Aujourd'hui nous partons en Seine et Marne, dans le Village de Rosay
Janvier 2020
Promenade en boucle
Avant de partir j'ai un gros souci... devant la mairie de Rosoy une borne marque soit disant le centre de la Seine et Marne.
Le centre de la Seine et Marne - Rosoy ou Quiers
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Carte Visiorando
Km Temps
Arrêt V/d V/g Dénivelé
En 2016 l'IGN démontre avec surprise pour la commune de Quiers ; que le centre du département se trouve à Quiers. Il me semble pour l'avoir traversé lors d'une promenade, que rien ne le signale.
Quiers
n'est pas vraiment le village le plus connu de Seine-et-Marne. « Nous
n'avons même pas de petits monuments pour attirer quelques touristes,
remarque Christine. Les gens qui arrivent ici viennent par pur hasard,
sans doute parce qu'ils sont perdus. Ce n'est pas la Creuse, mais
presque. » « Quand on dit où on habite, personne ne sait où c'est »,
poursuit-elle. Et
pourtant, Quiers va connaître la notoriété puisque selon l'Institut
d'information géographique et forestière (IGN), ce village de 686 âmes
est situé au centre du département. Une information qui surprend les
habitants tout comme la maire Monique Potterie « J'aurais vu ça plus au sud », avance Joseph. « Vous êtes sûrs ?,
interroge la maire, saisissant immédiatement une carte pour vérifier.
J'aurais plutôt pensé à Nangis. » Monique Potterie ne s'est pas tout à
fait trompée puisque Nangis est à 8 km. 239 maisons, 8 km de voirie et… un distributeur de baguettes. «
Mais ici, nous sommes ravitaillés par les corbeaux, ironise-
t-elle. On a
surtout des champs de betteraves tout autour. » Pas de commerces, pas
de transports non plus dans ce village qui comporte huit kilomètres de
voirie pour desservir les 239 maisons, mais un étrange distributeur
automatique de baguettes. « Nous avons aussi deux stades de football et
cinq fermes, s'amuse Christine. Sans oublier le nouveau city stade très
fréquenté par les jeunes. » «
C'est un village jeune, avec beaucoup de couples et une centaine
d'enfants âgés de moins de 10 ans. » Comme Jessica, 35 ans et cinq
enfants, qui vit ici depuis dix ans. « On est vraiment à la campagne,
c'est d'ailleurs ce que l'on apprécie. Mais pour faire les courses, on
va à Nangis, Mormant et Rozay, explique-t-elle. Pour moi, le centre du
département c'est Melun. » Joseph
admet lui que Quiers est un point névralgique. « On est à 25 ou 30 km
de tout. C'est très pratique même si bien sûr il faut une voiture
quand
on habite ici », remarque-t-il. Mais pour travailler il va tout à côté, à
la raffinerie de Grandpuits. « On est bien situés, ajoute Luigi. On est
loin de rien. On a une bonne offre de loisirs à Provins (30km). Pour le
bricolage je vais à Melun. (environ 40 km mais ce n'est pas si loin de Brie Comte Robert et sa zone commerciale de Servon. Ou de Montereau 30 km » Mais proche de rien n’ont plus... (Loin de tout, proche de rien. C'est un peu le désert tout de même. Impression personnel). Et
la capitale n'est pas loin. « Quand on a envie de faire un petit tour à
Paris pour se changer les idées, ce n'est pas si loin,
explique
Christine, Quiercoise convaincue. (Non en voiture une soixantaine de kilomètres. En train faut se rendre à
Nangis et c'est deux heures de trajet avec deux ou trois correspondance
de ce que j'ai vu c'est tout de même un peut galère). En 45 minutes de train, on est dans le
centre. Et quand on revient à Quiers, on a la sensation d'être à 500
km. » (je n'ai pas trouvé de train me permettant de me rendre à Nangis en 45 mn, mais je n'ai fais que regarder les horaires SNCF et il faut deux heures et deux changement. Les directs Paris doivent être rares ) https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/quiers-77720/le-
petit-village-de-quiers-declare-centre-de-la-seine-et-marne-09-05-2016-5780489.php. Christine à raison lorsque l'on est à Quiers ou à Rosay on est à 500 km de tout, du moins c'est mon sentiment et je préférerais me situer à Rosay, c'est simplement un tout petit peu plus loin de la raffinerie de Grandpuits, mais avec les vents qui c'est ou c'est le mieux. Bientôt la raffinerie de Grandpuits fermera les familles déserteront ce pole de travail, et l'on ne sera plus à 500 km de tout mais perdu au milieu du Trou du cul du monde en cherchant pour le touriste un éphémère attraie. Je suis méchant mais seul l'attraie de la
raffinerie, d'être agriculteur ou artisan fait que l'on se fixe dans ce coin. Je suis désolé de ce constat enjolivé par le journaliste pour montrer un certain attraie du lieu.
Le départ se fait de Courpalay situé sur la D 201 entre Rosoy et Nangis. Nous trouvons un parking vers l'église et les écoles.
Courpalay [xiie siècle Le village se nomme
à la fin des années 1190 « Corpaloi », issu du latin cortis (également écrit curtis), signifiant « domaine » et de Palladius, un célèbre
agronome romain. Wikipedia] Je me dirige vers l'église, remonte sur la droite la rue de la
place de l'église, prenons sur la droite la rue de l'Yvron, prenons la D 201
sur la droite, puis à gauche la 49a (rue
du château d'eau) en direction de Grateloup et poursuivons en face par la rue
du château d'eau. Lorsque la route tourne sur la droite nous quittons le bitume
et poursuivons en face par un chemin faisant fourche, nous ne prenons pas le
chemin de gauche. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite.
Laissons l’accès à la ferme de Gratteloup, nous sommes sur un balisage jaune et
un bleu. Nous arrivons à un carrefour en patte d'oie inversée nous prenons à
gauche la D 49a, (nous quittons le balisage bleu tournant à droite) nous
passons devant une grosse
ferme avec des serres et juste avant l’entrée du
village du Grand Bréau nous quittons le balisage jaune et prenons sur la gauche
un sentier intra-muros, au début entre les prairies, puis entre des jardinets.
Nous débouchons rue des sentiers que nous prenons à droite, au carrefour nous
prenons à droite la rue du petit Clozeaux. Nous arrivons à un carrefour formant
Té nous prenons à gauche la rue des Champs Durand (49a) nous retrouvons le
balisage jaune. Après avoir longé un bois, la départementale tourne sur la
gauche, nous prenons le chemin sur la droite balisage jaune. Nous débouchons
sur la D 211 face au haras du prieuré que nous prenons à droite, nous longeons
le mur du haras, prenons la première rue sur la gauche, (balisage jaune), nous
longeons les carrières enfin un mur, au carrefour nous prenons à gauche la
route de bel air (balisage jaune), nous entrons dans le hameau de Segrès.
Quittons un court instant le balisage jaune poursuivons le bitume vers le
château ou l’abbaye de Ségrès. Malheureusement une fois arrivé au grille, nous
le verrons moins bien que lorsque nous descendons vers le lavoir se trouvant
devant l'entrée. Remontons vers le virage et prenons sur la gauche le chemin
carrossable du moulin Aubert, passons sous la haie de tuyas ou de cyprès
formant porche (balisage jaune) ce chemin desserre plusieurs entrées de
propriétés. Après un petit chemin sur la gauche, notre balisage tourne en angle
aigu sur la droite. Nous débouchons dans un carrefour en forme de Y
inversé,
poursuivons sur la gauche et au carrefour suivant prenons à droite le long
d’une prairie comme le balisage jaune, nous nous dirigeons vers le château
d’eau du village. Nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite rue de
Vaux. Nous entrons dans Bernay, passons un puits et un lavoir. Au carrefour
nous prenons à gauche la rue du Général Leclerc, traversons l'Yèrres sur un
immense pont [L'Yerres
est une rivière d'Île-de-France, affluent de la rive droite de la Seine. L'Yerres (ou Yères) était
appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au xviie siècle, probablement d'un
ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre 'lierre'. Le -s final n'est
pas fondé. De 98,23 km de longueur,
l'Yerres occupe un bassin versant de
1 020 km2 couvrant trois départements : la Seine-et-Marne,
l'Essonne et le Val-de-Marne.
Il intéresse 121 communes et environ 160 000 habitants. Pour
85 % de sa surface, ce bassin est couvert de cultures et de forêts,
essentiellement en Seine-et-Marne. Les zones urbanisées, environ 10 % du
total, sont concentrées en aval près du confluent avec la Seine. La rivière
prend sa source en Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route départementale D 20E,
sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles avant de devenir l'Yerres en
aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le
Val-de-Marne. Près de Touquin,
l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron,
qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les
débits des deux ruisseaux sont proches. Wikipedia] Pas
C.. les anciens, dans ce terrain plat il avait prévu les inondations par un
immense ont qui ne semble pas en rapport avec la rivière.
Terre perdue alors
nous y avons construit une salle ou une entreprise… Place de l’église
la rue fait fourche
laissons sur la droite (la rue de l'ancien château) menant à l'église, prenons
à gauche poursuivons par la D 49b (avenue du général Leclerc) quittons le
balisage jaune empruntant une ruelle sur la gauche, coupons la route de Vilbert
notre départementale change de nom et devient rue du parc, nous retrouvons les
champs et nous nous dirigeons vers la nationale quatre. Nous longeons quelques bâtiments
industriels et arrivons au grand carrefour avec un pont permettant de passer
sous la nationale, nous prenons à droite la route de Rosay longeant la
nationale quatre (D 201 a), route de Villeneunotte. Nous longeons un haras
avec
piste d'entrainement pour chevaux de course. Nous entrons dans Villeneuvotte. Passons
une nouvelle fois l'Yerres, et un peu plus loin prenons le chemin des Bordes
sur la gauche nous entrons dans un petit parc, prendre le sentier de droite, se
dirigeant vers un bras de l'Yerres et du lavoir, passons le petit pont, puis la
barrière et faisons un esse gauche-droite, nous trouvons un balisage bleu. Commençons
par faire le Tour de Rosay par le boulevard Victor Hugo [Cette ville, de forme octogonale, était jadis fermée de
murailles flanquées de treize tourelles sans compter celles que l’on avait
accolées à chacune de ses trois principales portes. Elle était entourée de
grands fossés, maintenant surmontés de promenades bien plantées. Les
remparts
de Rozoy furent refaits vers la fin du XVe ou au commencement du XVIe siècle
par les soins et aux frais des habitants. D'un gallo-roman RAUSETU « lieu planté de roseaux », qui a donné l'ancien français rosei, rosoi. Il est basé sur le gallo-roman RAUS d'origine germanique et qui a donné l'ancien
français ros « roseau ». Au cours de la Révolution française, la commune porte
le nom de Rozoy-l'Unité. Autrefois
orthographiée Rosoy comme l'atteste le Dictionnaire des communes de France et des principaux hameaux en
dépendant (1818) qui la situe à cinq lieues de poste de Coulommiers (soit 21,44 km). Elle ne porte le nom de Rozay-en-Brie que depuis 1934 lorsque le maire Gilbert Eugène,
après délibération du
conseil municipal, décida que l'orthographe Rozay-en-Brie doit
être définitivement substituée à celle de Rozoy-en-Brie, rosoi étant une forme dialectale plutôt
caractéristique de l'oïl septentrional (picard, etc.). Jusqu'au xe siècle, Rozay-en-Brie est une ville souterraine
composée de caves et de souterrains dont certains, selon la légende, iraient
jusqu'à Provins. Possédant une compagnie d'arquebusiers, Rozay
devient au Moyen Âge un centre
commercial florissant avec des marchés et des foires. Certaines rues portent
les noms de cette époque : rue aux Fromages, rue des Porcelets, rue de la
Haranderie, place du Marché-au-Blé. Le bourg de Rozay est alors entouré de
fortifications (remparts avec tourelles et portes). Cette route venant de
Paris, qui se poursuit vers Troyes par Provins, est vraisemblablement utilisée par les
marchands qui se rendent aux célèbres foires de Champagne et par les
pèlerins. En 1314, lorsque Louis le Hutin succède à son père Philippe le Bel, la ville
est définitivement rattachée au royaume de France.
Elle se situera jusqu’à la Révolution à la limite des provinces d’Île-de-France
et de Champagne. En 1358, la Brie est soulevée par la Grande Jacquerie lors de la Guerre de Cent Ans. Une
borne située sur la place de la mairie rappelle que la commune est au centre géographique du département de Seine-et-Marne.
La commune se situe au cœur de la région de la Brie.
La ville était reliée à Paris dès le xviiie siècle
par une grande route rectiligne passant notamment par Tournan et Fontenay.
Cette route se terminait à
Rozoy et ne sera poursuivie qu'au xixe siècle. Elle s'appellera Chemin de Rozoy à Sésane ou
Grande route de Sésane. Rozay-en-Brie était située sur la ligne Jouy-le-Châtel -
Marles-en-Brie (24 km) du Réseau de Seine-et-Marne,
ouverte en 1902. Il s'agissait d'un ancien réseau de chemins de fer à voie
métrique, concédé à la Société générale des chemins de fer économiques (SE)
connue sous la dénomination des "Tramways de Seine-et-Marne". Le
service des voyageurs sera supprimé en 1934 avec transfert sur route, par
autocar sur certaines sections. Les marchandises subsisteront jusqu'en 1938. Suite dans Wikipedia.] Remontons
le Boulevard Amiral courbet, bordé de beaux arbres. Nous longeons les remparts [Rozay était entouré de remparts dont il reste d'importants
vestiges. Sur les treize tourelles d'origine, il en reste huit. Les
remparts de Rozoy furent refaits vers la fin du XVe ou au
commencement du XVIe siècle par les soins et aux frais des habitants. Trois
portes donnaient accès à l'intérieur de la cité. Les portes de Rome et de
Gironde qui subsistent ont été classés monuments historiques en 1935. Les anciens fossés sont comblés et, plantés
d'arbres et de pelouse, offrent des lieux de promenade. Wikipedia ]. Faisons le tour
des remparts en prenant sur la droite le Boulevard Lafayette. Nous passons
devant la porte Gironde [Bien que l'origine
des fortifications de
Rozay-en-Brie remonte au XVIe siècle, la porte de
Gironde, l'une des deux anciennes entrées de ville que l'on peut voir
actuellement avec la porte de Rome , a été refaite au
XVIIIe siècle. Ce monument possède sur la corniche de ses piliers deux lions en pierre sculptée se
faisant face et tenant un blason entre leurs pattes .
http://cfpphr.free.fr/portedegironde77rozayenbrie.htm]
Poussons jusqu'à la rue aux Buttes que
nous prenons à droite, nous y trouvons des maisons à colombages. Nous
débouchons rue de Gironde que nous prenons à gauche, descendons la rue du
Générale Leclerc jusqu’à la petite rue pavées aux fromages que nous prenons à
gauche [nous y trouvons une maison à colombages et une vierge
dans une niche dans l'angle d'une maison.] Nous débouchons rue du
Générale de gaulle que nous prenons à droite passons devant la mairie, place de
la mairie, nous devons trouver une borne (que je
n'ai pas remarqué, elle marque le centre
de la Seine-et-Marne) [ce doit être la pierre en forme de tronc de
cône entourée d'arbres, avec les voitures garées autours je ne l'ai pas
remarqué.] Reprenons la rue du Générale Leclerc sur la gauche jusqu'au chevet de l'église et prenons
sur la droite la rue de l'église [Église
Notre-Dame-de-la-Nativité. Edifice
imposant, située entre le comté de Champagne, le domaine royal de l'Île-de-France et le
chapitre de Paris. Elle est mise en valeur aux xiie siècle et xiiie siècle,
à l'image de Villeneuve-le-Comte, à l'époque des défrichements de la forêt
briarde et du développement des foires. Elle a été
classée monument historique en 1862. Sa construction a
commencé à partir du xiie siècle. Le clocher, de style roman, date de
cette époque. Elle a été transformée au siècle suivant : adjonction de la
nef, du bas-côté nord et remaniée et restaurée
jusqu'au xixe siècle. Le
portail ouest, mariage entre style gothique flamboyant et style Renaissance, a
été restauré à partir de 1998. Sur un contrefort côté rue du Général-Leclerc on
peut voir une pierre gravée avec une marque de compagnonnage datée de 1517, date
de l'achèvement de la partie sud de l'édifice. Dès 1017, l'église de Rozay est confiée aux chanoines de
Paris par l'évêque de Meaux. À l'intérieur,
peuvent être perçus une "Vierge à l'Enfant"
en marbre blanc sculptée
par Germain Pilon, une huile sur
panneau en bois représentant saint Jérôme écrivant ses mémoires, "la
délivrance de saint Pierre" huile sur toile du xviie siècle. Orgue
Modifier Construits par Louis-Alexandre Clicquot au xviiie siècle, reconstruit entre 1930 et 1933 par Gabriel d'Alençon; le grand orgue et
le positif, constitués de 2 000 tuyaux ont été remis
en état de 1989 à 1996. Le positif, datant de 1723, est attribué au facteur d'orgue Deslandes et, à la mort de celui-ci, la partie
instrumentale aurait été confiée à Nicolas Collard ou à L. A. Clicquot. Le
buffet d'orgue, daté de 1737, aurait ainsi pu être conçu par ces derniers.
Wikipedia.] [La tradition porte que St Thomas de Canterbury
en fit la dédicace. Une peinture qui se voyait au milieu du rond point
de l’église attestait un miracle arrivé en 1198. Un prêtre, d’une foi
chancelante célébrait la
messe, lorsque tout à coup, le pain fut visiblement
changé en chair et le vin en sang (Rigord, cité par Duchesne – Histoire de
France, tome 5, p. 41 et La Chronique de Nangis, tome 2, p. 19, font mention de
ce miracle) On ajoute que ce prêtre effrayé quitta l’autel et s’enfuit en
criant « à Rome, à Rome ! ». La rue et la Porte par laquelle il passa ont
depuis retenu le nom de rue et porte de Rome, au lieu du nom de « Reversement
», qu’elles avaient auparavant. Histoire et patrimoine mairie de Rosay en
brie. Je vous conseille de lire
l'article de la mairie sur l'histoire de Rosay]
Prenons le rue de l'hospice sur la gauche et passons
devant le porche monumental. A l'angle de la rue, nous trouvons une drôle de
construction peut être l'une des nombreuses fontaines de la ville. Prenons la
rue du Général Leclerc sur la droite, l'inscription peinte
sur le fronton de la maison, m'a fait sourire.
Un peut
plus bas derrière les remparts le lavoir. Remontons la rue du Générale
Leclerc. Prenons sur la droite la rue Saint Jacques toute petite rue avec une
maison à colombages dans sa partie la plus étroite. Prenons la rue de la
Haranderie sur la gauche. Sur la droite face
à la rue du Générale de Gaulle, nous découvrons une maison avec de hauts
reliefs. Poursuivons à droite par la rue de Rome et partons en pèlerinage vers
l'Italie. Dépassons la porte de Rome (deux versions pour le
nom de cette porte.) [On
voyait encore en 1782, sur une pierre placée en fronton d’une des portes, dite
la Porte de Rome, une inscription conçue en ces termes : « Je fus mise ici par
le commun, l’an 1512
» ; Les armoiries de la ville, qui surmontent cette pierre
ont 3 roses accolées de 2 anges et surmontées de cette devise : « rosa inter
flores ». Les autres portes sont décorées des mêmes armoiries auxquelles sont
accolées 2 branches de laurier croisées en dessous : les 3 roses sont de gueule
sur fond sablé d’azur et surmontées d’une couronne de comte. Plusieurs anciens
traités devant notaire, attestent que les remparts en dedans et en dehors des
fossés et les portes ont toujours été entretenus aux dépens de la ville et lui
en conservent la possession. La porte supérieure de la ville est la plus
considérable, la plus aérée et celle où se trouvent une plus grande quantité de
belles maisons. Histoire et patrimoine mairie de Rosay] Rozay se situait sur
la route de pèlerinage menant à Rome. Le grand chemin de Fontenay à Rozay était
appelé chemin de Rome. Wikipedia
(Une légende conté dans la partie église en donne une
autre version.)]. [On lit souvent que le pèlerinage de Rome est,
avec ceux de Terre sainte (Jérusalem en
particulier) et de Compostelle, l'un des trois principaux pèlerinages chrétiens.
Rome, siège des successeurs de l'apôtre Pierre, fut et demeure un pèlerinage
majeur. Jérusalem, où mourut Jésus, est également une destination éminente, et
est en outre une ville sainte pour les trois grandes religions
abrahamiques : juive,
chrétienne et musulmane. La principale voie de
pèlerinage vers Rome, attestée depuis 990 par le parcours de Sigéric, est
la via Francigena.
Au Moyen Âge, le
pèlerinage à Rome a une dimension pénitentielle importante (comme en attestent les archives de pénitencerie) avant de devenir l'objet de jubilés en 1300 Les
pèlerins de Rome étaient désignés sous le nom de « Romieux ».
Le concile de
(Chalon-sur-Saône) de 813 lui
confère la même importance que le pèlerinage de Tours. Ces pèlerinages sont concurrencés par celui
de Saint-Jacques-de-Compostelle à
partir du xe siècle.
En 1492 le
pape Alexandre VI déclare
officiellement que les trois principaux pèlerinage de la chrétienté sont ceux
de Jérusalem, Rome
et Saint-Jacques-de-Compostelle.] Poursuivons par la D 2 (rue de Vilpré). Au carrefour prenons
la rue de la Tuilerie sur la droite, nous la quittons lorsqu'elle tourne en
angle aigu sur la droite, poursuivons tout droit, au petit pont au dessus du ru
de la fontaine
nous retrouvons un chemin très gadouilleux remontant vers le
carrefour de la D49 et 211. Prenons en face la D 211 en direction de Bernay,
Aubepierre et Mormant. Longue route très circulante. La route tourne sur la
droite au niveau du bois de la garenne, nous abandonnons le bitume pour prendre
sur la gauche un chemin derrière de grosses pierres. Le départ n'est pas
engageant, on y trouve malheureusement des détritus. Ce bois ressemble à un
taillis mal entretenus plutôt qu'un bois, il nous permet de quitter le bitume
et de couper notre itinéraire. Le chemin fait fourche nous prenons à droite,
(sur le terrain c’est tout droit), C’est un
chemin très humide et comportant de
petites ronces, je ne suis pas sur que l’été cette partie soit praticable. (Dans
ce cas poursuivre la D 211, jusqu’à la patte d’oie, prenons la branche de
gauche, face à la D 49b encore à gauche la petite route avec le sens interdit.
Sur la carte Google Street View, je me trouve devant un gros problème elle est
coupée par une barrière. Suivant le sens de la photo ce n’est pas la même. D’un
coté une barrière ronde empêchant les voitures de passer, de l’autre une
grille… empêchant même le piéton de passer. La voiture Google à réussi à passer
par la D 201. J’espère que vous n’aurez pas de soucie si vous
réussissez à
passer. Dans le cas inverse poursuivez le bitume jusqu’au Haras de Segrès et le
balisage jaune sur la gauche pour revenir sur Courpalay par le chemin qui nous
a servi à l’allé. C’est un sacré raccourci mais malheureusement je n’ai pas trouvé
autre chose.) Sortons du bois et longeons sa lisière,
nous débouchons sur une route, je m'aperçois qu'il y a une chaine sur un
poteau, ce bois est peut être privé. La route que nous empruntons est peut être
elle aussi privée mais en passant par le bois on ne peut pas le savoir. Prenons
cette route sur la gauche, elle longe des prairies et le parc du château de la
Grange Bléneau. [maison forte, dont
l'origine remonte en partie au xive siècle,
remanié
au xviiie siècle,
situé sur la commune de Courpalay. Siège d'une seigneurie, dépendant de la châtellenie de Melun. Mentionné dès le xiiie siècle ;
« Corpaloi », le château de La Grange-Bléneau a appartenu aux Courtenay, aux Aubusson-La Feuillade, aux Dupré de La Grange Blesneau, aux
d'Aguesseau. Le prince de Condé et ses troupes s'en emparent lors des troubles de la minorité
de Louis XIII. Adrienne de Noailles le transmit à son
mari, le général de La Fayette, qui y vécut de 1802 à sa mort en 1834. Des documents
iconographiques joint à l'aveu de 1363, le décrit comme une enceinte de
35 × 24 mètres composé de cinq tours.
Les bâtiments date du xvie siècle,
il a été remanié au début du xviiie siècle. Il
comprend trois corps
de logis que viennent flanquer cinq tours circulaires
du xve siècle, une entrée voûtée, accostée de deux
tourelles, dans laquelle se logeait un pont-levis à flèches enjambant les fossés, une chapelle.
Le château est demeuré en l'état depuis la mort de La
Fayette, il renferme notamment la bibliothèque du général et des archives et
souvenirs historiques relatifs à l'indépendance des États-Unis. Divers objets
personnels et souvenirs de Lafayette provenant du château par descendance de sa
file aînée Anastasie de La Tour-Maubourg ont été vendus aux enchères à Paris
les 7 et 8/07/2012 (lots 312 à 317 du catalogue de 335 numéros). À la demande
de La Fayette, Hubert
Robert travailla avec Antoine
Vaudoyer à l'aménagement des jardins. En 1935 Le château a
été acheté par René de Chambrun Pineton à son cousin Louis de Lasteyrie en 1955, descendant de
Lafayette.
Il est aujourd'hui la propriété de la Fondation
Josée-et-René-de-Chambrun. La Fondation a été
reconnue d’utilité publique le 19 octobre 1959. Elle a pour objet la conservation du château (château de La
Grange-Bléneau à Courpalay) ayant appartenu
à La Fayette et la conservation des collections historiques se rapportant
à sa mémoire. La fondation détient aussi les archives privées de Pierre
Laval. Elle possède aussi le château de Châteldon qui appartint à
la famille Laval ainsi que deux maisons médiévales du village : maison
sergentale et ancienne pharmacie. Le château avait été acheté en 1935 à Louis de Lasteyrie, descendant de La Fayette par René de Chambrun, son cousin. Les
nouveaux propriétaires découvrirent dans un grenier des archives de La Fayette qui furent classées archives historiques en 2003. Detail dans Wikipedia]
Je n'ai plus l'impression d'être
en Seine et Marne, mais dans le Val de Loire, la forme du château et ses deux
grosses tours me font penser au château de Chaumont. Je
ne suis pas sur qu'en
temps normal on puisse pénétrer dans l'allée principale bordée d'arbres, mais
le château et en restauration. Je découvre les communs en briques, peut être un
ancien chenil du moins il en a bien l'aspect, la chapelle, et au détour du
bâtiment, la cour de la ferme servant de parking pour les travaux. Je ne
m'avance pas plus, fait demi-tour retrouve la route d'accès que je prends à
droite. En effet de ce côté de la route des pancartes au sol annonce que le
chantier est interdit. Nous retrouvons la D 201, faisons un esse droite gauche
et prenons le chemin dans les champs, le long d’une ligne électrique. Au
dernier poteau électrique coupons un chemin par un petit esse gauche-droite
nous poursuivons en direction d’une grange au
bardage vert. Nous débouchons sur
un autre formant Té nous prenons à gauche, nous arrivons sur la D49 que nous
prenons à gauche, nous retrouvons une ligne électrique et prenons le premier chemin
sur la droite, nous débouchons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons
à gauche. Au loin nous apercevons un long mur et un pavillon carré c'est le
château du Breuil. Traversons le ru des
Fontaines Blanche, nous entrons dans Vilpré par la rue des Sources au carrefour
prenons à droite la rue Saint Hubert. Elle fait un grand virage sur la gauche
et débouche sur la D2. Nous faisons un esse gauche-droite et prenons le chemin
des tanneurs. C'est pour essayer d'avoir une vue sur le château. Sur place ce
n'est ni en Seine-et-
Marne, ni en Val de Loire que je me trouve, mais en
Normandie. Les communs ressemblent aux manoirs que l’on trouve dans cette
région. Par contre je n'ai pas trouvé grand-chose sur l'histoire de ce château,
n’y la raison de la présence d’un wagon PLM (Paris, Lyon, Marseille) au milieu
de la cour... [Au lieu-dit le Breuil, cité en 1500 « maison forte », se
dresse un château en pierre et briques datant du xixe siècle
Wikipedia L'histoire de la ferme est liée
à celle du Château du Breuil avec lequel elle constituait, au XIIIème siècle,
une Maison Forte. La tour médiévale et ses meurtrières témoignent de son
histoire. Il existe dans ce village un vieux château avec un
parc appartenant à M. Bourgeois de Vrignel, et parmi les fermes il en est une
dite de Vrignel, au même propriétaire, remarquable par sa situation et sa
construction régulière; le fermier, qui est maire du lieu, y entretient un
superbe troupeau de mérinos.
Le château du Breuil communique à la route de Rozay
à Nangis par une belle avenue plantée de quatre rangs d'ormes. Le parc, entouré
de fossés et de haies vives, est très-bien distribué. http://patrimoine-de-france.com/seine-et-marne/voinsles/jardin-d-agrement-dit-parc-du-chateau-de-breuil-1.php] Revenons
sur nos pas reprenons sur la gauche la D 2 passons devant les grilles du
château poursuivons la Départementale (on peut si l'on en a envie prendre sur
la gauche le chemin bitumé jusqu'à la ferme du Breuil, ou nous découvrons une
belle tour dans un angle intérieur de la cour. Tour ou ancien pigeonnier)
Prenons le chemin situé à droite de la D2. Passons à nouveau le ru de la
fontaine blanche le chemin tourne sur la gauche, longeons quelques arbres, une
ranger de pierres empêche aux véhicules de se diriger vers le bois, nous prenons
le chemin sur la droite. Sur la droite nous apercevons les toitures en forme de
poivrière
du château de la Grange. Nous arrivons à la ferme avec un étang du
Plessis Mallet contournons la ferme passons devant un hangar, trouvons la route
d'accès à la ferme que nous suivons jusqu'à
la D 49, après avoir traversé le ru
de la Tessonnerie. Prenons la D 49 sur la gauche. La route fait fourche,
laissons la route de gauche, contournant le village de la Chapelle-Iger.
Longeons le cimetière, nous arrivons à l'intersection
avec la D 49a nous prenons à droite en direction de Courpalay. Nous longeons un
bois, passons un ru et nous entrons dans Courpalay par la rue de Changeard, au
dessus de hauts murs nous apercevons un château. Nous arrivons au carrefour
avec la rue de Champrenard, faisons un esse gauche-droite, on se dirige vers
l’église, puis la petite rue de droite pour retrouver le parking devant
l’école.
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