Pour
cette Petite Promenade, nous partons en Alsace dans le Haut Rhin, Autour
de Ribeauvillé ,
Ribeauvillé : Les châteaux de
saint Ulrich – Gisberg – Ribaupierre et
le monastère de Dusenbach
promenade de la ½ journée 13 km intenses ou en prenant son temps une
petite journée
Ce n'est pas une visite du village que je vous propose, mais des châteaux qui se trouve juste au dessus
Km Temps
Arrêt V/d V/g
Dénivelé Alti max
14 3h30 1h00
4,1 3,1 668 649
Septembre
2018
En agrandissant la carte nous arrivons
à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b322747
Carte VisoRando
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Ribeauvillé : [Situé au cœur du vignoble alsacien, Ribeauvillé fait
partie des plus beaux villages de la région. Le village de Ribeauvillé est tout
en longueur, avec de nombreuses et belles maisons à colombages. Vous pourrez
poursuivre la promenade vers les trois châteaux qui surplombent Ribeauvillé. Les
premières traces d’une occupation attestées de la zone, un domaine agricole du
nom de Ratbaldsvilare, remontent au VIIIème siècle. C’est au XIème siècle que
s’établit sur ces terres le seigneur de Reinbaud. Il y construit le château de
Reinbaudpierre, dont le nom se transformera par la suite en Ribeaupierre,
puissante famille de la région et du Saint Empire Romain Germanique. Le bourg obtiendra le statut de ville à la fin du XIIIème siècle, période qui
voit aussi la contruction des châteaux du Girsberg et du Haut Ribeaupierre. Des
murailles entourent aussi la ville, divisée alors en 4 quartiers indépendants. Au
XVIème siècle les Ribeaupierre abandonnent les châteaux pour s’établir en ville
dans un nouveau château. A la fin du XVIIème siècle la famille de Ribeaupierre
s’éteint et leurs biens passent à la famille de Birkenfeld qui les conservera
jusqu’à la Révolution.
Par la suite, la ville devient un important centre textile et se modernise, les
remparts sont abattus ainsi que la plupart des tours. http://www.alsace-passion.com/ribeauville.htm]
 |
Un peut compliqué le balisage surtout que l'on ne trouve pas de traces sur L'IGN |
Je suis partie de la rue de
Sainte Marie aux Mines ou l'on trouve facilement de la place pour ce garer étant
loin du centre ville. Nous trouvons le passage Jeannette départ des rando. (GR
5 et plus ‘’+ jaune’’). (Un peut compliqué le balisage dans les Vosges, mais efficace, il faudrait l'instaurer sur les sentiers Denecourt de Fontainebleau, au moins lorsque l'on est sur une couleur ou un sigle on ne le rencontre pas les autres durant tout le circuit. Ce qui m'exaspère, c'est que même sur les cartes IGN c'est un désert de traces. Si vous voulez vous y retrouver, acheter les carte à l'estampille club vosgiens. Moi rien que ça, je tourne mes pas. Les associations ont des subventions pour maintenir en état leur itinéraires... et ce sont nos impôts - locaux,
départementale, régionale. Dommage, il faudrait que le Club Vosgiens, fasse preuve à l'époque ou nous sommes d'un peut plus d'ouverture... ) La ruelle est gazonnée puis pavée. Nous longeons
certainement le mur de l’ancienne fortification avec une tour. A l'entrée du Lycée
Ribeaupierre, nous prenons à gauche. Le sentier monte dans les vignes et sur la
carte se nome Hagelpfad, passons la ‘’Gloriette’’ sorte de kiosque, ou nous
avons une belle vue sur Ribeauvillé et la plaine d'Alsace et de l'autre côté
sur les deux châteaux. Nous quittons les vignes pour entrer dans une belle
forêt. Le chemin devient plus difficile, il fait fourche. Nous suivons le GR 5
rectangle rouge sur la gauche. Nous franchissons une zone rocheuse ou des
marches ont été creusées dans la roche, le chemin est empierré. Après quelques
lacets nous arrivons au château de Saint
Ulrich. Pour moi c'est le plus beau
château. Lorsque l'on regarde du bas c'est le mieux conservé. C'est château
n’ont rien à envier aux châteaux cathare. Ils sont construits sur les mêmes
piétons rocheux les rendent imprenable, avec l'avantage d’une visite gratuite. 

[Parmi les quatre ruines qui dominent Ribeauvillé, le
Saint Ulrich apparaît sans conteste comme l’un des ensembles castraux les plus
passionnants de Haute-Alsace. Il contrôlait autrefois la route stratégique
reliant la plaine d’Alsace à la haute vallée de Lièpvre. Témoin de la puissance
des sires de Ribeaupierre, il fut leur demeure principale jusqu’à son abandon
final au XVIe s. Il est donc doté de différents styles architecturaux : à des
parties romanes sont adjointes des éléments gothiques, voire Renaissance. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/chateau-de-saint-ulrich/ Le château est mentionné dès le 11ème
siècle. Vers 1140 la première famille de
 |
un chemin peu facile |
Ribeaupierre édifie le château roman.
En 1156 Emma Ribeaupierre épouse un protégé de l’Empereur Frédéric Barberousse.
La seconde lignée va sans cesse agrandir et embellir le château jusque vers
1450. Au milieu du 15ème les seigneurs délaisse le château pour
habiter en ville. En 1477 la chapelle castrale deveindra un lieu de pèlerinage
dédié à Saint Ulric. Le château prendra le nom du Saint patron germanique. Jusqu’au début du 17 ème le château est
entretenu. (panneau d’information.)] Je suis surpris il est encore possible de monter dans le donjon par un
escalier de Bois. De la terrasse nous avons une vue imprenable sur la plaine
d'Alsace et le château de Gisberg. Ressortons de ce monument.





Reprenons le GR 5
un peut sur la gauche, gravissons les marches et nous arrivons sur une esplanade.
Laissons le GR 5 partir sur la gauche et prenons le sentier local (+plus de
couleur jaune) face à nous. C'est un beau sentier à flanc de montagne menant au
château du Gisberg. [le château du Girsberg a été édifié au XIIIe s., afin
d’y loger une nouvelle branche de la famille des Ribeaupierre : le logis y est
encore bien visible. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/chateau-de-saint-ulrich/
Edifié sur un éperon rocheux entre 1250 et
1273 il porte le nom de Stein in Rapolzstein, il sert à renforcer la défense du
premier château. En 1304 les Ribeaupierre
confient le château à l’un de leurs
vasseaux les Gyrssberg. Le château prendra ce nom ce qui signifie Mont du
Vautour. En 1422 le vassal entre en conflit avec son suzerain. Maximin Ier fait
le siège du château et tue Jean Guillaume de Giersberg. Récupéré par la famille
de Ribeaupierre le château s’appelleera le petit Ribeaupierre. A la fin du 16ème
siècle il sera progressivement abandonné. (Panneau d’information.)]On y
passe beaucoup moins de temps, il est d’une par plus petit et un peu plus en
ruine. Poursuivons le sentier sur la droite en sortant du château, nous
débouchons sur une allée
forestière que nous poursuivons à droite, le chemin
descend lentement. Nous rencontrons un premier sentier Rouge-Blanc-Rouge sur la
droite descendant vers Ribeauvillé poursuivons cette belle allée sur les flanc
du Voderluetzelbach. Poursuivons notre
allée forestière qui descend lentement. Nous
arrivons à une intersection de sentiers. Sur la gauche un balisage rouge blanc
rouge et un triangle rouge, menant au troisième château (35 mn) et à la
fontaine du chevreuil (15 mn) et le Taennchel à (1h40) et sur la droite un
balisage nous ramenant à Ribeauvillé. Je poursuis mon allée forestière jusqu'à
la fontaine de Lutzelbach (chemin VTT 4). En ce milieu de mois de septembre la
source du ruisseau est à sec, il ne reste que l'abreuvoir en pierre sur le côté
avec un très faible débit. Reprenons notre large allée forestière en sens
inverse. (On peut rejoindre Ribeauvillé en poursuivant la descente par l'allée forestière
de droite.) Nous retrouvons sur la droite le sentier rouge-blanc-rouge
et un sentier local triangle rouge que nous prenons en direction du château de Ribeaupierre. Le chemin fait fourche nous abandonnons le
balisage triangle rouge et poursuivons par le Rouge-Blanc-Rouge, le sentier
grimpe à flanc de colline. Le sentier serpente et passe devant la fontaine du
chevreuil complètement à sec et même avec un filet d'eau, l’auge n'est pas bien
grande ni
profonde. Nous sommes dans une belle foret de hêtre de chêne et de
houx. Après un virage à angle aigu nous débouchons sur une allée forestière ou
nous rencontrons le GR 5 rectangle rouge que nous prenons à gauche en direction
du haut Ribeaupierre. Nous abandonnons le rouge-blanc-rouge se dirigeant vers
le château d’Ulrich pour suivre sur la
gauche le Gr 5. Passons une table de pique-nique. Le château est
interdit au
public pour risque je pense de chutes de pierres. Des barrières en bloquait
l'entrée d'un côté, mais elle est arrachée et disloquée. A l'autre extrémité je
n'ai pas vu de barrières. Il faut vraiment chercher le passage pour se rendre au
donjon. Il est fissuré sur la moitié de sa hauteur, l'escalier en fer menant à
la porte d'entrée étant à l'abandon n’est pas rassurant et du bas ont aperçoit
une grosse chaîne et un cadenas. Il paraît qu'il est fermé depuis qu'une jeune
personne s'est suicidée. [Le Haut-Ribeaupierre fut
certainement édifié pendant la période troublée du Grand Interrègne, vers le
milieu du XIIIe s. à l’emplacement d’un premier château probablement du Xe s.:
il servira de poste avancé lors des projets d’invasion de l’Alsace par le Roi
de France,
puis de tour de guet destinée à prévenir les incendies de forêts.
L’ensemble de l’édifice est dominé par un imposant donjon circulaire qui offre
une vue magnifique sur la plaine d’Alsace ainsi que sur les crêtes
avoisinantes. https://www.chateauxfortsalsace.com/fr/chateau/le-chateau-du-haut-ribeaupierre/]Revenons sur notre chemin passons
à nouveau devant la table de pique-nique
laissons les chemins balisés de droite
et de gauche pour poursuivre tout droit le rouge-blanc-rouge vers le cerisier
noir taennchel et le thannenkirch, coupons
une route poursuivons tout droit. Notre chemin débouche sur un autre que nous
prenons à droite. Nous arrivons sur une grande esplanade (sur la carte
OpenStreet noté Spinnplatz)ou nous trouvons des chemins locaux. ( Le
Rouge-Blanc-Rouge continue par l’allée de
gauche) Sur la droite nous pouvons
rejoindre Ribeauviller par le thannenkirch par Hank, toujours sur la gauche
nous trouvons, un petit sentier balisé
en Rouge-Blanc-Rouge en direction nous faisant de Dusenbach et le château
d’Ulrich. C'est un beau sentier descendant à flanc de colline, il fait fourche
la branche de droite descend sur Dusenbach, le sentier étant moins bien
entretenu (arbres en travers) je ne l'ai pas pris, la pente est très raide et de
ce côté de la montagne je n'ai rencontré personne. Je me dis que si je chute pour
franchir un arbre tombé je pourrais y resté longtemps. Ce chemin n’existe pas
sur la carte, n’a pas de balisage juste une information et ma trace trouvée sur
internet n’est pas exacte après le château de
Ribeaupierre, je préfère suivre
les balises. Nous arrivons à une intersection de sentier si nous poursuivons
tout droit le Rouge-Blanc-Rouge nous retournons vers le château de Saint Ulrich.
Nous prenons à droite le balisage triangle de couleur rouge formant un angle
aigu sur la droite en direction de Dusenbach. Nous débouchons sur une allée
forestière très large (par rapport à notre sentier.) Nous sommes au carrefour
du kahlsels, nous y trouvons plusieurs sentier locaux (le + plus Rouge retourne
au châteaux en prenant à gauche. Le
triangle rouge par un petit sentier descend vers Dusenbach et la D 416. Dusenbach
et pépinière c’est l’allée qui descend balisé d’ + plus rouge. Si l’on
cherche bien nous trouvons des
rochers, une table de pique-nique et un
point de vue sur le Taennchel. Nous quittons la large allée et le plus (+jaune)
pour prendre le sentier et le triangle rouge sur la gauche de la grande allée.
Nous descendons vers le monastère de Dusenbach. Après un virage aigu nous
arrivons sur une route en stabilisée ou nous trouvons d’autre sentiers locaux
le triangle bleu partant sur la droite vers le cerisier noir et la pépinière.
Prenons à gauche pour voir le monastère de haut revenons sur nos pas pour
traverser le monastère par le triangle rouge et le chemin de croix. (Si nous
prenons le triangle bleu sur la
gauche nous retournons par le chemin de Maria
Raydt à Ribeauvillé, mais ce serait dommage de ne pas voir le chemin de croix.
)Suivons cette route sur la droite descendons, passons le parking et arrivons aux
bâtiments du monastère. [La légende rapporte qu'un ermite de passage dans ce
vallon pittoresque, situé à la sortie de Ribeauvillé et la route qui va
vers la vallée de Sainte-Marie-aux-Mines, pas très loin des
ruines de Saint-Ulrich y établit un ermitage. La région était
en effet une terre de prédilection pour les
solitaires recherchant la
tranquillité, loin des villes et à l'ombre des forêts pour se soustraire de la
vanité et la cupidité des hommes. Cet ermite dont l'histoire
n'a pas retenu le nom construisit près de sa retraite un calvaire que les
populations des environs ne tardèrent pas à fréquenter. C'est aussi l'époque (1197) où le pape Innocent III demanda à Martin, abbé de l'abbaye de
Pairis près
d'Orbey, de prêcher la croisade en Allemagne et en Suisse. Egelophe II de Ribeaupierre, feudataire de l'évêque de Bâle, Lutholphe Roeteln, prit une petite armée et une croix pour
partir à la conquête des lieux saints. On ne sait pas exactement si Egelolphe II
prit part au siège de Constantinople en 1204 puis à la cinquième croisade de Damiette, Égypte, en
1221. C'est à la suite
d'une de ces expéditions, qu'il rapporta d'Orient une statue de la Vierge, pour remercier la madone de lui avoir préservé la
vie et des dangers encourus au cours de son périple en terre sainte. Il fit construire
en 1210 la première
chapelle de Dusenbach et y plaça la précieuse statue. Après avoir participé la cinquième croisade avec Jean de
Brienne, roi
de Jérusalem en 1217 pour prendre le
contrôle de Damiette, puis en 1221 avec les croisés, et ensuite avec les Grecs, il
perdit la moitié de son armée. Lassé par les guerres et les conquêtes et
dégoûté par toutes ces tueries, il se retira dans le petit sanctuaire de Dusenbach et y
vécut en anachorète. Il mourut pieusement en
1222. L’historien et
abbé Philippe André Grandidier prétend que
celui-ci demanda à être enterré dans le sanctuaire nouvellement construit. La
statue de la Vierge de Dusenbach, remonte donc à la plus haute Antiquité. Elle avait déjà
été exposée auparavant à la vénération des fidèles d'Orient puis des fidèles d'Alsace, que les croisés
avaient voulu soustraire aux musulmans, La tradition
rapporte, que dès les premiers jours, de nombreux miracles furent signalés,
ce qui ne faisait qu'augmenter la renommée du lieu. De nombreux fidèles venant
parfois de très loin affluèrent devant la statue miraculeuse. (Je vous laisse
lire les détails de cet ermitage sur wikipédia) Au cours de la seconde moitié
du XVe siècle, le sanctuaire
de
Dusenbach sera rénové de fond en comble. Les chapelles furent essentiellement
consacrées au culte de la Vierge Marie. Maximin II de Ribeaupierre y ajouta un chemin
de croix reproduisant les principales scènes du calvaire du Christ. La Révolution de 1789 a eu des
répercussions néfastes sur le pèlerinage. Dès 1791, le directoire
ordonna la fermeture du sanctuaire et la démolition des chapelles au prétexte
que l’église paroissiale était abandonnée. La paroisse était alors administrée
par un prêtre jureur et les habitants de Ribeauvillé se rendaient en
signe
de protestation les dimanches au sanctuaire de Dusenbach qui continuait
d’être desservi encore par des religieux fidèles à Rome. Une gravure
représentant l’état des chapelles à cette époque donne en français et en
allemand l’explication suivante : « Véritable Représentation des
prières publiques tenues par les habitants de la communauté catholique de Ribeauvillé les dimanches et
fêtes devant la chapelle de Notre-Dame de
Dusenbach, dans le temps que les Églises de la dite ville et la dite chapelle
furent fermées. ( Ce n’est qu’un tout petit résumé disparate de
ce lieu historique je vous invite à lire la page wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Dusenbach Un résumé sur le panneau nous dit : Le
seigneur de Ribeaupierre considérait ce rocher comme sacré dut à la présence d'un ermite, et y construisit une
chapelle entre
1204 et 1221. Entre 1260 et 1297 deux autres chapelles furent
construites. A trois reprise le sanctuaires
fut détruit et reconstruit mais la troisième fois il reste en ruine durant un siècle de
1794 à 1894 ]Faisons le tour du monastère, de l’église ou nous y trouvons des
states très réalistes. Poursuivons le
triangle rouge et descendons l’allée cimenté du chemin de croix. [Après
l’inauguration du pèlerinage, le chanoine Raess s’attaque à construire le long
du sentier bordé de rochers, qui va à Dusenbach un
chemin de croix. C’est la
maison Meyer de Munich qui fournit les reliefs des stations dont chacune forme
une chapelle. Les travaux achevés, le chemin de croix est béni le 24 juin 1896
par l’évêque de Strasbourg assistés des très révérends pères abbés d’Oelenberg
et de Notre-Dame de la Pierre et d’environ 80 prêtres. Le très révérend père
François, abbé d’Oelenberg, donna le sermon en plein air devant une foule
immense. En 1921 et 1922 ont fit restaurer les chapelles des stations et
repeindre les reliefs par M. Paul Brutschi de Ribeauvillé. La grande église fut
construite et ornée du maître-autel par Monsieur le chanoine Raess. Mgr
Fritzen l’a bénite le 8 septembre 1903. Depuis, on y mit de nouvelles fenêtres
et l’on construisit les voûtes et la tribune pour les orgues ; celles-ci
viennent de la maison Kriess de Molsheim. L’église fut consacrée le 6 octobre
1912 par Mgr Zorn


de Bulach, évêque auxiliaire de Mgr
Fritzen. Les reliefs des autels latéraux sont l’œuvre du jeune artiste alsacien
M. Schaeffer, natif de Huttenheim. Ils représentent, l’un la mort de saint
Joseph, l’autre l’apparition de l’enfant Jésus à saint Antoine de Padoue. Je
suis subjugué par les représentations en terre cuite et rénové en 200. (lisez le détail sur wikipédia,
l’histoire au cour des siècles est intéressante. Résumé du panneau d'information. Aménagé en 1894 par
le curé de Ribeauvillé. Long de 800 m il est réalisé par les habitants. Les 12
chapelles représentent la passion du Christ,on été construites en 1896. Les personnages sont en terre cuite réalisés par une
société de Munich. L'architecture des
chapelles fut modifiées en 1957] Le chemin cimenté nous amène sur la route de Sainte Marie à Ribeauviller
(D416) que nous prenons à droite ATTENTION DANGER
le triangle rouge et plus + jaune, les
voitures roulent vites et non pas beaucoup de visibilité et le club vosgien n’a
rien créé d’autre pour nous faire rejoindre Ribeauvillier. Nous remontons la
départementale jusqu’au pont de bois que nous prenons à gauche, passons le
ruisseau de Strengbach, remontons le ruisseau sur la droite (+plus jaune). Nous
trouvons une fourche en angle aigu laissons le +plus jaune partir sur la
pépinière et prenons à gauche le sentier vers Saint Morand et Ribeauvillé c’est
un beau sentier donnant par moment des vues sur les châteaux de la montagne nous
arrivons à une nouvelle fourche ou nous retrouvons
le GR 5 rectangle rouge et
un +plus bleu. Laissons le GR 5 qui monte face à nous et prenons le sentier qui
descend balisé du rectangle rouge d’un +plus jaune et d’un +plus jaune. Notre sentier débouche sur la rue de Saint
Morant qui débouche sur la rue du trois décembre Nous sommes à Ribeauvillé.
Suivant ou vous avez trouvé de la place je vous laisse libre de la fin du
parcours pour moi Je prends à gauche la D 416.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html
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