Pour cette Petite Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans le Village de Moigny sur Ecole
Dans mon cycle des promenades situées dans le Nord de
la Seine et Marne je vais vous proposer, soit de petits rando, soit des rando,
dans les forets périurbaines, appelées la Ceinture Verte. Foret de Bréviande,
poumon vert du nord de Melun, du Mée, de l’extrémité de la ville nouvelle de
Melun Sénart. Du Rougeau, de Sénart, poumon vert de Melun Sénart. De Notre
Dame, poumon vert de la banlieue parisienne. J’ai poussé le plus loin possible
vers l’urbanisation sans y entrer. Je vais vous proposer également des
promenades quelques peu surprenante en bordure de l’Yerres. Lorsqu’elle entre
dans sa partie urbaine. Un écran de verdure, cachant un monde minérale en
béton. Surprenant. Aujourd’hui je me promène dans les bois autour de la foret
de Fontainebleau et de Milly.
Comment se rendre à Moigny se trouve sur la D 948 entre Milly la Foret et Corbeil Essonnes
De Corbeil ; Rejoindre la N° 7 en direction de l’autoroute A 6 . D 191 à droite direction A6 Lyon-Fontainebleau-Etampes-Milly-Mennecy. Prendre A6 en direction Fontainebleau-Lyon-milly St. Fargeau. Prendre Sortie 13 direction Milly la Foret. Prendre à droite D 372 direction Milly-Moigny-Etampes-Orléans. Laisser les direction de Dannemois, puis Courances. Au rond Point prendre la première sortie D 948 en direction de Soisy et Moigny
De Milly ; rejoindre le rond point entre la D 837 et D 948, prendre la D 948 en direction de l’ A6-Melun-Moigny-Courances. Au rond point suivant prendre la D 948 en direction de Soisy et Moigny.
Pour cette seconde promenade nous ne partons pas du centre de Moigny mais ce qui devait être un hameau à une époque lointaine se nommant le Cochet. Lorsque l’on est aux Cressonnières (entrée de Moigny), dans le virage à droite nous avons une fourche avec deux plaques de direction d’époque ancienne une en fonte peinte en bleu et l’autre positionnée en dessous en béton indiquant les directions de Corbeil et Paris par la D 448. Nous prenons à gauche la rue de Moissy. A la fourche laissons à gauche la rue de Cochet, remontons sur la droite au carrefour en forme de Té prendre à gauche la rue Adonis Rousseau. La rue fait fourche prenons à gauche (la rue de droite est en sens interdit). Au carrefour suivant prendre à droite la rue Malabry. Nous remontons la rue jusqu’au terrain de sport ou nous trouvons de la place si nous ce n’est pas jour de match.
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Le code mobile de cette randonnée est b370082
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décembre
2021
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
7 1h20 0h33 6,8 4,4 145+
Moigny ; [Le territoire est riche de plusieurs vestiges,
témoignant d’une occupation humaine remontant à l’époque néolithique et gallo-romaine. La commune s’est réellement
développée à partir du Moyen Âge, sous l’impulsion du clergé, fortement implanté dans la région. Trois seigneuries
féodales s’y maintinrent :
- celles de Cochet,
- de Launay (installée dans une ferme fortifiée qui existe toujours, voir photo ci-contre)
- et celle de Fort Château
Cette dernière
édifia sur l’École une motte castrale éponyme, dont on observe encore les
vestiges non loin de l’église. Le village occupe alors la rive gauche,
surplombant l’Ecole pour se protéger des risques d’inondation et avoir un
meilleur accès aux terres agricoles de la vallée. Un chapelet de moulins
apparaît au fil des siècles, ponctuant les rives de l’École.
La présence de l’eau est le second élément constitutif de l’identité de cette
petite cité : moulins, puits et lavoirs ponctuent les rues du village. Ils sont
les principaux vestiges d’un petit patrimoine local qui rappelle aux visiteurs
un mode de vie fortement ancré dans son terroir. Le nom de Moigny aurait plusieurs étymologies. Il
proviendrait d’un terme gaulois, Monius (qui était un chef Gaulois) ou
de monios qui signifierait le voyageur ; il pourrait être aussi la
déformation du nom de nombreux villages français, magny, du latin mansionile,
petite auberge. Il pourrait aussi avoir pour origine latine, moniacum,
le moine.
La commune a pris le nom de Moigny-sur-École par délibération municipale en
1970 ; 4 hameaux ont gardé leur nom, le plus éloigné à l’ouest celui de Launay,
tandis que Maison Neuve au nord, Croix Blanche et Cochet au sud, très proches,
en sont devenus des quartiers.
Ses habitants s’appellent les Moignacoises et les Moignacois. https://www.moigny-sur-ecole.com/decouvrir-2/patrimoine-2/patrimoine-bati/ Moigny-sur-École était bien occupée dès la préhistoire comme le témoigne
un
polissoir : la Roche Grénolée. (A voir dans la promenade Moigny 1 ) Il se situe dans le bois de Tartibois, en bordure de chemin. Louis de Bourron, est seigneur de Moigny en 1506. Un parent est dans le même temps seigneur de Saint-Germain-sur-Ecole. Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à son arrondissement d'Évry , après un transfert administratif effectif au 1er janvier 1968. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Essonne. Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Milly-la-Forêt. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est rattachée au canton de Mennecy. La commune est membre de la Communauté de communes des 2 Vallées, évolution de l'ancien district de Milly-la-Forêt créé en 1973, et qui a porté le nom de communauté de communes de Milly-la-Forêt puis de communauté de communes des 2 Vallées. Wikipédia]. Au stade nous poursuivons dans les champs par le chemin de Malabry, nous longeons plus ou moins l’orée du bois au pied d’une colline se nomment Les Roches du Seigneur. Nous rencontrons le balisage jaune. A la fin du bois, laissons un chemin sur la gauche, poursuivons tout droit. Au carrefour dans les
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. au nord, par la région naturelle du Hurepoix et la Seine ;
. à l'est, par la Seine et la région naturelle de la Brie ;
. au sud, par la région naturelle de la Puisaye et la forêt d'Orléans ;
. à l'ouest, par la région naturelle de la Beauce.
La partie occidentale du Gâtinais, voisine de la
Beauce, s'étend sur un large plateau calcaire. Sa partie orientale, plus
vallonnée, est constituée de sols calcaires recouverts d'argiles et de sables.
Le nord de la région repose sur un plateau sableux et argileux et sur des grès dans la forêt
de Fontainebleau. La
capitale historique du Gâtinais, jusqu'à la création des gouvernements, était Château-Landon. Par la suite, les
deux « capitales » ont été Montargis (pour le Gâtinais
orléanais) et Nemours (pour le Gâtinais
français). Au XVIIIe siècle, Jean-Joseph
Expilly
précise dans son dictionnaire les limites de la province. Le Gâtinais français
est séparé au nord de la Brie par la Seine, tandis qu'à l'est
il est bordé par la Champagne et au nord-ouest
par le Hurepoix. Il comprend la
forêt de Fontainebleau dans sa totalité. Le Gâtinais orléanais est séparé au
sud du Berry par la Loire. Il est également
entouré par le Hurepoix, la Champagne, le pays chartrain et l'Orléanais propre.
Les divers auteurs s'accordent en général sur le fait que la partie dite par
commodité Gâtinais orléanais correspondrait approximativement à l'ancien
arrondissement de Montargis
et une fraction
notable de l'arrondissement de Pithiviers, dans le
département du Loiret, tandis que la
partie dite Gâtinais français correspondrait à l'arrondissement de Fontainebleau dans le
département de Seine-et-Marne. Une partie du sud
du département de l'Essonne, autour de Milly-la-Forêt, se revendique
également comme faisant partie du Gâtinais, tandis que certains auteurs
considèrent nombre de communes du nord-ouest du département de l'Yonne (Puisaye et tout ce qui
relevait de l'archevêché de Sens à l'ouest de la rivière Yonne) comme faisant
aussi partie du Gâtinais. Ses limites naturelles seraient ainsi la Seine au nord, l'Yonne à
l'est, la forêt
d'Orléans au sud
et l'Essonne à l'ouest.
Wikipédia]. Nous arrivons sur
la platière. Prenons le chemin sur la gauche et arrivons au carrefour avec une
intersection de balisages jaune. (Nous sommes devant une intersection du
balisage jaune des chemins des grés et des bruyères et le chemin de la boucle
de la vallée de l’école et du chemin
rurale des drouettes. Si vous avez suivi la trace faire un esse gauche-droite.
Si vous avez suivi le font de vallée balisée en jaune il faut
prendre à gauche.
Nous sommes sur le plateau de Beauregard et parcourons une alternance de bois
et de champs. Nous débouchons sur un chemin formant Té, prenons à gauche, le chemin
qui descend balisé en jaune, vers Milly, vallée de l’école, des grès et
bruyères, chemin rurale de la voirie aux jeunets. On se dirige vers le cyclope
et milly à 4 km. (Sur la droite le
balisage également jaune S1C05 se dirige vers la ferme de Launet). Notre chemin
devenu sentier, fait un coude d’équerre sur la gauche, nous restons sur le
flanc du coteau et après un angle d’équerre sur la droite nous plongeons dans
le coteau. Laissons un chemin sur la gauche, nous retrouvons les champs. Au
carrefour suivant faisons un esse gauche-droite et entrons de nouveau dans le
bois, sur un arbre nous trouvons une tige de lierre faisant au moins vingt
centimètres de circonférence, coupons un chemin, nous faisons peut après un
coude d’équerre sur la gauche et débouchons sur un chemin formant Té. Faisons
un esse droite-gauche, c’est bien balisé. Nous arrivons à un carrefour. Sur la
droite, nous trouvons derrière un grillage, une drôle de construction. Entrons
dans la parcelle et faisons le tour du propriétaire que malheureusement je ne
verrais que derrière des échafaudages [Le Cyclop
, Une œuvre
sculpturale en béton, métal et recouverte en partie de miroirs,
haute comme un immeuble de sept étages, trône au cœur de la forêt de Milly.
Monumentale et cachée, elle scrute l’environnement de son œil unique et doré.
Lorsque le monstre mythologique se réveille, se met en marche et gronde, le
visiteur est invité à une expérience d’art total. C’est un monument unique dans
l’histoire de l’art contemporain. Jean Tinguely, sa femme Niki de Saint Phalle
et leurs amis commencèrent le chantier de construction en 1969. De nombreux
artistes collaborèrent, dans une ambiance familiale et festive. Sans
autorisation et avec leurs propres deniers, ils travaillèrent à partir de
matériaux recyclés. Mais régulièrement vandalisé, Jean Tinguely dut confier son
grand œuvre à l’État français en 1987. Achevé 25 ans après les premiers
travaux, Le Cyclop est inauguré et ouvert au public en 1994. Il est inscrit sur
les inventaires du fonds national d’art contemporain, collection de l’État
gérée par le Centre National des Arts Plastiques. Pour des raisons de sécurité,
les enfants de moins de huit ans (même accompagnés) ne peuvent pas pénétrer
dans la structure.
L’accès sur le site autour du Cyclop est libre et gratuit.
Les visites du Cyclop sont guidées et durent 45 minutes.
Aucune réservation, les entrées sont en vente sur place à la billetterie du
Cyclop. Les groupes de visites sont constitués de 25 visiteurs maximums.
L’accès à une visite est sous réserve des places disponibles à l’arrivée du
visiteur. https://www.millylaforet-tourisme.com/fr/fiche/704420/le-cyclop-de-jean-tinguely/
22,50 mètres de haut et 350 tonnes
d’acier… Le
Cyclop est une œuvre sculpturale monumentale qui trône dans les
bois de Milly-la-Forêt (Essonne, Île-de-France). Réalisée par Jean Tinguely
avec le concours de sa femme Niki de Saint Phalle et de leurs amis artistes
(Bernhard Luginbühl, Rico Weber, Daniel Spoerri…), c’est une immense tête sans
corps, étincelante de miroirs, avec un œil unique, une bouche d’où ruisselle de
l’eau sur une langue toboggan, une oreille qui pèse une tonne… Elle abrite en
son centre un univers surprenant qui se découvre au fil d’un parcours
labyrinthique ponctué d’œuvres et de curiosités à la fois graves et pleines
d’humour : des sculptures sonores, un petit théâtre automatique, une
machinerie aux engrenages de ferraille… Dada, Nouveau Réalisme, Art cinétique
et Art brut : quatre mouvements artistiques se côtoient dans cette œuvre d’une
grande richesse. Aussi appelé « La Tête » ou « Le Monstre dans
la
forêt », Le Cyclop est un monument unique dans l’histoire de
l’art. Mais c’est avant tout le fruit d’une aventure collective, tissée de
liens d’amitié, une utopie réalisée au cours de nombreuses années par
« une équipe de sculpteurs fous » réunie autour de la personnalité de
Jean Tinguely.
Jean Tinguely a développé un art basé sur le mouvement, le hasard, les vitesses relatives, les sonorités. Ses sculptures réalisées à partir des rebuts de la société industrielle, assemblages de ferraille rouillée, interrogent, déroutent le spectateur, l’interpellent par leur humour et leur dérision. Ses « anti-machines » sont une critique de la société occidentale, elles sont inutiles puisqu’elles ne produisent rien mais s’appliquent à mettre en défaut les techniques modernes pour les tourner en dérision. En 1956, Jean Tinguely fait la connaissance de Niki de Saint Phalle et dès leur rencontre, ils travaillent ensemble. Tout au long de leur vie, ils seront l’un pour l’autre une source d’inspiration, tant sur le plan humain que sur celui de leur art. Complicité, amour, rivalité, échange, confrontation furent la base de leur collaboration.
En 1968, Jean Tinguely et son ami, le sculpteur
Bernhard Luginbühl, travaillent au projet du Gigantoleum. Ils voulaient édifier
une
immense sculpture-architecture, espace interactif ludique rassemblant des
domaines artistiques variés. On y aurait trouvé un cirque, des attractions de
fête foraine, un théâtre, un cinéma, un restaurant et même, une immense volière
avec des milliers d’oiseaux ! Mais le Gigantoleum ne vit pas le jour. Aucun
mécène ne voulut financer le projet trop coûteux et ambitieux. Jean Tinguely
décida alors de construire Le Cyclop.
En 1969, le chantier démarre dans la forêt de Milly. Jean Tinguely savait que la seule manière de mener à bien le projet de « La Tête », était de financer lui-même les travaux, ainsi il pourrait travailler en toute liberté. Aucun architecte ne participera à la construction et seuls les artistes, avec courage, force et ténacité, bâtirent progressivement cette sculpture titanesque. Il aura fallu dix ans de labeur pour ériger Le Cyclop et quinze années supplémentaires avant que soient mises en place les contributions de chacun.
En 1987, pour assurer sa protection et sa
conservation, ils décidèrent de donner Le Cyclop à l’État français. Il entre alors dans la
collection du Cnap (Centre national des arts plastiques). En 1988, le ministère
de la Culture a délégué la gestion du lieu à l’association Le Cyclop qui a pour
mission d’entretenir, d’assurer les visites et de promouvoir
l’œuvre. En 1991,
à la mort de Jean Tinguely, Niki de Saint Phalle se chargea, en respectant au
mieux les idées de son compagnon, de terminer la sculpture en finançant les
derniers travaux. En mai 1994, Le Cyclop fut inauguré par François Mitterrand,
Président de la République et ouvert au public. Niki de Saint Phalle décida
alors que Le
Cyclop était achevé et que désormais, aucune œuvre ne pourrait être
ajoutée.
Restauration 2021
Le Centre national des arts plastiques s’est engagé dans la restauration du Cyclop de Jean Tinguely. Le Centre national des arts plastiques a lancé en mars 2021 le chantier de restauration du Cyclop. Le site a fermé ses portes en octobre 2020 pour laisser place à un vaste chantier de restauration qui a duré un peu plus d’une année.
La situation topographique du Cyclop et les conditions climatiques auxquels il est
confronté au fil des saisons rend sa conservation particulièrement complexe.
L’objectif est de rendre au Cyclop son intégrité, avec l’appui des artistes ou de
leurs ayants droit. Vous trouverez le détail sur le site. ttps://www.lecyclop.com/#loeuvre_histoire]. Revenons sur notre chemin. Au carrefour prenons
le balisage jaune sur la gauche (Si vous vous êtes trompé et que vous êtes sur
le GR 32 prendre également à gauche jusqu’au chemin carrossable puis à gauche
la rue des droits de l’homme on débouche sur le chemin de Vauluisants que nous
prenons à droite, puis la rue de Malabry sur la gauche jusqu’au stade.) Revenons
à notre trace. Notre chemin fait un coude d’équerre sur la gauche, puis deux
petits virages sur la droite, nous retrouvons notre butte des Roches du
Seigneur. Abandonnons le balisage tournant sur la gauche et poursuivons le
chemin de la roche au seigneur. Nous longeons d’ancienne maisons de
villégiature, ou d’anciennes grandes cabanes de jardin, devenue habitations
principales. De chemin forestier, nous passons à chemin carrossable desservant
quelques maisons isolées. Nous débouchons chemin de Vauluisants et entrons dans
Moigny, plutôt au lieu dit ou quartier du Cochet, que nous prenons à gauche,
puis la rue de Malabry également à gauche jusqu’au parking du stade.
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