samedi 2 mars 2024

Promenade N-S&M Prom 55 Rosay- Courpalay




 Janvier 2020

Promenade en boucle

 

 Carte IGN      Trace GPS & Topo Sans Commentaires          Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b294626

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Km     Temps      Arrêt      V/d         V/g          Dénivelé

29       4h50         0h30      6              5,4    

 

Le centre de la Seine et Marne - Rosoy ou Quiers

Avant de partir j'ai un gros souci... devant la mairie de Rosoy une borne marque soit disant le centre de la Seine et Marne. 

En 2016 l'IGN démontre avec surprise pour la commune de Quiers ; que le centre du département se trouve à Quiers. Il me semble pour l'avoir traversé lors d'une promenade, que rien ne le signale.

Le 9 mai 2016 à 18h20

Quiers n'est pas vraiment le village le plus connu de Seine-et-Marne. « Nous n'avons même pas de petits monuments pour attirer quelques touristes, remarque Christine. Les gens qui arrivent ici viennent par pur hasard, sans doute parce qu'ils sont perdus. Ce n'est pas la Creuse, mais presque. » « Quand on dit où on habite, personne ne sait où c'est », poursuit-elle. Et pourtant, Quiers va connaître la notoriété puisque selon l'Institut d'information géographique et forestière (IGN), ce village de 686 âmes est situé au centre du département. Une information qui surprend les habitants tout comme la maire Monique Potterie « J'aurais vu ça plus au sud », avance Joseph. « Vous êtes sûrs ?, interroge la maire, saisissant immédiatement une carte pour vérifier. J'aurais plutôt pensé à Nangis. » Monique Potterie ne s'est pas tout à fait trompée puisque Nangis est à 8 km. 239 maisons, 8 km de voirie et… un distributeur de baguettes. « Mais ici, nous sommes ravitaillés par les corbeaux, ironise-t-elle. On a surtout des champs de betteraves tout autour. » Pas de commerces, pas de transports non plus dans ce village qui comporte huit kilomètres de voirie pour desservir les 239 maisons, mais un étrange distributeur automatique de baguettes. « Nous avons aussi deux stades de football et cinq fermes, s'amuse Christine. Sans oublier le nouveau city stade très fréquenté par les jeunes. » « C'est un village jeune, avec beaucoup de couples et une centaine d'enfants âgés de moins de 10 ans. » Comme Jessica, 35 ans et cinq enfants, qui vit ici depuis dix ans. « On est vraiment à la campagne, c'est d'ailleurs ce que l'on apprécie. Mais pour faire les courses, on va à Nangis, Mormant et Rozay, explique-t-elle. Pour moi, le centre du département c'est Melun. » Joseph admet lui que Quiers est un point névralgique. « On est à 25 ou 30 km de tout. C'est très pratique même si bien sûr il faut une voiture quand on habite ici », remarque-t-il. Mais pour travailler il va tout à côté, à la raffinerie de Grandpuits. « On est bien situés, ajoute Luigi. On est loin de rien. On a une bonne offre de loisirs à Provins (30km). Pour le bricolage je vais à Melun. (environ 40 km mais ce n'est pas si loin de Brie Comte Robert et sa zone commerciale de Servon. Ou de Montereau 30 km » Mais proche de rien n’ont plus... (Loin de tout, proche de rien. C'est un peu le désert tout de même. Impression personnel). Et la capitale n'est pas loin.  « Quand on a envie de faire un petit tour à Paris pour se changer les idées, ce n'est pas si loin, explique Christine, Quiercoise convaincue. (Non en voiture une soixantaine de kilomètres. En train faut se rendre à Nangis et c'est deux heures de trajet avec deux ou trois correspondance de ce que j'ai vu c'est tout de même un peut galère) En 45 minutes de train, on est dans le centre. Et quand on revient à Quiers, on a la sensation d'être à 500 km. » (je n'ai pas trouvé de train me permettant de me rendre à Nangis en 45 mn, mais je n'ai fais que regarder les horaires SNCF et il faut deux heures et deux changement. Les directs Paris doivent être rares ) https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/quiers-77720/le-petit-village-de-quiers-declare-centre-de-la-seine-et-marne-09-05-2016-5780489.php.  Christine à raison lorsque l'on est à Quiers ou à Rosay on est à 500 km de tout, du moins c'est mon sentiment et je préférerais me situer à Rosay, c'est simplement un tout petit peu plus loin de la raffinerie de Grandpuits, mais avec les vents qui c'est ou c'est le mieux. Bientôt la raffinerie de Grandpuits fermera les familles déserteront ce pole de travail, et l'on ne sera plus à 500 km de tout mais perdu au milieu du Trou du cul du monde en cherchant pour le touriste un éphémère attraie. Je suis méchant mais seul l'attraie de la raffinerie, d'être agriculteur ou artisan fait que l'on se fixe dans ce coin. Je suis désolé de ce constat enjolivé par le journaliste pour montrer un certain attraie du lieu.

Le départ se fait de Courpalay situé sur la D 201 entre Rosoy et Nangis. Nous trouvons un parking vers l'église et les écoles.

Courpalay [xiie siècle Le village se nomme à la fin des années 1190 « Corpaloi », issu du latin cortis (également écrit curtis), signifiant « domaine » et de Palladius, un célèbre agronome romain. Wikipedia] Je me dirige vers l'église, remonte sur la droite la rue de la place de l'église, prenons sur la droite la rue de l'Yvron, prenons la D 201 sur la droite, puis  à gauche la 49a (rue du château d'eau) en direction de Grateloup et poursuivons en face par la rue du château d'eau. Lorsque la route tourne sur la droite nous quittons le bitume et poursuivons en face par un chemin faisant fourche, nous ne prenons pas le chemin de gauche. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite. Laissons l’accès à la ferme de Gratteloup, nous sommes sur un balisage jaune et un bleu. Nous arrivons à un carrefour en patte d'oie inversée nous prenons à gauche la D 49a, (nous quittons le balisage bleu tournant à droite) nous passons devant une grosse ferme avec des serres et juste avant l’entrée du village du Grand Bréau nous quittons le balisage jaune et prenons sur la gauche un sentier intra-muros, au début entre les prairies, puis entre des jardinets. Nous débouchons rue des sentiers que nous prenons à droite, au carrefour nous prenons à droite la rue du petit Clozeaux. Nous arrivons à un carrefour formant Té nous prenons à gauche la rue des Champs Durand (49a) nous retrouvons le balisage jaune. Après avoir longé un bois, la départementale tourne sur la gauche, nous prenons le chemin sur la droite balisage jaune. Nous débouchons sur la D 211 face au haras du prieuré que nous prenons à droite, nous longeons le mur du haras, prenons la première rue sur la gauche, (balisage jaune), nous longeons les carrières enfin un mur, au carrefour nous prenons à gauche la route de bel air (balisage jaune), nous entrons dans le hameau de Segrès. Quittons un court instant le balisage jaune poursuivons le bitume vers le château ou l’abbaye de Ségrès. Malheureusement une fois arrivé au grille, nous le verrons moins bien que lorsque nous descendons vers le lavoir se trouvant devant l'entrée. Remontons vers le virage et prenons sur la gauche le chemin carrossable du moulin Aubert, passons sous la haie de tuyas ou de cyprès formant porche (balisage jaune) ce chemin desserre plusieurs entrées de propriétés. Après un petit chemin sur la gauche, notre balisage tourne en angle aigu sur la droite. Nous débouchons dans un carrefour en forme de Y inversé, poursuivons sur la gauche et au carrefour suivant prenons à droite le long d’une prairie comme le balisage jaune, nous nous dirigeons vers le château d’eau du village. Nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite rue de Vaux. Nous entrons dans Bernay, passons un puits et un lavoir. Au carrefour nous prenons à gauche la rue du Général Leclerc, traversons l'Yèrres sur un immense pont  [L'Yerres est une rivière d'Île-de-France, affluent de la rive droite de la Seine. L'Yerres (ou Yères) était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au xviie siècle, probablement d'un ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre 'lierre'. Le -s final n'est pas fondé. De 98,23 km de longueur, l'Yerres occupe un bassin versant de 1 020 km2 couvrant trois départements : la Seine-et-Marne, l'Essonne et le Val-de-Marne. Il intéresse 121 communes et environ 160 000 habitants. Pour 85 % de sa surface, ce bassin est couvert de cultures et de forêts, essentiellement en Seine-et-Marne. Les zones urbanisées, environ 10 % du total, sont concentrées en aval près du confluent avec la Seine. La rivière prend sa source en Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route départementale D 20E, sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles avant de devenir l'Yerres en aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. Wikipedia] Pas C.. les anciens, dans ce terrain plat il avait prévu les inondations par un immense ont qui ne semble pas en rapport avec la rivière. Terre perdue alors nous y avons construit une salle ou une entreprise… Place de l’église la rue fait fourche laissons sur la droite (la rue de l'ancien château) menant à l'église, prenons à gauche poursuivons par la D 49b (avenue du général Leclerc) quittons le balisage jaune empruntant une ruelle sur la gauche, coupons la route de Vilbert notre départementale change de nom et devient rue du parc, nous retrouvons les champs et nous nous dirigeons vers la nationale quatre. Nous longeons quelques bâtiments industriels et arrivons au grand carrefour avec un pont permettant de passer sous la nationale, nous prenons à droite la route de Rosay longeant la nationale quatre (D 201 a), route de Villeneunotte. Nous longeons un haras avec piste d'entrainement pour chevaux de course. Nous entrons dans Villeneuvotte. Passons une nouvelle fois l'Yerres, et un peu plus loin prenons le chemin des Bordes sur la gauche nous entrons dans un petit parc, prendre le sentier de droite, se dirigeant vers un bras de l'Yerres et du lavoir, passons le petit pont, puis la barrière et faisons un esse gauche-droite, nous trouvons un balisage bleu. Commençons par faire le Tour de Rosay par le boulevard Victor Hugo [Cette ville, de forme octogonale, était jadis fermée de murailles flanquées de treize tourelles sans compter celles que l’on avait accolées à chacune de ses trois principales portes. Elle était entourée de grands fossés, maintenant surmontés de promenades bien plantées. Les remparts de Rozoy furent refaits vers la fin du XVe ou au commencement du XVIe siècle par les soins et aux frais des habitants. D'un gallo-roman RAUSETU « lieu planté de roseaux », qui a donné l'ancien français rosei, rosoi. Il est basé sur le gallo-roman RAUS d'origine germanique et qui a donné l'ancien français ros « roseau ». Au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Rozoy-l'Unité. Autrefois orthographiée Rosoy comme l'atteste le Dictionnaire des communes de France et des principaux hameaux en dépendant (1818) qui la situe à cinq lieues de  poste de Coulommiers (soit 21,44 km). Elle ne porte le nom de Rozay-en-Brie que depuis 1934 lorsque le maire Gilbert Eugène, après délibération du conseil municipal, décida que l'orthographe Rozay-en-Brie doit être définitivement substituée à celle de Rozoy-en-Brierosoi étant une forme dialectale plutôt caractéristique de l'oïl septentrional (picard, etc.). Jusqu'au xe siècle, Rozay-en-Brie est une ville souterraine composée de caves et de souterrains dont certains, selon la légende, iraient jusqu'à Provins. Possédant une compagnie d'arquebusiers, Rozay devient au Moyen Âge un centre commercial florissant avec des marchés et des foires. Certaines rues portent les noms de cette époque : rue aux Fromages, rue des Porcelets, rue de la Haranderie, place du Marché-au-Blé. Le bourg de Rozay est alors entouré de fortifications (remparts avec tourelles et portes). Cette route venant de Paris, qui se poursuit vers Troyes par Provins, est vraisemblablement utilisée par les marchands qui se rendent aux célèbres foires de Champagne et par les pèlerins. En 1314, lorsque Louis le Hutin succède à son père Philippe le Bel, la ville est définitivement rattachée au royaume de France. Elle se situera jusqu’à la Révolution à la limite des provinces d’Île-de-France et de Champagne. En 1358, la Brie est soulevée par la Grande Jacquerie lors de la Guerre de Cent Ans. Une borne située sur la place de la mairie rappelle que la commune est au centre géographique du département de Seine-et-Marne. La commune se situe au cœur de la région de la Brie. La ville était reliée à Paris dès le xviiie siècle par une grande route rectiligne passant notamment par Tournan et Fontenay. Cette route se terminait à Rozoy et ne sera poursuivie qu'au xixe siècle. Elle s'appellera Chemin de Rozoy à Sésane ou Grande route de Sésane. Rozay-en-Brie était située sur la ligne Jouy-le-Châtel - Marles-en-Brie (24 km) du Réseau de Seine-et-Marne, ouverte en 1902. Il s'agissait d'un ancien réseau de chemins de fer à voie métrique, concédé à la Société générale des chemins de fer économiques (SE) connue sous la dénomination des "Tramways de Seine-et-Marne". Le service des voyageurs sera supprimé en 1934 avec transfert sur route, par autocar sur certaines sections. Les marchandises subsisteront jusqu'en 1938. Suite dans Wikipedia.] Remontons le Boulevard Amiral courbet, bordé de beaux arbres. Nous longeons les remparts [Rozay était entouré de remparts dont il reste d'importants vestiges. Sur les treize tourelles d'origine, il en reste huit. Les remparts de Rozoy furent refaits vers la fin du XVe ou au commencement du XVIe siècle par les soins et aux frais des habitants. Trois portes donnaient accès à l'intérieur de la cité. Les portes de Rome et de Gironde qui subsistent ont été classés monuments historiques en 1935. Les anciens fossés sont comblés et, plantés d'arbres et de pelouse, offrent des lieux de promenade. Wikipedia ]. Faisons le tour des remparts en prenant sur la droite le Boulevard Lafayette. Nous passons devant la porte Gironde [Bien que l'origine des fortifications de Rozay-en-Brie remonte au XVIe siècle, la porte de Gironde, l'une des deux anciennes entrées de ville que l'on peut voir actuellement avec la porte de Rome , a été refaite au XVIIIe siècle. Ce monument possède sur la corniche de ses piliers deux lions en pierre sculptée se faisant face et tenant un blason entre leurs pattes http://cfpphr.free.fr/portedegironde77rozayenbrie.htm] Poussons jusqu'à la rue aux Buttes que nous prenons à droite, nous y trouvons des maisons à colombages. Nous débouchons rue de Gironde que nous prenons à gauche, descendons la rue du Générale Leclerc jusqu’à la petite rue pavées aux fromages que nous prenons à gauche [nous y trouvons une maison à colombages et une vierge dans une niche dans l'angle d'une maison.] Nous débouchons rue du Générale de gaulle que nous prenons à droite passons devant la mairie, place de la mairie, nous devons trouver une borne (que je n'ai pas remarqué, elle marque le centre de la Seine-et-Marne) [ce doit être la pierre en forme de tronc de cône entourée d'arbres, avec les voitures garées autours je ne l'ai pas remarqué.] Reprenons la rue du Générale Leclerc sur la gauche jusqu'au chevet de l'église et prenons sur la droite la rue de l'église [Église Notre-Dame-de-la-Nativité. Edifice imposant, située entre le comté de Champagne, le domaine royal de l'Île-de-France et le chapitre de Paris. Elle est mise en valeur aux xiie siècle et xiiie siècle, à l'image de Villeneuve-le-Comte, à l'époque des défrichements de la forêt briarde et du développement des foires. Elle a été classée monument historique en 1862.  Sa construction a commencé à partir du xiie siècle. Le clocher, de style roman, date de cette époque. Elle a été transformée au siècle suivant : adjonction de la nef, du bas-côté nord et remaniée et restaurée jusqu'au xixe siècle. Le portail ouest, mariage entre style gothique flamboyant et style Renaissance, a été restauré à partir de 1998. Sur un contrefort côté rue du Général-Leclerc on peut voir une pierre gravée avec une marque de compagnonnage datée de 1517, date de l'achèvement de la partie sud de l'édifice. Dès 1017, l'église de Rozay est confiée aux chanoines de Paris par l'évêque de Meaux. À l'intérieur, peuvent être perçus une "Vierge à l'Enfant" en marbre blanc sculptée par Germain Pilon, une huile sur panneau en bois représentant saint Jérôme écrivant ses mémoires, "la délivrance de saint Pierre" huile sur toile du xviie siècle. Orgue Modifier Construits par Louis-Alexandre Clicquot au xviiie siècle, reconstruit entre 1930 et 1933 par Gabriel d'Alençon; le grand orgue et le positif, constitués de 2 000 tuyaux ont été remis en état de 1989 à 1996. Le positif, datant de 1723, est attribué au facteur d'orgue Deslandes et, à la mort de celui-ci, la partie instrumentale aurait été confiée à Nicolas Collard ou à L. A. Clicquot. Le buffet d'orgue, daté de 1737, aurait ainsi pu être conçu par ces derniers. Wikipedia.] [La tradition porte que St Thomas de Canterbury en fit la dédicace. Une peinture qui se voyait au milieu du rond point de l’église attestait un miracle arrivé en 1198. Un prêtre, d’une foi chancelante célébrait la messe, lorsque tout à coup, le pain fut visiblement changé en chair et le vin en sang (Rigord, cité par Duchesne – Histoire de France, tome 5, p. 41 et La Chronique de Nangis, tome 2, p. 19, font mention de ce miracle) On ajoute que ce prêtre effrayé quitta l’autel et s’enfuit en criant « à Rome, à Rome ! ». La rue et la Porte par laquelle il passa ont depuis retenu le nom de rue et porte de Rome, au lieu du nom de « Reversement », qu’elles avaient auparavant. Histoire et patrimoine mairie de Rosay en brie. Je vous conseille de lire l'article de la mairie sur l'histoire de Rosay] Prenons le rue de l'hospice sur la gauche et passons devant le porche monumental. A l'angle de la rue, nous trouvons une drôle de construction peut être l'une des nombreuses fontaines de la ville. Prenons la rue du Général Leclerc sur la droite, l'inscription peinte sur le fronton de la maison, m'a fait sourire. Un peut plus bas derrière les remparts le lavoir. Remontons la rue du Générale Leclerc. Prenons sur la droite la rue Saint Jacques toute petite rue avec une maison à colombages dans sa partie la plus étroite. Prenons la rue de la Haranderie sur la gauche. Sur la droite face à la rue du Générale de Gaulle, nous découvrons une maison avec de hauts reliefs. Poursuivons à droite par la rue de Rome et partons en pèlerinage vers l'Italie. Dépassons la porte de Rome (deux versions pour le nom de cette porte.) [On voyait encore en 1782, sur une pierre placée en fronton d’une des portes, dite la Porte de Rome, une inscription conçue en ces termes : « Je fus mise ici par le commun, l’an 1512 » ; Les armoiries de la ville, qui surmontent cette pierre ont 3 roses accolées de 2 anges et surmontées de cette devise : « rosa inter flores ». Les autres portes sont décorées des mêmes armoiries auxquelles sont accolées 2 branches de laurier croisées en dessous : les 3 roses sont de gueule sur fond sablé d’azur et surmontées d’une couronne de comte. Plusieurs anciens traités devant notaire, attestent que les remparts en dedans et en dehors des fossés et les portes ont toujours été entretenus aux dépens de la ville et lui en conservent la possession. La porte supérieure de la ville est la plus considérable, la plus aérée et celle où se trouvent une plus grande quantité de belles maisons. Histoire et patrimoine mairie de Rosay] Rozay se situait sur la route de pèlerinage menant à Rome. Le grand chemin de Fontenay à Rozay était appelé chemin de Rome. Wikipedia (Une légende conté dans la partie église en donne une autre version.)]. [On lit souvent que le pèlerinage de Rome est, avec ceux de Terre sainte (Jérusalem en particulier) et de Compostelle, l'un des trois principaux pèlerinages chrétiens. Rome, siège des successeurs de l'apôtre Pierre, fut et demeure un pèlerinage majeur. Jérusalem, où mourut Jésus, est également une destination éminente, et est en outre une ville sainte pour les trois grandes religions abrahamiques : juive, chrétienne et musulmane. La principale voie de pèlerinage vers Rome, attestée depuis 990 par le parcours de Sigéric, est la via Francigena. Au Moyen Âge, le pèlerinage à Rome a une dimension pénitentielle importante (comme en attestent les archives de pénitencerie) avant de devenir l'objet de jubilés en 1300 Les pèlerins de Rome étaient désignés sous le nom de « Romieux ». Le concile de (Chalon-sur-Saône) de 813 lui confère la même importance que le pèlerinage de Tours. Ces pèlerinages sont concurrencés par celui de Saint-Jacques-de-Compostelle à partir du xe siècle. En 1492 le pape Alexandre VI déclare officiellement que les trois principaux pèlerinage de la chrétienté sont ceux de Jérusalem, Rome et Saint-Jacques-de-Compostelle.] Poursuivons par la D 2 (rue de Vilpré). Au carrefour prenons la rue de la Tuilerie sur la droite, nous la quittons lorsqu'elle tourne en angle aigu sur la droite, poursuivons tout droit, au petit pont au dessus du ru de la fontaine nous retrouvons un chemin très gadouilleux remontant vers le carrefour de la D49 et 211. Prenons en face la D 211 en direction de Bernay, Aubepierre et Mormant. Longue route très circulante. La route tourne sur la droite au niveau du bois de la garenne, nous abandonnons le bitume pour prendre sur la gauche un chemin derrière de grosses pierres. Le départ n'est pas engageant, on y trouve malheureusement des détritus. Ce bois ressemble à un taillis mal entretenus plutôt qu'un bois, il nous permet de quitter le bitume et de couper notre itinéraire. Le chemin fait fourche nous prenons à droite, (sur le terrain c’est tout droit), C’est un chemin très humide et comportant de petites ronces, je ne suis pas sur que l’été cette partie soit praticable. (Dans ce cas poursuivre la D 211, jusqu’à la patte d’oie, prenons la branche de gauche, face à la D 49b encore à gauche la petite route avec le sens interdit. Sur la carte Google Street View, je me trouve devant un gros problème elle est coupée par une barrière. Suivant le sens de la photo ce n’est pas la même. D’un coté une barrière ronde empêchant les voitures de passer, de l’autre une grille… empêchant même le piéton de passer. La voiture Google à réussi à passer par la D 201. J’espère que vous n’aurez pas de soucie si vous réussissez à passer. Dans le cas inverse poursuivez le bitume jusqu’au Haras de Segrès et le balisage jaune sur la gauche pour revenir sur Courpalay par le chemin qui nous a servi à l’allé. C’est un sacré raccourci mais malheureusement je n’ai pas trouvé autre chose.) Sortons du bois et longeons sa lisière, nous débouchons sur une route, je m'aperçois qu'il y a une chaine sur un poteau, ce bois est peut être privé. La route que nous empruntons est peut être elle aussi privée mais en passant par le bois on ne peut pas le savoir. Prenons cette route sur la gauche, elle longe des prairies et le parc du château de la Grange Bléneau. [maison forte, dont l'origine remonte en partie au xive siècle, remanié au xviiie siècle, situé sur la commune de Courpalay. Siège d'une seigneurie, dépendant de la châtellenie de Melun. Mentionné dès le xiiie siècle ; « Corpaloi », le château de La Grange-Bléneau a appartenu aux Courtenay, aux Aubusson-La Feuillade, aux Dupré de La Grange Blesneau, aux d'Aguesseau. Le prince de Condé et ses troupes s'en emparent lors des troubles de la minorité de Louis XIII. Adrienne de Noailles le transmit à son mari, le général de La Fayette, qui y vécut de 1802 à sa mort en 1834. Des documents iconographiques joint à l'aveu de 1363, le décrit comme une enceinte de 35 × 24 mètres composé de cinq tours.

Les bâtiments date du xvie siècle, il a été remanié au début du xviiie siècle. Il comprend trois corps de logis que viennent flanquer cinq tours circulaires du xve siècle, une entrée voûtée, accostée de deux tourelles, dans laquelle se logeait un pont-levis à flèches enjambant les fossés, une chapelle.

Le château est demeuré en l'état depuis la mort de La Fayette, il renferme notamment la bibliothèque du général et des archives et souvenirs historiques relatifs à l'indépendance des États-Unis. Divers objets personnels et souvenirs de Lafayette provenant du château par descendance de sa file aînée Anastasie de La Tour-Maubourg ont été vendus aux enchères à Paris les 7 et 8/07/2012 (lots 312 à 317 du catalogue de 335 numéros). À la demande de La FayetteHubert Robert travailla avec Antoine Vaudoyer à l'aménagement des jardins. En 1935 Le château a été acheté par René de Chambrun Pineton à son cousin Louis de Lasteyrie en 1955, descendant de Lafayette.

Il est aujourd'hui la propriété de la Fondation Josée-et-René-de-Chambrun. La Fondation a été reconnue d’utilité publique le 19 octobre 1959. Elle a pour objet la conservation du château (château de La Grange-Bléneau à Courpalay) ayant appartenu à La Fayette et la conservation des collections historiques se rapportant à sa mémoire. La fondation détient aussi les archives privées de Pierre Laval. Elle possède aussi le château de Châteldon qui appartint à la famille Laval ainsi que deux maisons médiévales du village : maison sergentale et ancienne pharmacie. Le château avait été acheté en 1935 à Louis de Lasteyrie, descendant de La Fayette par René de Chambrun, son cousin. Les nouveaux propriétaires découvrirent dans un grenier des archives de La Fayette qui furent classées archives historiques en 2003. Detail dans Wikipedia] Je n'ai plus l'impression d'être en Seine et Marne, mais dans le Val de Loire, la forme du château et ses deux grosses tours me font penser au château de Chaumont. Je ne suis pas sur qu'en temps normal on puisse pénétrer dans l'allée principale bordée d'arbres, mais le château et en restauration. Je découvre les communs en briques, peut être un ancien chenil du moins il en a bien l'aspect, la chapelle, et au détour du bâtiment, la cour de la ferme servant de parking pour les travaux. Je ne m'avance pas plus, fait demi-tour retrouve la route d'accès que je prends à droite. En effet de ce côté de la route des pancartes au sol annonce que le chantier est interdit. Nous retrouvons la D 201, faisons un esse droite gauche et prenons le chemin dans les champs, le long d’une ligne électrique. Au dernier poteau électrique coupons un chemin par un petit esse gauche-droite nous poursuivons en direction d’une grange au bardage vert. Nous débouchons sur un autre formant Té nous prenons à gauche, nous arrivons sur la D49 que nous prenons à gauche, nous retrouvons une ligne électrique et prenons le premier chemin sur la droite, nous débouchons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Au loin nous apercevons un long mur et un pavillon carré c'est le château du Breuil.  Traversons le ru des Fontaines Blanche, nous entrons dans Vilpré par la rue des Sources au carrefour prenons à droite la rue Saint Hubert. Elle fait un grand virage sur la gauche et débouche sur la D2. Nous faisons un esse gauche-droite et prenons le chemin des tanneurs. C'est pour essayer d'avoir une vue sur le château. Sur place ce n'est ni en Seine-et-Marne, ni en Val de Loire que je me trouve, mais en Normandie. Les communs ressemblent aux manoirs que l’on trouve dans cette région. Par contre je n'ai pas trouvé grand-chose sur l'histoire de ce château, n’y la raison de la présence d’un wagon PLM (Paris, Lyon, Marseille) au milieu de la cour... [Au lieu-dit le Breuil, cité en 1500 « maison forte », se dresse un château en pierre et briques datant du xixe siècle Wikipedia  L'histoire de la ferme est liée à celle du Château du Breuil avec lequel elle constituait, au XIIIème siècle, une Maison Forte. La tour médiévale et ses meurtrières témoignent de son histoire. Il existe dans ce village un vieux château avec un parc appartenant à M. Bourgeois de Vrignel, et parmi les fermes il en est une dite de Vrignel, au même propriétaire, remarquable par sa situation et sa construction régulière; le fermier, qui est maire du lieu, y entretient un superbe troupeau de mérinos.

Le château du Breuil communique à la route de Rozay à Nangis par une belle avenue plantée de quatre rangs d'ormes. Le parc, entouré de fossés et de haies vives, est très-bien distribué. http://patrimoine-de-france.com/seine-et-marne/voinsles/jardin-d-agrement-dit-parc-du-chateau-de-breuil-1.php] Revenons sur nos pas reprenons sur la gauche la D 2 passons devant les grilles du château poursuivons la Départementale (on peut si l'on en a envie prendre sur la gauche le chemin bitumé jusqu'à la ferme du Breuil, ou nous découvrons une belle tour dans un angle intérieur de la cour. Tour ou ancien pigeonnier) Prenons le chemin situé à droite de la D2. Passons à nouveau le ru de la fontaine blanche le chemin tourne sur la gauche, longeons quelques arbres, une ranger de pierres empêche aux véhicules de se diriger vers le bois, nous prenons le chemin sur la droite. Sur la droite nous apercevons les toitures en forme de poivrière du château de la Grange. Nous arrivons à la ferme avec un étang du Plessis Mallet contournons la ferme passons devant un hangar, trouvons la route d'accès à la ferme que nous suivons jusqu'à la D 49, après avoir traversé le ru de la Tessonnerie. Prenons la D 49 sur la gauche. La route fait fourche, laissons la route de gauche, contournant le village de la Chapelle-Iger. Longeons le cimetière, nous arrivons à l'intersection avec la D 49a nous prenons à droite en direction de Courpalay. Nous longeons un bois, passons un ru et nous entrons dans Courpalay par la rue de Changeard, au dessus de hauts murs nous apercevons un château. Nous arrivons au carrefour avec la rue de Champrenard, faisons un esse gauche-droite, on se dirige vers l’église, puis la petite rue de droite pour retrouver le parking devant l’école.

 























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