Aujourd'hui nous partons en Vendée et plus précisément à Avrillé. Commune reconnue pour ses nombreuses mégalithes.
Avrillé en Vendée, promenade improvisée. Ou tous les menhirs visibles sur la carte ne le sont pas sur le terrain. Beaucoup de déceptions sur cette terre des mégalithes. Beaucoup de bitume. Cette balade empruntant la D 19 et la D 130 très circulantes et sans bas cotés. Il est à proscrire avec des enfants. Le randonneur chemineux que je suis ne peut être tenu responsable en cas d’accident.
2021
Nous étions partie en Vendée avec notre petite fille. Une
liste d’activités impressionnante dans la valise. Comme d’habitude ce n’est pas
tout à fait nous, qui avons décidé. Déjà à six ans, elle sait ce qu’elle ne
veut pas faire, mais surtout ce qu’elle veut. La piscine, le club enfant ou
elle retrouvait les copains du moment, furent plus fort que les châteaux ou
autres monuments du secteur. Vous me direz et la mer ? Pour notre petite
fille la mer n’est pas une priorité, elle a la chance de la voir très souvent. Alors
pourquoi venir ici, simplement parce que ses parents y sont venu il ya quelques
années et qu’elle voulait y retourner. Cela ma permis d’improvisé de petites
promenades, pendant qu’elle était sous la surveillance des animateurs du club.
Le secteur renferme un bon nombre de mégalithes. A mon habitude, je délaisse
les sentiers tout préparés ayant remarqué sur la carte les monuments éparpiller
sur le territoire. J’essaie et bien souvent à tord de sortir des sentiers déjà
tracés pour présenter sur le blog quelque chose de nouveau. Malheureusement
cette promenade ne fut que déception. Je me suis même fait courser dans un
champ par un petit fourgon. Cherchant un hypothétique menhir situé dans un bois
derrière une propriété privée, je me suis cru dans un mauvais feuilleton
télévisé, le type roulant à font sur la prairie fauchée faisant un large virage
pour me couper la route et me demandant sur un ton qui n’aurait pas supporté de
réplique, ce que je faisais
là. Et je suis poli. Garde là, ton herbe et ton
morceau de pierre, tu n’étais pas obligé de me parler comme ça. Je sais que les
champs et les bois appartiennent à des propriétaires, mais bien souvent dans
mes aventures, ils sont bien plus compréhensifs que dans ce pays. Le champ n’était
pas clôturé, et de ce que je vois de la lisière du bois il ne l’était pas n’ont
plus. Je ne voyais pas le mal que je faisais. Le foin était coupé et renté et
il n’y avait même pas le regain. (Herbe qui repousse dans une prairie après la
première coupe). Je ne suis même pas sur que ce soit le propriétaire du
champ.
Avrillé se trouve en Vendée à une trentaine de kilomètres de La Roche sur Yon, sur la D 949, entre Talmont saint Hilaire et Luçon.
Une
fouille réalisée en 2012 par Nicolas Fromont de l'Inrap à
Avrillé en Vendée a permis d'explorer sur plus d'un hectare une enceinte à
fossé interrompu du Néolithique final. Le barrage, constitué de segments de
fossés ouverts et d'un probable talus palissadé, ferme un espace de 3 ou 4
hectares au niveau de la confluence de deux ruisseaux. Dans cet espace ont été
rencontrés des fosses d'implantation de poteaux, deux enclos circulaires, des
structures de combustion. L'étude de ces aménagements et celle du mobilier qui
en provient ne font que commencer, les résultats présentés sont donc
susceptibles d'être révisés. Le mobilier céramique renferme des éléments se
rapportant à l'Artenac, au Kerugou et au Groh-Collé. À l'intérieur de
l’enceinte, de nombreux trous de poteaux s'organisent sous la forme d'une série
de 12 à 19 bâtiments. Les plans les plus lisibles sont sur 6 ou 8 poteaux, de
formes rectangulaires, légèrement trapézoïdales ou naviformes et globalement
orientés NNE-SSO. Ils mesurent entre 8,6 à 15 m de long pour 3,1 à 8 m de
large, couvrant des surfaces allant de 27 à 60 m2. Les fosses
d'implantations sont généralement de petites dimensions, conservées en moyenne
sur une vingtaine de centimètres de profondeur. La proximité ou la
superposition entre certains bâtiments montre qu'ils ne sont pas tous
contemporains. Ils semblent régulièrement reconstruits au cours de l'occupation
de l'enceinte. Un seul plan est circulaire, malheureusement sa datation ne peut
être précisée.
Carte Open Street Trace Gps & Topo sans Commentaires TraceRandogps
Le code mobile de cette randonnée est b367853
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Carte Mobile VisioRando Toucher le rectangle à coté du numéro
Km temps
Arrêt V/d V/g
Dénivelé
Je trouve un parking à la sortie
de la ville sur la D 49, remonte la rue et entre dans le parc de la Mairie pour
admirer le Roi des Menhirs du Camp de César [Le menhir de
Bourg-Jardin, appelé aussi menhir
le Roi, ou roi des Menhirs,
ou encore menhir du Camp de César. Il est le
premier garant de cette longue histoire, puisqu’il fut érigé par nos lointains
ancêtres à l’époque du Néolithique, c'est-à-dire deux ou trois millénaires
avant l’ère chrétienne. C’est le plus haut de Vendée et
l’un des plus hauts de France : « Le Roi des menhirs ». Il mesure 7 m
de hauteur et pèse environ 85 000 kg. Classé Monument Historique en 1889.
Il est mentionné dès 1762 dans une description d'Anne-Claude-Philippe de Caylus
qui signale qu'il appartient à un groupe de trois menhirs disposés en triangle,
ayant donné son nom à l’auberge voisine, l’Auberge des trois Piliers,
l'actuel hôtel de ville. Les trois menhirs étaient constitués dans la même
pierre. Selon Caylus, le deuxième menhir aurait mesuré « cinq pieds sur
sept de base et treize pieds neuf pouces de hauteur » et le troisième
« trois pieds et demi sur neuf pieds de base, et treize pieds de
hauteur ». Ces deux menhirs furent détruits au cours en 1823 lors de
la construction d'une grande maison bourgeoise. Il existait encore un quatrième
menhir, qui était situé à environ 60 m au sud, d'une hauteur d'environ
3 m mais très large, signalé pour la dernière fois en 1826. Les traces des
encoches qui ont permis l'extraction du bloc sont encore visibles. Jadis, les
menhirs sur les communes d’Avrillé et du Bernard étaient très nombreux et les
carriers ont vu, dans ces géants de pierre, du beau granit bleu facile à
exploiter dans le bâtiment. Certains menhirs ont même été utilisés pour la
construction de la jetée des Sables d’Olonne. Devant cette
hécatombe, Samuel
Guiet est intervenu et, en 1887, 10 menhirs furent rescapés parmi lesquels le
Roi des Menhirs, et furent classés monuments historiques.
En 1780, un érudit local affirma que le menhir avait été érigé
par les Romains pour servir de repère à la flotte de César
lors de la conquête de la Gaule, d'où lui est resté l'un de ses nombreux noms,
« menhir du Camp de César ». Selon la tradition, Georges Clemenceau,
en visite chez la famille Gillaizeau, qui était alors propriétaire de
l'actuelle mairie, voulut savoir à quelle profondeur le menhir était enterré.
Le propriétaire demanda alors à ses métayers de creuser une tranchée durant la
nuit et put lui annoncer à son réveil « 1,70 m Monsieur Clemenceau »
wikipédia & http://www.avrille85.fr/fr/information/84780/le-patrimoine].
Ressortons du parc de la Mairie, poursuivons la rue Georges Clemenceau sur la
gauche nous arrivons au chevet de l’église. A notre gauche sur le trottoir une
drôle de construction en pierre : Le puits [Présent
depuis l'Age de Bronze, il a été utilisé parles Légions Romaines du camp de
César, a désaltéré les chevaux du Relais de Poste de l'Auberge Royale et ceux
des Trois Piliers. Avant l'installation du service d'eau. Les
ménagères
venaient y puiser de l'eau. Les ouvriers plombiers qui y sont descendus afin
d'y effectuer des travaux affirment que la largeur de la base du puits est
telle qu'il y aurait possibilité d’y faire tourner une charrette. Actuellement,
le puits est recouvert d’une voûte en encorbellement de pierre avec à son
sommet un boulet anglais qui garde le souvenir de l’intervention de la flotte
anglo-hollandaise, aux Sables d'Olonne, en l'an 1696. Panneau d’information.].
Faisons le tour de l’église [L'Eglise
Saint Pierre ;
A la fin du Xième, début du XIIème siècle,
l’église a été édifiée sur les ruines de l’ancien prieuré. A la fin du XIXème
siècle,grâce aux historiens et à l’Abbé Rivalland, curé d’Avrillé, St
Domnin
est remis à l’honneur en Vendée. Et c’est en 1895 que la statue du petit
martyr, ici présente, est inaugurée. En 1775, l’église s’est agrandie au niveau
du chœur et des deux chapelles latérales, l’une dédiée à St Joseph, l’autre à
la Vierge Marie. A noter dans cette dernière une gracieuse statue datant du
XVème, la Vierge et l’Enfant. Dans la chapelle de St Joseph, la statue de St
Isidore, patron des laboureurs est plus récente. Le clocher d’origine, de forme
quadrangulaire et peu élevé, s’est écroulé en 1805. Il fut reconstruit en 1864
et doté de trois cloches en 1874.
Les bancs de l’église ont été disposés en 1839, mais le nombre de places
s’avérant insuffisant, la tribune actuelle a été inaugurée le 8 avril 1900. http://www.avrille85.fr/fr/information/84780/le-patrimoine]. Revenons
au chevet et prenons la rue du centre (Autres direction-indian Foreste). Nous
arrivons place de la Halle (nous y trouvons également un parking. [Les Halles ;
La place des Halles, au centre de notre bourg actuel, s’est
développée en plein cœur du cimetière mérovingien. Ferdinand Ydier, archéologue
a écrit : « Dès que l’on creuse à Avrillé, les tombes apparaissent : ce sont
des sarcophages simples de calcaire ou de plaques de terre... ». C’est ce qui
s’est passé à Avrillé en 1858 lorsque l’entreprise des frères Guesdon a
construit les Halles. Les Halles sont immédiatement devenues le centre
d’animation par excellence du bourg d’Avrillé non seulement les jours de foires
et de marchés, mais aussi elles étaient le point de rencontre idéal, comme
elles le sont encore aujourd’hui pour diverses manifestations. Les longues
étagères superposées qui reliaient les piliers servaient évidemment de
présentoirs pour les commerçants, mais s’il y avait une séance théâtrale ou la
projection d’un film,les jeunes spectateurs n’hésitaient pas à les escalader
pour avoir une meilleure vision du spectacle. http://www.avrille85.fr/fr/information/84780/le-patrimoine]. Sortons
de la place, reprenons la rue du centre sur la droite et au carrefour encore à
droite la rue du Bois Vilais (D105) en direction de Longeville sur mer, Fontaine saint Gré et
le menhir de la Boilière, coupons la rue du champ de foire et prenons sur la
gauche, la rue du petit Saint Jean, direction du Menhir de La Boilière, nous
sommes sur le GR et un balisage jaune. Traversons le carrefour. Nous arrivons
devant la petite zone industrielle. La rue fait fourche, nous prenons à droite.
La rue fait de
nouveau fourche, laissons la rue de droite desservant les
habitations, poursuivons tout droit le bitume et le GR. Le bitume devient
rapidement chemin dans les champs. Nous longeons une haie, et trouvons un petit
chemin avec des escaliers sur la gauche bordé d’une haie de chêne vert, quittons
le GR et prenons ce chemin. Il tourne en angle d’équerre sur la droite, nous
arrivons sur un espace aménagé entre des grillages ou se trouve le menhir de La
Boilière. [Et si on remontait le temps entre 4700 et 3500 avant notre ère? En avant
pour découvrir le Menhir de La
Boilière proche de la
commune d'Avrillé. Pour l'apercevoir il vous faudra emprunter un sentier
bordé de chênes verts, d'aubépines, de lierre et de fleurs sauvages...Alors
vous verrez une masse de granite de 4m40 semblant transpercer le ciel. Son poids de 21 tonnes vous laissera
songeur...Comment tant de grâce et d'élégance peuvent-ils émaner de ce
mastodonte?
Mais quelle est cette pierre couchée à ses pieds? Un autel de sacrifice? Non,
je vous rassure. Simplement une magnifique pierre à cupules de 1m80. Celle-ci est ornée de 3 cupules et des rainures de charrues. En 1911, des fouilles archéologiques ont
été entreprises par Mr Marcel Baudouin
(1860-1941). L'histoire raconte qu'au cours de l'hiver 1962-1963, le propriétaire des lieux
entreprit d'arracher les haies pour agrandir son champ. Le menhir fut alors
fragilisé et s'écroula dans la mare avoisinante. Il fut redressé, en 1986, par les soins de Mr Gérard Bénéteau. Celui-ci démontra
que le monument était naguère entouré d'une palissade. Le sol réserva aussi
bien des surprises. Il fut retrouvé des silex et une armature de flèche typique
du Néolithique moyen.
Le Menhir a été classé au titre des monuments historiques en 1889. https://vendee.meconnu.fr/le-menhir-de-la-boiliere]. Revenons sur nos pas, reprenons le
GR en sens inverse, dépassons la fourche et prenons la rue du chêne sur la
droite. Traversons la D 949, poursuivons en face par le chemin des Mimosas,
(bitume), longeons le camping. De rue
nous passons à chemin entre deux haies, l’une étant celle du camping. Le chemin
tourne sur la gauche et s’arrête dans les champs, en bordure d’une haie
d’arbres protégeant les nouvelles maisons venant d’être construites. Je
poursuis entre bois et culture, sur la bande de terre dont la culture est
maigrichonne du fait de l’ombre des arbres. (Aux vues des mésaventures qui me sont arrivées par la suite, il
vaut mieux revenir en centre ville et prendre la D 19 sur la droite au
cimetière. Attention très circulante cette route n’a pas de bas cotés).
Je sorts du champ difficilement en m’arrachant les jambes dans les ronces, il
n’y a même pas de mûres… Mais un fossé à franchir. Me voilà sur la D 19 que je
prends à droite.
[Puis la route du Puy Durant, pour me
rendre devant un menhir au milieu des champs. Sur la carte il n’y a pas de
chemin mais je supposais qu’il était tout de même en accès libre. Première
déception la route dessert des maisons puis devient privée. Il est impossible
de se rentre en touriste devant cette mégalithe]. Poursuivons la D 19 et
prenons sur la gauche la petite route s’appelant la Landette en direction de
Les Francheboisières, la petite Landette, La Garnerie, La vésinière pour aller
voir un autre menhir au milieu des champs. Dépassons les trois maisons de la
Madeleine, puis la petite Landette (une seule maison). Je devais prendre un
chemin ou une route sur la gauche me permettant de me rendre au menhir de la
garnerie. (Existe sur la vue aérienne IGN. Pas sur la carte. Mon topo oral manque de précision et google map ne m’aide
pas l’image est de 2013]). Malheureusement elle est fermée par une butte
de terre. Je n’ose la franchir. Je laisse la route de La Garnerie, pensant
qu’elle était sans issu. Je poursuis jusqu’à beauséjour, débouche sur la D 130
que je prends à gauche. Pour raccourcir je suppose
qu’à pied il est possible de prendre cette route ou ce chemin pour ce rendre au
menhir ce qui évite un bon morceau de la D 130. Avec une culture autre que le maïs
il sera certainement possible de voir le Menhirs.
Je rencontre sur la
gauche une allée carrossable bordée de très beaux arbres, c’est le chemin des
mégalithes à faire en vélo se dirigeant vers mon menhir. J’emprunte ce chemin
carrossable qui tourne en angle d’équerre sur la gauche, c’est un très beau
chemin dans les champs bordé de haies, je prends un chemin (bitume) sur la
droite qui me rapproche de la mégalithe. Troisième déception, la parcelle est
plantée de maïs, il n’y a même pas un sentier pour s’y rendre. Cette année il a
fait très beau pour le maïs, il a beaucoup plu, une pluie mensuelle régulière,
‘’les Poacées’’ on bien profités, ils sont haut, très haut deux mètres environ.
On ne voit rien. J’arrive en bout du chemin et trouve des panneaux d’informations
sur les menhirs de la Garnerie, mais devant moi je n’ai qu’une foret de tiges. Le Maïs ce ne sont pas des céréales dont les tiges sont
serrées les unes auprès des autres. Si l’on marche dans un champ de céréales on
écrase tout, le maïs c’est un peu comme une foret, il suffit de trouver la
ligne de semence pour marcher sans problèmes et en écartant délicatement la
haute tige flexible passer d’une ligne à l’autre. Attention je ne dit pas que
c’est un tuc à faire et que si l’agriculteur vous prend dans son champ, qu’il
vous félicitera. Pas de bruit de tracteur, au GPS je m’engage dans le champ
sans rien détruire, et cherche la mégalithe, tourne autour de ce que je crois
être la position du menhir mais je ne vois que des tiges de maïs. J’ai du le
louper de quelques mètres. Au bout d’un moment j’abandonne mes recherches sans
avoir rien vu.
Je suppose que la petite route
est fermé à la circulation afin d’éviter ce que j’ai fais. Pénétrer dans le
champ, je l’ai fait proprement sans rien cassé, mais cela n’a peut être pas
toujours été le cas. Il suffirait de laisser un chemin comme dans la prairie du
menhir de la Boilière. Qu’il le garde leur morceau de pierre, la
prochaine fois j’irai à Carnac… Déçu je retourne sur la D 130. Il me reste un
dernier menhir à trouvé. Il est situé dans un bois derrière une ferme, d’après
la carte un chemin y mène, mais il y a un ruisseau à franchir, on verra bien.
Je trouve l’allée carrossable l’emprunte, mais suis bloqué par une barrière et
un panneau propriété privée protégeant une maison. Un peu plus tôt, j’avais
remarqué une prairie non clôturée, sans foin et sans regain. Toujours avec mon
GPS, pour trouver mon point de chute, je contourne très largement la maison qui
me semble abandonnée. Je suis arrêté dans mon élan, par un énergumène en
camionnette se prenant pour un cow-boy moderne dans une mauvaise série B. Ce
qui ma choqué c’est la manière, et la façon de parler. Vu mon âge, il devait
bien se douter que je ne préparais pas un mauvais coup, et puis j’étais dans un
champ au repos et sans clôture. ‘’Y a rien à voir par ici circuler’’. En effet
y a rien à voir, et les habitants ne sont pas aimables, (sauf en bord de mer ou
ceux vivant du tourisme). (Jai effacé ce bout de trace, qui je pense ne mène à
rien par ce coté.) Je reviens sur la départementale, débouche sur la D 949 à
l’entrée d’Avrillé, prenons à gauche et tout de suite à droite, la rue du
moulin, il me reste un site à voir et celui là est situé sur le GR. Je devrais
les voir ceux ci. Poursuivons par la rue de la pierre que je prends à droite. Nous
arrivons au Bois de Fourgon. Nouvelle déception les pierres se trouvent
derrière des grillages. Grillage que je suppose être celui clôturant le parc du
château de la Guignardière. Et comme
c’est la foret, l’été ils sont difficiles à voir. Je n’ai rien vu. Déçu, je
n’ai peu être pas été assez loin sur le bitume. Dégoûté par cette nouvelle
déception, je m’en retourne. Qu’ils les gardes leur mégalithes, Avrillé terre
des mégalithes. S’ils ne veulent pas nous les montrer qu’ils les gardent, mais
qu’ils n’en face pas la pub. (Je n’ai pas mis la trace). Si encore le parc du
château
ressemblait à ceux de Versailles, Vaux le Vicomte, Fontainebleau, ou
certain jardins des châteaux de la Loire, je comprendrais. Les dépendances ont
été transformées en parc aventures pour les enfants. Un bout de grillage de plus
ou de moins, ou un trou dans la végétation, permettant au moins de voir de
loin, l’alignement des menhirs n’auraient pas changé grand-chose pour le public
du parc... Prenons la rue de la pierre sur la gauche, nous retrouvons l’avenue
du général de Gaulle que nous prenons à droite et à l’église la rue Georges
Clémenceau également sur la droite. Nous retrouvons notre parking.
Ce que que l’on pourrait voir au bois Fourgon si le site était accessible
Cet alignement se trouve à Avrillé près du bois de Fourgon et comporte trois groupes espacés les uns des autres.
- Le premier groupe est composé de quatres menhirs couchés.
- Le deuxième groupe est composé de cinq menhirs dont un debout.
- La pierre la plus longue mesure 6,40 m et est couchée.
Cet ensemble de mégalithes est aussi constitué de tumulus (grand amas artificiel de terre ou de pierres que l'on élevait au dessus d'une sépulture).
Réalisé par le collège les Colliberts à St Michel en l'Herm http://www.vacances-en-vendee.com/accueil.php?page=Megalithes_alignement-du-bois-de-Fourgon.htm
Bois de fourgon https://journals.openedition.org/adlfi/40123
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