Aujourd'hui nous partons en dans
le Nord de la Seine et Marne et plus précisément autour du fleuve La Marne ; La
ferté Sous Jouarre à Lisy sur Ourcq
Circuit ouvert de Gare en Gare
Petit parcours aujourd'hui, normalement je devais aller jusqu’à Isles, mais en cours de route j'ai chuté, le GPS à touché le sol lourdement malgré son faible poids. Étonné d'arriver si tôt à la fin de ma trace je me suis rendu compte que j'en avais perdu un morceau. Je ne sais pas si c'est la chute qui en a tronqué une partie ou si j'en ai copié qu’une section.
Petit parcours aujourd'hui, normalement je devais aller jusqu’à Isles, mais en cours de route j'ai chuté, le GPS à touché le sol lourdement malgré son faible poids. Étonné d'arriver si tôt à la fin de ma trace je me suis rendu compte que j'en avais perdu un morceau. Je ne sais pas si c'est la chute qui en a tronqué une partie ou si j'en ai copié qu’une section.
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agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b312891
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Carte VisoRando
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Km Temps Arrêt V/g V/d Dénivelé
Carte VisoRando
Km Temps Arrêt V/g V/d Dénivelé
18 3h00
0h30 6,2 5,2 23
La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Elle appartint successivement aux ducs de La Force, aux princes de Condé puis à la Maison de La Rochefoucauld. Extraie Wikipedia ] Sortir de la gare par le passage sous terrain et suivre sur la gauche la rue de la gare (D603) nous suivons le GR 14 A. Longer les voies et passer le pont, tout de suite après prendre à gauche la rue Duburq. Laissons sur la droite la rue sans issu du Square de la Haute Vue, et prenons un peut plus loin, la petite
Dès l'Antiquité, on écrasait les
graines de blé à l'aide de pierres frottées les unes aux autres.
Au Moyen Âge, l'eau et le vent furent les forces motrices des moulins et l'on extrayait de la terre des blocs de
pierre pour écraser le grain dans les moulins. Grâce à une très bonne qualité
de pierre, La Ferté-sous-Jouarre va développer un savoir-faire de réputation
dans la meulerie.
Après la Révolution, la libéralisation
des terrains va accentuer l'essor de ce métier. On abandonne
progressivement la
fabrication de meules « monolithes », c'est-à-dire constituées d'un
seul bloc de pierre, pour appliquer la technique de « meules à
l'anglaise », constituées de plusieurs morceaux de choix de pierre, les
« carreaux ». On extirpait ces pierres dans toutes les collines
environnantes de La Ferté-sous-Jouarre : Tarterel, le bois de la Barre…
Cette industrialisation verra son apogée au xixe siècle. La
Ferté-sous-Jouarre, à cette époque, comptait 23 entreprises, la production
annuelle atteignait 1000 à 1200 meules et 80 à 100 000 carreaux qui
partaient par bateaux, puis par chemin de fer dans le monde entier, on en
retrouve encore dans plusieurs pays. Les sociétés :
Gueuvin-Bouchon-Dupety-Orsel, Gilquin, Ladeuil, Roger, Fauqueux… ont beaucoup
participé à la prospérité de la ville.
Vers 1860, de grands moulins industriels apparaissent et utilisent un
nouveau système de mouture. De nombreuses petites minoteries, victimes de
cette concurrence, ferment progressivement. Le commerce des meules de pierre
s'effondre lentement.
En 1881, de cette crise va naître la Société Générale Meulière, fusion
de 9 sociétés fertoises, qui n'arrêtera pas le déclin. Les ouvriers meuliers
épuisés par un travail très laborieux (l'espérance de vie ne dépassant pas 45
ans) lancent une longue grève en 1910, puis en 1914commence la Première Guerre mondiale qui achèvera
la chute de cette industrie.
Depuis 2003, le conseil général de
Seine-et-Marne et la municipalité de La Ferté-sous-Jouarre
ont ouvert au public l'« espace naturel sensible du bois de la
Barre » qui offre un parcours pédagogique pour découvrir la faune, la flore et bien sûr le travail réalisé sur cette
pierre extraite de cette terre. Plusieurs rues dans la ville rappellent cette
industrie : rue du Port-aux-Meules, rue des Carreaux, rue des Carriers,
rue des Meulières, rue des Rayonneurs. Wikipedia] Le GR serpente entre les ‘’anciens chantiers’’ sorte de chemin
creusé par les terrassiers. Nous découvrons la carrière de pierre meulière, le
chemin tourne en angle aigu sur la droite et monte un escalier en bois (GR,
balisage jaune & barre oblique rouge. J’ai
l’impression d’être à Fontainebleau au Fort des Moulin à l’extrémité ‘’Est’’ du
petit Rocher Cassepot. On y retrouve ses mêmes petits chemins encastrés dans de
profonds fossés. Une seule différence les arbres. A Fontainebleau nous avons du
pin.
Après une plate forme explicative sur la technique de découpe de la pierre, ou je me rends compte que c’est la même qu’a fontainebleau pour les grès (des coins en fer coincés entre des planchettes de bois dans des fentes pour fissurer la pierre), le chemin fait fourche. En prenant tout droit le chemin descend rapidement. les balisages prennent sur la droite et descendent un petit escalier afin d’éviter le ravinement. Au pied de la plate forme, le chemin fait fourche, prenons à gauche, le chemin de droite allant pour nous se perdre dans la carrière. Suivons les balisages dans le Bois de la Barre, laissons un chemin sur la droite, passons une barrière, laissons un chemin sur la gauche poursuivons le long de la clôture de la propriété, nous débouchons sur le bitume, c’est la rue de Lizy que nous prenons à gauche. Nous longeons les propriétés éparpillées dans le bois, nous sortons de la foret, et nous sommes dans les champs, mais il m’est
impossible, avec ce brouillard de vous dire ce
que l’on voit. Nous arrivons au carrefour des routes desservant les petits
villages du plateau. Poursuivons le GR 11 par le chemin face à nous, à la
fourche poursuivons tout droit. Après les clôtures des prairies nous arrivons à
l’orée du bois de Voliard, le GR tourne à gauche ainsi que la branche du
sentier jaune ce dirigeant vers Ussy. Poursuivons tout droit la branche du
balisage jaune se dirigeant vers Lizy. Le chemin descend fortement, traversons
le bois, nous retrouvons la plaine légèrement bosselé. Coupons un chemin,
poursuivons tout droit le long de la haie. Nous nous dirigeons vers le village
en haut de la butte. Nous traversons le ru de Courtablon ou nous y trouvons un
beau pont en pierre avec une arche en plein cintre.
Au dessus de ce point d’eau
que je traverse à sec du à la sécheresse que nous avons eu depuis quatre mois.
Lorsque le ruisseau est plein il doit être difficile de le traverser, le
tablier du pont étant envahi par les herbes, les ronces et les orties. Passons le
calvaire et longeons la grosse ferme de courtablon, ou nous quittons le chemin
pour trouver le bitume. Nous débouchons après avoir longé des vergers sur une
route formant Té à l’entrée du village de Molien, nous prenons à droite la route
vicinale 3. Un peu avant la fin du village, nous prenons le chemin de gauche,
toujours le balisage jaune, longeons et traversons
les vergers, le chemin n’est pas toujours facile à suivre avec les lignes de plantations, mais le balisage est bien fait. Le chemin fait fourche nous prenons à droite entre le champ et les rangées d’arbres du verger. La sortie du verger n’est pas facile à voir, nous sommes sur un large chemin le long des lignes de pommiers, ce chemin tourne sur la droite en longeant une charmille d’un coté et les arbres fruités de l’autre, vous trouverez face à vous un petit sentier traversant une charmille d’aubépine, difficile de ne pas la trouver cela forme tunnel. Traversons sous cette voûte constituée d’épineux et de
grosses ronces, et agrémenté
de quelques plantes ligneuses grimpantes. Une question ; Est-il possible
de passer au printemps par ce chemin ? Passons sous l’autoroute A4.
Poursuivons le chemin dans les champs, traversons le ru de Rutel, à la fourche
prenons à droite un chemin plus ou moins bitumeux. Je quitte le balisage jaune
(l’oral ne correspond pas à la carte.) Nous entrons dans le hameau de Rutel par
la rue de la Croix d’en Bas, laissons la rue Jean Camile Foursy sur la gauche, nous
retrouvons le balisage jaune, poursuivons tout droit. Traversons le hameau,
nous arrivons à la D 53, face à nous une fourche une route sur la droite menant
vers Villemeneux, les Essart, et un
chemin bitumé balisé en jaune montant tout droit, prenons ce dernier, nous
arrivons à un carrefour ou nous devions rencontrer une nouvelle branche du
sentier jaune.
Ma trace prenait la branche jaune de Droite jusqu'à Villemeneux
puis la D 73 sur la gauche, mais cela n’apporte rien, et nous faisons beaucoup
de bitume. Je vous propose quitter le jaune et de poursuivre tout droit (sur la
carte c’est le chemin entre la
parcelle de la Justice et de L’épinette.) Ce
chemin débouche sur un autre formant Té que nous prenons à droite. De chemin
dans les champs nous passons à Bitume et traversons les deux fermes plus ou
moins en ruine de Montsoutin. Nous retrouvons la D 73 et le balisage jaune que
nous prenons à gauche. La route descend un peu et nous prenons le chemin de
gauche.
Après un coude nous arrivons à un chemin sur la droite. Laissons une
branche du balisage jaune partir sur la droite et poursuivons tout droit
l’autre branche du jaune nous arrivons au hameau de Crépoil par la rue de la
Source, après avoir longé des bâtiments surveillés par caméras. Longeons le
réservoir d’eau à la fourche, laissons une rue sur la gauche, et la rue de
droite (C6) partant de l’autre coté du réservoir et prenons l’autre rue sur la
droite le balisage est bien fait. De rue bitumée nous passons à un chemin
herbeux, longeons un centre équestre. Nous arrivons au ru de Méranne se
trouvant dans un creux de vallon, le balisage tourne à gauche et suis le petit
fossé du ru. Nous débouchons devant le château de la Trousse [résidence seigneuriale : Le château d'origine
fut construit vers 1630 sous le règne de Louis XIII par Sebastian le Hardy dont
la famille y vécut jusqu'en 1791. On dit que Louis XIV a visité vers 1651 [1]
et a commenté que le château était "bien troussé", suggérant
peut-être l'origine du nom Château de la Trousse. Le roi conféra le titre de
marquis à la famille le Hardy en 1651. Le château a été rénové et amélioré
au
cours des années 1680 lorsque le propriétaire de l'époque, le marquis
Phillipe-August le Hardy, a fait appel aux services du célèbre architecte
Liberal Bruant, l'architecte de l'Hôtel des Invalides à Paris. En 1684, leur
seule enfant, Marie-Henriette le Hardy, épousa un prince d'Italie du Nord,
Amede-Adolphe dal Pozzo, marquis de Vognère. Phillipe-August le Hardy mourut en
1691 et Amede et Marie-Henriette dal Pozzo héritèrent du domaine. Leur
petite-fille a ensuite hérité et vendu le domaine en 1791 à une nouvelle
famille, Charles-Guillaume Baudon, le comte de Mony Colchen. Le domaine est
tombé en désuétude pendant la Révolution française. En 1814, l'armée
napoléonienne a mis le feu à l'orangerie comme un signal sur les Cosaques qui
approchaient. En 1829, les propriétaires ont permis aux spéculateurs de vendre
les matériaux de construction pour recueillir les fonds nécessaires.
En 1865, le petit-fils de l'acquéreur de 1791, le
comte Charles-Victor Baudon de Mony-Colchen, achève la construction du nouveau
château actuel. Il a également organisé la rénovation de l'orangerie et de
l'écurie d'origine (datant de 1630) ainsi que les nouveaux jardins. Pendant la
dernière partie de la Première Guerre mondiale, les troupes américaines étaient
en garnison au château en conjonction avec les batailles à Château Thierry et
Belleau Wood. À la fin de la guerre, le comte érige le monument commémoratif de
guerre à l'entrée du château sur la D401, en signe de reconnaissance que son
fils a survécu. Pendant la Seconde Guerre mondiale, La Trousse fut
réquisitionnée par les Allemands et les greniers de la cour servaient d'hôpital
de campagne. Les troupes alliées avancent de Normandie et atteignent La Trousse
le 24 août 1944.
Après une plate forme explicative sur la technique de découpe de la pierre, ou je me rends compte que c’est la même qu’a fontainebleau pour les grès (des coins en fer coincés entre des planchettes de bois dans des fentes pour fissurer la pierre), le chemin fait fourche. En prenant tout droit le chemin descend rapidement. les balisages prennent sur la droite et descendent un petit escalier afin d’éviter le ravinement. Au pied de la plate forme, le chemin fait fourche, prenons à gauche, le chemin de droite allant pour nous se perdre dans la carrière. Suivons les balisages dans le Bois de la Barre, laissons un chemin sur la droite, passons une barrière, laissons un chemin sur la gauche poursuivons le long de la clôture de la propriété, nous débouchons sur le bitume, c’est la rue de Lizy que nous prenons à gauche. Nous longeons les propriétés éparpillées dans le bois, nous sortons de la foret, et nous sommes dans les champs, mais il m’est
les vergers, le chemin n’est pas toujours facile à suivre avec les lignes de plantations, mais le balisage est bien fait. Le chemin fait fourche nous prenons à droite entre le champ et les rangées d’arbres du verger. La sortie du verger n’est pas facile à voir, nous sommes sur un large chemin le long des lignes de pommiers, ce chemin tourne sur la droite en longeant une charmille d’un coté et les arbres fruités de l’autre, vous trouverez face à vous un petit sentier traversant une charmille d’aubépine, difficile de ne pas la trouver cela forme tunnel. Traversons sous cette voûte constituée d’épineux et de
Le ru est complétement sec après plus de 4 mois de sécheresse |
Chemin sur le pont |
sentier traversant une charmille d’aubépine |
Lorsque la rue tourne au ‘’carré’’ sur la droite nous quittons le bitume et poursuivons le chemin tout droit dans les champs. Nous descendons dans un vallon, laissons un chemin sur la gauche et entrons dans une parcelle de bois le long du ru de méranne. Sur la droite un abri en pierres. Grande voûte pouvant servir de resserre. Le chemin fait fourche continuons tout droit, sur la gauche nous apercevons la zone industrielle de Lizy.
[La signalisation devint beaucoup plus importante avec le développement de l'automobile. Les principes de base de la plupart des signalisations furent définis le lors du premier Congrès international de la route qui s'est tenu à Paris.
Depuis cette époque, des changements considérables sont intervenus et le nombre de panneaux différents a considérablement augmenté. En France, le nombre est ainsi passé de 4 en 1909 à 384 en 2007. Wikipédia
André Michelin va rapidement se montrer comme un véritable pionnier de la signalisation routière dans laquelle il intervient dès 1908. A son initiative apparaissent en 1910 les plaques “Merci” à deux faces sur lesquelles étaient indiqués le nom des localités, la désignation et le numéro des routes, et des inscriptions de sécurité telles que “Veuillez ralentir” placées à l’entrée de l’agglomération et un “Merci” à la sortie. Sur le panneau figurait le nom du sponsor (en l’occurrence Michelin). Entre 1911 et 1914, ce sont ainsi 30.000 plaques émaillées qui sont offertes et posées gratuitement dans les municipalités de France. http://acgcm.com/panneaux_michelin.html] Nous débouchons sur la D 401 que nous prenons à gauche et continuons de
un abri au milieu de nul part |
Il me semblait bien que je devais finir à Isles, peut être que le manque d’envi, je ne cherche pas sur mon GPS et de plus sur l’une des balises jaune partant sur la droite nous trouvons l’information Ocquerre ce qui ne semblait pas ma direction. Est-ce que ma chute sur la route du château à supprimé une portion de ma trace, je ne le crois pas. J’ai du copier ma trace depuis géoportail et j’ai du faire une coupure à cette endroit là et lorsque j’ai converti la trace en GPX je devais avoir deux lignes qui sur BaseCamp la scission ne se voit pas si l’on ne regarde que la trace. En suite j’ai du exporter la trace la plus longue sans vérifier sur le GPS et m’apercevoir qu’elle était tronquée.

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