Aix en Provence - La Sainte Victoire
Avec le GRP 2013 et les circuits locaux
Le code mobile de cette randonnée est b238462
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16 3:12 35mn 4,9 4,2 286+
dimanche 14 juin 2015
Visite D'Aix en Provence
Ce mois ci, j'ai pris le bus entre
la gare TGV et Aix en Provence. Le mois dernier, lorsque je cherchais le GR, j’étais étonné
de ne pas avoir vu de transports en commun. Que Des taxis qui attendaient coté sortie. Ce n'est que le lendemain à la gare routière que j'ai vu les navettes. Normal que l'on ne voit rien en surface, le départ des bus se fait en sous sol. En gare TGV il faut savoir qu'il y a un
bus.... regarder l'affichage suspendu au plafond pour apercevoir le pictogramme, et encore ce n'est pas évident, il y a des progrès à faire sur l'information.
J'ai pu enfin visiter Aix en Provence. il est certain que le mois dernier, je n’étais pas dans des
conditions idylliques. Trop fatigué, déshydraté, trop de bitume, d'immeubles.... Découragé à trois pas du centre historique j'ai renoncé.
Aujourd'hui ce n'est pas pareille
avec le bus j'arrive pratiquement en centre ville, la ou j'ai abandonné le
mois dernier. Jolie centre historique réservé aux piétons, petites rues, église, collégiale, fontaines. Je pensais avoir plus de temps que cela et
j'avais prévu une rando de 27km, de gravir une partie de la Sainte Victoire. Je ne
suis allé qu'au pied et encore, j'ai bifurque bien avant. Je ne pensais pas que
la marche d'approche était si dure..... je ne voulais pas m'épuiser et j'avais pris un TGV une heure plus tard qu'au mois de mai.
j'ai retrouvé mon GRP 2013 et de ce coté,
il me plait. Une fois sortie de la ville, nous attaquons rapidement un sentier
qui grimpe, nous poursuivons par une longue route forestière, parsemer de
maisons. Avec la départementale ce sont les deux points les moins attrayants de ce parcours. Une voiture c'est même arrêté pour me prendre et m'emmener jusqu'au parking. Parking que je pensais plus proche. Je pensais également qu'au cas de pluie ou d'orage je pourrais couper et rejoindre la
route "Cézanne" afin de me mettre à l’abri à l’hôtel, comme toute cette partie de bois ou de garrigue est parsemé de maisons avec des panneaux chemins privés, une fois que l'on sur le bitume, ou bien on va jusqu'au bout ou l'on fait demi tour. Enfin le parking, la route fait place a un large chemin et au détour d'un virage,on voit toute cette Saint Victoire peint par cézanne.
[ La montagne Sainte-Victoire, en occitan provençal Mont Venturi selon la norme classique ou Mount Ventùri selon la norme mistralienne, est un massif calcaire du Sud de la France.
Située à l'est d'Aix-en-Provence, elle a connu une gloire internationale en partie grâce à la soixantaine d'œuvres du peintre Paul Cézanne. Paradis des marcheurs, grimpeurs et amoureux de la nature.
route "Cézanne" afin de me mettre à l’abri à l’hôtel, comme toute cette partie de bois ou de garrigue est parsemé de maisons avec des panneaux chemins privés, une fois que l'on sur le bitume, ou bien on va jusqu'au bout ou l'on fait demi tour. Enfin le parking, la route fait place a un large chemin et au détour d'un virage,on voit toute cette Saint Victoire peint par cézanne.
[ La montagne Sainte-Victoire, en occitan provençal Mont Venturi selon la norme classique ou Mount Ventùri selon la norme mistralienne, est un massif calcaire du Sud de la France.
Située à l'est d'Aix-en-Provence, elle a connu une gloire internationale en partie grâce à la soixantaine d'œuvres du peintre Paul Cézanne. Paradis des marcheurs, grimpeurs et amoureux de la nature.
En -102, les invations, d'origine germanique et scandinave, déferlent dans le Sud de la Gaule, les consuls romains les affrontent et les repoussent à la bataille d'Aix, qui se déroule
sur le piémont sud-est de la montagne Sainte-Victoire (plaine de
Pourrières). D'où, selon certain, l'appellation par les Romains de montagne de la Victoire. Une autre origine possible du nom est liée au caractère très venteux du sommet (vencturus en latin ; le nom provençal de la montagne en est proche : Venturi).
La Sainte-Victoire (la « Sainte », comme l'appellent les Aixois) aurait
dans ce cas la même origine toponymique que le mont Ventoux dans le
Vaucluse.
Elle est sanctifiée au Moyen Âge par les Chrétiens pour devenir la Sainte-Venture. Une chapelle a d'ailleurs été construite à son sommet au XIIIe siècle. Ce n'est qu'au XVIIe siècle que la montagne a pris son nom actuel pour une raison encore imprécise. Certains pensent qu'il s'agissait de franciser le nom provençal. Elle s'étend sur 18 kilomètres de long et sur 5 kilomètres de large, suivant une stricte orientation ouest-est. Le massif culmine au pic des Mouches (1 011 m pour l'IGN) (wikipédia)]
Le chemin est magnifique vallonné avec des rochers d'une couleur variant entre l'ocre et la terre de sienne cela me change des rochers gris de la foret de Fontainebleau. Je suis ébloui, et pas que par le soleil. Il fait chaud et lourd, je n'est pas prévu assez d'eau.
Des travaux sur le barrage Zola en interdit l’accès, [Le barrage Zola du nom de son architecte, François Zola (d'origine italienne), père d'Émile Zola, est le tout premier barrage voûte de l'ère industrielle. À ce titre, il constitue une innovation technique de premier ordre dans le domaine des ouvrages hydrauliques. En France, il faudra attendre la première moitié du XXe siècle pour que la technique de la voûte soit reprise et développée, en utilisant le béton. Le barrage Zola reste en effet un exemple rare de voûte en maçonnerie. Il est aussi l'un des tout premiers exemples de système
intégré de production d'eau potable pour les besoins d'une ville.
Il est situé sur la commune de Le Tholonet, dans les gorges de l'Infernet en aval du barrage de Bimont. Il servait autrefois à alimenter Aix-en-Provence en eau potable. Il sera la principale source d'eau de la ville d'Aix jusqu'en 1877, année de mise en service du Canal du Verdon. Aujourd'hui, il est entretenu par la Société du Canal de Provence, et sert de tampon potentiel en cas de vidange d'urgence du barrage de Bimont, situé en amont.]
Du bas j’aperçois plusieurs personnes sur son faîte. je poursuis ma route, je ne me vois pas revenir en arrière. Passer par ou ? le ravin me semble infranchissable et au fond la rivière. J'arrive aux barrières, qui sont ouvertes, nous y trouvons l'arrêté départementale et un plan. Je n'ai pas du tous envie de suivre cette large route qui me semble servir a l'alimentation du chantier. On est dimanche personne ne travail. Il y a des promeneurs sur le barrage.
L'eau du lac est basse. Nous sommes plusieurs a prendre des photos. Le chantier est bien sécurisé .De l'autre coté le chemin est barré, mais un sentier d’évitement a été trace par les randonneurs et promeneurs. Vu la trace au sol les week-end tous le monde doit passer par là.
Elle est sanctifiée au Moyen Âge par les Chrétiens pour devenir la Sainte-Venture. Une chapelle a d'ailleurs été construite à son sommet au XIIIe siècle. Ce n'est qu'au XVIIe siècle que la montagne a pris son nom actuel pour une raison encore imprécise. Certains pensent qu'il s'agissait de franciser le nom provençal. Elle s'étend sur 18 kilomètres de long et sur 5 kilomètres de large, suivant une stricte orientation ouest-est. Le massif culmine au pic des Mouches (1 011 m pour l'IGN) (wikipédia)]
Le chemin est magnifique vallonné avec des rochers d'une couleur variant entre l'ocre et la terre de sienne cela me change des rochers gris de la foret de Fontainebleau. Je suis ébloui, et pas que par le soleil. Il fait chaud et lourd, je n'est pas prévu assez d'eau.
Des travaux sur le barrage Zola en interdit l’accès, [Le barrage Zola du nom de son architecte, François Zola (d'origine italienne), père d'Émile Zola, est le tout premier barrage voûte de l'ère industrielle. À ce titre, il constitue une innovation technique de premier ordre dans le domaine des ouvrages hydrauliques. En France, il faudra attendre la première moitié du XXe siècle pour que la technique de la voûte soit reprise et développée, en utilisant le béton. Le barrage Zola reste en effet un exemple rare de voûte en maçonnerie. Il est aussi l'un des tout premiers exemples de système
intégré de production d'eau potable pour les besoins d'une ville.
Il est situé sur la commune de Le Tholonet, dans les gorges de l'Infernet en aval du barrage de Bimont. Il servait autrefois à alimenter Aix-en-Provence en eau potable. Il sera la principale source d'eau de la ville d'Aix jusqu'en 1877, année de mise en service du Canal du Verdon. Aujourd'hui, il est entretenu par la Société du Canal de Provence, et sert de tampon potentiel en cas de vidange d'urgence du barrage de Bimont, situé en amont.]
Du bas j’aperçois plusieurs personnes sur son faîte. je poursuis ma route, je ne me vois pas revenir en arrière. Passer par ou ? le ravin me semble infranchissable et au fond la rivière. J'arrive aux barrières, qui sont ouvertes, nous y trouvons l'arrêté départementale et un plan. Je n'ai pas du tous envie de suivre cette large route qui me semble servir a l'alimentation du chantier. On est dimanche personne ne travail. Il y a des promeneurs sur le barrage.
L'eau du lac est basse. Nous sommes plusieurs a prendre des photos. Le chantier est bien sécurisé .De l'autre coté le chemin est barré, mais un sentier d’évitement a été trace par les randonneurs et promeneurs. Vu la trace au sol les week-end tous le monde doit passer par là.
La montagne peint des centaines de fois est là, face moi, impressionnante. Depuis le barrage le chemin fait que monter et descendre, je fais une pose, il fait chaud et cela gronde au loin, il est 16:00, j'avais prévu l’excursion jusqu'au sommet ou presque, je n'est plus d'eau. je me rends compte que le chemin
est encore long, et le plus dur n'est pas fait. Je doute de mes capacités à poursuivre mon itinéraire chargé comme je suis, je pense qu'il est plus sage
de raccourcir, ce que j'avais prévu est une rando d'une longue après midi, ou
alors il n'aurai pas fallu que je visite Aix. Je coupe en abandonnant mon large chemin me conduisant vers le second barrage et prend sur la droite un sentier et m’aperçois que je
suis toujours sur le GRP 2013 je n'ai pas vu le fléchage indiquant que ce chemin tournait. Que le paysage est
beau, avec ses rochers en équilibre plus ou moins roses. Je me dis : Par chez
nous, on aurai déjà des barrières pour nous interdire le chemin au risque d’éboulement. Et cela ne manque pas d'arriver, principe de précaution oblige. Voila une pancarte, petite toute petite, avec
un plan devant permettre d'éviter le secteur
et un arrête municipale. "j'comprends rien". Je pense que cela concerne le barrage. La route est bonne, je continu. je ne suis plus sur le GRP, mais sur un circuit rouge et puis plus rien. j'arrive à un mur, une cascade, je traverse le ruisseau a gué. Derrière un petit canal. Le balisage à disparu. Ce qui me semble être mon chemin est fermer par des grilles, c'est une propriété privée. Je cherche, ne trouvant pas de balisage, je butte sur la montagne ou sur la cascade et ses grilles. je panique un peu, ne trouvant pas de passage et ne me voyant pas faire demi tour. Je suis trop avancé dans l'itinéraire. je me dis heureusement que je ne suis pas monté sur "la Sainte". Je découvre un sentier qui grimpe sur le cote de la falaise. Mon chemin devait ce poursuivre par la. je tente la grimpette, pas de balisage. le chemin serpente comme en pleine montagne. de l'autre coté ça se dégage, de sentier cela devient chemin et j'arrive de nouveau à de hautes barrières de chantier. Je retrouve le même avis préfectorale beaucoup plus lisible, (devait manquer des feuilles sur l'autre) je lis : chemin fermer pour risque de chute de
branches et de rochers, ne pas suivre le balisage. Je comprends maintenant, la raison de l’arrêt du balisage à la cascade et les cartes indiquant le détour. Tous c'est bien passe, mais avec les orages des derniers jours..... il pouvait y avoir un risque. je rejoins la route. Long chemin en bordure de la route
départementale, avec par moments des échappatoires dans le sous bois, ce qui évite de marcher sur le bitume. Belle balade même si je n'ai pas fais ce que j'avais prévu. Peut être que je reviendrais. le coin est sympa.
et un arrête municipale. "j'comprends rien". Je pense que cela concerne le barrage. La route est bonne, je continu. je ne suis plus sur le GRP, mais sur un circuit rouge et puis plus rien. j'arrive à un mur, une cascade, je traverse le ruisseau a gué. Derrière un petit canal. Le balisage à disparu. Ce qui me semble être mon chemin est fermer par des grilles, c'est une propriété privée. Je cherche, ne trouvant pas de balisage, je butte sur la montagne ou sur la cascade et ses grilles. je panique un peu, ne trouvant pas de passage et ne me voyant pas faire demi tour. Je suis trop avancé dans l'itinéraire. je me dis heureusement que je ne suis pas monté sur "la Sainte". Je découvre un sentier qui grimpe sur le cote de la falaise. Mon chemin devait ce poursuivre par la. je tente la grimpette, pas de balisage. le chemin serpente comme en pleine montagne. de l'autre coté ça se dégage, de sentier cela devient chemin et j'arrive de nouveau à de hautes barrières de chantier. Je retrouve le même avis préfectorale beaucoup plus lisible, (devait manquer des feuilles sur l'autre) je lis : chemin fermer pour risque de chute de
branches et de rochers, ne pas suivre le balisage. Je comprends maintenant, la raison de l’arrêt du balisage à la cascade et les cartes indiquant le détour. Tous c'est bien passe, mais avec les orages des derniers jours..... il pouvait y avoir un risque. je rejoins la route. Long chemin en bordure de la route
départementale, avec par moments des échappatoires dans le sous bois, ce qui évite de marcher sur le bitume. Belle balade même si je n'ai pas fais ce que j'avais prévu. Peut être que je reviendrais. le coin est sympa.
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