Poursuite de mes promenades autour de la
France Aujourd’hui nous parcourrons le Jura de Métabièf à Mouthe GR 5 et GTJ
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agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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km Temps
Arret V/d V/g dénivelé
23 5:45 1:15 4 3,3
737 +
le Jura, se
hissent respectivement à 1463 mètres et 1495 mètres. Mais c’est dans l’Ain que
le massif enchaîne les records d’altitudes : le Crêt de Chalam à 1545
mètres, le Crêt de la Goutte à 1621 mètres et enfin le Crêt de la Neige à 1720
mètres. De part et d’autre de ces sommets, les phénomènes karstiques déterminent le massif : la surface calcaire striée de brèches et fissures devient perméable, renforçant le réseau d’eau souterrain. En surface, témoins des tumultes tectoniques survenus jusqu’à la fin du Tertiaire et sous l’incessante pression des cours d’eau souterrains et visibles, les combes, rides, voûtes, failles, plateaux à corniches, reculées, gouffres,
| piste de VTT |
Mont
d'Or, traversons la piste de VTT, nous grimpons toujours, montons par la piste de skie et passons derrière le télésiège de la Berche. Nous sommes à 1130m au petit balcon, on a une belle vue sur la station, au loin le fer à cheval ou l’on devine le château de Jouy. Il faut passer sous le pont de la piste de ski et prendre de suite à gauche les GR, un sentier partant dans les bois en direction du tournant des canons, Morond et Mont d'Or. Nous avons quitté le jaune et bleu. Le sentier empierré grimpe méchamment, et débouche sur un large chemin forestier ou nous faisons un coude aigu sur la droite. Nous arrivons au
![]() |
| A gauche, peut être la dent de Vaulion |
correspond à une pente
relativement douce qui est l'extrémité du mont Risoux. Le côté oriental est une
falaise rocheuse abrupte d'environ 150 m de hauteur. Selon les
interprétations, le mont d'Or a pour altitude 1 461 ou 1 463 mètres.
En effet, l'IGN place le « sommet » du mont d'Or à un point dont
l'altitude est de 1 461 mètres, alors qu'il existe un point non nommé
quelques centaines de mètres au sud sur la crête s'élevant à 1 463 mètres,
qui constitue le réel point culminant de la montagne. Ce dernier point est
également le point culminant des communes de Longevilles-Mont-d'Or et Jougne,
ainsi que du Doubs. Alors que les synclinaux situés à la base
du mont d'Or sont
constitués de roches du Crétacé, celui-ci est constitué à la base de roches du Trias,
du Lias et du Jurassique moyen, tandis que le sommet se compose de roches du Jurassique
supérieur. Près du sommet, une faille médiane verticale coupe le haut de la
montagne en deux ensembles. Celui du sud contient le sommet et est constitué de
marno-calcaires séquaniens qui forment un versant modéré avec de la végétation.
Celui du nord est constitué de calcaires du Kimméridgien qui composent une
falaise de près de 150 m de dénivelé. Le mont d'Or apparaît comme un pli,
séparé des deux synclinaux par deux failles
chevauchantes. Ce pli est long
d'environ 4 km. On trouve dans ce pli, une épaisse couche de marnes
imperméables de l'Argovien, qui bloquent les eaux de pluie infiltrées dans la
montagne et noient les couches supérieures. Lors des travaux de la construction
du tunnel ferroviaire du Mont-d'Or, les couches noyées furent percées, inondant
le tunnel par deux fois en 1912 et 1913 et dévastant le chantier avec un débit
estimé à 10 000 L/s. Aujourd'hui, l'eau continue de s'écouler en direction de
Vallorbe. Une étude de l'utilisation de cette eau pour l'alimentation humaine
est en cours. Wikipédia] Je rencontre le seul
courageux (ou un peu fou) grimpant la montagne sur son vélo, pour rejoindre la
piste de VTT. Il doit avoir mon age. Je le félicite de ne pas avoir pris ce que j'appelle des traines c... Il est surprit, et me répond ; Tant que l'on peut, il ne faut pas hésiter. Je n'aime pas trop le skie, cela coute très chère, on fait la queue des heures au pied d'une remontée mécanique, (j'exagère un peu) pour quelques minutes de descente. Ce sont les mêmes qui toute l'année rouspètent qu'ils font la queue dans le métro, le train, en voiture. Rien n'est prévu ou du moins, je ne le crois pas, pour le "skie découverte", c'est à dire une bande de neige sur le coté de la piste, permettant de remonter à pied... pour avoir la joie d'une descente. Mais à quoi cela servirait, il y aurait personne... Le
Cassini au XVIIIe siècle. Comme pour les monts Dore en Auvergne, il pourrait provenir du sanscrit dar désignant la montagne, la hauteur, devenu dor en celtique puis francisé en Dore, « eau », ou le mont d'Or, qu'il faudrait écrire Mon Dore, pour se conformer à l'étymologie du mot ore, dor, dur, iidor, qui se retrouve dans beaucoup d'idiomes, comme l'équivalent d’aqua et deviendrait « la montagne de l'eau », « la montagne des sources ». Une autre interprétation fait référence à une teinte dorée au coucher de soleil.
Le mont d'Or appartient à l'anticlinal Risoux-mont d'Or qui s'étend sur plus de 30 kilomètres, de la ville de Morez au sud, dans le Jura, à Jougne au nord. Cet anticlinal est situé à l'est du massif du Jura, dans la Haute-Chaîne. Le mont d'Or est situé entre deux synclinaux : celui de Vallorbe au sud-est et celui de Métabief au nord-ouest. Plus au nord se situe le sommet du Morond à une altitude de 1 419 m, alors qu'au sud, en Suisse, au-delà du synclinal de Vallorbe, se situe le sommet de la dent de Vaulion. Le sommet se présente sous la forme d'une arête grossièrement orientée nord-sud avec deux versants très différents : le côté
Géologie : Alors que les synclinaux situés à la base du mont d'Or sont
deux failles chevauchantes. Ce pli est long d'environ 4 km. On trouve dans ce pli, une épaisse couche de marnes imperméables de l'Argovien, qui bloquent les eaux de pluie infiltrées dans la montagne et noient les couches supérieures. Lors des travaux de la construction du tunnel ferroviaire du Mont-d'Or, les couches noyées furent percées, inondant le tunnel par deux fois en 1912 et 1913 et dévastant le chantier avec un débit estimé à 10 000 L/s. Aujourd'hui, l'eau continue de s'écouler en direction de Vallorbe. Une étude de l'utilisation de cette eau pour l'alimentation humaine est en cour.] Nous avons quelques points d’accès vers les bords de la falaise,
après les prairies, nous traversons le parking. Descendons la route sur notre droite au poteau d'information "pâturage de la Grangette" 1380 m d'altitude nous avons les directions de la Boissaude et Mouthe qui se trouve à 13 km. Nous quittons le balisage jaune & bleu N° 24 qui part sur la droite, poursuivons la route, quittons le bitume par un
sentier sur notre gauche en direction des bois et prairies. J'ai un peu de mal à comprendre le balisage jaune & bleu, nous en trouvons encore des marques alors qu'il n'était pas indiqué sur le poteau d'information. Bois d'un mélange de noisetier, et de sapins, se confondent avec les prairies. Parfois ce sont des prairies dans les bois, les traces et les bouses montrent que les sous bois peuvent être parcourus par des bovidés. Le chemin mal visible au sol n'est pas toujours facile à suivre avec les cailloux et les layons
peu de monde est passé par là, et la trace est difficile à trouver. Ha, j'aperçois un cairn c'est peut la bas, je sors le GPS et suis la trace, après le gros caillou le sentier est un peu mieux marqué au sol et l'on se dirige vers une barrière en bois. Nous quittons la plaine pour entrer dans une foret de Sapin. Nous débouchons sur la troisième route, que nous prenons à droite et nous arrivons au ‘’Granges Raguin’’ 1150 m d'altitude, elle est perdu et isolé dans cette plaine. La grange est en pleine restauration et risque de ne plus ressemblé aux granges jurassiennes d'antan. Sur la gauche, un petit pavillon en bois,
avec des trottinettes et des VTT électriques. Je me demande comment font les gents pour vivre... C’est un peu loin de tout et il faut savoir qu’il y a de la location ici. Une fois sur le parking, je me rends compte qu’il est immense… L’hiver cette plaine doit être la joie des raquettes et des pistes de skie de fond. A la sortie du parking, le balisage tourne sur la gauche nous avons un panneau d'information 1155 m d'altitude Le chemin de Corneau ; Mouthe est à 8 km, la petite échelle (chalet) et la cabane du club alpin en Suisse. Nous prenons ce beau chemin et entrons en foret, puis dans les prairies, nous longeons un corps de ferme (sur la carte les
ferme de "Gros Pouille" nous arrivons sur une nouvelle intersection avec une route formant un virage en angle aigu que nous prenons tout droit, (attention la flèche nous dit de prendre à droite, un chemin qui sur la carte est sans issu) mais il faut poursuivre notre descente par la route. Nous débouchons sur la route forestière de Combe Bougnon. Nous avons un panneau d'information avec les Sources du Doubs soit par le bas, soit par le haut. La distance est sensiblement la même, Je prends la route à gauche qui monte un peu... Si je prends à droite la route descend et je serais obligé de remonter pour me rendre à la source et je ne sais pas si j'en aurais le courage. Je remonte la route sur une bonne centaine de mètres en traversant la piste de skie. Le balisage jaune & bleu poursuit la route, le GR prend sur la droite un sentier dans la foret, parcelle 4, une pancarte nous
indique les
sources. Nous arrivons à un panneau d'information 965m d'altitude "foret
de la source du Doubs" Mouthe 3km sur la gauche sentier de la source
belvédère, je commence à grimper ce sentier sur la gauche pour me rendre au
belvédère, il y a beaucoup de marches, c'est dur et je suis fatigué. J'entends
de l'eau, vu la falaise que l'on doit gravir, ce ne pourrait être qu'une
cascade. J'ai vu en photo la source du Doubs il n'y a pas de cascade. Beaucoup
trop fatigué je ne poursuis pas jusqu'au belvédère qui ne m'amène pas à la
source, surtout qu'après la source j'ai encore trois kilomètres à faire. Je
redescends et arrive après 500m au niveau de la source. [Le Doubs c'est le principal affluent de la Saône et par conséquent un
sous-affluent du Rhône. Sa longueur totale est de 453 km, dont 430 km
sur le territoire français et 85 km sur le territoire suisse, une partie
de son tracé faisant office de frontière entre les deux États. Il constitue le
dixième cours d'eau français par sa longueur et la quatrième rivière française après la Marne, le Lot et la Saône, ainsi que le neuvième cours d'eau suisse par sa longueur. Il prend sa source dans une cavité du massif du Jura située sur la commune française de Mouthe à 945,5 m d'altitude et s'écoule d'abord principalement vers le nord-est. Après être remonté jusqu'à la trouée de Belfort, il s'écoule ensuite dans une direction opposée à celle de la première partie de son cours, se dirigeant vers le sud-ouest jusqu'à son confluent. Il se jette dans la Saône à Verdun-sur-le-Doubs, à 175 m d'altitude. Wikipédia]
Les eaux du Doubs surgissent d'une cavité constituée de roches calcaires du Portlandien, située au pied du Mont Risoux et de la forêt du Noirmont. La température de l'eau y est comprise toute l'année entre 5 °C et 6 °C. Des explorations spéléologiques ont permis de découvrir l'existence d'une succession de siphons juste en amont de l'exsurgence dont le troisième plonge verticalement
jusqu'à plus de 50 m de profondeur. Le débit moyen à la
source est de 1,76 m3/s8. Juste
après la source, la rivière prend la direction de l'ouest et traverse des zones
humides, dont les tourbières du Moutat. Après environ deux kilomètres, à
l'entrée du village du Mouthe, le Doubs reçoit les eaux d'un premier affluent,
le Cébriot, et prend alors la direction du nord-est dans le val de
Mouthe-Métabief. Sur les premiers kilomètres de son parcours, le Doubs adopte
un tracé singulier en forme de baïonnettes, faisant se succéder tantôt un
écoulement dans de larges dépressions synclinales dénommées vals, tantôt des
passages dans des gorges étroites découpant les anticlinaux et appelées cluses.
Ainsi, après avoir atteint la commune de Rochejean, il prend la direction
nord-ouest en passant par la cluse de Fourperet, qui draine les eaux de la
rivière du val de Mouthe vers le val de Saint-Point. Vingt-deux kilomètres en
aval de la source, il reprend une direction nord-est et forme alors un vaste
lac naturel, le lac de Saint-Point, de 
près de 7 km de longueur et 800 m de largeur. Le passage d'une nouvelle cluse au pied du fort de Joux permet au cours d'eau d'atteindre Pontarlier, première ville d'importance à être traversée. Il reçoit un de ses principaux affluents, le Drugeon, avant de s'écouler dans le val du Saugeais. Il s'insère ensuite dans une série de gorges escarpées, le défilé d'Entre-Roches et le défilé du Coin de la Roche, débouchant sur le val de Morteau. Dans cette zone en aval de Pontarlier, des pertes du Doubs vont alimenter au moins en partie la résurgence qui constitue la source de la Loue. Ce phénomène karstique a été découvert en août 1901 lorsque les usines Pernod de Pontarlier brûlèrent après avoir été frappées par la foudre le 11 août 1901. Ces usines fabriquant de l'absinthe hautement inflammable, les pompiers déversèrent dans un puits perdu 600 000 litres du spiritueux. Le surlendemain, on retrouva des traces d’absinthe et de colorant jaune doré aux
influence, océanique d'une part avec de fortes précipitations tant en quantité qu'en fréquence (avec un total annuel de précipitations proche de 1 700 mm), et continentale d'autre part avec des hivers rigoureux (fortes gelées, neige), mais des étés assez frais (très doux dans la journée, avec des nuits froides). Elle connaît des records de température minimale pour la France, et vaut pour la région du Haut-Doubs le surnom de Petite Sibérie. Les records de température maximale et minimale sur Mouthe sont respectivement de 36 °C le 1er juillet 1952 et −36,7 °C le 13 janvier 1968 ce qui en fait un des villages les plus froids de France. À noter que l'après-midi du 13 janvier 1968, on enregistrait 1,1 °C soit 38 °C d'amplitude thermique sur la journée.
La localité connaît en moyenne 152 jours de gel par an, 72 jours avec gelées inférieures à −5 °C et 36 jours avec gelées inférieures à −10 °C. Les minimales en-dessous de −20 °C concernent en moyenne 6 années sur 7. La température moyenne annuelle est de 6,7 °C.
En 1077, Simon de Vexin, originaire de Crépy-en-Valois (Oise), qui fut comte d'Amiens, de Vexin et de Valois, se retire dans un monastère près de Saint-Claude. Pour s'infliger des mortifications plus sévères, il décide avec quelques compagnons de remonter aux sources du Doubs et d'y fonder un ermitage. Cet ermitage deviendra un petit prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Oyand de Joux. Malgré les rudes conditions climatiques, quelques paysans s'installent et fondent le village de Mouthe. Plusieurs incendies ravagèrent le
village (en 1583, 1639, 1849) et son église (en 1789, 1833). Wikipédia] longeons le cimetière, la rue change de nom et devient place de l'église. Nous arrivons à l’église. [L'Eglise paroissiale : construite de 1732 à 1742 par l'architecte Galezot, les parties les plus caractéristiques sont le toit à l'impériale et le cimetière directement attenant. http://www.mouthe.fr/pub_recherche_fr.html]. Dans le virage de la rue nous avons sur la droite "la Pierre des Dimes". [La Pierre des Redevances : elle a été inscrite en 1931 et reste très mystérieuse quant à son utilisation. Elle trône à quelques pas de l'église actuelle. Elle mesure 1m x 1m. Il est dit que les sujets de la seigneurerie venaient payer la dîme. Celle-ci était versée au prieuré de Mouthe et elle s'élevait à environ un dixième des produits tirés à la fois de la terre et de l'élevage. Cet impôt très lourd pour les paysans fut supprimé dans la nuit du 4 août 1789.] Je poursuis la rue et débouche sur la D 437 (Grand Rue) que je prends sur la gauche et, passe devant la mairie (un petit château) [L'Hôtel de Ville : inscrit en juin 1990, on retiendra du bâtiment sa salle d'audience, son escalier, ses tourelles, son élévation, sa façade et sa toiture. Le
terminer après 1850. L'édifice suit les codes architecturaux de la renaissance, plutôt que du néo-classicisme ou du néo-gothique en vogue à l'époque de la construction. De ce fait, la forme de la bâtisse est imposante, cubique, surmontée d'une haute toiture pyramidale. Le bâtiment est cantonné de quatre tourelles coiffées de toits en poivrière. L'entrée est en plein cintre et la façade offre un balcon à balustres; L'escalier principal est inscrit dans un grand volume et permet de desservir toutes les salles de l'étage. Les façades et les toitures, la cage d'escalier et l'escalier, ainsi que l'ancienne salle de tribunal sont inscrites aux monuments historiques par arrêté du 21 juin 1990
Je me dirige vers mon gîte. A la hauteur de la boulangerie, salon de thé, je suis interpellé par mon nom. C'est mon hôtesse, elle ne me connaît pas, mais elle à tenté le coup avec succès. Même si la rue principale fait parti du parcours de la GTJ, nous ne devons pas être si nombreux à passer, avec un gros sac à dos, aujourd'hui je n'ai vu personne. Elle est installée en terrasse abritée par un auvent, toiture en pointe descendant très bas sur le trottoir. Après les présentations d'usage, et une explication pour situer plus facilement le gîte je m'en retourne. Je suis fatigué, déconcentré, heureux de ne pas à avoir à chercher
la maison. En arrivant, je n'avais pas remarqué le toit, descendant très bas et en pointe, je n'ai pas remarqué n'ont plus le poteau du luminaire et sa corbeille de fleurs descendant très bas. Le trottoir n'est pas large, une voiture en stationnement, je me retourne, aperçois une ombre au dessus de ma tête, je fais en même temps un pas en avant et penche la tête à droite pour éviter l'ombre et le haut du crane rencontre le bas de la toiture. La casquette est à peine déchirée, mais la peau du crane n'a pas résisté, je saigne. Me voilà assis dans le salon de thé avec deux boulangères complètement catastrophées. L'une va chercher la trousse à pharmacie, désinfecte, mais le sang coule toujours, la tête cela saigne beaucoup. Je ne pense pas que ce soit bien grave, mais elles insistent pour que je consulte. Mouthe dispose d'un hôpital de proximité centre de soins de première urgence. J'en ressorts deux heures après avec deux points de sutures...
Pour cette année mes aventures autour de la France sont terminées. Dans ce périple, j'ai réalisé 506 km
163 en Mai 143 en juillet
91 en juin 109 en aout. Mais surtout un total de 12 976 mètres de dénivelés



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