samedi 2 novembre 2019

Randonnée le Plus Loin Possiple 2019 Etapes 80 Belfort (TGV) Etupes GR 5 variante & GTJ (grande Traversée du Jura-GR 509)


Juillet - Aout  c'est la continuité de mon parcourt numéro 1 après une direction Ouest de Fontainebleau au Havre, puis une direction Nord entre le Havre à Dunkerque, je poursuis par une direction Est jusqu'au Vosges, me voici dans une direction Sud des Vosges à Nice. Nice étant l'un de mes départs. 

Pourquoi deux départs et même trois. Lorsque j'ai décidé de faire un périple autour de la France par étapes et sans compter les années, je pensais réaliser les parcours au fur et à mesure dans le sens des aiguilles d'une montre. Mais deux problèmes ont perturbés mon idée. La Maladie. Durant ma convalescence, je débute un troisième circuit avec des étapes que je peux réaliser à la journée et me permettant de me remuscler. C'est ce que j'ai appelé le retour, parcours entre Fontainebleau et les prémices de la Normandie.
Le Deuxième départ est venu après une semaine catastrophique pour rejoindre le Havre. Une semaine déplorable de pluie et de froid à l'époque je campais. Ce qui m'a fait réfléchir... En mai et juin j'ai froid dans le nord, mais lorsque j'arriverais en juillet et aout dans le sud j'aurais trop chaud. A partir de cette réflexion, je parts en Mai et Juin dans le sud et en Juillet et Aout je poursuis mon périple dans le sens des aiguilles d'une montre.      
 
lundi 22 juillet Etape 80

Belfort - Etupes GR5 (variante) de la Grande Traversée du Jura

(Attention semaine difficile 143 km, et 4082 mètres de dénivelés positifs) 
km    temps     arret     V/d     V/g     denivelé
14      2:30       0:30       6        4,9        158 +

Je débute cette semaine de rando avec un handicape. Le mois dernier les Pyrénées ont eux raisons de mes chaussures. Elles étaient usées mais je pensais tout de même terminer les étapes de cette année. les sentiers pierreux de la montagne occitane en ont décidés autrement. Après nettoyage, je me suis aperçu que les semelles commençaient à se décoller... Pourtant elles ne sont pas trop vieille un peut plus de 2000 km, mais la semelle était en vibram, parfait pour l'adhérence, mais cela s’use un peut vite, sans pouvoir les remplacer sur ses chaussures. Dommage le cuir est encore impeccable. Me voilà avec des chaussures neuves, qui n'ont été faite que sur une dizaine de kilomètres. Depuis le premier jour j'ai utilisé des Assolo, des Quéchua qui ont tenu 3455 km, des Millet qui on tenu 3301 km, des Assolo 2235 km.

Je laisse un petit trou de rien du tout entre Belfort et le début du Juras juste l'espace entre le centre ville et l'arrivée de mon TGV dans la gare perdue en pleine campagne à une dizaine de kilomètres de la "ville au Lion". j'ai hésité à retourner en gare du centre ville, pour boucler avec l'année dernière. Ou partir de la gare campagnarde. J'ai opté pour le second choix n'ayant trouvé aucun chemin m’intéressant et me faisant passer loin de la gare campagnarde. Je suis un peu maso, mais pas au point de refaire à pied le chemin fait en bus ou en train, surtout que l'année dernière Belfort m'avait un peu dessus. La fatigue peut être après ma traversée des Vosges en deux semaines et un temps calamiteux pour cette fin de voyage. Pour quelques kilomètres peu intéressant, 6 à vol d'oiseaux, j'ai préféré démarrer de la gare campagnarde. Bonne surprise à la sortie de la gare, une variante du GR 5, que l'on ne trouve pas sur la carte et qui comme par miracle se trouve être ma trace.

 

Carte IGN                                               Trace GPS & Topo sans commentaires

Trace Randogps                                             Le code mobile de cette randonnée est b313082
                                                   
La gare se trouvant également au milieu d'un nœud routier, j'ai toujours peur que rien ne soit prévu pour le piéton que je suis. A la sortie de l'espace gare, nous trouvons un chemin bitumineux GR 5 & piste cyclable [La

francovélosuisse est un itinéraire cyclotouristique de 40 kilomètres reliant Belfort (France) et Porrentruy (Suisse). Entre Vosges, Jura, Alsace, Ajoie et Franche-Comté, 7 boucles mêlant voies vertes et petites routes de campagne viennent prolonger ce parcours. (nous étions sur la boucle des trois vallées)
francovelosuisse.com/fr/index.html]derrière un grillage, qui devient chemin dans les champs et nous longeons la N 1019. Nous débouchons sur une route (le chemin de l'étang) que nous prenons à droite passons sous la nationale et traversons le village de Bourogne [Il apparaît que l'installation des hommes à Bourogne remonte à la Préhistoire. C'est, lors des fouilles effectuées récemment sur le site destiné à l'extension du cimetière, que cette information en est ressortie.  Une fosse contenant, outre des restes de squelettes de petits animaux, des fragments de poteries et d'ustensiles datant vraisemblablement de la fin de la période du bronze ou du début de l'âge de fer ont été mis à jour par les chercheurs Nous pouvons en déduire que les tribus préhistoriques, qui se sont fixées à Bourogne, ont sans doute été attirées par le site que favorisaient des sources abondantes et la conjonction des deux rivières, l'Allaine et la Bourbeuse. Bourogne au Moyen-Age Au Moyen-Âge, la famille de Neuchâtel était propriétaire de Bourogne. Ensuite, elle passa entre les mains de plusieurs grandes familles. Une partie de cette terre passa à la Maisonde Ferrette, puis, elle fut vendue à la Maison d'Autriche qui la conserva jusqu'en 1648.C'est à cette époque que Bourogne se trouve, en effet, dans une situation délicate. Le village est traversé par la Bourbeuse qui sert de frontière entre les seigneuries de Haute Alsace et de Montbéliard. Sur la rive gauche, les habitants dépendent de l'abbaye de Murbach, dont les terres sont gérées par les Landgraves de Haute Alsace. Sur la rive droite, les habitants ont pour suzerain les comtes de Montbéliard. Cette situation perdure jusqu'en 1347, année où la succession de la comtesse de Montbéliard unit les deux parties du village.Par la 


suite, le village dépend des comtes de Ferrette.

Le village est cédé en fief à Hamann de Brinighoffen, en 1522, par Guillaume de Fürstenberg, "pour ses bons et loyaux services rendus pendant 17 ans", moyennant "foi et hommage" La famille de Brinighoffen a donné son blason à la seigneurie de Bourogne. Au XVIIIè siècle, Bourogne était une paroisse dédiée à Saint-Martin qui dépendait du bailliage de Delle et dont dépendaient également les quelques catholiques des villages protestants environnants (Dambenois, Allenjoie ...) C'était une mairie de la seigneurie de Delle, appartenant aux Mazarin. Au XIXè siècle, deux faits marqueront l'histoire économique du village et vont modifier sensiblement le caractère exclusivement agricole de Bourogne : le creusement du canal du Rhône au Rhin, ouvert à la navigation en 1829 et l'aménagement d'un port assurant principalement le transport du charbon venant de Ronchamp vers les industries mulhousiennes. Le «quartier du canal» connaît alors une grande activité. Mais en 1858, la création des voies de chemin de fer qui relient Belfort à Paris et à Dijon, puis l'achèvement en 1876, de la ligne Belfort - Delle qui permet alors aux Bourignais de disposer d'un accès rapide et direct à Belfort,  entraînent la décadence et finalement la cessation du trafic portuaire.
Le Territoire de Belfort, et donc la commune de Bourogne, faisait jusqu'alors, partie intégrante du Bas-Rhin, puisque celui-ci n'obtint son statut de Territoire qu'à la conclusion du conflit de 1870, après la signature du traité de Francfort le 10 mai 1871, en reconnaissance de la résistance héroïque des défenseurs de la citadelle, que les armées Prussiennes ne parvinrent pas à prendre.
Le Territoire de Belfort est né en 1871 du traité de Francfort qui mettait fin à la guerre de 1870. Alors que l'Allemagne annexait par ce traité la plus grande partie de l'Alsace et une part importante de la Lorraine, l'extrême sud-ouest du Haut-Rhin, autour de Belfort, fut laissé à la France, et ainsi séparé de l'Alsace. Il y eut deux principales raisons à cette décision :

  • la population des environs de Belfort était francophone, contrairement à la population des régions annexées au IIe Reich allemand en tant que terre d'empire (Reichsland) ;
  • la ville de Belfort avait fait preuve d'une résistance héroïque sous le commandement du Colonel Pierre Denfert-Rochereau lors du siège des troupes allemandes, et il eut été inconcevable de rattacher la ville à l'Allemagne après la guerre.
Après avoir longtemps conservé un statut spécial, le Territoire de Belfort devint officiellement le 90e département français en 1922. Je vous laisse lire les détails de ce petit village plein d'histoire sur https://www.bourogne.fr/historique.htm]
 [En 1734 l'ancienne église fut partiellement détruite à la suite pull effondrement d'une tour située entre le cœur et la nef la nouvelle église sera construite sur le même emplacement en creusant les fondations vestiges de mosaïque datant de l'époque romaine ont été découvertes laissant supposer que l'église avait été bâtie sur les ruines d'une villa romaine travaux s'achèvent en 1735 mais le clocher ne fut terminé qu'en 1755 est dédié à Saint-Martin l'un des patrons île française. Le blason de la commune lasure ou mouton d'argent sur montée de la lettre capitale des d'or a été ratifié par la commission d'héraldique en 1959 porte à l'influence car vécu autrefois l'importance de l'élevage des ovins sur le territoire de la commune. La construction du château date du 16e siècle de style Renaissance il fut édifié par la famille d'Arbaumont il fut ensuite habité par la famille Valbert jusqu'au jusqu'à la Première Guerre mondiale il a deux puis été laissé à l'abandon par ses propriétaires il ne subsiste que Noriel qui aura une tour d'angle. Panneau d'information. Heureusement qu'il y a le balisage, il n'est pas facile de suivre la trace qui serpente dans les rues. Nous débouchons dans le virage de la rue Valbert et prenons sur la gauche cette même rue changeant de nom et devenant de la Varonne. Nous arrivons au rond point avec la D 19 nous prenons sur la droite la rue des écoles, en direction de la Mairie, de l'église et de la médiathéque, nous longeons le cimetière (toujours le GR 5) nous passons devant la Mairie, prend la rue de droite, grimpe les escaliers pour voir l'église, redescend, dépasse la rue haute et prend la rue basse sur la droite (laissons une voie sans issu et la rue du gué sur la gauche) remontons un peu la rue basse pour se diriger vers un monumental lavoir en pierre de grès rose, c'est par cette chaleur le seul endroit que les ados disposent pour se rafraichir, je ne vais pas les déranger. Je reviens sur mes pas et, découvre sur la droite dans une cour le reste d'une tour d'un château. Le château de Bourogne fut édifié au XVIè siècle par la famille d'Harbaumont. Encore habité par la famille Valbert jusqu'à la Première GuerreMondiale, il a ensuite été laissé à l'abandon par ses propriétaires, en raison du coût trop élevé de son entretien. Il est actuellement totalement détruit, hormis la cave et un oriel qui ornait une tour d'angle et qui, aujourd'hui, est encore visible depuis la rue Basse. Prenons la rue sous la côte se situant face à nous. Sortons de la ville de rue nous
passons à chemin gravillonné, nous longeons la rivière La Bourbeuse [traverse le territoire de Belfort d’est en ouest, affluent de l'Allaine et sous-affluent du Rhône par le Doubs et la Saône.  La Bourbeuse présente la particularité de naître de la confluence de la  Madeleine et de la Saint-Nicolas à Bretagne.
Source pétrifiante à sec
Elle est en fait la Saint-Nicolas, grossie de la Madeleine et d'autres affluents, qui change de nom à partir de cette confluence. Elle rejoint l’Allaine à l'aval de Bourogne pour former avec cette rivière un nouveau cours d'eau, l’Allan. À cette confluence, les rivières sont interceptées par le canal du Rhône au Rhin à 328 m d’altitude. Cours d'eau de plaine, aux méandres paresseux, elle a été amputée d'une partie de sa longueur lors de la construction du canal du Rhône au Rhin au début du XIXe siècle. La présence du canal affecte son régime hydrologique et son écologie, en permettant différents échanges d'eau et d'espèces, favorisant notamment la circulation d'invasives entre champs et coteaux boisé. wikipédia] passons une source pétrifiante avec presque plus d'eau. Nous arrivons à une intersection de chemin. Laissons sur la droite un balisage jaune des bornes de la principauté de Montbéliard [Le comté de Montbéliard (en allemand Grafschaft Mömpelgard) est un comté féodal fondé en 1042 par l'empereur germanique Henri III, fils de Conrad II le Salique. À partir de 1495, il prit le nom de principauté de Montbéliard, les comtes de Montbéliard prenant le titre de ducs. Elle fut rattachée à la France en 1793. wikipédia] et un circuit local balisé certainement par le club Vosgiens cercle bleu. Nous y trouvons également un balisage jaune et bleu, que j'ai longtemps pris pour une branche du  Chemin de Saint Jacques de Compostelle. Balisage que j'ai retrouver à plusieurs reprises les jours suivant avec des numéros différents, c'est à ce moment que j'ai compris qu'il s’agissait du balisage de plusieurs itinéraires de la même couleur ce rapportant aux circuits de Montbéliard. Un peu plus loin nous trouvons une passerelle et une piste cyclable... la Nantes Budapeste, je dirais pourquoi pas, par chez nous en Ile de France on a bien
la Scandibérique. [l'EuroVelo 6, "la plus longue piste cyclable du monde, près de 3000 km". Traverse France, Suisse, Allemagne, Autriche, Slovaquie, Hongrie, Croatie, Serbie, Bulgarie, Roumanie. A terme cet itinéraire cyclable joindra l'océan Atlantique à la mer Noire. L'EuroVelo 6 c'est également la découverte de grands fleuves européens et rivière en Europe : La Loire , le Rhin, le Danube... Extraie https://www.francevelotourisme.com/livre-eurovelo-6-de-nantes-a-budapest & http://veloroute6.free.fr/]  j'y ai croisé du monde, cyclites local et roller, un si beau bitume, faut bien qu'il serve... Nous longeons le canal du Rhône au Rhin. [Canal de 375 km, relie la Saône, affluent navigable du Rhône, au Rhin, par la vallée 
du Doubs et son prolongement en Haute Alsace jusqu'à Niffer sur le Rhin, un autre prolongement rejoignant Strasbourg par la canalisation de l'Ill. Il est conçu comme un maillon nécessaire pour connecter les ports maritimes du nord de l'Europe avec ceux de la Méditerranée en créant une liaison fluviale Rotterdam-Marseille en passant par l'Allemagne. Evoqué par Colbert et Vauban sous Louis XIV après l'annexion de la Franche-Comté et de l'Alsace, mais c'est au XVIIIe siècle que le projet prend forme. Pendant sa réalisation, le canal a changé plusieurs fois de nom et dans la période récente on parle de la 'Liaison Rhin-Rhône' mais la dénomination 'Canal du Rhône au Rhin' a prévalu 

pendant près de cent cinquante ans. Les travaux de la jonction entre la Saône et le Doubs de Saint-Symphorien-sur-Saône en Côte-d'Or à Dole dans le Jura sont réalisés avec des temps d'arrêt liés à la Révolution entre 1784 et 1802 par l'ingénieur Philippe Bertrand. Ils sont poursuivis avec des interruptions de 1804 à 1832 en direction du Rhin sous la direction de Joseph Liard. Par la suite, le canal est mis au gabarit Freycinet (péniche de 300 tonnes) entre 1882 et 1921 mais son trafic restant limité, sa mise au grand gabarit européen de 5 000 tonnes est commencée à la fin des années 1970 : celle-ci n'est cependant effectuée que dans la partie orientale, entre Niffer (sur le 
Rhin) et Mulhouse ainsi qu'entre Montbéliard et Étupes. Le projet, contesté par les écologistes et certains économistes, est en effet abandonné en 1997 sous l'impulsion de Dominique Voynet, Ministre de l'aménagement du territoire et de l'environnement. Dès lors, le canal s'est orienté vers la navigation de plaisance et le développement touristique des régions traversées avec de nombreux aménagements dans les années 2000-2010. wikipédia]  Sur la carte nous trouvons des bornes de la principauté de Montbéliard mais je n'ai rien remarqué. Nous contournons le village d'Allenjoie, passons l'écluse et nous arrivons au pont de la D 209, nous quittons les
bords du canal pour prendre sur la droite un chemin longeant la D 209 qui se trouve être en hauteur à cet endroit, nous débouchons sur la Départementale que nous prenons à gauche. Passons au dessus du canal, puis une zone inondable. La route se trouvant sur pilotis, nous sommes toujours sur le GR. Nous traversons l'Allan, [Affluent de la Rivière Le Doubs, longue de 59,6 km. https://www.annuaire-mairie.fr/riviere-l-allan.html] Il alimente 

le canal. Nous entrons dans Fesches le Châtel, par la rue du 19 mars, remontons jusqu'a l'église, prenons sur la droite la D 59 (rue Paul Dormoy) en direction d'Etupes  puis a gauche la rue de l'égalité, nous sommes encore sur le GR 5, que nous quitterons à la fourche suivante, rue du camping, que nous prenons sur la droite. Laissons à gauche et à droite les voies sans issu donnant accès aux propriétés. Nous quittons le bitume pour retrouver un chemin dans les prairies, puis pénétrons dans les bois, le chemin fait fourche nous poursuivons à droite, par un chemin un peu moins bien entretenu, très herbeux. Ce chemin me fait un peu peur, je me demande
Au loin la ligne bleu des Vosges
 s'il va déboucher. Mais oui, il débouche sur un chemin formant Té que nous prenons à doite et tout de suite le chemin de gauche de chemin nous passons à sentier devant certainement contourner une parcelle interdite, nous débouchons sur un autre chemin parcelle 40.  Nous sommes dans une belle foret qui descend doucement vers Etupes. De chemin forestier nous passons à chemin gravillonné, nous longeons des maisons de villégiatures, par le "Grand Chemin", longeons le cimetière et descendons tranquillement en ville. Nous passons la chapelle Saint Paul avec son clocher à bulbe en tuiles vernissées. Nous débouchons sur la D 52 que nous prenons à gauche et arrivons au rond point. J'ai le choix des directions pour rejoindre mon gîte. Attention il n'y a pas de supermarché, sur la commune il faut se rendre à Sochaux.



C'est à Fresche le Chatel, en voyant ce beau lavoir avec ses planches attendant sous un soleil de 
plomb les lavendières, l'hiver sous la neige et la glace innutilisable, ou gare aux engelures. 

Je pensais que c'était les machines à laver d'hier. Mais que peut être avec la tournure des choses se sera la machine à laver du futur...

Tant pis pour les villes ayant supprimées les leur pour les remplacer par des places à un parking...  

- Oui je divague un peu, c'est une semaine de canicule et cela fait deux heures que je prends le soleil sur la tête... 

              



 - En traversant la Bourgogne en TGV j'ai remarqué qu'avec l'anti cyclone il n'y avait pas de vent...Les EOLIENES ne tournais pas, donc pas d'électricité... Plus d'électricité, plus de voitures électrique, Plus de téléphone, plus d'internet, plus de réseaux sociaux, plus de télévision, plus de frigo, ni de congélateur. Retour à la bougie et à la charrette à cheval et encore je n'en suis pas sur car comme les vaches le cheval doivent produire trop de CO2...
- Cette partie de transition entre les Vosges et le Jura étant un peu morne, l'aisse mon esprit divager. 

 Cela fera du travail pour des startups qui flérerons la mane du lavage dans des régions ou il ne gèle pas...





 



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