vendredi 2 octobre 2020

Petite Promenade N°100 (bis) en Alsace : Ribeauvillé


Ribeauvillé : Les châteaux de saint Ulrich – Gisberg – Ribaupierre et  le monastère de Dusenbach

promenade de la ½ journée 13 km intenses ou en prenant son temps une petite journée
Ce n'est pas une visite du village que je vous propose, mais des châteaux qui se trouve juste au dessus
Km      Temps    Arrêt      V/d    V/g    Dénivelé   Alti max
14         3h30       1h00     4,1     3,1      668               649

Septembre 2018

  Carte IGN                          Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                         Le code mobile de cette randonnée est b322747

  Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici     

Ribeauvillé : [Situé au cœur du vignoble alsacien, Ribeauvillé fait partie des plus beaux villages de la région. Le village de Ribeauvillé est tout en longueur, avec de nombreuses et belles maisons à colombages. Vous pourrez poursuivre la promenade vers les trois châteaux qui surplombent Ribeauvillé. Les premières traces d’une occupation attestées de la zone, un domaine agricole du nom de Ratbaldsvilare, remontent au VIIIème siècle. C’est au XIème siècle que s’établit sur ces terres le seigneur de Reinbaud. Il y construit le château de Reinbaudpierre, dont le nom se transformera par la suite en Ribeaupierre, puissante famille de la région et du Saint Empire Romain Germanique. Le bourg obtiendra le statut de ville à la fin du XIIIème siècle, période qui voit aussi la contruction des châteaux du Girsberg et du Haut Ribeaupierre. Des murailles entourent aussi la ville, divisée alors en 4 quartiers indépendants. Au XVIème siècle les Ribeaupierre abandonnent les châteaux pour s’établir en ville dans un nouveau château. A la fin du XVIIème siècle la famille de Ribeaupierre s’éteint et leurs biens passent à la famille de Birkenfeld qui les conservera jusqu’à la Révolution.
Par la suite, la ville devient un important centre textile et se modernise, les remparts sont abattus ainsi que la
plupart des tours. http://www.alsace-passion.com/ribeauville.htm

 

Un peut compliqué le balisage surtout que l'on ne trouve pas de traces sur L'IGN
Je suis partie de la rue de Sainte Marie aux Mines ou l'on trouve facilement de la place pour ce garer étant loin du centre ville. Nous trouvons le passage Jeannette départ des rando. (GR 5 et plus ‘’+ jaune’’). (Un peut compliqué le balisage dans les Vosges, mais efficace, il faudrait l'instaurer sur les sentiers Denecourt de Fontainebleau, au moins lorsque l'on est sur une couleur ou un sigle on ne le rencontre pas les autres durant tout le circuit. Ce qui m'exaspère, c'est que même sur les cartes IGN c'est un désert de traces. Si vous voulez vous y retrouver, acheter les carte à l'estampille club vosgiens. Moi rien que ça, je tourne mes pas. Les associations ont des subventions pour maintenir en état leur itinéraires... et ce sont nos impôts - locaux, départementale, régionale.  Dommage, il faudrait que le Club Vosgiens,  fasse preuve  à l'époque ou nous sommes d'un peut  plus d'ouverture... ) La ruelle est gazonnée puis pavée. Nous longeons certainement le mur de l’ancienne fortification avec une tour. A l'entrée du Lycée Ribeaupierre, nous prenons à gauche. Le sentier monte dans les vignes et sur la carte se nome Hagelpfad, passons la ‘’Gloriette’’ sorte de kiosque, ou nous avons une belle vue sur Ribeauvillé et la plaine d'Alsace et de l'autre côté sur les deux châteaux. Nous quittons les vignes pour entrer dans une belle forêt. Le chemin devient plus difficile, il fait fourche. Nous suivons le GR 5 rectangle rouge sur la gauche. Nous franchissons une zone rocheuse ou des marches ont été creusées dans la roche, le chemin est empierré. Après quelques lacets nous arrivons au château de Saint Ulrich. Pour moi c'est le plus beau château. Lorsque l'on regarde du bas c'est le mieux conservé. C'est château n’ont rien à envier aux châteaux cathare. Ils sont construits sur les mêmes piétons rocheux les rendent imprenable, avec l'avantage d’une visite gratuite.
 [Parmi les quatre ruines qui dominent Ribeauvillé, le Saint Ulrich apparaît sans conteste comme l’un des ensembles castraux les plus passionnants de Haute-Alsace. Il contrôlait autrefois la route stratégique reliant la plaine d’Alsace à la haute vallée de Lièpvre. Témoin de la puissance des sires de Ribeaupierre, il fut leur demeure principale jusqu’à son abandon final au XVIe s. Il est donc doté de différents styles architecturaux : à des parties romanes sont adjointes des éléments gothiques, voire Renaissance. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/chateau-de-saint-ulrich/  Le château est mentionné dès le 11ème siècle. Vers 1140 la première famille de 
un chemin peu facile
Ribeaupierre édifie le château roman. En 1156 Emma Ribeaupierre épouse un protégé de l’Empereur Frédéric Barberousse. La seconde lignée va sans cesse agrandir et embellir le château jusque vers 1450. Au milieu du 15ème les seigneurs délaisse le château pour habiter en ville. En 1477 la chapelle castrale deveindra un lieu de pèlerinage dédié à Saint Ulric. Le château prendra le nom du Saint patron germanique.  Jusqu’au début du 17 ème le château est entretenu. (panneau d’information.)] Je suis surpris il est encore possible de monter dans le donjon par un escalier de Bois. De la terrasse nous avons une vue imprenable sur la plaine d'Alsace et le château de Gisberg. Ressortons de ce monument. 




 


 





 





  

Reprenons le GR 5 un peut sur la gauche, gravissons les marches et nous arrivons sur une esplanade. 
Laissons le GR 5 partir sur la gauche et prenons le sentier local (+plus de couleur jaune) face à nous. C'est un beau sentier à flanc de montagne menant au château  du Gisberg. [le château du Girsberg a été édifié au XIIIe s., afin d’y loger une nouvelle branche de la famille des Ribeaupierre : le logis y est encore bien visible. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/chateau-de-saint-ulrich/  Edifié sur un éperon rocheux entre 1250 et 1273 il porte le nom de Stein in Rapolzstein, il sert à renforcer la défense du premier château. En 1304 les Ribeaupierre 
confient le château à l’un de leurs vasseaux les Gyrssberg. Le château prendra ce nom ce qui signifie Mont du Vautour. En 1422 le vassal entre en conflit avec son suzerain. Maximin Ier fait le siège du château et tue Jean Guillaume de Giersberg. Récupéré par la famille de Ribeaupierre le château s’appelleera le petit Ribeaupierre. A la fin du 16ème siècle il sera progressivement abandonné. (Panneau d’information.)]On y passe beaucoup moins de temps, il est d’une par plus petit et un peu plus en ruine. Poursuivons le sentier sur la droite en sortant du château, nous débouchons sur une allée 
forestière que nous poursuivons à droite, le chemin descend lentement. Nous rencontrons un premier sentier Rouge-Blanc-Rouge sur la droite descendant vers Ribeauvillé poursuivons cette belle allée sur les flanc du  Voderluetzelbach. Poursuivons notre allée forestière qui descend lentement.  Nous arrivons à une intersection de sentiers. Sur la gauche un balisage rouge blanc rouge et un triangle rouge, menant au troisième château (35 mn) et à la fontaine du chevreuil (15 mn) et le Taennchel à (1h40) et sur la droite un balisage nous ramenant à Ribeauvillé. Je poursuis mon allée forestière jusqu'à la fontaine de Lutzelbach (chemin VTT 4). En ce milieu de mois de septembre la 
source du ruisseau est à sec, il ne reste que l'abreuvoir en pierre sur le côté avec un très faible débit. Reprenons notre large allée forestière en sens inverse. (On peut rejoindre Ribeauvillé en poursuivant la descente par l'allée  forestière  de droite.) Nous retrouvons sur la droite le sentier rouge-blanc-rouge et un sentier local triangle rouge que nous prenons en direction du château de Ribeaupierre.  Le chemin fait fourche nous abandonnons le balisage triangle rouge et poursuivons par le Rouge-Blanc-Rouge, le sentier grimpe à flanc de colline. Le sentier serpente et passe devant la fontaine du chevreuil complètement à sec et même avec un filet d'eau, l’auge n'est pas bien grande ni 
profonde. Nous sommes dans une belle foret de hêtre de chêne et de houx. Après un virage à angle aigu nous débouchons sur une allée forestière ou nous rencontrons le GR 5 rectangle rouge que nous prenons à gauche en direction du haut Ribeaupierre. Nous abandonnons le rouge-blanc-rouge se dirigeant vers le château d’Ulrich  pour suivre sur la gauche le Gr 5. Passons une table de pique-nique. Le château est 
interdit au public pour risque je pense de chutes de pierres. Des barrières en bloquait l'entrée d'un côté, mais elle est arrachée et disloquée. A l'autre extrémité je n'ai pas vu de barrières. Il faut vraiment chercher le passage pour se rendre au donjon. Il est fissuré sur la moitié de sa hauteur, l'escalier en fer menant à la porte d'entrée étant à l'abandon n’est pas rassurant et du bas ont aperçoit une grosse chaîne et un cadenas. Il paraît qu'il est fermé depuis qu'une jeune personne s'est suicidée. [Le Haut-Ribeaupierre fut certainement édifié pendant la période troublée du Grand Interrègne, vers le milieu du XIIIe s. à l’emplacement d’un premier château probablement du Xe s.: il servira de poste avancé lors des projets d’invasion de l’Alsace par le Roi de France, puis de tour de guet destinée à prévenir les incendies de forêts. L’ensemble de l’édifice est dominé par un imposant donjon circulaire qui offre une vue magnifique sur la plaine d’Alsace ainsi que sur les crêtes avoisinantes. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/le-chateau-du-haut-ribeaupierre/]Revenons sur notre chemin passons à  nouveau devant la table de pique-nique laissons les chemins balisés  de droite et de gauche pour poursuivre tout droit le rouge-blanc-rouge vers le cerisier noir taennchel  et le thannenkirch, coupons une route poursuivons tout droit. Notre chemin débouche sur un autre que nous prenons à droite. Nous arrivons sur une grande esplanade (sur la carte OpenStreet noté Spinnplatz)ou nous trouvons des chemins locaux. ( Le Rouge-Blanc-Rouge continue par l’allée de
gauche) Sur la droite nous pouvons rejoindre Ribeauviller par le thannenkirch par Hank, toujours sur la gauche nous trouvons,  un petit sentier balisé en Rouge-Blanc-Rouge en direction nous faisant de Dusenbach et le château d’Ulrich. C'est un beau sentier descendant à flanc de colline, il fait fourche la branche de droite descend sur Dusenbach, le sentier étant moins bien entretenu (arbres en travers) je ne l'ai pas pris, la pente est très raide et de ce côté de la montagne je n'ai rencontré personne. Je me dis que si je chute pour franchir un arbre tombé je pourrais y resté longtemps. Ce chemin n’existe pas sur la carte, n’a pas de balisage juste une information et ma trace trouvée sur internet n’est pas exacte après le château de 
Ribeaupierre, je préfère suivre les balises. Nous arrivons à une intersection de sentier si nous poursuivons tout droit le Rouge-Blanc-Rouge nous retournons vers le château de Saint Ulrich. Nous prenons à droite le balisage triangle de couleur rouge formant un angle aigu sur la droite en direction de Dusenbach. Nous débouchons sur une allée forestière très large (par rapport à notre sentier.) Nous sommes au carrefour du kahlsels, nous y trouvons plusieurs sentier locaux (le + plus Rouge retourne au châteaux en prenant à gauche.  Le triangle rouge par un petit sentier descend vers Dusenbach et la D 416. Dusenbach et pépinière c’est l’allée qui descend balisé d’ + plus rouge.  Si l’on 
cherche bien nous trouvons des rochers, une table de pique-nique  et un point de vue sur le Taennchel. Nous quittons la large allée et le plus (+jaune) pour prendre le sentier et le triangle rouge sur la gauche de la grande allée. Nous descendons vers le monastère de Dusenbach. Après un virage aigu nous arrivons sur une route en stabilisée ou nous trouvons d’autre sentiers locaux le triangle bleu partant sur la droite vers le cerisier noir et la pépinière. Prenons à gauche pour voir le monastère de haut revenons sur nos pas pour traverser le monastère par le triangle rouge et le chemin de croix. (Si nous prenons le triangle bleu sur la 
gauche nous retournons par le chemin de Maria Raydt à Ribeauvillé, mais ce serait dommage de ne pas voir le chemin de croix. )Suivons cette route sur la droite descendons, passons le parking et arrivons aux bâtiments du monastère. [La légende rapporte qu'un ermite de passage dans ce vallon pittoresque, situé à la sortie de Ribeauvillé et la route qui va vers la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines, pas très loin des ruines de Saint-Ulrich y établit un ermitage. La région était en effet une terre de prédilection pour les 
solitaires recherchant la tranquillité, loin des villes et à l'ombre des forêts pour se soustraire de la vanité et la cupidité des hommes. Cet ermite dont l'histoire n'a pas retenu le nom construisit près de sa retraite un calvaire que les populations des environs ne tardèrent pas à fréquenter. C'est aussi l'époque (1197) où le pape Innocent III demanda à Martin, abbé de l'abbaye de Pairis près d'Orbey, de prêcher la croisade en Allemagne et en Suisse. Egelophe II de Ribeaupierre, feudataire de l'évêque de Bâle, Lutholphe Roeteln, prit une petite armée et une croix pour partir à la conquête des lieux saints. On ne sait pas exactement si Egelolphe II prit part au siège de Constantinople en 1204 puis à la cinquième croisade de Damiette, Égypte, en  
1221. C'est à la suite d'une de ces expéditions, qu'il rapporta d'Orient une statue de la Vierge, pour remercier la madone de lui avoir préservé la vie et des dangers encourus au cours de son périple en terre sainte. Il fit construire en 1210 la première chapelle de Dusenbach et y plaça la précieuse statue. Après avoir participé la cinquième croisade avec Jean de Brienne, roi de Jérusalem en 1217 pour prendre le contrôle de Damiette, puis en 1221 avec les croisés, et ensuite avec les Grecs, il perdit la moitié de son armée. Lassé par les guerres et les conquêtes et dégoûté par toutes ces tueries, il se retira dans le petit sanctuaire de Dusenbach et y vécut en anachorète. Il mourut pieusement en  
1222. L’historien et abbé Philippe André Grandidier prétend que celui-ci demanda à être enterré dans le sanctuaire nouvellement construit. La statue de la Vierge de Dusenbach, remonte donc à la plus haute Antiquité. Elle avait déjà été exposée auparavant à la vénération des fidèles d'Orient puis des fidèles d'Alsace, que les croisés avaient voulu soustraire aux musulmans, La tradition rapporte, que dès les premiers jours, de nombreux miracles furent signalés, ce qui ne faisait qu'augmenter la renommée du lieu. De nombreux fidèles venant parfois de très loin affluèrent devant la statue miraculeuse. (Je vous laisse lire les détails de cet ermitage sur wikipédia) Au cours de la seconde moitié du XVe siècle, le sanctuaire de Dusenbach sera rénové de fond en comble. Les chapelles furent essentiellement consacrées au culte de la Vierge Marie. Maximin II de Ribeaupierre y ajouta un chemin de croix reproduisant les principales scènes du calvaire du Christ. La Révolution de 1789 a eu des répercussions néfastes sur le pèlerinage. Dès 1791, le directoire ordonna la fermeture du sanctuaire et la démolition des chapelles au prétexte que l’église paroissiale était abandonnée. La paroisse était alors administrée par un prêtre jureur et les habitants de Ribeauvillé se rendaient en signe 
de protestation les dimanches au sanctuaire de Dusenbach qui continuait d’être desservi encore par des religieux fidèles à Rome. Une gravure représentant l’état des chapelles à cette époque donne en français et en allemand l’explication suivante : « Véritable Représentation des prières publiques tenues par les habitants de la communauté catholique de Ribeauvillé les dimanches et fêtes devant la chapelle de Notre-Dame de Dusenbach, dans le temps que les Églises de la dite ville et la dite chapelle furent fermées. ( Ce n’est qu’un tout petit résumé disparate de ce lieu historique je vous invite à lire la page wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Dusenbach Un résumé sur le panneau nous dit : Le seigneur de Ribeaupierre considérait ce rocher comme sacré dut à  la présence d'un ermite, et y construisit une chapelle entre 
1204 et 1221. Entre 1260 et 1297 deux autres chapelles furent construites. A trois reprise le sanctuaires  fut détruit et reconstruit mais la troisième  fois il reste en ruine durant un siècle de 1794 à 1894 ]Faisons le tour du monastère, de l’église ou nous y trouvons des states très réalistes.  Poursuivons le triangle rouge et descendons l’allée cimenté du chemin de croix. [Après l’inauguration du pèlerinage, le chanoine Raess s’attaque à construire le long du sentier bordé de rochers, qui va à Dusenbach un 
chemin de croix. C’est la maison Meyer de Munich qui fournit les reliefs des stations dont chacune forme une chapelle. Les travaux achevés, le chemin de croix est béni le 24 juin 1896 par l’évêque de Strasbourg assistés des très révérends pères abbés d’Oelenberg et de Notre-Dame de la Pierre et d’environ 80 prêtres. Le très révérend père François, abbé d’Oelenberg, donna le sermon en plein air devant une foule immense. En 1921 et 1922 ont fit restaurer les chapelles des stations et repeindre les reliefs par M. Paul Brutschi de Ribeauvillé. La grande église fut construite et ornée du maître-autel par Monsieur le chanoine Raess. Mgr Fritzen l’a bénite le 8 septembre 1903. Depuis, on y mit de nouvelles fenêtres et l’on construisit les voûtes et la tribune pour les orgues ; celles-ci viennent de la maison Kriess de Molsheim. L’église fut consacrée le 6 octobre 1912 par Mgr Zorn 

de Bulach, évêque auxiliaire de Mgr Fritzen. Les reliefs des autels latéraux sont l’œuvre du jeune artiste alsacien M. Schaeffer, natif de Huttenheim. Ils représentent, l’un la mort de saint Joseph, l’autre l’apparition de l’enfant Jésus à saint Antoine de Padoue. Je suis subjugué par les représentations en terre cuite et rénové en  200. (lisez le détail sur wikipédia, l’histoire au cour des siècles est intéressante. Résumé  du panneau d'information. Aménagé en 1894 par le curé de Ribeauvillé. Long de 800 m il est réalisé par les habitants. Les 12 chapelles représentent la passion du Christ,on été  construites en 1896. Les personnages  sont en terre cuite réalisés par une société  de Munich. L'architecture des chapelles fut modifiées en 1957] Le chemin cimenté nous amène sur la route de Sainte Marie à Ribeauviller (D416) que nous prenons à droite ATTENTION DANGER  le triangle rouge et plus + jaune, les voitures roulent vites et non pas beaucoup de visibilité et le club vosgien n’a rien créé d’autre pour nous faire rejoindre Ribeauvillier. Nous remontons la départementale jusqu’au pont de bois que nous prenons à gauche, passons le 
ruisseau de Strengbach, remontons le ruisseau sur la droite (+plus jaune). Nous trouvons une fourche en angle aigu laissons le +plus jaune partir sur la pépinière et prenons à gauche le sentier vers Saint Morand et Ribeauvillé c’est un beau sentier donnant par moment des vues sur les châteaux de la montagne nous arrivons à une nouvelle fourche ou nous retrouvons le GR 5 rectangle rouge et un +plus bleu. Laissons le GR 5 qui monte face à nous et prenons le sentier qui descend balisé du rectangle rouge d’un +plus jaune et d’un +plus jaune.  Notre sentier débouche sur la rue de Saint Morant qui débouche sur la rue du trois décembre Nous sommes à Ribeauvillé. Suivant ou vous avez trouvé de la place je vous laisse libre de la fin du parcours pour moi Je prends à gauche la D 416. 
 
 



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