jeudi 2 juillet 2020

Nord de la Seine et Marne Prom 14- Autour de Crouy

Autour de Crouy sur Ourcq

Promenade en boucle de la gare de Crouy



Carte IGN                                            Trace GPS & topo sans commentaires

Trace Randogps       Le code mobile de cette randonnée est b322564

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Km      Temps      Arrêt        V/d       V/g       Dénivelé
31        4h50         0h45         6,3        5,4          418

J’ai choisi le train pour me rendre à Crouy. Du sud de la région parisienne ce n'est pas simple, surtout lorsque la SNCF prend du retard. Avec deux changements, dont l'un est d'une quinzaine de minutes. En 2019 on prend des risques.
En venant de Meaux, nous sortons de la gare par la queue du train. [CROUY, viendrait de "CROIA", qui a donné "CROYACUM", "terre humide, marécageuse". Il est vrai que le village paraît bloti dans le fond de la vallée de l'Ourcq, la rivière ayant creusée un lit large dans les plateaux. https://www.crouy-sur-ourcq.fr]

Nous apercevons le château en ruine [Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652. Wikipedia ] L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Un témoignage sur les faits survenus pendant la Seconde Guerre mondiale du 9 au 11 juin 1940 à Neufchelles et Crouy-sur-Ourcq, est dû à Maître Pierre Véron. La commune a accueilli une antenne du Bureau pour le développement des migrations dans les départements d'outre-mer à compter de 1965 jusqu'à sa dissolution.
Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652.
L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Wikipédia]. Laissons le passage à niveau sur la gauche et prenons à droite la D 20, nous sommes sur le GR 11 et traversons le marais et les tourbières constituées, autour de la rivière Ourcq. Nous passons plusieurs ponts et arrivons au canal de l'Ourcq [Depuis le XVème siècle, le pays d'Ourcq alimente la capitale en céréales, en bois de chauffage et de construction. Plusieurs projets de dérivations de la rivière Ourcq seront mis à l'étude avant la Révolution. La décision de construire le canal tel que nous le connaissons aujourd'hui revient à Napoléon Bonaparte, en 1802.

Petit résumé pour ne pas alourdir la page.
[Le canal de l’Ourcq. La rivière Ourcq prend sa source dans une prairie humide au sud de Courmont (Aisne) à quelques pas de l'autoroute A4 dans le département de l'Aisne.
À partir du petit village de Silly-la-Poterie, au lieu-dit Port-aux-Perches au bord de la forêt de Retz, commence la partie canalisée de la rivière. Cette petite rivière suit une large vallée et se jette dans la Marne, à Mary-sur-Marne, près de Lizy-sur-Ourcq, après un cours d'environ 87 km. Les travaux de canalisation ont détourné la rivière à partir de Mareuil. La majeure partie de son eau se dirige alors vers Paris par un canal en site propre, le canal de l'Ourcq proprement dit, d'une longueur de 96,6 km. Les premiers travaux furent inspirés par les besoins de l'approvisionnement de la capitale en bois de chauffage et de construction tirés de la forêt de Retz, propriété sous l'Ancien Régime des familles de Valois et d'Orléans. C'est Léonard de Vinci qui aurait réalisé les premiers essais d'écluse à sas de France, sur la rivière de l'Ourcq. Après 1560 commence la canalisation de l'Ourcq, la construction de réservoirs dont les étangs de la Ramée et d'un système de flottage et d'écluses simples (des pertuis) permettant d'acheminer vers Paris les produits de la forêt.
Un canal du Bassin parisien. Avant de commencer à Mareuil-sur-Ourcq pour rejoindre le bassin de la Villette à Paris, la rivière l'Ourcq est canalisée et navigable depuis le « Port aux Perches » sur la commune de Silly-la-Poterie. Avec le canal Saint-Denis, le bassin de la Villette et le canal Saint-Martin, il constitue le réseau des 
canaux parisiens, long de 130 km et qui appartient à la ville de Paris. La construction du canal tel que nous le connaissons à débuté en 1802 et s'achève en 1825. Il fait l'objet par la suite de plusieurs remaniements notamment l'ajout de cinq écluses, d'une usine alimentant le canal en eau à Trilbardou et l'élargissement du gabarit sur les onze premiers kilomètres. À l'origine, le canal a pour premier objectif d'alimenter Paris en eau potable ; aujourd'hui, son utilisation est réservée à la voirie. Jusque dans les années 1960, il est parcouru sur toute sa longueur par les flûtes d'Ourcq, péniches adaptées au petit gabarit de la plus grande partie du canal. Depuis 1962, seuls les onze premiers kilomètres, entre le bassin de la Villette et Aulnay-sous-Bois, exempts d'écluses, sont ouverts au trafic commercial : environ un million de tonnes sont 
Eglise de May en Multien
transportées chaque année par des péniches dont le port en lourd ne peut excéder 400 tonnes. Au-delà, le canal, dont la profondeur est désormais de 80 cm, est dédié à la plaisance. Le canal de l'Ourcq est également utilisé depuis sa création pour alimenter en eau les canaux Saint-Martin et Saint-Denis. Wikipédia] Je vous invite à lire la très longue histoire du canal ou du moins l’exploitation de la rivière Ourcq de 1415 sous Charles VI et se terminant en 1822 pour son ouverture. Je vous laisse lire la suite de cette longue histoire sur : https://aufildelourcq.org/histoire/] la route tourne sur la droite, un peu avant le pont, dans ce virage nous trouvons le passage pour rejoindre le bord du canal. Prenons le chemin de halage sur la gauche, nous sommes toujours sur le GR et le balisage jaune. Nous entamons un large virage, passons une bâtisse. Nous arrivons à un pont, laissons le balisage jaune sur la gauche, poursuivons le chemin de halage et le Gr 11, un peut plus loin nous trouvons sur la droite l’embouchure du ruisseau de la Gergogne. [La Gergogne est une petite rivière, affluent, de l'Ourcq en rive droite, puis du canal de l'Ourcq dès sa mise en service. Son cours est entièrement dans l'ancien pays de Multien situé au nord de la ville de Meaux. La Gergogne, Jergogne ou Jargogne peut signifier « Eaux qui gargouillent ou qui gazouillent ». Jargogne remonte à un type *Gargonnia, avec un premier élément qui peut être le même que dans "gargouiller" : jargoillier « (des oiseaux) gazouiller » et "gargouille" anc. gargoule « conduit pour l'écoulement des eaux », d'une racine indo-européenne *garg- ou onomatopéique garg- que l'on retrouve dans "gargariser", "gargarisme". L'évolution régulière en français est jarg- (comme GARDINU) jardin ; le second élément est une finale hydronymique : ouna ou unna « eaux » À l'époque romaine, la région défrichée s'arrête à la hauteur de Réez-Fosse-Martin, sur la rivière. Au nord se trouve la forêt de Retz, dont la limite reculera pour devenir, plus tard, la forêt de Villers-
Cotterêts. La Gergogne prend sa source entre la ferme de Gueux et le hameau de Poix sur le territoire de la commune de Bouillancy, à 100 m d'altitude. Elle coule globalement du nord-ouest vers le sud-est. Plus loin, elle atteint la vallée de l'Ourcq et conflue alors avec le canal de l'Ourcq à 63 m d'altitude. L'ancienne jonction, à 56 m d'altitude, sur la rivière d'Ourcq, se situe tout près du château de Gesvres-le-Duc sur la commune de Crouy-sur-Ourcq.
Au Moyen Âge, pour passer la rivière qui serpente dans une vallée marécageuse, des gués sont aménagés et empierrés. Tel est probablement le cas de l'ancien gué de Rosoy-en-Multien, sur l'ancienne route de Paris à La Ferté-Milon, au lieu-dit le « Cailloti ». En ces temps-là, les premiers moulins hydrauliques sont construits sur le cours de la rivière. On trouve une trace écrite de l'existence d'un moulin à Rosoy, dans un document de 1250. En 1540, sous François Ier, la rivière sert de limite méridionale à la gruerie de Nanteuil, entre sa source et Acy, « en vertu d'un
procès-verbal de M. Mille commissaire, député par le Conseil d'État pour faire cette délimitation. ». Plus tard, en 1609, un plan de la gruerie montre d'une façon imagée des détails du cours de la rivière, des villages aux abords, des moulins et des bornes de la dite gruerie. On peut constater sur ce document la présence de certains hameaux, tels Migny et Tresmes, qui en 2010, ont complètement disparu depuis longtemps.  Je vous laisse lire la suite sur wikipédia.] Comme nous sommes en Seine et Marne, nous n'avons aucune information sur le circuit jaune ou nous sommes. Heureusement qu'il y a le GR. Au pont de May nous quittons le balisage jaune, traversons le pont en suivant le GR 11. Comme toujours en Seine-et-Marne nous quittons le balisage jaune pour en retrouver un autre sans aucune information. Nous sommes sur une route, que nous abandonnons après un virage, et grimpons dans un bois en direction de May en Multien en suivant le GR et le balisage jaune partant sur la droite. Cela monte fortement. Nous laissons un 
chemin sur la gauche, poursuivons la grimpette. Au sommet nous trouvons un point de vue avec un calvaire. Malheureusement j'ai un brouillard à couper au couteau. Le chemin fait fourche nous prenons à droite, la rue menant à l'église de May en Multien [C’est au VIIe siècle qu’apparaît pour la première fois le nom de May dans les archives. Le nom de notre village est inchangé depuis 1553. May à travers les siècles ; May vient du latin « Mallum » qui signifie le plaid, autrement dit un lieu d’assemblée. En effet, dès le début du Moyen-âge et jusqu’au XVIe siècle, May fut le siège d’une importante juridiction (celle du pays de Meaux), au sein de laquelle des jugements étaient rendus devant une grande assemblée populaire au milieu des champs “ à quelques jets d’arc” de May. C’est de là que viendrait le nom de notre village. Multien vient du latin «pagus Meldianus» qui signifie du pays de Meaux.
 
Bien qu’ayant longtemps appartenu aux Comtes de Champagne, May est passé aux mains de différentes familles, les Ducs de Valois, d’Orléans, puis enfin de Gesvres. http://www.may-en-multien.fr/histoire] Nous traversons un parking par la rue de la Cheveaupierre, nous arrivons au carrefour et prenons légèrement à droite la rue du Moutier toujours le GR. Laissons les rues sans issus tout de suite à droite, puis sur la gauche la rue du Chanois. Nous arrivons à l'église Notre-Dame de l'Assomption avec sa tour carrée. [L’église de l’Assomption de la Vierge Marie, classée aux Monuments Historiques depuis 1911, vit ses travaux commencer au XIIe siècle grâce aux 
seigneurs de Girême, le chantier prit fin au XVIe siècle. Jadis un château s’élevait derrière elle, Louis 1er duc d’Orléans (1372-1407) en fut même un des plus prestigieux propriétaires. Malheureusement, il subit tellement d’attaques qu’il fut abandonné en ruines dès le XVIIe siècle. Lors de la Grande Guerre, May-en-Multien a subi énormément de pertes qu’elle reçut le 18 septembre 1921 La Croix de Guerre avec palmes. http://www.may-en-multien.fr/histoire] Prenons la rue de Crouy sur la gauche (D 94). Laissons sur la gauche la cour du château.  Prenons à gauche la rue de la Fontaine aux Chiens la rue fait fourche avec un beau cèdre, nous prenons à droite la ruelle du Pressoir. Nous arrivons au rond point avec un nouveau cèdre de la place de l'ancien Calvaire. Nous prenons sur la droite la rue du Pré Gault. Laissons les rues sur la gauche et sur la droite.  La rue fait fourche, nous laissons sur la gauche le GR jaune empruntant la rue du Gué Breton, poursuivons à droite le GR. Nous arrivons à un carrefour, ou nous prenons sur la 
gauche la (D 147) un talus nous permet de marcher en sécurité. Nous sommes toujours sur le Gr 11. La rue fait fourche nous prenons à gauche en direction de Vernelle et Marnoue. Nous descendons vers Vernelle par la route en suivant le GR, nous longeons un bois, et arrivons à Vernelle.  [On trouve trace de ce hameau dès 1559. Une légende racontait qu’il y eut jadis l’existence d’un temple dédié à Venus (Venus verna ou maison de Vénus). C’est sur les ruines de ce fameux temple qu’un prieuré avec une chapelle dédiée à Notre-Dame y fut élevé. L’étymologie de Vernelle viendrait du celte: gwern, synonyme d’aulne (arbre qui pousse rapidement dans les endroits humides et qui s’y plaît). http://www.may-en-multien.fr/histoire] que nous traversons après un virage en épingle à cheveux. Nous quittons la rue pour traverser le pont de Vernelle au dessus du canal de l'Ourcq au KM 82. Nous retrouvons un balisage jaune. Nous prenons à droite et longeons le canal. Passons sous le viaduc du TGV. Laissons le pont des Vaches 
d’Echampeu PK 79,75 le chemin fait fourche nous prenons le chemin le plus proche du canal, nous arrivons dans une courbe à droite, avec un déversoir, nous nous approchons de la D 102. Quittons le GR 11 et poursuivons le balisage jaune sur la gauche empruntant la D 102. Passons au dessus de la rivière Ourcq, puis sous le pont SNCF. Nous entrons dans Ocquerre. [Le village est mentionné pour la première fois dans un texte de 1135 qui fait état du fait que le chapitre de la cathédrale de Meaux dote l'abbaye de Châage de plusieurs paroisses dont celle d'Ocquerre. En 1830, le territoire de la commune est constitué de terres cultivées et de prairies. Des carrières de grès à pavés sont exploitées en 1900. Cinq aubergistes y exerçaient à cette époque. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Après le pont, laissons la petite route sur la droite longeant la ligne de chemin de fer, puis les départementales font fourche, laissons la D102 partant sur la gauche vers Crouy et Montigny. Prenons à droite la D 102a1 vers le centre du village en direction de Vendrest, Coulombs et Gandelu. Après un bâtiment agricole, bâtit sur un promontoire nous longeons un long mur en pierres, la rue fait de nouveau fourche et nous prenons sur la droite la Grande Rue, à l’angle de cette fourche nous avons une ancienne ferme. Si les portes sont ouvertes 
ferme des 3 cheminées
vous apercevrez la ‘’Ferme dite aux trois cheminées ‘’ (j’ai la photo) [Cette demeure Renaissance était un rendez-vous de chasse à l'époque d'Henri IV. Le corps de logis a été construit par René Baillet, président du Parlement de Paris, seigneur de Sceaux et de Tresmes, qui avait acquis la seigneurie d'Ocquerre dans la première moitié du XVIe siècle. La maison est l'un des rares bâtiments civils bien conservés de cette époque. Sur l'une des cheminées est inscrit « 1546 Honor deo. » À l'intérieur de la partie nord, non remaniée dans les années 1930 à l'inverse de la partie sud, subsistent encore deux cheminées 
Renaissance. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Nous passons devant la mairie et l'église Saint Etienne [Restauré au XVIIe siècle par Nicolas Fourault, l'architecte du château royal de Monceaux-en-Brie, le chœur a conservé deux chapiteaux du XIIIe siècle. Les deux premières travées de la nef et sans doute le portail et le clocher ont été entièrement démolis en 1898 et reconstruit grâce à la générosité de Melle Noailly, tante du comte de Mony Colchen, alors maire du village, qui a offert la somme de 30 000 francs, par l'architecte parisien E. Saint-Ange et le maître d'œuvre Paul Féret, entrepreneur local de maçonnerie. La reconstruction de l'église est achevée en 1901. Le clocher reçoit alors l'ancienne cloche d'un diamètre de 94 centimètres et d'un poids de 500 kilos environ, qui 
porte en minuscules gothiques l'inscription : « Je fus faicte pour Auquoire 1581. » Le toit couvert de tuiles, comme ceux des habitations, a été refait entièrement en ardoises. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Laissons la rue de l’église sur la droite et, poursuivons la rue grande, (balise jaune) sortons du village, nous longeons un ruisseau (Ruisseau Jean Racet) et arrivons sur la D17 que nous prenons à gauche en direction de Vendrest, Coulombs et Gandelu. Attention cette départementale est très fréquenté et l’on n’a pas beaucoup de place pour ce garer surtout si les bas côtés ne sont pas tondues. Je n'ai rien trouvé d'autre chemin pour rejoindre Rademont. Même le balisage jaune passe par là. Enfin la route fait fourche et nous prenons la C8 sur la droite en direction de Rademont et châton. Nous entrons dans le village de Rademont. La rue fait fourche, en prenant sur quelques 
mètres la rue de Crépoil à droite, nous trouvons un lavoir en bordure du chaton. Lavoir avec des panneaux coulissants. Pour se protéger de la pluie ?, du vent ? Peut être des deux. Revenons dans la rue principale et Poursuivons la rue de Chaton vers le village du même nom par la C6 nous laissons sur la gauche la C11 en direction de Vendrest. Après un virage nous trouvons un chemin dans les champs sur la droite (c'est le CR 48 chemin de Blanc Savart). Nous passons le ruisseau du chaton, le chemin tourne brusquement à l'équerre sur la gauche au milieu des champs (nous sommes sur le chemin CR 4 et sur le balisage jaune). Le chemin retrouve le ruisseau, fait 
fourche avec le CR 47, traversons le ruisseau et entrons dans le village de Chaton, par la rue du Lavoir.  Nous arrivons au carrefour face au lavoir, nous prenons sur la gauche la rue de la Forge (C6). Laissons quelques rues à droite et à gauche et prenons sur la droite un peu avant la fin du village la rue des Lourdelets (CR 29). De bitume nous passons à chemin faisant fourche nous quittons le balisage jaune partant à droite pour continuer tout droit dans les champs et les bois.  Nous traversons le Bois de Beauregard, dans une courbe nous apercevons d’anciennes maisons de villégiatures, passons un réservoir d’eau et nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche, nous sortons du bois et 
retrouvons les champs. Le chemin bifurque en angle aigu sur la gauche, (et miracle on retrouve un balisage jaune que l’on a pas sur la carte, le précédent s’étant arrêté net.) Puis longeons la lisière du bois et après les champs nous débouchons sur la C10 que nous prenons à gauche, (route c’est vite dit) et sur la carte on retrouve le PR dont la trace réapparaît à cet endroit. Nous arrivons à Vendrest. Un peu avant l’entrée de la ville nous avons une fourche de chemins sur la droite à trois dents. Le plus visible est perpendiculaire à la route, l’autre se voit moins bien dans l’herbe, on le cherche un peu, mais il est en oblique, entre la route et l’autre chemin, il descend légèrement. Pour qu’elle raisons le balisage 
prend ce chemin, il faudrait le demander au créateur de l’itinéraire. Mais l’on peu continuer la C10 et entrer dans le village par la rue des Fossettes sans problèmes. Revenons à notre itinéraire. Prenons le chemin en oblique partant sur la droite de la route, on trouve un balisage nous rassurant sur l’itinéraire, sur le tronc d’un arbre, après un virage nous entrons dans Vendrest par la rue de la Paudée, qui débouche dans la rue Julienne que nous prenons à gauche toujours le balisage jaune. Nous laissons sur la gauche la rue des Fossettes, et prenons un peu plus loin sur la droite, la rue de la Recette. Nous arrivons à la belle petite place de la Mairie, avec sa fontaine. Sur la droite l’église Église Saint-Julien-et-
Saint-Jean-Baptiste et son clocher-porche carré des (Xe siècle)-(XVIIIe siècle). Poursuivons par la (C11) rue du Presbytère neuf, la rue fait fourche, c’est également une intersection de balisage jaune. Nous prenons à droite la rue à l’eau. Rue sans issu passons le lavoir , de rue nous passons à chemin nous poursuivons dans les champs arrivons à la station d’épuration ou nous entamons un virage sur la droite, nous retrouvons le bitume remontons vers le cimetière, nous débouchons rue de l’Eglise que nous prenons à gauche. (Ici aussi, je me pose la question, pourquoi place de la Mairie nous ne prenons pas directement la rue de l’église ?) Cette rue débouche sur la D 17 après avoir coupé le ru ‘’Jean 
Racet’’, traversons la départementale. (Ici j’ai eu un peu honte pour ma région la Seine et Marne, les panneaux directionnels sont illisibles, les lettres bleu sont effacées par le temps. Comment voulez-vous que les balisages jaune soient bien indiqués comme dans l’Essonne avec de petits poteaux portant le nom du sentier et la direction que l’on prend, alors que l’on n’est pas foutu d’entretenir nos panneaux d’informations routier. J’ai cru que c’était un phénomène Seine et Marnais, mais je l’ai constaté également en Limousin. Aujourd’hui (2019) ou l’on fait le bilan budgétaire des nouvelles régions, je me rends compte que les économies sont réalisées sur l’information routière au lieu de celui du fonctionnement. C’est un raccourcie, mais cela fait du bien.) Face à nous, nous trouvons un chemin qui grimpe légèrement, nous longeons la lisière de plusieurs bois espacés par des champs, nous passons sous la ligne de TGV, toujours balisage jaune. Longeons plus ou moins le bois de Raroy  (suivant les cartes vous trouverez un chemin longeant le bois, mais ce n’est pas celui là que j’ai pris.) Nous débouchons sur un chemin formant Té ou de nouveau nous avons un croisement de balisage jaune. Le jaune de gauche part sur Gesvres, le chemin de droite sur Certigny.  Nous prenons à droite en direction de Certigny. Longeons la lisière du bois du Conduit et arrivons à Certigny, par la rue de Tresmes, poursuivons sur la gauche par la rue de L’Amandière (C11). Nous longeons l’ancienne ferme du pigeonnier transformée en restaurant le tout semble à l’abandon. Nous sortons du village, pour entrée un peu plus loin dans le hameau de Crotigny. La rue de l’Amandière peu large fait un esse gauche, droite et dans ce dernier virage nous trouvons sur la gauche un chemin partant dans les champs, un peu avant le village de Fussy nous apercevons sur la droite le château de Belle-Vue malheureusement je n’ai pas trouvé l’histoire de ce château. Aujourd’hui il appartient à une société louant des salles. Poursuivons par une petite descente et
entrons dans Fussy par la rue de la Cavée, nous débouchons dans une rue et prenons à droite c’est toujours la rue de la Cavée qui débouche rue de la Libération (D102) que nous prenons à droite. Nous rencontrons sur la gauche la petite route bitumée menant au château de Gesvres et May en Multien (balisage jaune) poursuivons sur quelques mètres la départementale qui à également un balisage jaune et nous trouvons sur la gauche un chemin avec un balisage jaune et bien sur tout cela sans étiquette d’informations. Prenons ce chemin bitumé sur les premiers mètres, pénètrant dans le marais de la grande prairie. C’est le passage que j’ai loupé dans l’avant dernière étape de ‘’En route vers La Ferté Milon’’ étape de Trilport à Crouy ‘’ et dans cette longue étape j’ai bien eu raison de ne pas avoir rallongé l’itinéraire par ce parcours qui ma déçu. On pénètre dans le marais entre deux clôtures, on longe un ru, les terrains ne sont pas entretenus faut dire que ce ne doit pas être facile, les cabanes installées sur les terrains avec 
des étangs ne relèvent pas l’idée d’un certain abandon. Le chemin butte sur une clôture et tourne à angle aigu sur la droite, on passe un vieux pont. Le chemin devient un peu difficile presque sentier, on longe un fossé avec une eau stagnante fort sale. Heureusement que je passe par ici l’hiver car l’été je suppose que c’est infesté de moustiques. Des arbres sont en travers du chemin part manque d’entretien. De chemin nous passons à bitume, longeons la station d’épuration, nous débouchons rue des Meuniers que nous prenons à gauche. Nous suivons la rue des Meuniers jusqu’à une fourche mal foutu avec un haricot central ou nous 

laissons sur la droite la rue Bellet poursuivons sur la gauche la rue Menier. Laissons la rue du Cygne sur la droite et poursuivons tout droit. Nous arrivons place du Champivert face au collège traversons la place et prenons sur la gauche l'avenue de la gare ou nous retrouvons le GR. La gare se trouve sur la droite.




C'est ce que j'appelle une honte pour notre département, malheureusement ce n'est pas le seul, j'ai remarqué des panneaux dans le même état sur d’autres routes. Moi cela m'attriste. Vous devez penser que je suis un vieux c.., et qu'aujourd'hui avec les GPS on a plus besoin de ses hideux panneaux "qui pollue" notre espace visuel. Mais avez vous remarquez que votre (notre) GPS vous emmène toujours, (ou au mieux) le plus souvent sur une autoroute ! Même si vous ne voulez pas y aller, c'est toujours l'autoroute. Ce qui est dramatique c'est que l'on ne peut pas tracer notre propre itinéraire et l'enregistrer sur ce GPS voiture. Lorsque l'on veut rejoindre en voiture un lieu de randonné sans ce rendre sur l'autoroute, il faut prendre une carte et suivre le circuit que l'on a choisi en suivant la carte (qu'il faut savoir lire) et les panneaux de direction que l'on trouve sur le bord des routes. Mais lorsqu'ils sont dans cet état, il est rébarbatif au copilote de suivre un itinéraire. Il lui faut à la fois regarder la carte  et parfois chercher bien loin une direction sur cette même carte alors que le village a 3 km, n'est même pas indiqué. On ne peut plus se fier aux informations trouvées sur place, n'y à l'ordinateur de bord qui vous emmènera vers une voie rapide. On manque par ce système directionnelle imposé bien des beautés de notre France. Mais aujourd’hui plus d’initiatives soyons connecté et suivons ce que les autres ont décidés pour vous.   


 



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