublime - Chalet Maline c'est que l'on est coté parois, le sentier n'est pas large, valeur de deux personnes pouvant se croiser. Comme on a l'habitude de marcher à droite lorsque l'on croise d'autres personnes on se serre le long de la parois...... J'ai eu moi aussi un petit coup au cœur, au sommet de la parois de gauche, j'ai aperçu à trois reprises des constructions, je pensais que s'était le chalet, mais il n'était pas du bon coté, il n'y avait pas de pont et pas de sentier, une parois raide, verticale, mon GPS ne servait à rien la trace se promenait sur le plateau.
Je me souvenais de la carte et voyait le chalet sur la parois de droite. Je continue, de toute façon il est maintenant trop tard pour faire demi tour. Au détour du sentier une fourche sur la gauche le chemin descend pour gagner la passerelle de l'Estellier et le chemin de l'Imbut et celui de droite grimpant par le Pas d'Issane au chalet, qu'enfin on aperçois la haut, dans cette interminable monté de 300m. (que je préfère monter que descendre.) je fais une pose et me restaure (je n'ai rien mangé depuis ce matin. Je suis surpris je n'est pas mis trois heures pour venir jusque là , il nous font faire qu'elle détour pour deux heures de marche ? Dans les nombreux virages de la monté, vous entendrez peut être vos SMS s'afficher. Arrêtez-vous, consultez, transmettez (si cela passe) après c'est de nouveau une zone blanche. La haut plus de liaison, il faut prendre la route et descendre deux kilomètres pour retrouver du réseau. Moi je ne l'ai pas fait pensant que je sortais de la zone blanche...... Au chalet du c.a.f, il y a du monde. Nous sommes trois dans la chambre. En réalité une fois les touristes venus prendre une bière sur la terrasse au dessus du canyon, pour admirer le paysage, nous ne sommes que sept. j'avais pris la demi pension. pardon demi portion. heureusement que j'ai pris deux fois de la soupe. Les lasagne au légumes vert étaient bien bon, mais j'en aurai bien repris, pas de fromage pour combler avec du pain, et un dessert. il est sur que tout est fait maison. Dans les lasagnes ce n’était pas de la
sauce tomate, mais de petits légumes genre ratatouille, délicieux, mais un peu faible en quantité pour des marcheurs qui manges peu le midi. A 23:00 la gendarmerie nous a réveillé. Il me cherchait. n'ayant pas donné de nouvelle, ma femme inquiète à téléphoné au chalet ne se souvenant plus qu'il n'y avait peut être pas de réseau. A 20h. Ne pouvant obtenir personne, elle a appelé la gendarmerie, au départ simplement pour savoir s'il n'y avait pas eu d'accident dans les gorges. Lorsque le gendarme à su que j'étais seul, ne pouvant obtenir personne n'ont plus au chalet, on détaché une équipe pour voir si je n'avais pas eu d'accident. Il est vrai que je ne les ai jamais eu au téléphone, l'inscription c'est fait par courriel et internet. Il on bien une ligne par satellite, mais personne n'a le numéro. Ce téléphone ne fonctionne que dans un sens : chalet extérieur... Faut dire : lors de l'inscription on doit donner notre itinéraire et je pense, que s'il leur manque un client c'est eux qui donne l'alerte...... A l’accueil une grande pancarte nous annonce que le téléphone est réservé au chalet. J'ai vu le sourire du gendarme dans la pénombre de la chambre (il n'a pas allumé la lumière), je suis sain et sauf, pas besoin de descendre dans la "tranchée" pas besoin d'appeler l'équipe de recherche avec les chiens....... en pleine nuit. Tellement fatigué qu'une fois la porte refermé, je m'excuse auprès de mes compagnons d'une nuit, et me rendors.
Chalet de la Maline |
Paysage du chalet : éperon parois de gauche le trais blanc c'est le sentier |
Je me souvenais de la carte et voyait le chalet sur la parois de droite. Je continue, de toute façon il est maintenant trop tard pour faire demi tour. Au détour du sentier une fourche sur la gauche le chemin descend pour gagner la passerelle de l'Estellier et le chemin de l'Imbut et celui de droite grimpant par le Pas d'Issane au chalet, qu'enfin on aperçois la haut, dans cette interminable monté de 300m. (que je préfère monter que descendre.) je fais une pose et me restaure (je n'ai rien mangé depuis ce matin. Je suis surpris je n'est pas mis trois heures pour venir jusque là , il nous font faire qu'elle détour pour deux heures de marche ? Dans les nombreux virages de la monté, vous entendrez peut être vos SMS s'afficher. Arrêtez-vous, consultez, transmettez (si cela passe) après c'est de nouveau une zone blanche. La haut plus de liaison, il faut prendre la route et descendre deux kilomètres pour retrouver du réseau. Moi je ne l'ai pas fait pensant que je sortais de la zone blanche...... Au chalet du c.a.f, il y a du monde. Nous sommes trois dans la chambre. En réalité une fois les touristes venus prendre une bière sur la terrasse au dessus du canyon, pour admirer le paysage, nous ne sommes que sept. j'avais pris la demi pension. pardon demi portion. heureusement que j'ai pris deux fois de la soupe. Les lasagne au légumes vert étaient bien bon, mais j'en aurai bien repris, pas de fromage pour combler avec du pain, et un dessert. il est sur que tout est fait maison. Dans les lasagnes ce n’était pas de la
sauce tomate, mais de petits légumes genre ratatouille, délicieux, mais un peu faible en quantité pour des marcheurs qui manges peu le midi. A 23:00 la gendarmerie nous a réveillé. Il me cherchait. n'ayant pas donné de nouvelle, ma femme inquiète à téléphoné au chalet ne se souvenant plus qu'il n'y avait peut être pas de réseau. A 20h. Ne pouvant obtenir personne, elle a appelé la gendarmerie, au départ simplement pour savoir s'il n'y avait pas eu d'accident dans les gorges. Lorsque le gendarme à su que j'étais seul, ne pouvant obtenir personne n'ont plus au chalet, on détaché une équipe pour voir si je n'avais pas eu d'accident. Il est vrai que je ne les ai jamais eu au téléphone, l'inscription c'est fait par courriel et internet. Il on bien une ligne par satellite, mais personne n'a le numéro. Ce téléphone ne fonctionne que dans un sens : chalet extérieur... Faut dire : lors de l'inscription on doit donner notre itinéraire et je pense, que s'il leur manque un client c'est eux qui donne l'alerte...... A l’accueil une grande pancarte nous annonce que le téléphone est réservé au chalet. J'ai vu le sourire du gendarme dans la pénombre de la chambre (il n'a pas allumé la lumière), je suis sain et sauf, pas besoin de descendre dans la "tranchée" pas besoin d'appeler l'équipe de recherche avec les chiens....... en pleine nuit. Tellement fatigué qu'une fois la porte refermé, je m'excuse auprès de mes compagnons d'une nuit, et me rendors.
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
Bonjour,
RépondreSupprimerJe travaille pour Mountain Wilderness (association de protection de la montagne basée à Grenoble) et je participe à la campagne changer d'approche pour le parc naturel régional du Verdon : utiliser la mobilité douce pour se rendre en montagne.
Je cherche donc des randonnées dans le Verdon où l'on peut se rendre au point de départ en transport en commun. Un article sur camp to camp y est dédié : https://www.camptocamp.org/articles/793226/fr/12-idees-de-randonnees-pedestres-autour-de-la-palud-sur-verdon#
J'aimerais si c'est possible mettre un lien de votre blog sur l'article pour que les randonneurs puissent avoir le détail de la randonnée du sentier Blanc Martel.
Si vous êtes d'accord pouvez-vous me répondre par mail : chloe@mountainwilderness.fr
Bonne journée
Chloé BARBAZANGES
Bonsoir
SupprimerBien sur, vous pouvez mettre un lien. J'ai créé ce site en espérant qu’il serve aux promeneurs. Je suis ravi qu’ une association de protection de la montagne le trouve intéressant et pouvant servir à d’autres marcheurs.
Bien cordialement et bonne continuation.