La pandémie du Covid 19 et l’interdiction de sortir, à plus de 10 km, m’a fait rechercher des itinéraires inconnus pour moi et inscrit dans le cercle autorisé. Pour l’instant j’ai un peu oublié mes parcours dans le Nord du département, il me reste quatre ou cinq promenades à réaliser autour de Crécy la Chapelle et Mouroux. La pandémie fait que je ne prends plus le train pour me rendre à mes points de départ, et c’est un peut loin en voiture. Je vous propose des itinéraires un peu plus urbain que d’habitude. 10 km c’est mieux que 1 km. Ce promener la journée est bien mieux qu’une heure, mais l’on n’est jamais content. J’ai entendu à la télé des personnes qui étaient toute contentes durant les vacances, elles avaient louées à la limite de la ligne de démarcation des 10km (on ne peut pas parler de frontière, elles sont restées ouvertes avec soit disant un contrôle…) Cette interdiction lier à l’interdiction de sortir du département leur faisaient découvrir des coins qu’ils ne connaissaient pas prêt de chez eux. Ce n’est pas tout à fait mon cas. Je me suis rendu compte que 10 km c’est bien proche et que j’avais pas mal vadrouillé autour de chez moi. Vous allez retrouver des balades que je n’aurais jamais réalisé sans le confinement, certaine sans surprises, d’autres très atypiques.
Ou se trouve la Chapelle Gauthier ? Sur la D 408 entre Melun et Nangis
De Melun ; Prendre la D 605 en direction de Montereau, A 5 Troyes. Au rond point après le feu tricolore 2ème sortie à gauche D 408 A5 Toyes, Provins Nangis, Mainnecy, Blandy les Tours
De Nangis prendre la D 409 en direction de A 5, Melun, fontainebleau et Montereau
Nous trouvons des parkings, place du général De Gaulle face au château et de l’église
Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b296862
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
avril 2021
La Chapelle Gauthier- Saint Ouen en Brie
Km Temps Arrêt V/g V/d dénivelé
La Chapelle Gauthier ; Je trouve de la place sur les parkings situés rue du général de Gaulle, proche de l’église et du château, en dehors de la rue principale (D 408). Le château est malheureusement à l’abandon. [Lorsque le prince de Condé achète le château de La Chapelle, il s'agit encore de la forteresse médiévale de Gauthier. Des bâtiments encadrent une cour et un donjon. Le château est alors rasé à la hauteur du premier étage. Les quatre tours et le donjon sont supprimés. Les façades sur cour sont refaites. La tour carrée à l'angle du nord-est date également de cette époque, avec des meurtrières pour battre les deux ponts-levis situés alors au nord et à l'est. Le grand escalier d'honneur est construit en même temps. Au XIXe siècle, le château est vendu à un marchand de meubles qui le loue, démonte les cheminées, les peintures et les grilles et finit par le revendre en 1867 à un antiquaire. Acquis en 1872 par un ancien boucher, François Castille, le château retrouve peu à peu son domaine, alors morcelé ; le nouveau propriétaire et sa fille rachètent en effet des terres et créent un nouveau parc. Durant la guerre de 1914-1918, le château est transformé en hôpital. Lorsque la paix revient, la famille Ziegel entreprend des travaux de réparation et de modernisation. Le château subit de nouvelles dégradations pendant la Seconde Guerre mondiale. En 1984, la commune l'achète et y entreprend de gros travaux comme la réfection de la toiture. Elle fait également changer une poutre dans l'une des salles à manger et remanier toute l'aile droite afin d'y installer la mairie.
J’aime bien la devise de la Ville : La devise « labor omnia vincit improbus » = le travail vient à bout de tout s’il est acharné. http://www.lachapellegauthier77.fr/fr/information/46294/le-chateau-chapelle-gauthier ]. Faisons le tour de l’église, [située à proximité du château, dédicacée Saint Martin et Sainte-Catherine, date du XIlle siecle. Elle est inscrite sur la liste des Monuments Historiques en 1931. Des 1210, le cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Paris indique « La Chapelle Domini Galteri Camerarii comme église dépendant de Champeaux. Elle a été construite par les chanoines de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, avec l'aide du seigneur Gauthier. Le sanctuaire et le chœur de l'église datent du XIIIe siècle, le clocher de type briard du XVle siècle. L'église avait alors un deuxième petit clocher au-dessus du chœur qui disparaît un soir d'orage le 1er août 1674, alors que la foudre et la grêle dévastent le village. La voûte de la nef a été refaite deux fois au XVe siècle et au XVlle siècle, après qu'elle se soit écroulée. L'abside a été restaurée en 1845. Depuis 1959, des travaux importants ont été entrepris sur la toiture, la nef, l'éclairage modernisé et les verrières du chœur ont été remplacées. Les nouveaux vitraux ont été réalisés par le maître verrier Louis-René Petit de Saint-Benoit-sur-Loire. L'église est rattachée au pôle de Mormant. Panneau d’information]. Prenons le passage derrière la nef entre le château et les bâtiments d’habitations, nous pouvons monter ou pas, les quelques marches comblant la dénivellation de la place autour de l’église. Nous sommes sur un balisage jaune, longeons les terrains de sport, (balisage jaune et vert) nous sommes tout de suite dans la nature. Laissons le cimetière et la station d’épuration sur la gauche, traversons le pont au dessus de la zone humide alimenté par le ru d’Ancoeur,[Le ru d'Ancoeur est un cours d'eau qui prend sa source dans la commune de Grandpuits-Bailly-Carrois et rejoint, après un trajet de 25 km, le Bassin de la Poële du château de Vaux-le-Vicomte. Il se jette ensuite dans l'Almont, un affluent de la Seine. (Je dirais qu’il change de nom, il n’y a pas de confluent après le bassin de la Poële, et l’autre ruisseau ne porte pas ce nom là.) Son passage par la Chapelle-Gauthier se fait au nord de la commune et notamment derrière le parc du château. L'histoire du ru d'Ancoeur sur la Chapelle-Gauthier est marqué dans les années 1980 par la création de deux étangs juxtaposés dans le cadre du projet « 1000 lacs » initié à l'époque par la région Ile-de-France. Cette initiative s'opposait au classement du site qui était alors en cours. Ces plans d'eau ont depuis été à l'origine de crues sur les communes amont. A la suite d'une rupture accidentelle de la vanne avale de retenu d'eau en 2013, qui a entraîné la vidange des étangs, la municipalité a décidé après consultation que les réparations n'étaient pas envisageables. Plusieurs raisons ont amené à cette conclusion.
D'une part, les travaux à engager vont à l'encontre de la politique nationale de restauration des continuités écologiques qui prône la libre circulation des espèces et des sédiments. Cette politique est portée par l’État et l'Agence de l'eau Seine-Normandie (AESN).
La suppression des ouvrages sur les cours d'eau est en passe de devenir obligatoire pour les collectivités territoriales et l'est déjà pour certains propriétaires. En anticipant la réglementation, la municipalité bénéficiera de subventions de la part de partenaires financiers tels que le département, la région ou l'AESN. Enfin, par sa décision, la municipalité bénéficie de l'expertise et de l'appui technique d'un grand nombre de partenaires, tous favorables à la restauration écologique du ru d'Ancoeur, : l'AESN, la région Ile-de-France, le Conseil départemental de Seine-et-Marne, l'Office national de l'eau et des milieux aquatiques (ONEMA), la Direction départementale du territoire (DDT), les syndicats de rivières, la fédération de pêche, Seine et Marne environnement, etc.
Toutefois, il n'est pas question de laisser le site en l'état. Des études sont en cours. La fin des travaux de restauration devrait marquer une renaissance du ru d'Ancoeur dont les anciens étangs deviendront une zone humide aménagée à la fois pour le public mais aussi dans un soucis de conservation de la biodiversité. Il faut savoir que la France a vu les deux tiers de la superficie de ses zones humides détruites sur le siècle dernier, dont la moitié entre 1960 et 1990. Ces milieux ont pourtant un rôle important dans la régulation des crues ou encore la préservation de la quantité et de qualité de la ressource en eau. La municipalité, par son action, a donc fait un choix au bénéfice de l'avenir de chacun des chapellois. http://www.lachapellegauthier77.fr/fr/information/46293/la-vallee-ancoeur
Extraie L’Ancoeur, du ruisseau au mythe, Etude Val d’Ancoeur, Isabelle Rambaud, 2019.
La tradition associe l’origine du nom du ru à la ferme du même
nom. “ A un demi-quart de lieue, à l'ouest [de Bailly], se trouve la ferme de
l'étang d'Ancoeur, d'où part le ruisseau qui sous le nom de Ru d'Ancoeur, passe
à La Chapelle-Gauthier, Blandy, Maincy, se joint à l'Almont, et va tomber dans
la Seine
à Melun. La forme même que prend le ruisseau sur son
cours au niveau du lieu-dit « Encoeur » sur le
plan de Trudaine (1670) laisse à penser que le
rapprochement pouvait être fait avec une
excroissance maladive. « L’ancoeur est une tumeur en
dehors ou en dedans du poitrail, vis-à-vis le cœur.
L’incertitudes sur les origines de sa source tient à la
fois, au tracé aléatoire du ru qui, par
endroits, disparaît dans le sol
- aux interventions humaines en raison des cultures
et drainages du territoire, à la
puissance du nom d’Ancoeur qui lui est attribué sur son premier parcours.
Aujourd’hui le ru refait surface sur la carte IGN au niveau de la D67 entre Les
Masures et Les Grands Carreaux.
Trois noms pour un même ru
1. Ancoeur, de la source à Saint-Méry. Torrens
Ansquesius, vers 1145. Anqueteuil, xviie
siècle (Carte De Fer).
Anquier, xviiie siècle (Lebeuf) « L’Ancoeur est une rivière très peu
abondante, fort peu régulière et en danger de tomber
à sec régulièrement. La lame d'eau écoulée dans son
bassin versant est de 96 millimètres annuellement, ce qui est parmi les plus faibles
de France, plus de trois fois inférieur à la moyenne d'ensemble du pays, et
surtout largement inférieur à la moyenne de la totalité du bassin de la Seine
(240millimètres environ). Le débit constant de l’Ancoeur a cependant pendant
des siècles permis de mettre en œuvre les nombreux moulins. Le nombre important
d’ouvrages hydrauliques, comme les canaux, les bassins et les étangs, les
petites retenues et les moulins confèrent au paysage une identité particulière
tournée vers l'eau et sa maîtrise. Elle est à mettre en relation avec le
caractère humide des terrains ».
2. L’Ancueil, de Champeaux à Moisenay
Le “ Ru d'Ancueil ”est long d'environ 8 kms. Les
grands travaux de Vaux-le-Vicomte L’une des deux rivières passant par le
domaine a été détournée de 45 degrés et canalisée sous la forêt dans un tunnel
de près de 1 km de long, et les pentes naturelles du terrain sont remaniées en
plans horizontaux successifs. L'Ancueil a donné son nom à une statue
majestueuse du parc de Vaux-le-Vicomte située à gauche de l’ensemble des
grottes (1659-1662), face au Tibre installé à droite en 1659. Réalisée peu
après les Cascades, la Grotte est située au sud du canal.
3. Almont, de Vaux-le-Vicomte à la Seine. L'Almont
est le troisième nom du ruisseau l'Ancoeur. La rivière porte ce nom à la sortie
du grand bassin dit de “ La Poêle ” creusé dans le parc du château de “
Vaux-le-Vicomte ”. L'origine du nom Almont n'est pas définie mais est peut être
d'origine romaine ou latine. « l'Almon » (aujourd'hui Aquataccio) est aussi le nom
d'un petit ruisseau qui se jette dans le Tibre au sud de Rome (ce qui pourrait
expliquer la statue du Tibre dans le parc de Vaux-le-Vicomte symétriquement à
la statue de l'Anqueil). Almon est aussi le dieu de la rivière, père de la
nymphe Lara, dans la mythologie romaine. Certains font le lien avec le mot
latin “ almus ” signifiant nourricier, bienfaisant, fécondant. La vallée, plus
large depuis le parc de Vaux, a pu fertiliser les terres au gré des
inondations. Si cela vous
intéresse vous pouvez consulter l’étude complète sur https://www.maincy.fr/wp-content/uploads/2019/12/Ancoeur-du-ruisseau-au-mythe_IR_V1_30042019.pdf] Longeons
la zone humide par la gauche, le chemin fait fourche suivons le balisage par la
droite, nous grimpons dans le bois des Grignards, (le balisage à disparu)
longeons sa lisière et traversons la route pour continuer en face dans les
champs. Attention une branche du balisage jaune emprunte la route. Nous
longeons une carrière d’un centre équestre. Après les prairies, et leurs
clôtures en bois, laissons un chemin sur la gauche se dirigeant vers le village.
(Nous n’avons aucun balisage). Traversons l’Ancœur et longeons-le, par la
gauche sur un chemin stabilisé avec un banc. Traversons le ru de Villefermoy à
son embouchure avec l’ Ancœur. Quittons le balisage pour suivre sur la droite
le ru de Villefermoy, nous entrons dans Saint Ouent en Brie. Longeons un
terrain multi sport, nous débouchons sur la route carrossable des Fontenottes.
Ne pas traverser le ru mais suivre la route pour déboucher rue des Néfliers que
nous prenons à gauche, nous sommes de nouveau sur un balisage. [Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sanctus
Audoenus, Senonensis diocesis en 1255. Saint Oing en Brie en 1394. Saint
Oyn, près de Grantpuis, ou pays de Brie en 1425, Saint Ouin en Brie
en 1689. Le village est mentionné dès le XIIIe siècle.
Il dépendait de l'abbaye de Saint-Denis,
avant d'être une possession de la seigneurie
de Grandpuits au XVIIIe siècle
wikipédia]
. A l’angle nous trouvons un lavoir, nous débouchons rue du Pont
d’ Ancœur que nous prenons à gauche, traversons de nouveau le ru, nous passons
devant l’église [Romane du XIIIè. Plan allongé
formé de deux corps de bâtiments en enfilade : la nef et le chevet
plat. Tour-clocher carrée accolée au sud de la façade occidentale. Façade
percée d'un portail en plein cintre. Auvent en bois au-dessus du portail,
surmonté d'une baie en plein cintre. La façade est flanquée au sud d'une
tour-clocher massive cantonnée de contreforts. Elle est percée dans ses deux
niveaux supérieurs de baies en arc brisé avec abat-sons. La façade est
prolongée au sud d'un petit muret percé d'une porte (peut-être les vestiges
d'une ancienne clôture). La nef est percée de baies en plein cintre séparées
par des contreforts. Le chevet est plat. L'église comprend un
buffet de sacristie du XVIIe siècle ainsi qu'une sculpture monumentale du
Christ en croix du XVIe siècle, tous les deux inscrits au Monuments Historiques
à titre d'objets. https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77428-Saint-Ouen-en-Brie/167661-EgliseSaint-Ouen].
Poursuivons par la D 29 (rue de la Tour) en direction de Lady et Mormant,
passons devant la ferme de la Tour [La ferme doit
son nom à la tour circulaire du 15ème siècle qui se situe dans notre cour ;
c'est le dernier vestige de l'ancienne seigneurie de Saint-Ouen-en-Brie. Elle
est tronquée au sommet. https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/1667064-ferme-de-la-tour-carla-fleury]. Nous
grimpons légèrement et prenons sur la droite la rue de la voie Blanche en
direction du cimetière, après ce dernier, laissons un chemin sur la droite,
longeons un bâtiment, nous retrouvons les champs, de rue nous passons à chemin
plus ou moins carrossable. A la fourche prenons à gauche. Après le champ nous
entrons dans les bois de Bombon. Laissons un chemin sur la gauche formant Té
avec le notre, poursuivons tout droit. Nous arrivons devant un carrefour, avec
une porte sans clôture barrant le chemin, nous prenons à gauche et sommes de
nouveau sur un balisage jaune. Traversons le ru de la Vacherie. Au carrefour,
(espace dégagé permettant la dépose des grumes). Passons une chaîne et prendre
à gauche comme le balisage et au carrefour suivant à droite, après avoir franchi
une chaîne, nous sortons de la foret, retrouvons les champs, nous apercevons
les cheminées de la raffinerie de Grandpuits, puis longeons la ferme du
Feuillet. Notre chemin devient route carrossable (route de Feuillet à Bagneux).
Lorsque la route tourne à l’équerre sur la droite, nous prenons à gauche le
chemin dans les champs (balisage sur la carte). Passons sous une ligne à haute
tension. Au loin nous apercevons à l’angle d’un mur un pavillon carré à toit
triangulaire, c’est le pavillon des communs du château de Bisseaux. Au
carrefour au milieu des champs (on aperçoit le clocher du village de Lady, prenons
à gauche, le chemin dans les champs en direction du bois de Bombon, (dans les
champs aucun poteaux de balisage). Traversons ce dernier. Laissons un chemin
sur la gauche possédant une croix jaune, et débouchons sur la D 29, (route de
Mormant à Vinneuf) que nous prenons à gauche. Après un virage à une
cinquantaine de mètres avant l’orée nous trouvons un chemin fermé par une barre
en fer, prenons ce chemin sur la droite (attention, nous avons l’information
jaune du changement de direction sur un panneau triangulaire, mais le chemin ce
situe à une centaine de mètres plus loin. Le chemin se situe après la borne
D29). Un chemin peu fréquenté et mal entretenu, un peu difficile en son début,
passons une mare. Notre chemin forme angle sur la gauche avec deux chemins
partant à droite, à ce carrefour prenons à gauche (balisage). Nous longeons la
lisière du bois, puis nous sommes dans les champs. Après avoir traversé une
langue de bois, nous laissons un bâtiment à l’abandon. Laissons un chemin sur
la gauche menant au hameau de la Tuilerie composé de quelques maisons que nous
apercevons sur la gauche, poursuivons tout droit. Au carrefour formant Té
suivante, prenons à gauche le chemin balisé revenant sur Saint Ouen, laissons
un chemin sur la droite, de chemin nous passons à bitume, nous sommes rue de la
Voie Blanche et entrons dans Saint Ouen en Brie, prenons à droite la rue Brise
Mur, à la fourche prenons à gauche, longeons le parking, nous débouchons rue de
la mairie que nous prenons à droite. Nous avons quitté le balisage. Prenons sur
la gauche, la rue des Aulnettes pour un aller retour et voir un lavoir.
Reprenons la rue de la Mairie et longeons un corps de bâtiment dont portes et
murs sont couvertes de plaques émaillées publicitaires. Dans un virage nous
avons la cour des Brandines qui ressemble à un square, avec son triangle de
verdure grillagé au milieu de la voie d’accès aux maisons. Poursuivons par la
rue du Monceau. Dans le virage de la route nous prenons le chemin de Bréau sur
la droite. Après avoir traversé une parcelle de bois, coupons un chemin, nous longeons
la lisière du bois et débouchons sur la D 57 que nous prenons à gauche. Traversons
le bois puis l’Ancœur, après le pont nous longeons la haie et trouvons sur la
droite un chemin dans les hautes herbes nous ramenant vers la rivière, (lors de
mon passage le terrain est en travaux), retournez vous ou approchez vous du
pont, remarquer le nombre d’arches pour une si petite rivière… Les anciens
savaient que les petites rivières peuvent devenir grandes… Longeons la berge
par la gauche. Passons un pont fait de poteaux électriques avec une rampe (rue verte). Nous trouvons un balisage vert
partant à droite, laissons le chemin sur la droite balisé en vert, poursuivons
tout droit, laissons un chemin sur la gauche, au carrefour suivant nous
retrouvons le balisage et prenons le chemin de gauche (Rue des Vignes des
Champs, vers le Bréau, La Chapelle Gauthier ). Puis à droite la Rue du Château
d’eau. Au débouché sur la D 408, nous trouvons d’un coté le château d’eau
circulaire moderne de 1952 et de l’autre une drôle de construction en meulière
et en brique ressemblant à un champignon, je n’ai pas trouvé à quoi cela
servait (c’est peut être l’ancien château d’eau.) prenons la rue Grande sur la
gauche, nous arrivons en centre ville, sur le trottoir de droite nous trouvons une ancienne pompe à eau avec
un entourage en brique et une ossature en fer forgé sur le dessus. Au feu
tricolore avec la fontaine nous prenons sur la gauche le boulevard Robert en
direction du château, de la Mairie et du cimetière. Nous retrouvons notre
parking.La raffinerie de Grandpuits
La Sécheresse est déjà la.
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