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Mercredi 28 juillet
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé + Effort Classé 4
23,5 5h05 2h20 4,7 3,2 712 78 HKG échelle de1à5
Dénivelée
positive accumulée: 647.38 m
Dénivelée négative accumulée: 555.15
Altitude maximale: 1286.56 m
Altitude minimale: 930 m
Pourcentage de montée: 6.57 %
Pourcentage de descente: 5.62 %
Ce matin
il fait 11 degrés, pas très chaud. Dans l'après-midi nous devrions avoir 25 ou
26. Cela commence bien, hier je demande à mon hôte si un chemin permettait de
rejoindre la route, situé sur le flanc de la Roche blanche. Il m'assure que
oui. Ce matin je ne le trouve pas, sur la carte il n'y en a pas. J’aurais peut
être du pousser jusqu'au pied de la cascade en traversant la prairie. Je
remonte à travers champ vers la maison abandonnée, trouve le petit chemin en
partie haute conduisant de cette maison à la route.
J’emprunte cette longue
route qui serpente dans la montagne toujours en montant, environs 120m de
dénivelés sur 5 km. Aujourd'hui je ne retourne pas en arrière pour retrouver le
GTJ, le Gr 5 est bien plus proche, et a la place de traverser le Mont Noir par
l'Ouest, je le traverserais par l'Est. Nous resteront en foret. La route est
longue j'ai l'impression d'être perdu au milieu de la foret et du Jura, nous
n'avons aucun point de vu. Je trouve un panneau d'information au chemin de la
cascade. Bief Bridaud 990 m ; bois
des ravières, Pré d'en haut 5,2 km balisage jaune et bleu tout droit (route plus
ou moins bitumée) et VTT marron. Apres
une bonne grimpette sur une route carrossable gravillonnées, nous trouvons un
nouveau panneau d'information les ravières 1040 m. Nous rencontrons le GR5 et
poursuivons en direction des Paquiets le Pré d'haut et Chapelle des Bois a 10 km.
Au lieux-dit Les Serments, 1052m, une grande aire de débardage, Le poteau est désaxé
dans le sous bois. Il n'est pas facile de le comprendre, nous prenons un
sentier à droite le long d'une prairie en direction Des Paquiets, les
Enguenelles. La balise du GR se voit mal, il faut suivre GTJ -VTT. Nous laissons
soit une ancienne ferme, soit une grange, et nous longeons une grande prairie
coupant la foret en deux. Je suppose que c'est la GTJ de l'hiver en skie de
fond et chien de 
traineau. Nous arrivons au Paquiets 1065 m. Le Pré Haut 3,100
km et la Chapelle au bois se trouve à 8 km. Prenons la route sur la gauche, dépassons
une bâtisse devant servir l'hiver. Nous arrivons aux Enguenelles, 1080m nous
avons fait 6,6 km de monté la route fait
fourche laissons l'accès au gîte, sur la droite, poursuivons le bitume sur la
gauche. Nous grimpons un peu moins. Nous arrivons au poteau sous le Pré d'Haut 1230m.
Le Pré d'Haut est a 800m. le vtt part sur la droite vers les combes verte, chez
Valentin et Foncine le Haut. Poursuivons tout droit le bitume, vers le Pré
d’Haut, a l'Officier et Chapelle au Bois
se trouvant à 6,6 km. Laissons l'accès à la maison du Pré d'Haut et poursuivons
par un chemin carrossable toujours en foret. Parfois nous entendons quelques
cloches… Des prairies doivent se trouver derrière un rideau d'arbres. Nous
arrivons sur une aire de stockage de grumes et certainement départ de skie de
fond du Pré d'Haut 1250m passons une barrière poursuivons le GR 5 et le
balisage jaune et bleu vers l'Officier et la Chapelle au bois à 6 km. Je ne
vois pas le point de vue annoncé. Nous arrivons enfin au lieu dit au chalet à l'Officier
1210 m 
poursuivons le GR vers le Tartet à 2,5 km et la Chapelle au Bois par une
belle route carrossable, sur le plateau nous trouvons au milieu de notre chemin
un carrefour avec un beau bouquet d'arbres. Laissons l'accès à la maison de la
Bédugue, poursuivons jusqu'au lieu dit Le Chalotet. Laissons un chemin et nous
commençons a descendre, coupons une route et poursuivons en face par un chemin
forestier. Nous sommes au Grand Tartet 1150 m chemin de la Cernet (route
bitumineuse) la Chapelle au Bois, 3,8 km nous trouvons le balisage jaune et
bleu N°21 poursuivons notre route carrossable. Nous sommes perdu dans la forêt,
heureusement les pancartes et le balisage nous guide. Poursuivons tout droit
vers chemin de la Cernet 1130m route bitumineuse poursuivons vers le 
carrefour
de la Loge 1,3 km, le Landry 2,6 km et
la Chapelle au Bois toujours 3,8 km. La foret s’éclaircit. Nous sommes entre
lisière et prairies. Laissons un premier chemin sur la droite, nous arrivons
à un carrefour sans route avec un poteau
d'information carrefour de la loge 1080 m continuons tout droit par un chemin
herbeux en direction des Landry 1,4 km, la Chapelle au Bois 2,2 km. Laissons un
second chemin sur la gauche. Nous longeons une prairie coupant en deux la
forêt. Je pense que c'est la Trans Jurassienne en skie de fond ou traîneau à
chien. Nous sortons plus ou moins de la foret du moins la forêt est entrecoupé
de champs. A la patte d'oie nous poursuivons à 
gauche par un chemin carrossable.
Nous arrivons aux granges de Beauregard une vaste plaine s'étale devant nous.
La vue est magnifique face à nous la falaise abrupt environ 200 m de haut. Avec
la ferme une maison dont la baie vitrée donne sur la falaise. Au loin le
clocher d'un village. Au Landry nous prenons a gauche, traversons la plaine qui
l'hiver doit se transformer en piste de skie fond. De temps à autre j'aperçois
le clocheton de l'église. Par la route des clarines nous arrivons à la Chapelle
au Bois. Ici le fermier n'aime pas les promeneurs. Des
pancartes interdisent de traverser ses champs. Derrière ses derniers se trouve
un centre de vacances, je suppose qu'il est beaucoup plus simple 
de rejoindre son
appartement en traversant la prairie , sans prendre de précautions, voir même en
y laissant quelques déchets. Avec de fréquent passage l'herbe doit être piétiné,
cassé, les vaches peuvent avoir peur, la
clôture électrique cassée, lorsqu’ elle a été retirer pour passer. Un citadin
voir simplement l'individualisme ne pense pas qu'un champ à un propriétaire,
que l'herbe ne sert pas uniquement à stocker un tout petit peu de carbone ou a
s'allonger pour faire la sieste, c'est de la nourriture pour les vaches, ou sert
après être coupé de nourriture pour les vaches. Les hivers sont longs avec la
neige on laisse les vache à l'étable et on leur donne le foin récolté l'été.
Les granulés ne 
devant servir que de complètement. Quoi que nos anciens, nos très
anciens n'avaient pas de granulés et ils s'en sortaient pas si mal. Aujourd'hui
on a l'impression de redécouvrir que les vaches sont faite pour manger de
l'herbe. Traversons ce Petit bourg par
le chemin des clarines (bitume)[Située entre
le massif du Risoux et la
forêt du Mont Noir, la commune est un point de départ pour les randonnées
pédestres et celles en ski de fond. Elle se nommait Champion en
1632 ; Chapelle-des-Bois depuis 1645.
Une
bataille de la seconde guerre mondiale à la Combe des Cives. Le 30 août 1944 a eu lieu un combat pour la
libération de la France à 3 km à la sortie du village : La Combe
des Cives. Un engagement entre maquisards issus des Maquis de l'Ain et du
Haut-Jura, le camp Roland-Gao, des jeunes essentiellement de la région de Nantua/Oyonnax contre une unité allemande de la 11e panzer division. L'engagement va durer
plusieurs heures et tournera à l'avantage des résistants français. Les pertes
allemandes sont sévères. L'accrochage a lieu sur la route D 46 à proximité
de Chez-Buffard (il reste des traces de balles en
façade de la ferme). La colonne allemande est stoppée nette par des tirs de FM
et de mitrailleuses maquisardes provenant des bois en face à environ
300 m de la route. Les murets de pierres qui séparent les 
champs de
la Combes sont une aide précieuse pour ces Petits enfants de la France pour
avancer à découvert puis se cacher derrière. Une torpille de bazooka atteint un
camion rempli de munition. Certains soldats allemands essaient de fuir en
grimpant dans la forêt derrière eux, la frontière suisse étant à deux pas. Les
douaniers suisses assistaient depuis un belvédère à ce combat. D'autres
accrochages ont lieu simultanément à Bellefontaine et La Combe de Morbier. Ce
sont les derniers. La région se libère début septembre. La résistance se
termine, mais la guerre n'est pas finie. Chaque année, le dernier week-end
d'août a lieu une petite cérémonie au monument de la Chapelle des Bois à la
mémoire de ceux qui sont tombés dans ce combat. Wikipedia ]. A la fourche nous trouvons un poteau
d'information lieu dit Chemin Minon 1094
m. Nous 
prenons à droite et débouchons sur la D 46, passons devant l'église
qui a conservée son cimetière autour d'elle. [L'église Saint-Jean-Baptiste de Chapelle-des-Bois, construite au xviie siècle et agrandie au siècle suivant, et
qui est inscrite à l'inventaire des monuments
historiques depuis 1974. Elle a été
restaurée en 1981. Wikipedia ] Miracle elle est ouverte. Après
l'église nous prenons la rue de gauche (chemin des sources), nous sommes à une altitude de 1084 m et prenons la direction ;
sous la madonne, roche Champion, sous le Risoux, chez miquel, et de la source.
Nous avons retrouvé le GR509, l'EJ, GTJ. La route longe un marais malheureusement à sec, passons devant une
croix rappelant l'emplacement du cimetière des pestiférés 
[le cimetière des pestiférés, L'office de tourisme de la commune a joint à coté de cette
croix un écriteau explicatif: « Le cimetière du village ne
fut établi qu'en 1640. Jusqu'à cette date, les morts de la paroisse étaient enterrés à Chaux-Neuve. À une exception près, les malades morts de
la peste, maladie terrible qui fit des ravages dans la
région notamment pendant la guerre de dix ans (1634-1644). Sans doute 
par souci d'hygiène et pour éviter de répandre
les épidémies, ils étaient
ensevelis près du village au bord du Grand Bief, dans la tourbière. La tourbe devait rapidement recouvrir les corps et
empêcher la dispersion des "miasmes". Du moins les Chapelands du xviie siècle devaient 
le
penser. On remarquera quand même que l'eau de cette tourbière, croyait-on,
alimentait les voisins Fonciniers… qui durent subir
la contamination. La croix qui marque l'emplacement de ce cimetière fut,
jusqu'à la Révolution, le terme
d'une procession qui partait de
l'église chaque 16 aout. Arrivés sur place, les fidèles y chantaient le
"Libera me" et l'on se dispersait après la prière de l'Absoute récitée par le prêtre desservant. »
Wikipedia ]. Nous remontons
le cours du ruisseau à sec. Je ne verrais pas la source tarie en cette fin
juillet. Nous arrivons à l'intersection ou le GR 5 quittait le GTJ. Bas Risoux 1100 m, Bellefontaine ce trouve à
9 km. Nous sommes également sur des balisages jaune et bleu. Une affichette nous annonce que depuis 2022 pour
préserver notre sécurité le GTJ a été modifié . Il monte maintenant 
sur cette
falaise vers la roche Champion . Cela ne me dit rien de monter la haut et puis
le GR 5, il ne passe pas par ma ville étape. Je regarde la carte sans
l'étudier, je bougonne. Combien de kilomètres en plus et les dénivelés, et puis
je loupe les lacs. On passe bien sur à la croix de la Roche Champion avec un
point de vue, aux bornes frontalières mais cela fait du chemin en plus, c'est
bien plus facile de passer par le bas. Surtout qu'il on laissé un chemin
balisé, alors pourquoi la sécurité serait moindre pour les ceux empruntant le
jaune et bleu. La raison n'est pas la sécurité. Et puis demain j'ai trente bornes et mille
mètres de dénivelés faut que je me préserve. En bon français bougon je ne 
suis
pas l'itinéraire prescrit, parce que… simplement on me conseille de prendre
l'autre. Je me trouve toute les raisons possibles pour ne pas suivre les
recommandations. Je poursuis la route par le balisage jaune et bleu. Aux
maisons du lieu dit La Madonne, nous prenons à droite un sentier passant au
pied de la vierge et se Poursuivant au pied de la falaise, en direction de Sous
le Risoux, des lacs et sur les lacs, c'est un chemin balisé jaune et bleu. Nous
longeons la falaise sur un sentier peu facile très empierré et tournicotant
dans tout les sens, ensuite c'est un beau chemin. Nous sommes dans une forêt de
hêtres. Beaucoup sont marqués. Cela pourrait expliquer la déviation, Plus loin
le chemin a été empierré certainement pour les engins forestiers. Laissons un
chemin en caillouté en épingle à 
cheveux grimper sur la gauche. J'ai pensé que le détournement venait de
l'exploitation, mais non il est durable car les marques blanches et rouges ont
été grattées. J'ai également pensé au détachement de roches, dans ce cas il
n'aurait pas laissé le jaune et bleu au pied de la falaise. Les raisons du détournement sont tout autres peu être
simplement humain pour Marquer l'autorité d'un nouveau chef, d'une nouvelle
équipe, pire de subventions. Après tout c'est peut être pas si mal là haut… Nous
passons au lieu dit Sous le Risoux des lacs 1120 m, nous trouvons quelques
maisons, le balisage jaune et bleu N°24. La caserne des Douanes est à 600 m, sur les lacs à 800 m et
Bellefontaine à 4,8 km. Nous débouchons sur le bitume, (route des marais) que
nous prenons à gauche. Nous apercevons le
lac. Je commence à regarder si je vais pouvoir manger en bordure de l'eau. Cela
ne me semble pas facile entre les 
propriétés et les prairies clôturées, il
reste peu de place pour le touriste. Passons devant chez l'Aimé un gîte inscrit
sur la carte IGN. je me dis qu'il va perdre des
hôtes la GTJ ne passant plus par ici. Nous apercevons le lac entre les
rares maisons, et arrivons au ancien bâtiment de la douane, 1120m, je suis
étonné de retrouver le GR 5 et la Gtj. Je vérifie la carte affichée indiquant
la modification et mon extrait de carte, en effet le GR 5 ne descendait pas en
bordure du lac. Ils ont modifiés tout les GR du secteur
(je m'en rendrais compte le lendemain alors que la carte IGN n'est pas modifiée).
Le gîte ne devrait pas perdre grand monde il doit se trouver à 500m. Sur la
carte je n'ai pas de chemin, le sentier a du être tracé pour l'itinéraire.
Le bitume s'arrête à la douane. Je poursuis maintenant le GR et le balisage
jaune et bleu sur un chemin carrossable que je quitte pour descendre vers les
lacs de Bellefontaine (balisage jaune et bleu) pour manger et faire la sieste,
je trouve enfin de quoi manger en bordure de l'eau… J'y trempe les pieds, de ce
côté il n'y a pas de vrai plage, beaucoup de cailloux, l'eau est marron, je
n'ai pas envie d'aller plus loin. [Les lacs de Bellefontaine et des
Mortes sont deux lacs communicants partagés entre les départements
du Doubs et
du Jura en France.
Celui des Mortes est majoritairement sur la commune de Chapelle-des-Bois (Doubs) et communique avec celui de
Bellefontaine situé sur la commune éponyme (Jura).
L’anticlinal qui s'est formé
entre le bois du Bévet et Chapelle-des-Bois a été entaillé par la combe de
Bellefontaine durant l'ère cénozoïque (tertiaire et quaternaire). Le retrait des
glaciers a laissé de vastes dépôts favorables à l’apparition de plans d'eau. C'est une moraine (amas rocheux) qui, en obstruant la combe, a
permis la formation des deux lacs, une moraine secondaire étant à l'origine de
leur séparation. Les deux lacs sont toutefois communicants. les lacs de
Bellefontaine (12 hectares) et des Mortes (11 hectares) sont peu profonds (6 et
7,5 m), ce qui les place à la limite lac / marais. Ils ont une capacité
respective de 270 000 et 290 000 m3 et leur
bassin versant est de 4,3 km2. Ils sont
alimentés par quatre sources et les eaux de ruissellement.
Le ruisseau des Mortes sort du lac éponyme pour disparaître peu après dans une perte après avoir alimenté une micro centrale électrique installée dans une ancienne ferme. Deux résurgences ont été identifiés : la source de l'Arse à Morez (en 1928) et la Doye Gabet à Morbier qui, en 1980, était devenu le seul exutoire connu.
À la fonte des neiges, Bellefontaine se déverse dans
les Mortes ; c'est l'inverse par temps sec, car l'eau du premier lac est
pompée et sa consommation s'accroît avec la fréquentation touristique. La
station de traitement installée aux Mandillons (Bellefontaine), alimente un
réseau de distribution pour 2 500 abonnés sur 11 communes. Comme partout
dans le Jura, la tourbe a été exploitée, et ce jusqu'en 1945. Wikipedia ]. Il
est de bonne heure et je suis à quatre kilomètres de mon point de chute. Dans
une heure je suis arrivé. Par ici il y a plein de
petits circuits, c'est également plus touristique j'y rencontre un peu plus de
promeneurs. L'eau attire toujours même si l'on ne se baigne pas. J'ai repéré un
itinéraire empruntant le GR 5 et des balisages locaux. Comme j'ai le temps, je
me dis que je pourrais 
créé une petit prom, en réalisant une boucle empruntant le
nouveau tracé, puis le GR 5 (j'ai déjà oublie qu’il passais en bas maintenant),
et en redescendant par un sentier local me permettant de retrouver ma trace.
Cette petite boucle ne figure pas sur ce tracé ). Ce que je ne voulais pas
faire il y a trois heures je le fais maintenant. Je le payerais certainement
double demain qui sera ma plus grosse journée, mais je me sent en forme. Je
regrette rapidement. Le départ le long de la douane est doux mais ensuite c’est
une bande de malade qui a imaginé ce passage. Une côté d'un peu moins de 200 m
à gravir dans les cailloux. Je reprends ma trace en sortant du petit
sentier balisé jaune et bleu, par la belle route carrossable des lacs, longeons
les tourbières, dépassons la maison « sur les lacs » le chemin se
trouve être entre prairies et bois. Dans un virage nous avons une fourche
laissons les deux chemins de gauche, dont l'un se nomme « Sous la Feuillat »
1103m nous y trouvons 
un poteau d'information poursuivons tout droit en
direction des Grands Pins et de Bellefontaine. Laissons le chemin de Sous les Feuillas
et les Bagagniers. Après un virage et quelques maisons, nous débouchons sur la
D 18 route des Fontaines que nous prenons sur la gauche, en direction des Mandrions
et de Bellefontaine se trouvant à 2,7km. Longue route, du moins cela ma paru
long et dangereux, très fréquenté par les touristes en voiture qui sont surpris
de voir un piéton sur LEUR territoire. Ils ne ralentissent pas et ils dévies à
peine. Reste à sauter sur le bas côté herbeux pour se protéger. Pas malin les instigateurs du détournement du GR5, le
bord de route, n'est pas prévu pour le piéton.
sentier en limite de propriété pour rejoindre le chemin menant a Bellefontaine.
Laissons sur la gauche la route du Risoux (poteau d'information les Mandrions )
et dans le virage en épingle à cheveux, nous abandonnons enfin le bitume pour
prendre sur la droite l’ancien virage de la route transformée en parking pour prendre un chemin dans le bois, nous
ramenant vers la colonie. Nous descendons dans une gorge. Arrivé au ruisseau
l'évalude, nous le longeons sur la gauche. Ruisseau a sec en cette fin juillet,
il ne subsiste que quelques poches d'eau croupies dans les fonds les plus
profonds. Nous entrons dans Bellefontaine par le quartier résidentiel construit
de chaque côté du ruisseau. Ils ont gardés une bande écologique arborées autour
du ruisseau. Nous débouchons rue de la chaux Mourant au niveau de la poste. Prenons
à gauche. Nous débouchons sur la D 18 que nous prenons à droite. Fin de ma
journée.
|
Montées |
Distance Km |
Km au total en % |
Vitesse en Km/h |
Temps h:m:s |
|
|
|
Entre 30 et 55% |
0.258 |
1.1 |
1.85 |
0:08:22 |
|
|
Entre 15 et 30% |
0.519 |
2.21 |
2.85 |
0:10:55 |
|
|
Entre 10 et 15% |
0.813 |
3.46 |
4.46 |
0:10:56 |
|
|
Entre 5 et 10% |
2.984 |
12.68 |
3.94 |
0:45:27 |
|
|
Entre 1 et 5% |
5.273 |
22.41 |
4.11 |
1:17:03 |
|
|
Total |
9.848 |
41.85 |
3.87 |
2:32:43 |
|
Terrain plat |
|||||
|
|
Dénivelées de 1 % |
4.037 |
17.16 |
4.33 |
0:55:58 |
|
Descentes |
|||||
|
|
Entre 1 et 5% |
6.529 |
27.75 |
4.84 |
1:21:00 |
|
|
Entre 5 et 10% |
1.869 |
7.94 |
4.43 |
0:25:18 |
|
|
Entre 10 et 15% |
0.956 |
4.06 |
5 |
0:11:28 |
|
|
Entre 15 et 30% |
0.23 |
0.98 |
4.95 |
0:02:47 |
|
|
Entre 30 et 55% |
0.289 |
1.23 |
4.86 |
0:03:34 |
|
|
Total |
9.873 |
41.96 |
4.77 |
2:04:07 |
|
|
Total trace: |
23.53 |
100 % |
4.24 |
5:32:48 |
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