mardi 2 juillet 2019

Randonnée dans le Nord de la Seine et Marne Promenade 5 : La ferté Sous Jouarre – Isles les Meldeuses

Promenade N°5 La ferté Sous Jouarre – Isles les Meldeuses

Promenade ouverte de Gare en Gare


 Carte IGN            Trace et Topo sans Commentaires

Trace Randogps                                 Le code mobile de cette randonnée est b312892
 
                                                                       (Explications Code Mobile)               

Décembre 2018

Une promenade pas très facile en bordure de Marne. Pourquoi ? La difficulté fut d’éviter le bitume. Je pensais marcher sur le chemin de halage, mais il n’existe pas partout, et il est difficile de modifier le tracé sans reprendre ce que nous avons déjà traversé. Il faut franchir l’autoroute et contourner une carrière.

KM     Temps     Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
25        3h50        30            6,3      5,3        273 +

Le départ se fait de la gare de la Ferté Sous Jouarre [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville avec ses services, transports et commerces. Le toponyme La Ferté est issu de l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul du 
nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en 1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-Jouarre était le duc de la 
Rochefoucauld. La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Elle appartint successivement aux ducs de 
 La Force, aux princes de Condé puis à la Maison de La Rochefoucauld. Extraie Wikipedia ] Sortir de la gare par le passage sous terrain et suivre sur la gauche la rue de la gare (D603) nous suivons le GR 14 A. Longer les voies et passer le pont, tout de suite
après  prendre à gauche la rue Duburq. Laissons sur la droite la rue sans issu du Square de la Haute Vue, et prenons un peut plus loin, la petite ruelle aux Loups sur la droite. Elle se trouve à une dizaine de mètres de la passerelle SNCF Franchissant les voies. La ruelle monte fortement. A la fin du bitume le chemin fait fourche, laissons les deux petits sentiers sur la droite et prenons à gauche le chemin longeant la clôture de la propriété toujours balisé en rouge et blanc. Nous sommes sur le flanc du coteau boisé de l'espace Naturel du bois de la Barres [D'une surface de 33 hectares, l'espace naturel du bois de la Barre est un coteau boisé ayant servi autrefois à l'exploitation de la pierre meulière. mares une espèces protégée en France : la Salamandre tachetée C’est au début du 19 e siècle que l’activité meulière fertoise s’industrialise, les carrières du Bois de la Barre vont prendre de l’essor. On abandonne la fabrication des meules d’un seul bloc, dite « monolithes », pour se tourner vers la production de meules dites « anglaises ». Cette innovation introduit une méthode d’assemblage de plusieurs morceaux : les carreaux, autour d’une seule pièces centrale : le boitard. En 1837, les entreprises Gaillard, petit & Halbou, Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre. Vers 1900, le commerce des meules de 
pierre décline, les carrières de la Barre connaissent une ultime 
reconversion grâce à l’extraction de pierres destinées à la construction. C’est l’époque de l’expansion de la banlieue de Paris et de ses pavillons en « meulière » http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/la-ville/20-commune/tourisme-et-loisirs/140-bois-barre] Le balisage disparaît, nous n’apercevons que les croix sur les arbres bordant les chemins qu’ils ne faut pas prendre. Nous arrivons à un carrefour en étoile avec 5 routes et deux bancs. En aval on nous dit que l’on tourne à droite, le balisage est mal fait et l'on cherche parmi les deux chemins de droite lequel on prend. Un petit poteau avec une barre oblique rouge nous indique le deuxième chemin de droite, la balise rouge et blanche se trouve sur un arbre à une vingtaine de mètres, bien trop loin du carrefour. Nous grimpons encore et arrivons de nouveau sur une fourche. (J’ai repris le texte de la promenade 4. Mais cette fois ci mes yeux ont sut se positionner correctement sur les marques et je trouve qu’il n’est pas aussi mal balisé que cela.) Dans la promenade 4 nous suivions le GR 14 A sur la gauche, cette fois ci nous allons tout droit. Le chemin est en stabilisé et serpente dans de profonds faussés d’extraction de la meulière. Nous passons de petits ponts de bois. On y trouve des panneaux d’informations. [Au fond des carrières argileuses, pluie et Sources inondent les chantiers. Les carriers doivent se déplacer sur des chemins de planches. Vers 1870 les premières pompes à vapeur apparaissent. Un réseau complexe de fossés permettait l’évacuation de cette eau. A partir de 1890, l’installation de treuils et de voies ferrées étroites (les Decauville) se généralise, ce qui améliore sensiblement les opérations d’évacuation des déblais et le transport des pierres. Extraie Panneaux d’informations] Suivons le chemin stabilisé et nous retrouvons le balisage du GR dans le creux de la carrière au pied d'un escalier de bois nous suivons le balisage rouge et blanc & le jaune sur la droite. Nous débouchons sur la route que nous prenons à gauche. Longeons quelques maisons et nous sortons du bois. Par rapport à la promenade 4 je n’ai pas encore de brouillard et je vois la plaine vallonnée autour de moi. Coupons la route menant à Morintru d’en Haut et poursuivons en face dans les champs. A la fourche poursuivons tout droit, passons la haie d’honneur constituée d’épineux, de ronces et de ligneux. Nous arrivons au bois des Voliard. Cette fois-ci nous ne traverserons pas le bois laissons le balisage jaune partir sur Lizy et suivons sur la gauche celui se dirigeant vers Ussy, c’est également le GR14 A. Nous restons sur la cassure de la colline, bois et champs se succèdent donnant une vue sur les vallons. Le balisage est un peut distant, mais le chemin est bien tracé au sol. Nous revenons un peu sur nos pas et arrivons à  Morintru d’en Bas, nous débouchons rue du haut de Geneve que nous prenons à droite, de rue nous passons à chemin plus ou moins bitumeux toujours le GR par contre j’ai perdu le jaune. Nous coupons la D3, poursuivons en face et débouchons sur la D3E que nous prenons à droite, c’est la rue de la Ferté. Poursuivons la route qui est assez dangereuse voitures et camions ne ralentissent pas et les barrières de sécurité ne sont pas sécuritaire pour le piétons, puisque l’on ne peut pas passer derrière. Passons une croix sur la gauche, puis le pont de la ligne SNCF {trace rouge sur la carte. Je préconise  de ne pas prendre le GR à l’entrée du bois de Voliard. Poursuivre le balisage jaune comme dans l’itinéraire 4 en direction de Lizy traverser le bois, et prendre dans le champ le premier chemin sur la gauche longer les fonds de Voliard (le chemin existe j’ai vu son départ dans la promenade 4. Traverser la D3 poursuivre en face et l’on arrive au pont SNCF après avoir pris à gauche à la fourche juste avant le pont. Nous retrouvons le GR au pont. Le chemin est présent sur les photos satellites. (j’ai fait cet itinéraire dans la prom 7 et il est bien plus tranquille que le GR}  La rue fait un esse, nous entrons dans Ussy sur Marne. Nous sommes rue de la Ferté, laissons la rue du clos Maillard sur la gauche et prenons la rue sans issu du Montcel toujours sur la gauche c’est toujours le GR14A, c’est également le GR de Saint Jacques de Compostelle "branche Reims-Paris". Nous débouchons sur un chemin pas trop loin de la Marne que nous prenons à droite. Longeons des clôtures, des herbacées,
nous mouilles jusqu’aux cuisses et les ligneux descendant des arbres accrochent casquettes et bonnets. Nous arrivons au pont auto routier quittons le GR 14 A qui part sur la droite pour passer sous le pont par le chemin des iles. Nous longeons des aménagements sportifs et un camping. Poursuivons le chemin en bordure de la rivière [La Marne longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). Wikipédia] Nous arrivons devant une haie en hêtres taillés avec un petit passage réservé aux piétons. Nous quittons le bord de Marne passons devant la petite station dépuration et prenons la rue Sauré sur la droite en passant sous la barrière. Laissons les rue adjacentes et nous débouchons de nouveau sur la D 3e (rue de Changis) que nous prenons à gauche. La rue tourne en angle aigu sur la gauche, (ne pas prendre la ruelle du clairon tout droit). C’est la partie la moins intéressante de ce parcours. Longue route, très longue route. {Je n’ai pas trouvé autre chose que la route. Nous sommes coincés entre la Marne sans chemin de halage, ou du moins sans chemin entretenu. J’ai essayé  et je me suis retrouvé avec des herbes jusqu’aux hanches et nous sommes en décembre. La Ligne SNCF, l’autoroute A4 et une carrière nous bloquent les chemins de l’autre coté de la D3e. Lorsque l’on croit pouvoir s’échapper du bitume, que l’on a trouvé un pont au dessus de la SNCF, un tunnel sous l’autoroute nous nous trouvons face à face avec de gros camions. Je me suis bien dit que les week-ends il serait possible de passer sans rencontrer de véhicules. Mais la carrière est clôturée et possèdent des portes. Portes qui dans leur état ne risque pas d’être fermer. Mais c’est une propriété privée. Si le gardien nous surprend on ne peut même pas invoquer "l’on n’a pas vu. que l’on est perdu."} Poursuivre cet interminable route jusqu’à la gare de Changis sur Marne {Pour éviter ces trois kilomètres de bitume avec des voitures, je n’ai rien trouvé de concluent sur la carte hors mis le GR 14A qui rejoint le GR11 en passant proche des villages de Sammeron, Signy-Signets, Montretout, les arbroises et ensuite le GR 11 Accès permettant de rejoindre la gare de Changis. C’est un gros détour d’une quinzaine de kilomètres, qui pourrait être raccourcie par les chemins dans la parcelle de la grange au bois, mais je n’ai trouvé aucune trace d’internaute dans le coin. La carte satellite montre une carrière, et le bois est peut être clôturé. Si vous ne voulez pas faire la route je vous laisse explorer cette idée.} Nous prenons à droite la D 53 en direction de Jaignes et de Mary. Nous longeons la zone pavillonnaire de ‘’Belle vue’’ et trouvons sur la droite un chemin partant dans les champs. Il fait tout de suite fourche laissons la branche de droite menant à la zone de stockage des betteraves puis vers la carrière. Nous arrivons à l’orée du bois de la Muette, Propriété privée … Je poursuis tout de même, le bois est en exploitation au loin j’aperçois une maison, cela s’annonce mal, j’avance encore un peu prudemment en me disant je ne vais pas tarder à me faire virer. Plus j’approche et plus cela me semble bizarre, il me semble apercevoir des graffiti. Ouf la maison est abandonné et les accès sont obstrués, mais surtout je retrouve un balisage jaune, la suite de la promenade est donc possible en toute tranquillité dans ce bois, seul peut être les premiers 200 m peuvent poser problèmes, à moins que les pancartes ne soient obsolètes. Je laisse donc la branche de gauche du balisage, contourne la maison et poursuit en face. Nous arrivons à un carrefour et une barrière, le balisage tourne à gauche (ne pas franchir la barrière.) Nous sortons plus ou moins du bois en longeant sa lisière et débouchons sur la D53, face à la ferme de Chivres nous apercevons étagé sur le flanc de la colline quelques maisons. Nous suivons le balisage sur la droite qui emprunte la route faisant un virage en épingle à cheveux. En 2018 le champ que l’on contourne étant en jachère ou en prairie non clôturé je coupe par le pré. Poursuivons le balisage jaune par la route. Nous nous rapprochons de la Marne sans en être au bord et sans la voir, caché par des taillis. Nous longeons sa vallée qui me semble profonde. Sur la droite des maisons éparses sont étagées sur un coteau d’une cinquantaine de mètres de hauteur du hameau de Chivres. La route fait fourche, nous abandonnons le bitume de la D53 pour prendre un chemin plus ou moins bitumeux et stabilisé sur la gauche, le long d’un petit bras de la Marne. Nous passons des ruines sur la gauche (peut être un ancien moulin) et longeons de nouveau quelques maisons. Laissons sur la droite la rue d’accès entre la départementale et ses maisons, poursuivons notre chemin dans les champs et les bois. Passons un camping ‘’espace naturel du creux du chêne…’’ et avant d’avoir trouvé sur internet le document ci-dessous j’ai trouvé cela très naturelle voir même trop naturelle, mais nous sommes en hiver beaucoup de places libre et pas beaucoup d’entretien mais bon c’est naturelle.
Encore un ru à sec après quatre mois de sécheresse
[Voila ce que nous dit le site de la Mairie ; Leur passage à l'émission "Bienvenue au Camping" de TF1 en Septembre 2015 a valu une jolie publicité pour ce camping pas comme les autres et aussi pour notre village et son cadre verdoyant !! Leur concept est basé sur une fusion à la fois innovante et harmonieuse entre l'écotourisme, le sport et l'éducation pédagogique :
- venez profiter d'un sentier botanique, d'un parcours de santé et d'une aire de jeux pour enfants
- l'accessibilité à la rivière pour des activités pêche ou autres.
- pour les plus sportifs, des formules chiens de traîneau à roues.
Pour les écoles, des parcelles pédagogiques composées d'un verger, d'un potager et d'une pépinière vous permettrons de venir passer des demis-journées, journées ou séjours sur le thème de la nature, des chiens de traîneau ou du sport.

Notre espace nature aura pour but de vous accueillir, vous faire découvrir ses activités ainsi que la découverte de notre région et toutes ces activités culturelles qui nous entourent. Publié le Vendredi 25 Novembre 2016 à 12:11:00 https://www.tancrou.fr/a210-l-espace-nature-creux-du-chene.html]

Notre chemin devient bitume nous entrons dans Tancrou au niveau d’un grand giratoire permettant de sortir de ce cul de sac et de se rendre à l’espace de pleine aire ou il se trouve des tables de pique nique
par le chemin de Mary. Remontons la Grande Rue sur la droite, dans le haut nous trouvons la rue de l’église que nous prenons à gauche balisage jaune nous arrivons sur l’esplanade ou nous trouvons l’église [ Nous trouvons sur le site de la mairie ; L'église de Tancrou est dédiée aux Saints Donatien et Rogatien, martyrisés sous l'Empire romain. Donatien et Rogatien étaient deux jeunes gens Nantais. Pour n'avoir pas voulu renier leur foi chrétienne, dans un empire Romain encore "païen", ils ont été torturés puis décapités un 24 mai (288 ou 290 ?), jour de commémoration de leur martyre.
Quelques précisions données sur le site de la paroisse de Donatien de Nantes.
Le tableau ci-dessous, daté du XIXe s, représnte Donatien et Rogatien. Il se trouve à gauche du chœur de l'église. Les deux saints (Rogatien l'aîné à gauche, Donatien à droite) sont représentés très classiquement auprès des instruments de leur martyre : le chevalet (où ils furent écartelés), la lance 
plantée dans leur gorge, et le billot sur lequel ils ont été décapités. L'église date dans ses éléments les plus anciens de la période médiévale.
Elle n'a pas de caractère architectural tranché, d'autant qu'elle relève de plusieurs périodes.
Extérieurement, les ouvertures lui donneraient une allure romane. Mais de l'intérieur, les trois travées de la voûte reposent sur des croisées d'ogives. Pourtant point de culées ni d'arcs boutants à l'extérieur, donc pas un "vrai" gothique.
De plus, le clocher latéral est du XVIIe siècle, avec des éléments décoratifs de style Renaissance.
La corniche (qui abritait autrefois l'horloge) est un composé d'éléments Renaissance, très dégradés. Bref une église assez composite, mais qui possède une originalité : un clocher à trois rangs d'abat-sons sur le côté exposé au village, ce qui n'est, parait-il, pas si fréquent. Publié le Lundi 19 Décembre 2011 à 14:20:05 ; https://www.tancrou.fr/a125-eglise-de-tancrou.html] [Symbole de l’Apôtre Pierre, les coqs appaissent dès le XIè siècle, ils remplissent les mêmes fonctions que les girouettes et sont devenus l’image du rassemblement de la communauté chrétienne. Panneau d’info] vers le parvis nous descendons un escalier en bois, fort glissant par temps humide, traversons les tables de pique nique et prenons le chemin de Mary (bitumé) sur la droite. Il longe la Marne. En stabilisé en son départ il devient chemin de halage, balisé en jaune. Nous arrivons à l’entrée de Mary sur Marne, Longeons le terrain de boule et le terrain de sport. Un peu avant le camping je quitte le balisage jaune pour prendre la passerelle franchissant un bras de Marne et traverser les trois îles, c’est sympa, mieux que le bitume, passons les deux autres passerelles et nous ressortons juste avant le pont de la D 17. Prenons cette dernière sur la droite traversons le pont au dessus du bras de la Marne, nous retrouvons le balisage jaune. Sur la gauche un château presque en ruine et prenons la rue du port
sur la gauche. Nous longeons cet ancien château transformé en restaurant, la rue fait fourche laissons sur la droite l’impasse du port poursuivons sur la gauche la rue du port, nous débouchons en bordure de la Marne. Nous longeons quelques maisons 1900. La rue fait fourche, laissons le quai Jacques Papin sur la droite. 
     
 Nous abandonnons le balisage jaune, poursuivons le bord de marne sur la gauche, passons sous le pont de la ligne de chemin de fer, notre rue devient chemin et bientôt il butte sur le confluent de 
Confluent de l'Ourcq
l’Ourcq [L'Ourcq (Urc en 855) est une rivière française affluente de rive droite de la Marne qui coule dans les départements de l'Aisne et de Seine-et-Marne. La vallée de l'Ourcq constitue la frontière géographique naturelle délimitant le Soissonnais au Nord de l'Orxois au Sud. Elle prend sa source au-dessus de Fère-en-Tardenois dans le département de l'Aisne. Cette petite rivière suit une large vallée et rejoint la Marne en amont de Meaux, à la limite des communes de Lizy-sur-Ourcq et Mary-sur-Marne, après un cours de 86,5 km. Une partie du cours de l'Ourcq est détournée et canalisée au XIXe siècle pour devenir une voie fluviale importante approvisionnant Paris : le canal de l'Ourcq qui alimente le canal Saint-Martin et le canal Saint-Denis en entrant dans Paris au niveau du bassin de La Villette. Wikipédia] A la pointe remonter sur la droite le petit chemin jusqu’à la passerelle en béton.
 (Si la fragile passerelle en béton est cassée ou que les eaux sont hautes, il ne sera pas possible de traverser à gué cette rivière que l’on verra ruisseau dans d’autres rando.
Soit vous faites demi tour et à la ligne de chemin de fer vous prenez le chemin du port sur la gauche jusqu’à la gare de Lizy.
Soit vous poursuivez tout droit, jusqu’à la station d’épuration prendre le chemin de droite (de toute façon on ne peut pas continuer tout droit c’est clôturé. Nous retrouvons le bitume et à l’intersection des trois routes nous retrouvons le balisage jaune, prenons la rue sur la gauche qui longe la ligne SNCF. Il est possible de poursuivre 
jusqu’à la gare en quittant le balisage jaune et en poursuivant tout droit.
Ou alors vous prenez à gauche le balisage jaune, longer le stade et les près Pourris {pourris certainement pour cause d’une trop grosse humidité, même les peupliers n’ont pas réussi à assécher le terrain. Ce nom donné par les anciens n’était que prémonition il sert également de décharges sauvage.}En bout du stade vous retrouvez le GR 11 que vous suivez dans sa traversée de Lizy et vous retrouverez la trace à la toute petite maison de la station de pompage.) 
Reprenons notre itinéraire passons la passerelle en béton et longeons sur la droite l’Ourcq jusqu’à la station de pompage, ou nous retrouvons le GR 11 que nous prenons à gauche, nous longeons cette petite colline ou passe le canal à mi flanc. Laissons le balisage jaune rejoindre le canal en grimpant sur la droite poursuivons le GR plus ou moins en bordure de la Marne, passons une ruine, nous sommes au Bouche de l’Ourcq (je me demande si ce n’est pas par ici que le canal de l’Ourcq peut déborder en toute tranquillité pour réguler son niveau.) Nous quittons le GR 11 lorsque lui-même grimpe vers le canal par un petit sentier dans les ronces et poursuivons dans les champs le PR balisage jaune qui débouche sur un chemin gravillonné que l’on prend à droite. Sur la gauche de grosses propriétés et des bâtiments agricoles en ruine, nous longeons un pré. Nous entrons dans Villers les Rigault. Notre chemin devient rue du Bouchy. Au carrefour nous prenons à gauche la rue du Grand Voyeux, laissons sur la gauche la grande Ruelle, la rue tourne  sur la droite, et nous
passons devant l’usine élévatrice. [L’usine élévatoire de Villers-les-Rigault  est une usine de pompage construite sous Napoléon III, classée aux Monuments Historiques. Elle complétait les apports d'eau du canal de l'Ourcq par des prélèvements en Marne, afin de garder un niveau constant durant la saison sèche. Si aujourd'hui le pompage ne s'effectue plus qu'à l’usine de Trilbardou, la machine offre un témoignage de l'évolution technologique du XIXe siècle dans le domaine de l'utilisation de l'énergie hydraulique. On doit à Louis-
Dominique Girard, ingénieur hydraulicien, également connu pour son travail dans la chocolaterie Menier à Noisiel, la machine historique de pompage mise en activité pour la première fois en 1868. L'ensemble se compose de deux roues en fonte avec turbines de 10m de diamètre, et large de 1,80 m. Ces roues portent des augets (Petits seaux ou godets fixés à la circonférence d'une roue pour recevoir l'eau motrice) ouverts vers l'intérieur.
Les deux roues de la machine de Girard sont mises en mouvement par 24 vannettes à tiroir.

Ces roues tournent à 7 tours par minute et actionnent ainsi deux pompes aspirantes et refoulantes.  fonctionnant sous une chute d'eau de 2m  (chute produit par le barrage de l’écluse de Isles Meldeuse), et actionnant quatre pompes volumétriques pouvant refouler 38 000 m3 d'eau par jour ! On peut observer la symétrie des roues et des pompes disposées de part et d'autre d'un réservoir central constitué du grand cylindre vertical du reniflard (soupape de chaudière à vapeur, qui aspire l'air quand la tension devient inférieure à la pression atmosphérique) qui permet d'éviter les risques de coup de bélier. (bélier hydraulique : machine qui utilise la surpression appelée "coup de bélier" causée par l'arrêt brutal d'une colonne d'eau pour élever une partie de l'eau à une hauteur très supérieure à la hauteur de chute).  https://exploreparis.com/fr/466-usine-elevatoire-de-villers-les-rigault.html & http://congis.therouanne.free.fr/usine1.html. Inscription pour la visite visites@aufildelourcq.org] Nous retrouvons le GR 11. Poursuivons la rue. Nous arrivons au carrefour avec la D 
121e que nous prenons à gauche. Passons le petit bras en provenance de l’usine élévatrice puis passons le pont sur la Marne nous arrivons à Isles les Meldeuses, nous sommes toujours sur le balisage jaune et GR 11. Prenons sur la droite le chemin des Islettes sur 5m, puis sur la gauche le chemin herbeux intra muros desservant des maisons et après un esse droite gauche nous arrivons à l’église Église placée sous le vocable de saint Caprais, (Ermite natif d’Agen s’étant retiré sur une montagne voisine il est témoin d’un supplice infligé à une jeune chrétienne appelé Foi. Frappé de la fermeté qu’elle fait paraître au milieu des 
tourments, il demande à Dieu de l’imiter, il se présente au gouverneur de région et se déclare chrétien, il est soumis à d’horribles tortures, il meurt en 287.) l’édifice roman à une seule nef. C'est une ancienne chapelle qui fut agrandie par la suite. Son clocher date du XIIIe siècle qui accueille une cloche de 0,70 cm de diamètre fondu en 1856. (Panneau d’information)] Nous débouchons place de l’église, prenons à droite la Ruelle de l’église nous débouchons rue de Trilport, que nous prenons à gauche. Elle devient place Olivier Marteau puis nous prenons à droite la rue de la gare. Fin de cette balade.
  



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