samedi 2 février 2019

Petite Promenade 80 : en Auvergne : La Bourboule, La Roche des Fées, Murat le Quaire


Petite Promenade en Auvergne : Autour de la Bourboule
Un petit séjour dans le Puy de Dôme en hiver ma fait redécouvrir ses magnifiques paysages. J’ai essayé de réaliser les promenades en utilisant uniquement des chemins balisés été comme hiver. L’hiver certain font parties de circuits raquettes, les chemins étant damés depuis plusieurs mois et étant en fin de saison, je les ai parcouru simplement avec mes chaussures de marche sans m’enfoncé jusqu’au cheville.
mars 2018



Carte IGN     Trace GPS et topo sans Commentaires

Trace Randogps                          Le code mobile de cette randonnée est b312375
                                                               (Explications Code Mobile)

Km      temps       arret            V/d     V/g         dénivelé     altitude maxi
8,0       1h50         15mn          4,4       3,9          380+                  1116

Circuit : Le rocher de La Bourboule, La Roche des Fées, Murat le Quaire

Pour cette balade je suis partie du parc Fenestre , comme j’aurai pu partir de l’église. Il est peut être plus facile de se garer autour du parc Fenestre.

Nous descendons l’avenue Agis Ledru traverser la Dordogne [prend naissance au Puy de Sancy (1 885 m), point culminant du Massif central, dans la chaîne des monts Dore. Elle conflue avec la Garonne pour former l'estuaire de la Gironde qui débouche prend naissance au Puy de Sancy (1 885 m), point culminant du Massif central, dans la chaîne des monts Dore. Elle conflue avec la Garonne pour former l'estuaire de la Gironde qui débouche sur l'océan Atlantique après avoir traversé le département de la Dordogne et une partie de celui de la Gironde, dans le Bassin aquitain.sur l'océan Atlantique après avoir traversé le département de la Dordogne et une partie de celui de la Gironde, dans le Bassin aquitain. La Dordogne se forme dans le Puy-de-Dôme, sur les flancs du puy de Sancy, la plus haute montagne de l'intérieur de la France, par la réunion de deux torrents : la Dore
dont la source se trouvait à 1 694 mètres d'altitude en 1864, et qui reçoit à 1 366 mètres d'altitude la Dogne, sur la commune de Mont-Dore au pied du puy 
 de Sancy. Au bec d'Ambès, dans le département de la Gironde, elle se jette avec la Garonne dans un estuaire commun, la Gironde. D'une longueur de 483 km, la Dordogne est navigable en aval de Libourne. La marée se fait sentir jusqu'à Castillon-la-Bataille. Wikipédia] Nous passons devant les Grands Thermes [L’histoire de la station thermale de LA BOURBOULE érigée en commune en 1875 dépend surtout de la richesse en eaux de son patrimoine volcanique. "BORVO", dieu celte des sources, d'où le verbe bourbouler (=bouillonner), serait à l’origine du nom de la ville.  Une certitude 
dans le mystère de ses origines : elle est "Fille de MURAT-LE-QUAIRE", une place forte villageoise surplombant la vallée de la Dordogne. LA BOURBOULE n’était alors qu’un hameau inondé par d’abondantes sources, jaillissant au pied de la faille de la Roche des Fées. http://www.ville-labourboule.com/decouvrir/bb/118-histoire-et-patrimoine.html]
Traversons le boulevard Foch faisons un esse gauche droite pour prendre la rue Sedaiges , c’est une rue sans issus bordées de grosses maisons ou d’hôtels rappelant les heures de gloires de la ville thermale au début du XXème siècles. Nous sommes sur un balisage vert. Au rond de la rue nous trouvons un escalier permettant de rejoindre le sentier du rocher de la Bourboule. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche le chemin grimpe fortement en serpentant. Nous arrivons de nouveau à un chemin formant Té. (Un panneau nous informe que Murat le Quaire est à 2,8 sur la droite 
la roche des Fée à 1,4 sur la gauche.) prenons à gauche passons devant la maison du secret. Sur la carte Maison d’enfants, sur place gîte à louer pour groupe. Longeons la maison traversons le parking sur la gauche nous trouvons des marches creusé dans le rocher permettant d’atteindre le bord. Nous avons une vue magnifique sur la ville, la vallée, le plateau de Charlannes.
 [Grandeur, splendeur, faste, élégance...
Tous ces mots qualifient La Bourboule de la Belle Epoque comme l’architecture la représente.


Charlannes
Façade de la boulangerie Rozier, cariatides de l´hôtel de ville, les Grands Thermes de style néo-byzantin et de nombreux anciens palaces caractéristiques de cette architecture. L’histoire de la station thermale de LA BOURBOULE érigée en commune en 1875 dépend surtout de la richesse en eaux de son patrimoine volcanique. "BORVO", dieu celte des sources, d'où le verbe bourbouler (=bouillonner), serait à l’origine du nom de la ville.  Une certitude dans le mystère de ses origines : elle est "Fille de MURAT-LE-QUAIRE", une place forte villageoise surplombant la vallée de la Dordogne. LA BOURBOULE n’était alors qu’un hameau inondé par d’abondantes sources, jaillissant au pied de la faille de la Roche des Fées. http://www.ville-labourboule.com/decouvrir/bb/118-histoire-et-patrimoine.html] Traversons de nouveau le parking et prenons le sentier face à nous en direction de la roche des Fées (balisage vert & jaune). Des bas reliefs aux forment féeriques représentants de petits lutins nous guide jusqu’à la roche des Fées au pied desquelles jaillis les eaux ayant rendu célèbre la ville thermale de la Bourboule. Nous avons une belle vue sur la Vallée aux pieds de Murat le Quaire et jusqu’à la Banne D’Ordanche et une partie du Sancy. 

Un sentier permet de poursuivre notre itinéraire en contournant la montagne (balisage vert et jaune.) Après un virage nous rencontrons un chemin formant Té, si l’on prend à droite nous retournons à la Bourboule. Poursuivons le balisage vert en prenant la branche de gauche vers Murat le Quaire. (Pas de pancartes.) Le chemin débouche dans le hameau de la Farge ou du Quaire, je ne sais trop, ce sont pour moi les faubourgs de La Bourboule. Prenons la rue du Quaire et traversons la ligne de chemin de fer la rue tourne sur la gauche nous abandonnons le balisage vert pour suivre sur la gauche, le balisage bleu nous indiquant Murat le Quaire à 2km. Longeons la ligne SNCF par le chemin de Vergne Noire. La route tourne sur la gauche et traverse la ligne SNCF. Nous quittons la route et prenons le chemin sur la droite le long d’un ruisseau (au printemps) balisage bleu. Le chemin fait fourche nous prenons la branche de gauche, de chemin nous passons à bitume et débouchons dans un hameau de trois ou quatre maisons. Nous prenons à droite balisage bleu, la rue grimpe et débouche route de la Bourboule (D 88) en plein virage sans visibilité que nous prenons à gauche. La route grimpe fortement nous entrons dans Murat le Quaire [Un village typique du Massif du Sancy avec ses 

toits de lauzes, surplombant la Bourboule et la Vallée de la Haute Dordogne. Au dessus, le piton volcanique de la Banne d'Ordanche veille sur le village. Dominé par un château-fort au Moyen Âge, le site a eu très tôt une importance défensive, servant de verrou à l'entrée de la vallée. Village pauvre et rural jusqu'au XIXe siècle, c'est le thermalisme qui se développe aux Bains aujourd'hui, Le Mont-Dore, puis à La Bourboule qui l'ouvre sur l'extérieur.
Aujourd'hui, c'est une commune péri-urbanisée, qui vit essentiellement du tourisme. Wikipédia] Nous prenons sur la gauche la rue de la Fourniale qui fait fourche presque tout de suite et prenons
Avec le brouillard et la neige seul les
la route des cerisiers sur la droite. A la fourche suivante nous prenons à gauche la rue des Jonquilles toujours balisage bleu. Nous débouchons au cœur du village prenons à droite comme la pancarte nous l’indique pour voir le panorama et les trois pierres de l’ancien château. [A 1050 mètres d'altitude, le village de Murat le Quaire domine la vallée de la Haute Dordogne et offre un point de vue remarquable sur le Massif du Sancy, point culminant du Massif Central. Au pays de Toinette et de Julien vous découvrirez des paysages grandioses au cœur d'une chaîne volcanique unique en Europe. Dominé par un château-fort au Moyen-âge, la ville eut 
plaques émaillées donnent une idée du paysage
très tôt une importance défensive, servant de verrou à l'entrée de la vallée. Village pauvre et rural jusqu'au XIXème siècle, c'est le thermalisme qui se développa aux Bains (Le Mont-Dore), puis à La Bourboule qui l'ouvrit sur l'extérieur. Par les petites rues nous débouchons rue des tilleuils. Et entrons sur cette pointe de rocher surplombant la Bourboule, ou il s’y trouve les trois pierres et un pan de mur de l’ancienne forteresse, mais une vue, une vue que les dépliants publicitaire ne se trompe pas en nous les ventant. Enfin moi j’ai eu la neige et le Brouillard. Je 
repasserais pour le paysage…d’où la photo avec la table d’orientation. J’aurais dû voir tout ce qui est écrit. Je le verrais, vous le verrez, dans une autre rando celle intitulée la Banne d’Ordanche…

Sur ce premier promontoire nous pouvons lire [qu’a partir du Xe siècle les seigneurs guerriers, ont occupé les positions élevées dominant la vallée de la Haute Dordogne pour y ériger leur château. Murat Harus Altus fut jusqu’en 1875 le chef lieu du chétif hameau de La Bourboule.
Cette roche supportait un château de 50 à 60 m. En 1304 il était déjà délabré. Il fut malgré tout reconstruit. En 1624 une partie du rocher ou cil
 est bâti s’effondre , d’après la plaque émaillée de ‘’Volvique’’ ( dû moins je l’espère) je n’ai pas plus de renseignements.] Revenons sur nos pas, reprenons la rue des Tilleuls sur la droite, traversons la D 219 (route des planches ou de Clermont elle change de nom en ville) faisons le tour de l’église. Nous trouvons de nombreux panneaux d’informations En remontant la D609 décevant des hameaux sur le flanc de la montagne nous pouvons rejoindre la Banne d’Ordanche qui se trouve à 4 km, le Lac Guérry à 8 km je ne vois plus le balisage. Je remonte la D 609 (route de la Banne d’Ordanche) balisage vert, après le cimetière nous trouvons des escaliers permettant de rejoindre un promontoire qui normalement doit nous éblouir de beauté. Avec le brouillard et la neige je ne vois pas plus loin que l’église. Lorsque je ferrais la ‘’Banne’’ je me rendrais compte que c’est beau. Je redescends, poursuis la route, nous passons devant un camping. Sur la gauche je ne me rends pas au troisième point de vue. Dans un virage la route fait fourche nous quittons la départementale pour prendre sur la droite la rue des Couder (elle coupe le virage) et dessert quelques maisons et campings balisage vert. Nous arrivons dans le haut de Murat 


devant l’étang du Pré Cohadon, nous abandonnons le balisage vert ou nous trouvons des panneaux d’informations ; le champ haut à 100m, La Bourboule à 2,5 km. Sur la droite le panneau nous indique le lac Guéry à 7, la banne à 3,5 et La Bataille à 0,8km, je prend à droite  et longe l’étang bordé d’un parcours de santé. Sur la droite la route. En bout du lac nous arrivons à une intersection de chemin avec des panneaux d’informations. Je quitte le chemin poursuivant la route en direction de la ‘’Banne, et du lac Guéry’’ pour prendre sur la droite le chemin traversant la route et se dirigeant vers le lieu dit La Bataille.  La route descend (la Bourboule est à 2,5 km, Murat est à 1,7, le Pessy 0,6). Nous prenons sur la droite le chemin de la bataille (face à nous Charlannes) En arrivant au village de Pessy le chemin change de nom et devient ‘’des Grailleux’’. Au village du Pessy, nous traversons la D 219 et prenons en face la 

rue de la fontaine. Ensuite ce n’est pas très clair je suis la direction de La Bourboule. Le balisage n’est pas très bien fait et j’ai un doute. (Ne pensant pas me promener durant cette semaine, je n’ai que mon GPS dont la carte numérique est un peu vieille.) Le balisage fait fourche si l’on prend à droite nous retournons à Murat. Il faut faire dans les rues un esse gauche –droite (la rue sans issu ne débouche pas comme je le croyais sur un sentier, mais dans la cour d’une maison.) Nous retrouvons le balisage passons devant l’affreux Collège que j’ai pris pour un immeuble (construction en béton posé comme une verrue sur un promontoire. On l’aperçoit de partout. Nous quittons le route dans un virage et prenons un chemin de terre sur la gauche, il serpente tout en descendant nous longeons la ligne SNCF et débouchons rue Godefroy de Bouillon. Un escalier nous permet d’éviter le virage de la rue et nous fait déboucher au niveau du pont.  Passons dessous prenons sur la droite la rue Bouchaudy, puis à gauche la rue de la place Bouchaudy, puis à droite le Boulevard Georges Clémenceau.
   



 
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