Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 1044 Saint Pierre des Champs - Hameau de Creuille
Carte IGN Trace GPX et topo sans commentaires Trace Randogps
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mercredi 27 juin 2018
mercredi 27 juin 2018
km
Temps Arret V/d V/g Dénivellation alti max
23,4
5:00 1:30 4,7 3,6 793+ 529
Mon hôtesse me montre un chemin longeant la rivière et permettant de
rejoindre le village sans prendre la route. Au village on longe un ruisseau presque à sec rempli de roseaux et l'on trouve un guet en ciment submersible pour traverser, nous nous trouvons coté mairie et
église je remonte un peu par la rue de la Mairie, puis la rue de l'église et enfin à droite la petite rue de l'horloge pour prendre sur la droite la rue du Cers (D212) toujours à droite ensuite la première rue à gauche (rue des aires) menant dans la ville haute à la recherche du Gr sans suivre la
départementale, au carrefour prenons l'impasse du château en bout je trouve le chemin des Migraniers que je prends à droite, il est en galets se dirigeant dans
la bonne direction. Le Gr emprunte la route bitumée s’appelant : Lieu dit le château
qui devient après les virage chemin des Oliviers menant au hameau des
Joffres, pour un départ nous grimpons fortement. Nous arrivons à une fourche et prenons à gauche en laissant la route de droite faire le tour du hameau. Nous arrivons à une seconde fourche, nous prenons à droite. La route
devient chemin carrossable, on serpente toujours en montant dans la
garrigue, le paysage est magnifique, poursuivons notre chemin qui devient un peu
moins carrossable. A la fourche nous découvrons une
borne kilométrique comme on en trouvait sur les Nationales (au temps ou
les nationales existaient et voulaient dire quelque chose au niveau entretien et sécurité.) Il
semblerait que nous soyons qu'à 29 km de Barcelone ce qui me semble bien proche, et à plus de
un chemin qui se voit à peine dans les herbes, cela manque un peu de balise nous continuons tout droit un chemin perpendiculaire à la pente avec de profondes ornières, en haut nous sommes au Mont Major le chemin devient sentier tourne sur la gauche et nous faisons la ligne des crêtes de Serre de Blane on à une vue magnifique sur les deux vallées de cette arrête rocheuse. Le chemin monte et descend en suivant le relief de la montagne et certaine descente sont digne d'un grand massif alpin (pardon Pyrénéens). Laissons le balisage jaune partir sur la gauche et continuons tout droit notre chemin sur l'arrête de la
montagne. D'un coté on a une vue sur la montagne noir de l'autre jusqu'au Pyrénées.
Nous passons la chapelle refuge Saint Martin qui n'est plus une ruine mais ressemble à un abri de berger. Le sentier se poursuis en suivant les arrêtes douces du relief, en contre bas sur la droite, une fermer ou une chambre d'hôte totalement isolé. Nous longeons les clôtures des prairies d'alpages. Nous descendons sur Villerouge Termenes ou l'on devine un beau château fort. Nous débouchons sur un chemin formant Té et nous avons un panneau d'information nous indiquant que nous venons de la chapelle Saint Martin et de Saint pierre des Champs et de l'autre coté on se dirige vers Villerouge Termenès. Son nom provient certainement de ses terres rouge que nous apercevons tout autour du village [Des terres rouges oxidées
[Villerouge-Termenès a préservé en son centre le château de l'archevêque de Narbonne, seigneur du lieu au XIVe siècle. Aujourd'hui, le corps du château abrite une exposition permanente divisée en trois registres : au rez-de-chaussée, Bélibaste ; au premier étage, l'archevêque de Narbonne ; au deuxième étage, le château et son village. wikipédia.] je quitte le GR pour me diriger à vu vers le château en prenant le passage du Rec sur la droite, puis à gauche la rue passant devant le château.
Il faut prêter attention au balisage.
Nous rencontrons une autre branche du 36 b rejoignant La Roche de Fa par Palairac et Maisons. Il vaut mieux ne pas se tromper, il contourne Ternes d'assez loin. Dans le village après avoir fait un détour pour voir le château, nous traversons le ruisseau, ne pas prendre sur la gauche les marques rouge et blanche. Il faut prendre à droite chemin de la Bassa passer devant la taverne. Ensuite on doit certainement sortir du village par un chemin très herbeux dans une prairie. Pourquoi certainement ? Parce que j'ai loupé l'embranchement et que je me suis retrouvé sur l'autre branche du Gr 36 qui emprunte la D 613 c'est en franchissant le pont au dessus de la rivière que je me suis aperçu que je n'étais pas sur le bon
chemin. (Sur la carte il est également noté 36 B dans mon topo je le nomme 36 A j'ai du lire cela sur un panneau d'information. Un peu confus ce GR 36 le A existe bien mais sur la carte il part de Termes. Les informations de la carte seraient elles fausse, ou y a t-il eu erreur de pancarte. Par le plus grand des hasards le GR 36B ne continuait-il pas tout droit pour se terminer sur la branche principale du 36 après Monthoumet et le 36 A ne partirait- il pas de Villerouge pour se terminer on ne sait trop ou car sur la carte on le perd au raccord des cartes vers le château de Durfort ou il devient 36 sans acjontion) Demi tour, j'ai trouvé un chemin très herbeux me faisant rattraper mon tracé. Après l'herbe des prairie nous avons un sentier à flanc de colline qui grimpe pas mal au sommet de Pech Rigaud, nous redescendons de l'autre coté et débouchons sur un large chemin formant Té en fond de vallée que nous prenons à gauche, contournons la chapelle et nous restons dans ce fond de vallée normalement en suivant un ruisseau, ou
un fossé. Fin juin cela ressemble plus à un fossé à sec, qu'à un ruisseau. Le chemin fait fourche laissons la branche de droite montant dans un champ et continuons tout droit. Nous passons plusieurs ponts au dessus d'un lit totalement sec. Il est midi passé je vois sur la carte un plan d'eau, je me dis il ne serait pas mal vu la chaleur que je pousse jusqu'au lac, manger les pieds dans l'eau me rafraichirait, voir même me baigner. Après les ruines d'une ancienne bergerie le chemin tourne brusquement à gauche nous descendons sur un chemin avec des ornières. Sur ce chemin aucune erreur possible nous sommes au fond d'un canyon creusé par la rivière il y a certainement longtemps, lorsqu'il y avait beaucoup
d'eau. Il faut de nouveau traverser la rivière (à sec) mais cette fois à gué. Je me dis cela ne doit pas être facile lorsqu'il y a de l'eau, on ne trouve pas vraiment de grosses pierres pour rester au sec. je grimpe en face dans la foret. Pas longtemps, depuis le temps que je marche je devrais être au lac. En effet le passage à guet est un bout du lac, qui comme la rivière est à sec. Lorsque j'ai dis à mes hôtes que je voulais manger et me rafraichir dans ce lac de barrage cela les a fait bien rigoler et mon dit, c'est une honte d'avoir laissé le lac sur les cartes. (Je n'ai rien trouvé sur internet. Mon hôte me dit qu'il aurait été construit dans les années 60, une époque ou les saisons étaient plus marquées et les printemps beaucoup plus pluvieux
qu'aujourd'hui. Ce barrage construits dans une gorge calcaire perd son eau naturellement par infiltration. Alors aujourd’hui, ou tout est déréglé et qu'il pleut de moins en moins, le barrage ce vide de plus en plus tôt dans sa partie supérieur.) Je redescends vers le barrage et remonte un peu le lit de la rivière à sec pour trouver un peu d'ombre parmi les énormes blocs de rochers au milieu du lit, et cherche un emplacement plan dans les galets pour manger. Après une petite sieste je reprends le GR qui grimpe dans un bois, c'est dur, très dur, nous débouchons sur un une allée forestière que l'on prend à droite il faut franchir une porte en fil électrifié, nous sommes maintenant en plein soleil. Ne vous endormez pas au soleil sur se beau chemin, pratiquement au sommet nous arrivons à une fourche à trois dents, nous prenons à droite et changeons de vallée. Il serpente à flanc de colline sous couvert d'un bois me procurant de l'ombre, on à une belle vue sur les serres de Blanes, montagne que nous avons parcouru ce matin, pour une fois nous sommes dans une foret qui nous abrite de soleil. Dans la soirée je saurais qu'il à fait une température d'environ 32
ou 34. Quelques grimpettes sont rudes, entre les arbres, en fond d'une vallée, j'aperçois quelques maisons et leur organisations me disent que c'est mon gîte d'un soir. En regardant la carte ce n'est pas pas possible je n'ai même pas ce vallon, ce qui me dit que ce village est à plus de trois kilomètres de ma trace. Mes extraies de cartes ne fond des parcelles de trois à cinq kilomètres. A pied il ne faut pas se tromper de plus de cinq kilomètres. Cinq kilomètres c'est un peut plus d'une heure de marche, en montagne beaucoup plus suivant les dénivelés que vous aurez à faire et dans le cas ou vous ne pourrez pas rattraper votre trace par un chemin de traverse, c'est deux heures de perdues par un demi tour pour retrouver la trace. Faut bien avouez que sur les GR lorsque la "la carte est mis à jour" il est rare de ce perdre, on cherche parfois un
peu plus en ville, ou lorsque les balises sont mal placées. Et pourtant ce sera bien là. Je poursuis mon chemin à flanc de colline. Nous changeons de versant par une grande boucle en bout d'un éperon et l'on remonte vers le col Caroun. Par moment nous avons des points de vues sur la montagne et jusqu'à la montagne noir. Au loin nous apercevons des chevaux et des clôtures Termes approche. Nous débouchons sur la D 40 que nous prenons à droite (comme sur la partie gauche nous trouvons de grands arbres le long de la route, nous pouvons marcher à l'ombre. Dans un virage de la route nous arrivons au Col Caroun. Ma trace me fait quitter le bitume et face à moi une fourche entourant un môle clôturé. En sa partie
supérieur l'on voit paître quelques chevaux. Ma trace et le GR prennent le chemin de gauche et une pancarte, grande pancarte en bois peinte mais un peut défraichi, me dit que mon gîte est en bout du chemin de droite. Que faire ? je n'ai pas situé mon gîte sur la droite et cela ne m'arrange pas ne voyant pas encore Termes. Je ne vois même pas les ruines de son château. Je vérifie les numéros de téléphone, c'est bien mon gîte, il se trouve à 4 km en amont du village. Je me souviens que j'avais eu du mal à situer le lieu sur la carte. Quelque chose me dit qu'il faut que je suive l'information de la pancarte et pas ma trace. Je prends le chemin de droite. C'est un
large chemin carrossable qui descend. Entre les arbres j'aperçois les quelques maisons en fond d'un vallon. j'espère que c'est vraiment là. Le chemin descend fortement à flanc de montagne. Nous arrivons au col de Prat le chemin fait fourche nous poursuivons notre chemin en laissant ceux de droite et de gauche. Le chemin serpente et part très loin sur la gauche, cela me rassure, si je parts sur la gauche je me rapproche de Termes. J'espère que c'est bien là parce que le chemin me semble bien long, je suis fatigué et j'espère ne pas à avoir à remonter tout cela aujourd'hui, mais cela m'inquiète pour demain... Demain longue journée et quatre kilomètres de plus. Nous arrivons à un
large virage en épingle à cheveux sur la droite, je refais le chemin que je viens de parcourir un niveau plus bas. On rencontre des chemins à droite et à gauche quelques chose me dit qu'il ne faut pas les prendre. Encore un virage à angle aigu sur la gauche et un peut plus loin sur la droite, j'arrive enfin au hameau, plusieurs chemins face à moi desservent les maisons et les granges, rien n'est bien défini, les maisons sont réparties dans la garrigue, sans clôture. J'ai l'impression qu'il y a plus de granges avec du matériel qui traine autour, que de maisons habitées. Je choisi au hasard un chemin qui ressemble plus à un sentier, contourne quelques machines rouillées,
des tuyaux poser au sol. Ici pas d'électricité sans panneau solaire, et l'eau provient d'une source et ses gros tuyaux amène l'eau au maisons, qui ici on l'eau à l'évier (ce n'est pas comme au Bourdils voir https://randosacaudos.blogspot.com/2018/07/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-7.html) La maisons me semble être une grange, je me détourne pour me diriger vers une autre un peut plus haut. En effet elle est habitée mais ce n'est pas ici, la chambre d'hôte c'est l'autre celle que j'ai pris pour une grange. En faisant le tour de la maison je me rends compte que la l'habitation était de l'autre coté.
Le bief amenant l'eau au moulin |
Saint Pierre des Champs |
800 km de Paris ce qui est tout a fait possible, et la maison isolée de
la soulane est à 400. Laissons le
chemin de droite et continuons notre route toute droite qui grimpe
encore. Nous arrivons à une nouvelle fourche nous prenons à droite le long des clôtures. Ce chemin est bordé de chênes vert donnant un peu d'ombre en ce chaud matin. Après un beau virage, nous débouchons sur un chemin formant Té, Nous sommes au pas de l'Anesse et prenons la branche de
gauche nous continuons de grimper, on est à flanc de colline. le chemin est caillouteux avec des ornières. Dans un virage aumoment ou nous
remontons, nous coupons
un chemin qui se voit à peine dans les herbes, cela manque un peu de balise nous continuons tout droit un chemin perpendiculaire à la pente avec de profondes ornières, en haut nous sommes au Mont Major le chemin devient sentier tourne sur la gauche et nous faisons la ligne des crêtes de Serre de Blane on à une vue magnifique sur les deux vallées de cette arrête rocheuse. Le chemin monte et descend en suivant le relief de la montagne et certaine descente sont digne d'un grand massif alpin (pardon Pyrénéens). Laissons le balisage jaune partir sur la gauche et continuons tout droit notre chemin sur l'arrête de la
montagne. D'un coté on a une vue sur la montagne noir de l'autre jusqu'au Pyrénées.
Paysage sur l'arrête de la Serre de Blanes
Nous passons la chapelle refuge Saint Martin qui n'est plus une ruine mais ressemble à un abri de berger. Le sentier se poursuis en suivant les arrêtes douces du relief, en contre bas sur la droite, une fermer ou une chambre d'hôte totalement isolé. Nous longeons les clôtures des prairies d'alpages. Nous descendons sur Villerouge Termenes ou l'on devine un beau château fort. Nous débouchons sur un chemin formant Té et nous avons un panneau d'information nous indiquant que nous venons de la chapelle Saint Martin et de Saint pierre des Champs et de l'autre coté on se dirige vers Villerouge Termenès. Son nom provient certainement de ses terres rouge que nous apercevons tout autour du village [Des terres rouges oxidées
par le fer et sucrée par les aphyllantes de Montpellier (œillet bleu de Montpellier est une espèce de plante méditerranéenne. C'est l'une des plantes les plus caractéristiques des garrigues de la Méditerranée
occidentale, où elle fleurit abondamment au printemps, formant des
touffes rappelant les joncs. Les fleurs sont bleues, très rarement
blanches. wikipédia]
On aperçoit également deux tours tronquées ce sont peut être d'ancien moulin, puisque notre sentier débouche sur le chemin des moulins. Nous entrons dans le village de[Villerouge-Termenès a préservé en son centre le château de l'archevêque de Narbonne, seigneur du lieu au XIVe siècle. Aujourd'hui, le corps du château abrite une exposition permanente divisée en trois registres : au rez-de-chaussée, Bélibaste ; au premier étage, l'archevêque de Narbonne ; au deuxième étage, le château et son village. wikipédia.] je quitte le GR pour me diriger à vu vers le château en prenant le passage du Rec sur la droite, puis à gauche la rue passant devant le château.
le château matérialise l'un des plus beaux exemples
d'architecture militaire des Corbières.se développant selon un plan quadrangulaire marqué par quatre fortes tours d'angle Profondément lié au destin du
dernier Parfait Cathare: Guilhem Bélibaste, brûlé vif en 1321 dans le
château. http://www.chateaudevillerouge.fr/ Les premières données du château remonte au début du XII ème siècle propriété de l'Archevêché de Narbonne. Symbole de la puissance ecclésiastique la construction présente une architecture militaire massive et imposante. les ailes Est et Ouest sont remodelées au XVIè et XVIIe siècles. Après la révolution le château est vendu comme bien national et une dizaine de familles se partage les lieux. Les familles l'occupèrent jusqu'à la fin des années 80. A cette date la commune rachète les parties privées et restaure le site entre 1991 et 1997. (panneau d'information)]
Un Parfais, (voir l'histoire des Cathares adresse blog) Philippe d'Alairac, vient visiter clandestinement un berger du nom de Balibaste et le convainc d'être instruit et initié dans cette nouvelle religion et en fait un Parfait. Le pays truffé d'espions, Balibaste et Alairac sont arrêté par l'inquisition, conduit à Carcassonne, et condamnés à être brulés. En
1321, Guilhem Bélibaste, dernier parfait cathare occitan y fut brûlé
vif. Sa mort signifia la fin de la religion cathare. (panneau d'information] Ici d'une part on peu se restaurer, au château et à la taverne,
et il y a des bus. Plutôt un bus ligne 7 NARBONNE -MOUTHOUMET - NARBONNE. Attention je n'ai trouvé qu'une ligne de bus qui passe que deux jours par semaine http://www.voyagesrubio.com/lignes Nous rencontrons une autre branche du 36 b rejoignant La Roche de Fa par Palairac et Maisons. Il vaut mieux ne pas se tromper, il contourne Ternes d'assez loin. Dans le village après avoir fait un détour pour voir le château, nous traversons le ruisseau, ne pas prendre sur la gauche les marques rouge et blanche. Il faut prendre à droite chemin de la Bassa passer devant la taverne. Ensuite on doit certainement sortir du village par un chemin très herbeux dans une prairie. Pourquoi certainement ? Parce que j'ai loupé l'embranchement et que je me suis retrouvé sur l'autre branche du Gr 36 qui emprunte la D 613 c'est en franchissant le pont au dessus de la rivière que je me suis aperçu que je n'étais pas sur le bon
chemin. (Sur la carte il est également noté 36 B dans mon topo je le nomme 36 A j'ai du lire cela sur un panneau d'information. Un peu confus ce GR 36 le A existe bien mais sur la carte il part de Termes. Les informations de la carte seraient elles fausse, ou y a t-il eu erreur de pancarte. Par le plus grand des hasards le GR 36B ne continuait-il pas tout droit pour se terminer sur la branche principale du 36 après Monthoumet et le 36 A ne partirait- il pas de Villerouge pour se terminer on ne sait trop ou car sur la carte on le perd au raccord des cartes vers le château de Durfort ou il devient 36 sans acjontion) Demi tour, j'ai trouvé un chemin très herbeux me faisant rattraper mon tracé. Après l'herbe des prairie nous avons un sentier à flanc de colline qui grimpe pas mal au sommet de Pech Rigaud, nous redescendons de l'autre coté et débouchons sur un large chemin formant Té en fond de vallée que nous prenons à gauche, contournons la chapelle et nous restons dans ce fond de vallée normalement en suivant un ruisseau, ou
un fossé. Fin juin cela ressemble plus à un fossé à sec, qu'à un ruisseau. Le chemin fait fourche laissons la branche de droite montant dans un champ et continuons tout droit. Nous passons plusieurs ponts au dessus d'un lit totalement sec. Il est midi passé je vois sur la carte un plan d'eau, je me dis il ne serait pas mal vu la chaleur que je pousse jusqu'au lac, manger les pieds dans l'eau me rafraichirait, voir même me baigner. Après les ruines d'une ancienne bergerie le chemin tourne brusquement à gauche nous descendons sur un chemin avec des ornières. Sur ce chemin aucune erreur possible nous sommes au fond d'un canyon creusé par la rivière il y a certainement longtemps, lorsqu'il y avait beaucoup
d'eau. Il faut de nouveau traverser la rivière (à sec) mais cette fois à gué. Je me dis cela ne doit pas être facile lorsqu'il y a de l'eau, on ne trouve pas vraiment de grosses pierres pour rester au sec. je grimpe en face dans la foret. Pas longtemps, depuis le temps que je marche je devrais être au lac. En effet le passage à guet est un bout du lac, qui comme la rivière est à sec. Lorsque j'ai dis à mes hôtes que je voulais manger et me rafraichir dans ce lac de barrage cela les a fait bien rigoler et mon dit, c'est une honte d'avoir laissé le lac sur les cartes. (Je n'ai rien trouvé sur internet. Mon hôte me dit qu'il aurait été construit dans les années 60, une époque ou les saisons étaient plus marquées et les printemps beaucoup plus pluvieux
Le lac |
ou la rivière |
ou 34. Quelques grimpettes sont rudes, entre les arbres, en fond d'une vallée, j'aperçois quelques maisons et leur organisations me disent que c'est mon gîte d'un soir. En regardant la carte ce n'est pas pas possible je n'ai même pas ce vallon, ce qui me dit que ce village est à plus de trois kilomètres de ma trace. Mes extraies de cartes ne fond des parcelles de trois à cinq kilomètres. A pied il ne faut pas se tromper de plus de cinq kilomètres. Cinq kilomètres c'est un peut plus d'une heure de marche, en montagne beaucoup plus suivant les dénivelés que vous aurez à faire et dans le cas ou vous ne pourrez pas rattraper votre trace par un chemin de traverse, c'est deux heures de perdues par un demi tour pour retrouver la trace. Faut bien avouez que sur les GR lorsque la "la carte est mis à jour" il est rare de ce perdre, on cherche parfois un
peu plus en ville, ou lorsque les balises sont mal placées. Et pourtant ce sera bien là. Je poursuis mon chemin à flanc de colline. Nous changeons de versant par une grande boucle en bout d'un éperon et l'on remonte vers le col Caroun. Par moment nous avons des points de vues sur la montagne et jusqu'à la montagne noir. Au loin nous apercevons des chevaux et des clôtures Termes approche. Nous débouchons sur la D 40 que nous prenons à droite (comme sur la partie gauche nous trouvons de grands arbres le long de la route, nous pouvons marcher à l'ombre. Dans un virage de la route nous arrivons au Col Caroun. Ma trace me fait quitter le bitume et face à moi une fourche entourant un môle clôturé. En sa partie
supérieur l'on voit paître quelques chevaux. Ma trace et le GR prennent le chemin de gauche et une pancarte, grande pancarte en bois peinte mais un peut défraichi, me dit que mon gîte est en bout du chemin de droite. Que faire ? je n'ai pas situé mon gîte sur la droite et cela ne m'arrange pas ne voyant pas encore Termes. Je ne vois même pas les ruines de son château. Je vérifie les numéros de téléphone, c'est bien mon gîte, il se trouve à 4 km en amont du village. Je me souviens que j'avais eu du mal à situer le lieu sur la carte. Quelque chose me dit qu'il faut que je suive l'information de la pancarte et pas ma trace. Je prends le chemin de droite. C'est un
large chemin carrossable qui descend. Entre les arbres j'aperçois les quelques maisons en fond d'un vallon. j'espère que c'est vraiment là. Le chemin descend fortement à flanc de montagne. Nous arrivons au col de Prat le chemin fait fourche nous poursuivons notre chemin en laissant ceux de droite et de gauche. Le chemin serpente et part très loin sur la gauche, cela me rassure, si je parts sur la gauche je me rapproche de Termes. J'espère que c'est bien là parce que le chemin me semble bien long, je suis fatigué et j'espère ne pas à avoir à remonter tout cela aujourd'hui, mais cela m'inquiète pour demain... Demain longue journée et quatre kilomètres de plus. Nous arrivons à un
large virage en épingle à cheveux sur la droite, je refais le chemin que je viens de parcourir un niveau plus bas. On rencontre des chemins à droite et à gauche quelques chose me dit qu'il ne faut pas les prendre. Encore un virage à angle aigu sur la gauche et un peut plus loin sur la droite, j'arrive enfin au hameau, plusieurs chemins face à moi desservent les maisons et les granges, rien n'est bien défini, les maisons sont réparties dans la garrigue, sans clôture. J'ai l'impression qu'il y a plus de granges avec du matériel qui traine autour, que de maisons habitées. Je choisi au hasard un chemin qui ressemble plus à un sentier, contourne quelques machines rouillées,
des tuyaux poser au sol. Ici pas d'électricité sans panneau solaire, et l'eau provient d'une source et ses gros tuyaux amène l'eau au maisons, qui ici on l'eau à l'évier (ce n'est pas comme au Bourdils voir https://randosacaudos.blogspot.com/2018/07/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-7.html) La maisons me semble être une grange, je me détourne pour me diriger vers une autre un peut plus haut. En effet elle est habitée mais ce n'est pas ici, la chambre d'hôte c'est l'autre celle que j'ai pris pour une grange. En faisant le tour de la maison je me rends compte que la l'habitation était de l'autre coté.
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