dimanche 2 septembre 2018

Randonnée Le Plus Loin Possible 2018 - GR 36 Etape 1042 Carcassonne - Pradelles en Val


Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 1042 Carcassonne - Pradelles en val

  
  Carte IGN    Trace GPX et topo sans commentaires    Trace Randogps     
 
Le code mobile de cette randonnée est b311416
 
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lundi 25 juin 2018

Carcassonne - Pradelles en Val

Km     Temps     Arret     V/d    V/g     Déniv      alt max
28,5    5h55       1:10       4,8      4         876 +        412

Mon hôtel étant proche de la cité et du GR 36, pour la dernière fois je traverse la citadelle. A 8:30 du matin quelle changement, les rues sont vides. Quelques photos après, j'ai perdu le balisage et sans suivre le tracé du GPS, je me retrouve devant la porte principale. Après les 5,7 km d'hier cela ne me pose pas de problèmes pour me retrouver. (Pour plus de photo sur Carcassonne adresse blog) A la porte principale le Gr 36 prend à droite, longe le cimetière, attention sur cette route peu large, un passage pour piéton protégé par des poteaux se trouve sur la gauche, à la fourche nous 
prenons la rue (chemin )de Sainte Croix sur la gauche, balisage jaune et orange en plus du Gr. C'est une voie sans issu. Nous marchons dans les vignes, passons sous la rocade sud et prenons après le pont tout de suite à gauche le chemin bitumé de la porte de fer, nous grimpons un peu et suivons un moment la rocade, la route dessert quelques maisons. La route fait fourche et nous continuons tout droit. Nous arrivons à ce qui s’appelle la porte de fer, nous poursuivons cette route jusqu'à une belle propriétés avec une tour, le chemin tourne sur la droite. De bitume nous passons à chemin carrossable dans la garigue et des bois. Nous arrivons rapidement dans un hameau, tout neuf "Le domaine de Marseillens" par le chemin des Bartavelles. A la route formant Té avec la notre, face à un abri de bus, nous prenons à droite (route de la Cavayère). Cette partie de n'est pas très intéressante. Une piste cyclable nous permet de marcher en toute sécurité en bordure de la route. Nous passons au dessus de l'autoroute, tout de suite après nous prenons à gauche en direction du lac de Cavayère. Nous sommes sur le chemin de bazalac. Nous passons quelques 
maisons isolées, et au deuxième rond point, nous prenons sur la gauche la route longeant le parking, attention à ne pas vous laisser embarquer par la route qui descend, tout de suite après la sortie nous prenons sur la gauche un sentier accessible par un passage entre deux barrières délimitant le parking. On se dirige vers la plage, par un petit chemin sous les pins nous poursuivons sur la droite, longeons le lac par la route menant au centre de Kayak. Nous longeons un petit bras, et à son extrémité nous passons au dessus de la rivière de Bazalac, nous prenons à gauche, longeons, par l'autre rive ce même bras d'eau, puis un petit recoin utilisé par un centre aquatique. Le Gr abandonne la piste faisant le tour du lac, pour prendre en angle aigu un chemin tournant à droite et passons deux bornes rondes qui un jour devaient fermer l'accès. On trouve beaucoup de vert sur la carte, mais ne vous y trompez pas ce n'est pas de la foret, mais de la garrigue, et de petits pins, alors lorsqu'il y a du soleil sa tape toute la journée. Nous arrivons à Montirat que nous contournons, par le chemin du moulin. Laissons sur la droite la route du Lieu dit Du Barry prenons sur la droite la D 403 et à la fourche laissons sur la droite la route du lieu dit la Bienfaite et prenons la route de gauche le chemin de la madone à la seconde fourche quelques centaine de mètres plus loin sur la droite, nous arrivons à quatre maisons s'appelant "La Madeleine", le sentier fait des esses pour partir face à une grosse porte en fer sur la gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite et grimpons dans un bois. Nous passons un pont avec de l'eau stagnante fin juin et nous grimpons dans les cailloux. Nous passons devant ce qui s'appelle le dolmen, mais il ne reste que les roches plantées dans le sol et un morceau de dalle couché sur un coté. [Ce monument est une fosse de 5 m de développé. Les supports du Dolmen sont en grès carcassiens (Eocien Lutétien "ère tertière) et la dalle centrale en calcaire nummulithique (Plus ancien que l'ère Tertiaire). Des relevés ont été fait en 1921 ; la "fosse 1,20 * 3m Table 2,70 *2,80m épaisseur 0,30m (Panneau d'info)]
    
 Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Le Gr à été déviée, il devait prendre sur la gauche mais un panneau nous en interdit l’accès, le chemin étant impraticable. nous contournons la montagne par la droite (Lorsque l'on regarde la carte, on se rend compte que l'on devait passer sur un terrain pentu, peut être que celui ci est devenue trop friable ou bien comme je l'ai trouvé quelques jours plus tard le propriétaire du lieu en à simplement interdit le passage.) Après un long virage sur la gauche, nous débouchons sur une petite route goudronnée que nous prenons à gauche. Je coupe l'un des grands virages en suivant le chemin initiatique sur la culture de la vigne et nous arrivons au charmant village de Monze. Empruntons le pont  du XIIIe au dessus de la Bretonne, plutôt d'un filet d'eau.
Après le pont poursuivons la rue, puis prenons sur la gauche la rue Alicante  puis à droite la rue du chardonnay en passant sous la tour de l'horloge, passons devant l'église, nous débouchons rue des Corbières (D3) que nous prenons à gauche. Laissons une rue et prenons la seconde sur la droite juste avant l'entrepôt de la cave coopérative c'est la rue du lieu dit Lartie Sud. (La carte est fausse le GR continu sur la départementale.)


           
                                                              le filet d'eau La Bretonne



   
On ce dirige vers la montagne et

rattrapons le tracé de la carte en prenant un chemin sur la droite. Le chemin fait une petite fourche, restons sur ce large chemin de cailloux. Nous montons dans les bois et la garrigue, attention le chemin n'est pas facile, est très caillouteux on se croirait dans les Alpes traversant un pierrier, sauf qu'ici nous n'avons pas le vide d'un ravin, il faut juste faire attention à ne pas se tordre les chevilles.
 On est dans la montagne d’Alaric [La  montagne
  d'Alaric, est un pli anticlinal orienté est-ouest. Cette déformation a été occasionnée, lors de la formation des Pyrénées durant le Tertiaire, par le rapprochement de la plaque ibérique vers  le continent européen. Ce pli en forme de voûte est constitué de
 strates calcaires et gréseuses. Son point culminant est le signal d'Alaric à 600 m. Son versant nord est un terroir viticole appelé vignoble de la Montagne d'Alaric. Son nom a pour origine l'installation en 412 dans le Sud-Ouest de la France actuelle des Wisigoths, un peuple germanique qui fonda dans la région un royaume avec Toulouse pour capitale. 

Leur roi Athaulf (410-415) — beau-frère et successeur du roi Alaric (395-410) y fit construire un puissant fort. 
La légende raconte que le tombeau du roi Alaric se trouverait dans une grotte creusée dans la montagne. Alaric étant mort en 410 dans le sud de l'Italie, il est possible que ce soit plutôt le roi Alaric II, qui régna de 484 à 507 et qui fut le dernier monarque du royaume wisigoth de Toulouse. 
La montagne d'Alaric est constituée de deux barres rocheuses. La principale, est-ouest, d'une longueur d'une quinzaine de kilomètres, 
est bordée au nord par la plaine alluviale de l'Aude qui la sépare de la montagne Noire. L'altitude de la crête va croissant d'ouest en est, pour culminer à l'extrémité est, au signal d'Alaric dont l'altitude est de 600,3 m. De là part la seconde barre rocheuse, de direction nord-est sud-ouest, bordée par la plaine alluviale de l'Orbieu, d'une longueur d'environ six kilomètres, et coupée en son milieu par le ruisseau des Mattes. Son sol calcaire et son climat très sec ofrent une multitude de plantes de la guarrigue. (Plusde 300 espèces sont recensées sur le site.)
Le Trésor d’Alaric
Jaime bien les légendes, et les prendre comme telles sans vouloir à tout pris en vérifier l’authenticité. Si une légende devient vraie cela devient un fait d’histoire. Je vous la livre t’elle que je l’ai récupéré sur le site. Je vous laisse aller sur ce dernier  pour lire les improbabilités de ce que l'on racompte.
La roi Alaric II aurait été tué lors des guerres contre les Francs, ce qui est historiquement attesté. Mais ce qui relève de la légende, c'est qu'il aurait été enterré avec ses trésors, quelque part dans l'Aude.
Ces trésors auraient comporté entre autre ceux que son prédécesseur Alaric premier, aurait volés à Rome, lors de la conquête d'Italie. C'est-à-dire les trésors que les Romains avaient eux-mêmes subtilisé aux Hébreux (en 70 de notre ère) lors du sac de Jérusalem: le chandelier à sept branches, immortalisé sur l'Arc de Triomphe de Titus à Rome. 
On raconte que le roi Alaric II aurait été assailli par les Francs dans le château de Miramont. Une fois mort, il aurait été enterré dans la Montagne, avec tous ses trésors. D'après les traditions locales, ce 
serait dans une grotte appelée le Trou des Canards (nom singulièrement dénué de noblesse pour une sépulture royale, je vous l'accorde). Selon certains habitants du pays, les Nazis (Anenherbe) auraient d'ailleurs effectué des recherches à cet endroit, en tentant de pomper l'eau que renfermait la cavité. il auraient pour ce faire 

réquisitionné "toutes les pompes à eau du pays"
Alaric II est bien tué à Vouillé. L'armée wisigothe, poursuivie par les Francs, gagne Toulouse, puis Carcassonne. Une escorte 

wisigothe, isolée du reste de l'armée, doit se replier sur Saissac (dans la Montagne Noire) où elle entreprit d'enfouir le Trésor. Théodogothe, l'épouse de feu Alaric II, assiste en personne à l'enfouissement du précieux butin. Mais elle tombe alors morte, frappée par la malédiction du trésor. http://polymathe.over-blog.com/article-15356099.html
J’ai trouvé également ses textes et cela me fait rebondir sur mon futur périple qui passera à Renne le Château. J’avais lu un roman sur cette histoire, et cela m’avais beaucoup plus.
Le " trésor d'Alaric " a fait couler beaucoup d'encre et alimente toujours de nombreuses légendes, certains chercheurs n'ayant pas renoncés à le retrouver.

L' histoire veut que ce trésor de " Salomon ", tombé au pouvoir des Romains après la prise de Jérusalem en 72 par Titus, soit enlevé par Alaric1er lors du pillage de Rome en 410. Il est certain que c'était alors la plus précieuse collection d'objets d'art qui existait en Occident. On y rencontrait, avec les dépouilles de la capitale du monde ( notamment le chandelier à 7 branches et le … Graal ! ), tout ce que les Goths avaient ramassé au cours des formidables razzias opérées par eux dans les plus 

belles et les plus riches contrées. 
En ce qui concerne sa localisation
Selon l'historien byzantin Procope les Wisigoths ont eu largement le temps de transférer ce Trésor de Toulouse ( capitale des Wisigoths ) à Carcassonne ( place forte devant les murs de laquelle Clovis échouât ) puisque la prise de Toulouse eut lieu 1 an après la bataille de Vouillé. Il est néanmoins possible que les francs aient récupéré dans l'ancienne capitale Wisigothique un butin ordinaire, qualifié de trésor par Grégoire de Tours.
 
Les légendes situent le trésor dans plusieurs endroits tel le grand puits de la cité de Carcassonne, la montagne d'Alaric, Montségur ( avant que les Cathares, assiégés ne parviennent à le faire sortir et à l' enfouir dans une grotte de haute Ariège )
L'affaire du trésor d'Alaric rebondit vers 1900
D'origine modeste et sans revenus connus, l'abbé Béranger Saunière, curé du minuscule village de Rennes le Château, dépensa dans les années 1890/1910 des sommes colossales, réalisant des constructions somptueuses et vivant en grand seigneur. Sa vie tapageuse fut condamnée par l'évêque de Carcassonne, mais il fut impossible de connaître l'origine de la soudaine fortune de l'ecclésiastique. Selon certaines hypothèses, la richesse du curé n'aurait pas été un trafic illicite de messe, mais tout simplement la 

négociation progressive à la cour d' Autriche ( jus qu'en 1914 ) du trésor d'Alaric qu'il avait découvert fortuitement. Néanmoins, le marché international des œuvres d'art ne semble pas avoir conservé trace à l'époque de l' écoulement de pièces d'orfèvrerie susceptibles d'accréditer cette théorie. Peut être découvrira t' on un jour la source qui alimenta la soudaine fortune de Béranger Saunière, vraisemblablement un trésor, mais sans doute pas celui d'Alaric
http://clovis1er.free.fr/popuptresoralaric.htm ]
Après un passage extrêmement difficile digne de la haute montagne le chemin descend , nous arrivons à une intersection. Je quitte un instant mon balisage pour suivre un sentier local sur la gauche, mentionnant par une pancarte ‘’les bénitiers'' je n'ai pas vu de bénitier qui pour moi doivent être creux, mais de belles roches pédonculées. Nous retrouvons le GR un peu plus loin que nous reprenons sur la gauche. [Ce sont des bénitiers géants, en fait des formations calcaires en forme de bénitiers, qui dateraient du début de l’ère tertiaire. Ce sont des curiosités géologiques : « L’eau s’est introduite dans les fissures, a gelé et fragmenté leurs bases, créant ainsi ces curieux bénitiers« .  Quatre Bénitiers sont répertoriés, tous à quelques mètres les uns les autres. par endroit le sentier est très pentu et il plonge dans une végétation typique de la région : des chênes verts, des 
genévriers, des arbousiers… On est alors au coeur de la nature sauvage. http://blog.audetourisme.com/les-benitiers-de-floure/#.Wz9tNLgyWM8]
Un chemin vraiment difficile 
Les Bénitiers

             
Le chemin tourne sur la gauche, nous en retrouvons un autre en direction du château de Miramont, mais ne vous endormez pas à mi pente, nous abandonnons les balisages locaux pour prendre à droite un petit sentier toujours en direction du château. De nouveau je ne suis plus la trace de la carte. Après une grimpette nous retrouvons l'ancienne trace et des balisages locaux (bleu-mauve et jaune que nous laissons sur la droite.) nous faisons un esse gauche, droite en coupant un chemin forestier le chemin grimpe nous arrivons au Pas de Roland [Cet éperon rocheux restitue aujourd’hui un patrimoine historique
à travers des ruines ou des légendes. En effet, l’autre nom du Roc gris est le ROC DE ROLAND...
La légende raconte que Roland, de cet éperon rocheux et pour échapper à ses ennemis, fit sauter son cheval de l’Alaric sur la Montagne Noire (de l’autre coté de la vallée de l’Aude). L’élan du destrier fut si puissant que l’empreinte d’un des ses sabots s’incrusta à jamais dans la pierre. http://www.piemont-alaric.fr/wp-content/uploads/2013/09/Randonnees-en-Piemont-d-Alaric.pdf]
et retrouvons un peu plus loin un autre chemin forestier nous menant au château en ruine de Miramont ou nous trouvons des tables à l'ombre pour manger. [Il est appelé indifférement château de Barbaira (village voisin), de Miramont ou d'Alaric (montagne dans laquelle il est situé). Mentionné pour la première fois en 1063, le castellum ne présente plus aujourd'hui que les ruines d'un donjon de plan rectangulaire avec deux enceintes, haute et basse.
 
Attention à ne pas confondre avec Miramont de Sabarthès, situé dans la région de Tarascon-sur-Ariège et qui servit longtemps de refuge pour les parfaits et croyants cathares
MIRAMONT ET LE CATHARISME (mettre mon lien sur carcassonne)
La famille de Barbaira (Barbera) fut très active contre la Croisade, en particulier Chabert de Barbaira (Xacbert étant la forme catalane, de même origine que Gilbert). Il participera par exemple au soulèvement de 1210 avec Olivier de Montlaur, qui se terminera dans le sang des habitants de Montlaur, versé par Simon-de-Montfort. Chabert participera au troisième siège de Toulouse en 1219. Mais il se fera plus particulièrement remarquer par ses attaques surprises et répétées menées depuis le château
de Quéribus (par exemple lors du soulèvement mené par Raymond Trencavelen 1240). Ce dernier sera remis à Saint-Louis en 1255 ). La biographie Xacbert de Barbera, Lion de combat 1185-1275, de Jordi Costa i Roca (aux éditions Trabucaire, Barcelone 1989), retrace de manière passionnante la vie mouvementée de ce personnage typique parmi 
les seigneurs faidits. Cet ouvrage permet de prendre conscience de la dimension humaine de cette époque très guerrière, ce que ne font pas des ouvrages ayant comme source principale les registres de l'Inquisition.
Le château de Miramont est cité en 
1210, pour avoir été le théatre 

du siège de deux amis de Simon-de-Montfort, Amaury et Guillaume de Poissy. Pierre-des-Vaux-de-Cernay nous présente siège d'Alaric comme un échec des croisés du fait des conditions atmosphériques difficiles (Histoire Albigeoise, Librairie philosophique J. Vrin, 1951). Michel Roquebert nous présente cet événement comme l'un des premiers soulèvements contre les envahisseurs à la suite de la mort 
de Trencavel (L'Épopée Cathare *1198-1212 : l'invasion aux éditions Privat). Dans le même temps, en effet, Bouchard de Marly, proche de Simon-de-Montfort se voyait prisonnier et emmené à Cabaret. http://www.cathares.org/miramont-intro.html] Après le château le chemin forestier prend sur la droite, nous arrivons au carrefour de l'intersection des GR. Attention le GR se divise en deux (tout droit c'est la variante du 36) sur la  droite l s'en va sur Lagrasse et Montlaur. Sur la gauche c'est toujours le 36 partant sur 
Lagrasse par le signal d'Alaric. Nous prenons à gauche par le signal de l'Alaric. Le beau chemin se termine par un beau point de vue sur la montagne noir et le Pic de Nore.  Nous trouvons deux petit sentier , lun longe le flanc de la montagne, l'autre par sur la droite. Prenons celui du flanc de la montage et dirigeons nous vers la montagne minérale. De nouveau le balisage à été dévié nous sommes un peu plus proche de la montagne de roche. Le chemin est très herbeux, on quitte la trace sur la carte, pour nous promener entre deux montagnes, je m'inquiète, je dois quitter le chemin 
principale pour rejoindre un morceau de la variante. Mon seul problème c'est que les chemins présents sur la carte, sont sous les herbes sur le terrain.je me demande si je n'ai pas eu tort de prendre le 36, j'aurai du prendre tout de suite la variante. Nous arrivons à un carrefour (si l'on peu appeler cela un carrefour tellement il y a de l'herbe, le 36 part sur la gauche, sur la droite un balisage local indique la Tuilerie et le Prieuré Saint Jean.  Enfin un balisage et un 
chemin avec de l'herbe jusqu'au genoux semble se diriger dans la direction que je dois prendre. je prends la direction du Prieuré Saint Jean, je perds très vite la trace dans l'herbe, je ne me suis pas aperçu qu'il y avait une fourche, je retrouve la trace, mais pas celle de la peinture jaune il faut e diriger vers le bois

           Nous passons devant Les ruine du prieuré Saint Jean (une grande table sous une tonnelle de vigne et deux voûtes à moitié enterrées. peut être ayant appartenu au Templier.)  
 
Tout de suite derrière nous retrouvons un chemin un peut mieux tracé formant Té avec le notre que je prend à gauche. Nous sommes dans de hautes herbes entre deux montagnes. Je retrouve la variante du GR que je prends à droite, c'est un beau chemin empierré. Nous arrivons dans une 
prairie. Une voiture proche d’un cabanon, quelques clôtures, annonce un village en contrebas, mais je ne vois toujours pas. Un chemin dans l’herbe semble se diriger dans la bonne direction, mais je préfère suivre ma trace et la variante du 36 qui remonte un peu par un grand virage sur la droite et débouche sur un chemin formant Té je quitte le GR et prend à gauche. Le chemin descend ce que je viens de monter. Un peu plus bas je trouve un chemin sur la gauche, ce doit être celui que j’ai vu tout à l’heure, je continue de descendre sans voir le village, je commence à m’inquiéter, enfin après un virage à droite j’aperçois les toits je suis arrivé.





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