mardi 2 juillet 2019

Randonnée dans le Nord de la Seine et Marne Promenade 6 : Autour d'Isles

Promenade N°6 Autour D'Isles

Promenade boucle départ Gare de Isles les Meldeuses. Retour Gare de Isles les Meldeuses

Petite anecdote. Pour réaliser mes promenades dans le Nord de la Seine et Marne, terrain que je ne connaissais pas. j’ai utilisé les tracés des chemins balisés présent sur la carte IGN et les traces des randonneurs que j’ai trouvé sur internet, j’ai tout mis dans un checkeur, j’ai bien mélangé et il en est ressorti mes randos. Après ma trace tronquée de la Ferté Sous Jouarre – Esbly, ou je devais finir à Isles, j’ai raccommodé des bouts de traces sans vraiment faire attention au tracé. Cette promenade devait faire 24 kilomètres, mais il y avait un gros problème, que je n’avais pas remarqué lorsque j’avais transféré la trace sur le GPS, c’est que je devais traverser le canal de l’Ourcq à gué… Chose impossible. Dans la précipitation de combler un vide, j’avais simplement mélangé deux PR, sur les rives différentes du canal, traces rapidement raccordées d’un coup de souris sur une carte à une échelle trop petite pour comprendre que le filet bleu serpentant au pied d’une colline c’était un canal et pas une petite rivière ou un ru probablement à sec une partie de l’année et facilement traversable à gué. J’avais peut être imaginé une passerelle, une écluse ou rien du tout au verra sur place… bien tracé j’arrive en plein milieu de deux ponts. Aujourd’hui j’en ris, mais sur place je me traitais de tous les noms d’oiseaux.


 Carte IGN            Trace et Topo sans Commentaires

Trace Randogps                                 Le code mobile de cette randonnée est b312893
 
                                                                       (Explications Code Mobile)               




Janvier 2019

KM     Temps    Arret    V/d       V/g        Dénivelé
29       4h45       0h45     6           5,2           234+

Le départ se fait de la Gare d’Isles les Meldeuses. Rejoignons la rue de la gare que nous prenons sur la droite jusqu’à la D 17 (route de Mary) que nous prenons à gauche puis à droite la route de Congis D 121a après les virages nous passons au dessus de la marne et le petit bras de cette dernière, nous arrivons aux premières maisons de Villiers les Rigault poursuivons jusqu’au carrefour avec la rue du

Grand Voyeux ou nous prenons à gauche le chemin permettant d’accéder au site naturelle. [La réserve naturelle du Grand-Voyeux est une ancienne sablière s’étendant sur 160 hectares dans une boucle de la Marne. Les plans d’eau, sous différentes formes, occupent 60 % du site. Le reste se partage entre prairies, entretenues par des moutons de race solognote, et des parties boisées. Sa richesse est liée à son avifaune particulièrement riche, plus de 220 espèces d’oiseaux y ont été observées au cours des dix dernières années. Les trois noyaux de roselières du site constituent notamment un habitat favorable pour de nombreux passereaux : bruant des roseaux, rousserolle effarvatte, bouscarle de Cetti, gorgebleue à miroir. Le râle d’eau, le blongios nain depuis une dizaine d’années, et le busard des roseaux depuis 2010, profitent également des roselières du Grand-Voyeux pour se reproduire. Les étangs et les îlots profitent à de nombreuses espèces caractéristiques des zones humides comme la mouette rieuse, la foulque macroule, le grèbe huppé ou encore le canard colvert, tous nicheurs sur le site. De façons occasionnelles, quelques couples de sternes pierregarin s’installent également. Certaines espèces nicheuses au Grand-Voyeux sont moins inféodées aux zones humides. C’est le cas de l’œdicnème criard qui apprécie les friches sur sols pauvres issues des anciennes carrières. A noter également la nidification de certains passereaux comme le pouillot fitis ou la fauvette grisette qui profitent des milieux buissonnants pour s’installer.
Les étangs du grand-Voyeux constituent un espace idéal pour l’hivernage de nombreuses espèces d’oiseaux : sarcelle d’hiver, canards souchets, chipeaux et siffleurs, fuligules morillons avec parfois la présence du garrot à oeil d’or, du harle piette ou du fuligule nyroca.
Les migrations de printemps et d’automne permettent l’observation de passage au Grand-Voyeux : balbuzard pêcheur, sarcelle d’été, guifette noire ou aigrette garzette.
On trouve également sur le site des mammifères (renard, hermine, chauve-souris) et des reptiles et amphibiens (lézard des murailles, orvet, couleuvre à collier, pélodyte ponctué, triton crêté).
http://www.reserves-naturelles.org/grand-voyeux] Lorsque l’on va sur le site nous trouvons de 

belles photos et une belle carte avec des chemins tracés en rouge, malheureusement il ne m’a pas semblé possible de le réaliser, il se trouve derrière des clôtures et des portes grillagées fermer. Il nous reste que le chemin extérieur sur la droite longeant le grillage dans une partie boisée laissée à l’abandon. C’est affreux tous ce fouillis de taillis impénétrables, disgracieux pour le regard avec se lierre étouffant de petits arbustes ayant bien du mal à pousser sous une tonne de plantes ligneuses, montant ou descendant des branches, j’ai oublier les ronces fines et piquantes remparts impénétrables. Le pire c’est que l’on a le même paysage coté étang 
ce qui fait que l’on ne voit même pas ce qui se passe aux milieux des roselières. Impossible de faire des photos. Je fus dessus. On appelle cela un paysage naturel !!! Mais que c’est moche. Moi j'appelle cela des friches. Heureusement que nos moines ont sut façonner nos paysages. Paysage que nous avons détruits par des carrières de sable bien utile à nos constructions mais terrain que nous laissons en friche après avoir prélevé mécaniquement ce que la nature avait mis des siècles à amasser dans ce lieu. Un petit peut d’ordre ferait du bien à ce lieu, sans je pense nuire aux oiseaux. Longeons les grillages. Le chemin tourne à droite et ne pénètre pas dans le bois.
On ne passe pas la barrière, prenons tout de suite à gauche et longeons le dernier étang le long de la claustra. Apprécions le paysage caché derrière un mur de bois comportant des trous, et sortons de cet espace réservé aux ornithologues ou le randonneur est exclus, prenons sur la droite le chemin plus ou moins bitumé de l’Epine Blanche. Longeons un hangar, entrons dans le village de Congis sur Therouanne, [Congis-sur-Thérouanne est un nom d'origine gallo-romaine. Il vient du latin congiacum qui signifie 
 « courbe » ou « confluent », et de la divinité Tarvos qui signifie « Taureau » et onna qui signifie « cours d’eau ». La Thérouanne coule sur 23 km, avec une largeur moyenne de 3 à 4 m. Elle prend sa source à l’altitude de 91 m à Saint-Pathus (77). les eaux de la Thérouanne sont grossies par les rus de Vaux, des Avernes, de Bregy, du Bois Colot, de la Garenne, des Elouats et de Beauval. Il y avait autrefois onze moulins sur le cours d’eau de la petite rivière. http://eglise-saint-remi.fr/index.php/l-environnement/36-la-therouannele chemin fait fourche, laissons
 la rue du stade sur la gauche, poursuivons tout droit, la rue change de nom et devient rue du Montier elle fait de nouveau fourche avec la D121e (rue de Villiers) que nous prenons à gauche. Longeons l’église, nous débouchons rue de la Pierre-Lorraine, ou nous trouvons un balisage jaune que nous prenons à gauche, laissons la rue de la pierre droite sur notre gauche et prenons un peu plus loin sur la droite la rue sans issus des Grands Prés, en direction de la Marne toujours balisage jaune. (La carte ne doit pas être à jour dans cet agrandissement de village.) La 
rue fait fourche laissons la direction de la Marne sur la gauche, poursuivons tout droit par le chemin des charronnais (balisage jaune). De bitume nous passons à chemin dans les champs. On traverse un bois, puis nous longeons un autre bois. Nous suivons le balisage sur la carte (sur le terrain nous ne trouvons même pas un poteau avec un peu de peinture jaune.) Le chemin tourne à angle aigu sur la gauche, puis nous arrivons à un carrefour avec la parcelle grillagée de l’espace naturelle. Nous prenons à droite en angle droit, un large chemin boueux, balisage jaune. Abandonnons le large chemin le long du grillage, et faisons un esse droite, gauche (balisage jaune) nous sommes dans les bois et passons au dessus de la Thérouanne venant se jeter 

dans un bras mort de la Marne, longeons ce dernier [La Marne longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). Wikipédia] Nous quittons le chemin pour prendre sur la gauche un sentier,  nous faisant passer plus prêt de la Marne que le tracé sur la carte. Au confluant du bras mort et de la Marne, nous quittons cette dernière par un virage brusque sur la droite. Au printemps le sentier dans ce taillis d’épineux le long d’un champ ne doit pas être facile, s’il n’est pas entretenu. En bout du taillis nous retrouvons un chemin plus agréable permettant à l’agriculteur de rejoindre son champ. Nous arrivons à quelques maisons et traversons la D 121 prenons en face (légèrement à gauche) le sentier grimpant le talus et nous débouchons sur le canal de l’Ourcq. [Depuis le XVème siècle, le pays d'Ourcq alimente la capitale en céréales, en bois de chauffage et de construction. Plusieurs projets de dérivations de la rivière Ourcq seront mis à l'étude avant la Révolution. La décision de construire le canal tel que nous le connaissons aujourd'hui revient à Napoléon Bonaparte, en 1802.
Petit résumé pour ne pas alourdir la page.
[Le canal de l’Ourcq. La rivière Ourcq prend sa source dans une prairie humide au sud de Courmont (Aisne) à quelques pas de l'autoroute A4 dans le département de l'Aisne.
À partir du petit village de Silly-la-Poterie, au lieu-dit Port-aux-Perches au bord de la forêt de Retz, commence la partie canalisée de la rivière. Cette petite rivière suit une large vallée et se jette dans la Marne, à Mary-sur-Marne, près de Lizy-sur-Ourcq, après un cours d'environ 87 km. Les travaux de canalisation ont détourné la rivière à partir de Mareuil. La majeure partie de son eau se dirige alors vers Paris par un canal en site propre, le canal de l'Ourcq proprement dit, d'une longueur de 96,6 km. Les premiers travaux furent inspirés par les besoins de l'approvisionnement de la capitale en bois de chauffage et de construction tirés de la forêt de Retz, propriété sous l'Ancien Régime des familles de Valois et d'Orléans. C'est Léonard de Vinci qui aurait réalisé les premiers essais d'écluse à sas de France, sur la rivière de l'Ourcq. Après 1560 commence la canalisation de l'Ourcq, la construction de réservoirs dont les étangs de la Ramée et d'un système de flottage et d'écluses simples (des pertuis) permettant d'acheminer vers Paris les produits de la forêt.
Un canal du Bassin parisien. Avant de commencer à Mareuil-sur-Ourcq pour rejoindre le bassin de la Villette à Paris, la rivière l'Ourcq est canalisée et navigable depuis le « Port aux Perches » sur la commune de Silly-la-Poterie. Avec le canal Saint-Denis, le bassin de la Villette et le canal Saint-Martin, il constitue le réseau des canaux parisiens, long de 130 km et qui appartient à la ville de Paris. La construction du canal tel que nous le connaissons à débuté en 1802 et s'achève en 1825. Il fait l'objet par la suite de plusieurs remaniements notamment l'ajout de cinq écluses, d'une usine alimentant le canal en eau à Trilbardou et l'élargissement du gabarit sur les onze premiers kilomètres. À l'origine, le canal a pour premier objectif d'alimenter Paris en eau potable ; aujourd'hui, son utilisation est réservée à la voirie. Jusque dans les années 1960, il est parcouru sur toute sa longueur par les flûtes d'Ourcq, péniches adaptées au petit gabarit de la plus grande partie du canal. Depuis 1962, seuls les onze premiers kilomètres, entre le bassin de la Villette et Aulnay-sous-Bois, exempts d'écluses, sont ouverts au trafic commercial : environ un million de 

tonnes sont transportées chaque année par des péniches dont le port en lourd ne peut excéder 400 tonnes. Au-delà, le canal, dont la profondeur est désormais de 80 cm, est dédié à la plaisance. Le canal de l'Ourcq est également utilisé depuis sa création pour alimenter en eau les canaux Saint-Martin et Saint-Denis. Wikipédia] Je vous invite à lire la très longue histoire du canal ou du moins l’exploitation de la rivière Ourcq de 1415 sous Charles VI et se terminant en 1822 pour son ouverture. je vous laisse lire la suite de cette longue histoire sur : https://aufildelourcq.org/histoire/  Le canal de l’Ourcq s’étend sur 130 km de voie navigable et 110 km de chemin de halage. De 10 m de large et de 1,40 m de profondeur, il traverse Congis d’est en ouest.
Le canal est entièrement terminé entre Mareuil et Paris en 1822.
En 1866, la ville de Paris qui en est le concessionnaire est autorisée à construire une usine élévatoire à Villers-les-Rigault au bord de la Marne pour puiser le volume d’eau nécessaire pour maintenir le débit du Canal.
Si le niveau du canal est trop élevé, le trop plein est reversé dans la Marne au lieu dit « La Fontaine d’aisance » situé à l’ouest de Congis.


Le canal de l’Ourcq a beaucoup servi au transport de différentes marchandises (céréales, bois,…) par bateaux appelés « Flûtes ». Aujourd’hui, le canal de l’Ourcq fournit les eaux industriels pour Paris et alimente le canal St-Martin. http://eglise-saint-remi.fr/index.php/l-environnement/37-le-canal-de-l-ourcq] Et pas de pont pour poursuivre le PR en face. Nous sommes sur le GR 1 b.  En regardant de nouveau la carte, les deux traits mauve, escamote un peu le trait bleu. C’est facile d’accuser les autres… en réalité j’étais tellement préoccuper de trouver une bonne trace pour sauver cette balade que je n’ai pas fait attention. Je me penche sur le GPS. Me voilà à environ 1,5 km du pont de  Varreddes et à 1,5 km de Congis sur Thérouanne, ma trace se dirige vers le moulin du Gué, ma première idée fut de partir à gauche vers Varreddes. Sur mon GPS je n’ai pas grand chemin sur la rive opposé mais je pense en trouver tout de même. Au fur et à mesure de mon avancé dans la boucle, la colline et le bois de la Ferté s’estompe. Je me rends bien compte qu’il n’y a aucun chemins de visible, je fais demi tour et me dirige vers Congis en longeant le canal.  je n’avais pas choisi ce coté me faisant revenir en arrière, mais je me souviens 
d’une de mes promenades précédentes qu’il y a des PR que je n'avais pas fait qui pourrait me sauver. Prenons à droite et suivons le GR. Nous arrivons au pont au dessus du canal que nous prenons à gauche c’est la rue du Gué,  GR et balisage jaune. Nous montons jusqu’au cimetière, prenons le chemin de droite, longeons le mur du cimetière et nous arrivons au pont de la fesse au dessus du canal de Thérouanne [Depuis la création du Canal de l’Ourcq pour maintenir le niveau des eaux du canal et permettre la navigabilité en toute saison, un canal latéral à la Thérouanne a été creusé en 1816.
Il détourne les eaux de la rivière du lieux dit du moulinet au Gué-à-Tresmes, jusqu’au Canal de l’Ourcq en amont du pont de la rue du Gué à Congis.
 http://eglise-saint-remi.fr/index.php/l-environnement/36-la-therouanne] Nous quittons le GR 1 B et suivons le balisage jaune sur la gauche

le long du canal de la Thérouanne. (A partir d’ici mon dictaphone ne fonctionne plus, la précision de l’itinéraire sera moins précis.) Nous longeons d’un coté le canal de l’autre un bois et dans le creux la Thérouanne coulant tranquillement. Nous débouchons « au Gué » aujourd’hui un pont permet de franchir les ouvrages permettant d’alimenter le canal. Nous apercevons le château entre les arbres. [Le Gué-à-Tresmes, hameau autrefois traversé par la voie romaine de Paris à Reims, est situé sur la rive gauche de la Thérouanne. Son château est appelé Gué-Thérouanne ou Trouanne, Gué-Mory, et enfin Gué-à-Tresmes, du nom du duc de Tresmes, qui en était le 
seigneur. En 1773, une chapelle dédiée à sainte Geneviève, actuellement disparue, est construite afin que le comte de Mory puisse y faire célébrer la messe tous les jours de l’année. En 1830, la commune comprend plusieurs moulins, dont cinq au Gué-à-Tresmes, au bord de la Thérouanne. L’un deux est plus tard transformé en caoutchouterie. En 1876, la subdivision des pompiers de la commune est réorganisée. Équipée d’une pompe à bras, elle regroupe pour la plupart des artisans et des ouvriers du bâtiment. Quelques exploitations agricoles, qui pratiquent également l’élevage de moutons et de bovins, sont réparties dans le village et les hameaux.  Wikipédia.] Remontons la route, puis prenons sur la droite ‘’la rue du gué’’ nous faisons le tour du lycée technique [En 1753, Mademoiselle de la Myre-Mory transmit le Domaine de Congis 100 000 livres, à son parent François Jean de la Myre, Comte de Mory d’Honbeinghen, mestre de camp de cavalerie, capitaine des gardes du prince de Conti. Le Comte résida résida d’abord à Congis, où il n’y avait une ferme, dite la « Recette », seule habitation du domaine. En 

1775, il entreprit la construction d’un château, sur un parc de sept hectares... Il y décéda le 18 brumaire an X. Possédé ensuite par différents propriétaires, le château fut racheté en 1946 par l’Etat. En 1949, la façade, la toiture, la salle à manger et le hall d’entrée ont été inscrits dans l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. https://congis-sur-therouanne.fr/?page_id=162 Aujourd’hui, un lycée polyvalent de haut niveau est installé sur le Domaine. Vous pouvez déjeuner ou dîner au restaurant d’application, du lundi au vendredi. Consultation des menuswww.lycee-gueatresmes.fr
Laissons le balisage jaune partir sur la gauche dans les champs poursuivons la route passons devant l’immense entrée du lycée me faisant penser à l’entrée d’un hôpital. Nous débouchons sur la D 405 (Meaux – La Ferté Milon) que nous prenons à droite. Nous longeons le mur du château puis le château par lui-même relier aux bâtiments du lycée. Dommage qu’il ne forme pas aux aménagements paysagés!!! C’est un peu la friche devant ce qui devait être l’entrée principale. A la sortie du hameau du gué, la route devient dangereuse, nous n’avons plus de trottoir sur le coté gauche de la route reste le droit pas très bien entretenu. Nous avons 

600 mètres en bordure de la départementale. Au milieu de la cote nous avons bien un chemin sur la droite longeant le mur du château, mais la carte n’est plus à jour, je n’ai pas trouvé les sentiers gravissant la butte. Des panneaux nous informe du monument des fusillés de Choisy le Roi poursuivons la départementale jusqu’au chemin indiqué en bordure du bois et prenons à droite, puis encore à droite, il suffit de suivre les informations [Choisy le Roi, un crime des NSKK. En banlieue parisienne, où la présence des troupes allemandes est moins dense, les F.F.I commencent à s'emparer des Mairies dès le 17 août et y installent des Comités Locaux de Libération, chargés de prendre en main l'administration de la commune après avoir chassé les équipes précédentes.
Celui de Choisy le Roi envoie treize soldats des F.F.I pour assurer la garde d'un dépôt de l'Organisation Todt rempli de vivres et d'uniformes mais abandonné par son personnel, afin d'éviter les pillages de la part d'une population qui manque cruellement de tout en cette fin d'occupation.
Dans la nuit du 21 août, les N.S.K.K (National Sozialistiche KraftfahrKorps, corps de travailleurs civils portant brassard à croix gammée) reviennent par surprise au dépôt. Allemands ? Français ? L'annonce ci-dessous prouve que le recrutement était très large … Le 19 août, vers 20h30, un groupe de FFI du 11ème arrondissement avait déjà tenté de récupérer du matériel entreposé dans le garage Chambais de Choisy. Trois hommes furent capturés par les Allemands, conduits au fort de Vincennes et fusillés le lendemain. Les treize F.F.I sont arrêtés et embarqués dans des camions qui partent vers le nord de Paris… Pendant dix jours le Comité Local de Libération et la gendarmerie de Choisy le Roi chercheront en vain les disparus. Début septembre, un garde forestier de Congis (Seine et Marne) découvre, par hasard, treize cadavres fusillés au coin d'un bois logeant la départementale 405 sur le territoire de la commune du Gué à Tresmes. Dans leurs poches, leurs papiers d'identité. Le maire de Choisy le Roi est immédiatement prévenu. Les Allemands se sont débarrassés de leurs encombrants prisonniers au cours de leur retraite vers l'est, plutôt que de les relâcher. Un crime totalement gratuit. Les familles élèveront un monument à leur mémoire, et voudront marquer au sol l'emplacement exact où leurs proches ont été assassinés. http://liberation-de-paris.gilles-primout.fr/choisy-le-roi-un-crime-des-nskk] Revenons sur le chemin principal que nous prenons à droite, nous sommes sur la butte et nous avons une vue sur toute la vallée, vallées et vallons, moi j’aime bien. Nous arrivons à Lizy sur Ourcq face au grand centre des sapeurs pompiers, nous débouchons sur la D 401 (route de Beauval) que nous prenons à droite passons devant le château d’eau puis dans la descente les petites immeubles. Nous arrivons à un grand carrefour nous quittons la 401 pour prendre sur la droite la rue Valentine Rivière en direction de l’église, de la Salle des fêtes, passons le pont sur le canal de l’Ourcq et prenons tout de suite à gauche le chemin de halage. (Ne pas prendre l’allée du canal elle est peut large et pas toujours adaptée au piéton, elle sert de rue évitant le centre ville. Nous redébouchons sur la D 401 que nous prenons à droite (Avenue du chemin noir) Nous arrivons Place de Verdun. Laissons la rue Jean Jaurès sur la droite, passons devant la mairie, prenons l’avenue de la gare, passons l’Ourcq laissons l’avenue jules Courtier sur la droite (en continuant tout droit vous trouverez la gare de Lizy). Prenons à droite l’avenue Pasteur et arrivons à cette drole de place de la république avec son espace vert et son terrain de sport, laissons l’avenue Foch sur la droite et prenons la suivante (avenue Benoist) sur la droite puis à gauche l’avenue du Stade que nous prenons à gauche longeons le stade et prenons à gauche la rue Tivoli, longeons de ce coté le prés pourris. Le terrain est vraiment pourris sorte de marais que même les peupliers n’ont pas réussi à asséchés, pourris également par les habitants qui utilise ce terrain vague en face du stade comme dépotoir. En bout nous prenons à droite la route de Mary (D17A2) nous longeons la ligne de chemin de fer, nous abandonnons la rue lorsqu’elle tourne à gauche et passe au dessus de la ligne de chemin de fer, poursuivons par les rue sans issus. Laissons celle qui longe la ligne SNCF et prenons celle de droite en direction de l’usine de traitement des eaux, contournons cette dernière par la droite, un petit chemin VTT longe la clôture, nous arrivons L’Ourcq prenons à gauche (de toute façon nous ne pouvons pas allé à droite) longeons la rivière jusqu’au petit pont en béton que nous prenons à 

droite. longeons sur la droite l’Ourcq jusqu’à la station de pompage, ou nous retrouvons le GR 11 que nous prenons à gauche, nous longeons cette petite colline ou passe le canal à mi flanc. Laissons le balisage jaune rejoindre le canal en grimpant sur la droite poursuivons le GR plus ou moins en bordure du la Marne, passons une ruine, nous sommes au bouche de l’Ourcq (je me demande si ce n’est pas par ici que le canal de l’Ourcq peut déborder en toute tranquillité pour réguler son niveau.) Nous quittons le GR 11 lorsque lui-même grimpe vers le canal par un petit sentier dans les ronces et poursuivons dans les champs le PR balisage jaune qui débouche sur un chemin gravillonné que l’on prend à droite. Sur la gauche de grosses propriétés et des bâtiments agricole en ruine, nous longeons un pré. Nous entrons dans Villers les Rigault. Notre chemin devient rue du Bouchy. Au carrefour pour changer de la promenade 5 ou nous passions devant l’usine élévatrice poursuivons tout droit la rue de Bouchy jusqu’à la D 121e que nous prenons à gauche, route de Congis. Nous retrouvons notre chemin de ce matin, passons la Marne et rejoignons la gare de Isles les Meldeuses.

  



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