Pour
cette Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans les Villages de Marles en Brie et La Houssaye.
Promenade en boucle. Départ en voiture de Marles en Brie. Pour si rendre rejoindre Fontenay Tresigny par la D 436 ou la N°4 , puis la D 436 direction Marles en Brie, La Houssaye, après le panneau annonçant le village prendre sur la droite la D 143 Marles centre. Nous trouvons un parking autour de de la petite place arborée en forme d'écusson, comportant des aires de jeux.
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Juin 2020
Km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
Nous y trouvons la mairie en extrémité de la place [Maison bourgeoise du XIIXiéme siècle, propriété de M.
Tissier, notaire à Chaumes qui la vendit à la Mairie de Marles en Brie en 1868
pour la somme de 8000 francs en vue de la transformer en maison commune. Des
travaux pour moderniser l’édifice furent entrepris durant de nombreuses
décennies notamment pour loger le directeur d’école et son épouse. A gauche du
bâtiment, se tenaient une écurie et un appentis transformés pour un temps en
local de secours contre l’incendie qui ont disparu pour laisser la place à un
espace de rangement. Sur la droite, à la place d’un ancien hangar, on
construisit en 1874, une salle de classe de garçons qui deviendra en 1972, le
lieu des réunions du Conseil municipal. ans les années 1970, d’importantes transformations eurent lieu.
Les grilles extérieures furent supprimées, le
crépi originel enlevé, laissa
apparaître les pierres et la façade s’orna d’un balcon. L'énorme meulière
trônant dans le jardin qui évoque une sorte de menhir, provient de la forêt de
Fontainebleau, à la demande d’un ancien maire afin d’agrémenter la façade. (Site
de la mairie). Nous sommes dans le val Breon [Le Bréon organise un territoire de la Brie centrale compris
entre celui de la Marsange à l'ouest et de l'Yerres à l'est (en amont de la
confluence avec l'Yvron). Les communes concernées du bassin versant (excepté Chaumes-en-Brie) se sont d'ailleurs
regroupées au sein de la Communauté de
communes du Val Bréon.] Poursuivons
par la D 143 jusqu'à l'espace herbeux clos d’un petit mur et d'une haie, planté
si je me souviens bien de cerisiers. Empruntons l'allée centrale jusqu’à la rue
des quatre vents ou nous trouvons l'église Saint Germain D'Auxerre [L’église de Marles en Brie, sous le vocable de
Saint-Germain- d‘Auxerre, classée Monuments Historiques en 1922, construite sur
des substructions gallo-romaines, est constituée principalement en grès et en
meulière. La majeure partie de l'église est de style roman, à témoin les fortes
proportions du clocher dont la base, semble dater du XIIème siècle. La tour du
beffroi, agrémentée à chacun de ses angles d’une gargouille brisée, supportant
l’élégante flèche de charpente, fut rehaussée plus tardivement d’un étage. Elle
est constituée de deux étages de beffroi aux fenêtres géminées. D'autres
éléments se sont ajoutés quelques siècles plus tard comme la
nef et son
collatéral construits au XVIème siècle. La voûte de la grande nef, beaucoup
plus récente, date du XVIIIème siècle. Pur chef d’œuvre de style gothique du
XIIIème siècle, le chœur présente un retable en bois peint de style baroque où
figurent trois statues polychromes : Saint Germain, en costume d’évêque,
entouré de Sainte Geneviève et Saint Roch. Vingt-sept bancs en
bois, restaurés en 2000, sont inscrits à l’inventaire supplémentaire des
Monuments Historiques en 1977. Deux grilles aux portes surmontées de médaillons
aux images de la Vierge et de Saint Germain fermant le chœur et la chapelle de
la Vierge, constituent un bel ouvrage de ferronnerie du XVIIIème siècle (classé
Monuments Historiques en mars 1955), ainsi qu’une superbe grille de communion
aux emblèmes papales et épiscopales, enrichirent l’autel quelques décennies
plus tard. Dans cette chapelle, on peut
remarquer outre un retable, un bâton de procession à l’image de Saint Roch du
XVIII ème , en bois peint doré (inscrit au Monuments Historiques) et deux
peintures sur bois du XVI ème siècle formant un diptyque, représentant
l’adoration des mages et la présentation de Jésus au temple. Ces deux tableaux
ont été restaurés en 2014.
L'édifice
abrite de nombreuses statues, un Christ en croix, de style gothique, un coffre
en bois du XVIIème siècle utilisé comme autel et sur un mur du collatéral, un
livre de prière, décalogue en pierre sculpté. L’église a fait l’objet d’une restauration partielle en 2000, lors
d’un contrat triennal mais le chœur présentant des fissures par suite
d’écartement des murs a été condamné par mesure de sécurité. https://marlesenbrie.fr/fr/rb/224031/leglise-saint-germain-dauxerre (site de
la Mairie) ] Remontons sur la
gauche la rue des quatre vents et prenons à droite la rue de la Léchelle (D143E) nous sommes sur
un balisage jaune. La rue tourne sur la droite, nous sortons du village et
laissons sur la droite la rue du chemin vert. Nous arrivons devant une fourche,
la route tourne sur la gauche. Prenons à droite le chemin de la Voirie Charlot.
Nous apercevons ce que je crois être le mur du cimetière et le terrain de sport
mais je me trompe ce n'est pas le cimetière mais Le Lavoir [ L’hygiène étant une préoccupation du XIXième siècle, le
projet de bâtir un lavoir à Marles fut lancé dès 1872. C’est
à l’extérieur du village, sur la voirie Charlot qu’est creusée une fosse sur
laquelle on construisit une charpente constituée de 11 poteaux, d’une lisse et
de séchoirs. Cet édifice sommaire jouera son rôle jusqu’en 1897 date à laquelle
un second projet, réfléchi par le maire M. Sablonnière vit le jour. Ce lavoir
composé d’un bâtiment fermé, renforcé par dix contreforts et couvert d’un toit
à bâtière et verrière pouvait accueillir 30 laveuses. À chaque angle du
bâtiment, se tenaient un cabinet d’aisance, une buanderie avec chaudière à
rebord, et une resserre à outils. Deux réservoirs alimentés par un puits
de dix
mètres de profondeur et fonctionnant grâce à l’éolienne fixée sur une structure
métallique et posée sur un petit édicule en pierre, permettaient de mettre en
eau le bassin intérieur, une bonde de vidange assurait l’évacuation des eaux
usées dans le ru de décharge. En 1923, le moulin à vent de l’élévateur fut
remplacé par un moteur. Le lavoir fonctionna jusqu’au début des années 1960,
date à laquelle l’eau courante arrivait dans notre commune. À quelques mètres
de la porte d’entrée, se tenait une mare servant d’abreuvoir aux vaches et aux
chevaux. Elle fut comblée en 1974 par mesure de salubrité. Le lavoir a fait
l’objet de restaurations partielles en 2012, 2013, 2014, grâce à un partenariat
avec l’association des Remparts Ile de France, la Mairie et l’association
locale MARCH. Le lavoir et l’éolienne ont été inscrits aux Monuments
Historiques en 2014. https://marlesenbrie.fr/fr/rb/224070/le-lavoir] poursuivons
dans les champs par le chemin pavé jusqu'à
la petite route bitumée que nous prenons
à gauche. Traversons le ru Bréon [Le ru de Bréon
est un cours d'eau calme, d'une profondeur maximale de quelques décimètres
selon les endroits traversés. Le ru du plateau briard au débit insignifiant
devient à partir de Fontenay-Trésigny un véritable ruisseau à la vallée
fortement individualisée. Son parcours, sinueux, a une orientation générale
allant du nord au sud pour rejoindre l'Yerres. Le ru de Bréon est un des plus
importants affluents de l'Yerres, le quatrième en longueur et en bassin versant
après la Visandre, la Marsange
et l'Yvron. Le ru de Bréon prend sa source sur la commune de Mortcerf,
à l'étang de la ferme de la Malmaison, à une altitude de 123 mètres. Ce
n'est d'abord qu'un fossé (Fossé 01 du Clos Brilland3)
traversant du nord au sud le bois de la Malmaison, dans la forêt de Crécy.
Ce n'est ensuite, à l'instar des rus de la Brie (région plate aux sols
perméables), qu'un cours d'eau intermittent au débit insignifiant. Le ru, qui
prend une orientation sud, sert rapidement de limite communale entre Mortcerf
et Lumigny-Nesles-Ormeaux,
avant de traverser la RD 231 (route de Lagny
à Provins)
et de passer sur le territoire de Crèvecœur-en-Brie). Il va alors servir de
limite avec Lumigny-Nesles-Ormeaux et s'orienter à l'ouest au lieu-dit Le Bois
Brûlé. Le cours se divise ensuite en deux branches en sortie de forêt au
lieu-dit Clos Brilland du fait de la très faible déclivité, l'une allant à
l'ouest en direction de Crèvecœur-en-Brie (où elle rejoint un ru alimentant le
château du village), l'autre au sud (où elle rejoint un ru provenant du
lieu-dit La Bectarderie, puis fait la limite entre Crèvecœur-en-Brie et
Marles-en-Brie). Les deux branches se rejoignent un peu en aval en allant vers
l'ouest, le ru de Bréon entre alors sur le territoire de Marles-en Brie et
reçoit un ru émanant du bois de Lumigny. Le ru de Bréon fait alors sa jonction
avec le ru de Certeau venant du nord, à la limite de la Houssaye-en-Brie. C'est
à ce moment que le cours d'eau devient un véritable ruisseau pérenne. Le ru de
Bréon passe au niveau de la gare de Marles-en Brie où il est en partie
artificialisé en traversant la RD 436 (ancienne route de Meaux
à Melun)
puis la voie ferrée de Paris à Coulommiers,
avant de recevoir le ru de Gorneaux venant du nord. Le cours d'eau, conforté,
sert alors de limite entre Marles-en-Brie et les Chapelles-Bourbon
en passant sous la RN 36
et en effectuant un coude à angle doit vers le sud, puis entre Marles-en-Brie
et Châtres en passant sous la voie ferrée et en bordant à l'est la ZAC du Val Bréon. Le ru de Bréon sert
ensuite de limite entre Châtres
et Fontenay-Trésigny, passe sous la 2 x 2 voies RN 4,
reçoit un ru venant le la ZAC du Val Bréon et effectue un coude à angle droit
vers l'est en entrant sur le
territoire de Fontenay-Trésigny. La déclivité
s'accroît, le fond de vallée se démarque, et des fontaines sourdent ;
l'altitude passe de 105 mètres à 95 mètres au niveau du château du duc d'Épernon
contourné par le ruisseau qui sert alors de douve. Le ru de Bréon borde
l'agglomération de Fontenay-Trésigny au sud-ouest et reçoit le ru de Monnoury
avant d'effectuer un nouveau coude à angle droit vers le sud. Wikipédia] (je ne sais pas si c'est le plus important de l'Yerres,
mais ce n'est qu'un fossé boueux. Ce n'est pas étonnant que l'Yerres est
parfois stagnante l'été. ) Nous arrivons devant une intersection avec un
îlot central en forme de triangle, nous poursuivons le bitume sur la gauche en
direction du village et sommes toujours sur le balisage jaune. Nous longeons le
haras de Beauregard certainement une ancienne ferme, longeons ses bâtiments et
le camping des quatre vents. Entrons dans le petit village de Crevecoeur par la
rue de Beauregard. Nous connaissons déjà ce village. Quittons le balisage jaune,
traversons la D 143 E1 rue de la Gaillardière, et prenons en face la rue des
hêtres, nous longeons les dernières maisons, coupons la rue de Grosbois, et poursuivons par le chemin face à
nous longeant la lisière du bois. Nous pénétrons dans le bois de l'Epine
en longeant le parcourt de santé. Au carrefour nous quittons le parcours de
santé partant sur la droite et suivons le balisage jaune sur la gauche. (Ma trace ne passais pas par la. Je poursuivais en face. Par
un chemin défoncé par les ornières, j'ai eu la chance de le faire par temps sec.
Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche, c'est la route
de Penthièvre. Cette partie de route n'est plus stabilisé et je comprends vite
pourquoi elle ne mène plus nulle part. Elle est coupée par la ligne SNCF et par
la D 216. J'ai tenté le coup. La voie Sncf est unique, pas beaucoup de trains
et puis derrière la départementale il y a une propriété privée, et l'on ne sait
pas si la
route tournante en fait partie. Le fait qu'elle soit parcellé me
faisait penser qu'elle était publique. Dans la prochaine promenade, je me suis
retrouvé un peu perdu dans cette foret bloqué par la propriété de chasse des
Choquette, je me suis retrouvé dans la propriété la croix Sainte Marthe en
court soit de démolition ou en restauration et la route de Penthièvre est fermé
par des portes. Portes en mauvais états mais fermé. Impossible de vous emmener
dans cette galère et surtout vous faire traverser une voie ferrée, j'ai donc
modifié ma trace.) Le balisage jaune débouche sur la
petite route goudronnée, que nous prenons à droite traversons la ligne SNCF cette
fois en sécurité grasse aux passages protéger par des barrières. Nous sommes communs
avec le GR 1, coupons la D 216 et poursuivons en face dans les champs. Nous
retrouvons la foret de Crécy. Passons ce qui est peut-être le ru du Roulets et
poursuivons derrière le GR 1 et le balisage mauve qui longe ce fossé. Quittons
le GR 1 partant sur la droite et poursuivons tout droit, nous longeons la
parcelle 2, puis la 3. Le chemin longe des mares nauséabondes
étouffées
certainement par la végétation l'eau croupi. A l'intersection parcelle 4
poursuivons en face. Longeons la parcelle 6, puis coupons la N36. Poursuivons
en face par un chemin moins facile encombré de branches venant si l'on n'y
prend garde nous fouetter le visage. Nous sommes sur la route tournante des
arbres en travers nous fait entrer dans la parcelle pour les contourner. Le
chemin fait fourche, nous prenons à gauche comme le balisage. Poursuivons le
balisage jaune jusqu'au Gr 14 parcelle 83 (c'est plus simple) et prenons ce
dernier sur la gauche. Après quelques virages à quatre vingt dix degrés, nous
débouchons sur une petite route goudronnée que nous prenons à droite parcelles
50 et 53. Attentions sur ce large chemin
aux parcelles 53 et 51 ne pas louper la trace situé sur un bel arbre tournant à
quatre vingt dix degrés sur la gauche et entrant dans la parcelle par un
sentier bordé de ronces et d'épineux. Nous sommes toujours sur le GR 14 qui
aurait besoin dans cette section d'un bon entretien. Nous passons une barrière et
arrivons sur une petite route bitumée que nous prenons
à droite balisage jaune.
Dans le deuxième virages à gauche nous quittons la route et poursuivons le GR partant
sur la droite nous sortons de la foret et longeons sa lisière ou de beaux papillons
Paon du jour me précèdent jusqu'à la ferme des Egrefins. [Le Paon-du-jour (Aglais io) est
une espèce de lépidoptères de
la famille des Nymphalidae, de la sous-famille des Nymphalinae et de
la tribu des Nymphalini. Contrairement à bon nombre de lépidoptères, il ne
présente pas de variations géographiques ou saisonnières, d'où une remarquable
stabilité morphologique sur l'ensemble de son aire.
Le Paon-du-jour adulte (imago)
est de taille moyenne (entre 5 et 6 cm d'envergure). Il est aisément
identifiable par ses ocelles (yeux) vifs sur un fond vermeil qui rappellent
ceux des plumes de paon (d'où
son nom vernaculaire). Le revers brun de ses ailes lui permet de se glisser au
sein des feuilles mortes sans qu'il soit visible. Les ocelles sont exposés
rapidement lorsque le papillon est troublé par un prédateur tel qu'un oiseau.
Cette démonstration brutale de l'éclat de ses ailes, accompagnée par
l'effleurement des ailes ouvertes (qui crée un bruit de sifflement), effraie et
repousse l'importun. En effet, certains pensent que les ailes ouvertes
évoquent mimétiquement un
regard de chat, ce qui peut surprendre ou décourager le prédateur, assez
longtemps pour que le Paon-du-jour puisse prendre la fuite. Après
l'accouplement, le Paon-du-jour pond ses œufs par séries, jusqu'à 500 à la fois
amassés au revers des feuilles de la plante nourricière (majoritairement
des Orties dioïques).
Les œufs sont de couleur pâle, allant du jaune au vert. L'œuf présente huit
fines arêtes longitudinales et libère la chenille au bout de deux à trois
semaines d'incubation. Le Paon-du-jour est bivoltin, univoltin ou
trivoltin. En majorité leur période de vol s'étale de juin à août. Puis il peut
entrer en diapause, selon le
temps, entre la fin octobre et le printemps. Ces dates sont totalement
tributaires des conditions atmosphériques. Aglais io a la
particularité d'hiverner à l'état adulte. Cette période terminée, il vole dès
février/mars dans les zones où le climat lui permet 2 ou 3 générations (hormis
en montagne où il n'en a qu'une). Suivra, dans ces zones, une première
génération printanière, laquelle en donnera une seconde, à la fois estivale et
hivernante, observable d'août à mai. Le Paon-du-jour est
répandu et commun dans l'essentiel de l'Europe, du sud du 64° parallèle jusqu'à
la moitié nord de la péninsule Ibérique, de 0 à
2 500 m d'altitude. Plus précisément, il est présent en Europe
occidentale de l'Écosse jusqu'au
nord de l'Espagne et
du Portugal,
en Europe de l’Est, du centre de la Finlande jusqu'à
la Turquie d'Europe et
au nord de la Grèce
et
dans les îles méditerranéennes (généralement au-dessus de 400 m). Le
Paon-du-jour Aglais io pratique des
migrations locales les années chaudes. Les mentions aux nord de l'Écosse
semblent être liées à des migrations. Le Paon-du-jour a été signalé une seule
fois dans le nord-ouest de l'Afrique, à Alger en
1961. Il a donc une tendance dispersive habituelle à l'intérieur de son aire de
répartition et se transforme certaines années en migrateur, ce qui le place
dans les migrateurs occasionnels. Il est présent dans tous les départements de
France métropolitaine. Mais il devient rare dans beaucoup de secteurs (pour
exemple, en 2008, trouvé dans 46 mailles sur 90 du département de la Charente.
Le Paon-du-jour apprécie les parties découvertes ensoleillées des bois, berges
boisées, prairies humides, jachères, terrains vagues, vallons abrités
buissonneux, jusqu'à 2 500 m d'altitude. Les adultes hivernent
dans des lieux sombres et frais, tels que des arbres creux, des végétations
denses, tas de bûches, crevasses de rochers, grottes,
granges, greniers. Extraie Wikipedia. Je pensais que ce
papillon étais en voie de disparition, mais il n'est pas protégé en France]
Nous arrivons à la ferme équestres
d'Egrefin [Extraie en Vieux Français. Cette seigneurie existoit, sous le même nom, dès la
fin du XIIIe siècle, comme il se doit par Gilles d'Esgrefins, dont la tombe est
conservée dans l'Eglise. Il y a assez d'apparence que cette église fut bâtie
sur son fond ; que ce fut pour cela qu'il insinua de la dédier sous le titre de
St Gilles son patron, et l'on y aura joint St Loup, suivant l'usage commun. Le
roi Jean étoit dans le château de ce lieu, le 24 janvier 1550 ; son ordonnance
sur les monnaies est datée du chastel d'Aigre-Sainte. Le Château de
Becoiseau,
où les rois retiroient alors, n'en étoit qu'à une lieue ; mais c'étoit dans le
diocèse de Meaux. Le fief d'Esgrefins produisoit deux liv. de rente à la
sainte-chapelle de Vicennes, peut-être par donation que quelque seigneur aura
faite au chapitre du Vivier, qui lui étoit réunie. Le seigneurie de Combreux
près Tournan, relevoit de celle d'Egresfins. https://newikis.com/fr/Neufmoutiers-en-Brie] Devenue un haras la ferme fortifiée entourée de douves l'une
des tours d'angles a été abattu pour donner un champ de vision et du soleil dans
la pièce principale. Nous contournons le haras et prenons la
route bitumée d'accès a l'ancien fief, Quelques centaines de mètres plus loin
aux premières maisons des ‘’trois maisons'' nous quittons le GR et prenons le
premier chemin sur la gauche. Nous longeons les prairies du haras, passons le
ru de la Marsange [affluent de l'Yerres en rive droite, un
sous-affluent de la Seine. Elle porte le nom de ru de la Bonde de sa source à Villeneuve-le-Comte avant de
prendre le nom de ruisseau de la
Marsange puis Marsange 30,4 km de longueur. La Marsange est un cours d'eau calme, d'une
profondeur maximale de quelques décimètres selon les endroits traversés. La
rivière, évoluant entièrement sur le perméable plateau briard, possède un débit
globalement faible jusque la confluence avec l'Yerres. Ses affluents sont
partagés entre des rus pérennes et des rus intermittents. La Marsange se trouve
sur une zone très infiltrante, contribuant à limiter son débit. La Marsange
prend sa source sur la commune de Coutevroult, au hameau de la Roche en bordure de la forêt de Crécy, à une
altitude de 132 mètres. Ce n'est au départ qu'un fossé qui entre
rapidement sur le territoire de La Celle-sur-Morin. Le
fossé devient le ru de la Bonde, cours d'eau intermittent au débit insignifiant
à l'instar des rus de la Brie. Le ru prend une direction sud et entre sur le
territoire de Villeneuve-le-Comte. Il reçoit alors de petits affluents et
devient pérenne après avoir croisé la RD 231 en lisière de forêt à proximité du
village. Le ru de la Bonde devient ensuite le ruisseau de la Marsange, qui
traverse la forêt de Crécy du nord au sud. Le ruisseau entre sur le territoire
de Neufmoutiers-en-Brie et effectue un coude marqué vers l'ouest en sortant de
la forêt de Crécy. La Marsange croise la RD 96, entre dans le bois de l'Échelle
puis sur le territoire de Favières. Le ruisseau croise la LGV Interconnexion Est et entre dans le bois de Mandegris. La Marsange reçoit
alors le ru de la Hotte venu du nord. Le ru de la Hotte, grossi du ru du Grand
Étang (appelé ru de la Folie en amont), est le principal affluent de la
Marsange avec une importance presque équivalente. La Marsange devient un large
ruisseau allant au sud et passant à Favières. Le ruisseau creuse une petite
vallée, effectue un bref coude vers l'ouest et rejoint Tournan-en-Brie. La
Marsange devient une petite rivière en passant à travers la ville. Elle passe
ensuite sous la voie ferrée de la ligne de Coulommiers puis la voie rapide de la RN 4. Au hameau de Combreux, la Marsange passe à travers un étang
puis entre sur le territoire de Presles-en-Brie en bordant brièvement Gretz-Armainvilliers, dans un secteur très infiltrant avec une présence de
gouffres. La Marsange redevient un ruisseau avec un débit réduit, recevant le
ru de la Queue Mahot en rive droite et le ruisseau des Monbarres en rive
droite. La Marsange passe à Presles-en-Brie et croise la RD 32, la LGV
Interconnexion Est, la RD 10 et la RD 96. La Marsange reçoit le ru de
Berthélerie en rive gauche et entre sur le territoire de Liverdy-en-Brie. La vallée est alors marquée, partagée entre cultures et
forêts. Le ruisseau garde un débit réduit du fait de l'infiltration, permettant
la présence de plusieurs gués. La Marsange reçoit en rive gauche le ru de
Feneuse, entre sur le territoire d'Ozouer-le-Voulgis et reçoit à nouveau en rive gauche
le ru de Chevry. Le ruisseau passe enfin sous la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville et la RD 48 pour rejoindre l'Yerres à une altitude de
69 mètres. Wikipédia] Nous longeons son fossé, dans le bois, puis longeons la lisière nous retrouvons
les champs. Apres avoir traversé un ru, nous débouchons sur une route que nous
prenons à droite. Nous entrons dans Neufmoutiers que nous traversons par la rue
de l'obélisque [
Moutier vient du mot
latin monasterium, et peu de gens ignorent que ce mot monasterium n'a pas
toujours signifié un couvent de moines, mais que, sous d'autres significations
que l'on a données, on désignoit aussi par là une église paroissiale. Il y en a
trop d'exemples pour pouvoir en douter. Ainsi, Neufmoutier est comme diroit
Neuve-Eglise. De même donc qu'il y a des villages en France, qui sont appelés
Neuve-Eglise, Neuve-Chapelle ; de même manière, il y en a qui sont dits
Neufmoutier ; la nouveauté de l'église du lieu a donné le nom. Neufmoutiers ("Novum Monasterium")
fut peut-être occupé un temps, au Moyen Âge, par des moines, qui se chargeaient
de la déforestation et de l'assèchement des marais, pour une mise en culture
des terres. Une grande partie de ce qui est aujourd'hui la Seine-et-Marne fut
rendue fertile par ces moines itinérants...
Mais le village fut occupé par l'homme bien avant cela :
une hache en pierre taillée fut trouvée au lieu-dit "Le Bois Breton";
un menhir se dressait encore au début du xxe siècle au
lieu-dit "Les Masselins"; les traces d'un oppidum gaulois (un fort militaire) furent repérées par avion
entre Neufmoutiers et la commune de La Houssaye-en-Brie sur une zone autrefois marécageuse, surveillant la
frontière entre le territoire des meldes et celui des Parisii. Les seigneurs de Neufmoutiers vécurent d'abord au château de
Bellevue (qui devint une ferme en 1751).On Le
village est demeuré historiquement de taille réduite, se limitant au xixe siècle à l'église et une quinzaine d'habitations établies le
long de la rue de l'Obélisque. La commune comptait plusieurs hameaux peu
importants : la Bourbelle, les Trois Maisons, la Petite Fortelle, les
Boutilliers, le Bois Breton. Les grandes fermes maillaient le territoire :
les Égrefins (fortifiée, pigeonnier), les Grandes Pigeonnières, la Borne
Blanche (fortifiée, disparue). La construction du nouveau sanatorium-lycée des
Lycéens par l'architecte Louis
Sainsaulieu en 1955 à côté du château du
Chemin (qui avait été transformé en sanatorium par une association d'anciens
combattants) fut une étape importante dans la vie de la commune. Le
développement du village fut lent : au début de l'actuelle rue du
Général-de-Gaulle avant 1950 et le long de la rue de l'Église vers 1960. L'évolution se ralentit ensuite dans les
années 1970, avec l'installation de quelques pavillons dans la rue du
Général-de-Gaulle. L'urbanisation du village eu lieu au début des années 1990,
dans un contexte de d'accroissement démographique en partie lié au
développement du Val d'Europe et à l'installation de Disneyland Paris.] Puis passons
devant l'église [La construction de l'église est
incertaine : aux alentours de 1700 ? Mais elle remplaça un plus
ancien bâtiment, construit aux alentours de 1300, selon la plus ancienne
présence connue d'un curé dans le village, dont la tombe est visible en ce
lieu, ainsi que celle d'un noble de la même époque, nommé Gilles d'Esgrefins,
dont la relation avec l'actuelle ferme des Égrefins, ancien relais de diligence,
nous est inconnue. La construction de l'église est incertaine :
aux alentours de 1700 ? Mais elle remplaça un plus ancien bâtiment,
construit aux alentours de 1300, selon la plus ancienne présence connue d'un
curé dans le village, dont la tombe est visible en ce lieu, ainsi que celle
d'un noble de la même époque, nommé Gilles d'Esgrefins, dont la relation avec
l'actuelle ferme des Égrefins, ancien relais de diligence, nous est inconnue. Sur la droite du chœur de l'église se
trouve dans le mur une niche qui protège le cœur d'une noble Dame. Le 15.10.1729 y mourut (propriétaire des lieux) Jules de Gravel, Marquis de
Marly __ambassadeur extraordinaire en Suisse en 1684, en Allemagne de 1687 à 1689, en Pologne de 1689 à 1691, et dont la tombe se trouve aussi dans l'église . En
1736 sont érigés dans le village deux piloris de justice, détruits en 1790.
L'église placée sous le vocable de Saint-Leu-et-Saint-Gilles, xiiie siècle,
reconstruite en 1749 et restaurée en 1879.
Dans l'église de ce lieu, le choeur et les deux chapelles collatérales voûtées
ne paroissent avoir guère que trois cents ans. La nef est fort vaste, mais
extrêmement nue. On a fait servir de table d'autel la tombe d'un curé du lieu,
peut-être le premier qui y fut établi. Il est représenté revêtu d'une chasuble,
et l'on peut lire autour : Ici gît... jadis curé de Neufmoutier, qui trépassa
l'an M.CCC. le Dimanche...
Une autre tombe, qui sert de marche-pied de l'autel à la chapelle méridionale,
contient en lettres pareilles, l'inscription : Hie jacet Gilo d'Esgrefin quem
lapis hie tumulus... (Le reste est sous l'autel). On pense que ce fut ce
seigneur qui fit choisir Saint-Gilles pour patron. Dans le choeur se lit sur
une tombe : Icy gist... Etiennette de Paillard, dame de Neufmoutier,
Aigresfins, les Trois-Maisons, la Vieille-Chapelle, Chapelle le Hoy, femme de
Clarembauld le Picard Seigneur d'Attilly en Brie, laquelle trépassa en1552.
Vous trouverez d'autres détails en vieux
Français dans le second site m’ayant
servi à écrire ses lignes d'un village que
l'on traverse sans penser qu'il a autant d’histoire.
https://newikis.com/fr/Neufmoutiers-en-Brie et https://www.neufmoutiers-en-brie.fr/la-commune/historique/] Après l'église poursuivons par la D 96 (rue de l'avenir) nous
sortons du village et prenons sur la gauche la route en direction de
Beaumarchais. Traversons un bois. Bois clôturés, il ne nous reste que le
bitume, nous sommes malgré tout récompensés par le beau château de Beaumarchais [Le
hameau de Beaumarchais se situe à environ 1 km au nord du village des
Chapelles-Bourbon. Signalé comme fief au XVIe siècle, il passe dans de
nombreuses mains sous l’Ancien régime. Une maison seigneuriale, datant
probablement du XVIIe siècle, et une ferme y sont construites.
Au XIXe siècle, Jean-Denis Lanjuinais, célèbre juriste et homme
politique de l’époque, possède le domaine. À son décès en 1827, son gendre, le
baron Auguste de Berthois (1787-1870), officier proche
de Napoléon jusqu’à son abdication, en hérite. À la fin des années 1920, le
célèbre joaillier Louis Boucheron (1874-1959), fils unique de
Frédéric Boucheron (1830-1902), fondateur de la Maison Boucheron en 1858, achète le domaine
pour en faire sa résidence de chasse. En 1927, il fait construire une nouvelle
demeure dans une zone plus boisée, à l’écart de la route, de la ferme et des
anciens fossés en eau. Achevé en octobre 1928, le manoir de Beaumarchais
appartient toujours à des descendants de Louis Boucheron qui proposent,
aujourd’hui, un accueil en chambre d’hôtes. En 1995, les façades et les
toitures du manoir de Beaumarchais sont inscrites à l’inventaire supplémentaire
des Monuments historiques.
LE CHOIX D’UN ARCHITECTE : HENRI JACQUELIN
Architecte d'origine normande, Henri Jacquelin (1872-?) a été désigné pour réaliser ce projet d'architecture. Né à Evreux, celui-ci est remarqué pour ces nombreuses transformations et modernisations de manoirs dans le Calvados ou dans l’Eure : manoir Saint-Hilaire à Louviers, manoir de La Pommeraye, château du Petit-Fontaine à Arromanches. Installé à Paris, Henri Jacquelin achève, en 1927, la reconstruction du château d’Hattonchâtel en Lorraine dans un style, cette fois, « troubadour ».
UN STYLE NÉO-NORMAND
La source d’inspiration du manoir est clairement l’architecture normande notamment celle des manoirs du pays d’Auge des XVe, XVIe et XVIIe siècles. Henri Jacquelin, avec un souci presque archéologique, a rassemblé des éléments parfois disparates de cette architecture, jouant sur les matériaux (pierre, brique, bois), les volumes (variés et complexes) et le décor (appareillage de la pierre, bois sculptés, colonnade). Le Manoir, doté de grandes ouvertures, est orienté est-ouest pour capter au maximum la lumière. La décoration est classique et confortable pour que les clients se sentent vraiment comme des hôtes.
https://www.beaumarchais.eu/64-manoir/177-historique-du-manoir-de-beaumarchais.html] Passons devant les grilles et longeons la propriété par une belle
route bordée de platanes. Quittons le bitume à l'angle de la propriété et
prenons à gauche vers la Grange Gallois. Traversons les deux maisons séparées
par un puits de ce hameau. (Souriez vous êtes peut être filmé.) Nous retrouvons,
un chemin traversant un bois et des champs. A l'entrée du bois de la Mare
Plate, le chemin n'est pas très évident, il ne faut pas entrer dans le bois. Le
chemin le mieux tracé ce perd en zone de chasse. Avant le bois il faut prendre
un chemin très herbeux sur la gauche, longeant la lisière du bois, on retrouve un
chemin bien marqué dans les champs. Longeons les mares de Jouas, puis la
lisière du bois du Robinet. Passons le ru de Cerdon, le chemin fait fourche,
laissons la branche de gauche longeant le bois, prenons la branche de droite se
dirigeant vers un bois. Le chemin débouche à l'orée du bois sur un autre
formant Té que nous prenons à gauche. Chemin qui fut-il y a fort longtemps
recouvert de bitume, puis traversons les champs jusqu'à la rencontre de la
route de Neufmoutiers que nous prenons à droite. Traversons la N 36 et
poursuivons en face la C 7 vers Marles et la Houssay, débouchons sur la D 436
que nous prenons à droite en direction de Marles. J'avais une belle trace me faisant traverser le bois
jusqu'au château de la Houssaye. Sur la
carte c'est possible, sur le terrain cela ne l'est pas. Le bois fait
partie du parc du château et est clôturé
d'un beau mur en meulières surmonté d'un grillage. Nous avons le choix soit :
De prendre la D 216 (route de Coulommiers) disposant d'un trottoir jusqu'à la D 143 E (rue de la Bussière ) ce parcours permet de traverser le cœur du village avec un aperçu sur le château situé derrière l'église. Ou
Poursuivre la D 436 (route de Melun) sans trottoir jusqu'à l'autre
extrémité du parc ou nous prenons sur la
gauche la rue du Vieux Moulin. Longeons de nouveau le parc jusqu'à la D 143 E que
nous prenons à droite. [La Houssaye ; Peu à peu, le village se groupa autour de son
château et prit rapidement l'importance d'un petit bourg. En 1531, son seigneur
Gérard Lecoq obtint la permission d'y établir une foire le 9 mai et une autre
le 3 février, avec un marché tous les vendredis. En 1545, les habitants
obtinrent du roi la permission de se clore de murailles et de fossés. Ces
foritifcations ont complètement disparu. Le village comprenait également quelques
hameaux aujourd'hui disparus : le château de Garlande, la Blanchardière, les
Bossus, Bel Air, le Marchais-Marie, le Parc aux Veaux ainsi que la ferme de la
Basse-Cour qui se tenait dans l'enceinte du château. La Révolution n'engendra
pas de grandes perturbations à La Houssaye-en-Brie. Les domaines seigneuriaux
qui constituaient une grande partie du territoire, ne furent pas touchés. La
famille Gigault de Crisenoy résidait au château en 1793 et augmentait ses biens en 1799. Il n'y a pas trace de vente de biens nationaux à La
Houssaye-en-Brie en dehors des biens de la Fabrique (Nom du conseil
administrant le village avant la mise en place des Conseils Municipaux). Tout
au long du 19ème siècle, les principales préoccupations des différents conseils
furent l'état des chemins pour les communications et le commerce ainsi que le
curage des rus et des fossés pour l'écoulement des eaux. Le chemin de fer
arrive à La Houssaye-en-Brie en 1860 avec l'ouverture de la gare de
Marles-en-Brie, construite sur le territoire de la commune. En 1876, la
compagnie de chemins de fer accepte la création d'une halte à La
Houssaye-en-Brie à condition que la commune et celle de Crèvecoeur-en-Brie
fournissent le terrain et supportent tous les frais. Ouverte en 1879, cette gare fut fermée en 1972. Après de nombreuses réclamations, un bureau de poste est
ouvert à La Houssaye-en-Brie en 1881 avec trois distributions par jour. En 1882, un bureau
télégraphique est installé. Puis en 1897, le conseil vote un emprunt de 1000 francs pour
l'établissement du téléphone. En 1910, on commence à parler de
l'éclairage électrique. En 1926, le conseil adhère au syndicat intercommunal
d'électrification. En 1935, on commence à goudronner les chemins et les rues. En
1953, un projet de distribution d'eau est à l'étude et, en 1987,
le syndicat intercommunal d'adduction d'eau est créé.
En 1964, le conseil adopte le prjet d'assainissement qui comprend un réseau
d'égoûts et une station d'épuration. En 1973, pour suivre l'évolution de la
population, un deuxième puits est foré et mis en service. http://www.lahoussayeenbrie.fr/fr/information/62093/le-village] Si vous êtes passé par le centre-ville [L'Eglise : Réalisée en
plusieurs étapes, il est très difficile de dater sa construction avec
précision. Le choeur vouté date du début du 14ème siècle mais les chapiteaux à
crochets de la colonne à gauche du choeur et les colonnes cylindriques à socle
carré semblent dater de la seconde moitié du 12ème siècle. Elle fut agrandie
fin du 15ème siècle par Nicolas Lecoq et consacrée le 9 mai 1536. Le clocher
carré date du 16ème siècle et s'élève à 24 mètres. Le coq qui le domine a été mis en place en 1990. L'ancienne cloche fût installée en 1649. Refondue en 1859,
elle fût prénommée Antoinette. L'intérieur comprend une nef principale
juxtaposée au choeur et au sanctuaire. Un collatéral est prolongé par la
sacristie. Le choeur se divise en 3 travées et remonte au 13ème ou 14ème
siècle. La petite chapelle (la chapelle seigneuriale) a été ajoutée dans la
seconde moitié du 16ème siècle par Gérard Lecoq, alors seigneur de La Houssaye.
Elle est dédiée à Saint Joseph.
Le choeur est éclairé par un vitrail rond de 70 cm "La Crucifixion" datant de la fin du 13ème siècle. La chaire, composée de 5 panneaux en chêne sculpté ornés de fleurs de lys et mutilés pendant la Révolution, est du 16ème siècle. De nombreux objets ont été classés par les monuments historiques. En 1999, la toiture a été complètement refaite. Puis, entre 2002 et 2005, une restauration complète des façades a été entreprise sous la direction des Bâtiments de France. Elles s'inscrit parfaitement dans le cadre de rénovation et d'embellissement de la place du village. http://www.lahoussayeenbrie.fr/fr/information/62095/l-eglise ] [Le Château
Le château de La Houssaye-en-Brie a très vraissemblablement été construit à la fin de l'époque féodale, vers la fin du 13ème siècle. De cette époque, il ne reste que 2 tours d'angle. Le donjon serait du 15ème siècle.
Décentré à l'angle Sud-Est et entouré par de larges
douves, le château paraît isolé depuis la suppression des dépendances qui
l'entouraient. Sa façade arrière est de l'époque renaissance alors que la
façade principale ouvrant sur la cour d'honneur se rattache davantage à
l'époque Henri IV ou Louis XIII. Un parc d'environ 60 hectares entoure le
château. C'est dans ce parc que repose Gabriel Irach, la première femme du
Maréchal Augereau. Entre 1522 et 1988, soit environ 470 ans, le château aura
connu pas moins de 23 propriétaires, dont seulement 10 par succession. Délaissé
par ses propriétaires successifs, ce n'est qu'à partir de 1781, avec le Baron
Gigault de Crisenoy, qu'il prit réellement vie. Il resta dans la famille
jusqu'en 1801, date à laquelle le Maréchal Augereau, Duc de Castiglione, en fit
l'acquisition. L'Empereur Napoléon y passa plusieurs nuits. En 1817, à la mort
du Maréchal Augereau, sa femme Adelaïde de Chavange vend le château à M.
Becker, agent du Roi du Danemark, qui le vend à son tour à son gendre Félix de
Mimont. Le château reste dans la famille jusqu'en 1920. A cette date, il est
acheté par une société forestière et reste à l'abandon. Revendu en 1926 à M.
Kirsch Catani pour en faire un immense lotissement, le projet ne peut aboutir
et le château continue à se délabrer. Il est racheté en 1939 par M. Bellanger
qui passe 30 ans à le restaurer de ses mains avec l'aide de sa femme. Monsieur
BAUDOIN en fait l'acquisition en 1988. Avec le Conseil Municipal de l'époque,
il prend le parti de le sortir de son isolement. Après plusieurs transactions,
les murs séparant la place du village du parc du château, sont abattus. La
place est agrandie, l'église et le château mis en valeur. Ce dernier est classé
par les Monuments Historiques en 2000. http://www.lahoussayeenbrie.fr/fr/information/62094/le-chateau] Nous sommes dans le val Briard [Créée par un arrêté
préfectoral du 23 décembre 2016 au 1er janvier
2017, qui fusionne les anciennes communauté de
communes de « Brie
Boisée » (5 communes),« Val
Bréon » (10 communes), « Sources de l’Yerres » (9 communes) et de la commune de Courtomer (ex CC de l'Yerres à l'Ancœur). Wikipedia ]. Laissons
sur la gauche la rue du sentier de la butte verte. Nous arrivons a une fourche
poursuivons a gauche. (Si vous prenez à droite par le sentier de basse Houssiette
vous retrouverez a l'autre extrémité la D 143 E (route de Marles) coupons la
ligne SNCF et poursuivons la route jusqu’à Marles. Nous retrouvons le GR 1 et
le balisage jaune, sortant d'un champ. Coupons le ru de Certeau et nous
arrivons au cimetière. Poursuivons le GR en contournant le cimetière. De bitume
nous passons à chemin du moulin. Il fait fourche nous prenons à gauche,
entamons un large virage et débouchons sur la D 143 (rue Caron) que nous
prenons à gauche, puis a gauche la rue Olivier ou nous retrouvons notre
parking.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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