Mais Bellot c’est ou ?
C’est à une petite dizaine de kilomètres de la ferté Gaucher. A
une vingtaine de kilomètres de La Ferté Sous Jouarre à l’Ouest et de Montmirail
à l’Est.
C’est au carrefour de la D6 et de la D 46. La D 46 c’est la route directe en venant de la Ferté Gaucher. Pour la D6, c’est un peut plus compliquer. Mais on l’atteint grâce à l’axe reliant La Ferté Sous Jouarre, à Montmirail et aux départementale 407 & 933, au milieu se trouve Viels Maisons avec la D15 & D6
On trouve un parking au pied de l’église.
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323006
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Carte VisoRando
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KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
33 5h20 0h40 6,2 5,6 450+
Le départ se fait du petit parking de l'église de Bellot
Bellot vient du latin Betulla
(le bouleau). Le nom du village s’est s’orthographié Belo en 1112 (plus ancienne
date connue de l’existence du village),
Belloy en 1145, Bello en 1325 et Bellot-en-Brie au 17ème siècle. Un passé plus lointain
est très probable : le site près d’une rivière et d’un Rû dans une vallée sûrement
giboyeuse convenait parfaitement à un peuplement. De plus, les traces au-dessus du hameau de la Fée laissent à penser que le secteur a connu
au moins une occupation celte
et gauloise. Bellot
a sans doute eu un seigneur en place, mais c’est seulement en 1620 qu’est mentionné le nom de Louis de Clèdre (orthographié Clédrier),
conseiller du roi. Bellot se présente
comme un village double. En bas, le
bourg … en haut, les hameaux du
plateau : Doucy, Les Crochots, Le Cendrier, Doucy aval, La Farrière, Retourneloup,
Launoy-Brûlé, Saincy, Champ-Martin, Culoison (ferme fortifiée), La Courteloire
(en forêt), Les Hauts-Champs et le hameau d’Enroux (aujourd’hui disparu, à côté
des Denizets – source Le Terrier de Bellot, Claude Macé). Quant au Château de Bellot (au Fourcheret), il est passé à la commune de Villeneuve sur Bellot, mais le nom est resté.
« Le château du Fourcheret, aujourd’hui propriété de la famille Parichault, a été bâti sur le fief de Nacelles par le seigneur de Bellot à qui appartenait ce fief. Comme il y avait
déjà un château à Villeneuve et qu’il n’y en avait pas – et probablement jamais eu – à Bellot, on
l’a tout naturellement appelé « Château de Bellot », nom qu’il
a toujours conservé. C’est ce qui explique
que soit restée dans la mémoire collective
bellotière l’idée confuse que le Fourcheret avait autrefois fait partie de Bellot.
C’était à la fois vrai puisqu’il dépendait en partie de la seigneurie de Bellot, et faux puisqu’il a
toujours appartenu à la paroisse, devenue
commune, de Villeneuve-sur-Bellot. Cette configuration ambiguë sera d’ailleurs
à l’origine d’un conflit de privilèges entre les seigneurs de Bellot et de
Villeneuve, le premier
revendiquant son droit à posséder des places réservées dans l’église de Villeneuve,
le second le lui refusant. Sur cette épineuse question, un tribunal sera même
saisi. Il accordera au seigneur de Bellot
le privilège revendiqué. » - Claude Macé. Extraie du site trouvé sur la page
internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
L’ÉGLISE SAINT-LOUP : Jusqu’à
la Révolution, l’influence de l’Église est considérable comme dans tout le royaume,
en raison de ses attributions : l’éducation religieuse et scolaire, la tenue des
registres (naissances et décès) et bien sûr
la supervision de la vie morale. L’église actuelle est édifiée entre le 12ème et le 13ème
siècle (la tradition nous affirme que le clocher aurait été bâti par les anglais).
Elle est dédiée à Saint-Loup (évêque de Troyes qui défendit sa ville contre Attila)
et
Saint-Maur en est le patron secondaire. Aux 15ème et 16ème siècles, l’église est remaniée et prend son aspect actuel. L’église est dotée d’une sacristie 1893-1894 - souscription), un nouveau coq (1962 – budget communal) et d’une nouvelle horloge (1959 –souscription et budget communal) « Le cadran de l’horloge sera remplacé en 2018 ou 2019. Un dossier de subvention est en cours d’instruction »– François Housseau L’aménagement intérieur date du 18ème siècle, avec fresques murales représentant les évangélistes et lambris de chêne du chœur. Le chemin de croix est érigé en 1864 (offert pas Berthe de Corlieu) et les reliques déposées en 1842. L’église dispose de deux cloches nommées Marie-Marguerite et Catherine (la troisième a été déposée à la Révolution). Sans doute fêlée pour avoir sonné le tocsin durant l’incendie de la nuit du 21 septembre 1834, Marie-Marguerite est refondue puis remontée le 27 décembre 1854. Elle est alors rebaptisée Marie - Hermance (l’un des prénoms de l’épouse de Jacques Potel, alors maire et parrain
de la cloche). Elle est à nouveau déposée,
restaurée et remontée en 2013, sous le
mandat de Jean Gallois. Extraie du site trouvé sur la page internet de la
mairie. http://www.mairie-bellot.fr
Saint-Maur en est le patron secondaire. Aux 15ème et 16ème siècles, l’église est remaniée et prend son aspect actuel. L’église est dotée d’une sacristie 1893-1894 - souscription), un nouveau coq (1962 – budget communal) et d’une nouvelle horloge (1959 –souscription et budget communal) « Le cadran de l’horloge sera remplacé en 2018 ou 2019. Un dossier de subvention est en cours d’instruction »– François Housseau L’aménagement intérieur date du 18ème siècle, avec fresques murales représentant les évangélistes et lambris de chêne du chœur. Le chemin de croix est érigé en 1864 (offert pas Berthe de Corlieu) et les reliques déposées en 1842. L’église dispose de deux cloches nommées Marie-Marguerite et Catherine (la troisième a été déposée à la Révolution). Sans doute fêlée pour avoir sonné le tocsin durant l’incendie de la nuit du 21 septembre 1834, Marie-Marguerite est refondue puis remontée le 27 décembre 1854. Elle est alors rebaptisée Marie - Hermance (l’un des prénoms de l’épouse de Jacques Potel, alors maire et parrain
[Bellot dans La bataille des
Deux Morins
La bataille des Deux Morins
est une bataille de la Première Guerre mondiale qui se déroule du 5 au 9
septembre 1914 lors de la bataille de la Marne. Elle oppose d'une part la 5e
armée française (commandée par le général Franchet d'Espèrey) et le BEF
(commandé par le maréchal French) aux Ire et IIe armées allemandes (des
généraux von Kluck et von Bülow). Le 5 septembre, Von Kluck devant les attaques
de l'armée de Maunoury sur l'Ourcq repositionnent ses corps d'armée en les
repliant vers le nord pour combattre cette 6e armée française. Ce
mouvement crée un vide dans l'alignement allemand masqué par des divisions de
cavalerie. Les forces de la 5 e armée française et du BEF avancent dans la
brèche à partir du 6 septembre et repoussent les troupes allemandes. Le BEF est
opposé aux troupes de la I re armée allemande, la 5e armée française tente de
tourner la IIe armée allemande. Devant ses manœuvres, la IIe armée allemande
doit se replier et entraîne avec le repli de toutes les armées allemandes et la
victoire des troupes alliées. Lors du déclenchement de la Première Guerre
mondiale, les armées allemandes pénètrent en Belgique afin de tourner les
armées françaises et les détruire.
La 5e armée française est
affaiblie par la retraite de 350 km réalisée pendant presque 15 jours, elle
change aussi de commandant, le général Lanzerac cède son poste au général Franchet
d'Espèrey. 8 septembre : la gauche de la IIe armée allemande est bousculée. Des
observations aériennes ont vu des colonnes d’infanterie, d’artillerie et de
voitures battant en retraite vers le nord. La région de Rebais,
La Ferté-sous-Jouarre - Coulommiers est vide d’ennemis, les colonnes se dirigent vers le nord pour franchir la Marne entre La Ferté-sous-Jouarre et Château-Thierry. La cavalerie française conserve sa mission d’assurer la liaison avec l’armée anglaise. Ses avant-gardes doivent se mettre en route à 6h à partir de Champ-Martin - Villers-les-Maillets, entre le Grand et le Petit Morin. Les avant-gardes signalent que les Allemands se sont retirés jusqu’au Petit Morin. 7h : Les éclaireurs de pointe, arrivés devant Bellot, sont accueillis à coups de fusil. Les Allemands tiennent la vallée sous le feu, de leur position dominante de Château-Renard. 9h : La brigade légère, qu’accompagnent le groupe cycliste et une batterie, réussit à entrer dans Bellot mais ne parvient pas à franchir le Petit Morin. Le gros de la 4e division s’engage sur le plateau mais est accueillie par des obus, ce qui l’immobilise. Or, elle n’a devant elle que des arrière-gardes. Pendant que von Kluck se bat sur l’Ourcq, appuyant sa gauche à la Marne, le cours de la Marne est surveillé par deux divisions de cavalerie. L’intervalle entre La Ferté-sous-Jouarre et Villeneuve-en-Bellot, soit 25 km est tenu par la 5e division de cavalerie et la cavalerie de la Garde, décimée. Sur un front de 12 km, aucune unité allemande ne garde le Petit Morin. 9h30 : L’infanterie anglaise est arrivée sur le Petit Morin et va forcer le passage. Une grosse colonne allemande se dirige de Montmirail vers Château-Thierry, une autre vers Chézy et Nogent-l’Artaud. L’armée anglaise va attaquer la deuxième
colonne, le 9e corps d’armée, rappelé par Von Kluck. Le
général Conneau expédie à ses trois divisions l’ordre d’attaquer le 9e corps
d’armée. Mais cet ordre n’est finalement pas exécuté. 11h : Le plateau de
Château-Renard a été nettoyé par l’infanterie anglaise qui a franchi le Petit
Morin à Sablonnières et à Bellot. 18h30 : La division de cavalerie française
d’Abonneau fait mouvement vers Vieils-Maisons pour attaquer une colonne
allemande mais celle-ci est déjà à Château-Thierry. 20h30 : Les trois divisions
de cavalerie françaises sont dans leur cantonnement sur les deux rives du Petit
Morin. Quant aux anglais, la division de cavalerie Allenby est à Replonges, le 1e
corps d’armée à Bassevelle, le 2e corps d’armée aux Feuchères, le 3e corps
d’armée 788888 portes de La Ferté-sous-Jouarre. La droite de l’armée von Bülow
s’est retranchée en aval de Boissy-le-Repos. Pour en savoir plus : http://www.sambre-marne-yser.be/article.php3?id_article=78
La Ferté-sous-Jouarre - Coulommiers est vide d’ennemis, les colonnes se dirigent vers le nord pour franchir la Marne entre La Ferté-sous-Jouarre et Château-Thierry. La cavalerie française conserve sa mission d’assurer la liaison avec l’armée anglaise. Ses avant-gardes doivent se mettre en route à 6h à partir de Champ-Martin - Villers-les-Maillets, entre le Grand et le Petit Morin. Les avant-gardes signalent que les Allemands se sont retirés jusqu’au Petit Morin. 7h : Les éclaireurs de pointe, arrivés devant Bellot, sont accueillis à coups de fusil. Les Allemands tiennent la vallée sous le feu, de leur position dominante de Château-Renard. 9h : La brigade légère, qu’accompagnent le groupe cycliste et une batterie, réussit à entrer dans Bellot mais ne parvient pas à franchir le Petit Morin. Le gros de la 4e division s’engage sur le plateau mais est accueillie par des obus, ce qui l’immobilise. Or, elle n’a devant elle que des arrière-gardes. Pendant que von Kluck se bat sur l’Ourcq, appuyant sa gauche à la Marne, le cours de la Marne est surveillé par deux divisions de cavalerie. L’intervalle entre La Ferté-sous-Jouarre et Villeneuve-en-Bellot, soit 25 km est tenu par la 5e division de cavalerie et la cavalerie de la Garde, décimée. Sur un front de 12 km, aucune unité allemande ne garde le Petit Morin. 9h30 : L’infanterie anglaise est arrivée sur le Petit Morin et va forcer le passage. Une grosse colonne allemande se dirige de Montmirail vers Château-Thierry, une autre vers Chézy et Nogent-l’Artaud. L’armée anglaise va attaquer la deuxième
Extraie du
site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
Aujourd'hui faudra ce mouiller les pieds |
gauche.
Nous sommes dans un autre siècle |
Abreuvoir, et Lavoir |

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