Ancien Tour du Massif de Fontainebleau
Voilà trente trois ans, (aujourd'hui en 2020 cela fait un peut plus...) je faisais pour la première fois le TMF, avec un monsieur, qui aurait pu être, mon grand père. Il avait bon pied, bon œil, et avait l'âge du siècle : 79 ans. Cela faisait un an ou deux que ce parcours venait d'être crée me semble t'il, par un agent de L'ONF. Aucun village traversé. A la gare SNCF de Fontainebleau, une petite queue de sentier, permettait de rejoindre l'itinéraire en boucle. 65 km, sans boire n'y mangé. J'exagère, un peu, A la mi parcours, "à l'époque" existait une auberge, une auberge en plein milieu de la foret, en bordure d'une petite départementale. Il fallait le savoir, on y mangeait, il me semble qu'on y dormait pas. Surtout il avait été crée 6 bivouacs avec de l'eau. D'ailleurs, lorsque mon mentor me proposa l'itinéraire en deux jours, ce n'est pas là que nous avons couché mais, à bien 10 km de là, dans une pension de famille. Les chambres d’hôtes en région parisienne étant inexistante. Il avait été créé, un peut à l'écart de l'itinéraire à coté des maisons forestières six lieux de bivouac. Pas de douche, mais un robinet avec de l'eau. En 1979, nous avions moins de soucies pour traverser les départementales, elles étaient moins larges, moins de voitures et de camions. Aujourd'hui il y aurait un gros risque à traverser la ou passait l'ancien itinéraire. J'ai donc ajouter en bleu cette modif que vous retrouverez sur la trace GPSTrace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b303793
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
L'itinéraire de l'ancien TMF était bien prévu, pour des campeurs. La boucle pouvait se faire en trois ou quatre jours. Un couchage avec eau courante proche de la maison forestière du Bas Bréau, vers Barbizon. Un autre, au Grande Vallée, vers Bourron Marlotte. Un troisième au trois pignons. Un quatrième vers Bois le Roi. Pas des campings mais des Bivouacs. Une clairière, ceint par des barrières en bois, un point d'eau, un espace barbecue. Loin des commerces, il fallait tous prévoir à l'avance, sinon gare aux kilomètres supplémentaires.
N'étant pas un adepte du camping, je n'ai pas de matériel, mon mentor, à son age n'avait certainement pas envie de coucher en foret aux emplacements prévus.
Nous voilà donc partie le 1 et 2 Aout 1979 par ce chemin balisé en vert et blanc ou blanc et vert, direction nord. Nous tournons dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
Il fait mauvais. il pleut. La pluie du matin n'arrête pas le pèlerin. Ce chemin me plait. Mare aux Evées, le Cuvier Chatillon, Apremont, en long en large et en travers. Macherin, haute plaine, les Sablons, Je découvre le rocher de la Reine et les Trois Pignons. Fin de la première partie.
Nous quittons les chemins sablonneux pour des kilomètres interminables de bitume afin de rejoindre notre pension de famille. C'est dure, très dure, nous marchons en silence. Qui est le plus fatigué ? certainement moi. Mon guide l'est, lui aussi. Cette route lui rappelle, la guerre, les marches forcées vers les camps de prisonnier. Il est tard, il me semble que nous sommes arrivées vers 20h. Le repas avait été servi et débarrassé.
Le lendemain cela va mieux, nous pensions nous approvisionner dans le village. A notre départ le seul commerce est encore fermé. Que me reste t-il ? un1/2 sandwich au jambon tout mou et raplapla, heureusement on à fait le plein d'eau. Le reste je ne m'en souviens plus. Et cela continue......
Haute borne, Barnolets, Croix de Souvray, Erable et Déluge, fort de Marlotte, La Grande Mare ou mare aux Fées. On mange nos restes. On continue, mais il se fait tard. Les Etroitures, Le rosoir, Les fraillons le Mont Andart. Non, Non. Il faut être honnête. On a stoppé à la gare de Thomery-By. Nous n'avons pas pris le train, nous suivons simplement la départementale. Comme il est tard, il y a des voitures et l'une d'elle s'arrête, c'est un conseillé municipale de notre commune, il a reconnu : son patron. Oui, la personne que j'accompagne c'est le Maire. Grand marcheur. Nous montons bien volontiers, dans ce moyen de transport non voulu. Après tout, ce n'est pas nous qui demandions de l'aide, nous n'avons pas voulu vexé......... en refusant.
La je crois que j'ai bien retourné la situation en notre faveur.
Ce
parcourt ma beaucoup marqué, à cette époque, je n'avais pas encore
parcouru la foret en long, en large et en travers. J'étais limité dans
mes déplacements, ne disposant pas de voiture. Ce chemin me faisait
découvrir une bonne moitiés sud de la foret.
Mon TMF en solitaire
Partie centrale mare aux fées |
Les 3 et 4 septembre à 7h30 me voilà partie comme à mon habitude : seul, avec mon "sac au dos". Pour réaliser l'ancien itinéraire du TMF, que j'avais retracé sur mon GPS grâce à une ancienne carte encore en ma possession. Je le parcours dans le sens des aiguilles d'une montre. La météo devrait être bonne. Manque de chance, nuageux et bruine. Pas de quoi décourager un pèlerin.
Partie droite mare aux fées |
Partie gauche mare aux fées |
Point sur le parcours : 4h05 de marche, 21 mn d’arrêt, 21 km. Vitesse moyenne 5.2, Vitesse globale 4.7
Dans ce parcours, j'ai vue un chevreuil et son petit qui à pris son temps pour traverser le chemin. ATTENTION MA GRANDE, ou MON GRAND, LA CHASSE VA BIENTÔT OUVRIR, UN CONSEIL : FUIT, FUIT, FUIT.
Je commence à avoir mal au jambes pourtant je n'ai que 226 m de dénivelé positif, après un frugale repas (bananes séchés en dessert et cake salé) avec un repos jambe un peut surélevé sur un rocher cela ce passe. C'est ici que nous avons le chemin menant à la maison forestière de Bourron Marlotte et son bivouac. Bien trop tôt pour moi. (en 2013 le bivouac est toujours ouvert mais prévoyez un râteau, il a été ravagé par les sangliers.)
Une longue après midi s'annonce. Beaucoup de plat avec : les Ventes ; à la Reine, Rigaud, Galène ... Petite bifurc avant la D607 le chemin traversant une zone en régénération et clôturé. Toujours pas de problèmes pour traverser la nationale, mais dangereux. Avec la parcelle grillagée, nous devons quitter l'ancien tracé, autant le modifier pour traverser en sécurité, à la croix de Saint Hérem. Afin d'éviter d'emprunter la D 301 assez roulante je passe dans la parcelle grillagé (porte) par la route du Pape et reprends de suite après être sortie de la parcelle la route du sud, jusqu'a la route Riguaud ou je retrouve l'ancien itinéraire. Interminable ce parcours avec la route circulaire. Enfin on arrive au sable des Béorlots et nous passons sous l'autoroute. Voilà les Trois Pignons. Enfin ! Si l'on trace une diagonale sur la carte c'est la moitié du parcours. Je fais ma deuxième pose de l'après midi, vers le Rocher Fin. Temps de parcours 7h24 pour 37.4km, vitesse de déplacement 5.1 et en globale 4.2 . Je ne suis pas mécontent de moi.
Cette partie est dure. La fatigue, bien sur, mais également le sable et pour terminer le sentier montagne (25 bosses- couleur rouge) juste un petit bout, pas grand chose mais tout de même pas facile. Il faut faire attention ou l'on met les pieds en grimpants sur les rochers. On sort des Trois Pignons par la Vallée Ronde. Nous arrivons à Bois Rond. Je pensais faire une pose et boire une bière fraiche, voir demander si je ne pouvais pas dormir. Mais le resto est fermé. Il loue des salles, ils font de la pension pour chevaux. Un peu délabré l'ensemble. pas confiance. Je continue par le Rocher de la Reine. J'aime bien ce rocher il y a trente ans, il était totalement dénudé. aujourd'hui, quelques pins. En bas Chanfroy, en face le rocher de Corne Biche et la tour de la vierge. Un autre point important pour moi le Point de Vue de Hurlevent. 18h55 - 47.2 km 9h 32 de marche et 1h58 de pose en vitesse de déplacement cela descend 4.9 un peu moins en vitesse globale 4.1 Que faire ? s’arrêter ? l'emplacement me semble bien. Je n'ai vu personne. Des traces de feu sont présente. 19h00 peut être encore un peu tôt pour installer la toile. Eh puis ce serait du camping sauvage et c'est interdit. Je ne suis plus très loin d'Arbonne. Je continue. Le Gros Sablon c'est dure, très dure de serpenter dans les rochers, mais toujours aussi jolie. Des emplacements sont là, avec de la mousse. mais pourrai-je planter les piquets avec les rochers ? Je continue. Arbonne n'est vraiment plus très loin. Fin de la première partie à 19h47 50,4 km en 10h14 arrêt 2h05 vitesse déplacement 4,9 km/h - vitesse globale 4,1 km/h Dénivelé totale positif 284m je suis vanné.
Qu'il était bien cet ancien sentier avec ses terrains de bivouacs proches du circuit principal. Par endroit il en reste encore le souvenir
Mais attention ils sont abandonnés et remplis de ronces.
Je repère un endroit, tous proche de la maison forestière. Je n'ai vue, personne, personne ne ma vue. La nuit tombe et je n'ose plus me présenter aux maisons. J'étais resté dans l'idée qu'il était toléré de couché une nuit proche d'une maison forestière. Depuis, je sais que c'est une idée fausse. La toile est montée un peu à l'écart. En pleine nuit, je ne suis pas sur que l'on me voit. J'ai mal aux hanches et aux cuisses. Je mange mon cake salé au jambon et fromage (comme à midi) et je me couche. La nuit est tombée, mais, pas le bruit. Que d'avions. Que de voitures sur l'autoroute. Les voitures et les motos sur la départementale ou sur l'autoroute. J'ai du mal à m'endormir. Dans la nuit un camion s'arrête et fait marche arrière, le bip-bip m'inquiète, j'avais l'impression qu'il était à coté. je sors de la tente : rien, personne. Entre deux sommes, après les avions c'est le hibou qui s'en mêle.
Puis un grognement, lointain, je sors à nouveau de la tente. Rien là n'ont plus. Qu'elle nuit. Vivement le levé du jour, car maintenant c'est le cerveau qui travail, et si.....et si ...... il y avait des braconniers, et si ceci et si cela. Je ne suis pas très loin du lieu du drame de 1989. Soleil dépêche toi de te lever!
Aujourd'hui, je sais qu'il est interdit de procéder ainsi. En effet j'étais resté, sur une vieille affiche encore en place en 2013, sur les portes de la grande maison ONF à la Faisanderie de Fontainebleau, ou pratiquement toute les maisons forestières pouvaient recevoir un "bivouac".
En traversant le lieu mythique de l'escalade, je me suis rendu compte que j'étais hors la loi en couchant là ou j'avais prévu. Les panneaux sont bien fait car nous avons les informations des lieux autorisés et les camping. C'est bien, sauf qu'il faut une voiture, les campings ne sont pas en lisière de la foret. Aujourd'hui il reste deux lieux de bivouacs pour réaliser l'ancien TMF (Comme le nouveau) C'est A la Faisanderie à Fontainebleau (je n’ai pas vérifié. Par contre je suis sur que celui de Bois le Roi à été fermé en 2022 et Bourron Marlotte. Pour un camping avec douche et sanitaire Samoreau mais, un peut loin pour l'ancien tour du Massif, comme pour le nouveau. Voici la liste fournie par L'ONF en 2013 Le camping de Samois à fermé en 2016
2ème jour
266 m Dénivés positif, 22.8 km en 4h39, 28 mn d’arrêt, Vitesse déplacement 4.9, vitesse générale 4.4
6h00 le soleil se lève, du moins le jour me réveil. Je suis toujours vivant. Toujours le bruits des voitures. Je plie la tente, range mes affaires, remets un peu en ordre l’endroit ou j' avais posé la tente. Un petit coup de râteau redresse les herbes ni vue ni connu. Je suis parti, personne ne ma vue, je n'ai vu personne. La fin est proche, du moins je le crois, de tête il me reste à parcourir Apremont, traverser le Cuvier Chatillon, me rendre à la Mare aux Evées et la dernière ligne droite, jusqu’à la gare. Hier, j'ai même pensée faire les derniers kilomètres dans la soirée et en début de nuit. J'estimais (avec erreur) être à 3 heures de mon point de chute. Ce qui ma fait abandonnée cette idée ? Je me souvenais du parcours d'Apremont qui lié à la fatigue et, de nuit (sans éclairage) pouvait devenir dangereux. Et puis l'adrénaline de dormir seul en foret, (même proche d'un village), un rêve d'ado.
Ça démarre dans la fraicheur et la brume par la Plaine de Macherin, les yeux ne sont pas au rendez vous et je loupe la bonne direction en voulant couper à travers la parcelle, pour rejoindre mon chemin. Je zig zag parmi les épines au risque de déchirer mon sac. Je rejoints le chemin. La petite grimpette au Point de Vue du Camp d'Arbonne, me creuse l’appétit. Petite pose avec des bananes sèches, et un peu de cake. Il m'en faut pour midi. Les Gorges d'Apremont s'annoncent, la première partie est facile c'est le sentier bleu des crêtes, il me semble qu'il porte encore le nom de sentier des artistes. Puis l'on rejoint une partie du sentier bleu qui se nomme si je ne m'abuse le Val des Mohicans, le sentier est plus difficile dans les rochers mais on a une vue sur les gorges !!! J'ai loupé la bifurcation et la route de la solitude. Petite marche arrière. Je suis content, même l'ancien TMF ne passe pas par cet affreux escalier couplé à ce grillage mal tendu, me faisant pensé à un parc d'attraction sur le déclin. Qu'il est dure se sentier, mais qu'il est beau. Après le passage sous la D 607 nous arrivons au Cuvier Chatillon. Là par contre c'est une découverte. J'avais complétement oublier cette traversée. Longue dans les rochers, heureusement que je ne me suis pas lancé dans cette aventure de nuit. Après le cuvier c'est de la rigolade..... On descend les Longues Vallées, et maintenant c'est tout droit et tout plat ou presque, jusqu'à la Mare aux Evées avec ses canaux rayonnants (à sec). Puis c'est le grand virage sur Fontainebleau avec la traversée de toutes les plaines (boisées) Plaine Saint Louis, des Ecouettes, de Samois. Arrivée aux Ecouettes, j'ai trop mal aux jambes et je quitte le TMF pour rentrer en direct. Il reste une bosse celle du Rocher Cassepot pour rejoindre la fin de ma boucle et revenir par le même chemin jusqu'à la gare. Cela fait une bonne demi heure que j'essaie de me motiver pour réaliser la boucle, il ne reste pas grand chose 2 ou 3 kilomètres, mais voila la tête ne veut pas et les jambes ne suivent plus. Surtout pas de la grimpette. C'est l'inconvénient d'être du coin, on sait ce qu'il y a derrière. Au niveau kilométrage ce doit être la même chose, sauf qu'en quittant le TMF je reste sur du plat.
Prochainement je ferais le nouveau TMF en trois étapes.
Une fois le nouveau réalisé, je pense mixer les deux itinéraires et réaliser une trace GPS cela doit être intéressant notamment vers Recloses, avec la Vallée de Jauberton et les rochers de Reclose. On n'oublie pas les Trois Pignons n'y Franchard qui est dans le premier qu'écorné. Du travail en perspective et un entrainement pour ma Randonnée Le Plus Loin Possible.
Lorsque j'ai vu le nouveau parcours, j'ai été étonné des modifs. J'en reparlerais dans une prochaine étape. Mais, on ne passe plus à la Mare aux Evées, on visite moins Apremon. On ne passe plus au trois pignons. Pour quelle raison ses changements??? Par contre il traverse les villages de Bourron Marlotte, Avon, Samois, Bois le Roi, Recloses. Beaucoup de villages pour un tour de la foret. Des chemins d'acces permettant d'accéder aux gares SNCF, et aux ravitaillements aurai suffi. Peut être que l'on a voulu "Faire Mieux" Ne pas oublier les villages en bordure ? Je n'en vois pas l'interret surtout que le balisage ne passe pas par les commerces, cela peut apporter des couchages supplémentaires par les chambres d'hôtes ? j'estime que des queues à la grande boucle aurai suffi. Pour moi le Tour de la Foret c'est vraiment la foret, pas les villages même si l'on passe par les sentiers intra muros, ce n'est pas le rôle du TMF mais des GR et GRP, d'ailleurs le promoteur de cet itinéraire ne s'est pas cassé la tête, il a emprunté dans la majorité des cas les GR1, GR2 et GR13. Encore un beau COcoricooooo bien Français. J'abandonne le travail de mes prédécesseurs pour créer mon circuit (en moins bien).
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Bonjour
RépondreSupprimerNous avons testé ce tour le WE dernier, sur 2 jours avec bivouac. Pour la même raison que vous, nous préférons rester en dehors des villes, et le "détour" par les 3 pignons est, de notre point de vue, un incontournable ! Du coup l'ancien tracé nous convenait mieux.
Tout est ok et passe bien, même aujourd'hui. Un petit bémol après Bourron-Marlotte (dans le sens des aiguilles d'une montre) : les sentiers sont mals entretenus, il faut se frayer un chemin, parfois difficilement et en plus, c'est tout droit, ça manque d'intérêt. Pour le reste (une fois la nationale franchie - sans le détour vue l'heure très matinale), tout le reste du circuit est super.
Seul le bivouac de Bourron-Marlotte semble avoir été conservé (eau, toilettes, espace pour planter la tente - mais malheureusement en bord de route).
En 2 jours, c'était très très ambitieux, ça fait des très grosses étapes. A faire plutôt en 3.
J'oubliais : merci pour le tracé :) !
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerBravo. En effet en deux jours ce sont de bonnes étapes. Deux bivouacs sont encore accessibles Bourron le mieux aménagé et certainement le plus calme..... et Bois le Roi à la maison forestière en bordure de la route de Bourgogne très passagère et je ne suis pas sur qu'il y est de l'eau. Pour le reste j'ai respecté l'ancien tracé saut les modifs pour traverser en sécurité les nationales.
J'espère à bientôt sur mes circuits. Bonne route.
Ce TMF à été tracé par un forestier dans les années 1970 et il me semble qu'il a voulu nous donner un aperçu de la foret, zone rocheuses avec des pins, zone rocheuses sans pin, zone sableuses, zone humides, zone siliceuses, zone calcaires, zone silico-calcaire, je m'arrête là dans ma démonstration. Pour ce qui nous semble être un manque d’intérêt autour de la croix de Souvray et du grand feuillard, pour le forestier cela à peut être de l'importance de nous montrer une partie de la foret ou la futaie est intéressante ou était intéressante. Depuis il y a eu beaucoup de coupes de beaux arbres, mais les gaulis qui repousses deviendront certainement de beaux arbres pour nos petits enfants. Le secteur est propice aux beaux arbres. Les noms nous le font remarquer ; Grand Feuillards (hêtre)- Gros buisson,ventes aux perches (petit arbres)c'est un secteur ou le belle arbre pousse sans trop de difficultés par rapport aux zones sableuses. On retrouve cela dans le nord de la foret plus marécageuse avec le chêne très gourmand en eau. Maintenant l'entretien des chemins n'est pas une mince affaire, L'onf à bien du mal à passer le broyeur sur les chemins ancestraux trop occuper à créer des laies forestières pour le débardage. Lorsque le chemin devient sentier comme c'est souvent le cas dans les Béorlots, malheureusement seule le passage fréquent des piétons et des cavaliers feront subsister ses routes.
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