Etape 31
Du 21 juillet 2014 au 26 juillet 2014
Je reprends mon parcours ou je l'ai laissé l'année dernière : Calais.
J'avais imaginé coucher dans cette ville, profiter de la plage et partir le lendemain. J'ai changer mes plans, simplement pour une alerte sanitaire. Les migrants attendent toujours dans des conditions précaires, le moment favorable pour traverser le channel et, il y aurai des cas de galle dans cette ville. Ne sachant pas bien comment ce transmets cette maladie, je préfère fuir à 30 km de la. A l'origine je désirai coucher à Graveline pour mieux visiter la citadelle. Manque de chance pour moi, ce que j'avais repéré est occupé et je dois me rendre 5 km plus loin. Un petite hôtel d'une zone industrielle proche de Dunkerque. C'est moins "glamour" que Graveline.
Pour
moi le GR 120 ce terminera dans cette dernière ville ou je dois
retrouver le GR 128 A. Ne le chercher pas dans les pages internets, je
ne l'ai pas trouvé. Il n'est existant que sur les cartes de L'IGN qui à
mon avis n'ont pas vu de misent à jour depuis plus de cinq ans (du moins
pour les sentiers pédestres) ou alors la FFRP n'a pas prévenue que
cette liaison était abandonnée. Sur internet, je n'ai trouvé que Le sentier de grande randonnée 128
(GR 128) relie Wissant en France à Aix-la-Chapelle en Allemagne. A
Graveline nous trouvons bien un panneau d'information sur la direction
du 128 A mais après ........ je n'ai pas vu grandes traces. Ou bien le
parcours à été modifié et la carte comme d’habitude n'est pas à jour. Ou
bien cette branche à été abandonnée.
Pas de problèmes de train. un peu angoissant pour le TGV composé de
deux trains ne desservant pas la même direction. Le chef de bord se
trompe dans les numéros et leur destination. Panique à bord, mais il se
reprend à
temps.
Pour cette reprise d’itinéraire sur la cote d'opale pas trop de soucis, mais beaucoup de changement. A Calais, soit la carte est fausse soit le chemin à changé. Mais je pense que la carte et le tracé n'a pas été mis a jour par l'IGN.
Reste de le défense des côtes datent de 1945 |
Pour cette reprise d’itinéraire sur la cote d'opale pas trop de soucis, mais beaucoup de changement. A Calais, soit la carte est fausse soit le chemin à changé. Mais je pense que la carte et le tracé n'a pas été mis a jour par l'IGN.
Le code mobile de cette randonnée est b250599
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km Temps arr V/d V/g dénivelé alt max
35,4 6h 43 1h 5,3 4,6 134? + 2m
La tour du Guet.
Sa construction, qui daterait du milieu ou de la fin du XIIIème siècle, en fait le plus ancien vestige de la place d’Armes. Elle servait à surveiller les vaisseaux en mer et à avertir de l’approche d’ennemis. Un des deux guetteurs signalait aussi les foyers d’incendies. A la vue du feu, il descendait prévenir le corps de garde, sonnait le tocsin et annonçait dans un porte-voix l’endroit d’où les flammes s’élevaient. Enfin, la vigie devait avertir de l’ouverture des portes de la ville par cinq coups de cloche. Ils donnaient trois coups toutes les trois heures et appelaient les habitants à la retraite. Le moindre défaut de la part des observateurs pouvait leur valoir la prison. La face nord accueillait également un jacquemart qui, lors des heures, demies et quarts d’heure symbolisait un combat équestre dont on disait qu’il s’agissait de François Ier et Henry VIII. La tour servit aussi de relais télégraphique, avec l’installation d’un appareil "Système Chappe" en 1816. A son pied, on a déposé l’ancienne cloche datant de 1770 qui sonnait le tocsin et les heures.
Yvonne de Gaulle, née Yvonne Charlotte Anne Marie Vendroux le 22 mai 1900 à Calais et morte le 8 novembre 1979 à Paris, est l'épouse de Charles de Gaulle, 18e président de la République française du 8 janvier 1959 au 28 avril 1969.
Réputée très discrète, elle était affectueusement surnommée « Tante Yvonne » par les Français.
Les traces ne sont que dans un sens Nord Sud. Faut ce retourner pour voir la peinture rouge et blanche, à croire qu'il n'y que les anglais sortant du bateau qui se lance sur ce chemin. Ma trace ce termine par une route interdite aux piétons. J'avais espoir de retrouver la plage voyant une pub pour un bateau promenade. Mais on s'y rend qu'en voiture. Comme après il y a des zones industrielles pouvons nous encore passer sur la plage ? En faisant demi tour je me rends compte que le balisage
fait prendre la route départementale 119, balisé dans le sens Dunkerque -Calais je n'ai pas vu la trace dans le rond point. Donc à la place de suivre la plage, ont se tape la route, en bordure de la zone
industrielle. Je n'aimerai pas habiter là. De temps en temps une vieille marque. Je continue la route avec toutes ses odeurs : nauséabondes. La, on regrette le GR 51 et les parfums de la garrigue ou les senteurs plus entêtante autour des parfumerie de Grasse. Enfin on tourne à gauche pour ce rendre par un chemin défoncé au porte d'un centre aéré. Toujours par un chemin défoncé, cimenté, bitumé gravillonnée peu agréable, nous arrivons dans un no man's land, pas jolie a regarder.
Il semblerai que ce soit privé et qu'il y a des animaux. Ce chemin me fais réfléchir, et me souvenir que l'année dernière j'avais lu que le GR 120 avait été détourné par Bergues afin d’éviter des zones industrielles classées "Sévéso" autour de Dunkerque, mais Calais c'est pas Dunkerque...... On en a pour 7 à 8 km de balisage faisant défaut mais les croix
interdisant de se rendre sur les plages y sont encore.
J'ai pas confiance à la carte et au travail de l'IGN, en effet le nouveau chemin n'apparait pas. Qui bousculera cette institution pour nous donner des cartes justes....... A quand la concurrence ? Dommage Google map n'a pas le tracé des chemins balisés. La FFRP pourrai également signaler sur internet ses modifications avec au minimum une carte. Il parait qu'un marcheur c'est radin (je ne répète que ce que j'ai lu dans l'un des derniers auteurs sur le chemin de Saint Jacques. Mais racheter un topo pour peut être trente bornes, de déviation..... et encore faudra bien le chercher car ont est pas sur que les librairies ne vont pas écluser les vieilles éditions.
d’après ma trace je dois me diriger vers la mer, mais aucune traces. Et puis l'on fait des travaux dans la zone naturelle, de gros travaux. On nous demande de faire attention ou l'on met les pieds pour ne pas écraser le nids et leur œufs, la pelleteuse les voient elles les nids? Je rentre par un chemin dans un espace naturel composé de caches pour la chasse aux gibiers d'eau : Bravo l'espace naturel. Pour moi cela ne va pas ensemble....... Ils (les chasseurs) attirent des oiseaux fatigués avec des appeaux pour les tuer. Vive la nature. Enfin j'arrive sur les plages, après le centre aéré. Comme je suis à marée descendante (J'ai regarde les horaires des marées) je ne quitte plus la plage jusqu’à Graveline. Je ne fais pas les détours dans les espaces naturelles je risque de perdre du temps vue le peut
Le port La maison des sauveteurs
de balisage. Pas grand monde sur ses plage heureusement qu'il y a les chars à voile tractés par des parachutes pour peupler cette immense plage de sable. Par endroit le sable disparait, la terre apparait et la boue ou un sable noir et collant, peu agréable colle aux chaussures, Je fais pas mal de détour pour éviter les sables sec et mous ou recouvrant des zones collantes et boueuse. J'arrive à la digue de Grand Fort Philippe et je pense être à Graveline, mais avant cette ville il faut suivre un long
35,4 6h 43 1h 5,3 4,6 134? + 2m
Calais me revoilà.
Au sortir de la gare je traverse la place principale dont les travaux sont presque terminées. Nous contournons la gare maritime, qui à du
s’agrandir. Nous n'en finissons pas de suivre des grillages, puis nous
arrivons à des ronds points et puis des routes nouvelles ou plus large,
on passe sous des ponts. Enfin un panneau d'information, pas pour nous
pauvre petit "franchouillard" Comme l'année dernière on n'indique que
le GR 145 le sentier Européen ce rendant à Rome.
La tour du Guet |
Sa construction, qui daterait du milieu ou de la fin du XIIIème siècle, en fait le plus ancien vestige de la place d’Armes. Elle servait à surveiller les vaisseaux en mer et à avertir de l’approche d’ennemis. Un des deux guetteurs signalait aussi les foyers d’incendies. A la vue du feu, il descendait prévenir le corps de garde, sonnait le tocsin et annonçait dans un porte-voix l’endroit d’où les flammes s’élevaient. Enfin, la vigie devait avertir de l’ouverture des portes de la ville par cinq coups de cloche. Ils donnaient trois coups toutes les trois heures et appelaient les habitants à la retraite. Le moindre défaut de la part des observateurs pouvait leur valoir la prison. La face nord accueillait également un jacquemart qui, lors des heures, demies et quarts d’heure symbolisait un combat équestre dont on disait qu’il s’agissait de François Ier et Henry VIII. La tour servit aussi de relais télégraphique, avec l’installation d’un appareil "Système Chappe" en 1816. A son pied, on a déposé l’ancienne cloche datant de 1770 qui sonnait le tocsin et les heures.
Calais Monsieur et Madame De Gaule |
Réputée très discrète, elle était affectueusement surnommée « Tante Yvonne » par les Français.
Route défoncée |
Les traces ne sont que dans un sens Nord Sud. Faut ce retourner pour voir la peinture rouge et blanche, à croire qu'il n'y que les anglais sortant du bateau qui se lance sur ce chemin. Ma trace ce termine par une route interdite aux piétons. J'avais espoir de retrouver la plage voyant une pub pour un bateau promenade. Mais on s'y rend qu'en voiture. Comme après il y a des zones industrielles pouvons nous encore passer sur la plage ? En faisant demi tour je me rends compte que le balisage
fait prendre la route départementale 119, balisé dans le sens Dunkerque -Calais je n'ai pas vu la trace dans le rond point. Donc à la place de suivre la plage, ont se tape la route, en bordure de la zone
industrielle. Je n'aimerai pas habiter là. De temps en temps une vieille marque. Je continue la route avec toutes ses odeurs : nauséabondes. La, on regrette le GR 51 et les parfums de la garrigue ou les senteurs plus entêtante autour des parfumerie de Grasse. Enfin on tourne à gauche pour ce rendre par un chemin défoncé au porte d'un centre aéré. Toujours par un chemin défoncé, cimenté, bitumé gravillonnée peu agréable, nous arrivons dans un no man's land, pas jolie a regarder.
Plage déserte même en juillet |
J'ai pas confiance à la carte et au travail de l'IGN, en effet le nouveau chemin n'apparait pas. Qui bousculera cette institution pour nous donner des cartes justes....... A quand la concurrence ? Dommage Google map n'a pas le tracé des chemins balisés. La FFRP pourrai également signaler sur internet ses modifications avec au minimum une carte. Il parait qu'un marcheur c'est radin (je ne répète que ce que j'ai lu dans l'un des derniers auteurs sur le chemin de Saint Jacques. Mais racheter un topo pour peut être trente bornes, de déviation..... et encore faudra bien le chercher car ont est pas sur que les librairies ne vont pas écluser les vieilles éditions.
La digue de Fort Philippe
Enfin je regagne la plage après avoir contourner les espaces naturelles protégés. j'en ai mare de ce manque de balisage. (Je n'avais pas encore compris que les marques n'existaient plus)d’après ma trace je dois me diriger vers la mer, mais aucune traces. Et puis l'on fait des travaux dans la zone naturelle, de gros travaux. On nous demande de faire attention ou l'on met les pieds pour ne pas écraser le nids et leur œufs, la pelleteuse les voient elles les nids? Je rentre par un chemin dans un espace naturel composé de caches pour la chasse aux gibiers d'eau : Bravo l'espace naturel. Pour moi cela ne va pas ensemble....... Ils (les chasseurs) attirent des oiseaux fatigués avec des appeaux pour les tuer. Vive la nature. Enfin j'arrive sur les plages, après le centre aéré. Comme je suis à marée descendante (J'ai regarde les horaires des marées) je ne quitte plus la plage jusqu’à Graveline. Je ne fais pas les détours dans les espaces naturelles je risque de perdre du temps vue le peut
Le port La maison des sauveteurs
de balisage. Pas grand monde sur ses plage heureusement qu'il y a les chars à voile tractés par des parachutes pour peupler cette immense plage de sable. Par endroit le sable disparait, la terre apparait et la boue ou un sable noir et collant, peu agréable colle aux chaussures, Je fais pas mal de détour pour éviter les sables sec et mous ou recouvrant des zones collantes et boueuse. J'arrive à la digue de Grand Fort Philippe et je pense être à Graveline, mais avant cette ville il faut suivre un long
Ouf, une passerelle |
canal, je fais un petit détour par l'église, puis rejoint
mon chenal. Pas un pont, pas un passeur, il faut aller jusqu'au bout.
Et c'est long. C'est moche car à marée basse. C'est l'embouchure boueuse
de l'Aa. J'espère que je ne reviendrais pas par l'autre coté. Enfin je
trouve une passerelle piétonne au niveau de l'écluse laissant le port
de plaisance en eau. Faut regarder à deux fois avant de traverser, mes
les habitués s'y lance sans problème. J'ai fais cette partie du circuit pour
visiter Graveline et, fatigué, il est tard, j'ai encore une heure
de marche alors rapidement je fais deux trois photos de la citadelle, je voulais
voir les moulins : Je ne fais pas le détour, je ne le vois même pas
derrière les maisons. Je traverse la citadelle entouré d'eau, regarde a
peine le beffroi.
Enfin Graveline
j’aperçois tout de même une information rouge et blanche que je prends pour le GR 128 A je vais pas vérifier ce n'est pas ma route d’aujourd’hui poursuit ma trace je suis toujours sur l'hypothétique GR 120. Au sortir de Graveline cela ne s'améliore pas. Le chemin passe de nouveau dans une zone industrielle qui ne sent pas bon et dans des champs qui deviendrons usine, quelques traces malgré tout. Je comprends que l’itinéraire soit changé. Ici j'approche vraiment de Dunkerque. (Le Panneau vu à Graveline indiquait peut être la déviation du 120, et non pas le début du 128?) (Mais voila une fois à la maison j'ai regardé la carte et les photos prisent par Google on ne connais plus le GR 120 mais c'est l'E 9 et l'on indique bien le 128 avec Watten)
Le Beffroi |
Un seul avantage pour moi je suis sur une route bitumé et j'ai vue des voitures donc elle débouche quelque part. Pour l'instant je suis dans les champs, j'aperçois sur la gauche l’extension de la zone portuaire de Dunkerque. Le chemin pris par le GR entre deux champs disparait dans les herbes, mon bitume me fait arriver à peu prêt au même endroit. Puis la route jusqu’à l’hôtel, très bien cet hôtel accueillant, cabinet de toilette dans la chambre pour pas cher, cela occulte un peut la lumière de la fenêtre mais ce n'est que pour une nuit.
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