Dagny - Beton bazoche
Pour
cette Promenade, nous partons en Seine et Marne, dans le Village de Beton bazoche
Comment vous diriger vers ce village perdu dans la Brie. Pas trop
loin au Nord Est de la N4 entre Béton Bazoche et Rosay en Brie. Nous trouvons
après la N 4 à double sens la D 215 en direction de Dagny.
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323068
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
28 4h30 0h30
6,5 5,9 243 +
La paroisse apparaît en
1274.
Dans la ferme de l'Aubetin, au xviiie siècle, Henri-Alexandre Tessier, agronome et docteur en médecine, croisa le premier les moutons de Brie avec les mérinos espagnols. Il s'ensuivit une amélioration sensible de la laine et une viande d'excellente qualité en boucherie.
Le moulin de l'Aubetin qui n'existe plus était le
seul moulin à huile de noix de cette vallée
À la sortie du village, un monument aux morts en forme de lanterne fut édifié un peu après 1918 en hommage aux combattants. Une
croyance locale voulait qu’une jeune fille désirant se marier dans l'année
invoque le nom de saint Géroche pour obtenir de meilleures chances de réussir
son mariage. Elle mettait autour du cou du saint un ruban symbolisant
l'attachement à son futur époux Wikipedia] Il n'est pas facile de ce garer dans
ce village trois place sont disponibles devant la mairie qui ce trouve à côté
de l'église.
La D215 se nomme Grande Rue. Nous prenons la rue place de l’église
sur la droite entre la mairie et l'église [Petite
église
de grès et de Calcaire est à nef unique, placée sous le patronage de saint Géroche du xiie siècle renferme notamment une Vierge à
l'Enfant polychrome du xiiie siècle[,
un buste de saint Géroche, et un christ en croix, en bois du xve siècle.
Il aurait été moine à Rebais,Curé à
Giremoutiers, moine à Meaux et envoyer en soutien spirituel à Faremoutiers ou
il sera enterré. Le transfert d’une partie de ses reliques est à l’origine de
son culte à Dagny. La légende ; veut que saint Géroche ait placé un
boulet (situé près de l'autel dans l'église) pour creuser un ruisseau reliant
l'ancien étang du hameau de Moneuse à l'Aubetin, donnant ainsi naissance au ru
de Saint-Géroche. Attaqué par des
Voleurs Il
aurait planté un bâton sur le chemin se trouvant à droite après la
première maison en venant de Jouy-le-Chatel. Il s’assit et pria. Aussitôt le
bâton se remplit de fleurs. Cela effraya les voleurs. Une épine noire aurait
pris racines. Elle existe toujours à cet endroit où elle fleurit deux fois par
an, dont une fois à Noël et l’autre au printemps. Saint Géroche est fêté le 5
juillet. Wikipédia & panneau d’information.] Coupons la
rue de Saint Géroche et prenons en face la Grande Rue longeons le cimetière nous
débouchons sur la D215 que nous prenons à droite. Après une impasse nous
trouvons sur la droite un chemin cimenté descendant vers le stade. Ce chemin
longe la départementale nous passons un pont au
dessus de l'Aubetin [L'Aubetin coule
dans les départements de
la Marne et
de Seine-et-Marne.
C'est un affluent du Grand Morin,
lui-même affluent de la Marne. Long de
61,2 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter
dans le Grand Morin,
à Pommeuse. Au
sud du Grand Morin,
l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours
en une trajectoire parallèle. Il parcourt 7 km dans
le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. Wikipedia
] Nous débouchons rue de la Croix
Camus que nous prenons à droite en
direction de la Malgagne, Le Montcel, La
Fosse Jarry et le Bois Eluis. Nous passons devant un Lavoir, puis la première rue à gauche (de la Malgagne)
vers le hameau de La Malgagne. Nous sommes dans les bois, traversons le hameau.
Après un virage nous débouchons sur la route des Prés Gaillots que nous prenons
à gauche. Nous traversons la D 215 et poursuivons en face. De route nous
passons à chemin, nous sommes sur le balisage jaune. Dans les champs je loupe
la première bifurcation. Nous sommes en Seine et Marne et il manque de petits
poteaux avec les balises et je n'ai pas toujours l'œil sur mon GPS. Je prends
le second chemin après le bosquet
d’arbres sur la droite (cela revient au même.)
Nous retrouvons le balisage jaune proche de la D 215 que nous coupons et
poursuivons en face, longeons un bois puis nous retrouvons les champs. Nous
entamons un large virage et apercevons le château de Bois Eluis. Je n'ai rien
trouvé sur internet concernant cette propriété. De chemin nous passons à
bitume. C'est un beau château en cours de restauration avec deux belles statues
de templiers surveillant le porche d'entrée. Dommage que l'ancien jardin ne
soit qu'un lieu de stockage. Longeons les anciennes douves et nous entrons dans
le hameau du Pavillon que nous traversons par la route du bois Eluis, nous
sommes toujours sur le balisage jaune.
Nous arrivons à une intersection avec
les directions de Dagny & de la RN 4 face à nous. Prenons à gauche la route
des Prés Caillots nous sommes toujours sur le balisage jaune. Laissons l’accès
à la propriété La Fosse Jarry, puis sur la gauche la voie sans issu menant au
hameau Le Bois Lamboust, nous sommes toujours sur le balisage jaune. Nous arrivons
au hameau de Bellevue et à sa sortie
nous prenons à droite en direction du moulin de Pisseloup. Moulin qui n'existe plus,
il est transformé en terrain de camping avec mobil-homes. Nous débouchons sur un
chemin formant Té, laissons la branche de gauche partant sur Amillis et prenons
la branche de droite du balisage jaune, nous sommes sur le chemin de
Pisseloup
avec le balisage St. Géroche. Traversons le gué de l'Aubetin, puis nous
traversons un bois. Le chemin fait fourche nous prenons à droite toujours sur
le balisage jaune, nous longeons sa lisière Nous sortons du bois traversons les
champs. De chemin nous passons à bitume nous entrons dans le hameau de Fontaine
Ramée par la rue de Pisseloup nous prenons à droite la D15, puis première rue à
gauche rue de la Fosse Brouet. De rue nous passons à chemin. Laissons une
branche du balisage jaune partir sur la droite vers Dagny et poursuivons à
gauche le balisage jaune vers Amillis, enfin si vous le trouvé, nous sommes
dans les champs et seul la carte nous indique que nous sommes sur le balisage
jaune. Au premier carrefour nous prenons à droite et nous débouchons sur un
chemin formant Té, nous quittons le balisage jaune partant sur la gauche
prenons
le chemin de droite le château d’eau doit être sur notre gauche. Au milieu des
champs le chemin tourne à l’équerre sur la gauche. Sur notre gauche la
commanderie. Laissons un chemin sans issue sur la droite. Nous débouchons sur
un carrefour, ou nous rencontrons le GR 11 et la D 215 nous quittons le GR et prenons
à gauche la départementale (laisser la petite route de gauche menant à la
Commanderie et au Mez. A l'orée du bois, nous trouvons des chemins sur la
droite, ils font tout de suite fourche laissons la branche de droite et prenons celle perpendiculaire à
la route
longeant le bois, nous sommes de nouveau dans les champs, à la fourche nous
prenons à droite. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à
droite et au carrefour suivant a gauche. Nous débouchons sur une route que nous
prenons à gauche. La parcelle se nomme le Sauvageon au carrefour nous prenons à
droite vers Faujus, traversons le haras ou la ferme du Bois Chesnot. Poursuivons jusqu’au Hameau de Faujus. La rue de Faujus est
sans issue pour les voitures, de bitume nous passons à chemin nous longeons un
bois et nous sommes de nouveau dans les
champs. Laissons les chemins à droite
comme à gauche, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à
droite, nous coupons une route poursuivons en face, coupons un chemin dans les
champs, longeons des poteaux électriques ou nous retrouvons le balisage
jaune. Nous arrivons à Beton Bazoche en
longeant un grand camping par le chemin des Ponceaux, nous débouchons sur la D 55 que nous prenons à
droite. Nous entrons dans Beton par la rue de la source, coupons la D 15, nous
passons l’Aubetin et poursuivons par la rue du même nom. Nous faisons le tour de l’église [L'édifice a été
construit au XIIe et XIIIe siècle. Sa tour-clocher était
à l'origine surmonté d'une flèche qui disparut dans un incendie au XVIIIe siècle.
Sa façade rose est due à un enduit à base de briques pillées. Wikipédia] A l’angle de la rue
Farabeuf, (Louis Hubert Farabeuf (1841-1910) : professeur, médecin, chirurgien, et
réformateur de l'enseignement de l'anatomie, de l'histologie, et de la
chirurgie. wikipédia) Nous trouvons l’ancienne Halle du,
XVIe siècle. Nous poursuivons par la
rue Tessier face à l’église et à la Halle. Nous passons devant l’ancien
pressoir [(que l’on peut visiter sur demande.)
Pièce unique en Île-de-France, ce pressoir monumental a été construit en 1850
par un Compagnon du Tour de France, un certain Désiré Naveau. Il a
fonctionné pendant un siècle, jusqu'en 1950, reflet
de l'importance de la
culture de la pomme dans la région et de l'élaboration du cidre. Dans les
champs, les ouvriers agricoles travaillaient durement de longues heures, leur
seule boisson était le cidre et ils en buvaient, chacun, de 800 à 1 000 litres
par an. Début octobre, un charretier attelait un cheval à la meule de grès qui
écrasait les fruits... Aujourd'hui restauré, le pressoir laisse voir sa
machinerie et sa magnifique pignonnerie. La meule en grès pèse environ 700 kg
et chaque poutre est en fait un arbre ! La visite du lieu
s'inscrit dans celle plus globale du village via le syndicat d'initiative
de Beton-Bazoches. En effet, en plus du pressoir, les visiteurs ont alors accès
au lavoir ainsi qu'à la halle. « Avis » petit futé.com] Et
nous arrivons à la statue de (Henri-Alexandre Tessier (1741-1837),
médecin et agronome.) Nous prenons à droite le chemin du parc, bitumé temps
qu’elle longe les maisons puis devient chemin
barré en sont extrémité par un
talus de terre qu’il faut gravir pour prendre sur la gauche le chemin qui se
trouve au dessus. Nous débouchons sur la N 4 que nous prenons à droite. Le
large trottoir est défoncé par les nombreux camions qui stationnent à cet endroit.
Nous trouvons le GR 11 et le balisage jaune, mais surtout un chemin sur la
droite nous éloignant de cette route infernale. Le chemin fait fourche nous
prenons à droite le beau chemin carrossable. Nous coupons un chemin, puis
traversons les trois maisons de Coupigny de chemin nous passons à bitume à la
patte d’oie inversé nous poursuivons
à droite nous sommes sur la V8 rue des
Noyerres nous traversons le Grand Frétoy, Nous somme rue de la Fontaine (elle
se trouve sur la droite) et à la fourche suivante nous prenons la rue des
Saussois sur la droite. Nous traversons une nouvelle fois l’Aubetin, nous
sommes toujours sur le GR 11, Coupons la D 15 et prenons le chemin en face.
Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, puis fait
fourche, nous prenons la branche de droite, toujours le GR et nous arrivons au
hameau du Montcel sur la gauche une stèle (commémorant
la dernière bataille à cheval entre
Montcel et Frétoy en septembre 1914).
Traversons la rue principale et poursuivons le chemin en face, traversons un
bois et après le champ nous débouchons sur un chemin formant Té que nous
prenons à gauche. Nous retrouvons la D 15 que nous prenons à droite, traversons
les deux fermes de Moneuse, la route fait fourche laissons le GR 11 partir sur
la droite, nous poursuivant tout droit la D 15. Laissons sur la gauche la route
se rendant à la ferme de l’Aubetin, nous passons devant le lavoir (je suis toujours étonné de voir un lavoir sans ruisseau
devant.) Nous entrons dans Dagny par la rue de
Moneuse (D15) la rue fait
fourche nous prenons à droite et arrivons au monument avec sa lanterne des
Morts. Il est rare de trouver ce type de monument en Ile de France. On retrouve
plutôt ce type de construction dans le Limousin et le Périgord. [Monument aux morts de la guerre 1914-1918 construite en
1924 en hommage aux enfants combattants du village décédés pendant la guerre.
C’est le symbole de l’immortalité des âmes. De forme ogivale pouvant rappeler
les obus, construit en style Byzantin avec des inscription de mosaïque, et
constitué de matériaux hétéroclites, buse de ciment recouvert de granit,
colonnettes en pierre reconstitué, d’une ogive de bombe. On entretenait une
lumière afin de rendre hommage aux disparus et servait de repère pour les
voyageurs égarés dans la nuit. [Une lanterne des
morts, appelée, suivant les provinces, fanal funéraire, tournière
, lampier. généralement
creux et
surmonté d'un pavillon ajouré (au moins trois ouvertures), dans lequel
au crépuscule on hissait, souvent avec un système de poulies, une lampe allumée
supposée servir de guide aux défunts. Wikipédia et panneau d’information] En France, la plupart
de ces édifices furent construits aux alentours du XIIe siècle. Ils sont pour l'essentiel concentrés dans une zone du
centre-ouest de la France, incluant les départements de l'Allier, de la Charente, de la Charente-Maritime,
de la Corrèze, de la Creuse, de la Dordogne, de l'Indre, de la
Loire, du Lot, du Puy-de-Dôme, des Deux-Sèvres, de la
Vendée, de la Vienne et de la Haute-Vienne, ces
13 départements correspondant grosso modo au territoire nominal du duché d'Aquitaine au Xe siècle.
Wikipédia] En descendant la rue nous retrouvons la mairie, l’église et
le parking.

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire