Devant
nous se déroulait un pays vert et mouvant,
silencieux et profond, coupé de haies épaisses,
empli d'ombres puissantes et tout mouillé d'eaux vives.
Point de fleuves, des rivières, point de lacs, des étangs,
point de vallées, des vallons, une gravité touchante.
Nous étions en Limousin."
Jérôme et Jean Tharaud
Je vous propose aujourd’hui une Petite Promenade dans le
Limousin, au lac de Saint Pardoux.
Il y a quelques temps, je vous avais proposé une promenade
de la journée autour de ce lac. La boucle la plus proche de l’eau. En Réalisant
ce parcours je me suis aperçu qu’il existait deux petites promenades. Je vous
en propose une aujourd’hui. La fin du lac coté barrage.
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b322936
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Le lac de Saint Pardoux et ses polémiques
Sa superficie est de 330 hectares, et il est situé à une
altitude de 360 mètres NGF. Il se trouve au
confluent de la Couze et du Ritord.
Son jeune âge fait que sa superficie n'est pas
encore stabilisée, l'érosion plus rapide des berges est toujours en cours. Il a
servi de sujet d'étude pour une thèse sur l'évolution morphologique des lacs de
barrage artificiel.
Le lac a fait l'objet de plusieurs polémiques quant
à sa réputation d'avoir un taux de radioactivité supérieur à la normale, du
fait de l'extraction d'uranium à proximité par la Cogéma mais aussi par la
simple présence de ce minerai à l'état naturel dans le sol de la région. Les
anciens travaux de sécurisation du site avaient ainsi été mis en cause. En
conséquence, la vidange périodique du lac, initialement prévue en 2008, a été
avancée de deux ans et a eu lieu à l'hiver 2006-2007. À cette occasion, les
installations ont été vérifiées et les sédiments ont été curés par Areva.
Wikipédia LIMOGES Environnement
samedi 10 avril 2010 - 11:34
La pollution radioactive du lac de Saint-Pardoux (87) serait plus forte
qu’avant le curage. Le collectif "Sous nos pieds" demande la
transparence.
En 2007, les niveaux de radioactivité relevés sur les sédiments dans le lac
avaient conduit le Conseil général et Areva à procéder à un curage, à
l’occasion de la vidange. Problème réglé pour les uns, forcément pérenne pour
d’autres : la polémique subsistait. De sorte qu’a été mis en place un
dispositif vérifiant la radioactivité des nouveaux sédiments, sous le contrôle
d’un comité technique. « Le public et le milieu associatif en ont été
écartés et plus aucune information n’est délivrée quant à la réalité des
pollutions actuelles », déplore le collectif "Sous nos pieds".
Or, selon ce dernier, une récente étude du laboratoire universitaire Pe@rl,
commandée par le Conseil général, confirmerait les craintes : « Le
lac serait aujourd’hui plus pollué encore que lors de la récente
vidange », indique le collectif, soupçonnant le Conseil général de garder
le secret alors que se profile la saison estivale.
Aussi demande-t-il copie du rapport de Pe@rl, avec
l’objectif d’assurer l’information du public, tout en interrogeant le Conseil
général et Areva sur leurs intentions pour remédier à cette situation.
Créé il y a quelques mois, "Sous nos pieds, héritage nucléaire du
Limousin", rassemble une quinzaine d’associations et des mouvements
politiques : Adepal, Adex, Objecteurs de croissance, Air de nos campagnes,
Attac, Chlorophylle, Limousin Nature Environnement, Corrèze Environnement,
Guéret Environnement, Sources et rivières du Limousin, Vélorution, Gauche
alternative et écologiste, Jeunes démocrates, les Verts, NPA, Parti
occitan ? http://www.sortirdunucleaire.org/Saint-Pardoux-la-radioactivite
En effet curé en 2007 le Lac de St Pardoux semble à
nouveau atteindre les mêmes niveaux de pollution 3 ans après. Pour le
moment le
débat n’est pas sanitaire, aucune étude épidémiologique n’a jamais été réalisé
par le passé afin de mesurer les impacts réels sur la santé. Toutefois le débat
est bien démocratique puisque nous devons tous demander des comptes sur
l’avenir de notre environnement comme le demande le collectif Sous Nos Pieds
depuis sa création : déchets liés à l’ancienne exploitation des mines
d’uranium, pollutions de l’eau…Communiqué de presse du 4 août 2010 Pollution
radioactive du lac de St Pardoux : tourisme ou déchets il va falloir choisir
A l’occasion de la manifestation « Randonnez vous au Lac de St Pardoux,
organisation d’une campagne d’information sur la pollution radioactive du lac.
Le collectif « Sous nos pieds, l’héritage nucléaire du Limousin » s’était
étonné il y a quelques mois que le comité de suivi de la contamination
radioactive du lac de Saint-Pardoux soit resté muet sur les résultats de 2008
et 2009. A notre demande insistante, le Conseil Général a bien voulu enfin nous
les faire parvenir.
Site touristique d’importance du département de la Haute Vienne, le site est en
effet situé au coeur des anciens sites miniers d’uranium aujourd’hui sites de
stockage de déchets radioactifs.
La pollution radioactive du lac avait été reconnue après plus de 10 ans
d’alertes du milieu associatif, et le lac était curé en 2007 à l’occasion de sa
dernière vidange. (Ces 11000 m3 de boues contaminées sont aujourd’hui stockées
comme déchets radioactifs au centre de stockage de Bellezanne.)
Dés 2007, le milieu associatif alertait le Conseil Général et AREVA sur le fait
que cette opération de curage ne réglerait pas le problème de la pollution
continue du lac, en l’absence de mesures de traitement à la source du problème.
A cette époque le Conseil Général clamait au contraire que le problème était
réglé, titrant même son bulletin d’information ainsi : « un étang tout neuf ! »

A la demande des associations un piège à sédiments
avait alors été mis en place afin de vérifier la contamination éventuelle des
nouveaux sédiments arrivant dans le lac, et un comité technique avait été créé.
C’est le résultat de ses observations que le Conseil Général cachait
jusqu’alors que nous voulons rendre public, car elles montrent la persistance
d’une pollution radioactive du lac bien supérieure au seuil fixé par l’arrêté
préfectoral du 31 décembre 2003, prescrivant à COGEMA le suivi et la
surveillance de ses rejets d’eau aboutissant au lac de Saint-Pardoux. Cette
pollution est située au niveau de l’anse de Chabannes, à l’arrivée du cours
d’eau le Ritord, lui aussi très contaminé.
Le collectif Sous nos Pieds a donc décidé de
profiter de la manifestation touristique du 5 septembre afin d’informer le
public de la réalité des pollutions. La contamination des sédiments du lac de
Saint-Pardoux n’est cependant qu’un exemple de la pollution des eaux en aval
des anciens sites miniers, reconvertis aujourd’hui pour certains en lieux de
stockage de différents déchets radioactifs.
Le collectif demande maintenant que toute la lumière soit faite sur ce que
comptent faire le CG et AREVA pour remédier enfin à cette situation. http://blog.vertchezmoi.net/pollution-radioactive-du-lac-de-st-pardoux/
http://www.lepopulaire.fr/saint-pardoux/transport/2016/04/08/la-piscine-de-saint-pardoux-prend-forme-peu-a-peu_11861777.html
Revenons à
notre promenade.
Km Temps
V/d & g Dénivelé
6 1h05 5,5 135 +

Comment ce
rendre dans ce village ? c’est relativement facile ce rendre à Saint
Pardoux prendre la D 44a en direction d’Oradour sur Glane, Nantiat, Le Buis, et
on passe la route d’accès sans voir un panneau nous indiquant que le village de
Masmaraud situé sur le haut de la colline. Une fois trouvé, il faut garer la
voiture. En traversant à pied, le hameau, il m’a semblé que ce n’était pas
facile. J’ai donc gardé le titre mais je me suis garé à la digue du lac ou nous
trouvons beaucoup de places de parking. Ce parking à la

facilité de se trouver
sur la D44a, à environ 2 km de Saint Pardoux. Laisser dans un virage la C7 en
direction de Champ Communal et Chantot, passer un pont traversant la rivière de
la Couze, Lorsque la route fait un virage sur la droite très serré, nous
trouvons un nouveau panneau directionnel en direction de Nantiat et un tout
petit nous indiquant le site de la digue. Prendre ce chemin empierrer sur
environ 400 m. Il est très large, cela permet d’éviter les trous et les grosses
pierres. Dans le bout une large surface plane permet de

garer la voiture.
En cherchant
les caractéristiques du barrage j’ai trouvé ce très long sujet sur l’origine de
la création du lac, il m’a semblé intéressant après deux promenades en bordure
de ce plan d’eau d’en connaître les origines.
Attention ce n’est qu’un extraie le texte complet se trouve sur
internet, voir adresse en fin du document.
[Comme son cousin de
Vassivière, le lac de Saint-Pardoux n’a rien de naturel. Ce plan d’eau de 330
hectares ne doit son existence qu’à la présence d’une digue érigée dans les
années 1970, sur la Couze. Ses eaux s'étendent sur le territoire de quatre
communes : Saint-Pardoux, Razès, Compreignac et Saint-Symphorien-sur-Couze.
Découvrons les origines de cette retenue d'eau, qui n'était pas, au départ,
destinée à un usage touristique. Avant la construction
de la digue, il y avait de la vie dans la vallée de la Couze, entre
Saint-Pardoux, Compreignac, Razès et Saint-Symphorien. Une présence humaine
dont les vestiges sont encore présents sous les eaux du lac, et que l’on peut
redécouvrir à l’occasion des vidanges décennales. Autrefois, il
y avait trois autres ponts : le pont de la Perche et le ponceau de Puymoulin
sur lequel seuls piétons et charrettes pouvaient circuler, et le pont de
Santrop (parfois écrit sans le "p") qui reliait Saint-Pardoux à
Razès. Naissance du Lac Tout commence en mai
1968. Il y avait alors des fonds destinés à créer, soit des
ensembles
touristiques, soit des projets de rénovation rurale dans chaque département.
Pendant qu'étudiants et CRS s'affrontent dans le quartier latin et bientôt
partout en France, un grand projet se dessine en Haute-Vienne...
« Monsieur Morin, ingénieur en chef du service régional d’aménagement des eaux
a été chargé par le préfet de rechercher un site qui puisse accueillir un
projet de rénovation rurale dans le département de la Haute-Vienne », «
L’ingénieur en chef avait ciblé trois sites sur la Haute-Vienne. C’est
Saint-Pardoux qui a été retenu, par sa configuration, le fait qu’il ne nuisait
pas beaucoup à l’agriculture. À l’époque, il n’était
pas question de tourisme.
Le plan d’eau devait être destiné à former une retenue qui puisse irriguer les
terres du Haut-Limousin et du Poitou. À la fin des années 70, quand s’est
constitué l’office de tourisme Gartempe-Saint-Pardoux, ses présidents
successifs et les élus municipaux ont rédigé un petit mémoire sur les
caractéristiques du plan d’eau et sur l’origine du projet, sur la naissance du
projet. Le
4 novembre 1968, le préfet prenait un arrêté approuvant la création d’un
syndicat intercommunal des vallées de la Couze et du Vincou. Le
maire de Bellac de l’époque a beaucoup oeuvré pour transformer ce plan d’eau en
site touristique et y exercer des activités de
loisirs comme le ski nautique,
dont il était fondateur du club de sa ville, avec aussi voile, baignade etc. » le 19
septembre 1969, le conseil syndical confirmait ces décisions d’engagement et de
financement des études préliminaires. le 24 mars 1970 un rapport sur l’état
d’avancement des études préliminaires, et un compte-rendu de l’état
d’avancement d’études confiées au bureau d’études et de réalisation urbaine
pour l’exploitation touristique du lac. « On commence à parler de
tourisme. La
zone d'aménagement différé a été créée officiellement le 15 octobre 1970 et
elle concernait non seulement les terrains noyés, mais aussi ceux nécessaires
aux aménagements touristiques. La superficie était d’environ
900 hectares. c’est
trois fois la superficie actuelle du lac ! C’est au cours du 4e trimestre 1970, que débutait, avec le
concours des services des domaines, l’acquisition des terrains destinés à être
noyés. Ce n’est qu’à la fin de 1970 que la ville de Limoges et le
département de la Haute-Vienne, intéressés par le potentiel touristique du
projet, adhèrent au syndicat qui se transforme en Syndicat mixte des vallées de
la Couze et du Vincou. « Depuis les choses ont grandement évolué, puisque les
villes de Limoges et de Bellac se sont retirées. Il ne restait plus que le
département et les quatre communes riveraines du lac, et de fait le conseil
général a pris en main, à lui seul, la propriété intégrale et il n’y a plus de
syndicat. En 1974,
la quasi totalité des opérations de débroussaillage, de
nivellement ont été effectuées. La première mise en eau a eu lieu en 1976, pour
vérifier qu’il n’y avait pas d’éventuelles fuites. Puis on a vidé le lac pour
le remettre en eau en 1977. Le lac de
Saint-Pardoux est inauguré en juillet 1977. On déplore
l’existence de seulement deux plages surveillées sur les trois prévues, celles
de Santrop et Fréaudour. « Le lieu est surtout dans l’immédiat le paradis des
pêcheurs et des promeneurs avides de nature à l’état brut ». L’aménagement des
sanitaires, des postes de sécurité, des buvettes et snacks n’est pas encore
terminé. On se contentera de
structures provisoires pour cette saison
inaugurale. Deux campings sont attendus pour l’été 1979, une troisième plage
est annoncée près de la base nautique de Chabannes. Tout cela n’empêche pourtant
pas le succès immédiat de l’endroit qui « connaît la foule certains week-ends
ensoleillés ». Mais notre confrère de l’époque ne peut s’empêcher de rappeler
qu’il s’agit là d’une « foule qui apprécie le caractère sauvage du lac ou
déplore le peu d’aménagements ». Une foule qui goûte également peu la décision
du syndicat mixte de faire payer 5 francs l’entrée aux parkings des plages de
Santrop et Fréaudour, pour rémunérer les personnes ayant cédé leurs terrains et
qui
en assurent la surveillance. Résultats : les visiteurs préfèrent se garer
le long des routes étroites qui longent le lac. Les années 80 et 90, principalement marquées par les premières vidanges
décennales du lac en 1987-88 puis 1997-98 et la prise des commandes par le
conseil général de la Haute-Vienne. Cela ressemble presque à un long fleuve
tranquille, comparé au début du nouveau millénaire… Début
octobre 2006, lors de la vidange décennale, 10.000 mètres cubes de boues «
radiomarquées » sont raclées par des pelleteuses, dans la anse de Chabannes,
avant d’être évacuées par camions vers le site de stockage de l'ancienne mine
de Bellezane, à une vingtaine de kilomètres de là, sur la commune de Bessines-sur-Gartempe.
Un épisode douloureux dont la plaie n’est toujours pas totalement refermée dix
ans après. « Quand on entend “ne va pas te baigner à Saint-Pardoux c’est
radioactif”, c’est du n’importe quoi ! », râle le maire de l’époque. « J’ai le
sentiment qu’il fallait faire, et c’est ce qui a été fait, des travaux
importants

d’élimination de certains déchets que moi je n’appellerais pas
“radioactifs” parce qu’ils sont bien en dessous des normes à ne pas dépasser.
C’étaient des résidus venant de sites miniers qui affectaient effectivement une
partie du lac, notamment sur le Ritord (principal affluent de la Couze), mais
cette partie là a fait l’objet de travaux. Je pense qu’il y a eu une
communication un peu nonchalante. Cette communication a fait du mal. Elle a
fait beaucoup de mal au lac. Il ne passe pas un mois, encore aujourd’hui - mais
c’était plus important il y a 10 ans - sans qu’on reçoive un coup de fil à la
mairie de quelqu’un de Limoges nous demandant si les eaux sont propres, voire
même "est-ce
que c’est toujours contaminé ?". Alors c’est vrai que
les eaux en Limousin le sont toujours un peu de manière naturelle, mais il y a
une comparaison qui n’a pas lieu d’être. » « Les opposants se sont tus, sans
doute parce qu’ils n’avaient plus de raisons de s’opposer à la réalité. Il y a
eu beaucoup d’exagération, mais le lac en a beaucoup souffert. Dans le langage
des gens, on dit “oui, il y a peut-être un danger”, mais non, il n’y a pas plus
de danger qu’ailleurs », insiste le maire de Saint-Pardoux. À la naissance du
lac en 1977, il y avait encore la Cogema. Elle est partie du secteur dans les
années 90 à peu près. Et le grand reproche que je fais à la Cogema, c’est
d’être partie en laissant persister une situation anormale 
et très critiquable.
Ça n’affectait d’ailleurs qu’une partie du lac. Quand on a regardé, à l’époque,
les analyses, les contrôles, ça affectait surtout - toujours en dessous des
normes - la zone située face à Santrop, alimentée par le Ritord, donc des eaux
venant des anciens sites miniers. » Pour ses 40 ans, le lac de Saint-Pardoux a
reçu un joli cadeau : une piscine dernier cri, construite sur le site de
Santrop, dotée d'un parc aquatique en extérieur avec bassins ludiques et
toboggans géants. Le nouvel équipement a ouvert ses portes au public fin mai
2017. De quoi relancer l'attractivité du site et tourner définitivement la page
de la décénie précédente. Vous retrouverez en détail le sur https://www.lepopulaire.fr/gf/PC_longform_stpardoux/]
N’ayant pas trouvé de
document sur la barrage proprement dit, il me semble que
c’est un barrage poids [barrage construit à partir d’éléments de maçonnerie en béton, de
roche et de terre et conçu pour retenir l'eau en utilisant seulement le poids
de la matière qui s’oppose à la pression horizontale de l'eau s’exerçant sur le
barrage. Les barrages-poids sont conçus de telle sorte que chaque
section de barrage est stable, indépendamment de toute autre section de
barrage. En 2008, environ 3 200 barrages sont de type poids à travers
le monde wikipédia] Après toutes ses explications partons enfin en
promenade. Au panneau d’information Digue du lac 363 mètres, suivons la flèche le
tour du lac site de Chavanne par Masmarraud
balisage orange, jaune et GRP, nous
tournons le dos au barrage. Le chemin fais fourche nous poursuivons tout droit
le balisage jaune et GRP, passons un pont de bois on aperçoit entre les arbres
le barrage, poursuivons sur un beau sentier rempli de racine en bordure du lac,
le sentier débouche sur un chemin que nous prenons à gauche, nous longeons le
lac, toujours balisage jaune et GRP. Nous arrivons de nouveau sur une fourche,
laissons le chemin partir sur la droite il est barré par une chaîne,
poursuivons par la branche de gauche. Passons un nouveau pont avec de petits
escaliers, balisage jaune et GRP. Le chemin fait fourche, nous laissons un sentier
sur la droite, on s’éloigne un peu de
la rive, nous laissons sur la droite un
sentier, et poursuivons le balisage. Dans un virage nous arrivons à une
intersection en Y, laissons face à nous les deux chemins se dirigeant vers les
petites plages, et prenons à droite, il manque un peut de balisage dans ce
coin, nous contournons une petite anse et arrivons à une intersection avec un
panneau d’information. Compreignac – Pierre Blanche 365 m. Une flèche nous
indique que sur la droite nous allons à Chabanne par le tour du lac de Saint
Pardoux balisage jaune et orange, nous abandonnons le GRP et le balisage jaune
pour prendre sur la droite le balisage orange. Nous grimpons vers le plateau,
nous arrivons à une intersection de routes gravillonnées (sur la
droite le
chemin est privée), il manque un peut de balisage, mais le bois est en
régénération et cela ressemble à une clairière, poursuivons tout droit, il fait
de nouveau fourche laissons le chemin de droite. Nous entrons de nouveau dans
le bois, puis c’est une alternance de bois et de prairies, nous arrivons aux
premières maisons de Masmaraud traversons le village, notre chemin devenue rue débouche
sur l’artère principale du village que nous prenons à droite et retrouvons le
GRP. Dans le village nous cherchons un peu le balisage. Nous laissons une rue sur la droite et
poursuivons tout droit un chemin empierré le long d’un mur. Nous sommes sur le
GRP et le balisage orange. Nous débouchons sur la D 44a, nous retrouvons le
chemin que nous avons pris en voiture. Nous sommes au pont de la Perche 345m
prenons cette route gravillonnée, nous trouvons une fourche laissons les
gravillons et prenons à gauche le chemin se
dirigeant vers la rivière de la
Couze [C'est un affluent gauche de
la Gartempe, et donc un sous-affluent de la Loire, par la Creuse et la Vienne. De 35,2 km de longueur, la Couze prend sa source
dans les monts d'Ambazac, à 605 mètres d'altitude, près de Saint-Léger-la-Montagne. Elle coule vers l'ouest, remplissant avec son principal
affluent le Ritord le lac de Saint-Pardoux. Elle prend la direction du nord-ouest, approchant Saint-Symphorien-sur-Couze et baignant Balledent, avant
de se jeter dans la Gartempe près de Rancon. Wikipédia]
Ouf nous ne grimpons pas, mais c’est reculé pour mieux sauté. Nous retrouvons le balisage, que
j’avais un peut perdu sur la large route, nous longeons la rivière et arrivons
au pied du barrage, il faut bien remonter jusqu’au parking par un chemin sur la
droite.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html
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