Il y a autant d'appellations qu'il y a du fromage de Brie...
Rando dans le Nord de la Seine et Marne
Novembre 2017
Après mes six étapes permettant de joindre la Seine à la Marne, je me suis dit que je ne m’étais jamais promené dans le nord de la Seine et Marne. Dans ma dernière étape, de la Marne, on n’en a pas vue grand-chose. On là traversée à la Ferté sous Jouarre un point c’est tout. Les prochaines séries de randos vont nous donner une idée du ce "Nord" pardon du "Haut" de notre département.
La région de La Brie
La région
naturelle de la Brie est assez vaste, et se divise en neuf « pays » :
- La Brie française (ou Basse-Brie), autour de Brie-Comte-Robert ;
- La Brie boisée, autour de Tournan-en-Brie ;
- La Brie humide (ou Brie de Melun), à l'est de Melun ;
- La Brie centrale, autour de Mormant ;
- Le Montois, autour de Donnemarie-Dontilly ;
- la Brie champenoise (ou Provinois), autour de Provins ;
- La Brie laitière (ou Haute-Brie), à l'est de Coulommiers ;
- La Brie des étangs, à l'ouest d'Épernay ;
- La Brie d'Esternay, autour d'Esternay ;
- on appelait aussi Brie pouilleuse les environs de Château-Thierry.

Enfin boucles par boucles nous reviendrons vers le sud en croisant et recroisant les six étapes qui nous à permis de monter si haut dans le département.
1) Boucle de la Marne ; La Ferté Sous Jouarre – Méry sur Marne
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b312702
(Explications Code Mobile)
Départ gare de La Ferté Sous
Jouarre. [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au
confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville
avec ses services, transports et commerces. Après s'être appelée Firmitas
Anculfi elle prend le nom de Ferté-Ausculphe, puis Condé-la-Ferté,
La Ferté-Ancoul ou La Ferté-Aucoul voire Ferté-Aucol ou La
Ferté-au-Col avant de prendre en 1789 le nom de La Ferté-sur-Morin, La
Ferté-sur-Marne et enfin La Ferté-sous-Jouarre. Le toponyme La Ferté est
issu de l'ancien français ferté qui procède
lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul
du nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en
1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-Jouarre était le duc de la Rochefoucauld.
La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite,
dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par
l'abbaye de Jouarre. Au XIe siècle la plus grande partie de la ville se trouvait sur la rive
gauche de la Marne et formait la paroisse Saint-Étienne-de-Condé et la partie sur la rive droite la
paroisse Saint-Nicolas, qui était la chapelle d'origine du château. Au début du
XIIe siècle, il y avait à La
Ferté un hôtel-Dieu dédié à Saint Léonard et une léproserie qui était située
hors de la ville. Jusqu'au milieu du XVIe siècle, l'histoire de La Ferté, ne présente aucun intérêt notable. À cette époque, les protestants y étaient très nombreux et la ville prit parti pour le prince de Condé, qui était leur seigneur. Capitale mondiale de la pierre meulière, La Ferté-sous-Jouarre était mondialement connue jusqu'au XIXe siècle grâce à la dureté exceptionnelle de la pierre extraite dans ses carrières, qui alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des pierres à pain fertoises dans toute l'Europe mais aussi en Amérique… et jusqu'en Nouvelle-Zélande ! Le pain, nourriture essentielle de tous les temps, est composé de farine devant être broyée. On abandonne progressivement la fabrication de meules « monolithes »,
c'est-à-dire constituées d'un seul bloc de
pierre, pour appliquer la technique de « meules à l'anglaise »,
constituées de plusieurs morceaux de choix de pierre, les « carreaux ».
On extirpait ces pierres dans toutes les collines environnantes de La
Ferté-sous-Jouarre : Tarterel, le bois de la Barre… Cette
industrialisation verra son apogée au XIXe siècle. La Ferté-sous-Jouarre, à cette époque, comptait 23
entreprises, la production annuelle atteignait 1000 à 1200 meules et 80 à
100 000 carreaux qui partaient par bateaux, puis par chemin de fer dans le
monde entier. Wikipédia] A la sortie de la gare nous partons sur la gauche par la petite
rue de la gare (ne pas prendre la rue qui monte vers le pont. Nous passons devant une meule de moulin réalisé en carreau.
Pourquoi est-elle là sans explications ? (Je vous donnerais la réponse plus tard dans une autre promenade, pour l'instant je ne sais pas et je découvre.) Nous débouchons rue Michel Fauvet
que nous prenons à droite, nous arrivons sur la place de l’hôtel de ville et
nous prenons à gauche par la rue de Chamigny, puis à
droite la rue de l’hôpital qui descend vers la Marne. Nous prenons sur la
gauche l’avenue du 8 mai 45 ou nous retrouvons le GR 14 A et le balisage jaune.
Je n’ai pas suivi la rue, mais la petite promenade de l’ile cartier en bordure
de la Marne [longue de 514 km.
Principal affluent de la Seine, la Marne prend sa source sur le plateau de
Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans
Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
KM Temps
Arrêt V/d V/m
Dénivelé
27 4h39 0h20
5,7 5,4 365+
lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul
hors de la ville. Jusqu'au milieu du XVIe siècle, l'histoire de La Ferté, ne présente aucun intérêt notable. À cette époque, les protestants y étaient très nombreux et la ville prit parti pour le prince de Condé, qui était leur seigneur. Capitale mondiale de la pierre meulière, La Ferté-sous-Jouarre était mondialement connue jusqu'au XIXe siècle grâce à la dureté exceptionnelle de la pierre extraite dans ses carrières, qui alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des pierres à pain fertoises dans toute l'Europe mais aussi en Amérique… et jusqu'en Nouvelle-Zélande ! Le pain, nourriture essentielle de tous les temps, est composé de farine devant être broyée. On abandonne progressivement la fabrication de meules « monolithes »,
Elle est connectée à
l'Aisne par le Canal de l'Aisne à la Marne qui arrose Reims, et indirectement, par l'intermédiaire du Canal latéral à la Marne,
au Rhin par le Canal de la Marne au Rhin et à la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet.
La
Marne présente la particularité de permettre à un bateau de parcourir
intégralement sa vallée, jusqu'à passer presque sous sa source par la voûte
de Balesmes.
Cette source est toute proche de la grotte dans laquelle le rebelle gaulois Sabinus
est réputé s'être réfugié en compagnie de sa femme pendant neuf ans, avant
d'être capturé par les Romains. En fait la légende qui dit que Sabinus s'est
caché dans la grotte qui surplombe la source de la Marne à Balesmes sur Marne,
en compagnie de sa femme Éponine n'est étayée par aucun écrit ni trace réelle
tangible. D'ailleurs à l'entrée de la grotte on peut y lire cette information
en point d'interrogation. Mais il plaît aux Haut-Marnais du sud de perpétuer
cette légende à la gloire du rebelle gaulois. Wikipédia.] Nous
longeons l’île et la halte fluviale, le chemin longe un espace caravanes ou
camping cars et se termine à la descente à bateau de club d’aviron de la
ville. Nous remontons sur la gauche longeons le bâtiment et prenons à droite la
rue de l’île cartier que nous prenons à droite cette route devient chemin et
nous retrouvons le GR et un balisage jaune. Nous traversons un champ, et
entrons dans le parc naturel sensible de Tanqueux. Traversons le bois de
Bergette [d’une superficie de 26 ha cet espace
permet de découvrir la vallée de la marne au travers de ses milieux
caractéristiques : coteux boisé, friches, prairie inondable, berge
(panneau d’info.)] En bordure du chemin, nous trouvons une construction
en pierre meulière abritant une source. A la sortie du bois nous suivons le GR
sur la gauche et une branche du balisage jaune. Longeons l’orée du bois, nous
avons abandonné l’autre branche du balisage jaune. Traversons la ligne de
chemin de fer notre chemin devient rue de Tanqueux, nous prenons sur la droite
la D 80 sur une dizaine de mètres puis à gauche une rue devenant sentier un peu
plus haut. Laissons le petit chemin donnant accès à la cour sur notre droite,
nous grimpons. Le chemin fait fourche prenons la branche de droite et sortons du
village, nous sommes toujours sur le GR. Limite entre champs et bois, le chemin
débouche sur un autre formant Té nous prenons à gauche le chemin fait virage à
droite on retrouve les marques blanche
& rouge. De sentier nous passons à chemin desservant quelques maisons.
Nous arrivons à Chamigny [Le nom du village provient du nom Caminiacum, la maison du chemin, qui devient Cheminiacum et vers 1144 Chamini car l'église Saint-Étienne, ecclesia de Chamini, est citée le 14 avril 1144 dans la bulle du pape Lucius II, au cartulaire de La Charité-sur-Loire, abbaye dont dépendait Reuil. Monsieur Jean Quéguinier fait la description de l'église dans le dictionnaire des églises de France en 1968 (éd. Robert Lahout). Celle-ci est monument historique, tout d'abord fin du XIXe siècle la crypte du XIIe siècle qui contient une Vierge à l'enfant qui représente Notre-Dame-de-la-Cave.
Ce serait Saint Louis qui en aurait fait don à l'église de Chamigny, puis toute l'église déclarée monument historique par un arrêté du 6 février 1981.
Nous arrivons à Chamigny [Le nom du village provient du nom Caminiacum, la maison du chemin, qui devient Cheminiacum et vers 1144 Chamini car l'église Saint-Étienne, ecclesia de Chamini, est citée le 14 avril 1144 dans la bulle du pape Lucius II, au cartulaire de La Charité-sur-Loire, abbaye dont dépendait Reuil. Monsieur Jean Quéguinier fait la description de l'église dans le dictionnaire des églises de France en 1968 (éd. Robert Lahout). Celle-ci est monument historique, tout d'abord fin du XIXe siècle la crypte du XIIe siècle qui contient une Vierge à l'enfant qui représente Notre-Dame-de-la-Cave.
Ce serait Saint Louis qui en aurait fait don à l'église de Chamigny, puis toute l'église déclarée monument historique par un arrêté du 6 février 1981.
le peintre Joseph Paul Meslé
(1855-1927), peintre de talent. En 1890 il épouse Yacintthe Brémontier,
fille d'une famille aisée. Il expose des portraits de sa femme. Il souhaite se
rapprocher de sa belle-famille qui réside à La
Ferté-sous-Jouarre, il achète donc une maison à Chamigny en 1894, Il peint beaucoup sur le thème de Chamigny, des
paysages dans le givre et le brouillard, sous la neige, la belle église. En 1904, il est élu au conseil municipal de la commune. Wikipédia.] [Église Saint-Étienne,
érigée en 1130 qui possède une crypte du XIIIe siècle
construite sur une autre plus ancienne est classée au titre des monuments historiques.] A
vec son église restauré et son clocher bien blanc visible de loin, au retour il nous servira de guide, pas que nous soyons perdu mais
le temps passe si vite que l’heure du train risque de nous glisser entre les
doigts. Prenons la rue des sonnettes sur la droite, puis la rue de l’église
(mon topo orale dit rue de la messe. La rue doit avoir les deux noms suivant
que l’on soit coté parvis ou chevet de l’église,) à gauche traversons la place
de l’église tout en pente, c’est également le PR jaune des artistes.
Nous
débouchons rue Léopold Bellan que nous prenons à droite, nous débouchons rue
Robineau que nous prenons à gauche longeons quelques maisons. Laissons une
première allée sur la gauche et prenons le second sentier intra muros sur la
gauche, laissons la cour sur la droite et l’on monte par un petit chemin entre
les clôtures. Une fois sortie du village le sentier serpente sur les pentes du
coteau et débouche sur un chemin formant Té. Attention le balisage jaune nous
indique un peut trop tôt qu’il faut tourner à droite, attendre la flèche du GR.
Nous prenons à droite un large chemin forestier. Traversons un ru et
poursuivons notre chemin en foret. Dommage nous sommes à flanc de coteau et
même en hiver on ne voit pas la Marne n’y les étangs créés par l’extraction du
sable dans l’intérieur de la boucle. Le chemin tourne sur la droite puis
débouche sur un chemin formant Té ou nous prenons la branche de gauche, nous
rencontrons un chemin formant Té nous prenons de nouveau à gauche gravissons le
coteau et tournons à droite, pour de nouveau longer le flanc de la colline.
Une trouée dans les arbres nous permet enfin de voir la Marne (ce petit filet d’eau au plus prêt de coteau, derrière la grande étendue d’eau c’est le lac créé après l’extraction du sable, mais le brouillard me bouche un peu l’horizon). Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche. La route serpente, un chemin sur la droite permet de couper les virages, nous retrouvons la route et à la sortie de la foret nous apercevons quelques maisons. Les Gâcheux (une ferme dans le style Moyen Age, à l’ancienne tout traîne surtout le superflu ce qui la rend peu agréable). Nous prenons le premier chemin sur la droite, nous sommes entre deux clôtures dans les prairies, puis nous longeons un bois et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Nous longeons de nouveau un bois, puis y pénétrons. Laissons le PR jaune prendre le chemin de droite et poursuivons le GR 14 A tout droit. Bois et
champs s’alternent, nous débouchons
sur une route avec une information ‘’les Davids’’, nous prenons à droite, nous
apercevons les serres d’un maraîcher. Au carrefour avec la route ‘’C2’’ au
niveau des Chanois. Nous continuons par le chemin dans les champs face à nous.
De champ nous descendons dans un bois que nous traversons. Il semblerait que
nous ayons perdu le balisage jaune nous ne voyons que les marques du GR. A l’extrémité
du bois, nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche et l’on
retrouve le balisage jaune. A la fourche nous quittons la route bitumée pour
prendre sur la gauche le chemin carrossable ‘’au dessus des montagnes’’
desservant quelques maisons, à la seconde fourche nous prenons à droite. De nouveau nous longeons le flanc du coteau dommage
même l’hiver nous n’avons pas de points de vues sur la vallée. Chemin peu
facile avec cette humidité je glisse plus que je marche. Enfin un point de vue,
dommage, le brouillard me cache l’horizon. Laissons deux chemins partant sur
les cotés. Au troisième carrefour, nous débouchons sur un chemin formant Té,
nous prenons la branche
de droite, nous descendons, passons dans le haut
du village de Moitièbard et débouchons sur un chemin carrossable. Sur la carte notre
chemin change de nom et devient chemin de Gramaille. A la fourche, nous
abandonnons la bande carrossable pour un chemin caillouteux sur la droite nous
continuons de descendre vers le village. Nous sommes toujours sur le GR et le
balisage jaune. Nous coupons de nouveau les deux bandes de roulement en bitume
pour déboucher sur une route, ou nous retrouvons un balisage jaune. On trouve
sur la droite de la route un chemin conduisant à une propriété et au portail un
sentier sur la droite que nous prenons (chemin de Charly.) Nous descendons le
coteau coupons le ru de Caumont, et, surprise nous avons l’impression d’être en
Normandie ; petite vallée et deux maisons à toits de chaumes. Nous débouchons
sur la rue des marais que nous coupons, pousuivons en face le sentier grimpant
de
nouveau vers le haut du village. (Il est normal de trouver ces toitures de
chaumes, c’est le domaine des chaumes location de salles et hébergement.) Le
chemin devient rue et nous entrons dans le village de Caumont. Prenons face à nous
un peu sur la gauche la rue des vires de Caumont. Dans le village prenons le
premier chemin sur la gauche un chemin entre des maisons, il grimpe dans les
prairies et au carrefour nous prenons à droite toujours le GR et le balisage
jaune. Nous sommes en lisière de bois et champs. Le sentier est à flanc de
colline effleure une rue sans issus pour les voitures et poursuivons notre
itinéraire par le sentier de gauche desservant au départ une sorte de garage,
toujours le balisage blanc et rouge ainsi que le jaune du PR. Nous traversons une
belle foret de chêne (bois Brûlé) et arrivons à un grand carrefour (cote 170 sur la carte) Nous prenons à droite passons les quelques
maisons
du Frouet, laissons la PR continuer tout droit et prenons à gauche le GR 14 A et l’une des branche du balisage jaune. Nous descendons. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous remarquons deux antennes dont l’une dans un pin de haute taille, on n’y a pas coupé la tête et l’antenne est presque invisible. Descendons la rue de Limon et prenons à gauche le chemin entre le réservoir d’eau et les maisons de la sente des plantes, se trouvant à l’entrée du village de Méry. Il débouche sur un chemin formant Té ou nous
rencontrons le GR 11A,
nous sommes également sur le GR de Saint Jacques de Compostelle ; Reims - Paris) et nous prenons
à droite en lisière de bois et de champs. Notre chemin fait un coude sur la
droite et débouche sur la route du Limon que nous prenons à gauche. Nous
entrons dans Méry sur Marne. [L'étymologie possible
de Méry-sur-Marne est un nom qui se serait formé à partir du nom de personne
romaine Marius plus le suffixe gallo-romain -acum, d'où "le
lieu de Marius". La commune est longée sur sa limite Nord par la Marne. Le
bourg est installé sur le flanc d'un coteau qui finit en gravière dans un
méandre de la Marne. il offre de
belles vues sur la rivière ainsi que
d'agréables traversées de sous-bois. http://www.mery-sur-marne.fr/]
Prenons à droite la rue du bac, GR 11 A & le balisage jaune vers Luzancy. Juste
avant un virage à la fourche avec la croix et le banc, prendre à droite le
sentier de la Brussette. Après les champs nous longeons les clôtures des
propriétés dont les portails sont encombrés de ronces et de charmilles. De chemin
nous passons à rue et débouchons sur la D 80E route de Courcelles,
nous longeons la Marne par la route. Difficile cette route j’ai trouvé qu’il y
avait beaucoup de voitures. Passons le pont de la ligne SNCF. Si l’on prend la
carte Open Street Map, nous y trouvons un chemin de halage inexistant sur la
carte de l’IGN. J’en ai loupé le départ. J’ai donc poursuivi la départementale
et suis entrée dans Courcelles sous Méry. Je trouve après une jachère entre des clôtures séparent deux propriétés
un petit sentier semblant se diriger vers la
Marne et peut être le chemin de halage. Normalement nos fleuves navigables
étaient longés par un chemin permettant de tirer les bateaux. [Le halage est un mode de traction terrestre des péniches, des coches d'eau et d'une manière générale des bateaux fluviaux, qui consiste à
les faire avancer le long d’une rivière, d’un canal, au moyen d’une corde tirée
jadis à force de bras ou par des chevaux, à présent par un engin automoteur.
Sans se substituer aux fonctions écologiques d'une vraie berge, cet aménagement joue
encore un certain rôle de corridor biologique. Il nécessite un chemin dégagé et mis hors d'eau qui longe de près la berge des voies d'eau navigables. Wikipédia.] Aujourd’hui ils peuvent être intermittents, les taillis ou la foret les ayant happés, il n’y a plus de gué ou de bac pour passer d’un coté à l’autre. Le pire ce sont les propriétés possédant des bords d’eau qui ont clôturées sans autorisation le chemin afin que personne ne viennent dans leur espaces bien entretenus. Alors qu’un chemin de halage doit toujours rester libre, ne serait ce que pour que les voies navigable de France interviennent sur la berge. Le chemin peut être également coupé par un ru, ou un accès à un étang artificiel sans pont. Je m’engage donc sur ce petit chemin avec un gros doute, en bout je rencontre le chemin de halage que je prends à droite. Un propriétaire, travail dans
sont jardin à une taille d’hiver
sur ses arbres. Je lui demande si l’on peut rejoindre La Ferté sous Jouarre par
la berge. Il me regarde goguenard et me dit Oui, mais…
Une trouée dans les arbres nous permet enfin de voir la Marne (ce petit filet d’eau au plus prêt de coteau, derrière la grande étendue d’eau c’est le lac créé après l’extraction du sable, mais le brouillard me bouche un peu l’horizon). Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche. La route serpente, un chemin sur la droite permet de couper les virages, nous retrouvons la route et à la sortie de la foret nous apercevons quelques maisons. Les Gâcheux (une ferme dans le style Moyen Age, à l’ancienne tout traîne surtout le superflu ce qui la rend peu agréable). Nous prenons le premier chemin sur la droite, nous sommes entre deux clôtures dans les prairies, puis nous longeons un bois et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Nous longeons de nouveau un bois, puis y pénétrons. Laissons le PR jaune prendre le chemin de droite et poursuivons le GR 14 A tout droit. Bois et
du Frouet, laissons la PR continuer tout droit et prenons à gauche le GR 14 A et l’une des branche du balisage jaune. Nous descendons. Nous débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous remarquons deux antennes dont l’une dans un pin de haute taille, on n’y a pas coupé la tête et l’antenne est presque invisible. Descendons la rue de Limon et prenons à gauche le chemin entre le réservoir d’eau et les maisons de la sente des plantes, se trouvant à l’entrée du village de Méry. Il débouche sur un chemin formant Té ou nous
encore un certain rôle de corridor biologique. Il nécessite un chemin dégagé et mis hors d'eau qui longe de près la berge des voies d'eau navigables. Wikipédia.] Aujourd’hui ils peuvent être intermittents, les taillis ou la foret les ayant happés, il n’y a plus de gué ou de bac pour passer d’un coté à l’autre. Le pire ce sont les propriétés possédant des bords d’eau qui ont clôturées sans autorisation le chemin afin que personne ne viennent dans leur espaces bien entretenus. Alors qu’un chemin de halage doit toujours rester libre, ne serait ce que pour que les voies navigable de France interviennent sur la berge. Le chemin peut être également coupé par un ru, ou un accès à un étang artificiel sans pont. Je m’engage donc sur ce petit chemin avec un gros doute, en bout je rencontre le chemin de halage que je prends à droite. Un propriétaire, travail dans
- Vous avez beau avoir une belle
allonge c’est tout de même de l’autre coté de la boucle. A au moins… dix
kilomètres.
longeons la mairie, prenons à
droite la rue michel Fauvet puis à gauche la petite rue de la gare.
Heureusement mon train à 10 minutes de retard, il aurait fallu que j’attende
une heure pour le suivant.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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