Chartres
Pour cette promenade la découverte de Chartres se trouve en fin de parcours. Loin de moi l'idée d'une visite détaillée, pour cela vous trouverez certainement ce qu'il vous faut à l'office de tourisme. La cathédrale demanderait plus de deux heures, à elle seul. J'espère simplement vous faire découvrir ce joyau pour vous donner l'envie, de l'approfondir.
Avril 2019
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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Le code mobile de cette randonnée est b322926
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Carte VisoRando Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Je me suis garé
un peu loin du centre-ville, dans le quartier des Contesses, rue Georges
Pompidou. Ce trouvant à gauche de la D127 (rue des Comtesses.) Nous trouvons
dans cette impasse des parkings, notamment en fin de semaine, c'est peut être
moins certain en semaine avec l'école et la crèche.
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
Remonter la rue Georges Pompidou jusqu'à la rue des contesses, (D 127), traverser le pont de la ligne de chemin de fer et prendre au kiosque tout de suite après le pont la promenade des coteaux sur la droite. On traverse la D 339 (rue des Perriers) et continuons en face la promenade des coteaux. Nous arrivons aux escaliers que nous descendons. Au bas des escaliers nous rejoignons la rue que nous prenons à droite. Après un bâtiment nous trouvons sur la droite une allée, c'est la promenade des bords de l'Eure. [ Rivière d'une longueur de 228,5 km, prend sa source dans la
tourne sur la gauche et
sort du Parc, coupons la départementale 935. Nous entrons
dans le bois de Bel-Air, le chemin tourne sur la gauche puis débouche à un
carrefour, nous laissons sur la gauche un chemin retournant à Gourdez,
(balisage jaune), sur la droite le GR et un autre balisage jaune se dirigeant
vers Chavanne et Morancez. Nous prenons à droite, le GR, traversons un
carrefour, nous sommes toujours dans le bois et sur le GR. Nous débouchons rue
de Chavannes face à un centre commerciale que nous prenons à gauche. Longeons
une ancienne ferme avec une tour (peut être un pigeonnier) transformé en mairie.
Face à cette ferme prenons à droite et entrons dans le parc comportons des jeux
pour les enfants, toujours le GR. Nous débouchons rue De La Croix que nous
prenons à droite. A la première fourche nous prenons à droite, une rue dont je
n’ai pas le nom (d’après le topo oral c’est la rue de la Croix. Nous traversons
la départementale 935 faisons un léger esse gauche-droite après un passage
entre les maisons, nous entrons de nouveau dans un parc, passons au-dessus de
la passerelle avec de vielles (dalles en pierres), le chemin tourner sur la
gauche, longeons un étang sur la droite, puis des tennis et des aires de jeux. Nous
passons une barrière anti intrusion, et débouchons rue du moulin Lembert. Nous
abandonnons
ici GR. Le chemin fait fourche, plutôt un esse gauche-droite, de
route gravillonnée nous passons à bitume. Nous sommes sur le chemin de la
Déserte des Prés longeons un resto et un étang réserve de pêche. Nous débouchons
sur la départementale 114, au niveau d'un carrefour en triangle avec des bacs de déchetterie.
Nous prenons à droite, traversons l'Eure, nous arrivons à une fourche avec la
rue Jean de La Fontaine (D 339) ou nous retrouvons le GR nous prenons la route
de gauche la D 114 en direction de Ver lès Chartres. Pas facile, pas très large
et avec des virages, attention aux voitures. Nous longeons le château des moineaux, puis l'abbaye de
l'eau, mais l'on ne verra que de longs murs de clôtures. Nous sommes rue de
l'Abbaye de l'eau. Nous arrivons à l’entrée de La Varenne, au carrefour de la D
127 (rue de Chartres) et la rue de Tachainville (D114) [Dès le lendemain de la première guerre
mondiale, André Michelin
Vielle borne Michelin |
entreprend seul l’étude d’un appareil de
signalisation qui regrouperait sur un seul support toutes les
indications nécessaires au bon cheminement de l’automobiliste. En ce qui
concerne les panneaux indicateurs, André Michelin eut l’idée d’utiliser
des plaques de lave émaillée, plus résistantes et inoxydables, avec comme support massif, du béton armé. La borne d’angle naît ainsi en 1918, mais c’est en 1928 et
après quatre prototypes différents qu’elle prend sa forme définitive
constituée d’un pied plus large au sol et plus fin dans le support du
cube de signalisation. Et ce n’est qu’en 1931 que
l’emploi de ce signal est officiellement approuvé. En plus des bornes
d’angle, Michelin produit et installe jusqu’en 1939 des “poteaux”,
“murs” et “panneaux muraux” de signalisation, auxquels s’ajoutent
quelques panneaux de danger et de priorité. Tous ces panneaux portent un
bandeau indiquant soit le nom du sponsor (Michelin, TCF...) avec
parfois un logo, soit le département ou la région d’implantation. En 1946 paraît
une instruction générale sur la signalisation routière qui annule
toutes les instructions antérieures. Homogénéité et cohérence sont
désormais de rigueur.
L’administration refuse toute forme de don pour la
signalisation des routes. Michelin continue cependant sa production de
panneaux en lave émaillée sur béton armé, mais ils ne portent plus
aucune indication publicitaire. L’usage des bornes d’angle va peu à peu
être strictement limité “aux intersections peu importantes”. Les plaques
disparaissent au profit de “flèches”, murales ou sur pied. Mais à côté
fleurissent de très nombreux nouveaux panneaux, aux formes et aux
graphismes les plus divers. Jusqu’en 1971,
année où Michelin cesse cette production, chaque panneau réglementaire
aura sa version sur lave émaillée. (à noter que sur la fin, cette
dernière sera remplacée pour certains panneaux par de l’acier émaillé
traditionnel). Source : “un demi-siècle de signalisation routière 1894-1946” par Marina Duhamel-Herz.Si vous voulez en savoir plus sur
l’histoire des panneaux Michelin et des panneaux de
circulation routière
en général. http://www.panneauxenbeton.fr/panneaux_michelin_histoire.html] poursuivons tout droit,
la rue de Tachainville. Nous sommes toujours sur le GR. La route fait fourche
nous prenons à gauche en direction du moulin de Tainchaiville, nous avons l’impression
de rentrer dans la propriété, mais nous trouvons un chemin sur la gauche
longeant un clôture. Passons sur une passerelle, traversons l'Eure, longeons
une prairie, puis un bois que nous traversons. C'est le bois des Prés Hauts,
nous sommes toujours sur le GR de Pays de la vallée de l'Eure. A l'angle du bois nous abandonnons le chemin
partant dans les champs et faisant un angle
aigu sur la gauche, pour prendre sur
la droite à une vingtaine de mètres avant ce virage, le chemin longeant la
lisière du bois. Nous débouchons en bordure de l'Eure, chemin de Monthory et
longeons la rivière. Nous arrivons à
Thivars, au Moulin de Montory. De chemin nous passons à bitume. A
Thivars au carrefour de la D 114.3 (Rue du Chanoine Vergez, et du chemin de la
Robie) nous prenons à droite la départementale 114.3, rue du chanoine Vergez. Laissons
la rue des noyers, poursuivons la départementale, nous passons devant un château. Abandonnons pour un cours instant les GR, pour arriver rue Hector Boudon que nous prenons à gauche faisons le
tour de l'église
avec son drôle de clocher [Le village devient un bourg influent sous le règne
de Louis
XIV, car l'ancienne nationale a été
construite quelques années auparavant pour faciliter le commerce entre Paris et le port de Bordeaux. Cette route facilite le développement de la ville qui voit
sa population passer de 100 à presque 300. L'un des rares et seuls monuments du
village est l'église de Thivars, dédiée à saint Hilaire. Visible depuis tout le
village, elle date du xvie siècle. Elle est située au cœur du village, place de la
Mairie. Wikipedia]. Revenons sur nos pas, et prenons cette fois-ci sur la gauche la
ruelle et les GR, entre des
maisons descendant vers l’Eure que nous traversons sur
un vieux pont en dalles de pierre et son lavoir qui malheureusement à perdu
tout son attraie par le remplacement de la partie mobile permettant en toute
saison de laver le linge par un sol en béton. Poursuivons le GR, traversons par
une passerelle en béton un fossé avec plus ou moins d’eau stagnante. Nous débouchons
dans une allée ‘’passage des pêcheurs’’ que nous prenons à gauche, à la D 910 (rue Nationale) nous prenons à droite. Laissons sur
la gauche la voie sans issue, du moulin de Châlons, traversons de nouveau un
bras d’eau (La Berthelot) [Nous trouvons sur le
site Annuaire Mairie https://www.annuaire-mairie.fr/riviere-berthelot.html les renseignement suivant ; La source de
la
Rivière est à une altitude de 137 m. La
Rivière Berthelot est un affluent de la Rivière
L'eure. Altitude du lieu de confluence de
148 m. d’une longueur de 5,3 km.] C’est la
première fois que je vois une rivière couler dans le sens de sa source…Doit y avoir une erreur de hauteur. Prenons sur la gauche la rue des Courtilles (D114.3), nous sommes toujours sur le
GR. Nous sortons de Thivars, traversons un bois et au carrefour avec un
calvaire (Croix en acier ouvragée), nous abandonnons le GR partant sur la
gauche vers Bluet, pour couper à travers champs. Abandonnons le bitume et prenons
le chemin tout droit. Laissons un chemin sur la gauche. Nous arrivons à Goindreville
sur la D 114 (rue de Noël Ballay) que nous prenons à gauche. La rue fait un
esse droite-gauche le second virage étant un peu plus large. Laissons deux rues
sur la gauche. A la première la D114.3 ou nous retrouvons les GR. Au carrefour
suivant angle des rues de la Berthelot et de Bel air (D114), abandonnons les GR
partant sur la gauche par la rue sans issu de la Berthelot, pour prendre sur la
droite (chemin de Chaunay), également rue sans issu. La rue est bordée de maisons.
De bitume nous passons à chemin que nous poursuivons dans les champs. Laissons
les chemins de gauche et de droite, poursuivons toujours tout droit le chemin
principal et à la côte 159 sur la carte, nous traversons un carrefour, poursuivons
tout droit, on aperçoit le clocher de la cathédrale et sur la gauche les
repères modernes des blocs d’immeubles. Nous débouchons sur un chemin formant
Té (cote 156), nous
prenons la branche de droite, nous sommes au lieu-dit ‘’La
Vallée la reine, les champs Tords, les Bardoux’’. Nous apercevons une ligne à
haute tension. Laissons un chemin sur la gauche, dirigeons nous vers la ligne à
haute tension. Le chemin tourne en angle aigu sur la gauche, longeons plus ou
moins la ligne à haute tension, laissons sur la gauche le chemin se dirigeant
vers la ferme de Chaunay, poursuivons la branche de droite, le chemin tourne en
angle aigu sur la droite, passons sous la ligne à haute tension et débouchons
sur un chemin formant Té, nous prenons sur la gauche, et débouchons sur la D
921 (face à la déchetterie), que nous prenons à droite. Nous avons une
piste
cyclable pour longer la départementale. Contournons le centre commercial,
traversons le rond-point aux aménagements prévus pour les cyclistes. Poursuivre
en face nous avons toujours la piste cyclable permettant de marcher en sécurité
nous longeons le centre commerciale, au second rond-point (la carte n'est pas à
jour.) nous prenons la D 127. Un fossé
et un talus séparent la route de la piste. Profitons d'un accès bitumé à
un chemin en traversant la départementale et trouvons un chemin sur la gauche que
nous prenons. Nous arrivons Barjouville, débouchons sur la D 339.6, rue de
Beauce. Nous longeons le cimetière et descendons cette rue.
Laissons les ruesadjacentes. Nous descendons la rue de Beauce, retrouvons un balisage jaune traversons
un rond point avec la D 127 (rue Pluviers). Nous prenons la direction de la
zone de pêche. La rue débouche à l'angle de la rue Jean de La Fontaine et de la
D 339, nous prenons à gauche, nous retrouvons le balisage de Saint Jacques de
Compostelle et un balisage jaune elle fait rapidement fourche et prenons à
droite la rue des Patis, en direction du plan d’eau et des prairies. La rue
descend. Dans le bas elle tourne sur la droite. Nous trouvons dans l’angle un
sentier que nous prenons, descendant dans un bois passons les passerelles et
suivons le balisage. Nous suivons un
autre balisage jaune. Le chemin fait
fourche prenons la branche de gauche, contournant une station d'épuration et
arrivons dans un parc le long d'un grand étang nous prenons la direction de
Luisant. Suivons sa rive, de l’autre coté du chemin nous avons un ru. Nous
contournons l’extrémité de l’étang, quittons le balisage jaune pour prendre sur
la gauche, un chemin dans un bois, il fait de nouveau fourche, prenons à
droite, nous débouchons en bordure de l'Eure et retrouvons un balisage jaune
que nous prenons à gauche. Je quitte le balisage jaune pour suivre la rivière,
je passe sous la D 123 poursuivons en bordure de l'Eure jusqu’au seconde étang. Nous sommes sur le GR de Saint
Jacques. Nous retrouvons un balisage et prenons le
chemin de gauche passons une passerelle et longeons la rive du second étang sur
la droite, (nous retrouvons le GR). A notre gauche un centre équestre. A
l’extrémité de l’étang nous abandonnons le balisage et l’étang, sortons du Parc,
traversons la D 105 nous sommes à Luisant. Prenons à gauche un chemin aménagé
en piste cyclable et en promenade longeant le bois. Nous nous approchons du carrefour
et poursuivons notre piste sur la droite. Nous longeons des marais, un ruisseau
avec peut être du cresson sauvage. Nous laissons la sortie avec le pavillon
carré. Le chemin tourne sur la droite. Nous abandonnons ce chemin
pour prendre
une allée herbeuse sur la gauche, nous faisant rejoindre la D 339 que nous
prenons à droite, Rue de la Vallée de l’Eure, qui devient, rue des
Perriers, nous longeons les jardins familiaux. Passons à nouveau la petite
ligne de chemin de fer sous un haut pont. Nous retrouvons la passerelle
permettant de retourner au parking. J’ai poursuivi tout droit pour visiter
Chartres. J’ai fais la découverte de la ville en fin
de parcours pensant peut être à tort que cela ne vous intéresserait pas ou que
vous connaissiez déjà. La rue des Pierriers débouche sur la D 935 (rue
Saint Brice) après avoir coupé la rue des réservoirs qui se prolonge par la rue
des trois ponts. Nous prenons à
gauche la rue Saint Brice, à la fourche nous
prenons à droite la rue Saint-Martin au Val. Nous arrivons à l’ancienne Abbaye [Installée sur un ancien complexe cultuel des Carnutes,
Saint-Martin-au-Val aurait accueilli les sépultures de plusieurs évêques des
premiers temps, comme en témoignent les nombreux vestiges archéologiques
découverts encore visibles. La population nombreuse qui vit autour du prieuré
rend nécessaire l'édification d'une église dans la première moitié du XIIe
siècle auprès de Saint-Martin-au-Val sous le vocable de Saint-Brice. Cette
église paroissiale sera démolie à la Révolution. Ruiné par les Guerres de
religion, le prieuré est repris au XVIIe siècle
par un prieur commendataire qui
en entreprend la restauration en la modifiant. En 1791, les bâtiments sont
affectés aux vieillards et aux orphelins que viennent rejoindre en 1840 les personnes
aveugles à l'hôpital Saint-Julien. L'église Saint-Martin-au-Val a subi de
nombreux travaux depuis le début du XIXe siècle dont la construction des deux
tourelles aux angles de la façade. Aujourd'hui, les bâtiments conventuels,
modifiés et agrandis et l'église se préparent à recevoir une restauration.
L'ensemble prend le nom d'abbayes Saint-Brice, un terme qui ne correspond pas à
l'histoire puisque l'abbaye (au singulier) était sous le vocable de
Saint-Martin, alors que Saint-Brice n'était que l'église paroissiale disparue à
la Révolution.
orleans.aujourdhui.fr/etudiant/lieu/abbaye-saint-brice-chartres.html].
Au second rond-point, nous prenons à gauche la rue Vangeon. Nous débouchons de
nouveau rue Saint-Brice que nous prenons à droite, nous arrivons en pourtour du
centre ville historique. Traversons le Boulevard de La Courtille et prenons sur
la gauche, la rue sur la gauche jehan Pocquet ou nous avons une belle tour sur
la gauche. [La rue a été ouverte en 1887, en même
temps que les nouveaux bâtiments du lycée Marceau. Elle s'appelait alors rue du
lycée. Elle a pris le nom de Jehan Pocquet plus tard, en hommage à ce bourgeois
chartrain qui avait, au XVIe,
Début des photos de Chartres |
donné un bâtiment pour abriter le collège de
Chartres, à savoir, un hôtel rue de Chinche (rue disparue qui se situait à
l'emplacement actuel des jardins en terrasse de l'évêché).
La tour ronde qu'on y remarque, coiffée d'un toit pointu, a été construite en
1887, en même temps que le lycée, dans le style gothique, à usage de réservoir.
Elle a servi de réservoir pour les eaux de la ville jusqu'en 1929. Source : Histoire des rues de Chartres, Roger Guillois, éd. l'Echo Républicain
1978. https://www.perche-gouet.net/histoire/rues.php?rue=1984] la rue
fait fourche nous prenons sur la droite la rue Saint-Michel puis la rue de la
Mairie sur la gauche prendre sur la droite la rue Montescot, puis à gauche la
rue de la poêle percée. Au carrefour à droite la rue de la clouterie, tout de
suite à gauche rue de la volaille elle fait fourche, mais ne change pas de nom,
nous prenons à droite. Nous débouchons place du cygne qui est une rue et nous
débouchons rue Noël Ballay, que nous prenons à droite, après la rue Sainte
Même, elle devient rue du Soleil d’Or. Nous poursuivons par la gauche rue
percheronne, laissons la rue Fulbert et prenons à droite la rue de Bethléem,
nous arrivons devant la
Cathédrale [La cathédrale Notre-Dame de Chartres est le monument
emblématique elle est traditionnellement considérée comme la cathédrale gothique
la plus représentative, la plus complète ainsi que la mieux conservée de France
par ses sculptures, vitraux et dallage pour la plupart d'origine, bien qu'elle
soit construite avec les techniques de l'architecture romane
montrant ainsi la continuité et non la rupture entre ces deux types
d'architecture. L'actuelle cathédrale,
de style gothique
dit « classique », a été construite au début du XIIIe siècle,
pour la majeure partie en trente ans, sur les ruines d'une précédente
cathédrale romane,
détruite lors d'un incendie en 1194. Grand lieu de pèlerinage,
elle domine la ville de Chartres et la plaine de la Beauce, se dévoilant au regard
à plus de dix kilomètres de distance. La
légende de l'élection divine et mariale de
Notre-Dame de Chartres est une tradition forgée au XIVe siècle.
par les chanoines de la cathédrale. Vers 1420, le prédicateur Jean
de Gerson s'appuie probablement sur
cette légende pour évoquer une ancienne grotte occupée par des druides carnutes cent ans avant notre ère, grotte dédiée à « la Vierge devant
enfanter » (légende d'une statue de déesse mère qui aurait servi de
sanctuaire aux premiers chrétiens, à l'époque romaine, la statue portant
l'inscription Virgini pariturae. Le 5 septembre 1134, la ville de Chartres est
presque entièrement détruite par un incendie. Si la cathédrale romane de
Fulbert est épargnée, c'est l'occasion de construire une nouvelle façade sur le
terrain rendu libre et d'édifier le portail royal vers 1145-1150. La ville est
de nouveau la proie d'un incendie le 10 juin 1194. Le voile de la Vierge aurait
été providentiellement mis à l'abri dans le martyrium dit « chapelle de Saint Lubin » par des
clercs. Après deux ou trois jours de déblayage, les chanoines qui s'étaient
réfugiés avec elle et la relique sont retrouvés. En réchappent plusieurs
parties : les cryptes, les deux tours qui ne subissent que des
dégâts
mineurs. Le portail occidental est conservé ainsi que les trois baies de
vitraux le surplombant. Un autre vitrail, « Notre-Dame de la Belle Verrière », est aussi sauvé de l'incendie avant d'être
remonté dans le déambulatoire. La réédification de la cathédrale, sous la forme
que nous connaissons aujourd’hui, débute immédiatement après cet incendie, ce
qui suppose un programme architectural planifié depuis longtemps. Initié par
l'évêque Renaud de Bar, ce projet n'est donc certainement pas la
conséquence de l'incendie. Les historiens émettent deux hypothèses : soit
l'incendie est un accident de chantier (chantier de restauration ou de
construction, par exemple lors de travaux de soudure), soit il a été provoqué
pour débloquer une situation conflictuelle entre les chanoines et l'évêque). Sous la Révolution française, la cathédrale est convertie en temple de la Raison le 15 novembre 1793. Elle subit des dommages
pendant la Terreur : destructions de vitraux et des statues du
portail sud, disparition de tout le mobilier, plomb de la couverture arraché et
fondu pour fabriquer des balles de fusil. L'orfèvrerie et l'argenterie du
trésor sont également fondus. La statue de Notre-Dame-de-Sous-Terre est livrée
aux flammes. Le député de la Convention Sergent-Marceau, originaire de Chartres, est nommé en octobre
1792, adjoint à la commission conservatrice des monuments des arts. C'est à ce
titre qu'il prend des mesures pour que soit évitée la destruction de toute les
sculptures et même de tout l’édifice. Le 4 juin 1836, un vaste incendie dû à la
négligence de deux ouvriers plombiers détruit la toiture et la
« forêt » (la charpente en bois de châtaignier). L'architecte départemental
Édouard Baron propose leur remplacement par une charpente métallique de fonte
et de fer et une toiture en cuivre, réalisées de 1836 à 1841 par l'ingénieur
Émile Martin et le serrurier Mignon. Les travaux sont financés par la loi du 18
juillet 1837. Je vous laisse lire l’histoire de cette magnifique sur wikipédia
d’où vient les extraies de ce topo sommaire, ou sur d’autres sites. ] la petite rue
transept Nord (rue du cloître Notre dame) et entrons dans le jardin de
l’évêché. Remarquons les bâtiments du musée des Beaux-arts. Ressortons du
jardin et sortons par la porte de l’Officialité [Porte de l'Officialité : Elle débouchait sur les anciens
bâtiments de l'administration épiscopale et des lices, où se trouvait entre
autres
l'échafaud. https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/travaux-urbanisme/lhistoire-des-neuf-portes-sera-bientot-racontee-sur-place_1191060/] elle débouche rue cardinal pie que nous prenons à
gauche, nous pouvons faire un petite détour par les bâtiments du centre international
du vitrail. Après la rue Henri IV nous poursuivons tout droit par la rue du
cheval blanc, après le rond point elle devient place Jean Moulin qui est en
fait une rue. Les noms des rues se succèdent Rue Collin d’Harleville, puis du
général de Gaulle, nous prenons sur la gauche la rue de l’esplanade de la
Résistance et débouchons sur la grande place des Epars. Traversons cette place
un peu en biais pour prendre sur la
droite la rue du Docteur Maunoury, puis à gauche la rue de Châteaudun puis à droite
la rue de Chanzy que nous suivons jusqu'au rond-point. Nous prenons en biais la
rue de Civry et nous débouchons sur la départementale 127 rue des comtesses que
nous prenons à droite traversons la ligne de chemin de fer et prenons la rue
Georges Pompidou sur la gauche. Nous retrouvons notre petit parking.
Le Bleu de Chartres |
niveau d’effort :
· 0 à 25 = niveau 1 (facile). aucune difficulté physique particulière.
· 25 à 50 = niveau 2 (assez facile). Les difficultés physiques très limitées.
· 50 à 75 = niveau 3 (peu difficile). L’engagement physique reste raisonnable.
· 75 à 100 = niveau 4 (assez difficile). L’effort soutenu, difficulté physique importante.100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. Il faut une réelle préparation physique.
100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. Il faut une réelle préparation physique.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.htm
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