jeudi 2 septembre 2021

Randonnée Le Plus Loin Possible. Etape 2031 la Croix de Tourp - La Buhotellerie

Croix du Tourp - La Buhotellerie

Mardi 20 juillet 2021

 

Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace randogps

Le code mobile de cette randonnée est b301752

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 Km    Temps    Arrêt    V/d    V/g    Dénivelé
23      4h40      2h00     4,9    3,5        236+


 







Avant de partir je me dirige vers les parkings et la D 45 pour voir la croix [Sur la route, se dresse une croix de chemin, la croix du Tourp ou « croix des trente Anglais ». L'inscription de l'an 1257, postérieure à son érection, n'est pas crédité, contrairement à celle du fût qui indique sa restauration par M. d'Hiesville en 1814 https://www.wikimanche.fr/Manoir_du_Tourp]

Je reprends le chemin d'hier (balisage jaune) jusqu'aux maisons d'Eculleville. Après le chemin un peu chaotique, nous débouchons sur le Bitume et prenons sur la gauche la D 402E2. La route sans issu descend en direction de la baie de Quervière. Nous avons quitté le balisage jaune. La baie de Quervière s’ouvrira bientôt devant vous, avec ses galets, ses petits caps rocheux et verdoyants qui la bordent de chaque côté, et son eau constamment agitée. https://www.roadcalls.fr/cap-de-la-hague/ Nous arrivons au parking ou nous retrouvons le Gr 223 que nous prenons à gauche. Nous sommes sur les falaises du mur blanc, nous descendons, la terre se termine en pente douce vers la mer. C'est un bon chemin sans difficultés, nous marchons sur les galets, c’est fastidieux, plus dure que le sable. Je ne me lasse pas du paysage même coté mer, j’ai la chance de faire cette balade par marée basse, tout les rochers normalement recouvert par l’eau apparaissent, et j’ai plus l’impression d’être plutôt dans un lieu montagneux qu’à la mer. Franchissons une pointe et poursuivons de baie en baie. Nous arrivons à Omonville la Rogue, avec son petit port de pêche au 

font de sa baie. Tout en bas du village se trouve une petite digue avec un port où flottent une vingtaine de barques, au large d’une plage de galets ouvertes sur les collines verdoyantes du Cotentin. Un vrai petit coin digne de l’Irlande profonde. De jolies maisons en pierre décorées de lierre grimpant et aux fleurs colorées. Si les rues n’étaient pas bitumées, on se croirait volontiers à une autre époque. Prenez le temps de flâner dans le bourg, en particulier sur les rues de l’Église et de la Place : si vous aimez les vieilles pierres, ça devrait vous plaire. (Malheureusement je n’ai pas pris le temps de visiter le village le GR ne le traversant pas. https://www.roadcalls.fr/cap-de-la-hague/ Qu'un petit souci le fond des criques est remplie de galets ce n'est pas facile à marcher.  Nous poursuivons notre chemin côtier, passons la pointe de Jardeheu, Le chemin passe loin d’une grande bâtisse blanche toute vitrée l’ancien sémaphore.  Nous arrivons à la pointe de Catehaut, toute ses pointes sont espacées de petites criques remplient de galets. Pas facile de marcher sur c’est galets, je ne sais pas ce qui est le plus dure marcher dans le sable ou les galets. Le sentier est bordé d'un côté par la mer et de l'autre des champs, séparés par de petits murets. Cela leur fait des petites parcelles, pas facile pour faire les foins mécaniquement. Passons la Baie d’Ecuty, puis l’Anse Saint Martin grand plage de galets en arc de cercle. Nous retrouvons la D 45, nous prenons de la hauteur au niveau du port du Hâble tout petit avec des filins tendus entre les murs, il me semble que c'est pour attaché les bateaux et pouvoir les tirer à quai à marée haute, le port devant être trop petit pour loger tout le monde sur le pourtour. Nous passons le long du plus petit port de France. (J’en ai fait des photos, j’ai cru avoir pris des photos…) Impressionnant à marée basse avec tous ses câbles au dessus des parapets (on a l’impression de voir un centre pénitencier par le dessus avec ses antis évasion sur le dessus.  [Port Racine est un véritable trésor pour la région. C’est un endroit pittoresque au possible avec ses toutes petites digues en pierre qui renferment quelques minuscules barques, le tout entouré d’une verdure toute irlandaise. A marée basse, une petite plage se forme. Le site a la particularité d’être le plus petit port de France. Les jetées de granit formant un quadrilatère délimitent un espace de 8 ares ou 800 mètres². Seules les petites embarcations peuvent y accéder. Ces dernières ne doivent pas mesurer plus de 2 mètres de large et 5,50 mètres de long. Il doit son nom à François-Médard Racine (1774-1817), un des derniers corsaires qui sévissaient sous Napoléon. François-Médard Racine s’était installé à cet emplacement en 1813. Le port a été fortifié et a pris sa forme actuelle en 1870, puis en 1886. https://www.cotentin-tourisme-normandie.fr/pointdevue/port-racine-le-plus-petit-port-de-france/] Une chose importante tout de même sur le plateau de ce doigt de la France ce trouve d’immenses cheminées et de nombreux bâtiments crèmes jouant à cache-cache, avec le relief du coin. Les douces collines verdoyantes se succèdent. Si l’on ne regarde que la mer on ne les voit pas. C’est le site de stockage de déchets radioactifs. Cet ancien principal centre de stockage français ne reçoit aujourd’hui plus de déchets. [souvent nommée simplement « La Hague » — est un centre de traitement du combustible nucléaire usé dans lequel on traite le combustible nucléaire provenant principalement des réacteurs nucléaires français et une partie de celui provenant des réacteurs d'Allemagne, de Belgique, de Suisse, des Pays-Bas et du Japon, pour en séparer les matières nucléaires valorisables des autres éléments radioactifs. Entrée en service en 1966. Plus de 5 000 personnes travaillent sur le site, dont environ 3 000. À la sortie du réacteur, un combustible nucléaire usé contient environ 96 % de matières énergétiques à retraiter partiellement (95 % d'uranium et 1 % de plutonium) polluées par 4 % d'actinides et de produits hautement dangereux et non réutilisables : les déchets HAVL. Ces derniers sont traités et conditionnés, aujourd'hui par vitrification, en vue de leur entreposage en surface et éventuellement de leur stockage en couche géologique profonde. Les déchets provenant de l'étranger sont — après un certain temps — réexpédiés aux clients étrangers qui ont obligation de les reprendre (obligation confirmée par la loi Bataille en 1991). Un des objectifs de ce recyclage est de réduire la quantité de déchets radioactifs à stocker en milieu confiné. Le plutonium récupéré est transporté à Marcoule où il est utilisé pour fabriquer du combustible MOX. Le nitrate d’uranyle obtenu est quant à lui transformé en octaoxyde de triuranium (U3O8) à l'usine Orano de Pierrelatte en vue d’être enrichi pour être réutilisé dans de nouveaux assemblages de combustibles. Le recyclage des combustibles usés permet de réduire le volume des déchets d’un facteur 5 et de diminuer la radiotoxicité des déchets d’un facteur 10 en valorisant le plutonium sous forme de combustible MOX. Les opérations de séparation, purification, conditionnement et entreposage sont effectuées sur le site d’Orano la Hague. Wikipédia.] Nous arrivons Cap de la Hague le doigt de la France. Je me dis ; ça y est, je suis au bout de l’Europe après il n’y a rien, pardon l’Angleterre à environ cent kilomètres. J'ai de la chance je fais cette balade à marée basse, la côte est parsemé de beaux rochers c'est magnifique. Tranquillement nous arrivons au sémaphore de la Hague, le Gr prend la route pour contourner l'enceinte militaire mais le sentier passant au pied est toujours utilisé nous sommes au cap de la Hague la partie la plus a l'ouest de la Normandie. Admirer ces immenses étendues de verdure découpées par des murets de pierre et des barrières en bois, où paissent tranquillement vaches et moutons. [La Hague est une péninsule du Cotentin située au nord-ouest du département français de la Manche. Le nom de la presqu'île est attesté dès 1027 sous la forme Haga (Fauroux 58), Haga en 1057 (Adigard des Gautries), [Nigelli de] Haga en 1079 - 1087 (Lucien Musset). La présence de l'article défini féminin indique une formation toponymique médiévale. La Hague offre des paysages remarquables et sauvages et a gardé, pour l'essentiel, ses villages et son habitat traditionnel. Le doyenné de la Hague était délimité au sud par la rivière Diélette (qui se jette près du cap de Flamanville, à l'est le fleuve Divette (qui se jette dans la mer à Cherbourg-en-Cotentin) et à l'ouest et au nord par la mer de la Manche. Il s'agit donc d'une petite péninsule à l'angle nord-ouest de la péninsule du Cotentin et du département de la Manche, avec deux caps remarquables : le cap de la Hague au sens strict, avec le port de Goury et son phare. Et le nez de Jobourg, aux roches datant du Paléoprotérozoïque (deux milliards d'années). La Hague présente un littoral varié : falaises abruptes, au pied desquelles se trouve une succession de baies, grandes plages, îlots et platiers rocheux (cap de la Hague, pointe de Jardeheu, Saint-Germain-des-Vaux…), massifs dunaires (Biville), grèves de galets (Anse Saint-Martin), marais arrière-littoraux (Mare de Vauville), landes et vallons boisés (Hubiland, Sabine…). La côte est également agrémentée de petits ports (Goury, le Houguet, Port Racine, Port du Hâble…) et de mouillages. Ces paysages souvent associés à des champs entrecoupés des blancs murets de pierre font que cette région est surnommée parfois la « petite Irlande ». La proximité de la mer et l'influence du Gulf Stream font que la région ne connaît généralement pas le gel. C'est donc un lieu important pour les oiseaux migrateurs en hiver (mare de Vauville), les bécasses. Le jardin botanique de Vauville expose de nombreuses plantes de l'hémisphère sud. La Hague est séparée des Îles Anglo-Normandes par le Raz Blanchard. On y a trouvé des roches parmi les plus anciennes d'Europe (gneiss icartiens plus de deux milliards d'années). Cette roche a 2,085 milliards d'années, tandis que les plus vieilles roches d'Europe continentale, en Norvège, ont plus de 2,9 milliards d'années et plus de 3 milliards d'années en Ukraine. La péninsule haguaise est principalement un pays de landes (et de bocage à l'intérieur des terres), formées de fougères, bruyères, genêts, ajoncs (de Le Gall et d'Europe). Sur la côte, on trouve dans les haies d'aubépines, chênes, frênes, sycomores, sureaux. Il existe également une concentration d'ormes dans les haies de la côte nord, malheureusement très atteints par la graphiose. Les falaises sont recouvertes de lichens, noirs et orangés, de salicornes, d'asperges prostrées, de statices de l'ouest et de carottes à gomme. Les corniches accueillent pelouse rase. Le site acheuléen de la Roche Gélétan à Saint-Germain-des-Vaux a été occupé par des pré-Néandertaliens vers 300 000 av. J.-C. Il s'agit, avec le site de la Mondrée à Fermanville, du plus vieil habitat en Normandie. Une deuxième vague d'habitants a laissé plusieurs sites vers 100 000 av. J.-C. En 56 av. J.-C., les légions romaines ont vaincu la tribu locale des Unelles, basée à Coriallo ou Coriovallo (qui n'est peut-être qu'un autre nom donné à la pointe). Des traces d'un camp romain du Bas Empire (à Jobourg) et de villas gallo-romaines ont été identifiées. Le caractère insulaire de la Hague, la difficulté pour s'y rendre a fait que la région avait la mauvaise réputation d'un pays de fraudeurs sous l'Ancien Régime. Il faut dire que la proximité des îles Anglo-Normandes facilitait la contrebande, qui était de deux types : celle du textile, au XVIIe siècle, et celle du tabac au XIXe siècle. La première était le fait de quelques nobles, dont le plus célèbre est probablement le Chevalier de Rantôt. Ils s'opposaient au monopole des manufactures normandes imposé par Colbert. La contrebande de tabac était quant à elle l'objet de plusieurs bandes organisées, menées autant par des agriculteurs que des pêcheurs. On trouve donc dans les murs de la Hague des caches à tabac, domestiques (de petite dimension, auprès des maisons, recueillant le tabac pour une consommation familiale) et des grandes caches, dissimulant les ballots de tabac tressé de plusieurs kilos. Mais la forte présence des douaniers et le renforcement des peines encourues mit fin peu à peu à la fraude au début du XXe siècle, dont subsistent aujourd'hui le chemin des douaniers le long de la côte (GR 223). La mauvaise réputation des Haguais en fait également des naufrageurs, sans qu'aucune recherche ne soit réellement concluante. En revanche, la population pauvre avait l'habitude d'« aller à gravage », c'est-à-dire fréquenter les plages après les grosses tempêtes, pour ramasser les marchandises échouées ou passées par-dessus bord, et de récupérer le bois des bateaux échoués. Aussi lit-on dans un rapport de la maréchaussée de Valognes en 1748 : « C'est un pays de landes et de rochers, où l'on a pratiqué quantité de cavernes servant de retraites aux voleurs, assassins et fraudeurs, qui attendent avec assurance et tranquillité le moment favorable pour passer aux Iles voisines. Les plus grands chemins de ce canton sont de deux ou trois pieds, des deux côtés desquels se trouvent des précipices. Les habitants sont gueux, mauvais, fraudeurs insignes, et ne vivent que de brigandages. Il y a des paroisses où les commis aux aides et les employés dans les fermes ont été un temps considérable sans oser y aller ; ils n'y vont même pas encore volontiers.  »  wikipédia] [Le phare de la Hague, ou phare de Goury, s'élève à 800 mètres au large du cap de la Hague (Manche), sur le rocher dit « le Gros du Raz ». Il signale le raz Blanchard, l'un des courants de marée les plus forts d'Europe, entre le cap de la Hague et l'île anglo-normande d’Aurigny, ainsi que l'entrée nord du passage de la Déroute menant vers la côte est de l'île de Jersey. Après de multiples naufrages de navires à l'abord du raz Blanchard, il a été décidé d'édifier un phare au large d'Auderville et du port de Goury. Il a été construit à partir de 1834 en trois ans, sur les plans de l'ingénieur Morice de La Rue. Mis en service en 1837, il est électrifié en 1971. Automatisé en 1989, les derniers gardiens partent en mai 1990. Le phare fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 11 mai 2009. Wikipédia] Je fais une pose en cherchant un arbuste suffisamment haut pour me faire de l’ombre. Que c’est beau sous ce ciel bleu et ce soleil cette fin de l’Europe. Au loin j’aperçois une forme dans la brume de chaleur peut être l’ile Anglo Normande d’Aurigny, je ferais bien comme ces quelques randonneurs une vrai pose, mais ils ont choisi le soleil, (on les retrouvera plus tard). Poursuivons vers Goury [Autrefois animé par une activité intense rythmée par les douaniers et le passage des fraudeurs sur la côte de la Hague en Normandie, le port de Goury est aujourd’hui principalement connu pour son centre de sauvetage. Construite en 1870 dans la commune d’Auderville, la station de sauvetage de la Société Nationale de Sauvetage en Mer est vêtue de pierres qui donnent un atout charme au lieu et le rendent assez solide pour résister aux vagues puissantes de la marée. La SNSM est l’une des 218 stations de la côte essentielles à la surveillance des potentiels accidents en mer des habitants et des touristes qui viennent sur la côte. Ces stations portent en effet secours bénévolement aux personnes en situation de danger en mer, et permettent de sauver des vies. Le Port du village abrite encore aujourd’hui des pêcheurs, on y observe d’ailleurs leurs barques le long du Port qui donnent un charme particulier à l’endroit. Tout au bout du cap de la Hague se dresse le phare de Goury, Vous ne pouvez pas le manquer ! Haut de 50 mètres, une tour cylindrique robuste en pierres de taille de granite, il domine le Port de sa lumière et de sa puissance… Il s’agit bien du phare, l’incontournable de ce village situé sur la pointe normande. Situé à 800 mètres au large du cap de La Hague, ce phare s’invite parfaitement sur vos clichés qui mêleront terre et mer dans un endroit si ressourçant. En plus de nous offrir un panorama digne d’une carte postale, le phare du village est essentiel à l’activité côtière, notamment pour les pêcheurs qui affrontent le Raz Blanchard, le courant de marée le plus puissant d’Europe qui se situe exactement entre La Hague et l’île d’Aurigny, particulièrement redouté par les marins pour la violence de ses tempêtes lors d’intempéries sur la côte. Les bateaux ont ainsi un repère sur lequel s’appuyer, une lumière qui les guide lorsqu’il fait nuit noire. Le phare de cette côte n’est alors pas uniquement photogénique… Il peut sauver des vies et des bateaux ! Observez ce phare mais surtout admirez l’environnement qui l’entoure ! Au loin et face à vous, les îles anglo normandes ; tout autour de vous, une vue imprenable sur ce paysage magnifique qui vous offre ses plus belles couleurs lors des couchers de soleil. Sur le petit village du même nom. Le paysage a changé : les vallons des kilomètres précédents ont disparu, de même que les hautes haies et la végétation luxuriante. Autour de Goury, constamment battue par les vents, la végétation ne pousse pas plus qu’à hauteur des genoux. Les paysans du coin ont disposé des petits murs de pierre pour délimiter les champs de mouton et tenter de freiner le vent. La vue s’étend aussi bien sur terre que sur la mer constamment agitée. https://www.cotentin-tourisme-normandie.fr/pointdevue/port-de-goury-phare-de-goury/] Je vous livre ses textes qui expriment bien mieux que moi ce que j’ai ressenti durant cette étape. A Goury nous remarquons la SNSM par sa station ressemblant à un moulin en bordure de mer avec des rails plongeant dans la mer par deux sorties distinctes, faisons le tour du bâtiment, rejoignons la route du Perret elle tourne une première fois à gauche, puis à droite, nous arrivons au hameau de la Roche. Traversons ce dernier et poursuivons (suivant les cartes le chemin du Calenfrier, ou La Grande Mer. Poursuivons le GR 223 en faisant en contournant cette tour à poivrière comportant deux rampes équipées de rails pour rejoindre la mer, traversons les quelques petites maisons de Goury, son port minuscule, son phare, sa croix et ses moutons semblent figés dans une autre époque : c’est un vrai voyage dans le temps que de s’y promener. Je croyais en avoir fini avec les falaises mais non il y a encore le nez de Jaubourg à traverser et l'on se croirait à la montagne sur un sentier de muletier à flanc de falaise, c'est surprenant, c'est magnifique. La grosse traversée du nez de Jaubourg sera pour demain. Aujourd’hui nous ne ferons que le rocher du Calenfrier, et la pointe du Houpret, sous ce soleil et sans vent, à marée basse je pense que c’est encore plus beau par tous ses rochers que l’on ne voit pas autrement. Le sentier débouche sur la D 401. Je quitte mon chemin des douaniers, pour rejoindre mon gîte d’un soir, et prends à gauche le bitume. Nous montons encore. Sur le plateau nous prenons à droite la piste cyclable en direction de Jaubourg par la piste. Nous quittons les bords de mer pour la campagne, parcellée de petits murets. Le chemin bitumé fait fourche prenons à droite comme l’indique le petit logo représentant un cycliste. Le bitume disparaît nous sommes sur le plateau, dans les landes, cette fois ci malheureusement on ne peut pas louper l’usine de retraitement, elle se trouve face à nous. On aperçoit également le nez de Jaubourg et la baie d’Ecalgrain. Nous sommes sur un balisage bleu. Laissons le chemin balisé de droite et poursuivons tout droit le chemin devient pierreux. Coupons la D901. Si votre gîte ce trouve à Jaubourg même, prenez à droite. Dans le cas contraire poursuivre en face. A la rencontre de la D 402, vous verrez le nom du gîte sur la route suivez l'information pas ma trace. J'ai voulu passer par les champs pensant que le gîte se trouvait dans la grosse ferme, sur la carte il y avait des chemins, mais ils sont privés et traversent les stabuls.

 

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