Promenade N°7 La Ferté Sous Jouarre – Changis sur Marne
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Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b313391
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Promenade ouverte de Gare en Gare
Janvier 2019
KM Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
31 5h00 45 6,2 5,4
358 +
Le départ se fait de la gare de la Ferté Sous Jouarre [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville avec ses services, transports et commerces. Le toponyme La Ferté est issu de l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul du nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en 1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-Jouarre était le duc de la Rochefoucauld. La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Elle appartint successivement aux ducs de La Force, aux princes de Condé puis à la Maison de La Rochefoucauld. Extraie Wikipedia ]
Sortir de la gare par le passage sous terrain et suivre sur la gauche la rue de la gare (D603) nous suivons le GR 14 A. Longer les voies et passer le pont, tout de suite après prendre à gauche la rue Duburq. Laissons sur la droite la rue sans issu du Square de la Haute Vue, cette fois ci laissons la petite ruelle aux Loups sur la droite, poursuivons tout droit. Nous sortons de La ferté Sous Jouarre et arrivons à un petit parking ou nous trouvons sur la droite un escalier montant le flanc du coteau boisé de l'espace Naturel du bois de la Barres, vers le sentier des meuliers. [D'une surface de 33 hectares, l'espace naturel du bois de la Barre est un coteau boisé ayant servi autrefois à l'exploitation de la pierre meulière. mares une espèces protégée en France : la Salamandre tachetée C’est au début du 19 e siècle que l’activité meulière fertoise s’industrialise, les carrières du Bois de la Barre vont prendre de l’essor. On abandonne la fabrication des meules d’un seul bloc, dite « monolithes », pour se tourner vers la production de meules dites « anglaises ». Cette innovation introduit une méthode d’assemblage de plusieurs morceaux : les carreaux, autour d’une seule pièces centrale : le boitard. En 1837, les entreprises Gaillard, petit & Halbou, Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre. Vers 1900, le commerce des meules de pierre décline, les carrières de la Barre connaissent une ultime reconversion grâce à l’extraction de pierres destinées à la construction. C’est l’époque de l’expansion de la banlieue de Paris et de ses pavillons en « meulière » http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/la-ville/20-commune/tourisme-et-loisirs/140-bois-
barre]L’escalier abouti au chemin des meuliers que nous prenons à gauche nous trouvons un petit balisage oblique rouge. Au carrefour laissons le chemin qui descend sur la gauche, et à la fourche suivante avec un banc laissons le chemin de droite, poursuivons tout droit. Nous approchons de Morintru, laissons le chemin sur la gauche se dirigent vers le bas du hameau. Notre chemin remonte sur la droite et débouche sur un autre formant Té nous prenons à gauche, peut de temps après il fait fourche nous prenons à gauche, sortons de la foret après avoir franchi une barrière. Nous débouchons dans Morintru d’en haut par le sentier des Cordeleliers, sur la droite nous trouvons un lavoir. Laissons la ruelle des Cordeliers sur la droite poursuivons tout droit, nous débouchons rue de Morintru d’en haut que nous prenons à gauche nous sommes sur Saint Jacques de Compostelle branche Reims Paris. Descendons la rue et nous arrivons à Morintru d’en bas, laissons la rue de gauche, prenons le sens interdit. De bitume nous passons à chemin, nous trouvons les marques du GR 14 A sur un poteau à gauche. Abandonnons notre rue et le chemin de Saint-Jacques qui descend pour prendre après la clôture de la prairie le chemin sur la droite, nous sommes sur le GR 14 A et normalement un balisage jaune (sans balisage). Cette fois ci pour me rendre à Ussy sur Marne je ne prends pas la D3E, mais le fond de Voliard, chemin que je
Levé de soleil sur la Marne |
également le chemin de Saint Jacques. Traversons la rivière [La Marne longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). Wikipédia] Nous approchons de Sammeron et prenons le chemin dans les champs sur la gauche un peut avant le panneau annonçant l’entrée du village. Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à droite, nous sommes rue de la Charbonnière. J’abandonne le balisage rouge & blanc et le balisage jaune pour prendre sur la gauche le petit chemin se dirigeant vers la station d’épuration que nous contournons passons au dessus du ru de la Bécotte et faisons le tour des terrains de sport. Nous entrons dans Sammeron [Du celte sam, « tranquille » et arau, « eau » ] Contournons l’école par la gauche et prenons à droite la rue René Cassin nous arrivons à la Mairie-école pas très loin de l’église du XVIIIè en meulière, prenons la rue Georges Jacquet sur la droite et débouchons sur la D 603 (rue de Metz) que nous prenons à gauche. Nous prenons à droite la rue de Perreuse, elle fait un coude sur la droite, laissons la rue Ferrée sur la gauche, poursuivons la rue Perreuse laissons un nouveau chemin desservant des maisons sur la droite notre rue forme Té avec une autre. Nous quittons le bitume pour prendre la sente du berger face à nous, le chemin fait fourche, laissons la branche de droite retourner en ville prenons celle de gauche, elle débouche sur un chemin formant Té que nous prenons à droite. Nous arrivons à un carrefour ou nous retrouvons le GR 14a nous prenons à
gauche et grimpons vers le bois le chemin fait fourche poursuivons par la branche de gauche, traversons le bois, coupons un chemin et nous arrivons a la la D 21 que nous coupons. Le chemin fait fourche laissons la branche de gauche prenons à droite, longeons un bois et coupons la D 114p derrière le chemin fait fourche la branche de gauche est un PR prenons à droite au dessus de la butte nous apercevons une toiture et nous arrivons à l’aqueduc de la Dhuis que nous suivons à droite. [Construit sous le Second Empire (Napoléon III) afin d’alimenter Paris en eau potable, il sert aujourd’hui à fournir en eau le parc Disneyland Paris et l’est de la région parisienne. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys dans l’Aisne. Il franchit 21 vallées d’une profondeur comprise entre 20 et 73 m, et traverse le sud du département de l’Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis sur 132 km avant d’aboutir à Paris, au réservoir de Ménilmontant. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/aqueduc-de-la-dhuis
Au
début du XIXe siècle, outre les puits et les citernes, Paris n'est alimentée en
eau essentiellement que par les eaux de Belleville et du Pré-Saint-Gervais et
l'aqueduc de Rungis. La construction du canal de l'Ourcq, entre 1802 et 1822,
permet d'assurer un apport d'eau important, à défaut d'être d'une qualité
adéquate. Le premier puits artésien de la ville est foré en 1841. Le très fort
accroissement de la population parisienne nécessite toutefois d'entreprendre de
nouveaux travaux. En 1854, avec l'appui de Napoléon III, le préfet Georges
Eugène Haussmann et le directeur du service des eaux Eugène Belgrand font
approuver un programme d'alimentation en eau par le conseil municipal de Paris.
L'aqueduc de la Dhuis est le premier ouvrage à être construit. Le décret du 4
mars 1862 le déclare l'utilité publique. Les travaux divisés en deux lots
débutent à la fin juin 1863. Le chantier est rapidement réalisé : l'eau est
introduit dans l'aqueduc le 2 août 1865. La distribution régulière commence le
1er octobre suivant, alimentant le réservoir de Ménilmontant. La réalisation de
l'aqueduc de la Dhuis coûte 18 millions de francs de l'époque,
incluant l'achat des chutes des usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin. Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il
parcourt 130 km presque à l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant. L'aqueduc franchit
21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes. L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage6. À l'extérieur, les regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km. Pont et cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites forcées.
incluant l'achat des chutes des usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin. Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il
parcourt 130 km presque à l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant. L'aqueduc franchit
21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes. L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage6. À l'extérieur, les regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km. Pont et cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites forcées.
En
1889, la quantité d'eau distribuée annuellement s'élève en moyenne à 66
millions de m3 pour un prix de 0,113 F/m3. En 1896, les réservoirs du nord
parisiens desservent les quartiers hauts de Montmartre, Belleville et Passy.
Le
trajet de l'aqueduc est une destination populaire. À l'instar des bords de
Marne, plusieurs guinguettes sont créées sur son parcours, alors même que l'eau
n'est pas apparente. Actuellement, l'aqueduc de la Dhuis alimente en eau
potable le parc d'attraction Disneyland Paris à Marne-la-Vallée. Seule une
petite partie parvient jusqu'à Paris. Je l’ai déjà écrit et à chaque fois que
je lis ses lignes cela m’écœure… Prendre de l’eau potable pour alimenter un
parc d’attraction, alors qu’à longueur d’année on nous bassine sur le manque
d’eau… Il y avait pourtant une autre solution ; utiliser l’eau de la Marne ou
du Grand Morin qui ne coule pas trop loin de là. La traiter pour qu’elle soit
sans danger, et laisser l’eau ‘’propre’’ aux parisiens.
Depuis
2009 l'aqueduc est vide à partir d'Annet-sur-Marne, la galerie ayant été
bétonnée par la ville de Paris sur presque 700 mètres.
La
ville de Paris inscrit à l'ordre du jour du conseil des 17 et 18 octobre 2011
l'éventualité de céder l'aqueduc de la Dhuis à la société Placoplatre, au moins
les sections situées sur les communes d'Annet-sur-Marne, Claye-Souilly,
Villevaudé et Le Pin, afin de faciliter l'extraction du gypse souterrain par
une exploitation à ciel ouvert. À la suite de la motion de censure déposée par
la fédération Île-de-France Environnement, la mairie de Paris a d'abord décliné
l'offre de Placoplatre avant de renoncer au projet de cession. En juillet 2015,
la section de Pargny-la-Dhuys à Chessy est vendue à l'intercommunalité du Val
d'Europe. wikipédia]. Parcourons se large chemin un peu boueux
l’hiver, nous retrouvons par ici des traces du GR. Contournons le hameau de
Signy, coupons la rue de la Dhuis, poursuivons en face poursuivons le chemin au
dessus de l’aqueduc, il fait un angle aigu sur la droite. Ici il faut faire
attention aux petites bornes hectométriques que l’on trouve sur la gauche et
dépassant à peine de l’herbe entre la borne 628 et 630 Nous quittons l’aqueduc
et le GR 14 a pour prendre le chemin sur la gauche vers des hangars et la ligne à haute tension. Nous grimpons un
peu, maintenant nous suivons un balisage jaune. Nous arrivons à la grosse ferme
de Montguichet le chemin fait fourche laissons le bitume sur la droite
permettant au fermier de rejoindre la départementale, prenons à gauche. Le
chemin fait fourche nous ne prenons pas le chemin menant à la ferme en ruine,
poursuivons par la gauche. Nous débouchons sur un
chemin formant Té que nous prenons à droite nous longeons une haie d’arbres entre deux champs. Nous devinons le balisage jaune sur un poteau et arrivons au château de Montebise [Les ruines d'un ancien château existent sur l'emplacement des bois de Montebise ; il fut démoli bien avant 1789. Il appartenait, ainsi qu'une grande partie du village, à la famille de Cordouan qui fit rebâtir, à courte distance de l'ancien, un nouveau château sous Louis XIV : MONTEBISE. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune] passons l’entrée et reprenons le chemin sur la gauche malheureusement je n’ai pas beaucoup vu de trace jaune. Nous traversons la queue du bois d’Orléans, truffé de pancartes propriétés privées. Dommage que nous ne trouvions pas de balisage jaune sur les jeunes arbres pour nous rassurer. Nous débouchons dans les champs par un chemin qui n’a pas du voir un randonneur n’y un tracteur depuis des lustres et débouchons sur la D 19 que nous prenons à gauche, traversons le hameau de Courte soupe. Dans le milieu du village nous prenons à droite la rue du Luxembourg, et sortons du village. Nous arrivons au hameau de Petite Courte Soupe et au première maisons nous prenons à droite le chemin dans les champs, coupons un ru et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite, comme le balisage jaune. Longeons un ru et nous arrivons au village de la Pierre Levée. [PIERRE-LEVEE, Petra Sublata, autrefois (1771) prieuré-cure de l'ordre de Prémontré, dans la Brie Champenoise ; généralité de Paris ; élection de Coulommiers ; archidiaconé de Brie ; doyenné de la Ferté sous Jouarre ; patron, Saint-Claude ; collateur, l'abbé de Chambrefontaine ; seigneur, Monsieur le Marquis de Montebise. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune
chemin formant Té que nous prenons à droite nous longeons une haie d’arbres entre deux champs. Nous devinons le balisage jaune sur un poteau et arrivons au château de Montebise [Les ruines d'un ancien château existent sur l'emplacement des bois de Montebise ; il fut démoli bien avant 1789. Il appartenait, ainsi qu'une grande partie du village, à la famille de Cordouan qui fit rebâtir, à courte distance de l'ancien, un nouveau château sous Louis XIV : MONTEBISE. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune] passons l’entrée et reprenons le chemin sur la gauche malheureusement je n’ai pas beaucoup vu de trace jaune. Nous traversons la queue du bois d’Orléans, truffé de pancartes propriétés privées. Dommage que nous ne trouvions pas de balisage jaune sur les jeunes arbres pour nous rassurer. Nous débouchons dans les champs par un chemin qui n’a pas du voir un randonneur n’y un tracteur depuis des lustres et débouchons sur la D 19 que nous prenons à gauche, traversons le hameau de Courte soupe. Dans le milieu du village nous prenons à droite la rue du Luxembourg, et sortons du village. Nous arrivons au hameau de Petite Courte Soupe et au première maisons nous prenons à droite le chemin dans les champs, coupons un ru et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite, comme le balisage jaune. Longeons un ru et nous arrivons au village de la Pierre Levée. [PIERRE-LEVEE, Petra Sublata, autrefois (1771) prieuré-cure de l'ordre de Prémontré, dans la Brie Champenoise ; généralité de Paris ; élection de Coulommiers ; archidiaconé de Brie ; doyenné de la Ferté sous Jouarre ; patron, Saint-Claude ; collateur, l'abbé de Chambrefontaine ; seigneur, Monsieur le Marquis de Montebise. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune
Cette commune, à ce qu'assurent les
habitants du pays, sans pour autant donner aucune preuve à l'appui, a été dans
les siècles passés, une ville dont on ne trouve cependant nulle part de traces.
Il a dû y exister aussi une communauté religieuse, était-ce un prieuré ou une
abbaye, rien ne l'apprend, seulement l'adjoint (de cette époque) de cette
commune assure que lors du contrat d'acquisition de sa maison, l'intendant de
Monsieur de Montebise présenta des titres de propriété de cette maison
indiquant le "Logis des Moines", sans autre désignation. L'étymologie
de cet endroit est tellement contradictoire dans ses différentes données que
nous n'avons pu nous arrêter à aucune. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune La forêt du Mans entourait presque
complètement la commune. Les défrichements ont été opérés d'une notable partie
de la forêt par suite de l'établissement de grandes voies de communication
servant à relier les bourgades gallo-romaines, Jouarre et Doue. Cela changea
totalement l'aspect du pays mais les chemins mal entretenus entraînent des
moyens de circulation très primitifs, ce qui explique l'existence misérable des
anciens habitants. Dans beaucoup d'étangs après assèchement, on a découvert des
vestiges (poteries).
Aux
abords d'une ancienne voie romaine, on a découvert les débris d'un puits
antique ainsi qu'un assez grand nombre de pièces romaines contenues dans un
vase antique. Des pierres de silex, taillées ou polies, témoignent de
l'ancienneté du village. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune] Traversons
ce charmant village en prenant sur la gauche la D 19 (rue de La Fontaine), nous
trouvons sur la droite l'église. Poursuivons jusqu'à la sortie du bourg. Au carrefour entre la D 19 et la D21, nous prenons sur la
droite un chemin en angle aigu juste avant une maison, entrons dans un bois et longeons
un étang, puis nous sommes dans les champs et débouchons sur un chemin formant
Té nous prenons à gauche. Longeons l'orée du bois des Uselles puis le
traversons, le chemin fait fourche nous quittons le balisage jaune dont le
marquage tourne sur la gauche et prenons à droite, mais nous sommes toujours
sur un balisage jaune. Nous débouchons sur une route après avoir franchi une
barrière nous abandonnons le balisage
jaune et prenons le chemin de gauche, traversons le hameau de Moras, quelques
maisons et une grande pépinière. Nous arrivons sur la D 19 que nous prenons à gauche.
Nous longeons la forêt du Mans sur une route bien difficile avec pas mal de
voitures, et malheureusement pas un chemin, même pas une laie forestière accessible.
Longeons la maison forestière et juste avant un virage nous trouvons enfin un le
chemin de Moras sur la droite, chemin en renforcé de gros cailloux au carrefour
des parcelles 5 & 11, nous prenons sur la droite. Nous arrivons carrefour de
la table de marbre, nous trouvons également une maison ‘’ abris forestier de la
table de marbre ‘’qui doit servir au forestiers et pour la chasse. [La forêt du Mans est
une forêt située sur les communes de Pierre-Levée et de Villemareuil(Seine-et-Marne). Elle couvre une
superficie de 297 hectares. C'est aujourd'hui un
reliquat de la vaste forêt qui, aux XIIème et XIIIème siècles, couvrait environ
20 000 hectares, entre les localités de Meaux, Jouarre et Coulommiers. Elle était en effet au centre du Pagus meldicus(pays de Meaux) tel que nous le
connaissions à l'époque mérovingienne.
En 1178, le comte de Champagne et de Brie Henri le Libéral confirme
aux hommes du chapitre de Meaux domiciliés à Boutigny, le droit d'usage du bois mort dans la
forêt du mans, pour chauffage, clôture et échalassement des vignes.
Au xixe siècle,
elle faisait partie de l'immense patrimoine foncier du duc de Luynes
(Honoré-Thédoric d'Albert / 1802-1867), qui la transmit à sa petite-fille Marie
(1844-1865). Au décès de cette dernière, elle passa à sa fille Louise de
Sabran-Pontevès (1864-1914).
L'État a acquis la forêt du Mans entre
1956 et 1960, ce qui en fait aujourd'hui une des forêts domaniales de
Seine-et-Marne. Wikipedia ] La table de marbre
n'est qu'une table en meulière pierre fort commune dans la région. Ma trace ne
passait pas par le chemin que je vais vous faire prendre, mais la route me
semblais plus sympa. En recherchant sur internet a
quoi pouvait servir cette table dite de marbre, j'ai trouvé des sites de rando ou les randonneurs sont
émerveillés de ses 300 ha qui a faillit
disparaitre avec la tempête de
1999. Rasé pour mieux replanter c'est une technique que l'ONF connait bien,
parfois, c'est la seule solution et tant pis pour les insectes en voit de
disparition… c'est peut-être pour cela que, et je m'en excuse auprès des
randonneurs et associations des environs, je ne m'y suis pas senti bien… et Je
l'ai trouvé peu intéressante par ses bois trop jeunes ses grandes allées et ses
trop nombreuses laies forestières menant nulle part… j'ai donc décidé de
modifier mon circuit en le raccourcissant. Je prends un peut
sur la droite la route du Montceau sur la carte, mais il semblerait que sur
le terrain se soit la continuité du chemin des ermites. Belle route au départ, je pensais qu'avec un nom et une stabilisation, elle devait déboucher, laissons un chemin sur la gauche mon chemin devient très « forestière » au niveau des parcelles 16-8-7 poursuivons tout droit parcelle 7. Le chemin se réduit encore devient laie forestière, puis débouche sur rien. Me voila en bordure de la foret en plein milieu d'un champ protéger des ‘’bêtes sauvages’’ comme on le disait au moyen âge par trois rangées de fils électriques. Heureusement une large bande de terre non cultivés se trouve entre la lisière et les cultures. Je choisi de prendre à droite, je vois la route D 19 sur la droite, une ferme. Mais surtout l'autoroute A4 qui barre la plaine et deux ponts l'un sur la gauche et l'autre derrière la ferme, je parts donc à droite après avoir franchi les fils électriques. Le chemin, enfin la bande herbeuse n'est pas trop difficile à marcher si ce n'ai quelques ravages de sangliers, qui ont réussi à passer malgré les fils. J'arrive à un grand fossé plein d'eau, je le longe sur la gauche ayant aperçu un chemin. Arrivé au bitume je le prends a droite débouche sur la D21 que je prends à gauche, longe la ferme, et traverse l'autoroute. Nous laissons la D 33a sur la gauche poursuivons tout droit.
le terrain se soit la continuité du chemin des ermites. Belle route au départ, je pensais qu'avec un nom et une stabilisation, elle devait déboucher, laissons un chemin sur la gauche mon chemin devient très « forestière » au niveau des parcelles 16-8-7 poursuivons tout droit parcelle 7. Le chemin se réduit encore devient laie forestière, puis débouche sur rien. Me voila en bordure de la foret en plein milieu d'un champ protéger des ‘’bêtes sauvages’’ comme on le disait au moyen âge par trois rangées de fils électriques. Heureusement une large bande de terre non cultivés se trouve entre la lisière et les cultures. Je choisi de prendre à droite, je vois la route D 19 sur la droite, une ferme. Mais surtout l'autoroute A4 qui barre la plaine et deux ponts l'un sur la gauche et l'autre derrière la ferme, je parts donc à droite après avoir franchi les fils électriques. Le chemin, enfin la bande herbeuse n'est pas trop difficile à marcher si ce n'ai quelques ravages de sangliers, qui ont réussi à passer malgré les fils. J'arrive à un grand fossé plein d'eau, je le longe sur la gauche ayant aperçu un chemin. Arrivé au bitume je le prends a droite débouche sur la D21 que je prends à gauche, longe la ferme, et traverse l'autoroute. Nous laissons la D 33a sur la gauche poursuivons tout droit.
(Aujourd’hui, à la table de marbre, je pendrais le chemin situé
à gauche de celui du montceaux (le petit trait noir sur la carte.) Il semble se
poursuivre sur la carte après être sortie de la foret. Au premier carrefour
(cote 170) je prendrais à droite le chemin plus large, ou plus stabilisé vers
la ferme de ‘’Dieu L'Amant’’ passer la ferme laisser sur la gauche la route
menant à cette dernière, on se dirige vers l'autoroute. Juste avant le pont
franchissant l'axe rapide nous trouvons une route sur la droite se dirigeant
vers l'autoroute, juste avant les grillages, nous prenons sur la droite un
chemin longeant l’autoroute puis s'en éloigne en oblique en coupant dans les
champs et l'on retrouve la trace sans avoir franchi de fil électrique du moins
je l'espère, et puis on ne sait jamais, l’espace herbeux sera peut être un jour
cultivé.) Une fois l'autoroute franchi nous prenons la première route à droite
en direction de La ferme de la Noué. Traversons ce hameau par la rue principale
faisant un coude sur la gauche. Nous débouchons sur un carrefour sans
information, laissons sur la gauche la route menant au Montceaux et prenons à
droite. Nous longeons un bois passons
une belle maison, poursuivons notre descente, au loin nous apercevons les
immeubles de Meaux. Poursuivons le bitume jusqu'au carrefour ou nous trouvons
la direction de la ferme de Aigrefoin et des Ambroises, nous prenons à gauche,
nous longeons un bois. Passons une belle maison 1900 enfin dans ses années là.
Passons la route d'accès à la ferme de l'Aigefoin, et peut de temps après nous
prenons à droite la direction des Ambroises. Laissons une route sur la droite
et traversons se hameaux de quelques maisons et d'un hangar ressemblant à une
usine peut être abandonnée. La route se termine et nous poursuivons par un
chemin ou nous rencontrons le Gr 11. Nous sommes au carrefour des Gr 11 - 14 A et
de l'accès à la gare. Laissons le GR 14
A sur la gauche, et le GR 11 partir tout droit, poursuivant son chemin par
l'aqueduc de la Dhuy. Prenons à droite l'accès à une gare. Descendons dans le
bois par un chemin pas facile et glissant, parfois pavés. Nous longeons un ru,
puis le chemin fait fourche, nous prenons à gauche descendons le muret et nous
trouvons une route pavée que nous descendons (chemin du vieux pavé. J'ai lu
quelques part qu'ils étaient Romain), nous entrons dans Saint Jean les Deux Jumeaux
il semblerait qu'elle se nomme rue du Père Saint Jean. [Lieu
d’une grande bataille Napoléonienne http://www.la-defaite-oubliee.com/article-bataille-historique-a-saint-jean-les-deux-jumeaux-120807695.html]
La route fait fourche, laissons le Gr partir sur la gauche par la route du
général de Gaulle, prenons à droite la rue Alfred de Musset, devant l'église nous
prenons à droite rue du
Père Mary. Dans le bas nous prenons à droite la rue Pasteur (D 603) et tout de suite à gauche la rue paul Tripier (D 53 A) passons la drôle de Chapelle de l'école du Lys tout en brique et poursuivons tout droit vers la Marne par la rue du Maréchal Foch [Église Saint-Jean-Baptiste (xiiie siècle-xxe siècle) comportant une statue de la vierge allaitante du xvie siècle .Chapelle de l'ancien séminaire construite par l'architecte Henry Faucheur et commanditée par le père Paul Mary. Elle a été inaugurée en 1926. et comporte des vitraux signés Louis Barillet] passons la Marne [longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne(Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). La Marne est classée navigable et canalisée sur 183 kmdepuis Épernay jusqu'à son confluent. Ses écluses présentent un gabarit de 45 m sur 7,80 m.
Père Mary. Dans le bas nous prenons à droite la rue Pasteur (D 603) et tout de suite à gauche la rue paul Tripier (D 53 A) passons la drôle de Chapelle de l'école du Lys tout en brique et poursuivons tout droit vers la Marne par la rue du Maréchal Foch [Église Saint-Jean-Baptiste (xiiie siècle-xxe siècle) comportant une statue de la vierge allaitante du xvie siècle .Chapelle de l'ancien séminaire construite par l'architecte Henry Faucheur et commanditée par le père Paul Mary. Elle a été inaugurée en 1926. et comporte des vitraux signés Louis Barillet] passons la Marne [longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne(Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). La Marne est classée navigable et canalisée sur 183 kmdepuis Épernay jusqu'à son confluent. Ses écluses présentent un gabarit de 45 m sur 7,80 m.
Elle est connectée à l'Aisne par le Canal de l'Aisne à la Marne qui arrose Reims, et indirectement, par l'intermédiaire du Canal latéral à la Marne, au Rhin par le Canal de la Marne au Rhin et à
la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet.
la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet.
Plusieurs canaux ont été mis en service pour couper les
méandres de la rivière en Seine-et-Marne : le canal Cornillon (à Meaux) et le canal de Chalifert, long de 12,3 kilomètres (entre Meaux et Chalifert). La Marne n'est pas navigable entre Neuilly-sur-Marne et Vaires-sur-Marne, à cause du barrage de Noisiel situé près de l'ancienne chocolaterie Menier. Sur ce tronçon, la navigation passe par le canal de Chelles, parallèle à la rivière et long de 8,5 kmenviron.
La Marne présente la particularité de permettre
à un bateau de parcourir intégralement sa vallée, jusqu'à passer presque sous
sa source par la voûte de Balesmes.
Cette source est toute proche de la grotte dans laquelle le rebelle
gaulois Sabinus est réputé s'être réfugié en compagnie de
sa femme pendant neuf ans, avant d'être capturé par les Romains. En fait la
légende qui dit que Sabinus s'est caché dans la grotte qui surplombe la source
de la Marne à Balesmes sur Marne, en compagnie de sa femme Éponine n'est étayée par aucun écrit ni trace
réelle tangible. D'ailleurs à l'entrée de la grotte on peut y lire cette
information en point d'interrogation. Mais il plaît aux Haut-Marnais du sud de
perpétuer cette légende à la gloire du rebelle gaulois. Wikipedia ]. Nous arrivons a Changis sur Marne. Aux carrefours avec la rue de la
Mairie et du Moncey nous prenons cette dernière à droite.
Puis à gauche la rue de la gare.Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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