mardi 2 juillet 2019

Randonnée dans le Nord de la Seine et Marne Promenade 4 : La Ferté sous Jouarre- Lisy sur Ourcq

Randonnée dans le Nord de la Seine et Marne

Circuit ouvert de Gare en Gare

 Petit parcours aujourd'hui, normalement je devais aller jusqu’à Isles, mais en cours de route j'ai chuté, le GPS à touché le sol lourdement malgré son faible poids.  Étonné d'arriver si tôt à la fin de ma trace je me suis rendu compte que j'en avais perdu un morceau. Je ne sais pas si c'est la chute qui en a tronqué une partie ou si j'en ai copié qu’une section.

Promenade 4 : La Ferté sous Jouarre - Lisy sur Ourcq



Carte IGN                                   Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                                                  Le code mobile de cette randonnée est b312891
 
                                                                                   (Explications Code Mobile)

                       

 Km    Temps    Arrêt     V/g      V/d    Dénivelé
18      3h00      0h30      6,2       5,2            23


Départ  gare de La Ferté sous Jouarre.  [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville avec ses services, transports et commerces. Le toponyme La Ferté est issu de l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul du nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en 1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-Jouarre était le duc 
de la Rochefoucauld. La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Elle appartint successivement aux ducs de La Force, aux princes de Condé puis à la Maison de La Rochefoucauld. Extraie Wikipedia ] Sortir de la gare par le passage sous terrain et suivre sur la gauche la rue de la gare (D603) nous suivons le GR 14 A. Longer les voies et passer le pont, tout de suite après  prendre à gauche la rue Duburq. Laissons sur la droite la rue sans issu du Square de la Haute Vue, et prenons un peut plus loin, la petite
 ruelle aux Loups. Elle se trouve face à une dizaine de mètres de la passerelle SNCF Franchissant les voies. La ruelle monte fortement à la fin du bitume le chemin fait fourche laissons les deux petits sentiers sur la droite et prenons à gauche le chemin longeant la clôture de la propriété toujours  balisé en rouge et blanc. Nous sommes sur le flanc du coteau boisé de l'espace Naturel du bois de la Barres [D'une surface de 33 hectares, l'espace naturel du bois de la Barre est un coteau boisé ayant servi autrefois à l'exploitation de la pierre meulière. mares une espèces protégée en France : la Salamandre tachetée C’est au début du 19 e siècle que l’activité meulière fertoise s’industrialise, les carrières du Bois 
 de la Barre vont prendre de l’essor. On abandonne la fabrication des meules d’un seul bloc, dite « monolithes », pour se tourner vers la production de meules dites « anglaises ». Cette innovation introduit une méthode d’assemblage de plusieurs morceaux : les carreaux, autour d’une seule pièces centrale : le boitard. En 1837, les entreprises Gaillard, petit & Halbou, Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre. Vers 1900, le commerce des meules de pierre décline, les carrières de la Barre connaissent une ultime reconversion grâce à l’extraction de pierres destinées à la construction. C’est l’époque de l’expansion de la banlieue de Paris et de ses pavillons en « meulière » http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/la-ville/20-commune/tourisme-et-loisirs/140-bois-barre] Le balisage disparaît, nous n’apercevons que les croix sur les arbres des chemins qu’il ne faut pas prendre. Nous arrivons à un carrefour en étoile avec 5 routes et deux bancs. En aval on nous dit que l’on tourne à droite, le balisage est mal fait et l'on cherche parmi les deux chemins de droite lequel on prend. Un petit poteau avec une barre oblique rouge nous indique le deuxième chemin de droite, la balise rouge et blanche se trouve sur un arbre à une vingtaine de mètres, bien trop loin du carrefour. Nous grimpons encore et arrivons de nouveau sur une fourche ou nous prenons à gauche cette fois ci les marques sont bien placées. Nous arrivons devant des barrières, le GR tourne sur la droite et emprunte un passage en bois permettant l'accès aux panneaux d'informations sur le travail de la meulière. Malheureusement ses panneaux datent de 2003 et sont un peu délavés par le temps. [L'industrie meulière : Capitale mondiale de la pierre meulière, La Ferté-sous-Jouarre était mondialement connue jusqu'au xixe siècle grâce à la dureté exceptionnelle de la pierre extraite dans ses carrières, qui alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des pierres à pain fertoises dans toute l'Europe mais aussi en Amérique… et jusqu'en Nouvelle-Zélande ! Le pain, nourriture essentielle de tous les temps, est composé de farine devant être broyée.
Dès l'Antiquité, on écrasait les graines de blé à l'aide de pierres frottées les unes aux autres.
Au Moyen Âge, l'eau et le vent furent les forces motrices des moulins et l'on extrayait de la terre des blocs de pierre pour écraser le grain dans les moulins. Grâce à une très bonne qualité de pierre, La Ferté-sous-Jouarre va développer un savoir-faire de réputation dans la meulerie.
Après la Révolution, la libéralisation des terrains va accentuer l'essor de ce métier. On abandonne progressivement la fabrication de meules « monolithes », c'est-à-dire constituées d'un seul bloc de pierre, pour appliquer la technique de « meules à l'anglaise », constituées de plusieurs morceaux de choix de pierre, les « carreaux ». On extirpait ces pierres dans toutes les collines environnantes de La Ferté-sous-Jouarre : Tarterel, le bois de la Barre… Cette industrialisation verra son apogée au xixe siècle. La Ferté-sous-Jouarre, à cette époque, comptait 23 entreprises, la production annuelle atteignait 1000 à 1200 meules et 80 à 100 000 carreaux qui partaient par bateaux, puis par chemin de fer dans le monde entier, on en retrouve encore dans plusieurs pays. Les sociétés : Gueuvin-Bouchon-Dupety-Orsel, Gilquin, Ladeuil, Roger, Fauqueux… ont beaucoup participé à la prospérité de la ville.
Vers 1860, de grands moulins industriels apparaissent et utilisent un nouveau système de mouture. De nombreuses petites minoteries, victimes de cette concurrence, ferment progressivement. Le commerce des meules de pierre s'effondre lentement.
En 1881, de cette crise va naître la Société Générale Meulière, fusion de 9 sociétés fertoises, qui n'arrêtera pas le déclin. Les ouvriers meuliers épuisés par un travail très laborieux (l'espérance de vie ne dépassant pas 45 ans) lancent une longue grève en 1910, puis en 1914commence la Première Guerre mondiale qui achèvera la chute de cette industrie.
Depuis 2003, le conseil général de Seine-et-Marne et la municipalité de La Ferté-sous-Jouarre ont ouvert au public l'« espace naturel sensible du bois de la Barre » qui offre un parcours pédagogique pour découvrir la faune, la flore et bien sûr le travail réalisé sur cette pierre extraite de cette terre. Plusieurs rues dans la ville rappellent cette industrie : rue du Port-aux-Meules, rue des Carreaux, rue des Carriers, rue des Meulières, rue des Rayonneurs. Wikipedia] Le GR serpente entre les ‘’anciens chantiers’’ sorte de chemin creusé par les terrassiers. Nous découvrons la carrière de pierre meulière, le chemin tourne en angle aigu sur la droite et monte un escalier en bois (GR, balisage jaune & barre oblique rouge. J’ai l’impression d’être à Fontainebleau au Fort des Moulin à l’extrémité ‘’Est’’ du petit Rocher Cassepot. On y retrouve ses mêmes petits chemins encastrés dans de profonds fossés. Une seule différence les arbres. A Fontainebleau nous 

avons du pin. Après une plate forme explicative sur la technique de découpe de la pierre, ou je me rends compte que c’est la même qu’a fontainebleau pour les grès (des coins en fer coincés entre des planchettes de bois dans des fentes pour fissurer la pierre), le chemin fait fourche. En prenant tout droit le chemin descend rapidement. les balisages prennent sur la droite et descendent un petit escalier afin d’éviter le ravinement. Au pied de la plate forme, le chemin fait fourche, prenons à gauche, le chemin de droite allant pour nous se perdre dans la carrière. Suivons les balisages dans le Bois de la Barre, laissons un chemin sur la droite, passons une barrière, laissons un chemin sur la gauche poursuivons le long de la clôture de la propriété, nous débouchons sur le bitume, c’est la rue de Lizy que nous prenons à gauche. Nous longeons les propriétés éparpillées dans le bois, nous sortons de la foret, et nous sommes dans les champs, mais il m’est 

impossible, avec ce brouillard de vous dire ce que l’on voit. Nous arrivons au carrefour des routes desservant les petits villages du plateau. Poursuivons le GR 11 par le chemin face à nous, à la fourche poursuivons tout droit. Après les clôtures des prairies nous arrivons à l’orée du bois de Voliard, le GR tourne à gauche ainsi que la branche du sentier jaune ce dirigeant vers Ussy. Poursuivons tout droit la branche du balisage jaune se dirigeant vers Lizy. Le chemin descend fortement, traversons le bois, nous retrouvons la plaine légèrement bosselé. Coupons un chemin, poursuivons tout droit le long de la haie. Nous nous dirigeons vers le village en haut de la butte. Nous traversons le
ru de Courtablon ou nous y trouvons un beau pont en pierre avec une arche en plein cintre. Au dessus de ce point d’eau que je traverse à sec du à la sécheresse que nous avons eu depuis quatre mois. Lorsque le ruisseau est plein il doit être difficile de le traverser, le tablier du pont étant envahi par les herbes, les ronces et les orties. Passons le calvaire et longeons la grosse ferme de courtablon, ou nous quittons le chemin pour trouver le bitume. Nous débouchons après avoir longé des vergers sur une route formant Té à l’entrée du village de Molien, nous prenons à droite la route vicinale 3. Un peu avant la fin du village, nous prenons le 

chemin de gauche, toujours le balisage jaune, longeons et traversons les vergers, le chemin n’est pas toujours facile à suivre avec les lignes de plantations, mais le balisage est bien fait. Le chemin fait fourche nous prenons à droite entre le champ et les rangées d’arbres du verger. La sortie du verger n’est pas facile à voir, nous sommes sur un large chemin le long des lignes de pommiers, ce chemin tourne sur la droite en longeant une charmille d’un coté et les arbres fruités de l’autre, vous trouverez face à vous un petit sentier traversant une charmille d’aubépine, difficile de ne pas la trouver cela forme tunnel. Traversons sous cette voûte constituée d’épineux et de 
Le ru est complétement sec  après plus de 4 mois de sécheresse
 grosses ronces, et agrémenté de quelques plantes ligneuses grimpantes. Une question ; Est-il possible de passer au printemps par ce chemin ? Passons sous l’autoroute A4. Poursuivons le chemin dans les champs, traversons le ru de Rutel, à la fourche prenons à droite un chemin plus ou moins bitumeux. Je quitte le balisage jaune (l’oral ne correspond pas à la carte.) Nous entrons dans le hameau de Rutel par la rue de la Croix d’en Bas, laissons la rue Jean Camile Foursy sur la gauche, nous retrouvons le balisage jaune, poursuivons tout droit. Traversons le hameau, nous arrivons à la D 53, face à nous une fourche une route sur la droite menant vers Villemeneux, les Essart,  et un chemin bitumé balisé en jaune montant tout droit, prenons ce dernier, nous arrivons à un carrefour 
Chemin sur le pont
 ou nous devions rencontrer une nouvelle branche du sentier jaune. Ma trace prenait la branche jaune de Droite jusqu'à Villemeneux puis la D 73 sur la gauche, mais cela n’apporte rien, et nous faisons beaucoup de bitume. Je vous propose quitter le jaune et de poursuivre tout droit (sur la carte c’est le chemin entre la 
parcelle de la Justice et de L’épinette.) Ce chemin débouche sur un autre formant Té que nous prenons à droite. De chemin dans les champs nous passons à Bitume et traversons les deux fermes plus ou moins en ruine de Montsoutin. Nous retrouvons la D 73 et le balisage jaune que nous prenons à gauche. La route  descend un peu et nous prenons le chemin de gauche.
 sentier traversant une charmille d’aubépine
 Après un coude nous arrivons à un chemin sur la droite. Laissons une branche du balisage jaune partir sur la droite et poursuivons tout droit l’autre branche du jaune nous arrivons au hameau de Crépoil par la rue de la Source, après avoir longé des bâtiments surveillés par caméras. Longeons le réservoir d’eau à la fourche, laissons une rue sur la gauche, et la rue de droite (C6) partant de l’autre coté du réservoir et prenons l’autre rue sur la droite le balisage est bien fait. De rue bitumée nous passons à un chemin herbeux, longeons un centre équestre. Nous arrivons au ru de Méranne se trouvant dans un creux de vallon, le balisage tourne à gauche et suis le petit fossé du ru. Nous débouchons devant le château de la Trousse [résidence seigneuriale : Le château d'origine fut construit vers 1630 sous le règne de Louis XIII par Sebastian le Hardy dont la famille y vécut jusqu'en 1791. On dit que Louis XIV a visité vers 1651 [1] et a commenté que le château était "bien troussé", suggérant peut-être l'origine du nom Château de la Trousse. Le roi conféra le titre de marquis à la famille le Hardy en 1651. Le château a été rénové et amélioré au cours des années 1680 lorsque le propriétaire de l'époque, le marquis Phillipe-August le Hardy, a fait appel aux services du célèbre architecte Liberal Bruant, l'architecte de l'Hôtel des Invalides à Paris. En 1684, leur seule enfant, Marie-Henriette le Hardy, épousa un prince d'Italie du Nord, Amede-Adolphe dal Pozzo, marquis de Vognère. Phillipe-August le Hardy mourut en 1691 et Amede et Marie-Henriette dal Pozzo héritèrent du domaine. Leur petite-fille a ensuite hérité et vendu le domaine en 1791 à une nouvelle famille, Charles-Guillaume Baudon, le comte de Mony Colchen. Le domaine est tombé en désuétude pendant la Révolution française. En 1814, l'armée napoléonienne a mis le feu à l'orangerie comme un signal sur les Cosaques qui approchaient. En 1829, les propriétaires ont permis aux spéculateurs de vendre les matériaux de construction pour recueillir les fonds nécessaires.
Le Nouveau château.
En 1865, le petit-fils de l'acquéreur de 1791, le comte Charles-Victor Baudon de Mony-Colchen, achève la construction du nouveau château actuel. Il a également organisé la rénovation de l'orangerie et de l'écurie d'origine (datant de 1630) ainsi que les nouveaux jardins. Pendant la dernière partie de la Première Guerre mondiale, les troupes américaines étaient en garnison au château en conjonction avec les batailles à Château Thierry et Belleau Wood. À la fin de la guerre, le comte érige le monument commémoratif de guerre à l'entrée du château sur la D401, en signe de reconnaissance que son fils a survécu. Pendant la Seconde Guerre mondiale, La Trousse fut réquisitionnée par les Allemands et les greniers de la cour servaient d'hôpital de campagne. Les troupes alliées avancent de Normandie et atteignent 
La Trousse le 24 août 1944. Une bataille de chars s'ensuit et un char allemand est touché dans l'allée. Les combats cessèrent le lendemain quand Paris fut libéré le 25 août 1944. Le château est resté la propriété de la famille Baudon jusqu'en 1998, lorsque le comte Xavier Baudon de Mony a vendu le domaine à un propriétaire néerlandais, Hans Musegaas. La famille de Mony ne pouvait pas supporter les coûts croissants de l'entretien et les enfants ont décidé qu'ils ne pouvaient pas assumer leurs responsabilités. Le château et les bâtiments ont depuis été rénovés et divisés en plusieurs appartements privés. Les copropriétaires assument conjointement la responsabilité de l'entretien et de l'amélioration du château et de son domaine de 40 hectares. Wikipédia] Reprenons la 
 route contournant le mur de la propriété. Lorsque la rue tourne au ‘’carré’’ sur la droite nous quittons le bitume et poursuivons le chemin tout droit dans les champs. Nous descendons dans un vallon, laissons un chemin sur la gauche et entrons dans une parcelle de bois le long du ru de méranne. Sur la droite un abri en pierres. Grande voûte pouvant servir de resserre. Le chemin fait fourche continuons tout droit, sur la gauche nous apercevons la zone industrielle de Lizy. 
[La signalisation devint beaucoup plus importante avec le développement de l'automobile. Les principes de base de la plupart des signalisations furent définis le lors du premier Congrès international de la route qui s'est tenu à Paris.
La représentation symbolique sur les panneaux de circulation (par des pictogrammes, des images de carrefours, etc.) en remplacement de textes, apparaît dès le début du siècle : 1902 en France, 1903 en Italie, 1907 en Allemagne. La convention internationale de Genève de 1909 standardise au niveau international quatre types de signaux : virage, croisement, cassis et passage à niveau.
Depuis cette époque, des changements considérables sont intervenus et le nombre de panneaux différents a considérablement augmenté. En France, le nombre est ainsi passé de 4 en 1909 à 384 en 2007. Wikipédia
André Michelin va rapidement se montrer comme un véritable pionnier de la signalisation routière dans laquelle il intervient dès 1908. A son initiative apparaissent en 1910 les plaques “Merci” à deux faces sur lesquelles étaient indiqués le nom des localités, la désignation et le numéro des routes, et des inscriptions de sécurité telles que “Veuillez ralentir” placées à l’entrée de l’agglomération et un “Merci” à la sortie. Sur le panneau figurait le nom du sponsor (en l’occurrence Michelin). Entre 1911 et 1914, ce sont ainsi 30.000 plaques émaillées qui sont offertes et posées gratuitement dans les municipalités de France. http://acgcm.com/panneaux_michelin.html]Nous débouchons sur la D 401 que nous prenons à gauche et continuons de descendre. Nous arrivons au carrefour avec la D 17 que nous prenons sur la droite en direction de Vendrest et Coulombs en Valois, puis nous prenons la route sur la gauche et passons au dessus de la ligne SNCF, nous arrivons à la propriété privée du vieux moulin prenons la rue de gauche, (rue du vieux moulin) balisage jaune, à l’angle des jardins familiaux prenons à gauche, franchissons un ru et nous longeons la ligne de chemin de fer. Dans le virage laissons le chemin de gauche. Disons qu’aujourd’hui je change la donne puisque je sais que je termine ma rando ici. Prendre le chemin dans le virage traversons le bois et nous débouchons avenue de la gare que nous 
un abri au milieu de nul part
 prenons à droite puis la petite rue sur la gauche nous sommes arrivé à la gare. Ma trace poursuivais par la route du vieux moulin nous longeons les aménagements sportifs, puis une zone industrielle et ma trace s’arrête ici… ? Avant de retrouver l’avenue de la gare que nous prenons à 
gauche.  Il me semblait bien que je devais finir à Isles, peut être que le manque d’envi, je ne cherche pas sur mon GPS et de plus sur l’une des balises jaune partant sur la droite nous trouvons l’information Ocquerre ce qui ne semblait pas ma direction. Est-ce que ma chute sur la route du château à supprimé une portion de ma trace, je ne le crois pas. J’ai du copier ma trace depuis géoportail et j’ai du faire une coupure à cette endroit là et lorsque j’ai converti la trace en GPX je devais avoir deux lignes qui sur BaseCamp la scission ne se voit pas si l’on ne regarde que la trace. En suite j’ai du exporter la trace la plus longue sans vérifier sur le GPS et m’apercevoir qu’elle était tronquée.
 



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