
Nous prenons le chemin des Mille Gouttes c’est également le
GR 4E, le sentier du Sancy étiquette verte, un balisage jaune et un VTT. Nous
sortons rapidement de l’espace urbanisée en grimpant dans la foret. Laissons un
chemin qui descend sur la droite et poursuivons notre grimpette. Nous arrivons
à une première fourche ou nous abandonnons le GR 4
E et les informations
suivantes ; sur la gauche le Mont Dore est à 4km, la station à 1 km et le
pont du funiculaire à 200m. Poursuivons sur la droite et le chemin qui grimpe
et sur la

carte portant les deux noms ‘’Les milles Gouttes et des Artistes’’. A
la seconde fourche comportant un banc, et des informations. Sur la
droite ; La Bourboule est à 6,5km, le Mont Dore à 1,3 km et les Gouttes à
0,3 km. Nous abandonnons le chemin des artistes pour continuer sur la gauche le
chemin des Milles Gouttes, vers la station du Mont Dore 4 km, le Capucin 2,5
km, la gare du funiculaire à 0,4km, et un treck 1-8. Le chemin serpente dans la
foret, nous arrivons à la station haute du funiculaire du Capucin, longeons le
bâtiment. Le chemin l’été doit devenir bitume. Je ne prends pas le chemin
totalement à droite vers le point de vue et le VTT23 et le treck 8. Je prends
l’autre se nomme Chemin des Médecins et montant vers le salon du Capucin. Nous
arrivons au Salon du

Capucin à 1250 mètres d’altitude. Passons sur la gauche du
restaurant et prenons le chemin du capucin. Nous rencontrons le GR 30, longeons
l’espace d’accro branches, laissons un chemin sur la gauche. Nous suivons le
balisage vert et le treck N°8 Laissons un second chemin et à un carrefour en
tridents, je prends le troisième chemin sur la gauche (qui est une piste
raquette). (J’ai quitté le GR, celui-ci étant sur une piste de skie de fond, et
puis j’ai trouvé que le petit sentier serait

mieux que le grand chemin même en l’été.)
Le chemin fait une première fourche, laissons le chemin de droite, on poursuit
légèrement à gauche, nous arrivons à une intersection, poursuivons tout droit.
Je ne sais plus ou j’ai quitté la piste de raquette qui s’éloignait fortement
de ma trace. Nous arrivons de nouveau sur une fourche et poursuivons sur la
droite, le chemin s’incline un peu sur la droite, coupe un chemin, un peu avant
la large route que nous

prenons à gauche. On retrouve le GR 30, le balisage
vert, flèche jaune et le treck 8, malheureusement pour moi c’est une piste de
skie de fond. Sur le bord je constate des traces de raquettes. Pas énormément
de skieurs en cette belle journée ‘’d’été’’ pour un mois de février, la neige
commence sérieusement à se dégrader. Je monte en marchant sur le bord en
faisant attention à ne pas dégrader la neige. Sur les bords les skieurs n’y
vont pas et je fais bien attention aux skieurs qui descendent. Mais je
rencontre peu, seulement deux

dans le sens de la monté, et cela me donne
l’impression qu’il y a un sens de circulation. Nous passons un réservoir d’eau.
Si on lève la tête on aperçoit une aiguille qui se détache de la montagne
principale. Poursuivons notre montée, laissons un large chemin sur la droite,
puis un peu plus loin, sur la gauche nous trouvons un sentier avec un triangle
trek 8 triangle noir, ce sentier suit une ligne électrique, il grimpe
fortement. (Il permet de couper un virage du large chemin.) Dans le

haut nous
sortons de la foret et longeons un chalet, ou un refuge, fermé l’hiver, nous
retrouvons le GR 30 d’après la carte c’est ici que se termine le large chemin
qui, l’été, est peut être une route bitumée, ou du moins un chemin en stabilisé
et l’on continuerait sur un simple chemin dans des prairies. On a une belle vue
sur l’arrière de la Stèle, la montagne de Bozat et de Chambourguet. Pour moi
c’est toujours la piste de skie de fond qui continue. Le paysage commence à ce
dévoilé et c’est pas mal. Dans le virage après le chalet nous devons trouver
l’été un sentier sur la gauche permettant de monter au sommet du capucin, il se
trouve peut être juste après la clôture c’est un sentier qui monte raide de se
coté. Un peu plus
loin, il doit également y avoir un sentier qui grimpe un peu
moins fort. Le Capucin culmine à 1463 mètres le premier sentier se trouve à
1385 et grimpe directement en

serpentant sur la pente raide. Le second sentier (je
vois une pancarte planté au milieu d’un champ de neige) monte plus lentement,
le GR montant plus doucement vers les 1400 mètres, le chemin montant au Capucin
suit la ligne d’un mole ou d’une crête arrondie. Je suis les traces de raquette
qui attaquent la pente dans sa partie la plus

raide, puis rejoint le sentier
principale. Passons une échelle de bois au dessus de la clôture. Le chemin est
réglementé par de petits poteaux, et des câbles.
L’hiver c’est un peut dangereux les câbles et
poteaux dépassent à peine de la neige et il faut faire attention ou l’on pose
le pied, pour ne pas buté sur l’extrémité du poteau ou se prendre le pied dans
un cable . Le paysage est magnifique. On à une vue à 360°, le Sancy ce dresse
devant nous, dans son prolongement

le plateau de Durbise, un peut plus sur la
droite, la montagne de Chambourguet, avec cette immensité immaculée qui l’été
doit être toute verte ou tout grillée suivant l’intensité du soleil. Je
resterais là, bien longtemps. Un banc me permettrait de rêvasser de longues
heures. J’essaye de voir, ‘’de visu et sur le GPS’’, si je peux modifier ma
trace par une marche dans cette immensité blanche, afin de ne pas revenir sur mes
pas. Mais je ne vois que la piste de

skie de fond. Sur mon GPS, aucun chemin
qui l’été permettrait de rejoindre ma trace, pour une rando d’une petite après
midi. Je redescends par le même chemin, reprend le GR et la piste de skie de
fond en sens inverse, nous entrons de nouveau dans le bois et nous prenons le
premier large chemin sur la gauche. (Je n’est pas trouvé le chemin, qui est
tracé sur Open Street, il doit être sous la neige et n’est pas utilisé pour les
raquettes. Je n’ose pas me lancer sur un

terrain inconnu en pente où l’on ne
voit pas ou poser les pieds. Restons prudent. Je redescends jusqu’au premier
chemin visible l’hiver quitte le GR pour prendre à gauche et suivre les flèches
jaune (parcelle 10). Retournez-vous, c’est magnifique. Pour moi c’est un peu
moins magnifique, le chemin est également une piste de skie, je vais bien finir
par me faire prendre, j’ai beau emprunter le bord de la piste et ne pas abîmé
un peu plus la neige qui à bien du

mal à ne pas fondre avec ce temps
magnifique. Je ne dois pas être là, c’est bien indiqué à l’entrée des pistes.
Malheureusement il n’y a pas beaucoup de chemins pour les raquettes. Dans un
virage je quitte la piste pour prendre ce qui me semblait être un chemin, mais
ce n’ai qu’une laie forestière, bien large et en pente, si l’on ne voit pas la
terre du chemin, on se rend bien compte que l’on ne risque pas une chute. Après
deux cent mètres nous sortons de la laie forestière parcelle9, nous retrouvons
un chemin et le GR 30 que

nous prenons à gauche (c’est toujours une piste de
skie) laissons un sentier sur la gauche (et un autre sur la droite piste
raquette l’hiver mais qui ne va pas dans ma direction). Nous arrivons à un
virage en épingle à cheveux tournant à droite, poursuivons notre descente. Dans
un autre virage en épingle à cheveux tournant sur la gauche nous quittons le GR
et poursuivons tout droit. Nous avons des informations ; La Bourboule est
à 6,5 km et Le Mont Dore 2,5 et Bourgeat à 0,7 km. Toujours une piste de skie l’hiver.
Dans le bois, je trouve des traces de

raquettes longeant la piste, nous sommes
dans le pré des Sagnes et dans un vallon un peut plus large que plus haut. Je
longe un petit courre d’eau, puis ma piste de neige quitte ma trace et je
reprends la piste de skie se trouvant sur le chemin. Nous arrivons à une
intersection de chemins balisés, à trois dents avec des informations ; sur
la gauche la Bourboule à 6km, Le Mont Dore 2 km. Je quitte ma trace, j’aurais
du prendre à gauche, mais c’est une piste de skie. Je prends celui du milieu,
l’hiver c’est

une piste piétonne. Nous passons une barrière, coupons une route
(Route Forestière du Salon du Capucin) prenons en face et débouchons sur un
chemin formant Té face à la parcelle 5, avec le notre ou nous trouvons des
informations ; Sur la gauche, Station du Mont Dore 4,5 km et le salon du
Capucin à 0,900 km. Sur la gauche La Bourboule est à 5 km, Le Mont Dore à 1,7
km, et Rigolet Haut à 0,2 km.
Nous
prenons à gauche et arrivons à Rigolet Haut. A la sortie de la foret nous
prenons à droite et entrons dans ce Charment village sous la neige. La rue fait
fourche. Nous avons les

informations suivante le Mont Dore et les Gouttes sur
la droite à 1,7 km, sur la gauche La Bourboule, Le Mont Dore par Chaucail (peut
être Choucas) à 2,5 km. Nous prenons à droite et nous avons l’impression
d’arriver dans la cour d’une maison. La rue tourne sur la gauche et se dirige
vers le salon d’été des propriétaires. Mais à droite, le long de la maison nous
avons un sentier avec une vielle pancarte toute rouillée et l’on devine la
direction du Mont Dore. On ne voit pas bien le départ du sentier. C’est un beau
sentier qui

descend dans les bois dans une pente assez raide en serpentant sur
le flanc de la Montagne. Nous trouvons un rond jaune presque effacé sur les
arbres, que nous avons suivi pratiquement sur toute cette promenade. Nous
arrivons à une intersection de sentier, et retrouvons un balisage. Laissons un
premier chemin remontant sur la droite poursuivons le chemin balisé à flanc de
montagne. Le chemin fait fourche, Laissons sur la gauche la D 645, nous


poursuivons à droite le chemin des artistes à flanc de montagne. Le chemin fait
fourche, nous poursuivons par la branche de gauche le large chemin, qui grimpe
de nouveau. Un peu plus loin nous retrouvons le chemin que nous avons pris lors
de notre monté, poursuivons jusqu’à la rencontre du GR 30 que nous prenons à
gauche et cette fois ci nous descendons vers Le Mont Dore et notre parking.


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