jeudi 2 juillet 2020

Aux portes de l’Oise et un grand pas dans l’Aisne Prom 13 -Crouy sur Ourcq à La Ferté Milon


De la Seine à la Marne, aux portes de l’Oise et un grand pas dans l’Aisne

Rando de Crouy sur Ourcq à La Ferté Milon

C'est la continuité de Nanteuil à Crouy c'est également, du moins pour moi la découverte de l'Ourcq et du canal, j'ai beaucoup cherché l'une, trouver l'autre avant de comprendre…
C'est une promenade ouverte Départ gare de Crouy sur Ourcq l'arrivée histoire de voir du pays je ne l'ai pas fait à La Ferté Milon mais entre les deux ; à la gare de Mareuil sur Ourcq.
Pour ce rendre à Crouy par le train, il faut en venant de Paris changer à Meaux. La portion de ligne se situe entre Meaux et La Ferté Milon.
Cette fois ci je prends le temps de faire le tour du village. La fois précédente j'avais remarqué quelques petites choses. Aujourd'hui j'ai eu de la chance… j'ai réussi en courant entre chaque correspondance à chopper les trains. Faut dire que pour réussir cette prouesse, il faut que le train arrive à l'heure à Paris. Que je choppe la correspondance à gare de Lyon, pour la gare du Nord, de cette dernière courrire jusqu’à gare de l'est pour avoir le train direct pour Meaux.  (Ne prenez pas le métro ce sera loupé) et enfin à Meaux prendre la correspondance pour la Ferté Milon. Vous dire que je l'ai souvent loupé cette dernière correspondance.
Pendant les grèves j'ai pris la voiture, et me suis aperçu que je ne m’étais pas beaucoup plus de temps qu’en train, et qu’en gasoil cela me coûtait moins chère que ce dernier… Vous me direz ce n'est pas très écolo.
Parcours ouvert Départ gare de Crouy retour gare de Mareuil sur Ourcq ou si vous n’êtes pas courageux la gare de La Ferté Milon.



Carte IGN                                        Trace GPS & Topo sans Commentaires

 Trace Randogps                        Le code mobile de cette randonnée est b322563
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici



Mars 2018

Km     Temps     Arrêt     V/d     V/ g     Dénivelé
  36     6h20       0h30      5,7      5,3            238 +

Crouy sur Ourcq [CROUY, viendrait de "CROIA", qui a donné "CROYACUM", "terre humide, marécageuse". Il est vrai que le village paraît bloti dans le fond de la vallée de l'Ourcq, la rivière ayant creusée un lit large dans les plateaux. https://www.crouy-sur-ourcq.fr]
Cette fois ci je prends le temps de faire le tour du village. En sortant de la gare il est impossible de louper les ruines du château [Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les 
Espagnols en 1652. Wikipedia ]
[L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Un témoignage sur les faits survenus pendant la Seconde Guerre mondiale du 9 au 11 juin 1940 à Neufchelles et Crouy-sur-Ourcq, est dû à Maître Pierre Véron.
La commune a accueilli une antenne du Bureau pour le développement des migrations dans les départements d'outre-mer à compter de 1965 jusqu'à sa dissolution.
Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652.
L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Wikipédia] Remontons l'avenue de la gare (D94) balisage jaune, nous arrivons place du Chapivert, cette grande esplanade face au lycée. Quittons la D 94 lorsqu'elle tourne sur la gauche et poursuivront tout droit par le rue de l'épée, puis à gauche la rue du cygne, nous débouchons avenue du général de Gaulle que nous prenons à droite. Remarquer toute ses charmantes petites cours entourées de maisons, (Cour de Lys, Cour Belhomme), nous passons place de la mairie. Nous rencontrons un balisage que nous quittons rapidement. Quittons la D 94 pour 

continuer par la D 102 rue René Dejardin, nous apercevons une grosse maison des années 1900. Prenons à gauche la rue de la cour de la Chaumière, nous débouchons rue Montanglos que nous prenons à gauche, puis à droite la rue de l’église [église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte (ou Juliette) : datant du xiie siècle, elle a été remaniée en 1550 par Robert de Sepoix, seigneur de Crouy. Elle possède une tour romane et une double nef gothique à croisée d'ogive. Le chœur possède de superbes boiseries du xviie siècle. L'église possède plusieurs vitraux du xvie siècle. Elle doit son nom à saint Cyr, jeune martyr chrétien du ive siècle et à sa mère sainte Julitte. Wikipèdia ]. J’en fais le tour en prenant la rue Trévez-Brigot, puis à droite rue Geoffroy. Nous passons devant une cour servant de parking pour
le musée de la vie quotidienne. [Installé dans une chapelle désaffectée des soeurs de Saint-Vincent-de-Paul, ce musée a été créé en 1988. Composé d'objets usuels des XIXe et XXe siècles, déclinée sous les trois éléments. D'abord, l'eau : cet élément a toujours eu de l'importance dans la vie des gens. Elle servait à laver le linge à la rivière, à la fontaine, aux lavoirs à l'eau courante. Nous pouvons voir ainsi 3 photos de lavoirs. Vous pouvez voir aussi à quoi pouvait ressembler un cabinet de toilette au XIXe siècle et au début du XXe. Ensuite, le feu : la cheminée de la salle commune d'une maison briarde a été reconstituée suivant les indications et dessins donnés par un tailleur de pierre local. Enfin, la terre : vous pourrez voir des éléments d'outillage servant aux cultures du terroir, notamment des céréales : blé, orge, maïs, lin mais aussi fèveroles ou pois. Meubles, outils et ustensiles rappellent le travail des 

hommes et des femmes. Un décor refait à l'identique, authentique évier de pierre du XVIIe siècle, seuls le four à bois et la cave d'affinage sont simulés. https://www.petitfute.com/v17365-crouy-sur-ourcq-77840/c1173-visites-points-d-interet/c958-musee/c964-musee-specialise/414171-musee-de-la-vie-quotidienne-et-du-terroir.html] Prenons de suite après la ruelle intra muros de Sevestre, nous arrivons à un chemin formant Té nous prenons à gauche le chemin de la commanderie, nous sommes entre deux clôtures, plus ou moins bien entretenues, on arrive dans un bois, et descend légèrement. Le chemin à été modifié lorsqu’il arrive en vue de la D 102, maintenant débouche face au chemin des vaches. Nous sommes à la sortie du village de Crouy. Traversons la D 102 et prenons en face le chemin des vaches qui au départ est bitumé. Nous grimpons 

en foret, c’est également le GR 11 et un balisage jaune. Nous sommes dans le bois de la Garenne, bois en pleine régénération en 2018. Bien suivre le balisage. Après avoir descendu la butte, nous arrivons à un premier carrefour, poursuivons tout droit, puis le second en bordure du marais nous prenons à droite, le chemin n’est pas facile… Un peu humide… des arbres tombés lors de la dernière tempête nous complique un peu la situation. Soit on se mouille les pieds, soit on escalade. Bien faire attention au balisage nous indiquant que le chemin tourne sur la gauche et traverse le marais. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite puis la passerelle sur la gauche. Passons le cours d’eau du Grand Fossé longeons la 
propriété privée. Passons un fossé avec ‘’un ru’’ (peut être l’Ourcq). Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite, puis après un esse, nous traversons la ligne de chemin de fer (attention c’est la ligne Meaux – La Ferté Milon) Nous débouchons sur le canal de l’Ourcq face à Neufchelles. Nous prenons à droite. Nous sommes toujours sur le GR 11[Le canal de l’Ourcq. La rivière Ourcq prend sa source dans une prairie humide au sud de Courmont (Aisne) à quelques pas de l'autoroute A4 dans le département de l'Aisne.
À partir du petit village de Silly-la-Poterie, au lieu-dit Port-aux-Perches au 
bord de la forêt de Retz, commence la partie canalisée de la rivière. Cette petite rivière suit une large vallée et se jette dans la Marne, à Mary-sur-Marne, près de Lizy-sur-Ourcq, après un cours d'environ 87 km. Les travaux de canalisation ont détourné la rivière à partir de Mareuil. La majeure partie de son eau se dirige alors vers Paris par un canal en site propre, le canal de l'Ourcq proprement dit, d'une longueur de 96,6 km. Les premiers travaux furent inspirés par les besoins de l'approvisionnement de la capitale en bois de chauffage et de construction tirés de la forêt de Retz, propriété sous l'Ancien Régime des 

familles de Valois et d'Orléans. C'est Léonard de Vinci qui aurait réalisé les premiers essais d'écluse à sas de France, sur la rivière de l'Ourcq. Après 1560 commence la canalisation de l'Ourcq, la construction de réservoirs dont les étangs de la Ramée et d'un système de flottage et d'écluses simples (des pertuis) permettant d'acheminer vers Paris les produits de la forêt.
Un canal du Bassin parisien. Avant de commencer à Mareuil-sur-Ourcq pour rejoindre le bassin de la Villette à Paris, la rivière l'Ourcq est canalisée et navigable depuis le « Port aux Perches » sur la commune de Silly-la-Poterie. Avec le canal Saint-Denis, le bassin de la Villette et le canal Saint-Martin, il constitue le réseau des canaux parisiens, long de 130 km et qui appartient à la ville de Paris. La construction du canal tel que nous le connaissons à débuté en 1802 et 
s'achève en 1825. Il fait l'objet par la suite de plusieurs remaniements notamment l'ajout de cinq écluses, d'une usine alimentant le canal en eau à Trilbardou et l'élargissement du gabarit sur les onze premiers kilomètres. À l'origine, le canal a pour premier objectif d'alimenter Paris en eau potable ; aujourd'hui, son utilisation est réservée à la voirie. Jusque dans les années 1960, il est parcouru sur toute sa longueur par les flûtes d'Ourcq, péniches adaptées au petit gabarit de la plus grande partie du canal. Depuis 1962, seuls les onze premiers kilomètres, entre le bassin de la Villette et Aulnay-sous-Bois, exempts d'écluses, sont ouverts au trafic commercial : environ un million 
Souvenir de 1940 un blockhaus
de tonnes sont transportées chaque année par des péniches dont le port en lourd ne peut excéder 400 tonnes. Au-delà, le canal, dont la profondeur est désormais de 80 cm, est dédié à la plaisance. Le canal de l'Ourcq est également utilisé depuis sa création pour alimenter en eau les canaux Saint-Martin et Saint-Denis. Wikipédia] Nous longerons ce canal jusqu'à la Ferté Milon. Durant toute cette promenade, j'ai cherché la rivière Ourcq et je n'ai vu qu'un filet d'eau. Je me demandais comment ce fossé pouvait alimenter un canal !!! C'est également la première fois que je vois un canal avec du courant. Dans mes randos précédentes
J’ai suivi le canal du Loing. Pas un poil de courant. Le Loing je le descends en kayak. Ici impossible de descendre en coquille de noix ce qui reste de 
l’Ourcq. Par contre il me semble que l’on peut naviguer en canoë sur le canal chose que l’on ne peut pas faire sur les autres, Il faut juste faire un portage aux écluses. Ce n'est qu'en recherchant l'histoire de la rivière Ourcq que j'ai compris que l'on avait détourné toute la rivière.
Nous passons un pont au dessus d’un canal. C'est le Clignon que l'on a détourné pour alimenter le canal de l'Ourcq [Le Clignon est une rivière de l'Aisne et de Seine-et-Marne et un affluent de l'Ourcq. C'est donc un sous-affluent de la Seine par l'Ourcq et la Marne. La rivière naît à Bézu-Saint-Germain puis adopte la direction de l'ouest. La longueur de son 

cours d'eau est de 30 km. Passe à Epaux-Bezu, Licy-Clignon, Gandelu puis Montigny-l'allier, elle marque la limite entre l'Aisne et la Seine-et-Marne . Ses eaux sont détournées à Montigny-l'allier par le canal de dérivation du Clignon long de 10 km, rejoint l'Ourcq en face de Neufchelles (Oise), afin d'alimenter le Canal de l'Ourcq, il fait partie du réseau des Canaux parisiens. Wikipèdia ] Nous rencontrons sur la droite une branche du GRP de l’orxois (sur la carte c’est la branche d’accès menant au GRP de Omois. Un peu compliqué toute ses régions qui ont disparues de nos livres de géographie.
 L’omois ; Contrée correspondant au sud du département de l'Aisne autour de Château-Thierry, dont le site originel était nommé Otmus. L'Omois fut un comté. Il comprend au 
Le canal s'ensable
sud une partie de la Brie, dite Galveuse, et les plateaux y sont armés par la couche de calcaire de Brie, y compris au nord de Château-Thierry. Au nord-ouest il débordait plus ou moins sur l'Orxois, au nord-est sur le Tardenois, ou du moins une partie du Tardenois. Le terme est encore employé, ou restauré à des fins touristiques et de patriotisme local; mais il n'avait pas laissé de trace dans la toponymie, contrairement à l'Orxois et au Tardenois, et le pays officiel qui lui correspond se nomme platement «Sud de l'Aisne».
L’Orxois ; Contrée de l'Aisne au nord-ouest de Château-Thierry; le nom vient de l'Ourcq et le territoire est plus ou moins celui du canton de Neuilly-Saint-Front, autour de La Ferté-Milon, mais déborde en Seine-et-Marne dans le canton de Lizy-sur-Ourcq; deux villages axoniens, Chézy-en-Orxois et Marigny-en-Orxois, en conservent le nom. Le viaduc ferroviaire de 160 m par lequel la ligne à grande vitesse Paris-Est franchit l'autoroute A 4 à Lucy-le-Bocage est nommé viaduc de l'Orxois.  https://tresordesregions.mgm.fr/Mdir.php?p=cant.php&cl=Omois&region=22 ] Nous passons sous la ligne de chemin de fer avant que le canal fasse une large courbe. Nous arrivons à Mareuil sur Ourcq point de départ de la canalisation du canal. Nous passons une passerelle au dessus de vannes bloquant l'l’Ourcq de son cours naturel pour lui faire prendre le chemin de Paris. Mareuil [Oponyme d'origine gauloise très répandu, Mareuil est composé de l'adjectif maros signifiant « grand » suivi de l'appellatif -ialon « clairière, lieu défriché » et par extension « village », donnant māro-ialon (ultérieurement latinisé en maro-ialum) dont le sens global est « grande clairière », « grand bourg » située dans le département de l'Oise. Le tracé du canal de l'Ourcq commence à Mareuil-sur-Ourcq, en amont de laquelle l'Ourcq est une rivière aménagée en canal jusqu'à la commune de Silly-la-Poterie. wikipédia] Sont église juché sur le petit promontoire me semble immense par rapport au village. Dommage je n'aurais pas le temps de m'en approcher. [Église Saint-Martin, rue de l'Église (classée monument historique par arrêté du 22 janvier 1922) : C'est un édifice très homogène de style gothique, qui a été construit sous trois campagnes de construction rapprochées au cours de la première moitié du XIIIe siècle. Il se compose d'une nef avec des grandes arcades surmontées de fenêtres, de deux bas-côtés, d'un transept débordant, dont les deux croisillons se prolongent par des chapelles vers l'est, et d'un chœur carré au chevet plat. Si la sculpture et la modénature, remarquables dans les trois premières travées, reflètent pleinement l'époque de construction, l'architecture s'inscrit encore dans la tradition romane tardive, ce qui se traduit par les proportions, le recours aux baies et arcatures plaquées en plein cintre, l'absence de fenêtres à remplage, et certaines particularités du 
plan. Le vaisseau central se remarque néanmoins par un certain élancement, qui contraste avec l'aspect trapu du clocher central, coiffé d'une flèche en charpente de l'époque moderne. Contrairement à la plupart des églises de la région, l'église Saint-Martin n'a jamais subi de reconstructions ou remaniements importants, exception faite du portail, qui a été refait en 1773 dans le style néo-classique. Wikipédia.] Laissons le pont des vaches sur la gauche et traversons la D 936, poursuivons en face le long de la rivière canalisée.  Passons le pont de Marolles, quittons le balisage jaune se dirigeant vers le village. Poursuivons notre rivière canalisée, nous sommes toujours sur le GR 11. Le canal n’est plus très bien entretenu il s’ensable. Nous arrivons à la Ferté Milon. Du 
canal nous apercevons les tours du château. [Le toponyme La Ferté est issu de l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Durant la Révolution, la commune porte le nom de La Ferté-sur-Ourcq. La Ferté-Milon était l'une des principales châtellenies du duché de Valois, elle faisait partie de l'arrondissement de Château-Thierry jusqu'en 1926 où elle fut rattachée à l'arrondissement de Soissons avant de revenir à celui de Château-Thierry en 1942. Wikipédia] 

Nous passons une dérivation de la rivière, je quitte le balisage et me dirige sur la droite le long de la dérivation vers la roue du moulin [La rivière "Ourcq" est canalisée depuis Silly-la-Poterie à 5kms environ en amont de La Ferté-Milon. En arrivant dans la commune, elle se sépare en deux bras formant une île. "La promenade du Mail". En arrivant sur la place du Mail à La Ferté Milon, on découvre une antique roue à aubes de l’ancien moulin Lamiche. Elle tourne toujours, c’est un joli spectacle. (J’ai trouvé ses deux phrase sur deux site différent et j’ai trouvé 

qu’elles se coplétaient bien.  http://www.alrishalesyeuxdemavie.com/article-29137861.html https://veverdu02.wordpress.com/2013/05/23/balade-nature-la-fert-milon/)
Nous débouchons rue de la Cité (D 936) que nous prenons à droite, nous entrons en ville, tournons à gauche dans la rue de Reims, laissons la première rue à droite (rue des Bouchers) et prenons la seconde rue Jules Girbe, elle grimpe rude au carrefour nous trouvons la statue de Jean Racine [Au bas de la ruelle pavée des Rats, se trouve la statue de Jean Racine enfant (œuvre de Louis-Auguste Hiolin en 1910). Jean Racine (La Ferté-Milon, 22 décembre 1639 – Paris, 21 avril 1699) est un dramaturge et poète français. Consacré par la critique comme l'un des plus grands auteurs 
français de tragédies, il est l'un des trois dramaturges majeurs, avec Corneille et Molière, de la période classique en France. Issu d'une famille de petits notables de la Ferté-Milon et tôt orphelin, Racine reçoit auprès des « Solitaires » de Port-Royal une éducation littéraire et religieuse rare. Wikipédia] Poursuivons par la rue Racine puis sur la droite la rue Place Notre Dame [l’église au toit d'ardoise dont le clocher carré dispose de quatre tourelles en ses quatre angles, dont la plus extérieure sert d'escalier. Le toit du clocher et des tourelles sont à faible pente. wikipédia]

Elle possède quatorze verrières classées allant du XIVe au XVIe siècle. Elles représentent Saint Denis et saint Vast en deux panneaux du début XIVe siècle. Mais aussi la légende de saint Hubert et des scènes de la passion : deux verrières complètes dans les bas-côtés Nord et Sud du XVIe siècle. Il y a aussi dix médaillons du XVIe siècle. Le vitrail de la Passion a pour légende Jeanne de Rubenpré, Dame de Bonneval, veuve de Messire Jacques de Longueval, Bastard de Vendosme, en son vivant chambellan de Roy, gouverneur de Valois, Capitaine Darques, bailly de Vermandois, donna cette de verriere en l'an mil cinq cens er XXVIII, reconstitution due à l'abbé Lecomte.  

http://www.wikiwand.com/fr/%C3%89glise_Notre-Dame_de_La_Fert%C3%A9-Milon
 Dans cette église a été baptisé en 1639 Jean Racine. C'est également ici qu'en 1647, Jean de La Fontaine se maria avec Marie Héricart, la cousine de Jean Racine. La riche histoire du monument a débuté au XIIIe siècle. De cette époque, ne reste aujourd'hui que son portail à six colonnes. L'immense tour de l'église, flanquée de quatre tourelles de guet, a été construite par Catherine de Médicis en 1563. On peut observer à l'intérieur trois nefs, et un orgue du XVIIe siècle classé.
https://www.petitfute.com/v29357-la-ferte-milon-02460/c1173-visites-points-d-interet/c925-edifice-religieux/c927-eglise-cathedrale-basilique-chapelle/88659-l-eglise-notre-dame.html]

Nous continuons, en remontant soit par la rue des Bouchers, soit par la rue des Rats, nous débouchons dans la rue du Vieux Château que nous prenons à droite. Nous passons entre deux tours en ruine des anciennes fortifications et nous arrivons devant l’entrée du château qu’il est impossible de franchir.




 

 [Le château de Louis d’Orléans à La Ferté-Milon ne fut jamais terminé, et ce pour une bonne raison : le duc d’Orléans, frère du roi Charles VI, fut assassiné lors d’un guet-apens commandité par son propre cousin, Jean sans Peur, duc de Bourgogne. Ce meurtre, perpétré rue Vieille-du-Temple à Paris le 23 novembre 1407, fut 
d’ailleurs à l’origine de la guerre civile entre les Armagnacs et les Bourguignons alors que le royaume de France était déjà engagé dans la guerre de Cent Ans contre l’Angleterre.
Dominant la vallée de l’Ourcq, le château de La Ferté-Milon fut mis en construction en 1393 sur le site d’une ancienne fortification du VIIIe siècle qui fut totalement rasée. Non seulement le château ne fut jamais terminé, mais il sera démantelé sur ordre d’Henri IV. En 1595, alors que les guerres de religions déchiraient le pays, le roi de France conduisit lui-même l’attaque de la ville et força le ligueur Saint-Chamand à se réfugier dans les fortifications. Le château du duc d’Orléans n’a donc plus que son imposante façade qui s’étend sur 102 mètres de long pour 8 mètres de haut. 


Mettant en avant ses arguments défensifs, cette muraille dominant la ville, flanquée de quatre tours, saisit d’emblée par la sensation de puissance qu’elle évoque. Tout comme pour le château de Pierrefonds, dont il jeta les fondements mais qui fut, quant à lui terminé, le duc d’Orléans avait vu grand pour son palais milonais. Les niches richement décorées des tours accueillent des statues malheureusement décapitées à la Révolution mais le bas-relief de la porte centrale, mieux conservé, présente une 
intéressante et rare représentation du couronnement de la Vierge. http://aisne.com/Le-chateau-de-La-Ferte-Milon]  
La Ferté-Milon se situait au croisement de l’Ourcq et de la voie romaine Meaux-Soissons. On ne sait pas à coup sûr quand La Ferté-en-Orxois est devenu La Ferté-Milon. On pense qu’un certain Milon y bâtit une ferté au 9 ème siècle une ferté. A la fin
du 14 ème siècle, la ville appartint à Louis d’Orléans. Il entreprit de construire un doublet de son œuvre de Pierrefonds, mais fut interrompu par sa mort brutale. Sur chaque tour, une niche élevée 

abritait la statue d’une preuse, à mettre en parallèle avec les preux du
château de Pierrefonds. L’arc qui surmonte l’entrée représente le couronnement de la
Vierge. J’ai trouvé des histoires intéressantes dans : L’Ourcq, sur le trajet du Dieux Tumultueux https://universitedesmegalithes.files.wordpress.com/2017/04/02-2-914019-01-7-ourcq-v7.pdf
Revenons sur nos pas, par la rue du vieux château. Nous passons de nouveau le mur d’enceinte et poursuivons par la rue du vieux Marché, puis à droite la rue de la place du Vieux Marché. A la sortie de la ville nous prenons le chemin de droite c’est le GRP des quatre vallées. (Nous ne poursuivons pas la route goudronnée vers Saint Quantin sur Allar.) Nous sommes sur le plateau, les champs sont en préparations, le paysage est joli et je comprends pourquoi le GRP se nomme des quatre vallées. Nous arrivons à un hameau de peut être une détention de Vaux Parfond. Nous avons un vieux château d’eau. Ici le balisage n'est pas très clair. Nous avons deux 

balisages, l'un tournant à gauche avec un balisage récent, l'autre sur le château d’eau continuant tout droit, mais on a également une croix jaune & rouge et un balisage jaune que l’on voit très mal et qui semble avoir été abandonné. Voyant que le GRP empruntait le bitume, ma trace pris sur la carte IGN me faisait traverser le bois du Grand Parc de Bourneville. Mais je le regrette et ne vous le conseille pas. Je continue tout droit, nous somme dans les champs, avant le bois, nous sommes dans une grande prairie devant servir de parking pour la chasse ou de stockage pour les betteraves.  Le chemin fait fourche, je laisse le chemin de droite, prend ce qui me semble être le chemin dans les herbes, pas de balisage, pas de poteau d'information. Mon chemin se perd dans l’herbe, le bois est impénétrable je longe ce dernier, Je me dirige vers le bois, nous trouvons un sentier dans la 
parcelle utilisé par la marche rose [organisée depuis plus de vingt ans par l’association « Le Cancer du Sein, Parlons-en ! »] plus bas nous trouvons un balisage jaune et bleu, nous débouchons sur un chemin un peu plus large que je prends à droite, nous descendons. Nous débouchons sur un chemin formant Té difficile à rejoindre, il y a pas mal de ronces, je suis la trace du GPS dans le taillis. D’après ma trace l’ancien GRP  doit être plus à gauche, mais le sous bois me semble difficilement traverssable. Du moins il me semble que je n'ai pas le droit d'envoyer de futur randonneurs traverser les ronces et les orties. Je poursuis mon chemin qui descend. Je me dis ; A l’orée du bois, j'aurais dû prendre à droite. Je poursuis ma descente sans jamais trouver l'opportunité de trouver un passage sur la gauche. Passons la barrière et prenons la D 83 que je prends à gauche. Quitte à faire du bitume 

autant prendre le GRP à Vaux Parfond. Nous arrivons dans le bas de St. Quentin sur Allan au carrefour nous retrouvons le GRP et prenons la petite route sur la droite, passons un ru. A la ferme de Louvry sur la carte le balisage se divise en deux, la branche de gauche se termine en forêt.… ? (Encore un manque de raccord des cartes IGN dans mon topo la bifurc se fait après la ferme ) Nous prenons à droite, longeons la ferme, traversons des bâtiments agricoles, puis la maison d'habitation, nous avons l’impression que le chemin se termine dans un champ, mais sur la gauche protégé par une haie le chemin se poursuis. Nous sommes sur le GRP des quatre vallées (sur la carte c’est celui de l’Omois) bizarre les GRP dans le coin... Le chemin monte sur une butte sablonneuse comportant des rochers comme à Fontainebleau.  Nous pénétrons dans le bois de Montigny. Nous sommes dans la parcelle 27, le chemin fait fourche (pas de fourche sur ma carte GPS) on prend à 
J'ai cru que c'était la commanderie

droite vers la parcelle 26. Au numéro 26 le chemin fait de nouveau fourche poursuivons tout droit. Un chemin rectiligne et parfois boueux. Nous passons de nombreux carrefour mais on continue toujours tout droit. Carrefour des parcelles 25-24-33-34, puis des 23-24-34-35 (avec un tas de ronce en son milieu), puis des 22-2335-37 ou j’ y ai vu une biche, puis 22-39, nous poursuivons toujours tout droit.  Nous passons la croix des Ermites [Dans l’Aisne, l’abbaye de Cerfroid date du 12e siècle. Cerfroid est le centre de l’Ordre Hospitalier de la Trinité, fondé en 1193 par Jean de Matha et Félix de Valois pour le rachat des prisonniers chrétiens lors des croisades.
Les trinitaires consacraient un tiers de leurs revenus au rachat des prisonniers et un autre tiers aux hôpitaux. Réformés en 1578, ils donnèrent naissance en 1596 aux Trinitaires Déchaussés. Et maintenant la légende : "Jean de Matha et Félix de Valois vivaient en ermites dans les bois de Montigny, lorsqu’ils reçurent, près de la Fontaine Froide, la visite d’un cerf portant une croix d’or. Ils créèrent alors la communauté de Cerfroid". https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=http://www.seine-et-marne.fr/content/download/72000/565245/file/T%25C3%25A9l%25C3%25A9chargez%2520la%2520randonn%25C3%25A9e%2520n%25C2%25B01.pdf&ved=2ahUKEwii1dbk_NraAhXDL1AKHXyjDbQQFjARegQIAhAB&usg=AOvVaw14_pmKR6wcxIhq191PNwLM ] Malheureusement je ne m’y suis pas arrêté. Nous 

sortons du bois entrons dans les champs, le balisage tourne à gauche, la on est averti en amont. Au carrefour suivant nous quittons le GRP il faut prendre à droite et descendre le fond des Vast, en suivant le balisage jaune et la branche du GRP menant à la gare de Mareuil. Comme le carrefour est très large, il sert au débardage et stockage des grumes, on ne voit pas le balisage. Descendons sur ce chemin ‘’des grands bois'' plus ou moins bitumeux, passons le cimetière bien à l’écart du village de Montigny l'Allier. Nous arrivons place des tilleuls. Je quitte le GRP et prends la Grande rue (D9) sur la gauche jusqu’à l’église. Revenons sur nos pas, poursuivons la rue grande ou nous retrouvons notre balisage. Juste avant le 
village de Moisy nous rencontrons un balisage jaune. Nous quittons également la rue grande D 9 pour prendre sur la gauche la rue de la commanderie. GRP et balisage jaune. Dans le village de Moisy je vois une tour dans une propriété privée, je pense que ce sont les restes de la commander le. C’est moche, peut entretenu, malgré un propriétaire sur sa tondeuse auto portée. Plus tard j’ai lu ceci : [Ce lieu templier conserve les vestiges de la commanderie de Moisy, signalée déjà en 1184, et de la tour Plaideuse du 16 ème siècle. https://universitedesmegalithes.files.wordpress.com/2017/04/02-2-914019-01-7-ourcq-v7.pdf]
Je comprends que c’est un lieu de justice ou le commandeur devait rendre 

la justice…  Sur la gauche j'avais vu l’accès au canal du Clignon je commence à regretter de ne pas l'avoir pris. Sur un canal il y’a toujours un chemin de halage. La route est longue et le bitume commence à me peser. Enfin je découvre la vrai commenderie [On ignore à quelle époque la maison du Temple de Moisy fut fondée. On sait seulement que les Templiers y étaient installés en 1184. La Maison du Temple de Moisy-le-Temple, puis commanderie de l'Ordre de l'Hôpital ne se composait originairement que du domaine de Brumetz, qui en était distant d'environ une lieue.
 
Les Hospitaliers en ayant pris possession après les Templiers, y réunirent, en 1357, plusieurs commanderies. La commanderie de Moisy, fut à son tour supprimée en 1398, et réunie à celle du Temple à Paris. Mais elle fut reconstituée en 1633. Moisy possédait au XVIe siècle, pour la résidence du Commandeur, un superbe château. C'était une véritable forteresse avec fossés et pont-levis. Au milieu de la cour d'honneur on voyait une petite église qui fut dédiée d'abord à saint Christophe, et ensuite à saint Jean-Baptiste. Près du château, était la ferme ; et un peu plus loin, un moulin banal sur la rivière de Clignon. Cette rivière appartenait à la commanderie, depuis le pont Poulain, jusqu'à la rivière d'Ourcq. On ignore à quelle époque la maison du Temple de Moisy fut fondée. On sait seulement que les Templiers y étaient installés en 1184. Résumé d’un topo très complet que vous trouverez sur : http://www.templiers.net/hospitaliers-saint-jean/Commanderies-de-Malte/index.php?page=Moisy-le-Temple#HSJ] La commanderie est en grande restauration. Des livraisons de pierres taillées et sculptées viennent d’être livrées les portes de chantier sont grande ouverte, je risque un pied dans la cour pour prendre une 

photo de l’intérieur.  Très belle restauration. J’espère que le nouveau propriétaire laissera un emplacement libre pour une photo et que l’on puisse visiter son magnifique travail au moins une fois l’année…  Après la commanderie nous retrouvons les champs, le chemin fait un virage et nous débouchons sur le canal du Clignon [Le Clignon est une rivière de l'Aisne et de Seine-et-Marne et un affluent de l'Ourcq. C'est donc un sous-affluent de la Seine par l'Ourcq et la Marne. La rivière naît à Bézu-Saint-Germain puis adopte la direction de l'ouest. La longueur de son cours d'eau est de 30 km. Passe à Epaux-Bezu, Licy-Clignon, Gandelu puis Montigny-l'allier, elle marque la limite entre l'Aisne et la Seine-et-Marne . Ses eaux sont détournées à Montigny-l'allier par le canal de dérivation du Clignon long de 10 km, rejoint l'Ourcq en face de Neufchelles (Oise), afin d'alimenter le Canal de l'Ourcq, il fait partie du réseau des Canaux parisiens. Wikipedia ] Nous longeons le canal par la rive droite, j’ai la chance de passer après le girobroyeur. J’ai une belle 
pelouse pour marcher. Nous arrivons sur un pont canal [il fut construit entre 1839 et 1841, il a 3 arches et mesure 3,20m Le pont fait partie du Canal de la Dérivation du Clignon (Petit Canal de Clignon) lequel est navigable sur 1,2 km avec un tirant d'eau de 0.80 mètres. La Gare fluviale amont du canal de la dérivation du Clignon se trouve à Montigny-l'Allier https://structurae.info/ouvrages/pont-canal-du-clignon
La rivière d'Ourcq résiduelle doit passer sous la canalisation du Clignon, affluent de rive gauche du canal, dont le niveau est supérieur à celui de l'Ourcq.Cet affluent a été introduit par Vuigner en 1841. https://aufildelourcq.org/panorama/vue1_pan.php?Id=259] Avant de connaître l’utilisation principale de cette dérivation, je fus surpris par son étroitesse et je me disais ; que de travail pour le transport de quelques bateaux bien trop spécifiques pour devenir rentable. Faire un ouvrage pareil pour franchir ce ru. Ce ru c’est le reste du vrai parcours de la rivière Ourcq…  Nous débouchons sur 

le canal de l’Ourcq. Je suis comptent j’ai bien marché et je vais peut être avoir le train de 15 heures. Je dois reprendre la trace de ce matin. Sur mon GPS ma trace bleu du chemin pas encore réalisé, à été remplacée pas la trace verte du chemin réalisé. La fatigue peut être, le manque de réflexion certainement, me fait penser que Mareuil est à gauche. Comme je n’ai pas de carte lorsque je réalise ses petites promenades de la journée, je ne peux me fier qu’à mon GPS et à mon sens de l’orientation. Je suis certain que Mareuil est à gauche, je ne vérifie même pas sur la carte GPS et c’est la grosse erreur. Je tourne le dos à mon point d’arrivée. Je ne m’en aperçois pas tout de suite C’est en arrivant à Neufchelles que je ne vois pas mon église sur sa butte.  Je sors mon GPS et constate mon erreur. Il me reste le choix de poursuivre et de rejoindre Crouy, mais il y a une bosse à franchir et au moins 7 km. Je préfère le demi tour au moins c’est plat, mais j’ai oublié (je suis vraiment fatigué) qu’il ya cette grande courbe et que Mareuil est un peut plus loin que ce que me dit la distance à vol d’oiseau de mon GPS. Pour ne pas louper le train de 16h00 je mets la sur multipliée et par moment je fais un petit footing. Des promeneurs rigolent et se foute de moi, avec la marche on garde la santé… me disent t’ils ? Peut être, mais pour ne pas louper son train et rentrer à des heures impossibles, il faut se surpasser. Nous arrivons au pont de la Tuilerie premier pont après le Clignon. Nous prenons à gauche la rue de la Tuilerie, puis à droite la rue de Meaux et nous trouvons la gare sur la gauche. On là découvre au dernier moment. J’aurai mon train de 16h00.
 



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