Poursuite de mes promenades autour de la France Aujourd’hui nous parcourrons le Cotentin entre Cherbourg et La Croix de Tourp
Cette année comme l’année dernière le Corona virus est venu
perturber mes projets de randonnées autour de la France. Nous avons encore été
‘’Privé de Sortie’’ durant deux mois. Les restaurants n’ont put ouvrir que
début juin. Une vaccination est en cours, mais les priorités de nos énarques
nous passent un peu au dessus de la tête. Il a fallut attendre milieu juin,
pour que ma tranche d’âge puisse obtenir l’autorisation de recevoir se produit
si décrié aujourd’hui par manque de recule. Vaccin qui n’évite pas d’être
malade, mais simplement une forme grave de la maladie et la réanimation. Mai et
juin pas de balades autour de la France. Aout pas de balade, trop occupé par
mes petits enfants. Je partirais peut être en septembre. Si l’on ne nous a pas
refermé les portes de la liberté. Même si les restrictions au niveau du
sport individuel n’étaient pas aussi rigoureuses que l’année dernière. J’ai
considéré que la montagne ne devait pas être au programme, et puis septembre,
c’est déjà un peu tard, pour le Jura et les Pyrénées. Je me suis dit, qu’il
valait mieux poursuivre en Normandie.
Lorsque les parisiens passent leur week-end à
Deauville, ils ne pensent certainement pas que c’est aussi
vallonné. Ça c’est
ce que j’ai découvert, l’année dernière. Cette année j’ai prévu la pointe du
Cotentin. Moi je l’appelle le doigt de la France, ou le pouce ''gauche'' de la
France. Je poursuis donc mon itinéraire par le chemin des Douaniers, c’est la
côte, c’est donc relativement plat. Ceux qui connaissent commence peut être à
comprendre. Il est prévu un parcours de Carentan, jusqu’à Granville. Je
m’aperçois rapidement que les transports collectifs sont rares dans ce coin,
une seule ligne de train coté nord du département, et une ou deux lignes de bus
rejoignant deux gares. Un effort est fait en été. Je laisse de coté, le trajet
Carentan-Cherbourg desservi par le train. Cela tombe bien c’est un itinéraire
de la semaine, je me ocalise sur l’itinéraire Cherbourg-Granville, avec comme
première étape Cherbourg-Carteret. J’ai eu du mal à trouver des hôtels ou des
chambres d’hôtes sur ce secteur. Beaucoup de gîtes, mais peut de chambres d’hôtes.
On prétexte le travail supplémentaire pour désinfecter la chambre et l’on ne
fait plus de nuitée. Attention vous ne trouverez pas de commerces sur ce
parcours. Je prépare mes itinéraires sans passion durant la période de
confinement. Mon arrière pensé c’est que l’on sera de nouveau confiné et que je
ne partirais pas du tout, cette année. Je trace ma route, fait surtout
attention aux kilomètres et cherche désespérément des hébergements, et ne regarde
pas l’altimétrie. Je modifie mon tracé final pour me rendre à mes hébergements
sans vérifier le calcul des dénivelés. Mes lectures ne me parle que des sables
et des dunes des sites naturelles classés, situées sur la côte sud. Je choisi
donc des chaussures basses, pour être le moins ridicule possible sur les
plages. Lorsque le GR longe un cordon de dune, il est pénible de marcher dans
le sable mou, je le quitte dès que possible pour marcher à marée basse sur le
sable mouillé et dure de la plage. Je me sens ridicule avec mes gros souliers,
mon sac à dos et mes bâtons au milieu des baigneurs. Je vous rassure même avec
de petites chaussures je me suis senti ridicule.
Je ne pensais pas que mes chaussures rétréciraient à ce point… Je suis partie avec une demi pointure en plus, en cour de route, j’ai perdu une pointure. Mes chaussures ne montant pas aux chevilles, les guêtres ne tenaient pas. Le sable à pénétré dans la chaussure et est venu se mettre dans le bout du pied comme je n’ai pas déchaussé régulièrement, je me suis retrouvé avec une teinture bleuâtre du plus belle effet pour certainement une période de six mois sous deux ongles de pied.
Je ne pensais pas partir à la montagne. J’aurais du
m’intéressé à l’altimétrie cela fait deux ans que je me fais avoir, à considéré
la Normandie plate. Je me serais intéressé à cette dernière, je me serais
aperçu que les relevés sur la carte approchaient les deux milles mètres de
dénivelés positifs. Que les relevés du GPS indiquera ; Deux milles six
cent dix neuf mètres de positif et mon téléphone mille huit cent seize positif.
Le téléphone doit être pessimiste. En discutant avec une hôtesse et lui indiquant
le dénivelé de la journée, elle me dit que ce n’était pas possible ma mesure
est trop basse puisque j’avais déjà plus de cent mètres de dénivelés positifs
pour monter cher eux.
Lundi 19 juillet 2021 Etape 2030
Cherbourg - la Croix de Tourp
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
Cherbourg 12h15. Je suis surpris par mon arrivé en train, la ville semble être
coincée entre deux falaises. La Vallée de Quincampoix. [Site
naturel de la Manche. Elle se
forme à hauteur de Martinvast, dont elle constitue la limite nord-ouest, puis s'étend
entre La Glacerie et Cherbourg-Octeville,
qui forment ses deux versants, pour aboutir à Cherbourg, au pied de La Roche qui pend.
C'est l'une des grandes voies d'accès sud de Cherbourg. Elle assure le passage
de la route de Martinvast et de la ligne ferroviaire
Paris-Cherbourg. Ce fut longtemps un
lieu de promenade apprécié des habitants de Cherbourg : « Quincampoix
est un de ces lieux où l'on va errer quand on a le cœur jeune et l'imagination
rêveuse… On compte jusqu'à sept moulins entre Cherbourg et Martinvast. Vers 1920, il n'en reste qu'un seul, le moulin Lucas, qui a
absorbé tous les autres. Il devient moulin Le Thullier en 1922. Il cesse son activité vers 1973. Au début du XXe siècle, le nombre
d'habitants augmente et on équipe la vallée de l'eau potable, puis de
l'éclairage électrique. En 1922,
la construction du dépôt de locomotives vient quelque peu saccager le paysage,
« provoquant l'indignation des habitués ». Ce hangar, abandonné par
la SNCF, est occupé de 1988
à 1990 par un espace
de loisirs et d'animation nommé Cherbourg-Land.
Une fête annuelle est créée en août 1930, et réunit les riverains jusque dans les années 50. En
avril 1964, le conseil
municipal de La Glacerie donne le nom du poète Louis Lansonneur à
une partie
de la voie qui dessert la vallée. En 2006,
plusieurs pillages par les Vikings au IXe siècle, Cherbourg est rattachée au Duché de Normandie
avec le Cotentin, en 933, par Guillaume
Longue-Épée. Le roi danois Harald s'y installe en 946. Après le
conflit entre son père et Knut d'Angleterre, Richard
III de Normandie renforce les
fortifications du château en même temps que celles des autres grandes places
fortes du Cotentin. En 1053, Cherbourg est l'une des quatre principales cités
du duché à recevoir de Guillaume le Conquérant une rente à perpétuité. (lire la suite dans wikipédia.) Pour compléter les deux ports d’envergure que sont Brest sur l’Atlantique et
Toulon sur la Méditerranée, Louis XIV désire édifier un nouveau port sur les côtes de la Manche, face à l’Angleterre, afin d’héberger les navires
de passage. Vauban propose en 1686 de renforcer la fortification de Cherbourg et
fermer la rade de Cherbourg
par deux digues, mais privilégie la Hougue pour l'établissement d'un port
militaire d'envergure. Jusque là, la ville disposait de deux ports, un en eau
profonde, le Gallé, situé au niveau de l'avant-port militaire actuel, mal
abrité des vents et tempêtes, mais permettant l'amarrage des navires de fort
tonnage, et un port d'échouage, le Hable, qui occupe l'estuaire de la Divette,
à l'ouest des Mielles de Tourlaville, mieux protégé, mais moins utilisé à cause
de son manque de fond. Les travaux de fortifications et d’aménagement du château
débutent l’année suivante mais sont arrêtés par le Roi en décembre 1688,
influencé par Louvois et par crainte des attaques anglaises. En l'absence de ces
fortifications, la population cherbourgeoise assiste impuissante à la
destruction des trois navires de l’amiral de
Tourville au terme de la bataille de la
Hougue. Le port de commerce, au niveau actuel de la place
Divette, est creusé entre 1739 et 1742. Les premiers aménagements du port
datent de 1737 et sont l’œuvre de Louis-Rolland Hüe de Caligny.
Le 7 août 1758, les Anglais, sous les ordres du général Bligh et l’amiral Howe, débarquent près de
Cherbourg qu'ils occuperont et dévasteront pendant plus d'une semaine. Avec
l'aménagement d'un nouveau bassin du commerce en 1769, Cherbourg — depuis
longtemps port commercial de faible importance, ville sans université ni
activité culturelle, régulièrement pillée, aux faibles relations avec
Paris — acquiert un poids essentiel dans le Cotentin qui se traduit, à la
veille de la Révolution française, par la création de réseaux de sociabilités
par les bourgeois réunis en associations — comme la Société royale
académique de Cherbourg en 1755 et la loge « la Fidèle
maçonne ». La population passe de 800 feux
(4 000 habitants) à Cherbourg et 95 à Octeville, vers 1715, à
7 300 cherbourgeois en 1778. Louis XVI décide de relancer le projet d'un
port sur la Manche. Après plusieurs hésitations, il est décidé en 1779
de construire une digue de 4 kilomètres de long entre l’île
Pelée et la pointe de Querqueville, selon une méthode mise au point par Louis-Alexandre de
Cessart, d'un môle de 90 cônes de bois de
20 × 20 mètres, remplis de pierres liées au mortier, reliés par
des chaînes de fer. Le premier cône est immergé le 6 juin 1784. Mais la technique
ne résiste pas aux tempêtes, et elle est abandonnée en 1788 au profit du
sabordage de vieux navires de guerre et un enrochement à pierres perdues
qu'avait vanté La Bretonnière. Mais la réduction des subsides et les événements
révolutionnaires ralentissent les travaux, jusqu'à leur suspension en 1792. Le
premier Consul Bonaparte veut faire de
Cherbourg un des ports militaires principaux, visant l’invasion du Royaume-Uni. Il charge Joseph Cachin de la reprise des travaux de la digue, du creusement de l’avant-port militaire, et de la construction du nouvel arsenal. Après une visite en
1811, Napoléon fait de Cherbourg une préfecture maritime, un chef-lieu d’arrondissement de la
Manche et le siège d’un tribunal de première
instance. Les travaux de la digue centrale, interrompus à
nouveau entre 1813 et 1832, s'achèvent en 1853, ceux des digues de l’Ouest et
de l’Est en 1895. Les bassins
Charles X (commencé en 1814 —
290 × 220 × 18 mètres) et Napoléon III (commencé en 1836 —
420 × 200 × 18 mètres) du port militaire sont
respectivement inaugurés le 25 août 1829 en présence du Dauphin, et le 7 août
1858 par le couple impérial. Les travaux de la digue sont conclus par la
construction de la petite rade (digue du Homet, 1899-1914, et digue des
Flamands, 1921-1922). Les travaux du port entraînent une densification et un
étalement de Cherbourg qui se modernise et s'équipe, tandis que les
entrepreneurs, armateurs et commerçants locaux s’enrichissent. Octeville
devient chef-lieu de canton en 1801 (décret du 23 vendémiaire an X) et voit
également sa population s'accroître par l’afflux des ouvriers venus pour
construire le port de Cherbourg et travailler à l’Arsenal. Après la création de
la route des Pieux (actuelles rues Salengro et Carnot), le bourg se constitue
autour d’un village-rue homogénéisé puis s’urbanise au début du XXe siècle. Le territoire cherbourgeois a
été gagné sur la mer. Construite au niveau de la mer, la ville s'est développée
au pied de la montagne du Roule (point culminant de l’ancienne commune) et de
la Fauconnière. Octeville est une ancienne commune rurale, composée de hameaux,
dont le bourg s'est étendu à partir du XIXe siècle
et dont le territoire s'est fortement urbanisé depuis 1950
. Cherbourg-Octeville s’est forgé une longue histoire maritime.
En témoignent sa rade exceptionnelle, ses quatre ports (de pêche, de commerce,
de plaisance et militaire), son ancienne Gare Maritime Transatlantique art déco
qui abrite désormais La Cité de la Mer, tout entière dédiée à l’aventure humaine
dans les profondeurs océaniques. La commune déléguée est une terre d’escale
pour les plus grands paquebots du monde. Bénéficiant de la présence du Gulf
Stream et d’un climat océanique tempéré, la commune déléguée possède une longue
tradition botanique. Elle compte de nombreux parcs et jardins, parmi lesquels
deux sont classés Jardins remarquables. Située à l’extrémité nord du Cotentin, Cherbourg est
protégée par la seconde plus grande rade artificielle au monde après
celle de Ras Laffan (Qatar), dont elle représente le tiers avec une superficie d'environ
1 500 hectares. Entre la Hague et le Val de Saire, la cité de
Cherbourg est ainsi au cours des siècles une place stratégique disputée par les
Anglais aux Français. Citée comme l'une des « clés les plus importantes de
l'État » par Vauban, elle est devenue, à la suite de colossaux travaux
d’aménagement maritime, notamment sous l’impulsion de Napoléon Ier,
un port militaire de premier ordre. Escale des prestigieux paquebots transatlantiques dans la
première moitié du XXe siècle, Cherbourg est l’objectif premier
des troupes américaines lors du débarquement de
Normandie en 1944. Handicapé par son isolement géographique pour être un grand
port marchand, Cherbourg-Octeville est également une ville ouvrière, avec un
site de construction navale important, entourée d'un arrière-pays rural.
[Galeón Andalucía est la réplique d'un galion espagnol du XVIe siècle conçu et construit par Ignacio
Fernández Vial. Il a été parrainé et construit par la Junte
d'Andalousie et la Fondation Nao Victoria avec les objectifs de promouvoir le projet Guadalquivir
Rio de Historia et de rester à côté du pavillon espagnol pendant l'Exposition universelle de 2010 à Shanghai et devenir ambassadeur de la Communauté Autonome d'Andalousie. En
outre, son voyage a servi à signer des accords avec plusieurs universités
andalouses, avec celle de Barcelone et avec celle de Liverpool, pour effectuer diverses études. Il a également reçu le prix Grand
Voilier de la Fédération royale
espagnole de voile. C'est une reproduction
des galions des flottes de la Nouvelle-Espagne, de Tierra Firme et du galion
de Manille, qui depuis les ports espagnols ont commercé au
cours du XVIIe siècle avec divers ports d'Amérique et d'Asie. Le
bateau mesure 51 mètres de longueur hors-tout et 3,40 mètres de tirant
d'eau. Son pont principal porte un beaupré et
trois mâts avec sept voiles. La poupe est décorée d'une représentation
mariale, l'Esperanza de Triana, dont une réplique se trouve également dans le carré des officiers. La
structure est en bois de chêne, d'iroko et de pin avec un revêtement en fibre de verre. Bien qu'il
soit une réplique, il inclut la technologie du 21e siècle,
particulièrement pour garantir la sécurité à bord. il a été aménagé avec des
meubles faits dans Valverde del Camino suivant la documentation
historique du Marquis Juan José Navarro. Wikipédia] au lieu de suivre le Gr 223 faisant le tour par la
Capitainerie, je l’abandonne, pour suivre le boulevard de Napoléon, passe
devant la basilique [La basilique Sainte-Trinité, est l'un des plus anciens monuments de
la ville. Vers 841, l'église de Cherbourg,
fondée vers 435, par le premier évêque de Coutances, saint Éreptiole, est détruite lors des
Vœu » qu'au XVIIe siècle. Avec la construction du port
militaire, ses terrains d'une quarantaine d'hectares qui s'étendaient de la mer
jusqu’à l’actuelle rue Pierre-de-Coubertin, sont annexés en 1778. Sur
l'emplacement ouest du cloître, François-Henri d'Harcourt, duc d'Harcourt et gouverneur de Normandie, fait ériger une caserne
pour loger environ 600 soldats employés aux travaux de la grande rade. À
la Révolution, l'abbaye est placée sous la responsabilité du ministère de la marine
et échappe à la vente comme bien
national. Elle est alors transformée en hôpital de la
Marine. Les blessés sont logés dans la nef, et la salle capitulaire abrite la
pharmacie. Elle conservera cette fonction de 1793 à 1866. En 1839, le logis
abbatial est abattu sur ordre du ministère de la guerre. Sa cheminée
monumentale est déplacée dans la cour de la mairie et le clocher est rasé car
il gêne les tirs de l'arsenal. En 1928, le site est désaffecté et est acquis
par M. Ygouf, notaire cherbourgeois qui y installe une cité ouvrière, la cité
Chantereyne. Le site est occupé par l'armée allemande lors de la Seconde Guerre mondiale. Épargné par les bombardements, il est incendié volontairement par les
Allemands au moment de leur départ. Suite et détails dans https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_Notre-Dame_du_V%C5%93u] Poursuivons
par la longue piste cyclable
bordant l'arsenal. Nous arrivons enfin en bordure
de la baie de Querqueville, ou nous apercevons les digues et les forts
protégeant l'arsenal. Nous passons devant une sculpture moderne, en métal
représentant une feuille ou un poème y est gravé par découpe des lettres dans
la matière. J’ai mal flashé le QR code et je n’ai pas trouvé la raison de cette
représentation. Longeons le quai sur
le parapet, nous trouvons des représentations en pierre émaillées des
magnifiques bateaux transatlantiques de ce début du XXème siècle en partance
pour les Amériques. Le plus connu fut le départ sans retour pour le Titanic. [La gare
transatlantique de Cherbourg ou gare de Cherbourg-Maritime est à
la fois ancien terminal
maritime de passagers et ancienne gare
ferroviaire, en service entre les années 1930 et 1960. Elle
est dès sa création l'une des plus importantes des gares de la Basse-Normandie. La gare transatlantique se trouvait à l'extrémité de la ligne de Mantes-la-Jolie
à
Cherbourg. Dès avant le début du XXe siècle,
la gare
de Cherbourg (1858) accueille des trains internationaux et
des trains de luxe pour que les voyageurs puissent prendre les paquebots de la
compagnie Cunard
Line à destination des États-Unis ou du
Royaume-Uni. En 1858, un appontement est établi sur le quai de l'Ancien-Arsenal; une structure en bois à l'usage de terminal suffit pour accueillir les
voyageurs qui descendent des trains transatlantiques acheminés directement jusqu'au
quai portuaire. Une gare maritime en dur est établie en 1912. Composée d'une
salle de restaurant et d'une salle des pas perdus, elle est située en bordure
de l'avant-port, sur le même quai. Les paquebots mouillent alors leur ancre
dans la rade et des
transbordeurs assurent la navette des passagers et des bagages
entre quai et navire. À ce titre, le port de Cherbourg accueille, le 10 avril
1912, en début de soirée, le Titanic, qui mouille dans la rade. 24 passagers quittent le navire alors
que 274 autres montent à bord grâce aux transbordeurs Nomadic et Traffic. Suite dans wikipédia] Quittons le bord de la route, longeons le
parking, passons le petite pont au dessus d’un ruisseau et poursuivons entre la
mer et la citée pavillonnaire Dixmude, (par mauvais temps ce n’est peut être
pas praticable. Nous contournons la pointe de Querqueville entre le fort et le
centre d’instruction navale, a marée basse les douves du sont vraiment
impressionnantes. Nous poursuivons par l’Anse de Querqueville, puis le nez
Hague. Nous avons
un beau point de vue. [C’est le point de départ du
sentier du Littoral de la Hague s’étend jusqu'à Surtainville ; 80 km de
falaises, de dunes et de plages. C’est le premier belvédère 70m d’altitide, il
embrasse un frond de mer d’environ 28 km de la pointe Jardeheu au Cap Lévi. Son
importance stratégique, lui à valu d’être fortifié au cours de la deuxième
guerre mondiale. Panneau d’information] Poursuivons par un sentier à
flanc de falaise bordé par de hautes fougères aigles. Nous voici sur le chemin
des Douaniers [Les sentiers des douaniers ont été
mis en place en 1791, grâce un droit de libre parcours, la surveillance des
côtes. Les clôtures n’étaient tolérées que sous condition que le préposé des
douanes dispose des clés des barrières. Ce sentier devait permettre de faire échec
à la contrebande, assurer la protection du territoire, signaler les événements
de mer (sauvetage, beateau échoué), s’opposer aux embarquements clandestins.
Ils prirent une importance stratégique lors du blocus continental (1806-1817).
Ils sont tombés en désuétude par la suite, il a
fallut attendre la loi de 1976
pour que l’ensemble du littoral français réintroduise le droit de libre
parcours en bord de mer. Panneau d’information.] Nous passons le castel Vendon,
on change de paysage c'est magnifique les couleurs de l'eau sont bleu, verte,
translucide. Nous trouvons un premier chemin grimpant vers la maison natale de J.
C. Millet. Poursuivons notre sentier sur la falaise quittons le GR et la
falaise, lors du passage de ‘’la cave (brèche dans la falaise)’’ et prenons le
second sentier. Nous sommes sur un balisage jaune… Il se trouve le long du
ruisseau de la Pissotière, il grimpe rudement, c'est dure, très dure. Nous
arrivons au hameau de Gruchy [Le lieu est célèbre pour
y avoir vu naître le peintre Jean-Par manque de place les photos que je n'ai pas réussi à placer au bonne endroit
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html





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